L'Université Libérale, vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.
On ne parle jamais assez du
libéralisme. Il est tellement caricaturé, déformé, que les libéraux
doivent s'astreindre sans cesse à le réhabiliter et, pour ce faire, à
l'expliquer. Dans cette oeuvre d'hygiène intellectuelle
indispensable, la contribution de Pascal Salin est parmi les plus
précieuses. Il avait déjà forgé des armes pour les libéraux avec
"L'Arbitraire Fiscal" (2° édition Slatkine Paris-Genève, 1996), "La
Vérité sur la Monnaie" (Odile Jacob, Paris 1990), "La Concurrence" (PUF
Que Sais-je Paris 1995), "Libre Echange et
Protectionnisme" (PUF Que Sais-je, Paris 1991). Voici qu'il nous
offre maintenant "Libéralisme", publié ces jours-ci chez Odile Jacob
(500 pages, 180 Frs).( Aleps)
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« Cette conception selon laquelle, sur la longue période, ce sont les idées (et donc les gens qui mettent en circulation les idées nouvelles) qui gouvernent l’évolution – et parallèlement la conception selon laquelle les cheminements individuels dans ce cours des choses doivent être orientés par un ensemble cohérent de concepts – ont depuis longtemps constitué une partie fondamentale du credolibéral. »
Friedrich HAYEK, La constitution de la liberté
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Nous pouvons dire avant tout de cet
ouvrage qu'il est "magistral". C'est bien un maître de la pensée
libérale qui délivre son enseignement. Le libéralisme, il le
connaît sur le bout des doigts. Dès le début de sa carrière
universitaire Pascal Salin avait créé, avec d'autres agrégatifs, le
"séminaire Jean Baptiste Say", une initiative courageuse qui
consistait à faire connaître dans les milieux universitaires
français la pensée libérale, les travaux de Hayek et de Friedman, alors
que la mode était aux idées marxistes ou keynésiennes.
Ensuite, il ne cessera de professer sa foi libérale non seulement à
Paris Dauphine, mais dans toutes les conférences internationales, ce qui
lui a valu une reconnaissance par la communauté
scientifique du monde entier, et la présidence de la très
prestigieuse Société du Mont Pèlerin fondée par Hayek et présidée par
des intellectuels aussi brillants que Milton Friedman, George
Stigler, James Buchanan, Gary Becker, tous prix Nobel d'Economie.
Hélas cette "grosse pointure" de la
science économique n'a jamais eu dans son propre pays l'écoute et la
célébrité qu'il avait ailleurs. C'est un des signes de
l'exception française. Seul le petit cénacle de l'ALEPS a reconnu
ses talents, et Pascal Salin, aujourd'hui membre du Collège
Présidentiel, a été pendant plus de dix ans Vice-Président, et assume
aujourd'hui la lourde mission de présider le Jury du Prix de la
Pensée Libérale (qui a distingué successivement Philippe Manière et
Patrick Simon). La publication de "Libéralisme" rompra sans
doute la conspiration du silence, et on va peut-être pouvoir enfin
parler et de l'auteur et du livre. Le livre est une invitation à la
réflexion en profondeur sur ce qu'est véritablement le
libéralisme. Après deux chapitres introductifs, consacrés à poser le
problème du libéralisme, et des faux nez qu'on lui fait porter en
France, viennent trois chapitres inédits sur "les Piliers du
Libéralisme". On appréciera la maîtrise de la démonstration, la
profondeur de l'analyse et l'élégance d'une langue simple et précise.
Cinq chapitres qui suivent nous
permettent de relever un certain nombre d'erreurs commises à propos du
libéralisme. L'opinion publique, notamment en France, a une
fausse idée de ce qu'est l'entreprise, le profit, le monopole et la
concurrence, la finance. Des questions d'actualité, comme la
participation, le capitalisme populaire et la privatisation, y
sont également évoqués. Des lecteurs plus intéressés par les
problèmes concrets que par la philosophie sociale ou l'analyse
économique prendront leur plaisir à la lecture des six chapitres
suivants, qui sont autant d'exemples retenus par Pascal Salin pour
expliquer ce qu'il faut et ce qu'il ne faut pas faire dans la vie
quotidienne : comment les libéraux considèrent-ils
l'immigration, l'urbanisme et la propriété immobilière, les
limitations de vitesse et la ceinture de sécurité, l'assurance maladie,
la retraite, la réglementation anti-tabac, la défense de
l'environnement ? Pascal Salin prend ici des positions que d'aucuns
qualifieront de "libertariennes", pour signifier qu'elles sont inspirées
par un libéralisme radical, sans compromission, dans
toute sa pureté. De quoi faire fuir les politiciens sans doute, mais
de quoi faire rêver les jeunes (et les moins jeunes) épris de
liberté...
Enfin, et non le moindre, l'ouvrage se termine par une prospective de l'Etat :
que fera-t-il désormais ?
Aura-t-on
tiré les leçons de l'échec généralisé de la macro-économie ?
Va-t-il
enfin se retirer de la scène économique et sociale pour
laisser jouer les individus ?
Va-t-il enfin cesser de spolier les
Français par une fiscalité aussi ruineuse qu'arbitraire ?
Il y sera sans
doute contraint par la mondialisation, et il est
souhaitable que le libre-échange mondial poursuive sur sa lancée au
lieu d'envisager des replâtrages comme les veulent certains dirigeants
européens, trop aveugles pour ne pas avoir compris
l'erreur de l'euro. A votre réflexion, parce qu'il y a là un bon
échantillon des plus belles pages de cet ouvrage, et parce que ce sont
deux conclusions majeures de Pascal Salin, nous livrons
deux passages : l'un se rapporte aux perspectives de la
mondialisation, l'autre aux exigences de la liberté.
NATIONALISME (pp. 489-490) :
Et comment pourrait-il y avoir des objectifs " nationaux " indépendamment des objectifs individuels ?
Pour un libéral, l'appartenance d'un individu à une collectivité quelconque, qu'elle soit nationale, religieuse, culturelle ou sportive, si elle est importante pour l'individu concerné, ne concerne pas l'observateur extérieur. Un "étranger" a autant de vaIeur qu'un concitoyen et la liberté d'entrer en contact avec lui pour échanger des biens, des idées, des signes d'amitié, doit être préservée aussi rigoureusement que la liberté d'entrer en contact avec un concitoyen. Aucune vertu particulière, aucune valeur supérieure ne peut être accordée à un individu ou à une activité du fait qu'ils portent le label "national". Il n'y a pas de différence de nature entre l'échange intra-national et l'échange inter-national, car l'échange se fait toujours entre des individus et le fait qu'ils se trouvent sur le même territoire national ou sur d'autres territoires nationaux n'a strictement aucune importance. Pour un libéral le nationalisme n'est donc pas compréhensible, mais la nation l'est, parce que les communautés humaines existent et sont des faits sociaux concrets. Une nation est en effet une réalité immatérielle qui résulte d'un sentiment d'appartenance à une même communauté - forgée par l'Histoire, la langue, les coutumes - et l'existence de ce sentiment dans les consciences d'un certain nombre de personnes constitue la nation comme un réseau de relations interpersonnelles. I1 n'est donc pas question de nier la nation en tant qu'objet de perception, mais de rejeter la prétention à ériger la nation en une entité abstraite ayant ses propres exigences, sa propre volonté, ses propres fins ; de rejeter aussi la "nationalisation de la nation" par l'Etat, c'est-à-dire sa prétention à représenter la nation, à parler et à agir en son nom, car il est illégitime de monopoliser des sentiments d'appartenance. L'État-nation, caractéristique des sociétés modernes, est par nature incompatible avec une société de liberté individuelle. C'est pour cette raison profonde que la mondialisation, si elle contribuait effectivement à la destruction des Etats-nations, serait un bienfait pour l'humanité. Les politiques d'intégration régionale sur tous les continents doivent alors étre considérées non pas comme des progrès, mais plutôt comme des réponses à l'éclatement inéluctable des frontières étatiques et comme des efforts pour retarder une véritable mondialisation et la disparition des Etats-nations".
NATIONALISME (pp. 489-490) :
"Qu'il s'agisse de monnaie, d'échanges commerciaux ou d'immigration (comme nous l'avons vu précédemment), on est confronté à un conflit majeur, celui qui oppose la liberté des personnes à la prétention des États de décider de ce qui est censé étre bon pour la "nation".Or, qu'est-ce que la nation, si ce n'est un ensemble d'hommes et de femmes ?
Et comment pourrait-il y avoir des objectifs " nationaux " indépendamment des objectifs individuels ?
Pour un libéral, l'appartenance d'un individu à une collectivité quelconque, qu'elle soit nationale, religieuse, culturelle ou sportive, si elle est importante pour l'individu concerné, ne concerne pas l'observateur extérieur. Un "étranger" a autant de vaIeur qu'un concitoyen et la liberté d'entrer en contact avec lui pour échanger des biens, des idées, des signes d'amitié, doit être préservée aussi rigoureusement que la liberté d'entrer en contact avec un concitoyen. Aucune vertu particulière, aucune valeur supérieure ne peut être accordée à un individu ou à une activité du fait qu'ils portent le label "national". Il n'y a pas de différence de nature entre l'échange intra-national et l'échange inter-national, car l'échange se fait toujours entre des individus et le fait qu'ils se trouvent sur le même territoire national ou sur d'autres territoires nationaux n'a strictement aucune importance. Pour un libéral le nationalisme n'est donc pas compréhensible, mais la nation l'est, parce que les communautés humaines existent et sont des faits sociaux concrets. Une nation est en effet une réalité immatérielle qui résulte d'un sentiment d'appartenance à une même communauté - forgée par l'Histoire, la langue, les coutumes - et l'existence de ce sentiment dans les consciences d'un certain nombre de personnes constitue la nation comme un réseau de relations interpersonnelles. I1 n'est donc pas question de nier la nation en tant qu'objet de perception, mais de rejeter la prétention à ériger la nation en une entité abstraite ayant ses propres exigences, sa propre volonté, ses propres fins ; de rejeter aussi la "nationalisation de la nation" par l'Etat, c'est-à-dire sa prétention à représenter la nation, à parler et à agir en son nom, car il est illégitime de monopoliser des sentiments d'appartenance. L'État-nation, caractéristique des sociétés modernes, est par nature incompatible avec une société de liberté individuelle. C'est pour cette raison profonde que la mondialisation, si elle contribuait effectivement à la destruction des Etats-nations, serait un bienfait pour l'humanité. Les politiques d'intégration régionale sur tous les continents doivent alors étre considérées non pas comme des progrès, mais plutôt comme des réponses à l'éclatement inéluctable des frontières étatiques et comme des efforts pour retarder une véritable mondialisation et la disparition des Etats-nations".
L'économiste Pascal Salin rappelle au journaliste Jean-François Kahn que le libéralisme n'a jamais été tenté en France, pays qui reste très attaché à son État obèse.
Le Monde : La voie libérale n'a jamais été essayée en France
http://www.lemonde.fr/idees/article/2...
DU COURAGE POUR ETRE LIBÉRAL (p. 500)
: "On ne peut pas vouloir une chose et son contraire, on ne peut pas
proclamer la liberté et accepter l'esclavage. Rechercher
une troisième voie mythique entre le collectivisme et
l'individualisme, se prétendre tolérant parce qu'on admet les compromis,
ce n'est pas seulement un manque de lucidité c'est une véritable
trahison. Il faut du courage pour être libre, mais il faut aussi du
courage pour être libéral dans ce monde de fausses valeurs, d'alibis
douteux, de compromis idéologiques, de mimétisme
intellectuel et de démagogie politicienne où l'humanisme libéral est
ignoré, déformé, caricaturé jusqu'à la haine. Dans l'ouragan
idéologique qui a balayé le XXème siècle et où nazisme,
communisme, mais aussi social-démocratie ont failli faire périr
l'idée éternelle et universelle de la liberté individuelle, c'est
l'honneur de quelques hommes, de quelques grands penseurs d'avoir
pris le risque intellectuel et personnel de sauver cette idée, de la
développer, d'en rechercher sans relâche les implications, de la
diffuser.
Au-delà, bien au-delà des simples
recettes économiques, elle rencontre l'adhésion d'un nombre croissant
d'hommes et de femmes de talent, de jeunes surtout, lassés
du conformisme de leur époque. Ils découvrent, ils redécouvrent que
l'humanisme n'est pas mort et que l'humanisme ne peut avoir d'autre
visage que celui du libéralisme.
Autres critiques:
Que
vous soyez pour ou contre, de droite ou de gauche, vous croyez tout
savoir sur le libéralisme, "sauvage" pour les uns,
"salutaire" pour les autres. Mais pourquoi faut-il supprimer la
législation sur la concurrence, instaurer la liberté d’immigration,
supprimer le monopole de la Sécurité sociale ou encore recourir
aux privatisations pour résoudre les problèmes écologiques ?
Pourquoi l’euro n’est-il pas une invention libérale ? Pourquoi la
mondialisation est-elle préférable à l’intégration régionale ?
Pourquoi la politique de stabilisation est-elle une source
d’instabilité économique ? Une réévaluation en profondeur de la pensée
libérale ; une contribution iconoclaste aux débats sur les
principes et la philosophie qui doivent nous guider. Et si le
libéralisme, fort des trois principes que sont la liberté, la propriété,
la responsabilité, était le véritable humanisme, la seule
vraie utopie réaliste qui autorise la plus belle des espérances pour
notre temps : la confiance optimiste dans l’individu ?
Pascal Salin
De Wikiberal
Pascal Salin (né le 16 mai 1939
à Paris) est un économiste et philosophe français, professeur à
l'université de Paris IX Dauphine, spécialiste de la finance publique et
ancien président de la Société du Mont-Pèlerin (1994-1996), succédant à Max Hartwell et cédant sa place à Edwin J. Feulner. Libéral et scientifique, il a également fait partie du bureau éditorial du Journal of Libertarian Studies.
Après des études à la faculté de droit de Bordeaux, il effectue un
cursus en économie à Paris, en parallèle à l'Institut d'études
politiques de Paris. Diplômé de Sciences Po, il obtient un doctorat en
économie ainsi qu'une licence de sociologie. Il passe parallèlement
l'agrégation d'économie[1].
Il commence par être assistant universitaire à Paris entre 1961 à 1966, alors qu'il n'a que 22 ans. Puis il devient maitre de conférences à l'université de Poitiers et Nantes. En 1970, il rejoint comme professeur d'université l'université de Paris IX Dauphine[1]. Il y enseigne encore aujourd'hui. Il dirige le Centre de Recherche en Théorie Economique Jean-Baptiste Say[2], auquel a collaboré avec Georges Lane ou Alain Wolfelsperger. Il a compté parmi ses élèves François Guillaumat, alors doctorant, Philippe Lacoude, Bertrand Lemennicier, Cécile Philippe, Véronique de Rugy ou Frédéric Sautet.
Il a depuis travaillé comme consultant, notamment, pour service d’études du Fonds monétaire international (FMI), le gouvernement du Niger, l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), et le Harvard Institute for International Development.
Entre 1994 et 1996, il préside la Société du Mont-Pèlerin, une organisation internationale fondée par Friedrich Hayek en 1947 et composée d'économistes, d'intellectuels et d'hommes politiques réunis pour promouvoir le libéralisme. Il a également exercé des responsabilités importantes au sein de l'Aleps.
Chevalier de la Légion d'honneur, il est également chevalier des Arts et des Lettres et officiers des Palmes académiques. Il a reçu le Prix renaissance de l'économie en 1986.
D'inspiration libérale et libertarienne, son œuvre marche dans les traces de la tradition autrichienne : Frédéric Bastiat, Ludwig von Mises et Friedrich Hayek. Il défend généralement des positions minarchistes ou anarcho-capitalistes. Ainsi, dans Libéralisme (2000), il écrit sur l'État : « L'État n'a aucune justification morale ni scientifique, mais (...) constitue le pur produit de l'émergence de la violence dans les sociétés humaines ». A propos de l'impôt il déclare : « Prélevé en fonction d'une norme décidée par les détenteurs du pouvoir étatique, sans respect de la personnalité de chacun, l'impôt pénalise la prise de risque et est foncièrement esclavagiste, allant à l'encontre de son but recherché, bafouant les droits fondamentaux de l'être humain et la propriété de l'individu »[3].
Il contribue régulièrement au Québécois Libre. Il a pris position en faveur du projet de directive sur la libéralisation des services dans l'Union européenne (directive Bolkestein) et en défaveur du Traité de Rome de 2004.
Il commence par être assistant universitaire à Paris entre 1961 à 1966, alors qu'il n'a que 22 ans. Puis il devient maitre de conférences à l'université de Poitiers et Nantes. En 1970, il rejoint comme professeur d'université l'université de Paris IX Dauphine[1]. Il y enseigne encore aujourd'hui. Il dirige le Centre de Recherche en Théorie Economique Jean-Baptiste Say[2], auquel a collaboré avec Georges Lane ou Alain Wolfelsperger. Il a compté parmi ses élèves François Guillaumat, alors doctorant, Philippe Lacoude, Bertrand Lemennicier, Cécile Philippe, Véronique de Rugy ou Frédéric Sautet.
Il a depuis travaillé comme consultant, notamment, pour service d’études du Fonds monétaire international (FMI), le gouvernement du Niger, l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), et le Harvard Institute for International Development.
Entre 1994 et 1996, il préside la Société du Mont-Pèlerin, une organisation internationale fondée par Friedrich Hayek en 1947 et composée d'économistes, d'intellectuels et d'hommes politiques réunis pour promouvoir le libéralisme. Il a également exercé des responsabilités importantes au sein de l'Aleps.
Chevalier de la Légion d'honneur, il est également chevalier des Arts et des Lettres et officiers des Palmes académiques. Il a reçu le Prix renaissance de l'économie en 1986.
Travaux et prises de position
Il a effectué de nombreux travaux dans le champ de la finance publique ou sur les questions monétaires. Il défend en particulier le système de réserves fractionnaires.D'inspiration libérale et libertarienne, son œuvre marche dans les traces de la tradition autrichienne : Frédéric Bastiat, Ludwig von Mises et Friedrich Hayek. Il défend généralement des positions minarchistes ou anarcho-capitalistes. Ainsi, dans Libéralisme (2000), il écrit sur l'État : « L'État n'a aucune justification morale ni scientifique, mais (...) constitue le pur produit de l'émergence de la violence dans les sociétés humaines ». A propos de l'impôt il déclare : « Prélevé en fonction d'une norme décidée par les détenteurs du pouvoir étatique, sans respect de la personnalité de chacun, l'impôt pénalise la prise de risque et est foncièrement esclavagiste, allant à l'encontre de son but recherché, bafouant les droits fondamentaux de l'être humain et la propriété de l'individu »[3].
Il contribue régulièrement au Québécois Libre. Il a pris position en faveur du projet de directive sur la libéralisation des services dans l'Union européenne (directive Bolkestein) et en défaveur du Traité de Rome de 2004.
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