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décembre 11, 2016

Votation présidentielles 2017 à 30 jours de la clôture sur ce site

Ce site n'est plus sur FB, alors n'hésitez pas à le diffuser au sein de différents groupes, comme sur vos propres murs respectifs. D'avance merci. L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses. 

Librement vôtre - Faisons ensemble la liberté, la Liberté fera le reste. 



Voici vos votes à 30 jours de la clôture :

Blanc
  19 (16%)
Abstention
  24 (21%)
Droite
  15 (13%)
Gauche
  3 (2%)
Centre
  34 (30%)
Nationaliste
  18 (15%)

Modifier votre vote Nombre de votes jusqu'à présent : 113
Nombre de jours avant la fin du vote : 30

Autant dire que le vote Abstention/Blanc prend le large avec ces 37%, j'y retrouve pour les 3/4 le vote libertarien. A 30% le vote Centre prédomine tous les autres à 95% des libéraux plutôt du genre "libéralopithèques", un moindre mal tout de même. 15% le vote nationaliste suivi de très près des 13% de droite, le premier ayant bien chuté ici. Force de constater que peu d'amis sur ce site libéral votent côté Gauche, imaginé = 2%.

Une petite conclusion me fait dire que pas mal de libertariens figurent sur ce site de l'ordre de 35%, qu'une trentaine de % de libéraux sociaux démocrates sont présent, et à peu de chose près le même % de libéraux "conservateurs".

IL RESTE 30 JOURS, ALORS N'HÉSITEZ PAS, VOTEZ VOTRE INTENTION

Al,




novembre 26, 2016

Deux folies. La vérité est que la France est accro au communisme, à l'étatisme socialiste

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Deux textes plus ou moins anonyme un sur la France communiste, l'autre sur un Juppé "islamo-collabo"; deux folies mais aussi des vérités entre radicalisation et extrémisme... à débattre



Lettre à la France

Anonyme 
 
Chère France, ici l'Amérique.
Salut, la France, nous sommes désolés de ces sottises qui viennent d'arriver. 

En fait, nous sommes doublement désolés. De toute évidence, la cause ultime en est le gouvernement collaborationniste communiste que nous vous avons infligé depuis '45. Les communistes ont importé les Arabes; les Arabes ont fait ce qu'ils ont fait. Nous regrettons d'avoir à énoncer une évidence, mais voilà la vie sous le communisme pour vous. 

Nous faisons ce que nous pouvons à propos de nos propres communistes. Ce qui pour l'instant n'est pas grand-chose. Mais pourquoi nous attendre? Est-ce que Walesa a attendu Soljenitsyne? Quoi, est-ce qu'Obama va vous envahir? Comme Brejnev? Croyez-moi, Obama n'est pas Brejnev. 

Hé, la France! Ne laissez pas passer une crise sans en tirer parti! Voici un autre secret de l'Amérique: toujours et partout, il n'y a pas de victoire graduelle ou relative pour la Droite. Il n'y a qu'une victoire absolue en une seule étape. Attrapez la vague! Il vous faut surfer; vous ne pouvez pas vous contenter de pagayer. Attrapez la vague que vous pourrez, ou continuez à mourir. 

La Gauche, dont la mission est la destruction, peut prendre tout le temps qu'elle veut pour abattre la civilisation. Elle peut même tolérer de brèves rémissions. Elle joue avec une nation comme un chat avec une souris. Mais la Droite, dont la mission est la préservation, la restauration, la création, doit travailler de manière cohérente en une seule étape. 

Il y a un modèle de laser appelé laser femtoseconde. Pour un millionième de milliardième de seconde, il est plus brillant que le soleil. Si vous agissez politiquement sur la base de la raison et de la réalité, plutôt que de l'instinct et de l'émotion, vous n'allumez pas un incendie; vous construisez un laser femtoseconde.
Le dernier chapitre du chef-d'œuvre de de Maistre explique le processus de la contre-révolution pratique plus ou moins parfaitement. En théorie, étant des Français et non pas des barbares, vous n'avez rien à apprendre de nous. Mais puisque votre État est un satellite de l'Amérique, nous connaissons peut-être votre ennemi mieux que vous ne le connaissez. 

Quoi qu'il en soit, voici mon manifeste simple pour un changement pratique de régime. Dans un monde idéal, un million de Français se réunissent à Paris et obtiennent le respect de ces exigences, à peu près maintenant. Ce n'est pas un monde idéal et cela n'arrivera pas — mais ne devrait-on pas savoir où nous voulons aller? Primo: La Cinquième République a échoué et est abolie. Tout pouvoir d'État est transféré à une Nouvelle République Française dirigée par l'armée, sous la supervision de Mme Le Pen. Tout le pouvoir au Front National! Il n'y a pas besoin d'attendre une élection. Lénine a-t-il attendu une élection? 

Secundo: Les Quatrième et Cinquième Républiques sont déclarées Cinquième et Sixième. La vraie Quatrième est Vichy. Tous les régimes totalitaires du XXe siècle, le régime fasciste (Quatrième), satellite allemand, et le marxiste (Cinquième / Sixième), satellite américain, sont déclarés également criminels et traîtres à la patrie. Collaborer avec Londres, Berlin, Washington ou Moscou, c'est le même délit. 

Tertio: La France est fermée pour reconstruction. Ses frontières sont closes et resteront closes indéfiniment. Tous les étrangers, y compris les diplomates, sont soit déportés soit internés. Les Français bloqués à l'étranger, y compris des diplomates, sont soit rapatriés soit expatriés. Ces mesures ne prendront fin que lorsque la France sera une fois de plus une nation, et pas une province du Mondaméricain. 

Quarto: Les véritables frontières ne concernent pas que les seules migrations. La souveraineté politique est également compromise par la dépendance financière, commerciale et intellectuelle. Puisque la France d'aujourd'hui est un patient atteint de cancer et que seul un isolement strict peut la sauver, tous ces liens doivent être rompus. Une France future, forte et saine pourra les restaurer. 

Tous les titres français détenus hors de France sont annulés. Tout le commerce extérieur est réglé en or à un point d'entrée unique. Aucun produit manufacturé n'est importé. Toutes les liaisons Internet sont coupées. Seule la Nouvelle République achemine les paquets hors de France, seulement à Washington, et pour seulement trois objectifs: offrir des produits français à la vente; acheter des minéraux stratégiques; et négocier les questions planétaires réels tels que les droits sur l'océan, la contamination atmosphérique, la protection des oiseaux migrateurs et de la défense contre les astéroïdes. 

Quinto: À cause des actes criminels du régime communiste, qui visait à s'établir au pouvoir de façon permanente en important un nouveau peuple, la possession d'un passeport français délivré par la sixième République n'est pas une preuve de la nationalité française. Toute personne titulaire d'un passeport français, mais sans quatre grands-parents nés en France, doit présenter une nouvelle demande de citoyenneté à la Nouvelle République Française. 

Les demandes sont évaluées par la police. Toute personne à la fois assimilée et civilisée, sans égard à sa race, est acceptée. Tous les demandeurs restants sont déportés, ou internés si le Mondaméricain refuse de les accueillir. L'internement est pas une punition et n'en deviendra pas une, mais la France est une nation souveraine et personne ne la colonise. 

Sexto: La Nouvelle France n'est pas seulement dirigée par le Front national et l'armée, mais gouvernée par eux. La France a de la chance; une fois que les colons sont expulsés, elle n'a pas d'ennemis qui possèdent la force à la fois morale et physique de l'attaquer. Puisqu'elle n'a pas de besoin militaire pour son armée, elle peut l'utiliser pour la tâche beaucoup plus importante de la restauration de la nation. 



Tous les fonctionnaires de la sixième République sont présumés communistes jusqu'à preuve de leur patriotisme, et sont mis à la retraite à taux plein. Pour commencer, le nouveau gouvernement est entièrement composé d'anciens officiers militaires. Lorsqu'il est nécessaire de recruter, toute expérience dans le secteur officiel ou para-officiel, les forces de sécurité exceptées, est une disqualification inconditionnelle. En cas de doute, le processus de dénazification utilisé en Allemagne en 1945 est un bon guide. 

Septimo: La France est une nation catholique et ne peut pas être restaurée sans l'aide de l'Église. Malheureusement, cette institution aussi a été envahie par les communistes. La Fraternité Saint-Pie X est le successeur légal de l'Église catholique française. Tous les prêtres affiliés à l'Église du Nouvel Ordre sont présumés communistes jusqu'à preuve du contraire, et purgés comme les fonctionnaires. 

L'Église a pleine autorité sur tous les établissements d'enseignement de la maternelle à l'université; elle gagne la propriété de toutes les entreprises de médias et d'édition existantes. La liberté d'expression ne sera pas violée; les communistes peuvent rester communistes et continuer à essayer de colporter leurs produits toxiques, aux adultes en tout cas. Mais aucun organe de pouvoir conquis par le communisme ne peut survivre à sa chute. 

Octavo: Toutes les institutions philanthropiques, les ONG, les fondations, etc., sont transférées à l'État pour liquidation. De plus, la source d'énergie ultime de ces institutions pernicieuses, l'oligarchie financière du XXe siècle, ne peut pas être autorisée à survivre. 

Beaucoup de Français riches ont acquis leur argent honnêtement, même sous le régime corrompu des traîtres. Beaucoup l'ont mal acquis. Sans enquêter sur les affaires du passé, la richesse personnelle des riches doit être déclarée et plafonnée au maximum nécessaire pour assurer une vie de luxe. Les actifs au-dessus de ce plafond, mérités ou non, sont échangés contre des titres de noblesse. Les voleurs et les traîtres seront soulagés de s'échapper par ce petit sacrifice; les hommes d'affaires honnêtes et patriotes comprendront sa nécessité. 

Nono: Tous les secrets d'État, à l'exception des plans militaires, sont descellés. En utilisant ces documents, et toutes les sources vivantes encore disponibles, la Nouvelle République va parrainer l'ouvrage de la plus grande qualité portant sur l'histoire de la France au XXe siècle, un document de référence entièrement indépendant, patriotique et catholique sans complexe, qui ne sera contaminé par aucun biais, ni fasciste, ni communiste. 

Decimo: la France doit être restaurée culturellement, architecturalement, et industriellement. Tous les bâtiments construits en France, d'un caractère moderniste, communiste, islamiques ou autrement non-français, seront démolis et/ou remplacés dans un style historique français. 

Selon un degré compatible avec l'offre réelle de main-d'œuvre, la production industrielle de nourriture et de vêtements est interdite. Puisque la Nouvelle République a mis à la retraite l'ensemble du gouvernement, beaucoup de Français auront besoin de travail. La seule source envisageable de la demande de travail est la production artisanale sur les modèles pré-industriels; l'honneur et l'épanouissement ne peuvent être trouvés que dans des tâches égales au potentiel humain du travailleur. Tout le monde peut être un maçon ou charpentier; Personne ne devrait être condamné à vivre comme un robot industriel du XIXe siècle. 

Undecimo: La Nouvelle République Française est un régime temporaire visant à guérir la France, pas à la gouverner éternellement. Sa dernière tâche est de concevoir son propre remplacement permanent, presque certainement par une monarchie absolue héréditaire dans la grande tradition française. Bien sûr, il n'y a pas un Français sur mille aujourd'hui qui comprendrait ou soutiendrait ce plan. Pourtant, la moitié de la France, au moins, voit le même problème. 

Ce qui vous retient, chère France, est l'illusion que vous avez un remède plus facile, plus simple, plus indolore. La France a le cancer. Elle sait, même, qu'elle a le cancer. Je prescris une chimiothérapie; mais pourquoi pas de l'aspirine? L'aspirine n'a pas bon goût, alors elle doit sûrement aider. 

Pourquoi ne pas tout simplement réélire Sarkozy, avec son Karcher? Peut-être l'utilisera-t-il cette fois? Il va certainement promettre de le faire. Et puis pourquoi toute cette dictature militaire? Ne pourrions-nous élire Marine, à l'issue d'une élection constitutionnelle normale? Elle promet d'expulser les terroristes. Elle doit avoir une liste. Bien sûr, ils vont faire appel à Bruxelles, alors il va y avoir beaucoup de questions juridiques à résoudre… 

Hélas, la vérité est que la France est accro au communisme, comme un alcoolique à l'alcool. Ce matin, elle a une sacrée gueule de bois. Elle promet de cesser de boire. Eh bien, elle va certainement boire moins… France, je suis désolé. Il faut un sevrage brutal. Plus une seule goutte! Dans votre cœur, France, vous savez quoi faire. Et vous en avez peur. N'avons-nous pas tous peur du changement? 


Voici la traduction de l'anglais par mes soins d'une lettre ouverte, anonyme, mais nettement dans la lignée réactionnaire de Mencius Moldbug. Cette lettre est complètement folle, mais sa folie a l'avantage d'être aux antipodes de la Folie Française ultra-socialiste, et je trouve cela fort raffraîchissant. Cette traduction ne signifie bien sûr pas approbation, loin de là; je ne vois dans ce manifeste aucun point sur lequel je n'aie rien à redire. J'ai dans le passé longuement expliqué mes différends intellectuels avec Moldbug, et ils restent les mêmes. Quant à une version libérale du changement de régime, pour comparer, il y en a une sur mon blog, signée Roman Perdeanu — vous pouvez-voir les différences entre ce que le liquidateur y fait ou n'y fait pas — et dans ce second cas laisse les citoyens autant libres de le faire que responsables civilement du résultat.
 


Les casseroles de Juppé, ça vous tente ?

Petit florilège : les casseroles de Juppé chantent faux, prises au hasard sur le Net : Alain Juppé, ancien repris de justice, très lourdement condamné en première instance à 18 mois de prison avec sursis, 5 ans de privation de ses droits civiques, et 10 ans d’interdiction de se présenter devant des électeurs pour avoir, disent les juges, « trompé la confiance du peuple français » (peine réduite en appel, suite à des pressions elles-mêmes pénalement répréhensibles, de la part du Président de la République Jacques Chirac, et du Premier Ministre Jean-Pierre Raffarin 

Alain Juppé se voit déjà candidat à la présidentielle en 2017, maintenant que Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy semblent hors-jeu.
Mais Alain Juppé a un passé qu’il faut rappeler.

1995, l’affaire de l’appartement
En juin 1995, Le Canard enchaîné révèle qu’Alain Juppé, à l’époque Premier ministre, a donné des ordres pour baisser le loyer de son fils Laurent qui occupe un appartement rue Jacob dont la ville de Paris est propriétaire. Dans la même rue, Alain Juppé occupe un appartement de
189 m2 pour un loyer anormalement bas et y fait réaliser des travaux de plusieurs millions de francs aux frais du contribuable.
Alain Juppé déménagera après une plainte pour « prise illégale d’intérêt » déposée par l’Association des contribuables parisiens fondée par le jeune Arnaud Montebourg.

1999, l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris
En 1999, Alain Juppé est mis en examen pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux et prise illégale d’intérêt » dans le cadre d’une affaire de financement occulte d’emplois fictifs, pour des faits commis alors qu’il était secrétaire général du RPR (ancêtre de l’UMP) et maire adjoint de Paris (aux Finances).
Le 30 juin 2004, le tribunal correctionnel de Nanterre condamne Alain Juppé à dix-huit mois de prison avec sursis et à une peine de dix ans d’inéligibilité.
Le 1er décembre 2004, la Cour d’Appel réduit la condamnation à quatorze mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité.
Relisons avec intérêt les propos de la Cour d’Appel : 

« Il est regrettable qu’au moment où le législateur prenait conscience de la nécessité de mettre fin à des pratiques délictueuses qui existaient à l’occasion du financement des partis politiques, M. Juppé n’ait pas appliqué à son propre parti les règles qu’il avait votées au parlement. » 

Qui pourra croire qu’Alain Juppé est l’homme de la situation ?

La retraite dorée d’Alain Juppé : la réforme pour nous, le jackpot pour lui !
Voici une des plus belles illustrations du mépris dont Alain Juppé fait preuve pour ses concitoyens. Fin 2002, juste avant que n’entre en vigueur la réforme mise en œuvre par ses amis au gouvernement, Alain Juppé fait valoir ses droits à la retraite d’inspecteur des finances alors qu’il n’a quasiment jamais exercé ce métier : il existe une loi sur mesure qui permet aux inspecteurs des finances, tout en faisant carrière politique, de cotiser comme s’ils étaient encore en poste !

A 57 ans, Alain Juppé n’a pas laissé passer l’occasion de profiter de cette loi indigne. Pourtant, depuis longtemps, il explique à qui veut bien l’entendre qu’il faut allonger la durée de cotisation des fonctionnaires à 40 ans minimum et repousser l’âge du départ à plus de 60 ans. Mais ça, c’est pour les autres, pas pour lui ! La retraite d’Alain Juppé a été fixée à 3 654 euros par mois… auxquelles s’ajoutent les indemnités d’élu et de ministre. Ces indemnités cumulées sont néanmoins plafonnées à 7 775 euros, la retraite de fonctionnaire étant par contre pleinement cumulable.

Allez, pour remuer le couteau dans la plaie : J.O n° 302 du 28 décembre 2002 page 21910 Décrets, arrêtés, circulaires- Mesures nominatives Ministère de l’économie, des finances et de l’industrie Arrêté du 13 novembre 2002 portant admission à la retraite (inspection générale des finances) NOR: ECON0200088A Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 13 novembre 2002, M. Juppé (Alain), inspecteur des finances, est admis, sur sa demande, à faire valoir ses droits à la retraite, à compter du 1er janvier 2003. ÉTAT CIVIL : M. Alain Juppé – Né le 15 août 1945 à Mont-de-Marsan (Landes) – Circonscription d’élection : Gironde (2ème) – Groupe politique : UMP – Profession : Inspecteur des finances – MANDATS ET FONCTIONS À L’ASSEMBLÉE NATIONALE – RÉÉLU le 16/06/2002

Petite cerise sur le gâteau « recette langue de bois » pour ce type qui ose parler d’obscurantisme » lorsqu’il s’agit de dénoncer, à l’époque, l’islam « obscur » dans un lointain pays, alors que l’islam, obscur par nature commence à frapper chez nous et que ce quidam part « draguer » de futures voix en Algérie, pour 2017, et qui sait si bien lécher les babouches musulmanes, même les plus louches. 

Celui qui est devenu, horreur d’entre les horreurs, notre ministre des affaires étrangères, vient de justifier(1), une nouvelle fois, le titre d’islamo-collabo qui lui a été donné la semaine dernière dans l’édito (2) de Riposte laïque, au grand dam du distingué Jean-Marcel Bouguereau, du Nouvel Observateur. En effet, on savait déjà que le roi des compromissions avec l’islam avait accordé un terrain sous forme de bail emphytéotique à l’association des musulmans de Gironde pour y construire un gigantesque complexe islamique qui dépendra de Tareq Oubrou, celui qui reconnaît volontiers que les musulmans peuvent, temporairement, tant qu’ils sont en minorité, respecter la loi de la République mais qui, dès qu’ils sont en nombre suffisant, doivent appliquer la charia in extenso.

On savait déjà que le roi des compromissions avec l’islam était opposé à la loi contre la burka au nom de la « stigmatisation possible de l’islam », et avait proclamé(3) que l’islam était compatible avec la République parce que « la France doit être accueillante et respectueuse des différences ». 

Les méfaits du sieur Juppé continuent : en pleine révolution égyptienne, quand le fanatique(4) Qardawi prêche(5) devant des centaines de milliers de musulmans place al-Tahrir, le ministre (impossible de dire « notre ministre ») va discuter avec ceux qui sont parmi les plus intransigeants des musulmans et ose dire que l’on se trompe sur eux… On se trompe sur eux, monsieur le Ministre ?

Ah bon… ces doux rêveurs(6) qui ont pour objectif avoué d’instaurer des républiques islamiques dans les pays à majorité musulmane ont même réussi, au cours de leur histoire, à se faire interdire dans plusieurs pays arabes et musulmans, comme la Syrie ou l’Egypte de Nasser (les doux Frères avaient assassiné neuf ans auparavant le premier ministre égyptien et semblaient prêts à poursuivre leur œuvre de mort) et leur branche palestinienne est devenue le Hamas, organisation terroriste qui appelle ouvertement à la disparition d’Israël et applique de façon terrible la charia, notamment à l’endroit des femmes et des homosexuels.

Ce sont toujours les mêmes qui, bien que prétendant avoir fait évoluer le mouvement en prônant démocratie et modernisme, ont décidé en 2007, c’était hier, que ni les coptes ni les femmes n’étaient assez qualifiés pour devenir Président de la République ! Ce sont les mêmes qui ont permis que naisse le Conseil européen de la fatwa(7), dirigé par Qardawi, qui « s’est donné pour mission d’émettre des fatwas spécialement destinées aux musulmans vivant en Europe afin qu’ils puissent rester intégralement gouvernés par la charia » (wikipedia)… 



Mais il semble bien que l’islamo-collabo Juppé aime la démocratie à la sauce islamique, il aime la charia, il n’aime donc ni la France ni la République, ni ses valeurs : l’égalité homme-femme, et la liberté d’expression. On rappellera utilement à celui qui manie la takkia autant que ses interlocuteurs du Caire qu’il suffit, pour savoir le vrai, d’aller lire le manifeste(8) en 50 points du fondateur des Frères musulmans, qui est toujours d’actualité… 

On y lit quelques joyeusetés propres à rassurer un ministre de la République française, prêt à collaborer avec les pires ennemis du genre humain qui soient : 

– Modifier les lois afin qu’elles soient conformes à la charia (loi islamique) dans tous les secteurs d’activités
– Resserrer les liens entre les pays musulmans, particulièrement entre les pays arabes en vue d’un rétablissement du califat.
– Répandre l’esprit islamique dans tous les ministères du gouvernement afin que tous les employés se sentent obligés d’adhérer aux enseignements de l’islam
– Surveiller la conduite de tous ses employés et mettre fin à la séparation entre la vie privée et la vie professionnelle.
– Modifier les horaires de travail en été et en hiver afin que tous puissent facilement accomplir leurs obligations religieuses.
– Évaluer toutes les décisions gouvernementales en regard de la loi et des enseignements de l’islam. Les fêtes nationales, les réceptions, les conférences officielles, la vie dans les prisons et les hôpitaux devraient être conformes aux enseignements de l’islam. Les heures de travail devraient être établies de telle sorte qu’elles n’entrent pas en conflit avec les heures des prières.
– S’occuper de la «question de la femme » d’une façon qui améliore son statut et lui assure une protection qui soit conforme avec les enseignements de l’islam. Ce dossier (le plus important socialement) doit se garder des positions non orthodoxes de ceux dont les opinions sont soient déficientes soient excessives.
– Reconnaître que la fornication est un crime, quelles que soient les circonstances; un crime détestable qui mérite la flagellation.
– Interdire toutes les formes de jeux: loteries, courses et casinos.
– Faire campagne contre la consommation d’alcool et de drogue: le salut de la nation dépend de leur interdiction.
– Faire campagne contre le port de vêtements inconvenants et contre les conduites relâchées; éduquer les femmes sur ce qui est convenable, et être particulièrement strict envers les enseignantes, les élèves et les étudiantes, les femmes médecins et de manière générale avec tous ceux qui travaillent dans ces domaines.
– Revoir le programme scolaire offert aux jeunes filles et s’assurer qu’il diffère de celui des garçons à plusieurs étapes de leur éducation.
– Interdire la mixité entre les étudiants des deux sexes; traiter les fréquentations entre jeunes gens en âge de se marier comme un crime qui doit être puni.
– Fermer les salles de danse moralement indésirables et les boîtes de nuit, et interdire la danse et les autres passe-temps du même genre.
– Inspecter les théâtres et les salles de cinéma et choisir avec rigueur les films et les pièces qui y seront présentés.
– Censurer les chansons et sélectionner soigneusement celles qui seront diffusées.
– Choisir soigneusement les conférences, les chansons et les sujets qui seront diffusés à la radio: utiliser la radio pour éduquer la nation d’une manière vertueuse et conforme à la morale.
– Confisquer les histoires provocatrices, les livres qui promeuvent le scepticisme d’une manière insidieuse, les journaux qui encouragent l’immoralité et ceux qui profitent de manière indécente des désirs lascifs.
– Considérer sérieusement la mise sur pied d’une police des moeurs (hisba) responsable de punir ceux qui transgressent ou attaquent la doctrine islamique, tels ceux qui ne se conforment pas au jeûne du Ramadan, ceux qui ne font pas leurs prières, ceux qui insultent la foi et ceux qui commettent d’autres méfaits similaires. Vous l’avez compris, le sieur Juppé est indigne. Indigne d’être ministre du pays des droits de l’homme et de la femme.

Le sieur Juppé est un collaborateur prêt à vendre pour une bouchée tout ce qui fait le plaisir de vivre en France : l’égalité, la mixité, la liberté d’expression, de mœurs et de religion, l’art, le primat de la loi des hommes sur la loi divine… 

Monsieur Juppé est notre honte et nous ne pardonnerons pas à ce gouvernement de lui avoir donné un rôle et un pouvoir iniques, à vous qui nous trahissez de la pire des manières. S’il y avait une vraie gauche, encore laïque et républicaine, en France, elle demanderait immédiatement sa démission, pour complaisance grave avec le fascisme !

Nous espérons qu’un Nuremberg jugera tous les islamo-collabos, et, quand ce jour arrivera, Juppé sera en bonne place !

Christine Tasin

novembre 10, 2016

Hold-up de colère ne vous y Trumpez pas !! un néo-Nixon ? Réactualisé 11/11/16.

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Hold-up ne vous y Trumpez pas ! Le résultat des élections américaines, quel qu’il soit, ne pouvait être qu'une catastrophe pour le pays. Ce matin dans les grandes villes US les "démocrates" manifestent, c'est çà les socialopithèques quand ils prônent la "démocratie" voire dite "libéral US"


Mais ne serait-il pas un mal nécessaire contre l'establishment, le gauchisme médiatique, la corruption des deniers publics... ?? 

La "Trumpénisation" serait-elle en route au sein de nos socialopithèques, nos journalistes qui baisent avec nos politiques, n'est-ce pas un scandale? 

Un ras le bol du "politiquement correct" !!



Mais quel plaisir en découvrant la mine dépitée de ces mêmes journalistes, experts "and co" politiques "néo-Clintonien" à l’annonce des résultats ? 


Comme des journalistes radio stylés en appel au meurtre, qu'en pense le CSA? Ils sont beaux nos bobos gauchos démocrates en France. Avez-vous envie de continuer à payer des impôts pour entretenir les nombreux fonctionnaires débiles mentaux  de Radio France ?



 Pour Laurent Fabius, c'est (aussi) un peu la faute des réseaux sociaux

Mais que dire du con de diplomate français à l'ambassade de France aux US Gérard Araud (voir la photo); Jean-Marc Ayrault répond : "Il faut garder son sang-froid" 



Hollandissimo: Le mec minable, décalé, plafonne à 2%, et sans complexe il déclare: "qu'il va surveiller avec vigilance les positions de Donald Trump... 



Côté Sarkozy : La victoire de Trump est la "victoire contre la pensée unique" mais il soutient Clinton ! Alors quoi penser "maître" ?? Que c'est beau la politique !!



Il reste plus qu'a attendre un nouveau film des comiques gauchistes Michael Moore et Ken Loach. Beurk !! 



En attendant, Trump a déclaré : « Nous l'avons fait ! Et nous aiderons la France à redevenir grande elle aussi »

Une exemplarité qu'il faille désigner, l'excellente votation auprès de Gary Johnson (Libertarian 4,054,139 3.24%), un meilleur d'année en année


Congratulations Mister President, de la part d’un libéral (pur sucre) avec Aurélien VÉRON pdt du PLD France




Il est bien connu que des personnes qui ne s'aiment pas, voire davantage se haïssent, puissent elles parader ensemble lors d'une soirée de bienfaisance ! 
Ah ces socialopithèques !!



La lettre de félicitation diplomatique de Hollande.  


Hollande parle de peur et de solutions à trouver ce qui démontre ses faiblesses et son incompétence, puisque tout reste à faire. Il écrit: les libertés, un président qui connait en rien la signification de la Liberté.



DonaldTrump élu propulse le dow jones à son plus haut niveau et balaye toutes les prévisions de "Chaos" des pseudos-économistes!



« Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres. » Romain Gary






novembre 05, 2016

100 votants et 67 jours encore pour voter sur Université Liberté - Présidentielles 2017

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Librement vôtre - Faisons ensemble la liberté, la Liberté fera le reste. 






100 votants sur ce site et il reste 67 jours avant la consultation du premier tour de la présidentielle 2017, voyez vos votes sur Université Liberté, ils ont bien évolué:
Vote Blanc.............: 15%
Abstention.............: 20%
Droite....................: 11%
Gauche..................:  3%
Centre...................: 33%
National...............: 18%

Le vote centriste a pris le dessus de 8% au 100j il est passé à 33% à ce jour. Force de constater aussi l'addition des abstentionnistes et les votants "blanc" soit en cumulé 35% d'intention de vote. Si les abstentionnistes votaient "blanc", une minorité de blocage étatique serait probable !!

Il vous reste 67 jours pour les nouveaux abonnés, comme les sympathisants libéraux à voter sur le site, cela est en haut à droite.

Que pensez-vous de ces résultats au sein des "libéraux"/libertariens ?
N'hésitez pas à commenter !
Al,



octobre 02, 2016

100 jours encore pour voter sur Université Liberté - Présidentielles 2017

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octobre 14, 2015

Du communisme à une vision libertarienne pour la Liberté. Essai d'un être "libéral" sans le savoir, comme beaucoup d'entre-nous.

L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture, librement vôtre. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.


 
Bonjour à tous. Aujourd’hui, je publie un article un peu spécial. Bien souvent, les individus m’expliquent qu’ils ne comprennent pas pourquoi je suis libertarien, en m’expliquant que pour eux, cela s’apparente à une « forme d’utopie hypercapitaliste » ou un « ultralibéralisme poussé ». On me rétorque également très souvent que les libertariens sont proches des courants néo-conservateurs américains, ce qui est relativement faux lorsqu’on connaît les positions libertariennes en général en terme de politique étrangère.

Les libertariens sont tout d’abord des libéraux, et ont donc les mêmes positions en terme de libertés économiques, de liberté d’entreprendre, de contracter, de s’associer, de s’exprimer, etcetera.

Le mouvement libertarien américain (« libertarian ») s’est formé au cours des années 60, lorsque les Républicains issus de la Old Right décidèrent de s’en aller à cause des montées des courants néo-conservateurs au sein du Parti. Murray Rothbard partira donc du Parti pour ses raisons et Ayn Rand suivra, du fait de son profond athéisme et de ses idées sur l’égoïsme qui en gênaient plus d’un au sein de ces nouveaux courants grandissants du fait de la guerre froide.

Le mouvement libertarien est donc également d’abord constitué de la Old Right Républicaine, relativement attaché à la Constitution bafoué, et suivant le vieil adage de Thomas Jefferson : »Commerce avec toutes les nations, d’alliance avec nulles d’entre elles. »
À leur départ, les libertariens ont rejoint la New Left, parti anarchiste de gauche de l’époque. Les libertariens de la Old Right et les anarchistes de la New Left ont donc coopéré sans trop de dégâts durant quelques années, prouvant que le débat est bien moins entre les mouvances de gauche et de droite qu’entre les mouvements étatistes et constructiviste, mus par le désir de modeler la société et de faire de l’État un but, et les mouvements « anti-agressionnistes », qui base les choix individuels pleinement volontaires et non sur l’usage agressive et abusive d’un outil de coercition de masse.

Mais plus tard, les « Old-Rightists » quitteront la New Left pour former enfin le Parti Libertarien, entrainant avec eux bien des membres de la New Left. La dernière composante des libertariens étaient désormais là, à savoir la branche des anarchistes individualistes. Il faut d’ailleurs savoir que les États-Unis ont eu des mouvements anarchistes au cours de l’histoire, anarcho-individualiste notamment avec des personnes comme Henri David Thoreau, Benjamin Tucker, William Lloyd Garrison ou encore l’éminent Lysander Spooner, que nombre de libertariens apprécie pour son jusnaturalisme (idée du Droit Naturel) et son abolitionnisme et son sécessionnisme radical (et dont la plupart des libertariens partage les idées) à une époque où l’esclavage était encore présent. Spooner écrira également « Les Vices ne sont pas des crimes », qui représente clairement la position libertarienne en terme de drogue, alcool, prostitution, etcetera.

Le courant libertarien est donc composé historiquement des courants libéraux classiques, des courants non-interventionniste en matière de politique étrangère, et des branches anarcho-individualistes.

Les libertariens épousent plusieurs approches philosophiques dans le but de défendre la Liberté.

-Les différentes formes de conséquentialisme :
Le conséquentialisme est une théorie qui tente de déterminer les obligations liées aux actions humaines en s’interrogeant simplement si une action ou une règle produit le plus grand résultat (conséquence) net, ou le plus grand « bien » ou le moins « mauvais ». Certains libertariens sont favorables au conséquentialisme : les principes éthiques généraux sont pour eux des règles généralement valables (comme le Droit Naturel), mais qui peuvent avoir des exceptions, comme avec certains « utilitaristes de droits », qui considèrent que les actes qui maximisent les droits d’autrui sont les seuls valables. Ainsi, pour les libertariens conséquentialistes jugent un acte selon leurs effets plutôt que selon leur nature. Ainsi, ils sont libertariens car ils jugent l’action étatique forcément mauvaise.
Au sein des libéraux et des libertariens, les principaux conséquentialistes (toutes tendances confondues) sont : David Friedman, Ludwig Von Mises, John Stuart Mill, Jeremy Bentham, Walter Block.

-L’approche jusnaturaliste, ou la théorie du Droit Naturel :
Les libertariens jusnaturalistes partent du postulat que les hommes ont des Droits, et qu’il est des choses qu’on ne peut faire aux hommes, car la nature les a pourvu de Droits inaliénables, qui en font le propriétaire légitime de lui-même. Tout homme qui agresse un homme et lui enlève le fruit de son travail sans son consentement nuit à ses Droits et se voit sous la menace que justice soit faite par ses pairs dans le but du rétablissement des Droits retirés à leur camarade. Le point de vue des libertariens jusnaturalistes est donc que l’État est une institution illégitime vivant par le vol des classes productives de la société, et qu’ainsi ils militent pour son abolition, ou pour le moins, pour la simple gestion des fonctions régaliennes. Ainsi, comme le fait comprendre Frédéric Bastiat, un État qui aurait pour autre but que celui de lutter contre la spoliation extra-légale organiserait la spoliation légale. Ainsi, les libertariens peuvent se diviser en deux catégories : les anarchistes et les minarchistes (partisans de l’État minimum).

Au sein des libéraux et libertariens, les principaux partisans du Droits Naturels sont : Murray Rothbard, Ayn Rand, Robert Nozick, John Locke, Frédéric Bastiat.

-L’approche contractualiste :
Les libertariens contractualistes basent leur vision libérale sur la base de la théorie du choix rationnel, qu’il serait possible de reconstruire et fonder en raison notre morale (comme le souligne David Gauthier). Celle-ci peut en effet être pensée comme le résultat d’un accord entre personnes rationnelles. L’ouvrage souligne que les institutions des sociétés libérales naissent d’un tel contrat. Ces institutions, et la morale par l’accord sur laquelle elles reposent, présupposent une condition, celle qui attribue des droits aux individus. Morale et contrat, d’inspiration hobbesienne, rejoint alors l’idée lockienne des droits individuels, en la fondant rationnellement. La morale, ainsi comprise, n’a pas simplement la valeur d’un moyen pour l’individu rationnel. Certains contractualistes imaginent clairement le besoin d’un besoin (comme James Buchanan, avec son livre Les limites de la liberté) et d’autres sont carrément anarcho-capitalistes, comme Jan Narveson.

Les principaux libéraux et libertariens sont : James Buchanan, Anthony de Jasay, David Gauthier, Jan Narveson.

Voilà donc les 3 plus grandes approches philosophiques et morale des libertariens. Cette liste est bien entendue non exhaustive.

D’où viennent les libertariens ? Ils sont la grande alliance des courants libéraux classiques, anarcho-individualistes et non-interventionnistes étrangers, comme nous l’avons vu dans la première partie.

Tout d’abord, d’où vient le mot libertarien ? Il est d’origine américaine, avec l’apparition du mot « libertarian », utilisé dans le but de caractériser les libéraux face aux Démocrates interventionnistes, qui se définissaient comme « Liberal » (Keynes, par exemple, se disait « Liberal »). Plus tard, Henri Lepage, économiste français, importera le terme « libertarian » qu’il traduira par libertarien (et non par libertaire pour éviter toute confusion avec des anarchistes socialistes) dans son livre Demain le capitalisme en 1978, alors que nos camarades canadiens francophones utilisaient déjà le terme. Le terme libertarien s’est implanté au Canada pour les mêmes raisons que le « libertarian » aux États-Unis, où le Parti Libéral au Québec est interventionniste et socialiste. Au Royaume-Uni, les « Liberals Democrats », sans être socialistes, restent assez modérés et n’ont plus beaucoup d’influence depuis l’ère Thatcher, d’où la formation récente d’un Libertarian Party UK. En Suisse, le Parti des libéraux-radicaux est composé à la fois de vrais libéraux et de « libéraux » plus modérés. Un Parti Libertarien s’est formé l’année dernière à Genêve. En France, peu de personnes se disent libérales (ce qui résout en quelque sorte l’appropriation malsaine du terme) car le terme est farouchement détesté par tous les courants politiques, quels qu’ils soient, du Nouveau Parti Anticapitaliste jusqu’au Front National en passant par l’UMP. L’usage du terme ultralibéral est la panacée pour tout candidat interventionniste souhaitant se faire apprécier à coup de cadeaux électoraux. Si le terme libertarien se développe en France, c’est moins par souci d’affirmer ses traditions libérales que par le fait de sortir de ce marasme idéologique et ignorant de ce qu’est vraiment la pensée libérale.

Ainsi, oui, les libertariens sont les petits-enfants des libéraux. Ils ont peu ou prou les mêmes références. Libéral et Libertarien entretiennent tout deux un scepticisme important vis-à-vis de l’intervention de l’État, et ils sont donc tous deux au courant des grands concepts fondamentaux de l’École du Choix public et des notions de marché politique . Ils se basent tout deux sur les mêmes écoles de pensée économiques par exemple. Libéral et libertarien sont tous les deux de grands admirateurs de l’économiste autrichien Friedrich Hayek et de son analyse du rôle de la connaissance dans le fonctionnement de l’économie. Libéral comme Libertarien sont conscients que les hommes ont des Droits et qu’il est des choses que des organisations comme les États ne peuvent leur faire. Ils possèdent tout deux le respect de leurs pères pour l’humanité, et considèrent que si l’homme est nécessairement mauvais, il est dangereux que certains hommes aient un pouvoir sans borne. Ils suivent le vieil adage de Friedrich Hayek dans sa Route de la servitude et ne croient pas à ce fantasme étatiste de « séparation des pouvoirs » car « Ce n’est pas la source, mais la limite du pouvoir qui l’empêche d’être arbitraire. »

Oui les libertariens sont les descendants libéraux. Et comme tous bons descendants, ils leur arrivent d’être en désaccord avec leurs aieux. Ils voient comme futiles bon nombre de théories, comme la théorie des biens publics, qui, si elles étaient appliquées jusqu’au bout de leur logique, conduiraient à l’opposé même de ce que défendent les thèses libérales classiques. Ils s’interrogent sur la validité du concept d’État minimum, pour la simple et bonne raison que l’État ne se limite jamais de lui-même, d’où l’approche sécessionniste et abolitionniste de bon nombre de libertariens. Ainsi, un nombre conséquent de libertariens sont anarchistes (les plus éminents étant David Friedman, fils de Milton Friedman, ayant interdit à son père de se qualifier de libertarien de par ses idées relativement modérées en comparaison des autres membres du mouvement, et Murray Rothbard) et systématisent des théories dans lesquelles les fonctions régaliennes seraient confiées au marché (David Friedman notamment, dans son livre Vers une société sans État, conclut que la justice a de fortes chances d’être prises en charge par les assurances, et comme le marché des assurances ne compte pas de monopoles, il répond à la critique de Nozick comme quoi un marché de fonctions régaliennes aboutirait à un monopole, et donc à un État, potentiellement plus agressif que le précédent).

Les libéraux et les libertariens ont donc les mêmes racines, et pour éviter les conflits, il vaut mieux les empêcher de parler de la nature de l’État entre eux (humour).
 
Aux États-Unis sévît un conflit à ce jour, bien moins présent qu’il y a quelques décennies et inexistant en France. Ce grand débat réside dans l’opposition entre les « libertarians » (comptant donc libéraux et libertariens) et les partisans de Ayn Rand, les randiens, ayant eux-mêmes qualifié la philosophie de Ayn Rand par le terme « objectivisme », regroupant sous ce système toutes les vues éthiques et philosophiques de leur grande dame Ayn Rand sous cet appellogie (l’objectivisme porte également le nom « d’éthique des vertus »). 

Tout d’abord, quels sont les points communs entre « libertarians » et objectivistes ? Au demeurant, un nombre tout de même assez important. Ils sont de grands admirateurs de son livre « Atlas Shrugged », traduit en français (La Grève), et décrivant une parfaite dystopie où l’Europe n’est plus que peuplée que de Républiques populaires socialistes et ne tenant que grâce aux envois de ressources par les dirigeants américains, qui, si ils ne sont pas aussi interventionnistes que leurs confrères européens, vont passer d’un niveau d’interventionnisme similaire à celui que nous connaissons en France jusqu’à un quasi-Communisme d’État qui se détruira progressivement car toutes les personnes productives du pays auront cessé toutes activités ou se seront enfuies pour ne pas voir l’aboutissement de leur statut d’esclave. John Galt, un des héros de Atlas Shrugged, durant son célèbre discours dont tout libéral a au moins entendu parlé, énonce plusieurs axiomes. L’un d’entre eux est l’axiome d’identité. Cette axiome a pour postulat que chaque homme se doit de respecter la réalité et la nature de son être et qu’aucune sorte de force ne peut le lui interdire. Ainsi, toute homme qui use de la force pour contraidre autrui et faire de l’autre son esclave en quelque sorte, se met à dos sa réalité et l’identité de son être. L’axiome d’identité est donc en tout point similaire au principe d’agression, sauf sur sa dimension éthique qui est bien plus poussée que le « Non-Agression Principle ». Tout au long de son livre (et des autres), nous pouvons observer un véritable attachement aux libertés individuelles, un refus de voir l’Homme comme un simple animal sacrifiel égorgé au nom de l’idée que l’Homme est un moyen et non une fin (idée très kantienne, malgré le fait que Ayn Rand est manifesté son rejet des idées de Kant), et un véritable engouement pour la libre-entreprise.

Alors, malgré si nombreux et importants points communs, pourquoi les partisans du « Libertarianism » et ceux du « Radical-Capitalism » se détestent-ils autant ? Leurs querelles se résument par la détestation mutuelle de leurs figures respectives, Murray Rothbard et Ayn Rand. Mais surtout, la question d’éthique personnelle est ce qui sépare les deux groupes. Tout deux militent pour un État limité, voire pour l’anarchie pour les néo-randiens qui ne suivent pas complètement Ayn Rand, mais l’objectivisme condamne par exemple l’usage de drogue, certains comportement individuels non coercitifs et en encouragent d’autres, alors que libéraux et libertariens, de par leur philosophie, se contentent de condamner tous actes agressifs et coercitifs abusifs, sans intégrer un code comportemental pour autant, ce pour quoi ceux-ci sont qualifiés de « hippies de droite » par les objectivistes. Les objectivistes, ironiquement, malgré leur athéïsme marqué par leur principe d’identité, ont tout des adeptes religieux, soutenant le besoin d’une éthique stricte dans la vie des hommes. Ils rejoignent en cela, encore ironiquement, les libertariens traditionnalistes et chrétiens, qui voient la religion sans liberté comme un autoritarisme sans nom, et voient la liberté comme nécessaire, même si les individus se doivent d’avoir une éthique stricte pour que ce ne soit pas la voie de la débauche (attachement à la tradition/religion dans leur cas, volonté de respecter la Réalité pour les objectivistes).

Le « libertarians » et l’objectiviste sont donc simplement le reflet de deux frères appartenant à une même grande et prestigieuse se querellant de manière insidieuse pour savoir qui prendrait le lit du haut.

Voilà donc la dernière partie de ce dossier sur les libertariens. Comment suis-je moi-même devenu libertarien ? Comment ais-pu passer en quelques années du stade de communiste au stade de libéral. C’est un changement qui prend ses racines il y a peu ou prou trois ans : c’est à dire en 2011, lorsque je commençais mon année scolaire en Première ES. Mon intérêt pour la politique (et surtout l’économie) s’est éveillée quelques mois plutôt, mais ce n’est que durant la campagne présidentielle que cette passion, dirais-je, s’est cristallisée. Les idées défendues notamment par le candidat et actuel Président de la République François Hollande me correspondaient assez bien. Je n’ai même pas pris le temps de lire les programmes des extrêmes ou celui des autres candidats. C’est clairement à ce moment là que des idées socialistes bourgeonnèrent. Je considérais notamment l’imposition du capital ou l’impôt à 75% sur le revenu comme de bonnes idées pour ne citer qu’elles. Une autre chose me caractérisait à cette époque : la haine de ce qu’on appelait consumérisme et machinisme. Je vous laisse donc imaginer ma joie à la victoire du candidat que je soutenais. Et ma déception lorsque je le vis reculer sur certaines de ses promesses. Mon intérêt pour la politique s’effrita petit à petit.

Quelque chose d’autre m’avait perturbé durant cette année scolaire : l’étude de la seconde guerre mondiale et plus particulièrement du communisme. Et c’est là qu’une étrange chose advint, même si elle était prévisible. Le communisme captivait mon attention. Un idéal se dessinait dans mon esprit : un monde où tout le monde serait égaux. Personne ne serait riche mais personne ne serait pauvre et nous serions épargnés du déficit moral du matérialisme et autres dépravations de nos sociétés capitalistes. C’est lorsque je repense à cette époque que je réalise la pertinence de la critique de Murray Rothbard envers Ludwig von Mises : ce dernier défendait une position utilitariste, et refusait toute considération éthique concernant le libéralisme. Or à l’époque, étant communiste, ce n’était pas son efficacité qui m’avait convaincu de l’être, car je m’apercevais bien de son inefficacité. C’est l’éthique, ou le semblant d’éthique, qui caractérisait le communisme qui m’avait convaincu à défendre ses positions. Même meurtrier, c’était pour la bonne cause, tout en me disant qu’il serait préférable de ne plus faire couler de sang à l’avenir.

Rejet de la violence
Mais cette passion, que dis-je, cette adoration du communisme s’estompa lorsque je découvris ce qui fut ma première caractéristique libérale : la détestation de la violence. Non, en effet, à y regarder plus près, je me demandais si le fait de fermer les frontières n’était pas l’aveu même de la défaite de mes idéaux, et je réalisais que, sauf à user de la violence, un pays communiste ne pouvait pas émerger. La chimère communiste et pleinement centralisatrice s’estompa. Mais elle fut rapidement remplacée par une autre : la mouvance alter-mondialiste. Si on ne peut se passer d’une économie de marché, faisons en sorte que celle-ci ne soit pas aussi destructrice que ce qu’elle était naturellement dans mon esprit. Il fallait au moins s’épargner le renard libre dans le poulailler libre. Une époque où désillusion allait sur désillusion : une époque où lorsque je critiquais les ultra-libéraux, je mentionnais d’emblée les renflouements des banques, les subventions publiques, la politique expansionniste de la Banque Centrale. Tous ces artifices me semblaient être l’expression même de la caste libérale qui se servait de ses pouvoirs pour accroître la potentialité du pouvoir économique à écraser les plus pauvres. Les droits de succession ? Les plus pauvres seraient obligés de vendre leurs terres à des agents immobiliers. C’était forcément une injure libérale qui se cachait derrière cela.

Mes cours de sciences économiques avaient cependant amené une autre pierre à l’édifice interventionniste que je représentais : j’ai nommé le keynésianisme. Autant dire que je commençais à accumuler les mauvais actifs. Il survint cependant un remède guérissant ces stigmates étatistes, lentement mais sûrement. J’avais eu l’avantage d’avoir un enseignant hors norme dans l’éducation nationale. Très conservateur sociétalement, si je puis dire, mais très libéral sur le plan économique.

Autant dire que j’avais droit à une certaine critique des tentatives de relance en France, du protectionnisme ou de la politique de la Fed, ou que celui-ci nous parlait des Lois Hartz et de la flat tax dans les pays anciennement communistes. Un professeur un peu atypique en somme et à qui, malgré notamment nos nombreuses divergences sur le plan sociétal, je dois l’attraction que je subis progressivement vers le libéralisme. Cela ne se fit pas du jour au lendemain. Il me fallut mon année de Terminale pour me débarrasser d’une partie des pensées keynesio-marxistes qui me caractérisaient. Ainsi je considérais vers la fin de l’année scolaire la taxe à 75% comme une imbécillité, ainsi que la très grande rigidité du marché du travail français. Ce n’était pas grand-chose mais au vu de mes précédentes promenades au fin fond du socialisme, on pouvait considérer cela comme un progrès.

Après avoir passé mon bac, je commençais à m’intéresser à l’UDI, qui s’était formée depuis quelques mois. Parallèlement, il me prît l’envie de relire les programmes de chaque parti. Je vous laisse deviner ma stupeur quand je me suis aperçu que, peu ou prou, c’était les mêmes programmes. Derrière chacun d’entre eux se cachait l’État, et seul le degré auquel il se manifestait variait, encore que très peu. À cette découverte, une idée me traversa l’esprit. Je devais absolument savoir ce qu’était le libéralisme, ce qu’il était vraiment (pas ce qu’on en disait à la télévision). C’est à ce moment là que je découvris que le PLD faisait partie de l’UDI.

Il me semblait approprié donc de lire leur programme. Et le moins que je puisse dire est que j’étais choqué, plutôt dans le bon sens du terme, par ce que je lisais. Retraite par capitalisation ? Les médias parlaient tous les jours de la retraite par répartition sans proposer d’alternative. Cela me semblait être une bonne idée. En somme, j’étais relativement d’accord avec tout ce que je lisais.

J’avais cependant encore en détestation les inégalités économiques et je souhaitais que l’État les résolvent. Une personne me fit cependant remarquer que l’égalité économique était le contraire de l’égalité de droit, et qu’à vouloir des individus vivant pareillement, il fallait agir différemment avec chacun d’entre eux. En somme, chacun aurait une part inégale de sa propriété qui lui appartiendrait. Le dogme de l’égalitarisme s’envola définitivement.


Mieux connaître le libéralisme
Passons vite ma première année de Licence. Elle correspond à l’année où j’ai essayé d’approfondir mes connaissances sur le libéralisme. Je m’étais mis à lire Contrepoints, les publications de l’Ifrap, de l’Iref Europe et parfois de l’Institut Coppet et l’Institut Molinari, et je discutais régulièrement avec des libéraux sur Twitter. Je finis rapidement par me considérer comme minarchiste, c’est-à-dire que je défendais un État minimal. Mais même si la tentation d’aller plus loin me tenaillait, je voyais dans l’anarcapie un danger profond pour la liberté, et je ne comprenais pas comment certains individus en arrivaient à un tel … « extrémisme » ? Je me refusais à user de ce terme, sachant que c’était ce que les étatistes disaient des libéraux en général.

Le jour arriva cependant où je me mis à discuter avec un anarcho-capitaliste. Ma position restait la même : l’État devait gérer les fonctions régaliennes. Il essayait cependant de me convaincre que ce n’était pas nécessaire. Il sema le doute dans mon esprit et je ne savais plus que penser. Cependant, l’aboutissement de ma quête arriva lorsqu’une excellente nouvelle illumina mon quotidien. C’est à celle-ci que je dois mon arrivée à l’anarcho-capitalisme.
C’est cette personne qui me fit réaliser que le seul monde où elle méritait de vivre, c’était dans un monde de liberté. Pas un monde dépravé, enchaîné et spolié par l’État. Un monde où elle pourrait s’épanouir et ne pas avoir à se soucier de mafieux en tout genre. Un monde où celle-ci verrait que la liberté n’est pas un bien, mais un droit de l’humanité.

Désormais, je me considère avant tout comme un étudiant essayant d’approfondir ses connaissances le plus possible en la matière, en philosophie politique comme en économie dans le but de protéger l’héritage de cette déesse que nous appelons Liberté.


 
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