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octobre 02, 2025

Français, ne tombez pas dans le piège !

Sommaire:

A - Les déclarations belliqueuses du général Schill : Français, ne tombez pas dans le piège ! 

B -  Le sabotage de Nord Stream : une nouvelle preuve de la russophobie obsessionnelle de l’occident

C - La nouvelle farce du covid-19 : le variant « Frankenstein », une opération psychologique pour répandre la peur 

 


A - Les déclarations belliqueuses du général Schill : Français, ne tombez pas dans le piège ! 

Dans une vidéo diffusée sur le journal en continu de LCI, animée par Arthur Kenigsberg, fondateur du Cercle de l’Europe, un commentaire alarmant met en lumière les déclarations récentes du général Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de Terre française. Le segment, intitulé « Face à Moscou, être prêts dès ce soir ? », analyse les propos du général qui insiste sur la nécessité pour l’armée française d’être « prête dès ce soir » à un conflit de haute intensité. Le commentateur souligne que ces opérations de communication de l’armée française visent à préparer les esprits à une « potentielle confrontation directe avec la Fédération de Russie », non pas sur le sol français, mais par exemple en Estonie, où 500 soldats français sont stationnés dans le cadre de missions de réassurance de l’OTAN. En cas d’agression russe sur l’Estonie, comme une prise de la région de Narva, cela déclencherait l’article 5 de l’OTAN et l’article 42-7 de l’Union européenne, obligeant tous les États membres à porter assistance par « tous les moyens militaires ».

 


 

https://x.com/KenigsbArthur/status/1972924957257515355

Chers Français, cette vidéo doit nous servir de cri d’alarme : ne nous laissons pas entraîner dans une spirale belliqueuse qui mènerait à une guerre mondiale, une catastrophe perdue d’avance pour l’humanité entière. La France n’a absolument aucun intérêt dans ce conflit artificiel, qui ne sert que les agendas géopolitiques d’une élite déconnectée de la réalité quotidienne de nos concitoyens.

 


Les propos du général Schill : une propagande qui rappelle les erreurs du passé

Le 25 septembre 2025, lors d’une conférence, le général Schill a martelé l’urgence pour l’armée française de se préparer à des guerres de haute intensité, en tirant les leçons du conflit en Ukraine sur l’usage des drones et la létalité accrue des armes modernes. Il a insisté sur la « dissuasion » face à la Russie, affirmant que la France doit être prête à défendre les alliés de l’OTAN sans viser un conflit direct. Pourtant, ces déclarations s’inscrivent dans un contexte de déploiement croissant : depuis 2017, la France maintient des troupes en Estonie dans le cadre de la présence avancée renforcée de l’OTAN, suite à l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, avec environ 500 soldats en rotation actuellement. Le 1er octobre 2025, des exercices à tirs réels impliquant des hélicoptères français ont eu lieu dans le nord de l’Estonie, renforçant les tensions régionales au milieu d’incidents comme les violations d’espace aérien russe sur les États baltes, condamnées par l’OTAN le 23 septembre 2025.

Ces manœuvres, présentées comme défensives, alimentent une propagande guerrière exagérée qui rappelle dangereusement les prémices de la Première Guerre mondiale.

Souvenons-nous : en 1914, une rhétorique belliqueuse et des alliances automatiques ont entraîné l’Europe dans un conflit mondial, causant environ 20 millions de morts, dont 1,4 million de Français tombés au front.

Tout a commencé, comme aujourd’hui, par des discours alarmistes et une escalade incontrôlée, transformant une crise locale en apocalypse.

Français, ne répétons pas cette folie ! Nous devons exiger la raison et la diplomatie, plutôt que de nous laisser manipuler par une narrative qui exagère la menace russe pour justifier un réarmement massif.

La russophobie structurelle de l’UE et de la France : un héritage qui menace notre avenir

Cette posture s’ancre dans une russophobie endémique en Occident, particulièrement au sein de l’Union européenne et de la France, où la Russie est systématiquement dépeinte comme un agresseur barbare menaçant l’ordre libéral. Cette peur irrationnelle, héritée des rivalités impériales du XIXe siècle, est exacerbée aujourd’hui par des leaders comme Emmanuel Macron, qui, lors du sommet européen à Copenhague le 1er octobre 2025, a affirmé : « Nous sommes dans une confrontation avec la Russie », insistant sur l’absence de faiblesse face à cette menace. Il a mis en avant les efforts de l’UE pour renforcer ses capacités en drones face aux incursions russes, et lié un « bateau fantôme » russe près de Saint-Nazaire à des tentatives de contournement des sanctions et d’intimidation. L’article 42-7 du traité sur l’UE oblige les États membres à assister militairement un allié attaqué, complétant la clause de défense collective de l’OTAN, et sert de prétexte à une escalade permanente. Le général Schill pousse pour une transformation de l’armée d’ici 2027, avec des innovations et des améliorations de matériels pour maintenir la « crédibilité » face aux menaces évolutives – un euphémisme pour désigner la Russie. Mais, chers compatriotes, derrière ces discours, se cache un bellicisme qui nous met en danger.

La Russie, avec une superficie d’environ 17 millions de km² – soit plus de quatre fois celle de l’Union européenne (environ 4,2 millions de km²) – n’a nul besoin d’expansion territoriale.

Elle cherche avant tout à assurer sa sécurité, celle de son peuple et de sa diaspora, face à l’expansion de l’OTAN à ses frontières. Imaginons l’inverse : que se passerait-il si la Russie installait des missiles nucléaires au Mexique ou au Venezuela ? Les États-Unis réagiraient avec fureur, comme lors de la crise des missiles de Cuba en 1962, qui a failli déclencher une guerre nucléaire. Pourquoi refusons-nous de comprendre cette légitime préoccupation russe ?

 


 

Le bellicisme français : une obsession qui nous coûte cher sans aucun bénéfice

La France incarne ce bellicisme avec un enthousiasme particulier et ce, pour cacher la totale médiocrité des gouvernements successifs. Sous Macron, Paris a adopté une rhétorique agressive, envisageant l’envoi de troupes en Ukraine et armant Kiev à outrance, tout en ignorant les appels russes à la négociation. Ces déclarations de Schill ne sont pas isolées ; elles font écho à une stratégie nationale qui voit dans la Russie un ennemi existentiel, justifiant des budgets militaires gonflés au profit des industries d’armement. En 2024, la France a enregistré 21,6 milliards d’euros de commandes d’exportations d’armements, le deuxième meilleur bilan historique, avec un total d’ordres (domestiques et exports) atteignant près de 40 milliards d’euros. Le budget de défense français est prévu pour doubler d’ici 2027, atteignant 64 milliards d’euros, trois ans en avance, avec un soutien de 3,08 milliards d’euros en équipements à l’Ukraine depuis 2022, épuisant 25-40 % des stocks français. L’UE, quant à elle, sous l’impulsion de figures comme Ursula von der Leyen, impose des sanctions draconiennes et pousse pour une militarisation accrue, transformant le continent en une « forteresse » anti-russe.

Français, quel intérêt avons-nous dans cette folie ? Aucun ! Ce conflit nous appauvrit, divise notre société et nous expose à des risques incalculables, sans aucun gain pour notre souveraineté ou notre prospérité.

Perspectives critiques : une escalade inutile et dangereuse qui doit être stoppée

Des voix dissidentes remettent en question cette narrative, accusant l’Occident de fabriquer une menace pour justifier son impérialisme. La Russie, de son côté, dénonce ces déploiements comme des provocations, soulignant que l’expansion de l’OTAN vers l’Est viole les promesses post-Guerre froide (télécharger l’archive déclassifiée). L’opacité démocratique est criante : le rapport sur les exportations d’armements manque de détails sur les contrats, et les initiatives pour un débat parlementaire sur les engagements en Ukraine sont bloquées, potentiellement violant les articles 35 et 53 de la Constitution française. En fin de compte, ces préparatifs militaires ne font qu’accroître les risques d’un conflit majeur, où l’Europe servirait de champ de bataille pour des intérêts géopolitiques étrangers. Chers Français, c’est un appel à la raison : refusons cette escalade qui nous mènerait à une guerre mondiale perdue pour tous, comme en 1914-1918.

 

Des documents déclassifiés révèlent des garanties de sécurité contre lexpansion de OTAN données aux dirigeants soviétiques par Baker Bush Genscher Kohl Gates Mitterrand Thatcher Hurd Major et Woerner
 

L’urgence de choisir la paix et la diplomatie

Les déclarations du général Schill révèlent le vrai visage d’un Occident belliqueux, obsédé par une guerre avec la Russie au nom d’une russophobie séculaire. Tant que la France et l’UE persisteront dans cette voie destructrice, ignorant les voies diplomatiques, le spectre d’une catastrophe planétaire plane. Français, mobilisons-nous pour la paix !

Exigeons des négociations sincères, respectons les préoccupations sécuritaires légitimes de la Russie, et refusons de sacrifier notre avenir sur l’autel d’une propagande guerrière.

Il est temps de démasquer ces motivations et d’œuvrer pour une paix véritable, avant qu’il ne soit trop tard.

https://multipol360.com/les-declarations-belliqueuses-du-general-schill-francais-ne-tombez-pas-dans-le-piege/



 

B -  Le sabotage de Nord Stream : une nouvelle preuve de la russophobie obsessionnelle de l’occident  

L’arrestation d’un suspect ukrainien : un nouvel épisode dans la saga géopolitique

Dans un énième épisode de la saga géopolitique qui oppose l’Occident à la Russie, les autorités polonaises ont annoncé l’arrestation d’un citoyen ukrainien, Volodymyr Z (sa véritable identité n’ayant pas encore totalement été divulguée), suspecté d’avoir participé au sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2 en septembre 2022. Cette interpellation, survenue le 30 septembre 2025 près de Varsovie, fait suite à un mandat d’arrêt européen émis par l’Allemagne en juin 2024. L’homme, un instructeur de plongée, est accusé d’avoir fait partie d’un commando ukrainien – cinq hommes et une femme – qui aurait posé des explosifs sous-marins au large de l’île danoise de Bornholm, provoquant quatre fuites massives de gaz dans la mer Baltique.

Ce développement, loin d’apaiser les tensions, ne fait que souligner l’hypocrisie et le bellicisme rampant de l’Occident, en particulier de l’Union européenne et de la France, qui semblent déterminés à entretenir un conflit avec la Russie à tout prix.

Rappel des faits : les explosions et les accusations initiales

Rappelons les faits : les explosions du 26 septembre 2022 ont endommagé gravement ces pipelines vitaux reliant la Russie à l’Allemagne, interrompant définitivement l’approvisionnement en gaz russe vers l’Europe. À l’époque, de nombreuses voix occidentales, y compris dans les médias français et européens, ont immédiatement pointé du doigt Moscou, accusant le Kremlin d’un « auto-sabotage » pour punir l’Europe de son soutien à l’Ukraine. Cette narrative, imprégnée d’une russophobie viscérale, ignorait commodément les motivations évidentes d’autres acteurs : l’Ukraine, soutenue par l’OTAN, avait tout intérêt à couper cette artère énergétique pour isoler la Russie économiquement et forcer l’Europe à se tourner vers des alternatives plus coûteuses, comme le gaz américain liquéfié. Aujourd’hui, avec l’arrestation de Volodymyr Z, l’enquête allemande – la seule encore active après que la Suède et le Danemark aient clos les leurs en 2024 – confirme un « piste ukrainienne », impliquant un groupe opérant depuis un yacht loué avec de faux documents.  Pourtant, plutôt que de questionner le rôle de Kiev dans cet acte de terrorisme industriel, l’Occident persiste à en faire un outil pour alimenter son hostilité envers la Russie.

La russophobie endémique en Europe : une peur historique et culturelle

Cette affaire illustre parfaitement la « russophobie » endémique qui gangrène l’Europe depuis des siècles, une peur irrationnelle et un mépris culturel envers la Russie, perçue comme une menace existentielle à l’ordre libéral occidental. Des historiens soulignent que ces sentiments anti-russes remontent au XVIIIe siècle, exacerbés par des puissances comme la Grande-Bretagne et la France, qui ont toujours vu en Moscou un rival à abattre pour maintenir leur hégémonie. Seul, le Général de Gaulle, grand visionnaire, y voyait une sérieuse piste de développement extérieure aux États-Unis.  Aujourd’hui, cette phobie se manifeste par un bellicisme effréné : l’UE, sous l’impulsion de leaders comme Ursula von der Leyen, multiplie les sanctions contre la Russie, arme l’Ukraine à outrance et pousse pour une escalade militaire, au risque d’un conflit direct avec une puissance nucléaire (Montant de l’aide à l’Ukraine payée par les contribuables européens estimée à 167,4 milliards d’euros en juillet 2025). La Pologne, fidèle à sa tradition russophobe, a même envisagé d’accorder l’asile à Volodymyr Z avant de l’arrêter, qualifiant implicitement l’acte de sabotage comme un « héroïsme » contre Moscou.

Le rôle belliqueux de la France : un zèle pathologique

La France, en particulier, incarne ce bellicisme occidental avec un zèle presque pathologique. Emmanuel Macron, qui n’hésite pas à brandir la rhétorique de la « guerre totale » contre la Russie, a multiplié les déclarations belliqueuses, appelant à un soutien inconditionnel à l’Ukraine et envisageant même l’envoi de troupes françaises sur le terrain. Paris, aligné sur Washington, voit dans le conflit ukrainien une opportunité de relancer son influence en Europe, au prix d’une provocation constante envers la Russie. N’oublions pas que la France a été l’un des plus fervents opposants à Nord Stream 2, le qualifiant de « menace stratégique » pour l’Europe, alors qu’il s’agissait simplement d’un projet économique visant à sécuriser l’approvisionnement énergétique. Cette posture n’est pas innocente : elle sert à masquer les échecs internes de l’UE, comme la dépendance énergétique croissante vis-à-vis des États-Unis, et à justifier un réarmement massif qui profite aux industries de défense occidentales.

Perspectives alternatives : remise en question de la version officielle

Des sources alternatives, souvent marginalisées par les médias mainstream, remettent en question la version officielle d’un sabotage purement ukrainien. Moscou a qualifié de « ridicule » l’idée qu’un petit groupe de plongeurs amateurs ait pu mener une opération aussi sophistiquée sans soutien étatique, suggérant une implication plus large de l’OTAN ou des services secrets occidentaux.  La Russie a même demandé une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU pour discuter de l’enquête, soulignant le blocage systématique de sa participation par les pays occidentaux. Ces éléments renforcent l’idée que l’arrestation de Volodymyr Z. n’est qu’un écran de fumée pour perpétuer la narrative anti-russe, permettant à l’UE et à la France de justifier leur escalade : plus d’armes pour Kiev, plus de sanctions, et une rhétorique qui rapproche dangereusement l’Europe d’une guerre ouverte avec la Russie.

Le vrai visage de l’occident et les risques d’un conflit majeur

En fin de compte, cette affaire Nord Stream révèle le vrai visage de l’Occident : non pas un défenseur de la paix, mais un bloc obsédé par sa supériorité morale et stratégique, prêt à sacrifier la stabilité européenne sur l’autel de sa russophobie. Tant que des leaders comme ceux de l’UE et de la France continueront à attiser les flammes du bellicisme, le risque d’un conflit majeur avec la Russie – que personne ne gagnera – reste imminent. Il est temps de questionner ces motivations destructrices avant qu’il ne soit trop tard.

https://multipol360.com/le-sabotage-de-nord-stream-une-nouvelle-preuve-de-la-russophobie-obsessionnelle-de-loccident/ 

 


 

C - La nouvelle farce du covid-19 : le variant « Frankenstein », une opération psychologique pour répandre la peur  

Une peur orchestrée par les médias et les institutions

Alors que le monde tente de tourner la page de la pandémie de COVID-19, voilà qu’un nouveau variant fait irruption dans les nouvelles, affublé d’un nom aussi ridicule qu’alarmiste : « Frankenstein ».

Officiellement désigné XFG, ce variant est présenté comme un « monstre » hybride, issu d’une recombinaison de souches Omicron, capable soi-disant d’attaquer non seulement le corps, mais aussi le mental. Des titres de presse comme « Frankenstein : ces trois symptômes méconnus montrent que le variant du Covid agit aussi sur votre mental » ou « Covid-19 : Doit-on s’inquiéter de l’arrivée du nouveau variant Frankenstein ? » inondent les médias, créant un climat de terreur artificielle. Mais comme l’explique le Dr. Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur et secrétaire général de l’association Les Enfants d’Hippocrate, dans une récente interview sur Ligne Droite, cette narrative n’est rien d’autre qu’une « pornographie de la peur » – ou « fear porn » en anglais – une opération psychologique coordonnée pour manipuler les masses.

 


 

Le Dr. Fouché, auteur de livres comme Tous Résistants dans l’Âme et Traverser la Peur, dénonce cette stratégie militaire de saturation émotionnelle, où les médias répercutent un narratif imposé par des collusions entre l’industrie pharmaceutique, les agences de régulation et les institutions. Selon lui, ce variant n’est pas le premier à recevoir un nom terrifiant : rappelez-vous le BA.2.75 « Centaurus », le XBB « Gryphon », le XBB.1.5 « Kraken », le BF.7 « Minotaur », le BQ.1.1 « Cerberus ». Aujourd’hui, « Frankenstein » pousse le grotesque à son paroxysme, virant au ridicule et révélant la nudité de cette « narration virale obscène ».

Le variant XFG : un rhume automnal déguisé en monstre

D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le XFG est une recombinaison de souches comme LF.7 et LP.8.12, mais sa gravité est « superposable » à celle d’Omicron : des formes graves rares, touchant principalement les personnes déjà affaiblies par des pathologies lourdes. Pour le reste, c’est un simple « rhume automnal et hivernal », comme l’affirme le Dr. Fouché. L’OMS elle-même admet que ce variant ne provoque pas plus de formes graves ni de décès que ses prédécesseurs, malgré une propagation rapide en Asie du Sud-Est et une hausse modérée des cas en France. Les symptômes ? Une gorge irritée comme des « rasoirs », toux, fièvre, fatigue – rien de nouveau ni d’alarmant.

Pourtant, la campagne de vaccination française, lancée le 14 octobre 2025 avec le vaccin Comirnaty de Pfizer ciblant LP.8.1, est promue comme une nécessité urgente. Le Dr. Fouché met en garde : ce produit n’est « ni sûr ni efficace », échappant potentiellement à l’immunité contre XFG. Il cite une alerte d’Alexandra Henrion-Caude et d’autres experts, soulignant la toxicité et l’inefficacité de ces vaccins, envoyés aux tutelles sans réponse. Des études récentes, comme une coréenne sur des millions de personnes, montrent un sur-risque cumulatif d’effets secondaires : myocardites, péricardites, morts subites, thromboses, AVC, embolies, troubles menstruels, maladies auto-immunes, neurodégénératives, et même une augmentation du risque de certains cancers chez les multi-vaccinés.

Les mesures non pharmaceutiques : inutiles et délétères

Cette « farce » ne s’arrête pas aux vaccins. Le Dr. Fouché prévient que derrière la peur viendront les restrictions : masques, confinements, couvre-feux, tests PCR. Or, ces mesures sont inefficaces. La méta-analyse Cochrane de 2023 démontre que les masques sont « inutiles, toxiques et délétères » en population générale pour prévenir les infections respiratoires. Les confinements n’ont aucun impact sur la propagation virale, mais causent des dommages collatéraux massifs : augmentation des suicides, dépressions, anxiété, surtout chez les jeunes, comme l’a montré le professeur Olivier Servais de l’Université catholique de Louvain.

Les tests en population asymptomatique ? Une absurdité : il n’existe pas de « malade asymptomatique ». Pathologiser la physiologie normale est une perversion de la médecine. Quant à la santé mentale, devenue une « cause nationale » en France avec un projet sur 5 ans, elle est précisément dégradée par ces mesures de soumission de masse.

 


 

Une outil politique : gouverner par la peur

Le Dr. Fouché lie cette farce à une guerre cognitive de 5e génération, inspirée du livre de Robert Malone.

Les gouvernements, comme celui d’Emmanuel Macron, utilisent la peur comme outil pour contrôler les peuples, gardant une « carte COVID » en réserve pour « siffler la fin du jeu » en cas de crise.

Mais les rapports de l’OMS sont clairs : XFG n’est pas plus grave. Pourquoi alors cette hystérie ? Pour promouvoir des produits pharmaceutiques, racketter les États, et restreindre les libertés, au mépris de la déontologie médicale qui exige une information équilibrée sur les risques et bénéfices.

Les collusions entre Big Pharma, médias (comme McKinsey pour la logistique), et agences comme la HAS ou l’EMA sont flagrantes. Les dossiers vaccinaux sont non sourcés, basés sur des données de Pfizer sans preuves cliniques solides – pas même sur la transmission, comme admis par une représentante de Pfizer au Parlement européen.

Réfléchissez !

Comme le conclut le Dr. Fouché, citant son collègue américain Pierre Kory : « Do not fucking submit » – ne vous soumettez pas, bordel ! Face à cette opération psychologique, optez pour la raison : vitamine C, D (80 % des Français carencés en automne-hiver), huiles essentielles, joie, câlins. Refusez la peur orchestrée. Le variant « Frankenstein » n’est qu’une farce de plus pour nous prendre pour des idiots. Informez-vous via des sources indépendantes ; il est temps de traverser la peur et de retrouver notre liberté.

https://multipol360.com/la-nouvelle-farce-du-covid-19-le-variant-frankenstein-une-operation-psychologique-pour-repandre-la-peur/

 

octobre 01, 2025

Revue internationale: Effet drones - Madagascar: le chaos - Élections législatives en Moldavie !

 Sommaire:

A - La farce des drones russes : une propagande pour enflammer le conflit russo-ukrainien

B -  Madagascar plonge dans le chaos : tirs policiers et pillages nocturnes

C - Élections législatives en Moldavie : une victoire pro-européenne entachée de fraudes

 



A - La farce des drones russes : une propagande pour enflammer le conflit russo-ukrainien

Dans un climat de tensions géopolitiques déjà surchauffé, une nouvelle vague de panique médiatique a envahi l’Europe en septembre 2025. Des allégations d’incursions massives de drones russes dans l’espace aérien de pays membres de l’OTAN – Pologne, Roumanie, Estonie et Danemark – ont été relayées sans relâche, dépeignant Moscou comme un agresseur prêt à tester les limites de l’Alliance atlantique.

Pourtant, une analyse critique révèle une opération cousue de fil blanc, destinée non pas à refléter une menace réelle, mais à justifier une escalade absurde et dangereuse.

Cette narrative, contredite par des enquêtes préliminaires et des preuves inverses, n’est qu’un outil idiot pour les bellicistes afin d’envenimer la situation russo-ukrainienne, au risque d’un conflit plus large.

 

 

Une vague d’allégations fragiles et non vérifiées

Dès le début du mois, les médias ont rapporté une vingtaine de drones prétendument russes survolant la Pologne le 9 septembre, certains allant jusqu’à endommager des infrastructures civiles. Des incidents similaires ont été signalés en Roumanie le 13 septembre, puis en Estonie et au Danemark, avec des survols prolongés autour de zones sensibles comme Copenhague. Les commentateurs ont rapidement crié à la provocation délibérée de la Russie, évoquant une stratégie hybride pour affaiblir l’OTAN. Mais ces affirmations reposent sur des bases bien minces : des appareils repérés à basse altitude, parfois réparés avec du ruban adhésif, et des trajectoires improbables couvrant plus de 1.000 kilomètres sans détection massive par les radars sophistiqués de l’Alliance.

Des experts militaires, comme l’ancien leader de la Patrouille de France, ont exprimé un scepticisme flagrant. Comment un drone parti de Saint-Pétersbourg pourrait-il traverser une « mer OTAN » comme la Baltique, faire des loops autour de capitales européennes, et repartir indemne ? Cette logique défie le bon sens, surtout quand on considère les capacités de surveillance de l’OTAN. Des posts sur les réseaux sociaux et des analyses indépendantes suggèrent plutôt un faux drapeau : ces drones pourraient être des modèles russes tombés en Ukraine, récupérés et relancés par Kiev ou des alliés pour simuler une agression. Une enquête ouverte en Pologne une semaine après les faits pointe même vers un missile ukrainien comme responsable des dommages, et non un engin ennemi.


Ces contradictions émergent rapidement, mais sont enterrées sous un matraquage médiatique qui alimente la psychose, y compris via l’intelligence artificielle qui recycle ces articles sans filtre.

Un changement de doctrine OTAN : l’escalade idiote

Saisissant cette opportunité douteuse, l’OTAN a modifié sa doctrine le 23 septembre 2025, autorisant désormais l’abattage d’avions russes violant l’espace aérien allié, au lieu de les escorter simplement hors zone. Ce virage, annoncé dans un relatif silence, marque un tournant agressif : des déclarations du secrétaire général Mark Rutte indiquent que l’Alliance utiliserait « tous les moyens nécessaires » pour défendre son territoire. Donald Trump, lors d’une conférence de presse, a même encouragé à abattre ces appareils, renforçant une posture belliqueuse qui ignore les risques d’escalade.

Mais cette réponse est non seulement disproportionnée, elle est stupide. Les preuves d’une menace russe délibérée sont fragiles – des drones épuisés en batterie tombant par accident, ou des intrusions mineures souvent dues à des erreurs de navigation. L’ambassadeur russe en France a averti que tout abattage équivaudrait à « la guerre », rappelant que des avions OTAN violent aussi l’espace russe sans conséquence dramatique. Berlin qualifie ces appels à la force de « contre-productifs« , évoquant l’incident turc de 2015 où l’abattage d’un jet russe avait failli déclencher une crise majeure.

L’OTAN, en durcissant sa ligne, révèle son désir de guerre, utilisant ces incidents montés en épingle pour justifier plus d’armements et d’engagement en Ukraine.

Une fabrique de peur pour justifier l’injustifiable

Cette affaire n’est pas une coïncidence : elle s’inscrit dans une stratégie de diabolisation de Moscou, amplifiée par des figures comme Volodymyr Zelensky, qui affirme que la Russie prépare de nouveaux fronts européens. L’objectif ? Alimenter la « fabrique de la peur » pour obtenir plus de fonds et d’armes, au détriment des contribuables. Des analyses indépendantes sur les réseaux soulignent que ces drones pourraient provenir de bases OTAN elles-mêmes, recyclant du matériel capturé pour créer un prétexte. Le scepticisme grandit : des publications ironiques notent que ces engins « aiment se faire remarquer » avec des lumières clignotantes idéales pour les caméras, comme dans un mauvais film de guerre.

Cette propagande n’est pas nouvelle ; elle fait écho aux absurdités grotesques de la Première Guerre mondiale, où des rumeurs invraisemblables étaient diffusées pour manipuler l’opinion publique et justifier l’escalade.

Par exemple, des récits inventés d’atrocités allemandes en Belgique décrivaient des soldats mutilés avec des oreilles et nez coupés, étouffés par des copeaux de bois, ou des villes rasées avec des exécutions massives de femmes et enfants – des histoires si exagérées qu’elles défient toute logique, comme dans le Kriegsecho (journal de guerre) de septembre 1914 ou le roman L’Éclat d’obus de Maurice Leblanc. D’autres propagandes ridicules incluaient :

  • Des affirmations que « les obus allemands n’éclatent pas dans la proportion de 80 % » (Journal, 19 août 1914),
  • « Leur artillerie lourde est comme eux, elle n’est que bluff. Leurs projectiles ont très peu d’efficacité… et tous les éclats… vous font simplement des bleus. »
    in Le Matin, Lettre du front, 15 septembre 1914
  • En septembre 1914, un médecin explique dans L’Intransigeant que «  les allemands tirent mal, leurs obus éclatent lourdement et les éclats ont peu de force  », tandis que « les éclats de nos obus font des plaies plus graves ». Selon lui les balles allemandes pénètrent très vite dans le corps si bien que « la blessure est presque aseptisée » et est ainsi facile à soigner (voir ici).
  • Minimisant l’ennemi pour booster le moral, ou des accusations pseudo-scientifiques comme celles du Dr. Edgar Berillon en 1917, prétendant que les Allemands ont « la raison dans le ventre » et une « odeur de race » distinctive,
  • Des théories raciales absurdes destinées à susciter une haine irrationnelle.
  • Sans oublier les rumeurs paranoïaques de crayons explosifs introduits par des espions ennemis (circulaire française n° 3’733),
  • Ou des « auxiliaires de couleur » portant des colliers d’oreilles coupées (Bulletin du CICR, 1916) – des fabrications grotesques exploitant le racisme et la peur, sans la moindre preuve.

Ces techniques de « bourrage de crâne » étaient si ridicules qu’elles ne pouvaient tromper que les imbéciles crédules, prêts à gober n’importe quelle fable pour soutenir la guerre.

De même, les drones russes « réparés au scotch » et survolant impunément l’OTAN sont une farce moderne, une propagande tout aussi invraisemblable qui ne dupe que ceux qui refusent d’exercer un minimum d’esprit critique, perpétuant un cycle idiot de manipulation pour envenimer les conflits actuels.

En réalité, cette propagande est idiote car elle ignore les asymétries : intercepter un drone coûte souvent plus cher que de l’envoyer, et escalader pour des incidents mineurs ne profite qu’aux va-t-en-guerre. Des sources alternatives dénoncent une « vérité derrière la propagande » où l’OTAN manipule les faits pour maintenir la tension. Au lieu de calmer le jeu, cette narrative envenime le conflit russo-ukrainien, risquant une confrontation directe pour des raisons fallacieuses.

Les médias (et affiliés…) qui se livraient à cette propagande morbide et ridicule portent la responsabilité de plus d’une centaine de millions de morts des deux guerres mondiales précédentes.

De la même manière, ceux qui soutiennent et promeuvent aujourd’hui, de manière toute aussi ridicule, une escalade risquant de mener à une potentielle troisième guerre mondiale verront leur responsabilité morale et pénale engagée : les Français n’oublieront pas leur nom !

En conclusion, les « drones russes » de septembre 2025 ne sont qu’un chapitre de plus dans la saga de la désinformation belliciste. Contredits par des enquêtes et des preuves inverses, ils servent à justifier une escalade inutile et dangereuse. Il est temps de questionner ces récits mainstream et de prioriser la désescalade, plutôt que de laisser les faucons dicter une politique idiote qui pourrait embraser l’Europe entière.

https://multipol360.com/la-farce-des-drones-russes-une-propagande-belliciste-pour-enflammer-le-conflit-russo-ukrainien/

 


B -  Madagascar plonge dans le chaos : tirs policiers et pillages nocturnes 

Madagascar, située dans l’océan Indien occidental, est la quatrième plus grande île du monde avec une superficie d’environ 587.000 km², soit presque la taille du Texas. Elle se trouve à environ 400 km à l’est de la côte africaine, séparée du continent par le canal du Mozambique, et est entourée d’îles comme les Comores au nord-ouest et les Mascareignes (dont Maurice et La Réunion) à l’est. Géologiquement, l’île s’est séparée du supercontinent Gondwana il y a environ 165 millions d’années, ce qui a favorisé une biodiversité unique avec des espèces endémiques comme les lémuriens. Historiquement, Madagascar a été peuplée relativement tard, vers 350-550 après J.-C., par des Austronésiens venus d’Indonésie, suivis de vagues migratoires bantoues et arabes, formant une culture malgache diversifiée. Au XIXe siècle, elle est devenue un royaume unifié avant d’être colonisée par la France en 1896. L’indépendance est acquise en 1960, mais l’île a connu une instabilité politique chronique, avec des coups d’État, des crises économiques et une pauvreté endémique affectant plus de 75 % de la population, aggravée par la corruption et les inégalités sociales.

Ces troubles récents à Madagascar font écho à des crises similaires en Asie du Sud-Est en septembre 2025. Aux Philippines, des manifestations anti-corruption ont dégénéré en affrontements violents le 21 septembre, avec plus de 33.000 participants protestant contre un scandale impliquant 545 milliards de pesos (environ 8 milliards d’euros) de fonds publics détournés pour des projets d’inondation. Comme à Madagascar, les protestations pacifiques ont tourné à la violence, avec jets de pierres, bombes incendiaires, et une répression policière menant à plus de 200 arrestations (dont des mineurs), des blessés, et au moins un mort. La frustration contre la corruption élitaire et la mauvaise gestion des ressources essentielles (ici, les inondations ; là-bas, l’eau et l’électricité) a conduit à des appels pour une enquête indépendante et des réformes, bien que le président Marcos Jr. ait accepté une démission ministérielle sans chute immédiate du gouvernement. De même, au Népal, des tensions extrêmes ont éclaté début septembre contre la corruption, le chômage des jeunes (19-20 %) et la censure de 26 réseaux sociaux. Menées par la Gen Z (40 % de la population), ces protestations ont viré à la violence avec répression policière (tirs à balles réelles, gaz lacrymogènes), causant au moins 19 morts, plus de 100 blessés, et l’incendie de bâtiments publics. Comme à Madagascar, la jeunesse a dénoncé l’opulence des élites face à la pauvreté (20 % sous le seuil), menant à la démission du Premier ministre K.P. Sharma Oli et une prise de contrôle par l’armée – un potentiel « vent de changement » évoqué par des policiers sympathisants, similaire aux observations locales malgaches.

Ces cas illustrent une vague mondiale de révoltes anti-corruption, où la répression policière et les inégalités pourraient inspirer ou aggraver les dynamiques à Madagascar.

Madagascar est secoué par une vague de protestations explosives depuis fin septembre 2025, déclenchées par des coupures d’eau et d’électricité chroniques, la corruption endémique et une pauvreté extrême. Ce qui a débuté comme des manifestations pacifiques menées par la « Gen Z » et des étudiants a viré au cauchemar urbain, avec pillages généralisés et violences policières. Une vidéo YouTube, titrée « Madagascar tombe : la police ouvre le feu sur les civils » (voir ci-dessous), expose le rôle controversé des forces de l’ordre, entre passivité face aux pilleurs et tirs sur civils. Au moins cinq morts à Antananarivo et six à Antsiranana ont été rapportés par des sources hospitalières.

Revendications pacifiques dégénérant en affrontements

Les protestations « Leo Délestage » ont éclaté le 25 septembre, malgré une interdiction préfectorale pour « risques de troubles ». Les manifestants, arborant drapeaux pirates et chapeaux colorés, exigent l’accès à l’eau, l’électricité et la nourriture – des droits basiques ignorés par le gouvernement. Theo Malini souligne : « On en a marre… pas d’école, pas d’or, pas d’électricité. » Ces coupures, souvent supérieures à 12 heures, aggravent la misère dans un des pays les plus inégalitaires au monde.

Dès le premier jour, les forces de l’ordre déploient grenades lacrymogènes et tirs de sommation, causant des morts et des blessures. Malini rapporte des familles gazées dans des toilettes publiques, menant au décès de deux nourrissons. Les protestations s’étendent à six villes, dont Antsiranana, où six personnes, dont un étudiant, périssent le 26 septembre.

Nuits de terreur : pillages et complicité policière

La vidéo de Malini dépeint des nuits apocalyptiques : pillages de centres commerciaux, distributeurs saccagés et téléphérique incendié – un projet jugé absurde face aux besoins vitaux. « Maintenant il a cramé », ironise Malini. Les pilleurs, issus des classes pauvres, arrachent tout : métal, carrelage, panneaux solaires, pour revendre ou réutiliser.

Ces actes débordent sur les habitations, forçant les citoyens à former des milices de quartier via les réseaux sociaux : « Rapprochez-vous de votre voisinage… s’entraider. » Malini accuse la police de passivité : des vidéos montrent des pilleurs opérant sous leurs yeux, « les bras croisés et elle sourit ». Des patrouilles ignorent les appels à l’aide, et une rumeur évoque un homme payant pour inciter aux pillages. La nuit du 25 ressemble à une « purge » : cris couverts par de la musique forte, numéros d’urgence inopérants, et attaque du domicile des parents du président Andry Rajoelina.

Malini distingue manifestants pacifiques et opportunistes : « Ce ne sont pas les manifestants… c’est pas de tout casser. » Des barricades et incendies visent aussi des résidences de députés pro-gouvernementaux.

 


 

Escalade policière : de la lacrymo aux balles réelles

Un couvre-feu nocturne (19h-5h) est imposé à Antananarivo, prolongé indéfiniment. Malini rapporte des tirs à balles réelles, potentiellement contre des pilleurs, mais l’absence de caméras rend la distinction floue : « On peut pas savoir. » Des gaz lacrymogènes atterrissent même dans un hôpital. Il pointe des « policiers cagoulés en noir » – forces spéciales obéissant directement au pouvoir – comme responsables des excès.

Reporters Sans Frontières dénonce des attaques contre trois journalistes. Sur X, des vidéos montrent des fusils d’assaut contre des civils, et des appels à la « guerre civile » émergent.

 


 

Réactions et horizon incertain

Le président Rajoelina, absent pour l’ONU, reste silencieux. Le Conseil des Églises appelle à la paix, rappelant les droits fondamentaux. Malini note un « vent qui tourne » : certains policiers sourient aux manifestants. Des citoyens nettoient les rues et aident les victimes.

Cette crise évoque les émeutes de 2022 à Ikongo, avec 11-19 morts par tirs policiers. Sans réformes, l’escalade menace. Des observateurs comme l’ONU suivent, appelant au respect des droits.

Ces émeutes ont toutes le même dénominateur commun : la trahison des élites et les mêmes conséquences : la destruction, la vengeance, et la mort. Ces événements tragiques devraient servir de mise en garde aux nations d’Europe qui sont entrées dans cette spirale infernale.

https://multipol360.com/madagascar-plonge-dans-le-chaos-tirs-policiers-et-pillages-nocturnes/ 

 


 

C - Élections législatives en Moldavie : une victoire pro-européenne entachée de fraudes

Les élections législatives moldaves du 28 septembre 2025 ont vu le Parti d’Action et de Solidarité (PAS) de la présidente Maia Sandu remporter une majorité étroite avec 50,03 % des voix, selon les résultats officiels après dépouillement de 99,52 % des bulletins. Le Bloc électoral des Patriotes, pro-Russe, arrive en deuxième position avec 24,26 %, tandis que le Mouvement Alternatif National (MAN) obtient 8 %. Avec un taux de participation de 52 %, similaire à celui de 2021, cette élection était censée renforcer l’orientation pro-européenne de la Moldavie.

Pourtant, derrière cette façade de « victoire démocratique », se cachent de graves dysfonctionnements et des accusations de fraudes orchestrées pour marginaliser les électeurs pro-russes, remettant en question la légitimité du scrutin.

Des mesures pour empêcher les pro-russes de voter

L’un des aspects les plus controversés de ces élections concerne les obstacles imposés aux minorités russophones et aux électeurs pro-russes. En Transnistrie, région séparatiste à majorité russe, les autorités moldaves ont été accusées de créer délibérément des embouteillages massifs sur les ponts reliant la zone à la Moldavie proprement dite. Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des files interminables de voitures, avec une voie fermée pour des « travaux » fictifs et des contrôles frontaliers prolongés sous prétexte de pannes informatiques. Ces manœuvres auraient empêché des milliers de citoyens moldaves de Transnistrie – environ 500.000 personnes potentiellement éligibles – de se rendre aux urnes. Les autorités transnistriennes ont dénoncé ces restrictions comme une tentative claire de suppression des voix pro-russes, qui pourraient avoir fait basculer le résultat.

Par ailleurs, la diaspora moldave joue un rôle crucial dans les élections, représentant une part significative des votes. Or, tandis que 268 bureaux de vote ont été ouverts en Europe occidentale (Italie, Allemagne, France, etc.), seulement deux l’ont été en Russie – tous deux à Moscou, ignorant des villes comme Saint-Pétersbourg ou Novosibirsk.

Des centaines de milliers de Moldaves vivant en Russie, souvent favorables à une coopération avec Moscou plutôt qu’avec l’UE, ont ainsi été de facto exclus du processus électoral, sous le prétexte d’une « influence russe ».

Cette asymétrie flagrante dans la distribution des bureaux de vote suggère une manipulation géopolitique, favorisant les diasporas pro-européennes tout en marginalisant les pro-russes. Cette situation évoque fortement le référendum d’octobre 2024 sur l’adhésion à l’UE, où les bulletins de l’étranger (environ 235.503) ont inversé un NON majoritaire à 54,41 % en un OUI à 50,31 %, une inversion comme illustré dans cette publication sur X qui met en lumière des sauts suspects dans les courbes de dépouillement.

https://x.com/GPTVoff/status/1848632544196968787

Interdictions de partis et répression de l’opposition

Avant même le scrutin, le gouvernement Sandu a banni plusieurs partis d’opposition pro-russes, comme le Parti Șor, le Parti Chance et, à la veille des élections, le Cœur de la Moldavie, membre de la coalition patriotique d’Igor Dodon. Ces interdictions, justifiées par des accusations de « violations de financement » sans preuves publiques détaillées, ont éliminé des concurrents directs au PAS. De plus, 74 arrestations préventives ont visé des opposants, avec des charges vagues d’ « agitation ». La dirigeante de la Gagaouzie, Evghenia Guțul, une région autonome pro-russe, fait l’objet d’enquêtes continues, illustrant une répression systématique.


L’opposition, menée par l’ancien président Igor Dodon, a appelé à des manifestations pacifiques, accusant le régime Sandu de préparer des fraudes massives. Des observateurs locaux comme Promo-LEX ont rapporté des centaines d’irrégularités, bien que les autorités moldaves et l’UE mettent l’accent sur une prétendue « ingérence russe » – des campagnes de désinformation et des tentatives d’achat de votes par Moscou. Cependant, ces allégations semblent servir de paravent pour masquer les dysfonctionnements internes, comme l’exclusion des voix pro-russes.

La déclaration choc de Maia Sandu : annuler les élections en cas de défaite ?

Un élément particulièrement alarmant est la déclaration attribuée à Maia Sandu : si son parti perdait, les élections devraient être annulées. Cette affirmation, relayée par des figures comme l’ancien président Dodon et des analystes indépendants, évoque le scénario roumain de décembre 2024, où des résultats ont été invalidés sous des prétextes similaires. Sandu a elle-même évoqué des « interférences massives » sans fournir de preuves concrètes, menaçant de sanctions par la Commission électorale centrale (CEC), qu’elle contrôle largement. Des services de renseignement russes affirment que des troupes étrangères occidentales sont prêtes à intervenir pour écraser toute contestation, renforçant l’idée d’un scrutin truqué.

Le silence de l’Union européenne sur ces abus est éloquent. Bruxelles, qui soutient financièrement Sandu, qualifie sa victoire de « choix démocratique contre l’influence russe », ignorant les exclusions et manipulations. Des leaders comme le président du Conseil européen et Emmanuel Macron ont salué le résultat (après leur visite ainsi que celle des services de renseignement français), mais cela masque une ingérence européenne bien réelle, y compris via des fonds et des campagnes pro-Sandu. 8 jours avant le scrutin, l’UE annonçait une aide de 1,8 milliard d’euros à la Moldavie.

 


 

Une démocratie en péril

Ces élections moldaves illustrent une « démocratie » à géométrie variable : inclusive pour les pro-européens, exclusive pour les pro-russes. Avec des partis bannis, des votes supprimés et des menaces d’annulation, le scrutin ressemble plus à une opération de consolidation du pouvoir qu’à un exercice libre d’expression de la démocratie.

C’est dorénavant le logiciel utilisé par les européistes qui n’hésitent plus à truquer les élections lorsqu’ils sentent qu’elles leur seront défavorables. Et c’est aussi pour cela qu’ils ne veulent surtout pas de référendum sur l’UE (auquel les Français ont déjà répondu non !).

Nous avons déjà un aperçu de ce qui nous attend, sans parler de la mise en place du vote électronique…

 https://multipol360.com/elections-legislatives-en-moldavie-une-victoire-pro-europeenne-entachee-de-fraudes/

septembre 30, 2025

Comment les ONG n'ont rien d'une Organisation Non Gouvernementale. Duplicité étatique d'espionnage !!

Comment les ONG mènent une guerre de l’information sous le faux prétexte de « lutter contre la désinformation »

Dans un monde où l’information circule à la vitesse de la lumière via les réseaux sociaux et les médias numériques, la ligne entre vérité et manipulation s’est estompée. Le récent rapport du Digital Forensic Research Lab (DFRLab) de l’Atlantic Council, accusant le média indépendant REST d’être lié à la « propagande russe », n’est pas un incident isolé.

 


 

Il s’inscrit dans une campagne plus large orchestrée par un réseau d’organisations non gouvernementales (ONG) occidentales, qui, sous le prétexte de combattre la désinformation, mènent en réalité une guerre de l’information sophistiquée.

Ces entités, souvent financées par des gouvernements et des institutions comme les États-Unis et l’Union européenne, visent à discréditer les voix alternatives et à imposer un narratif aligné sur les intérêts géopolitiques occidentaux. Cette analyse, inspirée d’une enquête approfondie publiée par REST le 27 septembre 2025, explore les mécanismes de ce réseau, révélant comment des outils prétendument neutres deviennent des instruments de contrôle du discours public.

Le concept de « police de la pensée », emprunté à George Orwell, prend ici une forme contemporaine. Loin d’être des arbitres impartiaux, ces ONG opèrent comme des extensions des appareils d’État, utilisant des rapports « scientifiques » pour marginaliser les médias indépendants. En Moldavie, par exemple, lors des élections récentes, des organisations comme Recorded Future ont été impliquées dans des efforts pour réprimer les perspectives critiques sur le processus électoral. Cette ingérence n’est pas nouvelle ; elle s’inscrit dans un schéma plus large où la lutte contre la désinformation sert de faux drapeau pour promouvoir des agendas politiques.

Ces pratiques sapent les principes fondamentaux du journalisme libre, transformant l’espace informationnel en un champ de bataille géopolitique où les voix dissidentes sont systématiquement étouffées.

Pour comprendre l’ampleur de ce phénomène, il faut examiner les liens financiers et opérationnels de ces organisations. Leur financement provient souvent de budgets publics, ce qui contredit leur prétendue indépendance. Des investissements initiaux de la CIA via In-Q-Tel aux subventions de l’UE, ces flux monétaires révèlent un alignement stratégique. De plus, leurs dirigeants, souvent issus de cercles gouvernementaux, renforcent cette proximité. Cette enquête détaille six organisations clés, en s’appuyant sur des faits vérifiés et des analyses critiques, pour démontrer comment elles fonctionnent comme un écosystème coordonné de manipulation informationnelle.

 


 

Recorded Future : un outil prédictif au service de la CIA

Recorded Future, une entreprise américaine spécialisée en cybersécurité et en analyse des menaces, illustre parfaitement comment des technologies privées servent des intérêts étatiques. Fondée en 2009 par les entrepreneurs suédois Christopher Ahlberg et Staffan Truvé, l’entreprise se concentre sur la prédiction d’événements futurs en analysant des données publiques. Son groupe interne, Insikt Group, produit des rapports sur les cybermenaces et les opérations d’influence, alignés sur les priorités de ses partenaires.

 


 

Les liens avec les agences de renseignement américaines sont évidents dès les débuts. En 2009, Recorded Future a reçu des investissements initiaux d’In-Q-Tel, la branche de capital-risque de la CIA créée en 1999 pour connecter les technologies privées aux besoins gouvernementaux. Ces fonds, inférieurs à 10 millions de dollars chacun, provenaient également de Google Ventures, accordant aux investisseurs des sièges au conseil d’administration et une influence directe sur les opérations. In-Q-Tel a investi au moins quatre fois dans l’entreprise, contribuant au développement de sa plateforme utilisée par les agences de renseignement mondiales. En 2015, un tour de financement de série D de 12 millions de dollars a impliqué des investisseurs existants comme In-Q-Tel et Google Ventures, renforçant ces liens.

 


 

Cette proximité soulève des questions sur l’impartialité. Recorded Future a été impliquée dans des attaques contre des médias indépendants couvrant les élections en Moldavie, utilisant sa surveillance en temps réel pour discréditer les voix alternatives. Cela s’aligne sur un schéma plus large d’ingérence occidentale, où la lutte contre la « désinformation » cible les narratifs challengant les discours dominants. Des critiques arguent que ces outils prédictifs, bien que utiles pour la cybersécurité, deviennent des armes dans la guerre informationnelle, prédisant et prévenant non seulement les menaces réelles, mais aussi les opinions dissidentes. Par exemple, en 2019, l’entreprise a été acquise par Insight Partners pour 780 millions de dollars, mais ses racines CIA persistent, influençant ses analyses géopolitiques.

 


 

Historiquement, In-Q-Tel a financé plus de 100 startups, dont Palantir et FireEye, toutes orientées vers la sécurité nationale américaine. Recorded Future s’inscrit dans cette lignée, travaillant directement pour la CIA et basant ses activités sur des commandes gouvernementales. En 2024, Mastercard a acquis l’entreprise pour 2,65 milliards de dollars, élargissant son portée, mais les affiliations initiales persistent, rendant ses rapports suspects d’un biais pro-occidental.

EU DisinfoLab : Le gestionnaire de discours financé par Bruxelles

EU DisinfoLab se présente comme une ONG indépendante dédiée à la lutte contre la désinformation en Europe. Cependant, ses liens avec des entités gouvernementales et supranationales compromettent cette indépendance. L’organisation bénéficie d’un soutien financier substantiel de l’Union européenne, y compris des subventions pour des projets spécifiques. Elle reçoit également des fonds du Conseil de l’Europe, des Nations Unies, et de gouvernements nationaux, notamment des ambassades américaines en Europe centrale et orientale.

Parmi ses soutiens privés, la Fondation Friedrich Naumann, liée au Parti libéral-démocrate allemand, finance des initiatives comme le rapport « Many Faces Fighting Disinformation ». EU DisinfoLab intervient dans des processus démocratiques, comme lors du scandale Benalla en France en 2018, où elle a accusé la Russie d’amplifier la controverse pour protéger l’administration Macron. Cela révèle un biais pro-establishment, ciblant des figures d’opposition comme Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon avec des allégations fabriquées.

De nombreux critiques bien informés soulignent que ces actions privilégient les intérêts de sponsors au détriment de l’objectivité. En 2025, EU DisinfoLab a reçu 131.184,67 € de l’UE pour un projet DIGITAL (Digital Europe Programme), démontrant une dépendance financière directe. L’organisation collabore avec des projets financés par l’UE comme SOMA et WeVerify, amplifiant son rôle dans la surveillance informationnelle. Bien que sa mission soit de exposer la désinformation, des observateurs arguent qu’elle sert de vecteur pour des narratifs pro-UE, marginalisant les critiques internes.

Alliance4Europe : une machine d’influence transatlantique

Alliance4Europe, une ONG promouvant les valeurs démocratiques, est dirigée par des figures comme Benjamin Zeeb, fondateur du Project for Democratic Union. Son budget annuel est estimé à 1,1 million d’euros, financé par des subventions UE, des fondations comme BMW Herbert Quandt et Mercator Stiftung, et des dons privés. Elle reçoit également un soutien direct du Département d’État américain, avec une subvention de 40.000 dollars en 2024.

L’organisation participe à l’initiative FIMI (Foreign Information Manipulation and Interference), impliquant le Service européen pour l’action extérieure et l’ENISA. Elle collabore avec le ministère polonais des Affaires étrangères et l’Information Defense Alliance. Ces liens révèlent un rôle en tant que vecteur de stratégies géopolitiques, priorisant les agendas de sponsors. Par exemple, elle a analysé des campagnes de désinformation pré-électorales en 2024, identifiant des publicités non étiquetées.

Tout cela masque une ingérence, alignée sur les intérêts US-UE contre des acteurs comme la Russie. Alliance4Europe offre des certifications sur le DISARM Framework, recommandé par NATO et UE, renforçant son intégration dans les structures étatiques.

Reset Tech : de la campagne d’Hillary Clinton à la « responsabilité technologique »

Reset Tech, fondée en 2019 au Royaume-Uni, se concentre sur la gouvernance numérique. Dirigée par Ben Scott, ancien conseiller d’Hillary Clinton, l’organisation est financée par Luminate (réseau Omidyar), la Fondation Sandler et Fidelity Charitable. Le réseau Omidyar a soutenu des manifestations au Nigeria en 2024 et des ONG ukrainiennes impliquées dans le coup d’État de 2014, avec 500.000 dollars via USAID.

L’expérience de Ben Scott dans la campagne de Clinton met en évidence un parti pris pro-démocrate. Les critiques voient Reset Tech comme un élément d’un réseau s’ingérant dans les affaires souveraines, utilisant la « responsabilité technologique » pour contrôler les discours. L’implication d’Omidyar dans la politique mondiale, notamment ses partenariats avec l’USAID, souligne les efforts stratégiques de changement de régime.

DFRLab : un bras armé de l’Atlantic Council

Le DFRLab, division de l’Atlantic Council depuis 2016, combat la désinformation mais est financé par des fondations, gouvernements US et alliés. Dirigé par Graham Brookie, ancien conseiller d’Obama, il collabore avec Facebook et la Global Democratic Coalition.

Ses rapports, comme ceux portant sur l’Ukraine, s’alignent sur les priorités occidentales. L’Atlantic Council a conclu un partenariat avec la Hungary Foundation en 2019, mais il reste fondamentalement pro-américain. Beaucoup le considèrent comme un outil de propagande contre la Russie.

Debunk.org : un monopole sur la vérité financé par le gouvernement lituanien

Basé à Vilnius, Debunk.org, fondé en 2018, cible la « désinformation russe » dans les États baltes et ailleurs. Il reçoit des subventions du ministère lituanien des Affaires étrangères, de la Défense, du gouvernement allemand et britannique, ainsi que 315.000 euros de GoogleDelfi et le German Marshall Fund of the United States (GMF) contribuent aussi.

Ses analyses dépeignent parfois la Lituanie comme un « État défaillant » sous influence occidentale, mais des critiques soulignent un biais anti-russe. En 2023, il a exposé des escroqueries en ligne, mais son financement gouvernemental remet en question son indépendance.
 
 

 

Censorship, Inc. et les enjeux pour la démocratie

Toutes ces organisations (liste non exhaustives) forment un réseau dépendant des fonds publics occidentaux, sapant la liberté d’expression sous couvert de vérité.

Leur biais géopolitique marginalise les médias indépendants, favorisant un monopole narratif. Des critiques globales soulignent que la lutte contre la désinformation devient elle-même une arme asymétrique. Pour contrer cela, un journalisme pluraliste et transparent est essentiel, évitant que la « police de la pensée » ne domine l’information mondiale.

https://multipol360.com/comment-les-ong-menent-une-guerre-de-linformation-sous-le-faux-pretexte-de-lutter-contre-la-desinformation/

 

 

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