octobre 09, 2025

Loft Matignon 2: Le "Bicorne" et ses futurs mystérieux ministres !

Loft Matignon : quand les ministres se font éjecter plus vite que Loana ! 


Rions un peu ! (quoi que…)

Ah, la France ! Terre de fromages, de vins fins et, depuis 2024, de gouvernements éphémères qui font passer les relations amoureuses des adolescents pour des mariages solides. Imaginez un peu : nous voilà en octobre 2025, et la saga « à la recherche d’un gouvernement perdu » – clin d’œil proustien bien mérité – atteint des sommets d’absurdité dignes d’un sketch des Monty Python. Emmanuel Macron, notre président stratège, joue aux chaises musicales avec Matignon comme si c’était un jeu de société pour enfants hyperactifs.

 


 

Et le dernier épisode ? Sébastien Lecornu, nommé Premier ministre le 9 septembre, forme un gouvernement le 5 octobre, démissionne le 6, voit sa démission acceptée le même jour par la Présidence… puis se voit rappelé « à l’essai » pour 48 heures, comme un stagiaire en période d’essai chez un patron indécis.

Résultat ? Il repart bredouille, laissant le pays en suspens budgétaire.

Ubuesque, dites-vous ? C’est un euphémisme ! C’est du théâtre de l’absurde où Alfred Jarry rencontrerait Kafka dans un café parisien. Et si on y pense bien, cette pagaille politique ressemble furieusement à ces reliques de la télé-réalité française des années 2000, comme « Loft Story » ou « La Ferme Célébrités » – des émissions absolument débiles qui ont captivé des millions de téléspectateurs en transformant des anonymes ou des has-been en stars éphémères, tout en exposant leur ridicule au grand jour.


 

Parce que franchement, quoi de mieux pour illustrer le chaos actuel que ces concepts où des gens sont enfermés, observés, et éliminés au gré des caprices du public… ou du président ?

Commençons par le casting : Macron, le metteur en scène omniprésent, qui nomme, accepte les démissions, puis prolonge les intérims comme s’il gérait un abonnement Netflix. Lecornu, le pauvre, passe de fidèle macroniste à pantin démissionnaire en un claquement de doigts. « Je remets ma démission », dit-il le 6 octobre. « Acceptée ! », répond l’Élysée. Puis, revirement : « Reste un peu, on va négocier. » Et hop, 48 heures de consultations frénétiques avec des partis qui se haïssent cordialement – Les Républicains qui grincent des dents, le PS qui tergiverse, LFI qui crie au scandale, et le RN qui rit sous cape en attendant son tour. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur pour un jour, convoque une réunion d’urgence chez LR comme si c’était une urgence vitale. Et Bruno Le Maire ? Il propose de se retirer pour « apaiser », avant de se raviser. On croirait une téléréalité : « Qui survivra à Matignon ? » D’ailleurs, ça évoque irrésistiblement « Loft Story », cette pionnière de la télé-réalité lancée en 2001 sur M6, où 11 célibataires étaient enfermés dans un loft high-tech, filmés 24/7 par des caméras intrusives (sauf aux toilettes, merci le CSA), avec pour mission de former des couples improbables sous l’œil voyeur du public. Les candidats, comme nos ministres, entraient pleins d’espoir, se disputaient pour des broutilles, et se faisaient éjecter un par un via des votes populaires – un peu comme Bayrou, Barnier ou Lecornu se font virer de Matignon après des alliances foireuses. Sauf que dans « Loft Story », au moins, il y avait des piscines et des buzzers pour des confessions croustillantes ; à l’Élysée, on se contente de communiqués laconiques et de fuites dans la presse.


Pendant ce temps, le pays réel attend. Le budget 2025 ? Reporté sine die, reconduisant automatiquement celui de 2024 – une aubaine pour les comptables paresseux ! Le déficit explose à -142 milliards d’euros, la croissance patine à 0,6%, et la dette grimpe comme un alpiniste dopé. Les manifestations du 10 septembre ont donné le ton : « ras-le-bol général » contre l’austérité, la pauvreté record et un pouvoir d’achat en berne. Mais non, nos élites préfèrent les intrigues de palais. Des rumeurs folles circulent : un référendum sur la proportionnelle, des élections anticipées, un gouvernement « technique » avec des figures de la société civile

pourquoi pas nommer Cyril Hanouna Premier ministre tant qu’on y est ? Après tout, il sait gérer les débats houleux sur C8…

Et pour couronner le tout, imaginez nos politiciens transposés dans « La Ferme Célébrités », cette autre perle de la télé-réalité diffusée sur TF1 dès 2004, où des célébrités oubliées ou en quête de buzz étaient larguées dans une ferme rustique à Visan (Vaucluse), obligées de traire des vaches, nourrir des poules et dormir sur de la paille, tout en se disputant pour des tâches agricoles ridicules sous l’œil goguenard des animateurs comme Christophe Dechavanne. Les « célébrités » – souvent des has-been comme nos partis moribonds – devaient survivre aux nominations et aux votes du public, transformant leur ego en compost pour l’audimat. Aujourd’hui, nos députés et ministres font pareil : ils « gèrent » le pays comme une ferme en faillite, avec des alliances aussi stables que des poulaillers sous la tempête, et des réformes qui sentent le fumier. Au moins, dans l’émission, il y avait des animaux mignons et des victoires hebdomadaires ; en France 2025, on a juste des déficits et des motions de censure.

 

Et que dire des oppositions ? Mathilde Panot de LFI appelle au « départ d’Emmanuel Macron » comme si c’était une évidence et qu’il allait obtempérer, pendant que 70% des Français, selon les sondages, rêvent de sa démission. Les appels à la destitution fusent, mais rien n’y fait. Macron joue la montre jusqu’en 2027, menaçant d’une dissolution pour forcer les alliances. Résultat : une Assemblée nationale bloquée, où NFP, macronistes, LR et RN se neutralisent comme dans un embouteillage géant où chaque voiture bloque l’autre sans que le trafic avance d’un pouce. C’est beau, la démocratie française : un système où personne ne gagne, mais tout le monde perd du temps et de l’argent public. Et parlons du RN, ces champions du « renvoyons les Français aux urnes » – mais attention, ils restent délicieusement flous sur le type d’urnes en question. Législatives pour rafler la mise à l’Assemblée ? Ou présidentielles, qu’ils semblent vouloir éviter comme la peste, peut-être parce que Marine Le Pen traîne une inéligibilité embarrassante due à ses petites affaires judiciaires ? Ah, le suspense est insoutenable, et si pratique pour esquiver les vraies questions ! Tout ça, c’est du pain béni pour une comparaison avec ces émissions : dans « Loft Story » ou « La Ferme », les candidats simulaient des drames pour l’audience, tout comme nos oppositions théâtralisent leurs indignations pour les caméras de BFM. Les Français, eux, zappent d’une chaîne à l’autre, votant avec leur télécommande – ou leurs bulletins, quand on les laisse voter.

 

En conclusion, au milieu de ce chaos intérieur où même former un gouvernement stable relève de l’exploit herculéen, on en vient à se demander comment la France pourrait sérieusement envisager des aventures belliqueuses grandioses. Avec un budget en lambeaux, une dette qui s’envole et un exécutif qui vacille plus qu’un château de cartes sous une brise légère, la nation semble à peine capable de gérer ses propres affaires courantes – imaginez alors défier des puissances comme la Russie ! Non, dans cet état de désarroi permanent, la France n’aurait même pas les moyens de faire la guerre au Liechtenstein ou au Vatican, ces micro-États pacifiques qui pourraient bien rire de nos ambitions jupitériennes avortées.

Pendant que Matignon fait du yo-yo, nos hôpitaux manquent de lits, nos écoles de profs, et nos routes de bitume. La croissance stagne, l’inflation grignote les salaires, et le climat social bouillonne avec des grèves en vue.


Outre-Rhin, la presse tire à boulets rouges sur Emmanuel Macron, jugé principal responsable de la crise politique hexagonale. →https://l.lefigaro.fr/VtGS

 

Prétendre défier Vladimir Poutine avec des Mirage et des discours belliqueux ? Allons ! Avec un gouvernement qui change plus souvent que les modes à la Fashion Week, la France serait bien avisée de balayer devant sa porte avant de menacer les steppes russes. Peut-être qu’au lieu d’envoyer des armes en Ukraine, on devrait exporter notre expertise en chaises musicales – là, au moins, on maîtrise à la perfection. Et si on transformait l’Élysée en un nouveau « Loft Story » ou une « Ferme Célébrités » ? Au moins, les Français pourraient voter par SMS pour éliminer les ministres incompétents – ce serait plus démocratique que ce cirque actuel, et bien plus divertissant. Vive la République… en intérim !

PS : on me souffle dans l’oreillette, que tout cela pourrait être provoqué par les Russes, mais chut ! 

https://multipol360.com/loft-matignon-quand-les-ministres-se-font-ejecter-plus-vite-que-loana/ 

 


 

Pouvons-nous encore rire de tout aujourd’hui - L'humour ?

 


Loft Matignon saison 2 : Lecornu remet le couvert, Macron relance l’abonnement Netflix ! 

Ah, la France éternelle ! Terre de révolutions, de fromages affinés et, depuis 2024, de gouvernements qui se font et se défont plus vite qu’un couple de Loft Story après une dispute pour la télécommande. Si vous pensiez que la première saison de Loft Matignon s’était achevée sur un cliffhanger avec la démission éclair de Sébastien Lecornu, détrompez-vous : Emmanuel Macron, ce maître des rebondissements scénaristiques, vient de lancer la Saison 2 ! Et devinez qui reprend le rôle principal ? Lecornu lui-même, rappelé comme un vieux candidat recyclé pour booster les audiences. Rions un peu (quoi que…), car ce nouveau chapitre promet plus de revirements que Koh-Lanta sous une tempête tropicale.


Le retour du héros (ou du stagiaire éternel) : chronologie d’un come-back absurde

Rappelons les faits pour les téléspectateurs qui auraient zappé : en septembre 2025, Macron nomme Lecornu Premier ministre, comme on engage un intérimaire pour boucher un trou dans l’organigramme. Le 5 octobre, miracle, un gouvernement est formé – un assemblage hétéroclite de macronistes, de LR et de quelques invités surprises, digne d’une alliance forcée dans La Ferme Célébrités. Mais le lendemain, patatras ! Lecornu remet sa démission, acceptée dans la foulée par l’Élysée. Puis, revirement : Macron le garde « à l’essai » pour 48 heures de négociations ultimes, comme si Matignon était un job en CDD prolongeable par SMS. Résultat ? Bredouille, Lecornu repart, laissant le pays en suspens budgétaire, avec un déficit abyssal et des grèves en vue.

Et voilà que, le 10 octobre 2025, le compte officiel du gouvernement tweete triomphalement : « Le Président de la République a nommé Sébastien Lecornu Premier ministre, et l’a chargé de former un Gouvernement. » Accompagné d’une photo solennelle avec drapeaux français et européen en fond, et le slogan « Saison 2 ! » comme si on relançait une série Netflix. Les réactions fusent : un internaute imagine la « passation de pouvoirs » avec une image hilarante d’un Lecornu auto-congratulant ; un autre soutient le community manager « atterré » qui poste ça un vendredi soir pour que ça tienne au moins le week-end ; un troisième prédit que « c’est bien, au moins on a un premier ministre qui tient parole… pour 48 heures ». Même les écoliers futurs sont plaints, bégayant sur la chronologie des Premiers ministres des années 2020. Et un twittos résume : « Pour résumer, c’est un gouvernement bis cornu… » – jeu de mots inclus.

C’est du grand art télévisuel : Lecornu, fidèle macroniste, passe de pantin démissionnaire à héros rappelé, comme Loana revenue dans Les Anges de la Télé-Réalité pour un come-back inattendu. Les négociations ? Un sketch où Les Républicains grincent des dents, le PS tergiverse, LFI crie au scandale, et le RN rit sous cape en attendant son tour. Marine Le Pen, avec ses « petites affaires judiciaires », reste en coulisses, inéligible pour l’instant. Quant à Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur éphémère, il convoque des réunions d’urgence comme un coach paniqué. Et Bruno Le Maire ? Il propose de se retirer pour « apaiser », puis se ravise – typique d’un candidat qui tease son élimination pour rester dans le jeu.

Matignon, le Loft high-tech : alliances foireuses et éjections express

Dans cette Saison 2, Matignon reste ce loft high-tech où les « candidats » – ministres et députés – sont enfermés, filmés 24/7 (sauf aux toilettes, merci le CSA), et éjectés par votes populaires… ou plutôt par caprices présidentiels. Les alliances ? Des couples improbables, comme dans Loft Story : macronistes et LR se font les yeux doux un jour, se disputent le lendemain sur le budget. Imaginez : Lecornu en « Loana 2.0 », entrant en fanfare, formant des duos improbables, puis éjecté avant même le prime time. Et Macron ? L’animateur omniprésent, prolongeant les intérims comme un patron indécis avec son stagiaire. Les oppositions théâtralisent pour les caméras de BFM : Mathilde Panot (LFI) appelle au « départ d’Emmanuel Macron » comme une évidence, tandis que le public – nous, les Français – zappe d’une chaîne à l’autre, votant avec nos bulletins quand on nous laisse voter.

C’est ubuesque, un euphémisme ! Du théâtre de l’absurde où Alfred Jarry rencontrerait Kafka dans un poulailler sous la tempête. Les négociations ressemblent à un épisode de La Ferme Célébrités : tâches ridicules (négocier un budget en déficit de -142 milliards), ego transformés en compost, et éliminations par « votes du public » – ou plutôt par blocages à l’Assemblée, où NFP, macronistes, LR et RN se neutralisent mutuellement comme dans un embouteillage géant.

Les conséquences : un cirque qui masque les vrais drames

Pendant ce spectacle, la France réelle attend : budget 2025 reporté sine die, croissance à 0,6%, dette galopante, manifestations contre l’austérité et la pauvreté. 70% des Français réclament la démission de Macron, selon les sondages – un plébiscite pour une éjection présidentielle ? Rumeurs folles : référendum sur la proportionnelle, élections anticipées, gouvernement « technique »… Ou pourquoi pas Cyril Hanouna comme PM, pour gérer les débats houleux avec des buzzers pour confessions croustillantes ?

Et sur la scène internationale ? Comment défier la Russie ou envoyer des Mirage en Ukraine quand on ne peut même pas former un gouvernement stable ? C’est du pain béni pour l’audimat mondial, mais une farce pour la souveraineté. On me souffle dans l’oreillette que tout cela pourrait être provoqué par les Russes, mais chut !

Conclusion : Vive la République… en intérim !

Avec cette Saison 2, Loft Matignon confirme son statut de saga addictive : qui survivra cette fois ? Lecornu tiendra-t-il plus de 48 heures ? Macron dissoudra-t-il l’Assemblée pour un reboot total ?

Une idée : transformons l’Élysée en vraie télé-réalité, avec votes par SMS pour éjecter les incompétents. Au moins, les Français auraient le dernier mot – et des recettes publicitaires pour combler le déficit !

En attendant, exportons notre expertise en chaises musicales : la France, championne du monde des gouvernements express. Vive la République… en intérim !

PS : toute ressemblance avec un article précédent, n’est que le copier-coller de ce que nous font vivre nos « zélites » politiques…

 https://multipol360.com/loft-matignon-saison-2-lecornu-remet-le-couvert-macron-relance-labonnement-netflix/


 

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