Voici un monument NAZI (Socialisme National) avec les mots de l'abominable Hitler lui-même. Traduction :
"Je suis SOCIALISTE parce qu'il me paraît incompréhensible de soigner et d'entretenir une machine (outil) avec attention, tout en laissant mourir le plus noble représentant du travail (l'ouvrier) : l'humain lui-même."
Cela pourrait être un discours de Jean-Luc Mélenchon !
Et n'oubliez pas de vous renseigner sur Benito Mussolini, ce socialiste pur et dur, d'extrême gauche même ! Benito Mussolini, souvent vénéré ou vilipendé pour son rôle dans l'histoire en tant que dictateur fasciste, a commencé sa carrière politique comme socialiste convaincu.
L'Éveil Socialiste:
Mussolini est né en 1883, dans une famille d'ouvriers italiens. Son père, forgeron et socialiste fervent, influença profondément ses idées politiques. Benito, du nom de Benito Juárez, un leader révolutionnaire mexicain, fut élevé dans une atmosphère d'idéaux socialistes et républicains. Ce contexte familial planta les graines de son engagement politique socialiste précoce.
La Carrière de Journaliste Socialiste !
En 1912, Mussolini devint rédacteur en chef du journal socialiste "Avanti!", le quotidien officiel du Parti socialiste italien (PSI). Sa plume acerbe et sa rhétorique le propulsèrent rapidement au centre du mouvement socialiste italien. Mussolini prônait alors des idées marxistes, critiquant vivement le capitalisme et appelant à la révolution prolétarienne. Son influence grandissante au sein du PSI témoigne de son dévouement initial aux principes socialistes.
La Naissance du Fascisme:
Après la guerre, Mussolini fonda les Faisceaux italiens de combat en 1919, qui évoluèrent en Parti national fasciste en 1921. Il fusionna des éléments du nationalisme, du SYNDICALISME et du SOCIALISME pour créer une nouvelle idéologie. Bien que son régime fût anti-communiste, il conserva certaines idées socialistes comme l'interventionnisme étatique dans l'économie et le corporatisme.
La Réalité du Socialisme Mussolinien:
Ce parcours démontre que Mussolini n'a jamais véritablement renié ses racines socialistes. Son régime totalitaire fut une fusion perverse de socialisme d'État et de nationalisme extrême. En effet, les politiques économiques de Mussolini, telles que la création de l'Institut pour la Reconstruction Industrielle (IRI) et l'étatisation des industries clés, rappellent les pratiques des régimes socialistes.
Conclusion:
L'histoire de Mussolini est un exemple frappant des dangers du socialisme lorsqu'il est couplé à l'ambition personnelle et à l'opportunisme politique. Ses débuts en tant que fervent socialiste et son évolution vers le fascisme démontrent la flexibilité hypocrite des idéologues socialistes lorsqu'ils cherchent le pouvoir à tout prix. Il est crucial de rappeler cette histoire pour souligner les risques de la centralisation du pouvoir et des politiques étatiques omniprésentes, caractéristiques des idéologies socialistes.
Soit : LE FASCISME et le NAZISME viennent TOUJOURS de la GAUCHE !
Il n'y a qu'à voir comment la gauche actuelle est devenue autoritaire, violente, intolérante, bigote, antirépublicaine, rigide et antisémite ! Et en plus elle s'allie avec les pires idéologies machistes, religieuses totalitaires, patriarcales et rétrogrades : l'Islam !
Petite lecture:
« Le communisme, c’est le nazisme, le mensonge en plus. »
RépondreSupprimer- Jean-François Revel, Le Figaro Magazine, 12 février 2000
● « Staline faisait peur à tout le monde et en particulier aux communistes russes, mais non aux intellectuels français, qui n’avaient peur de rien. Tous ceux, ou presque tous ceux qui ne s’étaient pas déclarés pour Hitler, se dévouèrent à Staline, non pas malgré, mais en raison de son despotisme : le totalitarisme est la tentation permanente des intelligences à la recherche d’un absolu de remplacement. Rien de ce que l’on savait des camps sibériens, des procès de Moscou, des méthodes du dictateur et de la nature pénitentiaire du système ne pouvait les détourner de leurs dévotions, dont ils ne se relevaient que pour ironiser sur « l’anticommunisme primaire » ou « viscéral » de la bourgeoisie, qui leur paraissait la chose la plus risible du monde. » (André Frossard, La France en général, Plon, 1975, p 190).
C'est une tactique constante de l'extrême gauche d'accuser ceux qui leur déplaisent d'être "d'extrême droite". Ceux qui sont ainsi accusés perdent leur temps à s'en défendre. Même si l'accusation est mensongère...
"Traitez vos adversaires de fascistes. Pendant qu'ils se justifieront, vous pourrez leur porter de nouveaux coups" (Staline). Jean-François Revel qualifiait de "stalinisme élargi" la "nouvelle censure" en démocratie. Incarnée par le "Front républicain" - des bien pensants, le cordon sanitaire "démocratique" enferme dans la fachosphère ceux qui n'obt pas l'heur de suivre la ligne du parti...
"Les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux"... (Brassens)
● « Le seul concept de modernité a remplacé toute réflexion sur le fait de savoir si telle ou telle idée est juste ou non, vraie ou non. Les grands maîtres du discours médiatique dominant sont des anciens partisans de l’idéologie marxiste aujourd’hui effondrée. Depuis cet effondrement, ils ne croient plus en rien, et se rabattent sur le seul critère de la modernité. C’est ainsi qu’est apparue cette pensée unique qui se love sur le lit du courant de l’époque, autrement dit sur le sens du vent. C’est de là que découle la dictature du doigt mouillé. » (Jean-François Kahn, dans La pensée unique, Le vrai procès, Jean-Marc Chardon et Denis Lensel éditeurs, Economica, 1998, p 50).
"Ils ne croient plus en rien"... eux qui ont tout gobé!
De "Jouissez sans entraves" à "sortez couverts!" ✌️