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octobre 09, 2025

Loft Matignon 2: Le "Bicorne" et ses futurs mystérieux ministres !

Loft Matignon : quand les ministres se font éjecter plus vite que Loana ! 


Rions un peu ! (quoi que…)

Ah, la France ! Terre de fromages, de vins fins et, depuis 2024, de gouvernements éphémères qui font passer les relations amoureuses des adolescents pour des mariages solides. Imaginez un peu : nous voilà en octobre 2025, et la saga « à la recherche d’un gouvernement perdu » – clin d’œil proustien bien mérité – atteint des sommets d’absurdité dignes d’un sketch des Monty Python. Emmanuel Macron, notre président stratège, joue aux chaises musicales avec Matignon comme si c’était un jeu de société pour enfants hyperactifs.

 


 

Et le dernier épisode ? Sébastien Lecornu, nommé Premier ministre le 9 septembre, forme un gouvernement le 5 octobre, démissionne le 6, voit sa démission acceptée le même jour par la Présidence… puis se voit rappelé « à l’essai » pour 48 heures, comme un stagiaire en période d’essai chez un patron indécis.

Résultat ? Il repart bredouille, laissant le pays en suspens budgétaire.

Ubuesque, dites-vous ? C’est un euphémisme ! C’est du théâtre de l’absurde où Alfred Jarry rencontrerait Kafka dans un café parisien. Et si on y pense bien, cette pagaille politique ressemble furieusement à ces reliques de la télé-réalité française des années 2000, comme « Loft Story » ou « La Ferme Célébrités » – des émissions absolument débiles qui ont captivé des millions de téléspectateurs en transformant des anonymes ou des has-been en stars éphémères, tout en exposant leur ridicule au grand jour.


 

Parce que franchement, quoi de mieux pour illustrer le chaos actuel que ces concepts où des gens sont enfermés, observés, et éliminés au gré des caprices du public… ou du président ?

Commençons par le casting : Macron, le metteur en scène omniprésent, qui nomme, accepte les démissions, puis prolonge les intérims comme s’il gérait un abonnement Netflix. Lecornu, le pauvre, passe de fidèle macroniste à pantin démissionnaire en un claquement de doigts. « Je remets ma démission », dit-il le 6 octobre. « Acceptée ! », répond l’Élysée. Puis, revirement : « Reste un peu, on va négocier. » Et hop, 48 heures de consultations frénétiques avec des partis qui se haïssent cordialement – Les Républicains qui grincent des dents, le PS qui tergiverse, LFI qui crie au scandale, et le RN qui rit sous cape en attendant son tour. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur pour un jour, convoque une réunion d’urgence chez LR comme si c’était une urgence vitale. Et Bruno Le Maire ? Il propose de se retirer pour « apaiser », avant de se raviser. On croirait une téléréalité : « Qui survivra à Matignon ? » D’ailleurs, ça évoque irrésistiblement « Loft Story », cette pionnière de la télé-réalité lancée en 2001 sur M6, où 11 célibataires étaient enfermés dans un loft high-tech, filmés 24/7 par des caméras intrusives (sauf aux toilettes, merci le CSA), avec pour mission de former des couples improbables sous l’œil voyeur du public. Les candidats, comme nos ministres, entraient pleins d’espoir, se disputaient pour des broutilles, et se faisaient éjecter un par un via des votes populaires – un peu comme Bayrou, Barnier ou Lecornu se font virer de Matignon après des alliances foireuses. Sauf que dans « Loft Story », au moins, il y avait des piscines et des buzzers pour des confessions croustillantes ; à l’Élysée, on se contente de communiqués laconiques et de fuites dans la presse.


Pendant ce temps, le pays réel attend. Le budget 2025 ? Reporté sine die, reconduisant automatiquement celui de 2024 – une aubaine pour les comptables paresseux ! Le déficit explose à -142 milliards d’euros, la croissance patine à 0,6%, et la dette grimpe comme un alpiniste dopé. Les manifestations du 10 septembre ont donné le ton : « ras-le-bol général » contre l’austérité, la pauvreté record et un pouvoir d’achat en berne. Mais non, nos élites préfèrent les intrigues de palais. Des rumeurs folles circulent : un référendum sur la proportionnelle, des élections anticipées, un gouvernement « technique » avec des figures de la société civile

pourquoi pas nommer Cyril Hanouna Premier ministre tant qu’on y est ? Après tout, il sait gérer les débats houleux sur C8…

Et pour couronner le tout, imaginez nos politiciens transposés dans « La Ferme Célébrités », cette autre perle de la télé-réalité diffusée sur TF1 dès 2004, où des célébrités oubliées ou en quête de buzz étaient larguées dans une ferme rustique à Visan (Vaucluse), obligées de traire des vaches, nourrir des poules et dormir sur de la paille, tout en se disputant pour des tâches agricoles ridicules sous l’œil goguenard des animateurs comme Christophe Dechavanne. Les « célébrités » – souvent des has-been comme nos partis moribonds – devaient survivre aux nominations et aux votes du public, transformant leur ego en compost pour l’audimat. Aujourd’hui, nos députés et ministres font pareil : ils « gèrent » le pays comme une ferme en faillite, avec des alliances aussi stables que des poulaillers sous la tempête, et des réformes qui sentent le fumier. Au moins, dans l’émission, il y avait des animaux mignons et des victoires hebdomadaires ; en France 2025, on a juste des déficits et des motions de censure.

 

Et que dire des oppositions ? Mathilde Panot de LFI appelle au « départ d’Emmanuel Macron » comme si c’était une évidence et qu’il allait obtempérer, pendant que 70% des Français, selon les sondages, rêvent de sa démission. Les appels à la destitution fusent, mais rien n’y fait. Macron joue la montre jusqu’en 2027, menaçant d’une dissolution pour forcer les alliances. Résultat : une Assemblée nationale bloquée, où NFP, macronistes, LR et RN se neutralisent comme dans un embouteillage géant où chaque voiture bloque l’autre sans que le trafic avance d’un pouce. C’est beau, la démocratie française : un système où personne ne gagne, mais tout le monde perd du temps et de l’argent public. Et parlons du RN, ces champions du « renvoyons les Français aux urnes » – mais attention, ils restent délicieusement flous sur le type d’urnes en question. Législatives pour rafler la mise à l’Assemblée ? Ou présidentielles, qu’ils semblent vouloir éviter comme la peste, peut-être parce que Marine Le Pen traîne une inéligibilité embarrassante due à ses petites affaires judiciaires ? Ah, le suspense est insoutenable, et si pratique pour esquiver les vraies questions ! Tout ça, c’est du pain béni pour une comparaison avec ces émissions : dans « Loft Story » ou « La Ferme », les candidats simulaient des drames pour l’audience, tout comme nos oppositions théâtralisent leurs indignations pour les caméras de BFM. Les Français, eux, zappent d’une chaîne à l’autre, votant avec leur télécommande – ou leurs bulletins, quand on les laisse voter.

 

En conclusion, au milieu de ce chaos intérieur où même former un gouvernement stable relève de l’exploit herculéen, on en vient à se demander comment la France pourrait sérieusement envisager des aventures belliqueuses grandioses. Avec un budget en lambeaux, une dette qui s’envole et un exécutif qui vacille plus qu’un château de cartes sous une brise légère, la nation semble à peine capable de gérer ses propres affaires courantes – imaginez alors défier des puissances comme la Russie ! Non, dans cet état de désarroi permanent, la France n’aurait même pas les moyens de faire la guerre au Liechtenstein ou au Vatican, ces micro-États pacifiques qui pourraient bien rire de nos ambitions jupitériennes avortées.

Pendant que Matignon fait du yo-yo, nos hôpitaux manquent de lits, nos écoles de profs, et nos routes de bitume. La croissance stagne, l’inflation grignote les salaires, et le climat social bouillonne avec des grèves en vue.


Outre-Rhin, la presse tire à boulets rouges sur Emmanuel Macron, jugé principal responsable de la crise politique hexagonale. →https://l.lefigaro.fr/VtGS

 

Prétendre défier Vladimir Poutine avec des Mirage et des discours belliqueux ? Allons ! Avec un gouvernement qui change plus souvent que les modes à la Fashion Week, la France serait bien avisée de balayer devant sa porte avant de menacer les steppes russes. Peut-être qu’au lieu d’envoyer des armes en Ukraine, on devrait exporter notre expertise en chaises musicales – là, au moins, on maîtrise à la perfection. Et si on transformait l’Élysée en un nouveau « Loft Story » ou une « Ferme Célébrités » ? Au moins, les Français pourraient voter par SMS pour éliminer les ministres incompétents – ce serait plus démocratique que ce cirque actuel, et bien plus divertissant. Vive la République… en intérim !

PS : on me souffle dans l’oreillette, que tout cela pourrait être provoqué par les Russes, mais chut ! 

https://multipol360.com/loft-matignon-quand-les-ministres-se-font-ejecter-plus-vite-que-loana/ 

 


 

Pouvons-nous encore rire de tout aujourd’hui - L'humour ?

 


Loft Matignon saison 2 : Lecornu remet le couvert, Macron relance l’abonnement Netflix ! 

Ah, la France éternelle ! Terre de révolutions, de fromages affinés et, depuis 2024, de gouvernements qui se font et se défont plus vite qu’un couple de Loft Story après une dispute pour la télécommande. Si vous pensiez que la première saison de Loft Matignon s’était achevée sur un cliffhanger avec la démission éclair de Sébastien Lecornu, détrompez-vous : Emmanuel Macron, ce maître des rebondissements scénaristiques, vient de lancer la Saison 2 ! Et devinez qui reprend le rôle principal ? Lecornu lui-même, rappelé comme un vieux candidat recyclé pour booster les audiences. Rions un peu (quoi que…), car ce nouveau chapitre promet plus de revirements que Koh-Lanta sous une tempête tropicale.


Le retour du héros (ou du stagiaire éternel) : chronologie d’un come-back absurde

Rappelons les faits pour les téléspectateurs qui auraient zappé : en septembre 2025, Macron nomme Lecornu Premier ministre, comme on engage un intérimaire pour boucher un trou dans l’organigramme. Le 5 octobre, miracle, un gouvernement est formé – un assemblage hétéroclite de macronistes, de LR et de quelques invités surprises, digne d’une alliance forcée dans La Ferme Célébrités. Mais le lendemain, patatras ! Lecornu remet sa démission, acceptée dans la foulée par l’Élysée. Puis, revirement : Macron le garde « à l’essai » pour 48 heures de négociations ultimes, comme si Matignon était un job en CDD prolongeable par SMS. Résultat ? Bredouille, Lecornu repart, laissant le pays en suspens budgétaire, avec un déficit abyssal et des grèves en vue.

Et voilà que, le 10 octobre 2025, le compte officiel du gouvernement tweete triomphalement : « Le Président de la République a nommé Sébastien Lecornu Premier ministre, et l’a chargé de former un Gouvernement. » Accompagné d’une photo solennelle avec drapeaux français et européen en fond, et le slogan « Saison 2 ! » comme si on relançait une série Netflix. Les réactions fusent : un internaute imagine la « passation de pouvoirs » avec une image hilarante d’un Lecornu auto-congratulant ; un autre soutient le community manager « atterré » qui poste ça un vendredi soir pour que ça tienne au moins le week-end ; un troisième prédit que « c’est bien, au moins on a un premier ministre qui tient parole… pour 48 heures ». Même les écoliers futurs sont plaints, bégayant sur la chronologie des Premiers ministres des années 2020. Et un twittos résume : « Pour résumer, c’est un gouvernement bis cornu… » – jeu de mots inclus.

C’est du grand art télévisuel : Lecornu, fidèle macroniste, passe de pantin démissionnaire à héros rappelé, comme Loana revenue dans Les Anges de la Télé-Réalité pour un come-back inattendu. Les négociations ? Un sketch où Les Républicains grincent des dents, le PS tergiverse, LFI crie au scandale, et le RN rit sous cape en attendant son tour. Marine Le Pen, avec ses « petites affaires judiciaires », reste en coulisses, inéligible pour l’instant. Quant à Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur éphémère, il convoque des réunions d’urgence comme un coach paniqué. Et Bruno Le Maire ? Il propose de se retirer pour « apaiser », puis se ravise – typique d’un candidat qui tease son élimination pour rester dans le jeu.

Matignon, le Loft high-tech : alliances foireuses et éjections express

Dans cette Saison 2, Matignon reste ce loft high-tech où les « candidats » – ministres et députés – sont enfermés, filmés 24/7 (sauf aux toilettes, merci le CSA), et éjectés par votes populaires… ou plutôt par caprices présidentiels. Les alliances ? Des couples improbables, comme dans Loft Story : macronistes et LR se font les yeux doux un jour, se disputent le lendemain sur le budget. Imaginez : Lecornu en « Loana 2.0 », entrant en fanfare, formant des duos improbables, puis éjecté avant même le prime time. Et Macron ? L’animateur omniprésent, prolongeant les intérims comme un patron indécis avec son stagiaire. Les oppositions théâtralisent pour les caméras de BFM : Mathilde Panot (LFI) appelle au « départ d’Emmanuel Macron » comme une évidence, tandis que le public – nous, les Français – zappe d’une chaîne à l’autre, votant avec nos bulletins quand on nous laisse voter.

C’est ubuesque, un euphémisme ! Du théâtre de l’absurde où Alfred Jarry rencontrerait Kafka dans un poulailler sous la tempête. Les négociations ressemblent à un épisode de La Ferme Célébrités : tâches ridicules (négocier un budget en déficit de -142 milliards), ego transformés en compost, et éliminations par « votes du public » – ou plutôt par blocages à l’Assemblée, où NFP, macronistes, LR et RN se neutralisent mutuellement comme dans un embouteillage géant.

Les conséquences : un cirque qui masque les vrais drames

Pendant ce spectacle, la France réelle attend : budget 2025 reporté sine die, croissance à 0,6%, dette galopante, manifestations contre l’austérité et la pauvreté. 70% des Français réclament la démission de Macron, selon les sondages – un plébiscite pour une éjection présidentielle ? Rumeurs folles : référendum sur la proportionnelle, élections anticipées, gouvernement « technique »… Ou pourquoi pas Cyril Hanouna comme PM, pour gérer les débats houleux avec des buzzers pour confessions croustillantes ?

Et sur la scène internationale ? Comment défier la Russie ou envoyer des Mirage en Ukraine quand on ne peut même pas former un gouvernement stable ? C’est du pain béni pour l’audimat mondial, mais une farce pour la souveraineté. On me souffle dans l’oreillette que tout cela pourrait être provoqué par les Russes, mais chut !

Conclusion : Vive la République… en intérim !

Avec cette Saison 2, Loft Matignon confirme son statut de saga addictive : qui survivra cette fois ? Lecornu tiendra-t-il plus de 48 heures ? Macron dissoudra-t-il l’Assemblée pour un reboot total ?

Une idée : transformons l’Élysée en vraie télé-réalité, avec votes par SMS pour éjecter les incompétents. Au moins, les Français auraient le dernier mot – et des recettes publicitaires pour combler le déficit !

En attendant, exportons notre expertise en chaises musicales : la France, championne du monde des gouvernements express. Vive la République… en intérim !

PS : toute ressemblance avec un article précédent, n’est que le copier-coller de ce que nous font vivre nos « zélites » politiques…

 https://multipol360.com/loft-matignon-saison-2-lecornu-remet-le-couvert-macron-relance-labonnement-netflix/


 

octobre 01, 2025

Revue internationale: Effet drones - Madagascar: le chaos - Élections législatives en Moldavie !

 Sommaire:

A - La farce des drones russes : une propagande pour enflammer le conflit russo-ukrainien

B -  Madagascar plonge dans le chaos : tirs policiers et pillages nocturnes

C - Élections législatives en Moldavie : une victoire pro-européenne entachée de fraudes

 



A - La farce des drones russes : une propagande pour enflammer le conflit russo-ukrainien

Dans un climat de tensions géopolitiques déjà surchauffé, une nouvelle vague de panique médiatique a envahi l’Europe en septembre 2025. Des allégations d’incursions massives de drones russes dans l’espace aérien de pays membres de l’OTAN – Pologne, Roumanie, Estonie et Danemark – ont été relayées sans relâche, dépeignant Moscou comme un agresseur prêt à tester les limites de l’Alliance atlantique.

Pourtant, une analyse critique révèle une opération cousue de fil blanc, destinée non pas à refléter une menace réelle, mais à justifier une escalade absurde et dangereuse.

Cette narrative, contredite par des enquêtes préliminaires et des preuves inverses, n’est qu’un outil idiot pour les bellicistes afin d’envenimer la situation russo-ukrainienne, au risque d’un conflit plus large.

 

 

Une vague d’allégations fragiles et non vérifiées

Dès le début du mois, les médias ont rapporté une vingtaine de drones prétendument russes survolant la Pologne le 9 septembre, certains allant jusqu’à endommager des infrastructures civiles. Des incidents similaires ont été signalés en Roumanie le 13 septembre, puis en Estonie et au Danemark, avec des survols prolongés autour de zones sensibles comme Copenhague. Les commentateurs ont rapidement crié à la provocation délibérée de la Russie, évoquant une stratégie hybride pour affaiblir l’OTAN. Mais ces affirmations reposent sur des bases bien minces : des appareils repérés à basse altitude, parfois réparés avec du ruban adhésif, et des trajectoires improbables couvrant plus de 1.000 kilomètres sans détection massive par les radars sophistiqués de l’Alliance.

Des experts militaires, comme l’ancien leader de la Patrouille de France, ont exprimé un scepticisme flagrant. Comment un drone parti de Saint-Pétersbourg pourrait-il traverser une « mer OTAN » comme la Baltique, faire des loops autour de capitales européennes, et repartir indemne ? Cette logique défie le bon sens, surtout quand on considère les capacités de surveillance de l’OTAN. Des posts sur les réseaux sociaux et des analyses indépendantes suggèrent plutôt un faux drapeau : ces drones pourraient être des modèles russes tombés en Ukraine, récupérés et relancés par Kiev ou des alliés pour simuler une agression. Une enquête ouverte en Pologne une semaine après les faits pointe même vers un missile ukrainien comme responsable des dommages, et non un engin ennemi.


Ces contradictions émergent rapidement, mais sont enterrées sous un matraquage médiatique qui alimente la psychose, y compris via l’intelligence artificielle qui recycle ces articles sans filtre.

Un changement de doctrine OTAN : l’escalade idiote

Saisissant cette opportunité douteuse, l’OTAN a modifié sa doctrine le 23 septembre 2025, autorisant désormais l’abattage d’avions russes violant l’espace aérien allié, au lieu de les escorter simplement hors zone. Ce virage, annoncé dans un relatif silence, marque un tournant agressif : des déclarations du secrétaire général Mark Rutte indiquent que l’Alliance utiliserait « tous les moyens nécessaires » pour défendre son territoire. Donald Trump, lors d’une conférence de presse, a même encouragé à abattre ces appareils, renforçant une posture belliqueuse qui ignore les risques d’escalade.

Mais cette réponse est non seulement disproportionnée, elle est stupide. Les preuves d’une menace russe délibérée sont fragiles – des drones épuisés en batterie tombant par accident, ou des intrusions mineures souvent dues à des erreurs de navigation. L’ambassadeur russe en France a averti que tout abattage équivaudrait à « la guerre », rappelant que des avions OTAN violent aussi l’espace russe sans conséquence dramatique. Berlin qualifie ces appels à la force de « contre-productifs« , évoquant l’incident turc de 2015 où l’abattage d’un jet russe avait failli déclencher une crise majeure.

L’OTAN, en durcissant sa ligne, révèle son désir de guerre, utilisant ces incidents montés en épingle pour justifier plus d’armements et d’engagement en Ukraine.

Une fabrique de peur pour justifier l’injustifiable

Cette affaire n’est pas une coïncidence : elle s’inscrit dans une stratégie de diabolisation de Moscou, amplifiée par des figures comme Volodymyr Zelensky, qui affirme que la Russie prépare de nouveaux fronts européens. L’objectif ? Alimenter la « fabrique de la peur » pour obtenir plus de fonds et d’armes, au détriment des contribuables. Des analyses indépendantes sur les réseaux soulignent que ces drones pourraient provenir de bases OTAN elles-mêmes, recyclant du matériel capturé pour créer un prétexte. Le scepticisme grandit : des publications ironiques notent que ces engins « aiment se faire remarquer » avec des lumières clignotantes idéales pour les caméras, comme dans un mauvais film de guerre.

Cette propagande n’est pas nouvelle ; elle fait écho aux absurdités grotesques de la Première Guerre mondiale, où des rumeurs invraisemblables étaient diffusées pour manipuler l’opinion publique et justifier l’escalade.

Par exemple, des récits inventés d’atrocités allemandes en Belgique décrivaient des soldats mutilés avec des oreilles et nez coupés, étouffés par des copeaux de bois, ou des villes rasées avec des exécutions massives de femmes et enfants – des histoires si exagérées qu’elles défient toute logique, comme dans le Kriegsecho (journal de guerre) de septembre 1914 ou le roman L’Éclat d’obus de Maurice Leblanc. D’autres propagandes ridicules incluaient :

  • Des affirmations que « les obus allemands n’éclatent pas dans la proportion de 80 % » (Journal, 19 août 1914),
  • « Leur artillerie lourde est comme eux, elle n’est que bluff. Leurs projectiles ont très peu d’efficacité… et tous les éclats… vous font simplement des bleus. »
    in Le Matin, Lettre du front, 15 septembre 1914
  • En septembre 1914, un médecin explique dans L’Intransigeant que «  les allemands tirent mal, leurs obus éclatent lourdement et les éclats ont peu de force  », tandis que « les éclats de nos obus font des plaies plus graves ». Selon lui les balles allemandes pénètrent très vite dans le corps si bien que « la blessure est presque aseptisée » et est ainsi facile à soigner (voir ici).
  • Minimisant l’ennemi pour booster le moral, ou des accusations pseudo-scientifiques comme celles du Dr. Edgar Berillon en 1917, prétendant que les Allemands ont « la raison dans le ventre » et une « odeur de race » distinctive,
  • Des théories raciales absurdes destinées à susciter une haine irrationnelle.
  • Sans oublier les rumeurs paranoïaques de crayons explosifs introduits par des espions ennemis (circulaire française n° 3’733),
  • Ou des « auxiliaires de couleur » portant des colliers d’oreilles coupées (Bulletin du CICR, 1916) – des fabrications grotesques exploitant le racisme et la peur, sans la moindre preuve.

Ces techniques de « bourrage de crâne » étaient si ridicules qu’elles ne pouvaient tromper que les imbéciles crédules, prêts à gober n’importe quelle fable pour soutenir la guerre.

De même, les drones russes « réparés au scotch » et survolant impunément l’OTAN sont une farce moderne, une propagande tout aussi invraisemblable qui ne dupe que ceux qui refusent d’exercer un minimum d’esprit critique, perpétuant un cycle idiot de manipulation pour envenimer les conflits actuels.

En réalité, cette propagande est idiote car elle ignore les asymétries : intercepter un drone coûte souvent plus cher que de l’envoyer, et escalader pour des incidents mineurs ne profite qu’aux va-t-en-guerre. Des sources alternatives dénoncent une « vérité derrière la propagande » où l’OTAN manipule les faits pour maintenir la tension. Au lieu de calmer le jeu, cette narrative envenime le conflit russo-ukrainien, risquant une confrontation directe pour des raisons fallacieuses.

Les médias (et affiliés…) qui se livraient à cette propagande morbide et ridicule portent la responsabilité de plus d’une centaine de millions de morts des deux guerres mondiales précédentes.

De la même manière, ceux qui soutiennent et promeuvent aujourd’hui, de manière toute aussi ridicule, une escalade risquant de mener à une potentielle troisième guerre mondiale verront leur responsabilité morale et pénale engagée : les Français n’oublieront pas leur nom !

En conclusion, les « drones russes » de septembre 2025 ne sont qu’un chapitre de plus dans la saga de la désinformation belliciste. Contredits par des enquêtes et des preuves inverses, ils servent à justifier une escalade inutile et dangereuse. Il est temps de questionner ces récits mainstream et de prioriser la désescalade, plutôt que de laisser les faucons dicter une politique idiote qui pourrait embraser l’Europe entière.

https://multipol360.com/la-farce-des-drones-russes-une-propagande-belliciste-pour-enflammer-le-conflit-russo-ukrainien/

 


B -  Madagascar plonge dans le chaos : tirs policiers et pillages nocturnes 

Madagascar, située dans l’océan Indien occidental, est la quatrième plus grande île du monde avec une superficie d’environ 587.000 km², soit presque la taille du Texas. Elle se trouve à environ 400 km à l’est de la côte africaine, séparée du continent par le canal du Mozambique, et est entourée d’îles comme les Comores au nord-ouest et les Mascareignes (dont Maurice et La Réunion) à l’est. Géologiquement, l’île s’est séparée du supercontinent Gondwana il y a environ 165 millions d’années, ce qui a favorisé une biodiversité unique avec des espèces endémiques comme les lémuriens. Historiquement, Madagascar a été peuplée relativement tard, vers 350-550 après J.-C., par des Austronésiens venus d’Indonésie, suivis de vagues migratoires bantoues et arabes, formant une culture malgache diversifiée. Au XIXe siècle, elle est devenue un royaume unifié avant d’être colonisée par la France en 1896. L’indépendance est acquise en 1960, mais l’île a connu une instabilité politique chronique, avec des coups d’État, des crises économiques et une pauvreté endémique affectant plus de 75 % de la population, aggravée par la corruption et les inégalités sociales.

Ces troubles récents à Madagascar font écho à des crises similaires en Asie du Sud-Est en septembre 2025. Aux Philippines, des manifestations anti-corruption ont dégénéré en affrontements violents le 21 septembre, avec plus de 33.000 participants protestant contre un scandale impliquant 545 milliards de pesos (environ 8 milliards d’euros) de fonds publics détournés pour des projets d’inondation. Comme à Madagascar, les protestations pacifiques ont tourné à la violence, avec jets de pierres, bombes incendiaires, et une répression policière menant à plus de 200 arrestations (dont des mineurs), des blessés, et au moins un mort. La frustration contre la corruption élitaire et la mauvaise gestion des ressources essentielles (ici, les inondations ; là-bas, l’eau et l’électricité) a conduit à des appels pour une enquête indépendante et des réformes, bien que le président Marcos Jr. ait accepté une démission ministérielle sans chute immédiate du gouvernement. De même, au Népal, des tensions extrêmes ont éclaté début septembre contre la corruption, le chômage des jeunes (19-20 %) et la censure de 26 réseaux sociaux. Menées par la Gen Z (40 % de la population), ces protestations ont viré à la violence avec répression policière (tirs à balles réelles, gaz lacrymogènes), causant au moins 19 morts, plus de 100 blessés, et l’incendie de bâtiments publics. Comme à Madagascar, la jeunesse a dénoncé l’opulence des élites face à la pauvreté (20 % sous le seuil), menant à la démission du Premier ministre K.P. Sharma Oli et une prise de contrôle par l’armée – un potentiel « vent de changement » évoqué par des policiers sympathisants, similaire aux observations locales malgaches.

Ces cas illustrent une vague mondiale de révoltes anti-corruption, où la répression policière et les inégalités pourraient inspirer ou aggraver les dynamiques à Madagascar.

Madagascar est secoué par une vague de protestations explosives depuis fin septembre 2025, déclenchées par des coupures d’eau et d’électricité chroniques, la corruption endémique et une pauvreté extrême. Ce qui a débuté comme des manifestations pacifiques menées par la « Gen Z » et des étudiants a viré au cauchemar urbain, avec pillages généralisés et violences policières. Une vidéo YouTube, titrée « Madagascar tombe : la police ouvre le feu sur les civils » (voir ci-dessous), expose le rôle controversé des forces de l’ordre, entre passivité face aux pilleurs et tirs sur civils. Au moins cinq morts à Antananarivo et six à Antsiranana ont été rapportés par des sources hospitalières.

Revendications pacifiques dégénérant en affrontements

Les protestations « Leo Délestage » ont éclaté le 25 septembre, malgré une interdiction préfectorale pour « risques de troubles ». Les manifestants, arborant drapeaux pirates et chapeaux colorés, exigent l’accès à l’eau, l’électricité et la nourriture – des droits basiques ignorés par le gouvernement. Theo Malini souligne : « On en a marre… pas d’école, pas d’or, pas d’électricité. » Ces coupures, souvent supérieures à 12 heures, aggravent la misère dans un des pays les plus inégalitaires au monde.

Dès le premier jour, les forces de l’ordre déploient grenades lacrymogènes et tirs de sommation, causant des morts et des blessures. Malini rapporte des familles gazées dans des toilettes publiques, menant au décès de deux nourrissons. Les protestations s’étendent à six villes, dont Antsiranana, où six personnes, dont un étudiant, périssent le 26 septembre.

Nuits de terreur : pillages et complicité policière

La vidéo de Malini dépeint des nuits apocalyptiques : pillages de centres commerciaux, distributeurs saccagés et téléphérique incendié – un projet jugé absurde face aux besoins vitaux. « Maintenant il a cramé », ironise Malini. Les pilleurs, issus des classes pauvres, arrachent tout : métal, carrelage, panneaux solaires, pour revendre ou réutiliser.

Ces actes débordent sur les habitations, forçant les citoyens à former des milices de quartier via les réseaux sociaux : « Rapprochez-vous de votre voisinage… s’entraider. » Malini accuse la police de passivité : des vidéos montrent des pilleurs opérant sous leurs yeux, « les bras croisés et elle sourit ». Des patrouilles ignorent les appels à l’aide, et une rumeur évoque un homme payant pour inciter aux pillages. La nuit du 25 ressemble à une « purge » : cris couverts par de la musique forte, numéros d’urgence inopérants, et attaque du domicile des parents du président Andry Rajoelina.

Malini distingue manifestants pacifiques et opportunistes : « Ce ne sont pas les manifestants… c’est pas de tout casser. » Des barricades et incendies visent aussi des résidences de députés pro-gouvernementaux.

 


 

Escalade policière : de la lacrymo aux balles réelles

Un couvre-feu nocturne (19h-5h) est imposé à Antananarivo, prolongé indéfiniment. Malini rapporte des tirs à balles réelles, potentiellement contre des pilleurs, mais l’absence de caméras rend la distinction floue : « On peut pas savoir. » Des gaz lacrymogènes atterrissent même dans un hôpital. Il pointe des « policiers cagoulés en noir » – forces spéciales obéissant directement au pouvoir – comme responsables des excès.

Reporters Sans Frontières dénonce des attaques contre trois journalistes. Sur X, des vidéos montrent des fusils d’assaut contre des civils, et des appels à la « guerre civile » émergent.

 


 

Réactions et horizon incertain

Le président Rajoelina, absent pour l’ONU, reste silencieux. Le Conseil des Églises appelle à la paix, rappelant les droits fondamentaux. Malini note un « vent qui tourne » : certains policiers sourient aux manifestants. Des citoyens nettoient les rues et aident les victimes.

Cette crise évoque les émeutes de 2022 à Ikongo, avec 11-19 morts par tirs policiers. Sans réformes, l’escalade menace. Des observateurs comme l’ONU suivent, appelant au respect des droits.

Ces émeutes ont toutes le même dénominateur commun : la trahison des élites et les mêmes conséquences : la destruction, la vengeance, et la mort. Ces événements tragiques devraient servir de mise en garde aux nations d’Europe qui sont entrées dans cette spirale infernale.

https://multipol360.com/madagascar-plonge-dans-le-chaos-tirs-policiers-et-pillages-nocturnes/ 

 


 

C - Élections législatives en Moldavie : une victoire pro-européenne entachée de fraudes

Les élections législatives moldaves du 28 septembre 2025 ont vu le Parti d’Action et de Solidarité (PAS) de la présidente Maia Sandu remporter une majorité étroite avec 50,03 % des voix, selon les résultats officiels après dépouillement de 99,52 % des bulletins. Le Bloc électoral des Patriotes, pro-Russe, arrive en deuxième position avec 24,26 %, tandis que le Mouvement Alternatif National (MAN) obtient 8 %. Avec un taux de participation de 52 %, similaire à celui de 2021, cette élection était censée renforcer l’orientation pro-européenne de la Moldavie.

Pourtant, derrière cette façade de « victoire démocratique », se cachent de graves dysfonctionnements et des accusations de fraudes orchestrées pour marginaliser les électeurs pro-russes, remettant en question la légitimité du scrutin.

Des mesures pour empêcher les pro-russes de voter

L’un des aspects les plus controversés de ces élections concerne les obstacles imposés aux minorités russophones et aux électeurs pro-russes. En Transnistrie, région séparatiste à majorité russe, les autorités moldaves ont été accusées de créer délibérément des embouteillages massifs sur les ponts reliant la zone à la Moldavie proprement dite. Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des files interminables de voitures, avec une voie fermée pour des « travaux » fictifs et des contrôles frontaliers prolongés sous prétexte de pannes informatiques. Ces manœuvres auraient empêché des milliers de citoyens moldaves de Transnistrie – environ 500.000 personnes potentiellement éligibles – de se rendre aux urnes. Les autorités transnistriennes ont dénoncé ces restrictions comme une tentative claire de suppression des voix pro-russes, qui pourraient avoir fait basculer le résultat.

Par ailleurs, la diaspora moldave joue un rôle crucial dans les élections, représentant une part significative des votes. Or, tandis que 268 bureaux de vote ont été ouverts en Europe occidentale (Italie, Allemagne, France, etc.), seulement deux l’ont été en Russie – tous deux à Moscou, ignorant des villes comme Saint-Pétersbourg ou Novosibirsk.

Des centaines de milliers de Moldaves vivant en Russie, souvent favorables à une coopération avec Moscou plutôt qu’avec l’UE, ont ainsi été de facto exclus du processus électoral, sous le prétexte d’une « influence russe ».

Cette asymétrie flagrante dans la distribution des bureaux de vote suggère une manipulation géopolitique, favorisant les diasporas pro-européennes tout en marginalisant les pro-russes. Cette situation évoque fortement le référendum d’octobre 2024 sur l’adhésion à l’UE, où les bulletins de l’étranger (environ 235.503) ont inversé un NON majoritaire à 54,41 % en un OUI à 50,31 %, une inversion comme illustré dans cette publication sur X qui met en lumière des sauts suspects dans les courbes de dépouillement.

https://x.com/GPTVoff/status/1848632544196968787

Interdictions de partis et répression de l’opposition

Avant même le scrutin, le gouvernement Sandu a banni plusieurs partis d’opposition pro-russes, comme le Parti Șor, le Parti Chance et, à la veille des élections, le Cœur de la Moldavie, membre de la coalition patriotique d’Igor Dodon. Ces interdictions, justifiées par des accusations de « violations de financement » sans preuves publiques détaillées, ont éliminé des concurrents directs au PAS. De plus, 74 arrestations préventives ont visé des opposants, avec des charges vagues d’ « agitation ». La dirigeante de la Gagaouzie, Evghenia Guțul, une région autonome pro-russe, fait l’objet d’enquêtes continues, illustrant une répression systématique.


L’opposition, menée par l’ancien président Igor Dodon, a appelé à des manifestations pacifiques, accusant le régime Sandu de préparer des fraudes massives. Des observateurs locaux comme Promo-LEX ont rapporté des centaines d’irrégularités, bien que les autorités moldaves et l’UE mettent l’accent sur une prétendue « ingérence russe » – des campagnes de désinformation et des tentatives d’achat de votes par Moscou. Cependant, ces allégations semblent servir de paravent pour masquer les dysfonctionnements internes, comme l’exclusion des voix pro-russes.

La déclaration choc de Maia Sandu : annuler les élections en cas de défaite ?

Un élément particulièrement alarmant est la déclaration attribuée à Maia Sandu : si son parti perdait, les élections devraient être annulées. Cette affirmation, relayée par des figures comme l’ancien président Dodon et des analystes indépendants, évoque le scénario roumain de décembre 2024, où des résultats ont été invalidés sous des prétextes similaires. Sandu a elle-même évoqué des « interférences massives » sans fournir de preuves concrètes, menaçant de sanctions par la Commission électorale centrale (CEC), qu’elle contrôle largement. Des services de renseignement russes affirment que des troupes étrangères occidentales sont prêtes à intervenir pour écraser toute contestation, renforçant l’idée d’un scrutin truqué.

Le silence de l’Union européenne sur ces abus est éloquent. Bruxelles, qui soutient financièrement Sandu, qualifie sa victoire de « choix démocratique contre l’influence russe », ignorant les exclusions et manipulations. Des leaders comme le président du Conseil européen et Emmanuel Macron ont salué le résultat (après leur visite ainsi que celle des services de renseignement français), mais cela masque une ingérence européenne bien réelle, y compris via des fonds et des campagnes pro-Sandu. 8 jours avant le scrutin, l’UE annonçait une aide de 1,8 milliard d’euros à la Moldavie.

 


 

Une démocratie en péril

Ces élections moldaves illustrent une « démocratie » à géométrie variable : inclusive pour les pro-européens, exclusive pour les pro-russes. Avec des partis bannis, des votes supprimés et des menaces d’annulation, le scrutin ressemble plus à une opération de consolidation du pouvoir qu’à un exercice libre d’expression de la démocratie.

C’est dorénavant le logiciel utilisé par les européistes qui n’hésitent plus à truquer les élections lorsqu’ils sentent qu’elles leur seront défavorables. Et c’est aussi pour cela qu’ils ne veulent surtout pas de référendum sur l’UE (auquel les Français ont déjà répondu non !).

Nous avons déjà un aperçu de ce qui nous attend, sans parler de la mise en place du vote électronique…

 https://multipol360.com/elections-legislatives-en-moldavie-une-victoire-pro-europeenne-entachee-de-fraudes/

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