« C’est à l’ombre des lys que vos libertés se sont épanouies et que la France a connu son apogée »
Dans une tribune publiée récemment dans *Le Journal du Dimanche*, Louis de Bourbon, duc d’Anjou et prétendant légitimiste au trône de France, alerte sur l’effondrement imminent de la Ve République. Il dénonce un système politique paralysé par les logiques partisanes, incapable de répondre aux défis actuels du pays. À l’heure où la France traverse une période de turbulence inédite, avec des gouvernements qui s’effondrent les uns après les autres, la voix de cet héritier de la dynastie capétienne résonne comme un appel à repenser les fondements de l’État. Mais qui est Louis de Bourbon ? Quelle est sa généalogie, et comment sa candidature potentielle à la tête de la France s’inscrit-elle dans le contexte d’un pays à la dérive ? Enfin, pourquoi ne pas envisager un retour à une monarchie constitutionnelle pour restaurer la stabilité ?
Louis Alphonse de Bourbon, né en 1974 à Madrid, est le chef de la Maison de Bourbon et se présente comme Louis XX, héritier légitime du trône de France. Sa lignée remonte directement à la dynastie capétienne, la plus ancienne maison royale d’Europe, fondée par Hugues Capet en 987. Plus précisément, il descend de Louis XIV, le Roi Soleil, par la branche espagnole des Bourbons.
– **Louis XIV (1638-1715)**, roi de France, épousa Marie-Thérèse d’Autriche. Leur fils, le Grand Dauphin, engendra Philippe, duc d’Anjou, qui devint **Philippe V d’Espagne (1683-1746)**, marquant le début de la branche bourbonienne espagnole.
– Philippe V transmit la couronne à ses descendants, menant à **Alphonse XIII d’Espagne (1886-1941)**, arrière-grand-père de Louis de Bourbon.
– Le père de Louis, **Alphonse de Bourbon (1936-1989)**, duc d’Anjou et de Cadix, était le fils de **Jacques de Bourbon (1908-1975)**, lui-même fils d’Alphonse XIII. Louis de Bourbon a ainsi hérité du titre de duc d’Anjou, traditionnellement porté par les prétendants légitimistes.
Cette ascendance le place comme le représentant de la ligne aînée des Bourbons, selon les règles de la loi salique, qui privilégie la primogéniture masculine stricte. Bien que né en Espagne, Louis de Bourbon possède la nationalité française et réside souvent en France, où il s’implique dans des causes philanthropiques et historiques.
Pour comprendre la position de Louis de Bourbon, il faut replonger dans l’histoire des mouvements monarchistes français, divisés depuis le XIXe siècle entre deux grandes branches : les légitimistes et les orléanistes. Ces factions divergent sur la question de la succession légitime au trône après la Révolution française et les bouleversements dynastiques.
– Les légitimistes : Ils défendent une monarchie absolue ou traditionnelle, fondée sur la loi salique et la primogéniture agnatique (transmission par les mâles aînés uniquement). Après la mort sans héritier de Henri, comte de Chambord (dernier descendant direct de Charles X) en 1883, les légitimistes ont transféré leur allégeance à la branche espagnole des Bourbons, considérée comme la plus senior. Louis de Bourbon est ainsi leur prétendant, incarnant une vision conservatrice et catholique de la royauté, où le roi est un arbitre au-dessus des partis, guidé par le bien commun et l’héritage capétien.
– Les orléanistes : Issus de la branche cadette des Orléans, descendants de Philippe d’Orléans (frère de Louis XIV), ils soutiennent une monarchie constitutionnelle plus libérale et parlementaire. Leur figure historique est Louis-Philippe Ier, roi des Français de 1830 à 1848, qui régnait sous une forme « bourgeoise » et constitutionnelle. Les orléanistes, comme le comte de Paris (actuel prétendant orléaniste), prônent un roi « premier citoyen » intégré dans un système démocratique moderne, avec un accent sur les libertés individuelles et l’économie libérale. Ils rejettent souvent la branche espagnole, arguant que la renonciation de Philippe V à ses droits français en 1713 (traité d’Utrecht) les exclut de la succession.
Cette division persiste aujourd’hui au sein des cercles monarchistes français, bien que des rapprochements aient eu lieu au XXe siècle. Louis de Bourbon, en tant que légitimiste, incarne une tradition plus « pure » et historique, opposée à ce qu’il perçoit comme les compromis orléanistes.
La tribune de Louis de Bourbon arrive à un moment critique pour la France. En 2025, le pays est plongé dans une crise politique sans précédent sous la Ve République. Après les élections législatives de 2024, qui n’ont donné de majorité claire à aucun camp, les gouvernements se succèdent et s’effondrent : le Premier ministre Sébastien Lecornu a démissionné après seulement 14 heures en poste, marquant le quatrième chef du gouvernement en moins de deux ans sous Emmanuel Macron. Le pays fait face à un déficit budgétaire abyssal, une dette publique galopante et une paralysie institutionnelle, avec des appels à des élections anticipées qui divisent encore plus les partis.
Les tensions sociales s’exacerbent : crises économiques, identitaires et sécuritaires minent la cohésion nationale, tandis que les menaces extérieures (géopolitiques et climatiques) s’accumulent sans réponse cohérente. Les partis politiques, fragmentés entre extrême droite, gauche radicale et centre macronien, ne parviennent pas à l’unanimité, rendant le pays ingouvernable. Comme l’affirme Louis de Bourbon dans sa tribune : « L’état politique, institutionnel et social de notre pays ne cesse d’empirer. […] Les institutions républicaines et la classe politique ne sont pas à la hauteur des défis du temps. » Cette impasse républicaine, qu’il compare aux échecs des républiques passées, renforce son appel à un retour aux racines monarchiques pour une stabilité durable.
Face à cette dérive, la candidature implicite de Louis de Bourbon à la tête de l’État prend tout son sens. En tant qu’héritier non partisan, il propose une figure arbitrale au-dessus des factions, capable d’incarner l’unité nationale et une vision à long terme. Il insiste sur des principes monarchiques comme « la stabilité, le temps long, la vision sur plusieurs générations », contrastant avec l’immobilisme républicain actuel. Dans un pays où les présidents successifs peinent à transcender les clivages, un monarque constitutionnel pourrait assurer la continuité de l’État, comme en Espagne ou au Royaume-Uni, où la royauté modère les excès démocratiques sans les abolir.
Pourquoi pas une monarchie constitutionnelle ? Elle combinerait l’héritage capétien avec les acquis républicains : un roi symbole d’unité, un parlement élu pour les affaires courantes, et des mécanismes de contrôle démocratique. Cela pourrait résoudre l’ingouvernabilité en évitant les blocages partisans, tout en restaurant un sens du bien commun invoqué par Saint Louis, modèle cité par de Bourbon. À l’aube de 2027, avec la fin du mandat de Macron, cette option, bien qu’audacieuse, pourrait inspirer un débat salutaire pour une France en quête de renouveau.
https://multipol360.com/louis-de-bourbon-un-heritier-royal-face-a-la-crise-de-la-ve-republique/
« C’est à l’ombre des lys que vos libertés se sont épanouies et que la France a connu son apogée »
Donald Trump a entamé mardi soir sa deuxième visite d’État au Royaume-Uni, une étape diplomatique hautement symbolique marquée par des annonces économiques contrastées. Invité par le roi Charles III sur une lettre remise en main propre par le Premier ministre Keir Starmer en mars dernier au Bureau ovale, le président américain a été accueilli avec faste à Windsor. Pourtant, l’ambiance reste tendue : le spectre de Jeffrey Epstein plane, avec des projections d’images du financier sur le château de Windsor lors de manifestations anti-Trump, tandis que Starmer affronte des revers politiques internes et des protestations populaires.
Malgré ces nuages, les premières annonces concrètes portent sur un partenariat technologique ambitieux. Le Royaume-Uni et les États-Unis ont signé le « Tech Prosperity Deal », un accord présenté comme un « virage générationnel » dans les relations bilatérales.
Selon Downing Street, cet accord mobilise plus de 31 milliards de livres d’investissements de géants américains de la tech, dont Microsoft, Nvidia, OpenAI, Google et Salesforce, principalement dans les infrastructures pour data centers et superordinateurs.
Keir Starmer a salué cette initiative comme « un pas décisif pour faire du Royaume-Uni un leader mondial de l’IA ». Des sources officielles évoquent même un engagement total atteignant 150 milliards de livres, créant potentiellement 7.600 emplois dans le secteur. Nvidia et OpenAI ont notamment annoncé des investissements massifs en IA et en calcul quantique, renforçant la position britannique dans un domaine où DeepMind – racheté par Google – reste un atout majeur.
Ce pacte, scellé lors d’une rencontre à Chequers, la résidence de campagne du Premier ministre, inclut aussi des collaborations en énergie nucléaire civile et en découverte de médicaments.
Lors d’une conférence de presse conjointe, Trump et Starmer ont mis en avant le renouveau de la « relation spéciale » entre les deux nations,
évitant toutefois les sujets épineux comme la reconnaissance d’un État palestinien ou les guerres en Ukraine et à Gaza.
Cependant, sur le front commercial traditionnel, c’est un revers pour Londres. Le Royaume-Uni a dû renoncer à sa promesse d’avril – un 0 % de droits de douane américains sur sa sidérurgie, négocié en mai.
Les pourparlers ont été gelés indéfiniment, laissant les tarifs
douaniers à 25 % sur les importations d’acier et d’aluminium
britanniques aux États-Unis. L’industrie sidérurgique britannique, déjà
fragilisée, qualifie cette absence d’accord de « décevante », surtout à
l’approche de la visite de Trump. Cette décision reflète la fermeté
de l’administration Trump sur les questions commerciales, avec des
annonces récentes doublant les tarifs sur l’acier pour la plupart des
pays, y compris le Royaume-Uni.
Ces contrastes soulèvent des interrogations stratégiques. En choisissant d’aligner le Royaume-Uni sur l’écosystème américain de l’IA – via des investissements massifs et une coopération accrue –, Starmer semble opter pour une intégration transatlantique plutôt que pour la souveraineté européenne prônée par d’autres pays du continent, comme la France ou l’Allemagne, qui investissent dans des initiatives locales souvent critiquées pour leur manque de crédibilité. DeepMind, pilier britannique de l’IA, reste sous bannière américaine, renforçant cette orientation.
Reste à savoir si ces gains technologiques impliquent des concessions ailleurs. Le Royaume-Uni pourrait-il abandonner sa taxe sur les géants du numérique (GAFA) ou assouplir sa régulation sur la modération des contenus des réseaux sociaux, alignée sur les exigences de « liberté d’expression » défendues par la tech américaine ? Trump a déjà pressé Starmer d’utiliser l’armée contre la crise migratoire des petits bateaux, illustrant une influence directe.
Au final, cette visite illustre les priorités de Starmer : miser sur l’innovation pour relancer l’économie post-Brexit, au prix d’un alignement accru avec Washington. Tandis que Trump quitte les lieux en saluant un « succès », les défis persistent, entre tech florissante et acier en péril.
https://multipol360.com/trump-au-royaume-uni-keir-starmer-gagne-sur-la-tech-mais-perd-sur-lacier/
Un Américain à Windsor. Le président des États-Unis, Donald Trump s'est présenté en milieu de journée au château de Windsor, où il a été accueilli par la famille royale pour sa seconde visite d'État, qui se déroule loin du public et des manifestations. À leur sortie de l'hélicoptère, le président et sa femme Melania ont été reçus par le prince William ainsi que son épouse Catherine, suivis du roi Charles III et de la reine Camilla, sous un ciel nuageux.
Pour l'occasion, la rue principale de Windsor a été décorée avec des drapeaux britanniques et américains. Dans cette cité située à environ 40 kilomètres à l'ouest de Londres, les autorités sont fortement représentées. La visite s'effectue à l'écart, sans interaction avec le public. Donald Trump n'est pas populaire au Royaume-Uni et des milliers de manifestants sont attendus dans le centre de Londres pour exprimer leur désaccord face à sa visite.
Le rassemblement, convoqué par la coalition 'Stop Trump", a débuté à partir de 14h sous la supervision de plus de 1.600 agents de police.
Encadrée par un dispositif de sécurité exceptionnel, cette visite d'État de deux jours débute par un déploiement spectaculaire de faste royal, dont le dirigeant républicain est friand, et une cérémonie militaire d'une envergure sans précédent, impliquant 1.300 membres des forces armées britanniques.
Après une salve royale tirée du château et depuis la Tour de Londres, les trois couples ont participé à une procession en carrosse, mais toujours dans l'enceinte du domaine, et non dans les rues de la ville comme cela avait été le cas lors de la visite d'État du président français Emmanuel Macron en juillet.
"Cela va être un très grand jour", avait commenté M. Trump en arrivant au Royaume-Uni mardi soir. "Beaucoup de choses ici me réchauffent le cœur. (...) C'est un endroit très spécial", a-t-il aussi dit. Il s'est plusieurs fois félicité d'être le seul président américain à avoir deux fois les honneurs d'une visite d'État au Royaume-Uni. La première avait eu lieu en 2019.
À Windsor, le président américain aura l'unique privilège de passer en revue une garde d'honneur comprenant exceptionnellement trois régiments de la Garde royale, accompagnée d'une fanfare, tambours et cornemuses dans la cour carrée du château. Après un déjeuner en privé avec la famille royale, le couple Trump déposera des fleurs sur la tombe de la reine Elizabeth II, décédée en septembre 2022, dans la chapelle St George.
Un défilé aérien, alliant de façon inédite des avions de combat F35 britanniques et américains, et la patrouille acrobatique des "Red Arrows", précèdera le traditionnel banquet royal avec quelque 150 invités.
L'objectif de cette visite est d'amadouer Donald Trump. Cela ne va pas être facile. En effet, de nombreuses raisons peuvent entraver cette mission. D'abord le soutien de la Maison-Blanche à l'extrême droite britannique. Samedi 13 septembre 2025, quelques personnes ont par ailleurs été arrêtées pendant la manifestation contre l'immigration. Washington ne s'en est pas cachée : "Le président américain veut aborder le sujet de la liberté d'expression", a-t-elle fait savoir.
Autre dossier sensible : l'éviction de l'ambassadeur britannique aux États-Unis. Peter Mandelson était un proche de Jeffrey Epstein, son meilleur ami, a reconnu l'ambassadeur. Ainsi, le Premier ministre britannique n'avait pas apprécié et l'avait donc viré. Une décision qui n'avait pas plu à Donald Trump qui s'entendait bien avec Epstein et ce diplomate, dont l'influence était tellement importante qu'on le surnommait le prince des ténèbres.
Rajoutons à cela le fait que le Royaume-Uni a souhaité reconnaître l'État de Palestine et il y a d'ores et déjà trois potentiels sujets de discorde. Alors, on va suivre de près la conférence de presse commune de Donald Trump et Keir Starmer prévue ce jeudi 18 septembre 2025.
D'ailleurs, le Premier ministre britannique a sa cote de popularité au plus bas. Il se murmure qu'il est en sursis. Nigel Farage, le partisan de Trump, dépasse désormais les 30% d'intention de vote au Royaume-Uni, loin devant les travaillistes de Keir Starmer et les conservateurs. Il va falloir que le Premier ministre britannique remporte cette épreuve américaine.
Lors de cette visite, Londres et Washington devraient finaliser des droits de douane. Il y aura aussi un contrat important au sujet du nucléaire civil. Donald Trump va d'ailleurs amener avec lui une brochette de patrons.
Enfin, pour dompter le Président américain, un accueil royal lui sera réservé à Windsor avec un tour en calèche et un grand dîner dans la salle Saint-Georges. La première fois que Trump avait été reçu ainsi, en 2019, la reine Elizabeth l'avait trouvé malpoli.
Alors que Donald Trump est en visite d’État au Royaume-Uni, des militants ont projeté sur une tour du château de Windsor des images où on le voit prendre la pose aux côtés du criminel sexuel Jeffrey Epstein.
Des militants ont projeté mardi soir des images de Donald Trump et du criminel sexuel Jeffrey Epstein sur une tour du château de Windsor, où le président américain sera accueilli mercredi en visite d'État au Royaume-Uni, selon des images de l'AFP TV.
Parmi les images, des portraits de Jeffrey Epstein, mort en prison en 2019 avant son procès pour exploitation sexuelle, ou encore des images des deux hommes côte à côte. En dessous, la signature que la presse américaine attribue à Donald Trump et qui est au cœur d’une lettre d’anniversaire controversée à destination de Jeffrey Epstein.
Derrière cette action, le groupe britannique Led by Donkeys («Dirigés par des ânes»). Le collectif, qui demande des comptes aux responsables politiques avec des campagnes souvent humoristiques, a réussi à diffuser pendant plusieurs minutes un montage vidéo sur l’une des tours de la résidence royale, située à l’ouest de Londres.
Dans la foulée, la police locale a annoncé dans un communiqué l’arrestation et le maintien en garde à vue de quatre personnes suspectées de «communications malveillantes». «Nous prenons toute activité non autorisée autour du château de Windsor extrêmement au sérieux», a déclaré Felicity Parker, une responsable de la Thames Valley Police citée dans le communiqué, assurant que les agents ont «rapidement stoppé la projection» avant d’arrêter les quatre suspects.
L'affaire du criminel sexuel américain Jeffrey Epstein empoisonne la présidence de Donald Trump depuis des semaines. Le dirigeant républicain a longtemps été un proche de ce financier, avant de rompre avec lui.
C'est aussi un sujet qui est venu hanter cette semaine le premier ministre britannique Keir Starmer, qui a limogé son ambassadeur à Washington, Peter Mandelson, après des révélations sur les liens étroits entre ce dernier et Jeffrey Epstein.
Avant même que l'avion Air Force One du président américain ne se pose sur le sol britannique, des dizaines de manifestants anti-Trump étaient rassemblés à Windsor mardi après-midi pour protester contre sa venue. Des militants pour le climat ont aussi interrompu un dîner organisé par l'organisation des républicains américains à l'étranger. Une activiste a accusé le président Trump d'entraîner le monde «sur la voie du fascisme et de l'effondrement climatique».
Mercredi, des milliers de manifestants ont prévu de protester à Londres contre cette visite d'État, la deuxième de Donald Trump au Royaume-Uni, pendant laquelle le dirigeant a prévu d'éviter la capitale et le public. Il restera confiné mercredi dans l'enceinte du château de Windsor où le couple présidentiel sera l'hôte du roi Charles III et de la reine Camilla, avant de rejoindre le premier ministre Keir Starmer jeudi pour une journée plus politique et économique dans sa résidence de campagne de Chequers, à 70 km de Londres.
« Dieu Tout Puissant et Eternel qui avez établi l’Empire des Francs dans le monde pour être l’instrument de Vos Divines Volontés, le glaive et le bouclier de Votre Sainte Eglise, nous Vous en prions éclairez toujours et partout de Votre Céleste Lumière les fils suppliants des Francs afin qu’ils voient ce qu’il faut faire pour réaliser Votre Règne en ce monde, et que, pour accomplir ce qu’ils ont vu, ils soient emplis de charité, d’amour, de force et d’espérance. »
« En tant que musulmane, cela me fait de la peine quand quelqu’un se moque d’une religion, mais ce qui me blesse plus encore, ce sont les actions de criminels qui osent se servir de l’Islam pour justifier un meurtre de sang froid ».