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octobre 10, 2025

Comment pourrions-nous penser que notre armée puisse demander la démission de leur propre chef d'État ?

Des anciens militaires somment Macron de démissionner dans une lettre ouverte explosive 

Dans un contexte de crise politique aiguë en France, marquée par la démission récente du Premier ministre Sébastien Lecornu le 7 octobre 2025,

une lettre ouverte publiée le 9 octobre par l’association Place d’Armes appelle explicitement le président Emmanuel Macron à quitter ses fonctions.

Signée par des anciens militaires (Sous-officiers, Officiers, Officiers généraux) et relayée par le média France Soir, cette missive dénonce un « délitement » de la France sous les deux mandats du chef de l’État et invoque un risque de « révolte » si rien ne change.

 

 

Le contenu accablant de la lettre

Adressée directement à « Monsieur le Président », la lettre, disponible sur le site de Place d’Armes, dresse un bilan sévère des politiques menées depuis 2017. Les auteurs, se présentant comme des « anciens de l’Armée » animés par un « amour de la France », citent le « Code du soldat » pour justifier leur intervention. Ils affirment que la démission de Macron est « devenue nécessaire » pour éviter que « la révolte n’anéantisse ce qui reste de notre Patrie ».

Parmi les griefs principaux :

Désaffection populaire : Selon un sondage d’octobre 2025, 70 % des Français souhaitent la démission du président, contre seulement 15 % de satisfaits. Les auteurs parlent d’un « peuple français [qui] vous méprise ».

Économie et société : Ils pointent une pauvreté touchant 15,4 % de la population (un Français sur six), un chômage à 7,4 % (supérieur à la moyenne européenne), une dette publique de 3.400 milliards d’euros (50.000 euros par habitant), et des prélèvements obligatoires à 46,1 % du PIB, plaçant la France en tête de l’OCDE. L’éducation est aussi critiquée, avec une chute dans les classements PISA.

Sécurité et immigration : La lettre évoque 500.000 entrées d’étrangers en 2022, totalisant 4 millions depuis 2017, et une délinquance en hausse : 120 attaques au couteau par jour, 23 agressions quotidiennes contre les forces de l’ordre, 50.000 voitures brûlées annuellement, et un chiffre d’affaires de 7 milliards d’euros pour le trafic de drogue. Les homicides auraient augmenté de 59 % entre 2018 et 2024, avec une surreprésentation d’étrangers dans les vols violents en Île-de-France.

Souveraineté et armée : Les signataires dénoncent un abandon à l’Union européenne, qualifiée d’ « entité fallacieuse », et une armée « peu nombreuse et mal équipée ». Ils citent le général Pierre de Villiers et notent des retraits militaires en Afrique, ainsi qu’un risque de « conflit nucléaire majeur ».

La lettre est signée par Jean-Pierre Fabre-Bernadac, président d’honneur de Place d’Armes, une association de militaires retraités connue pour ses positions souverainistes et critiques envers l’immigration.


 Un écho à des initiatives passées

Cette lettre n’est pas isolée. Elle fait écho à la « tribune des généraux » de 2021, publiée initialement sur Place d’Armes et relayée par Valeurs Actuelles, qui dénonçait déjà l’islamisme et le risque de guerre civile. À l’époque, elle avait provoqué un tollé : sanctions pour violation du devoir de réserve, accusations de sédition de la part de la gauche, et soutien de Marine Le Pen. Une autre missive en 2023 appelait à l’ « union sacrée » contre le déclassement de la France.

Place d’Armes se positionne comme un espace pour les voix patriotiques au sein de la communauté militaire, souvent en opposition aux politiques européennes et migratoires du gouvernement.

Réactions et diffusion limitée

Publiée il y a à peine 24 heures, la lettre n’a pas encore suscité de réactions officielles de l’Élysée ou du gouvernement. Les médias traditionnels comme Le Figaro ou Le Monde n’en font pas mention pour l’instant. En revanche, elle circule sur des plateformes alternatives : FranceSoir la qualifie d’ « explosive », et sur X (anciennement Twitter), des comptes patriotes comme la relaient avec des appels à la démission.

Cette initiative s’inscrit dans un climat de grogne générale, amplifié par la crise gouvernementale actuelle. Des appels à la destitution de Macron circulent depuis des jours, avec des négociations en cours pour former un nouveau gouvernement.

Perspectives : un risque de polarisation accrue ?

Alors que la France traverse une impasse politique, cette lettre ouverte représente un clou supplémentaire planté dans le cercueil de la macronie, alors que tout le monde abandonne Emmanuel Macron, y compris ses anciens soutiens comme Gabriel Attal, qui a récemment déclaré ne plus comprendre les décisions du président et critiqué son « acharnement à vouloir garder la main », ou encore Édouard Philippe, un autre ancien Premier ministre qui s’est distancié de lui, sans oublier Valérie Hayer, eurodéputée et fidèle initiale placée en tête de liste par Macron, qui l’a également abandonné.

Pour l’heure, cette lettre ouverte illustre le profond malaise d’une large partie de la société face à la gouvernance macronienne.

 

Lettre ouverte

Monsieur le Président, nous, anciens de l’Armée, vous demandons de quitter le pouvoir !

Notre devoir nous oblige à cette démarche pour le bien commun du pays. Cette demande, nous ne la faisons pas de gaieté de cœur et nous la formulons après mûres réflexions, en voici les éléments cruciaux :

Le premier, le plus fondamental, est le désaveu des Français à votre égard. Le dernier sondage d’octobre 2025 révèle la proportion de 70 % de sondés souhaitant votre démission. Actuellement, 15 % à peine des personnes interrogées se disent satisfaites de votre présidence. La vérité nous impose de vous signifier qu’aujourd’hui le peuple français vous méprise et se trouve exaspéré par les résultats désastreux de vos deux mandats.

La misère, depuis 1996, n’a jamais touché autant de personnes, un Français sur six vit actuellement sous le seuil de pauvreté (15, 4 %).

Le taux de chômage des 15-74 ans en 2024 était de 7,4 % dans l’hexagone contre 5,9 % dans l’ensemble des 27 pays de l’Union européenne.

Le système éducatif s’effondre. Depuis le PISA 2018, il a perdu 21 points en mathématiques et 19 en compréhension de l’écrit.

La dette publique a franchi le chiffre record et exorbitant de 3 400 milliards d’euros, soit un passif de 50 000 euros par habitant.

Pour les prélèvements obligatoires, la France est désormais classée première (46,1 % du PIB) par l’OCDE qui analyse la situation économique des 38 pays les plus développés (Europe, Amérique, Asie).

Jamais, avec 500 000 entrées fin 2022, nous n’avons accueilli autant d’étrangers en un an. Ce décompte nous conduit à 4 millions de nouveaux arrivants depuis votre prise de fonction.

Jamais, la délinquance n’a été aussi forte depuis que vous êtes président. On notait, selon l’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales, 120 attaques au couteau par jour en France en 2020. Selon la Direction générale de la police nationale, 23 agressions sont perpétrées chaque jour contre des policiers et des gendarmes.

L’addition de ces « faits divers » nous révèle que :

. 50 000 voitures sont brûlées par an ;

. 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires résultent du trafic de drogue ;

. 59 % d’augmentation des homicides et tentatives entre 2018 et 2024 représente la pire hausse depuis le début du XXème siècle ;

. 64 % des vols violents et des violences physiques et sexuelles en 2024 dans les transports en commun en Ile de France sont commis par des étrangers, dont 43 % originaires du Maghreb, alors qu’ils représentent 3,4 % de la population ;

. 43 500 cambriolages ont été accomplis en 2024, soit 1 200 par jour, ou encore 50 par heure.

Aucun président, durant son mandat, n’a enregistré des résultats aussi catastrophiques, qui rendent la vie angoissante pour nombre de nos concitoyens.

Votre démission est devenue nécessaire !

Car la France millénaire n'appartient ni à un homme ni à une caste du système dont le seul intérêt est le maintien au pouvoir.

Si au moins la fierté d'être français nous apportait un peu de baume au cœur dans ce cadre de désespérance ? Mais là aussi, la grandeur de notre pays est menacée par l’abandon de notre souveraineté nationale à l’Union européenne, entité fallacieuse et dissolvante de la nation. D’ailleurs, 91 % des citoyens interrogés estiment être « en priorité français » contre 8 % « en priorité européens ».

Quant à l’Armée française, peu nombreuse et mal équipée, elle a abandonné sa doctrine de guerre asymétrique pour envisager une guerre conventionnelle, nécessitant des capacités matérielles et humaines que nous n’avons pas. Il suffit de lire l’ancien chef d’État-major des Armées (général Pierre de Villiers) : « Nos armées ne sont plus capables de gagner la guerre… On a cédé à plusieurs ֕ lignes Maginot"». Dans le classement annuel dévoilé par "Global Fire Power", l’armée française tombe à la neuvième place des grandes puissances et perd deux places par rapport à l’année dernière.

Depuis 2022, nos troupes ont mis fin à leurs présences permanentes au Mali, au Burkina Faso, au Niger, au Tchad et au Gabon, où la base française s’est muée en « camp partagé » axé sur la formation. Elles se sont même retirées du Sénégal, nation pourtant francophone.

Le gouvernement algérien, lui, nous ignore en détenant Boualem Sansal comme otage et nous ridiculise en ne récupérant pas ses OQTF. Quant à la Tunisie, elle nous morigène, suite à la mort sur notre sol d’un terroriste tunisien.

À cause de vous, Monsieur le Président, la France est la risée de l’Europe et du monde. Votre politique ne remplit pas son rôle :

Elle ne garantit pas notre sécurité.

Elle ne garantit pas notre bien-être.

Elle ne garantit pas l’éducation de nos enfants.

Elle ne garantit pas correctement notre santé.

Elle ne garantit pas nos frontières et favorise l’immigration.

Elle ne nous garantit pas l’impartialité de la justice.

Elle n’encourage pas la natalité, pérennité d’une nation.

Enfin, elle pourrait nous entraîner vers un conflit nucléaire majeur.

Ce constat, nous ne l’inventons pas. C’est la triste réalité. Personne ne peut le nier. Aussi, au nom de l’intérêt supérieur du pays et si vous aimez véritablement la France, nous vous adjurons de quitter au plus vite vos fonctions, avant qu’une révolte, dont les grondements sont de plus en plus perceptibles, ne vienne anéantir ce qui reste de notre Patrie. 

Nous, anciens militaires, vous le demandons solennellement, en pensant à nos jeunes camarades d’active et en conformité avec le Code du soldat.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre profond désarroi qui n’est que la traduction de notre amour de la France.

Jean Pierre Fabre-Bernadac (Président d'honneur de "Place d'Armes")


 

« Pour un retour de l’honneur de nos gouvernants » : 20 généraux appellent Macron à défendre le patriotisme

À l'initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et responsable du site Place Armes, une vingtaine de généraux, une centaine de hauts-gradés et plus d'un millier d'autres militaires ont signé un appel pour un retour de l'honneur et du devoir au sein de la classe politique. Valeurs actuelles diffuse avec leur autorisation la lettre empreinte de conviction et d'engagement de ces hommes attachés à leur pays. 

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,

L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.

Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.

– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.

– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.

– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.

Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs.

Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.

Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.

On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.

 

 

Les généraux signataires :

Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère), général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille, général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S) Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne (2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne (2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS (Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE (Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER (Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT),  général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S) Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard BALASTRE (Marine Nationale).

 https://www.valeursactuelles.com/politique/pour-un-retour-de-lhonneur-de-nos-gouvernants-20-generaux-appellent-macron-a-defendre-le-patriotisme


 

 

octobre 09, 2025

Loft Matignon 2: Le "Bicorne" et ses futurs mystérieux ministres !

Loft Matignon : quand les ministres se font éjecter plus vite que Loana ! 


Rions un peu ! (quoi que…)

Ah, la France ! Terre de fromages, de vins fins et, depuis 2024, de gouvernements éphémères qui font passer les relations amoureuses des adolescents pour des mariages solides. Imaginez un peu : nous voilà en octobre 2025, et la saga « à la recherche d’un gouvernement perdu » – clin d’œil proustien bien mérité – atteint des sommets d’absurdité dignes d’un sketch des Monty Python. Emmanuel Macron, notre président stratège, joue aux chaises musicales avec Matignon comme si c’était un jeu de société pour enfants hyperactifs.

 


 

Et le dernier épisode ? Sébastien Lecornu, nommé Premier ministre le 9 septembre, forme un gouvernement le 5 octobre, démissionne le 6, voit sa démission acceptée le même jour par la Présidence… puis se voit rappelé « à l’essai » pour 48 heures, comme un stagiaire en période d’essai chez un patron indécis.

Résultat ? Il repart bredouille, laissant le pays en suspens budgétaire.

Ubuesque, dites-vous ? C’est un euphémisme ! C’est du théâtre de l’absurde où Alfred Jarry rencontrerait Kafka dans un café parisien. Et si on y pense bien, cette pagaille politique ressemble furieusement à ces reliques de la télé-réalité française des années 2000, comme « Loft Story » ou « La Ferme Célébrités » – des émissions absolument débiles qui ont captivé des millions de téléspectateurs en transformant des anonymes ou des has-been en stars éphémères, tout en exposant leur ridicule au grand jour.


 

Parce que franchement, quoi de mieux pour illustrer le chaos actuel que ces concepts où des gens sont enfermés, observés, et éliminés au gré des caprices du public… ou du président ?

Commençons par le casting : Macron, le metteur en scène omniprésent, qui nomme, accepte les démissions, puis prolonge les intérims comme s’il gérait un abonnement Netflix. Lecornu, le pauvre, passe de fidèle macroniste à pantin démissionnaire en un claquement de doigts. « Je remets ma démission », dit-il le 6 octobre. « Acceptée ! », répond l’Élysée. Puis, revirement : « Reste un peu, on va négocier. » Et hop, 48 heures de consultations frénétiques avec des partis qui se haïssent cordialement – Les Républicains qui grincent des dents, le PS qui tergiverse, LFI qui crie au scandale, et le RN qui rit sous cape en attendant son tour. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur pour un jour, convoque une réunion d’urgence chez LR comme si c’était une urgence vitale. Et Bruno Le Maire ? Il propose de se retirer pour « apaiser », avant de se raviser. On croirait une téléréalité : « Qui survivra à Matignon ? » D’ailleurs, ça évoque irrésistiblement « Loft Story », cette pionnière de la télé-réalité lancée en 2001 sur M6, où 11 célibataires étaient enfermés dans un loft high-tech, filmés 24/7 par des caméras intrusives (sauf aux toilettes, merci le CSA), avec pour mission de former des couples improbables sous l’œil voyeur du public. Les candidats, comme nos ministres, entraient pleins d’espoir, se disputaient pour des broutilles, et se faisaient éjecter un par un via des votes populaires – un peu comme Bayrou, Barnier ou Lecornu se font virer de Matignon après des alliances foireuses. Sauf que dans « Loft Story », au moins, il y avait des piscines et des buzzers pour des confessions croustillantes ; à l’Élysée, on se contente de communiqués laconiques et de fuites dans la presse.


Pendant ce temps, le pays réel attend. Le budget 2025 ? Reporté sine die, reconduisant automatiquement celui de 2024 – une aubaine pour les comptables paresseux ! Le déficit explose à -142 milliards d’euros, la croissance patine à 0,6%, et la dette grimpe comme un alpiniste dopé. Les manifestations du 10 septembre ont donné le ton : « ras-le-bol général » contre l’austérité, la pauvreté record et un pouvoir d’achat en berne. Mais non, nos élites préfèrent les intrigues de palais. Des rumeurs folles circulent : un référendum sur la proportionnelle, des élections anticipées, un gouvernement « technique » avec des figures de la société civile

pourquoi pas nommer Cyril Hanouna Premier ministre tant qu’on y est ? Après tout, il sait gérer les débats houleux sur C8…

Et pour couronner le tout, imaginez nos politiciens transposés dans « La Ferme Célébrités », cette autre perle de la télé-réalité diffusée sur TF1 dès 2004, où des célébrités oubliées ou en quête de buzz étaient larguées dans une ferme rustique à Visan (Vaucluse), obligées de traire des vaches, nourrir des poules et dormir sur de la paille, tout en se disputant pour des tâches agricoles ridicules sous l’œil goguenard des animateurs comme Christophe Dechavanne. Les « célébrités » – souvent des has-been comme nos partis moribonds – devaient survivre aux nominations et aux votes du public, transformant leur ego en compost pour l’audimat. Aujourd’hui, nos députés et ministres font pareil : ils « gèrent » le pays comme une ferme en faillite, avec des alliances aussi stables que des poulaillers sous la tempête, et des réformes qui sentent le fumier. Au moins, dans l’émission, il y avait des animaux mignons et des victoires hebdomadaires ; en France 2025, on a juste des déficits et des motions de censure.

 

Et que dire des oppositions ? Mathilde Panot de LFI appelle au « départ d’Emmanuel Macron » comme si c’était une évidence et qu’il allait obtempérer, pendant que 70% des Français, selon les sondages, rêvent de sa démission. Les appels à la destitution fusent, mais rien n’y fait. Macron joue la montre jusqu’en 2027, menaçant d’une dissolution pour forcer les alliances. Résultat : une Assemblée nationale bloquée, où NFP, macronistes, LR et RN se neutralisent comme dans un embouteillage géant où chaque voiture bloque l’autre sans que le trafic avance d’un pouce. C’est beau, la démocratie française : un système où personne ne gagne, mais tout le monde perd du temps et de l’argent public. Et parlons du RN, ces champions du « renvoyons les Français aux urnes » – mais attention, ils restent délicieusement flous sur le type d’urnes en question. Législatives pour rafler la mise à l’Assemblée ? Ou présidentielles, qu’ils semblent vouloir éviter comme la peste, peut-être parce que Marine Le Pen traîne une inéligibilité embarrassante due à ses petites affaires judiciaires ? Ah, le suspense est insoutenable, et si pratique pour esquiver les vraies questions ! Tout ça, c’est du pain béni pour une comparaison avec ces émissions : dans « Loft Story » ou « La Ferme », les candidats simulaient des drames pour l’audience, tout comme nos oppositions théâtralisent leurs indignations pour les caméras de BFM. Les Français, eux, zappent d’une chaîne à l’autre, votant avec leur télécommande – ou leurs bulletins, quand on les laisse voter.

 

En conclusion, au milieu de ce chaos intérieur où même former un gouvernement stable relève de l’exploit herculéen, on en vient à se demander comment la France pourrait sérieusement envisager des aventures belliqueuses grandioses. Avec un budget en lambeaux, une dette qui s’envole et un exécutif qui vacille plus qu’un château de cartes sous une brise légère, la nation semble à peine capable de gérer ses propres affaires courantes – imaginez alors défier des puissances comme la Russie ! Non, dans cet état de désarroi permanent, la France n’aurait même pas les moyens de faire la guerre au Liechtenstein ou au Vatican, ces micro-États pacifiques qui pourraient bien rire de nos ambitions jupitériennes avortées.

Pendant que Matignon fait du yo-yo, nos hôpitaux manquent de lits, nos écoles de profs, et nos routes de bitume. La croissance stagne, l’inflation grignote les salaires, et le climat social bouillonne avec des grèves en vue.


Outre-Rhin, la presse tire à boulets rouges sur Emmanuel Macron, jugé principal responsable de la crise politique hexagonale. →https://l.lefigaro.fr/VtGS

 

Prétendre défier Vladimir Poutine avec des Mirage et des discours belliqueux ? Allons ! Avec un gouvernement qui change plus souvent que les modes à la Fashion Week, la France serait bien avisée de balayer devant sa porte avant de menacer les steppes russes. Peut-être qu’au lieu d’envoyer des armes en Ukraine, on devrait exporter notre expertise en chaises musicales – là, au moins, on maîtrise à la perfection. Et si on transformait l’Élysée en un nouveau « Loft Story » ou une « Ferme Célébrités » ? Au moins, les Français pourraient voter par SMS pour éliminer les ministres incompétents – ce serait plus démocratique que ce cirque actuel, et bien plus divertissant. Vive la République… en intérim !

PS : on me souffle dans l’oreillette, que tout cela pourrait être provoqué par les Russes, mais chut ! 

https://multipol360.com/loft-matignon-quand-les-ministres-se-font-ejecter-plus-vite-que-loana/ 

 


 

Pouvons-nous encore rire de tout aujourd’hui - L'humour ?

 


Loft Matignon saison 2 : Lecornu remet le couvert, Macron relance l’abonnement Netflix ! 

Ah, la France éternelle ! Terre de révolutions, de fromages affinés et, depuis 2024, de gouvernements qui se font et se défont plus vite qu’un couple de Loft Story après une dispute pour la télécommande. Si vous pensiez que la première saison de Loft Matignon s’était achevée sur un cliffhanger avec la démission éclair de Sébastien Lecornu, détrompez-vous : Emmanuel Macron, ce maître des rebondissements scénaristiques, vient de lancer la Saison 2 ! Et devinez qui reprend le rôle principal ? Lecornu lui-même, rappelé comme un vieux candidat recyclé pour booster les audiences. Rions un peu (quoi que…), car ce nouveau chapitre promet plus de revirements que Koh-Lanta sous une tempête tropicale.


Le retour du héros (ou du stagiaire éternel) : chronologie d’un come-back absurde

Rappelons les faits pour les téléspectateurs qui auraient zappé : en septembre 2025, Macron nomme Lecornu Premier ministre, comme on engage un intérimaire pour boucher un trou dans l’organigramme. Le 5 octobre, miracle, un gouvernement est formé – un assemblage hétéroclite de macronistes, de LR et de quelques invités surprises, digne d’une alliance forcée dans La Ferme Célébrités. Mais le lendemain, patatras ! Lecornu remet sa démission, acceptée dans la foulée par l’Élysée. Puis, revirement : Macron le garde « à l’essai » pour 48 heures de négociations ultimes, comme si Matignon était un job en CDD prolongeable par SMS. Résultat ? Bredouille, Lecornu repart, laissant le pays en suspens budgétaire, avec un déficit abyssal et des grèves en vue.

Et voilà que, le 10 octobre 2025, le compte officiel du gouvernement tweete triomphalement : « Le Président de la République a nommé Sébastien Lecornu Premier ministre, et l’a chargé de former un Gouvernement. » Accompagné d’une photo solennelle avec drapeaux français et européen en fond, et le slogan « Saison 2 ! » comme si on relançait une série Netflix. Les réactions fusent : un internaute imagine la « passation de pouvoirs » avec une image hilarante d’un Lecornu auto-congratulant ; un autre soutient le community manager « atterré » qui poste ça un vendredi soir pour que ça tienne au moins le week-end ; un troisième prédit que « c’est bien, au moins on a un premier ministre qui tient parole… pour 48 heures ». Même les écoliers futurs sont plaints, bégayant sur la chronologie des Premiers ministres des années 2020. Et un twittos résume : « Pour résumer, c’est un gouvernement bis cornu… » – jeu de mots inclus.

C’est du grand art télévisuel : Lecornu, fidèle macroniste, passe de pantin démissionnaire à héros rappelé, comme Loana revenue dans Les Anges de la Télé-Réalité pour un come-back inattendu. Les négociations ? Un sketch où Les Républicains grincent des dents, le PS tergiverse, LFI crie au scandale, et le RN rit sous cape en attendant son tour. Marine Le Pen, avec ses « petites affaires judiciaires », reste en coulisses, inéligible pour l’instant. Quant à Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur éphémère, il convoque des réunions d’urgence comme un coach paniqué. Et Bruno Le Maire ? Il propose de se retirer pour « apaiser », puis se ravise – typique d’un candidat qui tease son élimination pour rester dans le jeu.

Matignon, le Loft high-tech : alliances foireuses et éjections express

Dans cette Saison 2, Matignon reste ce loft high-tech où les « candidats » – ministres et députés – sont enfermés, filmés 24/7 (sauf aux toilettes, merci le CSA), et éjectés par votes populaires… ou plutôt par caprices présidentiels. Les alliances ? Des couples improbables, comme dans Loft Story : macronistes et LR se font les yeux doux un jour, se disputent le lendemain sur le budget. Imaginez : Lecornu en « Loana 2.0 », entrant en fanfare, formant des duos improbables, puis éjecté avant même le prime time. Et Macron ? L’animateur omniprésent, prolongeant les intérims comme un patron indécis avec son stagiaire. Les oppositions théâtralisent pour les caméras de BFM : Mathilde Panot (LFI) appelle au « départ d’Emmanuel Macron » comme une évidence, tandis que le public – nous, les Français – zappe d’une chaîne à l’autre, votant avec nos bulletins quand on nous laisse voter.

C’est ubuesque, un euphémisme ! Du théâtre de l’absurde où Alfred Jarry rencontrerait Kafka dans un poulailler sous la tempête. Les négociations ressemblent à un épisode de La Ferme Célébrités : tâches ridicules (négocier un budget en déficit de -142 milliards), ego transformés en compost, et éliminations par « votes du public » – ou plutôt par blocages à l’Assemblée, où NFP, macronistes, LR et RN se neutralisent mutuellement comme dans un embouteillage géant.

Les conséquences : un cirque qui masque les vrais drames

Pendant ce spectacle, la France réelle attend : budget 2025 reporté sine die, croissance à 0,6%, dette galopante, manifestations contre l’austérité et la pauvreté. 70% des Français réclament la démission de Macron, selon les sondages – un plébiscite pour une éjection présidentielle ? Rumeurs folles : référendum sur la proportionnelle, élections anticipées, gouvernement « technique »… Ou pourquoi pas Cyril Hanouna comme PM, pour gérer les débats houleux avec des buzzers pour confessions croustillantes ?

Et sur la scène internationale ? Comment défier la Russie ou envoyer des Mirage en Ukraine quand on ne peut même pas former un gouvernement stable ? C’est du pain béni pour l’audimat mondial, mais une farce pour la souveraineté. On me souffle dans l’oreillette que tout cela pourrait être provoqué par les Russes, mais chut !

Conclusion : Vive la République… en intérim !

Avec cette Saison 2, Loft Matignon confirme son statut de saga addictive : qui survivra cette fois ? Lecornu tiendra-t-il plus de 48 heures ? Macron dissoudra-t-il l’Assemblée pour un reboot total ?

Une idée : transformons l’Élysée en vraie télé-réalité, avec votes par SMS pour éjecter les incompétents. Au moins, les Français auraient le dernier mot – et des recettes publicitaires pour combler le déficit !

En attendant, exportons notre expertise en chaises musicales : la France, championne du monde des gouvernements express. Vive la République… en intérim !

PS : toute ressemblance avec un article précédent, n’est que le copier-coller de ce que nous font vivre nos « zélites » politiques…

 https://multipol360.com/loft-matignon-saison-2-lecornu-remet-le-couvert-macron-relance-labonnement-netflix/


 

octobre 04, 2025

Les accusations contre la Russie : une litanie de mensonges qui s’écroulent...

La flotte fantôme russe hante les fantasmes des dirigeants européens à la dérive

Nous pourrions en rire si ce n’était pas aussi désolant et humiliant pour le peuple français.

Le 2 octobre 2025, lors de la session plénière du Club de discussion international de Valdaï à Sotchi, Vladimir Poutine a lancé un avertissement cinglant à Emmanuel Macron, qualifiant la saisie d’un pétrolier par la marine française de « piraterie » et l’accusant d’utiliser la Russie comme bouc émissaire pour détourner l’attention des Français de leurs problèmes internes. Imitant théâtralement le président français, Vladimir Poutine a déclaré :

 


 

« En raison de la situation politique difficile pour les dirigeants français. Parce qu’ils n’ont aucun autre moyen de détourner l’attention de la population, des citoyens français, des problèmes complexes et difficiles à résoudre au sein de la République française. Il est donc très tentant de réorienter, comme je l’ai déjà évoqué pendant mon discours, l’attention ailleurs, provoquer les forces extérieures d’autres pays, en particulier la Russie, nous inciter à entreprendre des actions et dire aux Français : ‘Français, rassemblez-vous autour de moi, je vous mènerai à la victoire’, comme Napoléon. »

Cette parodie, largement relayée sur les réseaux sociaux, met en lumière une réalité : les accusations lancinantes contre la Russie s’additionnent, mais finissent par s’écrouler sous le poids de la vérité. Comme le dit l’adage, quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier – et elle finit toujours par arriver.

Cet épisode n’est pas isolé. Il s’inscrit dans une série d’accusations stériles portées par l’Occident contre la Russie, souvent motivées par des agendas politiques internes plutôt que par des faits avérés. Dans cet article, nous examinerons comment ces allégations contre Moscou se révèlent infondées, avant de plonger dans la situation catastrophique de la France, croulant sous des problèmes internes exacerbés par l’Union européenne (UE), et dont Emmanuel Macron semble se désintéresser totalement. Enfin, nous conclurons sur la fuite en avant du président français vers l’international, aux côtés de sa « bande des quatre loosers » – Macron, Keir Starmer, Friedrich Merz et Ursula von der Leyen – qui se ridiculisent jour après jour en se mêlant de ce qui ne les regarde pas, au détriment de leurs opinions publiques.

Les accusations contre la Russie : une litanie de mensonges qui s’écroulent

L’incident déclencheur de l’avertissement de Poutine est la saisie, le 1er octobre 2025, du pétrolier « Boracay » (également connu sous le nom de « Pushpa ») par la marine française au large des côtes atlantiques. Emmanuel Macron a personnellement lié ce navire à des survols de drones mystérieux au Danemark, le présentant comme faisant partie de la « flotte fantôme » russe, utilisée pour contourner les sanctions liées au conflit en Ukraine. Selon les autorités françaises, le Boracay aurait effectué des manœuvres suspectes près des eaux territoriales (donc en zone internationale), et sa présence près du Danemark coïncidait avec ces incidents de drones non identifiés.


Mais ces accusations, lancinantes et répétitives, s’avèrent stériles et fausses. D’abord, le navire bat pavillon béninois, non russe, et Vladimir Poutine a fermement nié tout lien avec la Russie, qualifiant l’arraisonnement français de violation du droit international. Malgré une enquête ouverte pour « délits maritimes » et des soupçons de « fautes très importantes », le pétrolier a été autorisé à reprendre la mer le 2 octobre, à peine cinq jours après son arraisonnement. Si les preuves étaient solides, pourquoi le libérer si vite ? Les « incohérences » invoquées par la France – comme des documents suspects ou des liens présumés avec des sanctions européennes – n’ont pas tenu face à l’examen, et le capitaine, initialement en garde à vue, n’a pas été poursuivi.

Cette affaire s’ajoute à une longue liste d’accusations contre la Russie qui s’effondrent. Souvenons-nous des allégations sur l’ingérence russe dans les élections occidentales, souvent basées sur des rapports flous et démentis ultérieurement. Ou encore les affirmations sur des cyberattaques russes, qui se révèlent fréquemment être l’œuvre de hackers indépendants (souvent ukrainiens). Ici, les drones au Danemark ? Aucune preuve concrète n’a émergé liant le Boracay à ces survols, et Poutine a ironiquement promis de « ne plus lancer de drones sur le Danemark », soulignant l’absurdité de l’accusation.

Ces attaques rhétoriques servent à unir les opinions publiques occidentales contre un « ennemi extérieur », mais elles s’écroulent invariablement sous le poids des faits.

La vérité, plus lente mais inexorable, révèle que ces provocations sont des diversions politiques, pas des menaces réelles.

La situation catastrophique de la France : un pays croulant sous les problèmes internes

Pendant que Macron joue les Napoléon modernes sur la scène internationale, la France sombre dans une crise profonde, exacerbée par les politiques de l’UE que le président défend ardemment. L’inflation galopante, l’insécurité rampante, l’absence de gouvernement stable et un parlement dysfonctionnel forment un cocktail explosif, dont Emmanuel Macron semble se désintéresser complètement, préférant les sommets européens aux réalités domestiques.

Commençons par l’inflation, qui ronge le pouvoir d’achat des Français. En septembre 2025, les prix à la consommation ont augmenté de 1,2 % sur un an, après 0,9 % en août. Cela peut sembler modéré, mais dans le détail, les prix de l’alimentation ont grimpé de 1,7 %, et ceux des services de 2,4 %. Depuis 2022, les hausses cumulées dans l’alimentation dépassent les 20 % en grandes surfaces, selon des associations de consommateurs. L’énergie, bien qu’en baisse de 4,5 % en septembre (compensée par la hausse des taxes), reste volatile, impactée par les sanctions européennes contre la Russie – une politique soutenue par Macron et l’UE, qui a fait exploser les factures des ménages français. Résultat : des millions de Français peinent à boucler les fins de mois, avec une inflation ressentie bien plus élevée que les chiffres officiels.

L’UE, avec ses réglementations environnementales strictes et sa dépendance aux importations énergétiques, porte une grande responsabilité dans cette spirale, mais Macron, europhile convaincu, refuse d’envisager des réformes nationales prioritaires.

L’insécurité est un autre fléau qui mine la société française. Les chiffres du ministère de l’Intérieur pour 2025 sont alarmants : au premier semestre, les violences sexuelles et les homicides ont progressé, avec une hausse de 13 % des vols d’accessoires automobiles et une explosion générale de la délinquance. Entre juillet 2024 et juin 2025, les vols, violences et escroqueries ont touché plus de 107.000 victimes. Frédéric Lauze, secrétaire général du syndicat des commissaires de police, parle d’une « explosion de l’insécurité et de la violence », soulignant que sur 30-40 ans, la qualité de vie a baissé en raison de ces questions. L’UE, via ses politiques migratoires laxistes, contribue à cette insécurité, avec des flux non contrôlés qui exacerbent les tensions sociales.

Pourtant, Macron priorise les discours sur la « sécurité européenne » plutôt que des mesures concrètes pour protéger les Français.

Quant à l’absence de gouvernement, elle illustre le chaos politique. Nommé Premier ministre le 9 septembre 2025, Sébastien Lecornu n’a toujours pas formé son équipe complète au 3 octobre, battant des records de vacance – plus de trois semaines sans gouvernement opérationnel. Cette « valse des premiers ministres » – Lecornu succédant à d’autres dans une instabilité chronique – reflète la crise politique depuis les élections de 2024. Lecornu risque de « sauter » bientôt : il a renoncé au 49-3 pour le budget 2026, un pari risqué face à des oppositions prêtes à censurer. Manuel Valls, ministre des Outre-mer, pourrait ne pas être reconduit, symbolisant cette instabilité. Emmanuel Macron, architecte de cette confusion via ses dissolutions répétées, semble indifférent, focalisé sur l’international.

Enfin, le parlement est dysfonctionnel, incapable de jouer son rôle. Depuis la crise de 2024-2025, les blocages se multiplient : procédures accélérées, motions de censure, et un vote de confiance rejeté en septembre. L’opposition, y compris, est paralysée, avec des « malfaçons législatives » symptomatiques d’un dérèglement profond. L’UE, avec ses directives imposées, limite encore plus la souveraineté parlementaire, aggravant le sentiment d’impuissance.

 


 

La fuite de Macron et sa bande des quatre loosers

Face à ces défis internes, Macron fuit vers l’international, se réfugiant dans des alliances stériles. Avec Keir Starmer (Premier ministre britannique, approbation à -44 %), Friedrich Merz (chancelier allemand) et Ursula von der Leyen (présidente de la Commission européenne), il forme une « bande des quatre loosers » qui se ridiculisent en s’ingérant dans des affaires comme l’Ukraine ou la Russie, au lieu de résoudre les crises domestiques. Macron, avec seulement 22 % d’opinions positives (78 % négatives), voit sa popularité plonger. Starmer et Merz subissent des chutes similaires, tandis que von der Leyen est critiquée pour son autoritarisme européen et échappe à des motions de censure grâce à la couardise et la collaboration active de traînes sabre qui seraient au chômage, s’ils n’étaient pas députés européens.

Ces leaders perdent leur opinion publique pour les mêmes raisons : ils se mêlent de ce qui ne les regarde pas – comme arraisonner des navires sans preuves – et font n’importe quoi, ignorant totalement les priorités nationales. Poutine l’a bien compris : ces provocations masquent des faiblesses internes. La vérité finira par l’emporter, et ces accusations stériles contre les pays du sud global ne feront que précipiter leur chute. Mais tout de même, pauvre de nous Français !

https://multipol360.com/la-flotte-fantome-russe-hante-les-fantasmes-des-dirigeants-europeens-a-la-derive/

 

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