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octobre 09, 2025

Louis de Bourbon, prétendant légitimiste au trône de France et de Navarre, alerte sur la « crise politique et institutionnelle » que traverse le pays.

Louis de Bourbon : Un héritier royal face à la crise de la Ve République 

Dans une tribune publiée récemment dans *Le Journal du Dimanche*, Louis de Bourbon, duc d’Anjou et prétendant légitimiste au trône de France, alerte sur l’effondrement imminent de la Ve République. Il dénonce un système politique paralysé par les logiques partisanes, incapable de répondre aux défis actuels du pays. À l’heure où la France traverse une période de turbulence inédite, avec des gouvernements qui s’effondrent les uns après les autres, la voix de cet héritier de la dynastie capétienne résonne comme un appel à repenser les fondements de l’État. Mais qui est Louis de Bourbon ? Quelle est sa généalogie, et comment sa candidature potentielle à la tête de la France s’inscrit-elle dans le contexte d’un pays à la dérive ? Enfin, pourquoi ne pas envisager un retour à une monarchie constitutionnelle pour restaurer la stabilité ?


La généalogie de Louis de Bourbon : Un descendant direct des rois de France

Louis Alphonse de Bourbon, né en 1974 à Madrid, est le chef de la Maison de Bourbon et se présente comme Louis XX, héritier légitime du trône de France. Sa lignée remonte directement à la dynastie capétienne, la plus ancienne maison royale d’Europe, fondée par Hugues Capet en 987. Plus précisément, il descend de Louis XIV, le Roi Soleil, par la branche espagnole des Bourbons.

Voici un aperçu simplifié de sa généalogie :

– **Louis XIV (1638-1715)**, roi de France, épousa Marie-Thérèse d’Autriche. Leur fils, le Grand Dauphin, engendra Philippe, duc d’Anjou, qui devint **Philippe V d’Espagne (1683-1746)**, marquant le début de la branche bourbonienne espagnole.

– Philippe V transmit la couronne à ses descendants, menant à **Alphonse XIII d’Espagne (1886-1941)**, arrière-grand-père de Louis de Bourbon.

– Le père de Louis, **Alphonse de Bourbon (1936-1989)**, duc d’Anjou et de Cadix, était le fils de **Jacques de Bourbon (1908-1975)**, lui-même fils d’Alphonse XIII. Louis de Bourbon a ainsi hérité du titre de duc d’Anjou, traditionnellement porté par les prétendants légitimistes.

Cette ascendance le place comme le représentant de la ligne aînée des Bourbons, selon les règles de la loi salique, qui privilégie la primogéniture masculine stricte. Bien que né en Espagne, Louis de Bourbon possède la nationalité française et réside souvent en France, où il s’implique dans des causes philanthropiques et historiques.

 


 

Les branches monarchistes en France : Légitimistes versus Orléanistes

Pour comprendre la position de Louis de Bourbon, il faut replonger dans l’histoire des mouvements monarchistes français, divisés depuis le XIXe siècle entre deux grandes branches : les légitimistes et les orléanistes. Ces factions divergent sur la question de la succession légitime au trône après la Révolution française et les bouleversements dynastiques.

Les légitimistes : Ils défendent une monarchie absolue ou traditionnelle, fondée sur la loi salique et la primogéniture agnatique (transmission par les mâles aînés uniquement). Après la mort sans héritier de Henri, comte de Chambord (dernier descendant direct de Charles X) en 1883, les légitimistes ont transféré leur allégeance à la branche espagnole des Bourbons, considérée comme la plus senior. Louis de Bourbon est ainsi leur prétendant, incarnant une vision conservatrice et catholique de la royauté, où le roi est un arbitre au-dessus des partis, guidé par le bien commun et l’héritage capétien.

Les orléanistes : Issus de la branche cadette des Orléans, descendants de Philippe d’Orléans (frère de Louis XIV), ils soutiennent une monarchie constitutionnelle plus libérale et parlementaire. Leur figure historique est Louis-Philippe Ier, roi des Français de 1830 à 1848, qui régnait sous une forme « bourgeoise » et constitutionnelle. Les orléanistes, comme le comte de Paris (actuel prétendant orléaniste), prônent un roi « premier citoyen » intégré dans un système démocratique moderne, avec un accent sur les libertés individuelles et l’économie libérale. Ils rejettent souvent la branche espagnole, arguant que la renonciation de Philippe V à ses droits français en 1713 (traité d’Utrecht) les exclut de la succession.

Cette division persiste aujourd’hui au sein des cercles monarchistes français, bien que des rapprochements aient eu lieu au XXe siècle. Louis de Bourbon, en tant que légitimiste, incarne une tradition plus « pure » et historique, opposée à ce qu’il perçoit comme les compromis orléanistes.

La France à la dérive : un contexte propice à une remise en question

La tribune de Louis de Bourbon arrive à un moment critique pour la France. En 2025, le pays est plongé dans une crise politique sans précédent sous la Ve République. Après les élections législatives de 2024, qui n’ont donné de majorité claire à aucun camp, les gouvernements se succèdent et s’effondrent : le Premier ministre Sébastien Lecornu a démissionné après seulement 14 heures en poste, marquant le quatrième chef du gouvernement en moins de deux ans sous Emmanuel Macron. Le pays fait face à un déficit budgétaire abyssal, une dette publique galopante et une paralysie institutionnelle, avec des appels à des élections anticipées qui divisent encore plus les partis.

Les tensions sociales s’exacerbent : crises économiques, identitaires et sécuritaires minent la cohésion nationale, tandis que les menaces extérieures (géopolitiques et climatiques) s’accumulent sans réponse cohérente. Les partis politiques, fragmentés entre extrême droite, gauche radicale et centre macronien, ne parviennent pas à l’unanimité, rendant le pays ingouvernable. Comme l’affirme Louis de Bourbon dans sa tribune : « L’état politique, institutionnel et social de notre pays ne cesse d’empirer. […] Les institutions républicaines et la classe politique ne sont pas à la hauteur des défis du temps. » Cette impasse républicaine, qu’il compare aux échecs des républiques passées, renforce son appel à un retour aux racines monarchiques pour une stabilité durable.

Louis de Bourbon comme solution : vers une monarchie constitutionnelle ?

Face à cette dérive, la candidature implicite de Louis de Bourbon à la tête de l’État prend tout son sens. En tant qu’héritier non partisan, il propose une figure arbitrale au-dessus des factions, capable d’incarner l’unité nationale et une vision à long terme. Il insiste sur des principes monarchiques comme « la stabilité, le temps long, la vision sur plusieurs générations », contrastant avec l’immobilisme républicain actuel. Dans un pays où les présidents successifs peinent à transcender les clivages, un monarque constitutionnel pourrait assurer la continuité de l’État, comme en Espagne ou au Royaume-Uni, où la royauté modère les excès démocratiques sans les abolir.

Pourquoi pas une monarchie constitutionnelle ? Elle combinerait l’héritage capétien avec les acquis républicains : un roi symbole d’unité, un parlement élu pour les affaires courantes, et des mécanismes de contrôle démocratique. Cela pourrait résoudre l’ingouvernabilité en évitant les blocages partisans, tout en restaurant un sens du bien commun invoqué par Saint Louis, modèle cité par de Bourbon. À l’aube de 2027, avec la fin du mandat de Macron, cette option, bien qu’audacieuse, pourrait inspirer un débat salutaire pour une France en quête de renouveau.

https://multipol360.com/louis-de-bourbon-un-heritier-royal-face-a-la-crise-de-la-ve-republique/

 
Louis de Bourbon : «La Ve République est au bord de l’effondrement»
 
Louis de Bourbon, duc d’Anjou et prétendant légitimiste au trône de France et de Navarre, alerte sur la « crise politique et institutionnelle » que traverse le pays. Héritier de la dynastie capétienne, il appelle les Français à puiser dans l’héritage monarchique une source « d’espérance » face à l’impasse républicaine.
L’état politique, institutionnel et social de notre pays ne cesse d’empirer. J’estime être dans mon rôle de chef de la Maison de Bourbon et d’héritier de la dynastie qui a fait la France, en prenant la parole sur le sujet. C’est avec douleur que je vois mon pays s’enfoncer dans une crise politique chaque jour un peu plus insoluble où, une fois de plus, les partis et les politiciens, loin d’agir pour l’intérêt supérieur de la France et donc des Français, préfèrent mener leur propre jeu. La République, fidèle à son histoire, est soumise aux logiques partisanes. Si la constitution voulue par le général de Gaulle semblait vouloir corriger ce travers, force est de constater que, cinquante ans plus tard, ce fléau qui a tant fait souffrir la France, ressurgit avec force.
 
Alors que les tensions sociales, tant pour des raisons économiques qu’identitaires, traversent le pays de manière de plus en plus violente, et que des menaces extérieures s’accumulent, l’État est à l’arrêt. Comme à de nombreuses reprises par le passé, les institutions républicaines et la classe politique ne sont pas à la hauteur des défis du temps. La Vᵉ République, comme ses sœurs avant elle, semble être au bord de l’effondrement. Les gouvernements se succèdent et se ressemblent. Ils appliquent les mêmes méthodes et les mêmes mesures. Inlassablement. Je constate une absence totale de remise en question et une absence de réelle volonté réformatrice. Alors que la politique est souvent décrite comme étant le champ de tous les possibles, aujourd’hui en France, elle est devenue un espace d’immobilisme, d’impuissance et d’incapacité.
 
À la croisée des chemins
Notre pays, à nouveau, va se retrouver à la croisée des chemins de son histoire. À nouveau un choix va peut-être se poser. Et même si ces temps sont nécessairement source d’inquiétudes voire de souffrances, ils sont également porteurs d’espoir. En effet, c’est dans ces moments que, grâce aux hommes de bien, grâce à ceux qui sont animés d’un réel souci du bien commun, de grands et bons changements peuvent advenir. Qui connaît l’histoire de France sait que, plusieurs fois, nous avons connu des situations similaires. Il n’appartient donc qu’à nous de saisir ces opportunités pour que la France retrouve le chemin de sa destinée glorieuse et de son heureuse prospérité, si nécessaire à l’épanouissement des peuples.
 
« C’est à l’ombre des lys que vos libertés se sont épanouies et que la France a connu son apogée » 

 


 
Ainsi, j’invite les Français à bien considérer la situation actuelle de nos institutions et de la classe dirigeante dont la grande incurie rend insupportable sa pratique de la cooptation. À l’heure des choix, j’espère que l’héritage monarchique dont je suis le dépositaire soit encore suffisamment vivace dans le cœur de mes compatriotes, pour être une source d’inspiration et, je le dis, d’espérance. La stabilité, le temps long, la vision sur plusieurs générations, et des chefs d’État soucieux de ne pas transmettre le chaos à leur successeur : autant de points qui seraient à remettre au centre de la vie politique française. Je ne parle pas que de données institutionnelles.
 
Je parle également de tout un système de pensée et de valeurs. Une réflexion intégrale à faire sur notre mode de vie et de gouvernement. Français, n’oublions pas que c’est à l’ombre des lys que vos libertés se sont épanouies et que la France a connu son apogée. Il nous faut des gouvernants qui sachent que le bonheur des peuples est leur ultime mission. Que Saint Louis, modèle des chefs d’État, protège la France et les Français en ces heures d’incertitude grandissante.

septembre 19, 2025

International - Trump au Royaume-Uni : Keir Starmer gagne sur la tech mais perd sur l’acier

Donald Trump a entamé mardi soir sa deuxième visite d’État au Royaume-Uni, une étape diplomatique hautement symbolique marquée par des annonces économiques contrastées. Invité par le roi Charles III sur une lettre remise en main propre par le Premier ministre Keir Starmer en mars dernier au Bureau ovale, le président américain a été accueilli avec faste à Windsor. Pourtant, l’ambiance reste tendue : le spectre de Jeffrey Epstein plane, avec des projections d’images du financier sur le château de Windsor lors de manifestations anti-Trump, tandis que Starmer affronte des revers politiques internes et des protestations populaires.

 


 

Malgré ces nuages, les premières annonces concrètes portent sur un partenariat technologique ambitieux. Le Royaume-Uni et les États-Unis ont signé le « Tech Prosperity Deal », un accord présenté comme un « virage générationnel » dans les relations bilatérales.

Selon Downing Street, cet accord mobilise plus de 31 milliards de livres d’investissements de géants américains de la tech, dont Microsoft, Nvidia, OpenAI, Google et Salesforce, principalement dans les infrastructures pour data centers et superordinateurs.

Keir Starmer a salué cette initiative comme « un pas décisif pour faire du Royaume-Uni un leader mondial de l’IA ». Des sources officielles évoquent même un engagement total atteignant 150 milliards de livres, créant potentiellement 7.600 emplois dans le secteur. Nvidia et OpenAI ont notamment annoncé des investissements massifs en IA et en calcul quantique, renforçant la position britannique dans un domaine où DeepMind – racheté par Google – reste un atout majeur.

Ce pacte, scellé lors d’une rencontre à Chequers, la résidence de campagne du Premier ministre, inclut aussi des collaborations en énergie nucléaire civile et en découverte de médicaments.

Lors d’une conférence de presse conjointe, Trump et Starmer ont mis en avant le renouveau de la « relation spéciale » entre les deux nations,

évitant toutefois les sujets épineux comme la reconnaissance d’un État palestinien ou les guerres en Ukraine et à Gaza. 
Cependant, sur le front commercial traditionnel, c’est un revers pour Londres. Le Royaume-Uni a dû renoncer à sa promesse d’avril – un 0 % de droits de douane américains sur sa sidérurgie, négocié en mai. Les pourparlers ont été gelés indéfiniment, laissant les tarifs douaniers à 25 % sur les importations d’acier et d’aluminium britanniques aux États-Unis. L’industrie sidérurgique britannique, déjà fragilisée, qualifie cette absence d’accord de « décevante », surtout à l’approche de la visite de Trump. Cette décision reflète la fermeté de l’administration Trump sur les questions commerciales, avec des annonces récentes doublant les tarifs sur l’acier pour la plupart des pays, y compris le Royaume-Uni.

 


 

Ces contrastes soulèvent des interrogations stratégiques. En choisissant d’aligner le Royaume-Uni sur l’écosystème américain de l’IA – via des investissements massifs et une coopération accrue –, Starmer semble opter pour une intégration transatlantique plutôt que pour la souveraineté européenne prônée par d’autres pays du continent, comme la France ou l’Allemagne, qui investissent dans des initiatives locales souvent critiquées pour leur manque de crédibilité. DeepMind, pilier britannique de l’IA, reste sous bannière américaine, renforçant cette orientation.

Reste à savoir si ces gains technologiques impliquent des concessions ailleurs. Le Royaume-Uni pourrait-il abandonner sa taxe sur les géants du numérique (GAFA) ou assouplir sa régulation sur la modération des contenus des réseaux sociaux, alignée sur les exigences de « liberté d’expression » défendues par la tech américaine ? Trump a déjà pressé Starmer d’utiliser l’armée contre la crise migratoire des petits bateaux, illustrant une influence directe.

Au final, cette visite illustre les priorités de Starmer : miser sur l’innovation pour relancer l’économie post-Brexit, au prix d’un alignement accru avec Washington. Tandis que Trump quitte les lieux en saluant un « succès », les défis persistent, entre tech florissante et acier en péril.

https://multipol360.com/trump-au-royaume-uni-keir-starmer-gagne-sur-la-tech-mais-perd-sur-lacier/ 

 


 

Donald Trump accueilli en grande pompe par Charles III, Camilla, Kate et William à Windsor

Donald Trump effectue sa seconde visite d'État au Royaume-Uni, accueilli par la famille royale au château de Windsor. L'événement, marqué par un protocole royal fastueux, se déroule à l'écart des manifestations prévues à Londres. 

Un Américain à Windsor. Le président des États-Unis, Donald Trump s'est présenté en milieu de journée au château de Windsor, où il a été accueilli par la famille royale pour sa seconde visite d'État, qui se déroule loin du public et des manifestations. À leur sortie de l'hélicoptère, le président et sa femme Melania ont été reçus par le prince William ainsi que son épouse Catherine, suivis du roi Charles III et de la reine Camilla, sous un ciel nuageux.

Pour l'occasion, la rue principale de Windsor a été décorée avec des drapeaux britanniques et américains. Dans cette cité située à environ 40 kilomètres à l'ouest de Londres, les autorités sont fortement représentées. La visite s'effectue à l'écart, sans interaction avec le public. Donald Trump n'est pas populaire au Royaume-Uni et des milliers de manifestants sont attendus dans le centre de Londres pour exprimer leur désaccord face à sa visite. 

Le rassemblement, convoqué par la coalition 'Stop Trump", a débuté à partir de 14h sous la supervision de plus de 1.600 agents de police.

Un accueil en grande pompe

Encadrée par un dispositif de sécurité exceptionnel, cette visite d'État de deux jours débute par un déploiement spectaculaire de faste royal, dont le dirigeant républicain est friand, et une cérémonie militaire d'une envergure sans précédent, impliquant 1.300 membres des forces armées britanniques.

Après une salve royale tirée du château et depuis la Tour de Londres, les trois couples ont participé à une procession en carrosse, mais toujours dans l'enceinte du domaine, et non dans les rues de la ville comme cela avait été le cas lors de la visite d'État du président français Emmanuel Macron en juillet.

"Cela va être un très grand jour", avait commenté M. Trump en arrivant au Royaume-Uni mardi soir. "Beaucoup de choses ici me réchauffent le cœur. (...) C'est un endroit très spécial", a-t-il aussi dit. Il s'est plusieurs fois félicité d'être le seul président américain à avoir deux fois les honneurs d'une visite d'État au Royaume-Uni. La première avait eu lieu en 2019.

Quel programme pour cette visite d'État ?

À Windsor, le président américain aura l'unique privilège de passer en revue une garde d'honneur comprenant exceptionnellement trois régiments de la Garde royale, accompagnée d'une fanfare, tambours et cornemuses dans la cour carrée du château. Après un déjeuner en privé avec la famille royale, le couple Trump déposera des fleurs sur la tombe de la reine Elizabeth II, décédée en septembre 2022, dans la chapelle St George.

Un défilé aérien, alliant de façon inédite des avions de combat F35 britanniques et américains, et la patrouille acrobatique des "Red Arrows", précèdera le traditionnel banquet royal avec quelque 150 invités.

https://www.rtl.fr/actu/international/diaporama-donald-trump-accueilli-par-la-famille-royale-britannique-a-windsor-pour-sa-visite-d-etat-7900542433 

 


 

Donald Trump à Londres : pourquoi le Royaume-Uni veut-il amadouer le président américain ?

Le président américain se rend à Londres pour une visite historique ce mardi 16 septembre 2025. Les enjeux sont importants notamment pour le Premier ministre britannique.

L'objectif de cette visite est d'amadouer Donald Trump. Cela ne va pas être facile. En effet, de nombreuses raisons peuvent entraver cette mission. D'abord le soutien de la Maison-Blanche à l'extrême droite britannique. Samedi 13 septembre 2025, quelques personnes ont par ailleurs été arrêtées pendant la manifestation contre l'immigration. Washington ne s'en est pas cachée : "Le président américain veut aborder le sujet de la liberté d'expression", a-t-elle fait savoir. 

Autre dossier sensible : l'éviction de l'ambassadeur britannique aux États-Unis. Peter Mandelson était un proche de Jeffrey Epstein, son meilleur ami, a reconnu l'ambassadeur. Ainsi, le Premier ministre britannique n'avait pas apprécié et l'avait donc viré. Une décision qui n'avait pas plu à Donald Trump qui s'entendait bien avec Epstein et ce diplomate, dont l'influence était tellement importante qu'on le surnommait le prince des ténèbres. 

Rajoutons à cela le fait que le Royaume-Uni a souhaité reconnaître l'État de Palestine et il y a d'ores et déjà trois potentiels sujets de discorde. Alors, on va suivre de près la conférence de presse commune de Donald Trump et Keir Starmer prévue ce jeudi 18 septembre 2025. 

Un accueil royal pour Donald Trump

D'ailleurs, le Premier ministre britannique a sa cote de popularité au plus bas. Il se murmure qu'il est en sursis. Nigel Farage, le partisan de Trump, dépasse désormais les 30% d'intention de vote au Royaume-Uni, loin devant les travaillistes de Keir Starmer et les conservateurs. Il va falloir que le Premier ministre britannique remporte cette épreuve américaine. 

Lors de cette visite, Londres et Washington devraient finaliser des droits de douane. Il y aura aussi un contrat important au sujet du nucléaire civil. Donald Trump va d'ailleurs amener avec lui une brochette de patrons.

Enfin, pour dompter le Président américain, un accueil royal lui sera réservé à Windsor avec un tour en calèche et un grand dîner dans la salle Saint-Georges. La première fois que Trump avait été reçu ainsi, en 2019, la reine Elizabeth l'avait trouvé malpoli.

https://www.rtl.fr/actu/international/donald-trump-a-londres-pourquoi-le-royaume-uni-veut-il-amadouer-le-president-americain-7900541919

 


Quatre arrestations après la projection de photos de Donald Trump avec Jeffrey Epstein sur le château de Windsor

Alors que Donald Trump est en visite d’État au Royaume-Uni, des militants ont projeté sur une tour du château de Windsor des images où on le voit prendre la pose aux côtés du criminel sexuel Jeffrey Epstein.

Des militants ont projeté mardi soir des images de Donald Trump et du criminel sexuel Jeffrey Epstein sur une tour du château de Windsor, où le président américain sera accueilli mercredi en visite d'État au Royaume-Uni, selon des images de l'AFP TV.

Parmi les images, des portraits de Jeffrey Epstein, mort en prison en 2019 avant son procès pour exploitation sexuelle, ou encore des images des deux hommes côte à côte. En dessous, la signature que la presse américaine attribue à Donald Trump et qui est au cœur d’une lettre d’anniversaire controversée à destination de Jeffrey Epstein.

Arrestations et gardes à vue

Derrière cette action, le groupe britannique Led by Donkeys («Dirigés par des ânes»). Le collectif, qui demande des comptes aux responsables politiques avec des campagnes souvent humoristiques, a réussi à diffuser pendant plusieurs minutes un montage vidéo sur l’une des tours de la résidence royale, située à l’ouest de Londres.

Dans la foulée, la police locale a annoncé dans un communiqué l’arrestation et le maintien en garde à vue de quatre personnes suspectées de «communications malveillantes». «Nous prenons toute activité non autorisée autour du château de Windsor extrêmement au sérieux», a déclaré Felicity Parker, une responsable de la Thames Valley Police citée dans le communiqué, assurant que les agents ont «rapidement stoppé la projection» avant d’arrêter les quatre suspects.

L’empoisonnante affaire Epstein

L'affaire du criminel sexuel américain Jeffrey Epstein empoisonne la présidence de Donald Trump depuis des semaines. Le dirigeant républicain a longtemps été un proche de ce financier, avant de rompre avec lui.

C'est aussi un sujet qui est venu hanter cette semaine le premier ministre britannique Keir Starmer, qui a limogé son ambassadeur à Washington, Peter Mandelson, après des révélations sur les liens étroits entre ce dernier et Jeffrey Epstein.

Avant même que l'avion Air Force One du président américain ne se pose sur le sol britannique, des dizaines de manifestants anti-Trump étaient rassemblés à Windsor mardi après-midi pour protester contre sa venue. Des militants pour le climat ont aussi interrompu un dîner organisé par l'organisation des républicains américains à l'étranger. Une activiste a accusé le président Trump d'entraîner le monde «sur la voie du fascisme et de l'effondrement climatique».

Mercredi, des milliers de manifestants ont prévu de protester à Londres contre cette visite d'État, la deuxième de Donald Trump au Royaume-Uni, pendant laquelle le dirigeant a prévu d'éviter la capitale et le public. Il restera confiné mercredi dans l'enceinte du château de Windsor où le couple présidentiel sera l'hôte du roi Charles III et de la reine Camilla, avant de rejoindre le premier ministre Keir Starmer jeudi pour une journée plus politique et économique dans sa résidence de campagne de Chequers, à 70 km de Londres.

https://www.lefigaro.fr/international/des-photos-de-donald-trump-avec-jeffrey-epstein-projetees-sur-le-chateau-de-windsor-20250917

 

 

 

 

avril 02, 2015

De la Chevalerie !!

L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture, librement vôtre. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.



Dans ce monde désaxé, où l’esclavage sous tous ses aspects prolifère comme un droséra dans une tourbière, j’ai voulu réagir et, à l’instar de ce que disait mon ancêtre le Roi Saint Louis, construire un bouclier pour protéger notre chrétienté qui est attaquée de tous côtés!!!

C’est ainsi qu’avec quelques amis loyaux, j’ai redonné vie à l’Ancien Ordre de l’Etoile et du Mont Carmel* auquel j’ai rattaché la Lieutenance de Saint Lazare. Les statuts de cet Ancien Ordre, de même que ceux de la Lieutenance de Saint Lazare, qui lui sont rattachés, en conformité avec la Loi de 1901 sur les Associations, ont été déposés entre les mains du Grand Chancelier de l’Ordre National de la Légion d’Honneur qui les a approuvés par un courrier que je confie aux archives de l’Ancien Ordre de l’Etoile et  du Mont Carmel.

En portant sur les fonds baptismaux en l’Eglise de Saint Germain L’Auxerrois, le 8 Septembre 2014, jour de la nativité de la Sainte Vierge, l’Ancien Ordre Chevaleresque de l’Etoile, fondé par le Roi Robert le Pieux en 1022, recréé par Jean II le Bon en 1351 et réuni par Henri IV au Mont Carmel en 1608, notre volonté fut de revivifier, partout en France où cela sera possible, nos lieux de cultes et nos églises abandonnées, ou menacées de ruine et de destruction, en les rachetant pour les restaurer et y rétablir la vie cultuelle de notre chrétienté.

Lorsqu’un projet sera mis en chantier pour restaurer une paroisse, il sera nécessaire et complémentaire de le prolonger par la mise en place d’une crèche, d’une école, et d’un dispensaire. Ce sera le côte culturel et caritatif. Une fois le chantier terminé, il faut que cette entité puise poursuivre sa vie. L’Ancien Ordre de l’Etoile et du Mont Carmel et sa branche hospitalière, la Lientenance de Saint Lazare, doivent chacun faire face à leurs responsabilités pour faire vivre financièrement cette nouvelle pierre de notre chrétienté dans le « désert Français ».

On ne construit pas une cathédrale en commençant par la clé de voûte, mais pierre par pierre à partir de la base. Notre tâche sera rude et longue. Mais à coeur vaillant, rien d’impossible. Je vous livre en conclusion la prière de Saint Louis qui demeure l’exemple du parfait Chevalier.

« Dieu Tout Puissant et Eternel qui avez établi l’Empire des Francs dans le monde pour être l’instrument de Vos Divines Volontés, le glaive et le bouclier de Votre Sainte Eglise, nous Vous en prions éclairez toujours et partout de Votre Céleste Lumière les fils suppliants des Francs afin qu’ils voient ce qu’il faut faire pour réaliser Votre Règne en ce monde, et que, pour accomplir ce qu’ils ont vu, ils soient emplis de charité, d’amour, de force et d’espérance. »

L’Ordre

L’Ancien Ordre Royal et Souverain de l’Étoile et de Notre Dame du Mont Carmel est un Ordre Royal Français à vocation spirituelle et chevaleresque. L’ Ancien Ordre Royal et Souverain de l’Etoile et de Notre-Dame du Mont Carmel est l’un des ordres de chevalerie français les plus prestigieux. Aujourd’hui, notre Ordre, association de Loi 1901, se consacre à la sauvegarde du patrimoine chrétien en France, aux activités spirituelles traditionnelles (prières, cérémonies, veilles de reliques) et au rayonnement spirituel et culturel de la France.

Comme tous les ordres chevaleresques, il est doté d’une Règle et il est dirigé par un Grand Maître assisté d’Officiers. Vivre sa Foi en suivant la voie chevaleresque et œuvrer au rayonnement du patrimoine chrétien en France, telle est notre mission.

I. La refondation et le statut juridique

Le Chef de la Maison Royale de France, Monseigneur le Comte de Paris Duc de France, de jure Henri VII, a décidé de relever les Ordres dynastiques de l’Etoile et de Notre-Dame du Mont-Carmel et de les réunir comme le furent jadis Saint-Lazare et Notre-Dame du Mont-Carmel.

Agissant ainsi, il continue et maintient l’œuvre des rois de France, ses aïeux, qui ont créé ces Ordres et en ont été les Chefs Souverains ainsi que les Protecteurs temporels.

L’Ordre Royal de l’Etoile et de Notre-Dame du Mont-Carmel s’inscrit aujourd’hui dans le cadre juridique français. Association de Loi 1901, sa Règle et ses Statuts ont été remis à la Grande Chancellerie de la Légion d’Honneur afin que l’Ordre soit en parfaite conformité et harmonie avec cette Haute Institution.

II. Les missions de l’Ordre

- Il s’agit aujourd’hui d’offrir à la France un Ordre analogue à ceux existants dans les Royaumes et Principautés d’Europe afin qu’il contribue, comme c’est la vocation de telles Institutions, à la grandeur, à la mémoire, à l’identité et à la vitalité de la Nation où elles sont établies en maintenant vivante les valeurs de la chevalerie.

Dans cette perspective, l’une des missions majeures de l’Ordre est de mettre en honneur, de maintenir et de protéger le patrimoine historique, culturel, moral et spirituel que représentent et incarnent ces Institutions chevaleresques. Il aura tout naturellement, à cet égard, des relations de confraternelle amitié avec les autres Ordres tant français qu’étrangers, dynastiques ou souverains.

- Au titre de sa seconde mission, l’Ordre Royal de l’Etoile et de Notre-Dame du Mont-Carmel pourra initier ou soutenir tout projet lié au patrimoine culturel et cultuel de la France, tant dans ses édifices immobiliers (édifices religieux, demeures historiques) que dans ses aspects immatériels, moraux et spirituels : par exemple, les lieux dédiés à la culture comme des bibliothèques, le parrainage ou la revivification de pèlerinages ou garde d’honneur de reliques comme celui du Précieux Sang en l’église de Neuvy Saint-Sépulcre (Indre). A ce titre, l’Ordre s’attachera, en liaison avec les diocèses, paroisses et Collectivités Locales concernés, à promouvoir le patrimoine historique et spirituel que représente la conservation des reliques de saints dans les lieux sacrés tels que chapelles et églises de France et des cérémonies qui leur sont liées.

- L’Ordre assume, d’autre part une troisième mission qui est d’entourer et de protéger le Chef de la Maison Royale de France, ce qui doit être le premier devoir et le premier honneur de chacun de ses chevaliers.

- L’Ordre désire également concourir à l’unité entre les chrétiens en admettant des chevaliers de toutes les confessions : catholiques romains et orientaux, orthodoxes, anglicans, réformés.

- Enfin, l’Ordre entend affirmer l’égalité de droits et de devoirs, de qualité et d’engagement chevaleresques entre les femmes et les hommes par la mixité de son recrutement, d’une part, mais aussi et surtout par l’adoubement des femmes, lesquelles reçoivent de ce fait l’appellation de chevalier comme leurs confrères masculins et peuvent être nommées aux charges et dignités qui y sont conférées.

D’ailleurs, comme en témoignent plusieurs anciens auteurs et historiens contemporains, dès la période médiévale, des femmes parmi les dames du royaume ont été armées chevaliers, certaines ayant ensuite conféré l’adoubement.

D’où venons-nous? Où allons-nous?



Cet article est consultable sous forme manuscrite ici.

L’être et les valeurs qui l’imprègnent n’ont jamais varié avec le temps, et le temps n’est pas un flux et un reflux. Ce sont des vagues semblables aux motifs peint par les Grecs anciens pour encadrer les frises qui poussent les ères et les ères.

Le grand jeu de la vie, qui nous est proposé, a ses rituels. Ils sont les mêmes quelles que soient les époques. Ils ont leurs lois qui respectent l’ordre du cosmos et de la nature. Ce ne sont pas des dogmes, mais ces rituels peuvent être sacrés et même consacrés, tout en variant selon les époques, les lieux et la culture de chacun.

Chaque être à sa naissance a, nous dit-on, son visage d’éternité. Chaque cellule de son corps est dépositaire de la mémoire de l’univers -comme l’eau dont notre corps est composé à quatre vingt dix pour cent-.

La véritable connaissance ne sera jamais une accumulation de savoir, mais proviendra de la fraîcheur du regard et de l’innocence du coeur. Cette force peut nous permettre de réactiver cette mémoire enfouie dans le noyau de chacune de nos cellules. Le grand jeu de la vie peut alors devenir le cheminement sur un sentier intérieur et intime.

Cette quête perpétuelle, selon le choix de chacun, est tout d’abord la question, la quête de notre Créateur pour certains. C’est également la question de notre rapport avec lui, comme de notre responsabilité envers Lui et envers toute Sa création.

La plupart des apprentis de la vie aiment baguenauder et passent leur temps à s’amuser, à rêvasser. Très jeune, cette insouciance est normale et commune à tous ceux qui n’ont pas encore découvert ce chemin ni ce qu’ils sont eux-mêmes. En vain la vie tente de les mettre en résonance avec l’harmonie cosmique, qui, comme une musique, se joue à travers nous. Une voix leur dit : « Tu aimes jouer à cache-cache avec ton ami! Imagines alors son attente et sa déception si lui se cache et que tu ne le cherches pas. Voilà comment tu te comporterais envers notre Créateur ».

Chacun a un sentier qui lui est propre, il est sans début et sans fin, pourtant il est continu, il est le contenu de ce que chacun choisira et fera de sa vie.. Tel est le libre choix qui nous est offert. Paul Valéry, grand poète et philosophe, disait que « la liberté de chacun s »arrête là où commence celle de l’autre ». Personne d’autre ne peut y pénétrer et personne ne peut en sortir… C’est comme si on vivait une tranche de temps, une tranche de lieu.

Sur ce chemin des dangers perpétuent des failles. Pourtant ces dangers ne viennent pas tant de l’extérieur que de l’intérieur de chaque être, car l’homme peut s’autodétruire par sa propre peur ou par des pensées qui parasitent l’ampleur spirituelle de chaque action.

L’être humain, femme ou homme, le voici à la croisée de deux axes, le voici écartelé, comme son nom primordial l’indique, puisque en langue grecque les quatre lettres du nom ADAM sont les initiales des quatre points cardinaux : Anatolé – Dysmé – Arctos – Mésembria.

Cette disposition statique, horizontale, devrait pouvoir se dynamiser, se retourner dans l’axe vertical pour naître en haut, seule voie nécessaire pour édifier sa royauté intérieure. Cette renaissance, cet accouchement ne peuvent s’accomplir que par et dans une gestation silencieuse pure et sans taches. Toutes les religions des temps historiques, depuis l’Egypte jusqu’à nos jours nous parlent de ce retournement nécessaire vers le haut à l’image du retournement de l’enfant dans l’utérus de la mère, avant de naître à la lumière. Au moment de l’assassinat des journalistes, la Reine Rania de Jordanie avait lancé cette déclaration: 

« En tant que musulmane, cela me fait de la peine quand quelqu’un se moque d’une religion, mais ce qui me blesse plus encore, ce sont les actions de criminels qui osent se servir de l’Islam pour justifier un meurtre de sang froid ».

Il me semble que les prises de conscience de notre époque mondialiste font en sorte que des jeunes, privés d’éducation comme de possibilités d’exprimer leurs qualités, leur personnalité et leur besoin de travail, soient jetés dans la bouillotte brûlante dont ils ne savent ni les causes ni les effets. Nous sommes donc tous, même involontairement, responsables et coupables de ce vide qui les pousse au meurtre, puisqu’on ne leur propose, en guise de spiritualité que la seule bestialité.

Quelque soit le nom donné à notre Créateur, toutes spiritualités ont en commun un même axe qui pousse ceux qui le respectent vers une meilleure compréhension de nos différences et vers l’amour de l’autre. Certes le bien et le mal existent. Ce sont des énergies initialement neutres. A nous de savoir les utiliser dans un sens positif, tourné vers le respect de l’identité de chaque être vivant ou de chaque chose dont l’Homme est responsable. Le mal étant des énergies détournées de leur sens! Cette compréhension, cette réflexion est un vouloir qui devrait nous être enseigné… Tel est, à mon sens la mission de l’Enseignement. Le choix personnel vient par la suite.

Aujourd’hui la mondialisation cherche à effacer toute réflexion et à encager les « papillons » qui finiraient par devenir esclaves. Ceux qui n’accepteraient pas, sous prétexte de liberté absolue, alors le filet ne pourrait que se refermer sur eux les plongeant dans la désespérance.
Il existe un idéogramme chinois, WANG, trois traits horizontaux, le ciel, l’homme et la terre, traversés en leur mitan par un trait vertical. C’est le Roi. Mais on peut l’interpréter également par: le règne animal, le règne végétal et le règne minéral axés, ou ancrés sur l’Homme dans sa royauté intérieure et dans l’accomplissement de sa responsabilité.

Henri d’Orléans, Comte de Paris Duc de France


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