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décembre 22, 2025

Informations internationales Noël 2025 !

Sommaire:

A) - La directrice nationale du Renseignement américain dénonce le bellicisme d’une élite déconnectée

B) - L’UE emprunte 90 milliards pour prolonger une guerre perdue

C) - Le général Pellizzari et le sénateur Alain Houpert dénoncent les dérives autoritaires de l’exécutif

 


 

A) - La directrice nationale du Renseignement américain dénonce le bellicisme d’une élite déconnectée

En cet hiver 2025, un petit quatuor de dirigeants européens – Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Keir Starmer et Ursula von der Leyen – incarne à lui seul ce qu’il y a de plus dangereux dans la politique contemporaine : un bellicisme décomplexé, une déconnexion totale avec les peuples et une soumission assumée à des intérêts qui ne sont pas ceux de leurs pays respectifs.

       Director Tulsi Gabbard speaks at TPUSA's AmericaFest Conference Day Three. - 12/20/2025
 

Ces quatre figures, que leurs détracteurs ont surnommée avec une ironie mordante « la bande des quatre losers », partagent plusieurs points communs : des taux d’impopularité records dans leurs pays respectifs, une absence croissante de légitimité électorale réelle, et une obsession commune pour l’escalade militaire en Ukraine, au mépris des mises en garde les plus élémentaires.

Un bellicisme qui défie la raison et les faits

Macron a multiplié les déclarations martiales depuis des mois, allant jusqu’à évoquer l’envoi de troupes françaises en Ukraine et la possibilité de frappes françaises en territoire russe. Merz, qui surenchérit en promettant de « tout faire » pour que l’Ukraine « gagne » – y compris en fournissant des missiles à longue portée capables de frapper loin à l’intérieur de la Russie. Starmer, fraîchement installé à Downing Street, a repris le même refrain : « l’Ukraine doit pouvoir frapper en Russie ». Quant à Ursula von der Leyen, elle utilise l’ensemble des leviers de la Commission européenne pour verrouiller une politique de sanctions maximalistes et d’armement massif, tout en muselant les voix dissidentes au sein de l’Union.

 

Pourtant, les faits sont têtus. Les services de renseignement américains (y compris le dernier rapport public de la DIA) ont clairement indiqué que la Russie n’a ni la volonté ni les capacités militaires pour envahir l’Europe occidentale ou conquérir l’ensemble de l’Ukraine. Ceci dit, elle gagne du terrain militairement et diplomatiquement : l’économie russe tient malgré les sanctions, tandis que plusieurs économies européennes (Allemagne en tête) sont en récession technique ou en stagnation chronique.

Dans ce contexte, la posture de ces quatre dirigeants n’a rien de rationnelle : elle est idéologique, presque messianique. Elle repose sur l’idée que l’Occident doit absolument « vaincre » la Russie, même au prix d’une escalade nucléaire. Une telle posture fait courir un risque existentiel non seulement aux populations européennes, mais à l’humanité entière.

Une perte totale de légitimité démocratique

Le plus stupéfiant, c’est que ces quatre personnalités n’ont plus aucune base populaire pour justifier une telle prise de risque.


  • En France, Emmanuel Macron gouverne depuis 2017 avec moins de 25 % des inscrits au premier tour en 2022, une majorité relative à l’Assemblée depuis 2022, et une cote de confiance qui oscille autour de 18 %.
  • En Allemagne, Friedrich Merz est chancelier depuis mai 2025 à la tête d’une coalition CDU-CSU-SPD, mais cette majorité parlementaire reste fragile (issue d’une élection où la CDU/CSU a obtenu environ 28-29 % des voix, loin d’une majorité absolue). Les sondages montrent que l’opinion publique allemande reste majoritairement opposée ou très prudente sur l’envoi d’armes lourdes à longue portée (comme les Taurus) à l’Ukraine, avec seulement environ 25 % de soutien pour une escalade militaire.
  • Au Royaume-Uni, Keir Starmer a été élu en 2024 avec la participation électorale la plus faible depuis 1945 (moins de 60 %). Son parti a obtenu une majorité absolue de sièges avec à peine 33,7 % des voix. Sa popularité s’effondre déjà et de très nombreuses manifestations fleurissent dans le pays.
  • Concernant l’UE, Ursula von der Leyen, elle, n’a jamais été élue par les citoyens européens. Sa reconduction à la tête de la Commission en 2024 s’est faite dans une opacité totale, contre l’avis d’une partie importante du Parlement européen.

Ces quatre dirigeants n’ont donc ni mandat populaire fort, ni légitimité électorale large, ni soutien majoritaire de l’opinion pour leur politique belliciste.

Ils agissent pourtant comme s’ils représentaient la volonté de leurs peuples. Ils ne représentent plus grand-chose, sinon eux-mêmes et les intérêts qu’ils servent.

L’État profond : le vrai pouvoir derrière le décor

Derrière ces figures de proue visibles se trouve un réseau d’intérêts qui, lui, n’a pas besoin d’élections pour exister : l’État profond euro-atlantiste.

Ce réseau mêle :

  • les grands fonds d’investissement et multinationales de l’armement (Lockheed Martin, Rheinmetall, BAE Systems, Thales, etc.) qui réalisent des profits records depuis 2022 ;
  • les think tanks atlantistes (Atlantic Council, German Marshall Fund, European Council on Foreign Relations…) qui fournissent la rhétorique et les « experts » de plateau ;
  • les services de renseignement et les cabinets diplomatiques qui orientent les décisions en coulisses ;
  • une bureaucratie bruxelloise et washingtonienne qui se considère comme au-dessus des peuples et des parlements.

Ce système ne répond à personne, sinon à l’argent et au pouvoir. Il ne craint ni les élections, ni les manifestations, ni les sondages. Il verrouille le débat public par la censure (lois sur la désinformation, pressions sur les plateformes), par le discrédit médiatique et par la marginalisation des partis ou des personnalités qui refusent le narratif dominant.

Il est temps que les peuples reprennent la main

Le risque est désormais clair : quatre dirigeants sans mandat populaire, poussés par un État profond qui ne rend de comptes à personne, sont en train de faire courir à l’Europe et au monde un danger existentiel. Leur bellicisme n’est pas seulement irresponsable ; il est criminel, car il met en jeu la survie de millions de personnes pour des objectifs qui ne sont ni ceux des peuples, ni ceux de la raison.

La paix n’est pas une faiblesse. Elle n’est pas une capitulation. Elle est la condition préalable à toute politique digne de ce nom.

Il est temps que les peuples d’Europe se réveillent et exigent :

  • l’arrêt immédiat des livraisons d’armes lourdes à longue portée ;
  • la reprise de négociations de paix réelles, sans tabou ni préalable ;
  • la fin de la soumission des États européens à une logique atlantiste qui ne sert plus leurs intérêts.

 


Et dans cette bataille pour la vérité et la paix, une voix puissante et inattendue s’élève de l’autre côté de l’Atlantique : celle de Tulsi Gabbard, Directrice nationale du renseignement américain. Dans ses récentes déclarations publiques – notamment son démenti cinglant aux propagandes médiatiques sur les ambitions russes et sa dénonciation des bellicistes de l’UE et de l’OTAN qui sabotent les efforts de paix de l’administration Trump –, elle met en lumière comment l’État profond et ses relais européens tentent de prolonger un conflit sanglant au détriment des peuples. Ses interventions, directes et implacables, confirment que la voie de la raison et de la diplomatie existe bel et bien, et qu’elle peut venir de hauts responsables qui refusent de se soumettre aux intérêts de guerre.

Car si ces quatre dirigeants continuent de jouer avec le feu nucléaire au nom d’une croisade idéologique, ce ne seront pas seulement eux qui paieront le prix. Ce seront les peuples – français, allemands, britanniques, et tous les autres – qui en subiront les conséquences.

Et ça, aucun mandat, même truqué, ne le justifie.

https://multipol360.com/la-directrice-nationale-du-renseignement-americain-denonce-le-bellicisme-dune-elite-deconnectee/

 

B) - L’UE emprunte 90 milliards pour prolonger une guerre perdue  

Le 19 décembre 2025, l’Union européenne a officialisé une décision lourde de conséquences : emprunter sur les marchés financiers internationaux 90 milliards d’euros pour les prêter à l’Ukraine, afin de financer son effort de guerre pour les années 2026 et 2027. Cet emprunt, qui ne touchera pas aux quelque 210 milliards d’euros d’actifs russes gelés depuis 2022, a immédiatement provoqué une vague d’indignation en France, pays qui se trouve déjà dans une situation budgétaire et sociale dramatique.

Une dette publique française qui explose

Selon les derniers chiffres publiés par l’Insee le même jour, la dette publique française atteint désormais 3 482 milliards d’eurosà la fin du troisième trimestre 2025, soit 117,4 % du PIB. La dette nette (hors instruments financiers) s’élève à 109 % du PIB. Il s’agit d’un nouveau record historique hors contexte de guerre ou de pandémie majeure. En un seul trimestre, la dette a augmenté de près de 66 milliards d’euros. Sur un an, l’endettement public a bondi de plus de 200 milliards d’euros.

Cette dérive s’explique par des déficits publics structurels qui dépassent désormais largement les 5 % du PIB chaque année, par une croissance anémique, par le poids croissant des intérêts de la dette (plus de 50 milliards d’euros par an) et par l’absence de réformes structurelles d’envergure. 

Le gouvernement, confronté à une impasse budgétaire pour 2026, multiplie les mesures d’austérité : gel des pensions, coupes dans les aides sociales, hausse des prélèvements obligatoires sur les classes moyennes et populaires. Les Français sont à bout.


Un nouvel emprunt européen qui pèsera sur les contribuables français

Dans ce contexte, la décision européenne de mobiliser 90 milliards d’euros supplémentaires pour Kiev apparaît comme une provocation insupportable. 

Cet emprunt sera garanti collectivement par les 27 États membres, dont la France, qui est la deuxième économie de la zone euro et l’un des principaux contributeurs au budget européen. Même si l’UE ne demande pas un effort immédiat supplémentaire à Paris, ce sont bien les contribuables français qui, in fine, devront rembourser une part proportionnelle de cette dette commune, en plus de la dette nationale déjà insoutenable.

Une guerre sans issue militaire pour l’Ukraine

Pire encore : ces 90 milliards ne changeront rien à la donne stratégique. Depuis l’automne 2024, la guerre est entrée dans une phase d’usure sanglante et sans perspective de victoire décisive pour l’Ukraine. Les lignes de front bougent à peine, malgré des dizaines de milliards déjà injectés par l’Occident depuis 2022.

Les avancées russes, certes lentes, restent constantes, notamment dans le Donbass autour de Pokrovsk et de Toretsk. L’Ukraine, de son côté, souffre d’une crise démographique et militaire majeure.

La mobilisation forcée, surnommée la « busification » par les Ukrainiens eux-mêmes, est devenue tristement célèbre : des hommes de 25 à 60 ans sont arrêtés dans la rue, dans les transports en commun, dans les cafés, puis entassés dans des minibus et envoyés au front, souvent menottés pour éviter les désertions.

Des vidéos et témoignages circulent depuis des mois, montrant l’ampleur de cette coercition.

Les pertes ukrainiennes, officiellement sous-estimées par Kiev, sont estimées par de nombreux observateurs indépendants entre 500.000 et 700.000 hommes (morts et blessés graves confondus). La population civile continue de payer un tribut terrible, avec des millions de déplacés et des infrastructures détruites. Prolonger artificiellement le conflit par des aides financières massives ne fait qu’augmenter le nombre de victimes, sans modifier la donne militaire.

 Priorité nationale : arrêter de financer l’impossible

La France, troisième pays le plus endetté de l’Union européenne derrière la Grèce et l’Italie, ne peut plus jouer les grands argentiers de l’Europe.

Chaque euro prêté à Kiev est un euro qui manque à nos hôpitaux, à nos écoles, à nos retraites, à notre pouvoir d’achat.

Les Français, déjà écrasés par des années d’austérité et de hausse des prélèvements, refusent de continuer à payer pour une guerre qu’ils jugent perdue et qui ne les concerne pas directement. La priorité doit redevenir nationale : redresser les comptes publics, protéger le pouvoir d’achat, restaurer les services publics, et cesser de financer indéfiniment un conflit sans issue.

Il est temps que l’Europe arrête de repousser l’inévitable : la négociation, aussi douloureuse soit-elle, est la seule issue réaliste. Continuer à jeter des milliards dans le brasier ukrainien, c’est aggraver à la fois la tragédie humaine et la crise financière française.

 https://multipol360.com/lue-emprunte-90-milliards-pour-prolonger-une-guerre-perdue/

 


 

C) - Le général Pellizzari et le sénateur Alain Houpert dénoncent les dérives autoritaires de l’exécutif

Dans l’émission « Bercoff sur le vif » diffusée sur Tocsin Media et relayée par France-Soir, André Bercoff a reçu le général de brigade (2S) Paul Pellizzari et le sénateur Alain Houpert (Les Républicains, Côte-d’Or).

Une discussion sans concession où les deux invités accusent l’exécutif de contourner délibérément la Constitution, d’affaiblir les forces armées françaises et de distiller la peur pour justifier une politique belliciste en Ukraine.

Une alerte citoyenne et militaire qui met en lumière un fossé abyssal entre le pouvoir et la réalité des capacités françaises.

 


 

Une plainte pour livraisons illégales et une radiation perçue comme une sanction politique

Tout commence en avril 2024 avec la plainte pénale déposée par le général Pellizzari devant la Cour de justice de la République contre Gabriel Attal (alors Premier ministre), Stéphane Séjourné (Affaires étrangères) et Sébastien Lecornu (Armées). Motif : les livraisons d’armes à l’Ukraine depuis 2022, sans approbation parlementaire, en violation des articles 35 et 53 de la Constitution.

Pellizzari, expert en logistique militaire, explique son geste : « J’ai vu depuis 2022 une certaine dérive. Quand on a commencé à donner des Caesar – le fleuron de notre artillerie –, avec les munitions, tubes de rechange et calculateurs, ça a diminué la capacité opérationnelle de l’armée de terre d’une manière incroyable. » En tant que citoyen et ancien fonctionnaire, il invoque l’article 40 du Code de procédure pénale obligeant à signaler un délit présumé.

La réponse ? Une fin de non-recevoir, arguant qu’il n’était « pas concerné ». Pourtant, insiste-t-il, « je paie mes impôts, comme tous les Français ». S’ensuivent une pétition rassemblant plus de 33.000 signatures et une interview accordée à France-Soir – le seul média à l’avoir contacté.

Le 17 avril 2025, un décret présidentiel le radie des cadres pour « manquement au devoir de réserve ». Pour Pellizzari, c’est une humiliation : « À 68 ans, j’étais déjà à la retraite. Le message est clair : taisez-vous, sinon vous perdez votre appellation de général. » Il conteste cette décision devant le Conseil d’État, voyant là une tentative de bâillonner les critiques.

Une résolution au Sénat pour restaurer le contrôle parlementaire

Le sénateur Houpert, seul parmi les 900 parlementaires à porter cette voix, dépose le 22 avril 2025 la proposition de résolution n° 547. Inspirée par l’initiative citoyenne de Pellizzari et 67 autres militaires (dont deux généraux d’armée – 5 étoiles – et de nombreux hauts gradés), elle exige le respect des articles 35 (engagements militaires) et 53 (accords internationaux).

Houpert, médecin de formation, justifie : « Une société, c’est une chaîne dont la force est celle du maillon le plus faible. Je suis aux côtés du général Pellizzari, sanctionné pour avoir parlé courtoisement. » Soutenu par un sondage révélant que 87 % des Français prônent la paix rapide et 70-74 % exigent un vote parlementaire sur armes et aides, il dénonce le contournement systématique des institutions. À ce jour, la résolution attend toujours son inscription à l’ordre du jour.

Le discours du CEMA : un rôle politique hors des attributions ?

Les invités reviennent sur les déclarations du chef d’état-major des armées (CEMA), le général Thierry Burkhard (successeur évoqué dans le contexte, mais référence à Mandon/Gomar dans la transcription), accusé de semer la peur : « Si on n’est pas prêt à perdre des enfants ou à souffrir économiquement, on est en risque. »

Pellizzari rappelle les attributions officielles du CEMA : conseiller militaire, responsable de l’emploi des forces, mais pas de la communication politique. « Jamais un CEMA n’a désigné la Russie comme ennemi direct, en prédisant une attaque dans 3-4 ans. C’est un discours politique, en service commandé de l’Élysée. » Houpert abonde : « La peur est une passion triste (Spinoza). Ça paralyse, ça ne mobilise pas. Le CEMA accuse les Français de manquer de force d’âme, mais c’est à l’exécutif de désigner un ennemi, pas à un militaire. »

Une armée affaiblie et une défense européenne illusoire

Pellizzari alerte sur l’état des forces : capacité de mobilisation à 20.000 hommes avec une seule relève, stocks de munitions pour « une semaine » de combat haute intensité, retard sur les drones. « Les meilleurs soldats du monde, sans armes ni munitions, ne servent à rien. » Il critique aussi le décret du 1er novembre 2025 créant des « opérateurs de référence » – des sociétés militaires privées habilitées secret-défense : « On a dénoncé Wagner chez les Russes, et on en crée chez nous. »

 


 

Quant à l’armée européenne promue par le CEMA : « Un rêve qu’on n’atteindra jamais. Langage, programmes, coûts : tout est fiasco. Et avec la dissuasion nucléaire, pourquoi Poutine attaquerait-il la France ? » Houpert renchérit : l’Europe de 450 millions d’habitants n’a pas su se renforcer face à une Russie en économie de guerre. « On pousse la Russie dans les bras de la Chine. Sortons de l’ego et de la com. »

Ni russophiles ni russophobes : simplement Français

Les deux hommes rejettent les étiquettes : « Nous ne sommes ni russophiles ni russophobes, mais Français. » Houpert : « Critiquer le gouvernement, c’est être complotiste ; vouloir la paix, c’est être munichois. Non ! La paix, c’est débattre avec ses ennemis, pas seulement ses amis. » Pellizzari conclut sur l’espoir, citant Leclerc : « Il n’y a pas de cause désespérée, mais seulement des gens qui désespèrent. »

Cette interview, enrichie de faits concrets et de références constitutionnelles, révèle un exécutif accusé de manipulation, de désarmement unilatéral et d’érosion démocratique. Face à un Parlement muet et une opinion majoritairement pacifiste, Pellizzari et Houpert appellent à un sursaut : restaurer la souveraineté nationale, écouter le peuple et privilégier la négociation. Une voix dissonante dans un paysage médiatique souvent aligné, qui mérite d’être amplifiée.

https://multipol360.com/le-general-pellizzari-et-le-senateur-alain-houpert-denoncent-les-derives-autoritaires-de-lexecutif/

 

 

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