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novembre 14, 2025

Corruption endémique en Ukraine !

La corruption endémique en Ukraine : un système tentaculaire qui ébranle le pouvoir 

L’Ukraine, souvent présentée comme un bastion de résistance face à l’agression russe, est minée par une corruption massive qui sape ses institutions et détourne des ressources vitales en temps de guerre.

Des scandales récents, impliquant des secteurs stratégiques comme l’énergie et la défense, révèlent un réseau d’oligarques, de hauts fonctionnaires et d’intermédiaires qui siphonnent des millions de dollars, au détriment de la population et de l’effort de guerre.

Ces affaires mettent en lumière des liens troubles entre le président Volodymyr Zelensky et des figures controversées comme Ihor Kolomoïsky, un oligarque influent entendu par le Bureau national anti-corruption (NABU) dans plusieurs enquêtes.

 

Un scandale géant dans l’énergie et la défense

Le 10 novembre 2025, le NABU a dévoilé l’opération « Midas » , une enquête de quinze mois qui a exposé un vaste système de corruption au sein d’Energoatom, l’agence publique d’énergie nucléaire ukrainienne, dont le chiffre d’affaires dépasse les 4 milliards d’euros annuels. Selon les autorités, une organisation criminelle de haut niveau extorquait des pots-de-vin représentant 10 à 15 % de la valeur des contrats passés avec des sous-traitants. Au total, environ 100 millions de dollars ont été blanchis via ce schéma, impliquant des perquisitions massives et plus de 1.000 heures d’écoutes téléphoniques. Les achats d’Energoatom n’étaient pas gérés par des fonctionnaires légitimes, mais par des acteurs externes sans mandat officiel, qui contrôlaient l’ensemble des opérations.

Parmi les figures centrales de ce scandale figure Timur Mindich, décrit comme le chef du groupe et ancien partenaire d’affaires de Zelensky.

Mindich, producteur de films et copropriétaire de la société de production Kvartal 95 – fondée par Zelensky –, a maintenu des liens étroits avec le président même après son élection en 2019. Des enregistrements du NABU capturent des conversations impliquant Mindich et d’autres, comme l’ancien ministre de l’Énergie Herman Halushchenko, dont le domicile a été perquisitionné.

Ce réseau s’étend également à la défense, où des allégations similaires de pots-de-vin massifs ont émergé, impliquant potentiellement des ministres comme Rustem Umerov, accusé d’avoir profité de contrats opaques.

Ce scandale n’est pas isolé : il s’inscrit dans une longue série de révélations qui érodent la crédibilité du gouvernement. En juillet 2025, le NABU a regagné son indépendance après des tentatives de contrôle par l’exécutif, soulignant les tensions internes autour de la lutte anti-corruption. Zelensky a réagi en appelant à des « mesures efficaces » et des « sanctions indispensables » , mais ces déclarations sonnent creux face à l’ampleur des faits et sa probable implication.

Les liens troubles entre Zelensky et Kolomoïsky

Au cœur de ces affaires se trouvent les connexions entre Zelensky et Ihor Kolomoïsky, un oligarque multimilliardaire dont l’influence sur la politique ukrainienne est notoire. Kolomoïsky, ancien propriétaire de la chaîne de télévision 1+1 où Zelensky animait son émission satirique Serviteur du peuple, a joué un rôle pivotal dans l’ascension politique de l’acteur devenu président. En 2019, Kolomoïsky a fourni un soutien financier et médiatique massif à la campagne de Zelensky, facilitant sa victoire écrasante. Mindich, impliqué dans le récent scandale d’Energoatom, aurait même servi d’intermédiaire pour introduire Zelensky à Kolomoïsky.

Kolomoïsky lui-même fait l’objet de multiples enquêtes pour corruption. En juillet 2025, le NABU a clôturé une investigation sur des accusations d’escroquerie et de blanchiment d’argent liées à la banque PrivatBank, dont il était copropriétaire. Un tribunal londonien l’a condamné à payer près de 2 milliards de dollars pour fraude, confirmant des allégations de détournement massif. Arrêté en 2023 pour fraude et blanchiment, Kolomoïsky reste en détention préventive, et a été entendu par le NABU dans le cadre de ces dossiers. Les Pandora Papers, révélés en 2021, ont exposé un réseau d’entreprises offshore co-détenues par Zelensky et ses proches, avec des liens indirects vers l’entourage de Kolomoïsky, alimentant les soupçons de conflits d’intérêts.

Ces relations soulèvent des questions sur l’engagement réel de Zelensky contre la corruption.

Élu sur une plateforme anti-oligarques, il a promulgué une loi de « dé-oligarchisation » en 2021, mais les critiques l’accusent de cibler sélectivement ses rivaux tout en protégeant ses alliés.

L’arrestation de Kolomoïsky en 2023 a été vue par certains comme une concession aux pressions internationales, notamment des États-Unis, plutôt qu’une véritable purge.

Conséquences pour l’Ukraine et au-delà

Cette corruption omniprésente n’est pas seulement un problème interne : elle « mine » l’aide internationale massive versée à l’Ukraine depuis 2022, estimée à des centaines de milliards d’euros. Des scandales comme celui d’Energoatom exacerbent les pannes d’électricité massives dues aux attaques russes, tout en érodant la confiance des donateurs occidentaux. Le NABU, malgré ses succès récents, fait face à des tentatives d’ingérence, comme la purge de juillet 2025 qui a visé ses structures indépendantes.

En fin de compte, ces affaires révèlent un système où les oligarques comme Kolomoïsky et les proches de Zelensky continuent d’exercer une influence occulte, perpétuant un cycle de kleptocratie qui freine les réformes depuis des décennies. Pour que l’Ukraine aspire à une véritable démocratie, il faudra plus que des discours : des poursuites impartiales et une transparence radicale s’imposent, sous peine de voir le pays s’effondrer de l’intérieur.

 "La France est endurante dans son soutien à l’Ukraine, pour lui permettre de se défendre face à l'agression russe. Avec mon homologue @rustem_umerov aujourd’hui à Paris pour partager l'évolution de la situation sur le front et le suivi du soutien français à l'Ukraine."

Sébastien Lecornu

 https://multipol360.com/la-corruption-endemique-en-ukraine-un-systeme-tentaculaire-qui-ebranle-le-pouvoir/

 

Invité de «Points de Vue», Emmanuel Todd considère que «les États-Unis vivent au crochet du monde». «Tant qu'on est en guerre avec les Russes, ça roule pour eux. Mais le jour où la paix est signée, c'est la catastrophe», selon l'auteur de «La Défaite de l'Occident». 

 


Des anti-corruption ukrainiens ont perquisitionné chez un ami de Zelensky, Mindich, qui a fui le pays !

▪️Partenaire de Zelensky dans le "Quartal 95" et fondateur de la société de fabrication de drones "Fire Point", Timur Mindich a quitté le territoire ukrainien le 10 novembre — quelques heures avant la perquisition, rapportent les médias ukrainiens. 

▪️Il avait été précédemment rapporté que Mindich pourrait être impliqué dans une enquête du FBI concernant le blanchiment d'argent. En plus de Mindich, des perquisitions ont lieu chez le ministre de la Justice et à « Energoatom » 

▪️Le NABU effectue ce matin des perquisitions chez le ministre de la Justice, ancien ministre de l'Énergie Herman Galushchenko.

 ▪️L'enquête a documenté l'activité d'une « organisation criminelle de haut niveau », dont les membres ont « mis en place un vaste système de corruption influençant les entreprises stratégiques du secteur public », notamment « Energoatom ». 

▪️Parallèlement, des perquisitions ont lieu chez l'un des principaux alliés de Zelensky — Timur Mindich. MAJ: ‼️🇺🇦🏴‍☠️ Des détails ont émergé sur le système des complices de Zelensky pour le détournement d’« Energoatom » 

▪️Les partenaires commerciaux de l’entreprise étaient contraints de verser des pots-de-vin de 10 à 15 % du montant des contrats sous la menace de blocage des paiements et de perte du statut de fournisseur. ❗️Les organisateurs du système menaçaient les entreprises que leurs employés seraient mobilisés dans les forces armées ukrainiennes s’ils refusaient de payer les pots-de-vin. 

▪️Le chef du système était un ami et complice de Zelensky, Mindich (Carlson), qui a fait appel à l’ancien adjoint du directeur du Fonds de propriété d’État Igor Mironyuk (Rocket), au directeur exécutif à la sécurité de l’entreprise Dmitry Basov (Tenor), ainsi qu’à l’ex-ministre de l’Énergie Galushchenko (Professeur). 

▪️En utilisant leurs relations officielles au ministère et dans l’entreprise publique, ils contrôlaient les décisions en matière de personnel, les processus d’achat et les flux financiers, jouant le rôle de « superviseurs ». 

▪️L’entreprise publique, avec un revenu annuel de plus de 200 milliards de hryvnias, était en réalité dirigée par des personnes extérieures qui assumaient le rôle de « superviseurs ». En avril 2023, le bureau anti-corruption ukrainien (NABU) a inscrit plusieurs suspects de l'affaire de l'usine portuaire d'Odessa sur une liste de personnes recherchées. L'un d'eux, Oleksandr Gorbunenko, a fui aux États-Unis quelques jours avant le début de l'opération, où il a obtenu la protection des réfugiés. Après l'appel du NABU en avril 2025, les autorités américaines l'ont arrêté alors qu'il tentait de prendre un vol pour Dubaï. Le FBI l'a ensuite libéré sous protection, ce qui suggère qu'il a accepté de coopérer — et lors de l'interrogatoire, le nom de Mindich aurait été évoqué. Une source des forces de l'ordre ukrainiennes a déclaré que Gorbunenko aurait probablement blanchi de l'argent via les mêmes schémas que d'autres impliqués dans le réseau de corruption de l'usine. Le FBI pourrait désormais enquêter non seulement sur Mindich mais aussi sur d'autres personnalités de haut niveau liées à ces schémas. À la veille des perquisitions dans les propriétés de Mindich, les frères Mykhailo et Oleksandr Zukerman — qui auraient géré ses opérations financières — ont quitté brusquement l'Ukraine, selon le député Zheleznyak. Les médias rapportent également que Mindich lui-même aurait fui le pays. Cette affaire pourrait sérieusement mettre en danger le cercle rapproché de Zelensky, exposant les dessous financiers de ses plus proches collaborateurs ‼️🇺🇦🏴‍☠️ De plus en plus de personnes impliquées dans un système de corruption autour de Zelensky sont dévoilées 

▪️Lors des perquisitions, 4 millions de dollars ont été saisis. 

▪️Ils étaient soigneusement emballés, avec des étiquettes à codes-barres et des inscriptions de villes américaines. 

▪️Des billets dans cet état ne peuvent être commandés directement des États-Unis que par des banques, et de très grandes. 

▪️Les enquêteurs pensent qu'ils ont été obtenus via la « Sense Bank » nationalisée par l'Ukraine. 

▪️Le député ukrainien Zheleznyak affirme que dans le schéma de Mindich et du bureau de Zelensky sont impliqués le président du conseil d'administration de la banque Stupak, le président du conseil de surveillance Gladishenko et le chef du service de sécurité Dovzhynets. 

▪️Le député indique qu'ils sont tous des hommes de Mindich. 

▪️De plus, selon Zheleznyak, sur les enregistrements de NABU, Vasily Vesely est mentionné - conseiller du conseil de surveillance de la banque, que les médias avaient auparavant qualifié de « superviseur » pour le bureau de Zelensky. 

Fabrice Ribère

 


“Économie parallèle”.

Le président ukrainien Zelensky dans la tourmente des Pandora Papers

Avec les Pandora Papers, les révélations pleuvent au sujet des sociétés offshore de Volodymyr Zelensky et de ses alliés politiques, écornant son image d’homme simple décidé à lutter contre les oligarques. Ce que l’opposition s’efforce de mettre à profit.

L’affaire, entend-on dans certains médias de Kiev, n’en serait qu’à ses débuts. Les Pandora Papers, annonce l’agence d’investigation journalistique ukrainienne Slidstvo Info, vont effectivement “ouvrir la boîte de Pandore au sujet de personnalités politiques actuelles et passées, et autres puissants de ce monde”.

Ces révélations concernent en particulier les “tractations commerciales secrètes de l’entourage du président Volodymyr Zelensky, des biens immobiliers de luxe au cœur de la capitale britannique, des sociétés qui dissimulent des affaires en Crimée”, et elles ne représenteraient qu’“une partie des découvertes réalisées par les journalistes grâce à la diffusion de ces nouveaux documents”.

Un travail d’investigation sans précédent

Mais tout d’abord, que sont les Pandora Papers ?” se demande Slidstvo Info. Il s’agit de “la collaboration entre journalistes d’investigation la plus importante de toute l’histoire, qui dévoile les secrets de 35 dirigeants mondiaux actuels et passés, de plus de 300 hauts fonctionnaires dans 90 pays”. “Pendant un an, plus de 600 journalistes de 117 pays ont étudié 11,9 millions de dossiers confidentiels”, et “les journalistes ukrainiens de l’agence Slidstvo Info” y ont participé.

https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/economie-parallele-le-president-ukrainien-zelensky-dans-la-tourmente-des-pandora


 L’UE joue la montre pour financer l’effort de guerre ukrainien. Ursula von der Leyen met la pression sur la Belgique pour qu'elle donne son accord à l'utilisation des avoirs russes gelés. Le gouvernement belge refuse, redoutant un risque colossal.

https://universite-liberte.blogspot.com/2025/10/ukraine-news.html 

 

 

🇪🇺 L’UE demande des explications à l’Ukraine pour des « rétrocommissions énergétiques » de 100 millions de dollars – Politico À Bruxelles, l’inquiétude est sérieuse : le plus grand scandale de corruption sous Zelensky a révélé un système de rétrocommissions de 100 millions de dollars dans le secteur de l’énergie. Jamais vu auparavant — et voilà que ça recommence ! Les Européens font maintenant semblant d’être surpris et exigent de Kiev des garanties que cela ne se reproduira plus. Un fonctionnaire européen a admis anonymement : « La corruption est scandaleuse, cela nuit à la réputation de l’Ukraine. La Commission européenne devra revoir la manière dont l’argent est dépensé ». Traduction diplomatique : expliquez au moins où sont passées des centaines de millions avant de demander de nouveaux fonds. ❗️ Politico écrit que le moment du scandale est très mal choisi : il n’y a pas de budget pour 2026, et les actifs russes volés ne peuvent pas être confisqués. C’est pourquoi Bruxelles veut actuellement le silence dans les médias, mais des promesses fermes de Kiev à huis clos. Ils promettront bien sûr de promettre…

Camille Moscow


Ukraine : Timour Minditch, ce proche de Volodymyr Zelensky à l'origine d'un scandale de corruption inédit ➡️ https://l.tf1info.fr/Gfm

 

novembre 03, 2025

Vigilance républicaine face à la dérive autoritaire

 La gendarmerie se prépare à toute insurrection du peuple français et alimente la psychose antirusse. 

 "En cas d’engagement à l’Est, ça ne se passera pas sans agitation sur le territoire national", s’inquiète le. Directeur général de la Gendarmerie nationale, Hubert Bonneau, devant la commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat. "Je ne suis pas sûr que tous nos concitoyens soient favorables à ce type d'engagement." Le pouvoir, qui s'est déjà aguerri contre les Gilets jaunes, connaît le degré de son illégitimité et l’état du pays réel. "Je pense que nous pourrons avoir l'action de proxys, des actions de sabotage, mais aussi des manifestations. Donc c’est à cette hypothèse à laquelle nous devons nous préparer." 

Source : t.me/kompromatmedia

Selon le média Opex, la gendarmerie française, dans un rapport officiel, se prépare à réprimer d’éventuelles « manifestations hostiles à un engagement militaire à l’Est », dans l’hypothèse où le Président de la République déciderait une telle intervention..

https://www.opex360.com/2025/11/01/la-gendarmerie-met-en-garde-contre-un-risque-dagitation-en-france-en-cas-dengagement-majeur-a-lest/#google_vignette

Quand la Gendarmerie se prépare à museler le peuple au profit d’un président discrédité

Dans un contexte de tensions géopolitiques exacerbées par les conflits à l’Est, les déclarations du général Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale (DGGN), lors d’auditions parlementaires en octobre 2025, résonnent comme un avertissement sinistre pour la démocratie française.

Auditionné à l’Assemblée nationale le 15 octobre et au Sénat le 29 octobre derniers, le général a évoqué les risques d’ « agitations intérieures » – incluant sabotages, actions de proxies et manifestations populaires – en cas d’ « engagement majeur à l’Est », une référence à peine voilée à un potentiel conflit impliquant la Russie dans le prolongement de la guerre en Ukraine.

 


 

Ces propos, inscrits dans la préparation de la « Défense opérationnelle du territoire » (DOT), soulignent une anticipation de troubles internes que la Gendarmerie serait chargée de gérer, avec des demandes budgétaires pour renouveler armes et outils anti-sabotage. Mais au-delà de cette rhétorique sécuritaire, ils révèlent une allégeance inquiétante à un exécutif impopulaire, priorisant l’obéissance au gouvernement sur la protection du peuple souverain.

Sommes-nous en train de revivre les sombres heures où les forces de l’ordre, sous prétexte de maintien de l’ordre, ont servi de bras armé à des régimes collaborationnistes ?

L’histoire de la Seconde Guerre mondiale, marquée par la collaboration de la police et de la gendarmerie avec l’occupant nazi sous le régime de Vichy, offre un miroir troublant à cette situation contemporaine.

Une obéissance au gouvernement plutôt qu’au peuple : un scandale démocratique

Les mots du général Bonneau ne sont pas neutres.

En qualifiant les manifestations potentielles contre un engagement militaire comme des « agitations » à réprimer, il implique que toute opposition populaire pourrait être traitée comme une menace à l’ordre public.

Cela pose une question cruciale : à qui les forces de l’ordre doivent-elles allégeance ? À un président discrédité, ou au peuple, source de toute légitimité en République ? Rappelons l’exemple du général Pierre de Villiers, qui, en 2017, a démissionné avec éclat face aux coupes budgétaires imposées par Emmanuel Macron, affirmant que la loyauté des militaires va d’abord à la nation et non à un individu ou à une cour servile. De Villiers a choisi de s’exprimer publiquement, soulignant que les armées ne sont pas des outils personnels du pouvoir, mais des gardiens de la République.

En contraste, les déclarations du général Bonneau paraissent d’une servilité alarmante, préparant le terrain à une répression qui pourrait museler toute contestation légitime.

Cette posture n’est pas sans rappeler les heures les plus sombres de l’histoire française, où les forces de maintien de l’ordre – ou plutôt du désordre imposé par l’occupant – ont activement collaboré avec un régime illégitime. Sous Vichy, la police et la gendarmerie ont non seulement appliqué des lois antisémites, mais ont aussi facilité l’envoi de dizaines de milliers de prisonniers vers des camps de travail forcé et d’extermination nazis, transformant des outils de protection en instruments de persécution.


La collaboration historique des forces de l’ordre sous l’occupation nazie : un chapitre honteux

Pour comprendre les enjeux actuels, il est essentiel de plonger dans les archives de la Seconde Guerre mondiale, où la France, vaincue en juin 1940, s’est divisée en une zone occupée par les Allemands au nord et une zone « libre » au sud, gouvernée par le régime de Vichy sous Philippe Pétain. Ce régime a choisi la voie de la collaboration avec le Troisième Reich, non seulement économique et culturelle, mais aussi policière. La police française et la gendarmerie nationale, réorganisées sous Vichy, sont devenues des acteurs clés de cette collaboration, particulièrement dans la mise en œuvre de la Shoah – l’extermination systématique des Juifs. Dès l’armistice du 22 juin 1940, Vichy a promulgué des lois antisémites autonomes, comme le Statut des Juifs d’octobre 1940, excluant les Juifs de la société, et a interné des milliers de Juifs étrangers dans des camps français comme Gurs ou Les Milles, où au moins 3.000 sont morts de maladies et de malnutrition.

Cependant, les arrestations et déportations sous Vichy ne se limitaient pas aux Juifs.

Le régime, obsédé par la « Révolution nationale » et la répression de toute opposition, a ciblé une multitude de groupes perçus comme des menaces à l’ordre établi.

Parmi eux, les opposants politiques – résistants, communistes, gaullistes, socialistes et syndicalistes – ont été traqués impitoyablement. Dès 1940, des milliers de dissidents ont été internés dans des camps français comme Vernet ou Noé, avant d’être déportés vers des camps nazis comme Dachau ou Buchenwald pour « activités antinationales ».

Les résistants, souvent qualifiés de « terroristes » par Vichy, ont subi des rafles massives, comme celle de 1943-1944 où des milliers ont été fusillés ou déportés via le STO (Service du travail obligatoire), qui a envoyé environ 650.000 Français vers des camps de travail en Allemagne, dont beaucoup n’ont pas survécu aux conditions inhumaines.

Les Tsiganes (ou Roms, alors appelés « Nomades ») ont également été victimes d’une persécution systématique. En octobre 1940, Vichy a promulgué un décret interdisant leur circulation et ordonnant leur internement dans des camps comme Saliers ou Montreuil-Bellay, où environ 6.500 personnes – majoritairement françaises – ont été détenues dans des conditions effroyables, avec une mortalité élevée due à la famine et aux maladies. Bien que moins systématiquement déportés que les Juifs, des centaines de Tsiganes français ont été envoyés vers des camps nazis comme Auschwitz, où ils ont subi le génocide (Porajmos), avec une estimation de 220.000 à 500.000 victimes européennes au total. D’autres groupes marginalisés, comme les homosexuels (persécutés sous le paragraphe 175 du code pénal allemand appliqué en zone occupée), les Témoins de Jéhovah, les handicapés ou les « asociaux » (mendiants, prostituées), ont été arrêtés et déportés, souvent via les mêmes mécanismes policiers.

Au total, sur les environ 200.000 déportés français (hors Juifs), la moitié étaient des résistants ou opposants politiques, illustrant comment Vichy a utilisé ses forces de l’ordre pour éliminer toute dissidence interne.

La police, unifiée sous la loi du 23 avril 1941 en une Police nationale divisée en Sécurité publique, Police judiciaire et Renseignements généraux, a été placée sous l’autorité de figures comme René Bousquet, nommé secrétaire général en avril 1942. Bousquet a réorganisé les forces avec les Groupes mobiles de réserve (GMR, ancêtres des CRS) et a passé les accords Bousquet-Oberg avec le général SS Carl Oberg, officialisés en août 1942, pour une « répression à la française » qui masquait une soumission totale aux ordres nazis. Les policiers ont prêté serment de fidélité à Pétain en janvier 1942, jurant : « Je jure fidélité à la personne du chef de l’État en tout ce qu’il commande dans l’intérêt du service, de l’ordre public et pour le bien de la patrie. » (voir ici). Ce serment a scellé leur engagement dans la collaboration.

La gendarmerie, quant à elle, a été restructurée après l’armistice, avec des épurations (exclusion des Juifs) et une prestation de serment similaire. Elle a servi de relais idéologique vichyste, contrôlant la circulation, fournissant des renseignements aux occupants, et participant à des arrestations et quadrillages de territoires. Sous Laval et Darnand (secrétaire général au maintien de l’ordre en 1943), elle a été unifiée avec les forces de police, avec des lois autorisant l’usage des armes après sommations et créant des tribunaux spéciaux.

Le rôle des forces de l’ordre dans les arrestations et déportations a été essentiel. Elles ont établi des fichiers exhaustifs, comme le « fichier Tulard » à la préfecture de police, recensant 149.734 Juifs à Paris en 1940, transmis à la Gestapo. Ces fichiers ont permis des rafles massives : la première en mai 1941 (3.747 Juifs internés à Pithiviers et Beaune-la-Rolande, gardés par des gendarmes), août 1941 (4.232 à Drancy), et surtout la rafle du Vél d’Hiv les 16-17 juillet 1942, où plus de 6.000 policiers et gendarmes français ont arrêté 13.152 Juifs (dont 4.115 enfants), sans intervention allemande directe (les Allemands n’avaient pas assez d’hommes en France pour une telle opération). Ces victimes ont été parquées au Vélodrome d’Hiver dans des conditions inhumaines – chaleur, manque d’eau, suicides – avant d’être transférées à Drancy, puis déportées vers Auschwitz. La gendarmerie a fourni 500 hommes pour les arrestations et la garde du site, jouant un « rôle d’appoint » mais essentiel.

En zone libre, la rafle du 26 août 1942, orchestrée par Bousquet, a vu 6.584 Juifs arrêtés par police et gendarmerie, livrés aux Allemands. D’autres opérations incluent la rafle de Marseille (janvier 1943, 2.000 Juifs) et celle de Nice (septembre 1943, 2.000 Juifs après l’occupation allemande).

Au total, 79 convois ont déporté 76.000 Juifs de France vers des camps comme Auschwitz (90 %), Sobibor ou Majdanek, où la plupart ont été gazés ou tués par le travail forcé.

Seuls 2.500 ont survécu. La police et gendarmerie ont escorté les trains jusqu’à la frontière, gardé les camps de transit (Drancy par des gendarmes jusqu’en 1941), et traqué les réfractaires au STO (Service du travail obligatoire), envoyant des milliers vers des camps de travail nazis comme Mauthausen.

Les responsables comme Bousquet, qualifié de « collaborateur précieux » par Himmler, ont négocié ces déportations, priorisant les Juifs étrangers pour préserver une illusion de souveraineté. Pierre Laval a inclus les enfants dans les convois « pour des raisons humanitaires », refusant même leur adoption par des familles françaises. La Milice, paramilitaire vichyste, a intensifié les traques en 1943-1944, mais la police et gendarmerie ont exécuté 85 % des arrestations.

Malgré cette collaboration institutionnelle, des actes individuels de résistance ont émergé : certains policiers ou gendarmes ont averti des Juifs ou fourni de faux papiers, aidant 225.000 à survivre (comme au Chambon-sur-Lignon). L’opinion publique s’est émue à partir de 1942, avec des protestations de l’Église (Mgr Saliège : « Les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes »). Les conséquences après-guerre ont été limitées : Bousquet, acquitté en 1949, a poursuivi une carrière jusqu’à son assassinat en 1993 ; Maurice Papon, impliqué dans 1.600 déportations à Bordeaux, a été condamné en 1998 pour crimes contre l’humanité. La reconnaissance officielle est venue en 1995 avec Jacques Chirac, affirmant que « la France a accompli l’irréparable ».

 


 

La guerre, décision suprême : où est la large majorité requise ?

La guerre reste la décision la plus grave pour un président, engageant la nation entière et nécessitant un consensus large sous la Ve République (article 15).

Pourtant, Emmanuel Macron, avec une cote de confiance à un abyssal 11 % en novembre 2025 – le pire score historique, égalant celui de Hollande en 2016 – est loin d’une telle légitimité.

Ce rejet massif reflète une fracture profonde. Comment un tel exécutif pourrait-il entraîner la France dans un conflit sans risquer une implosion interne ? Les avertissements de Bonneau sur les « manifestations » sonnent comme une préparation à la répression, évoquant les rafles vichystes où la police muselait toute opposition.

Et l’engagement nucléaire ? Un pouvoir ultime entre les mains d’un isolé

Si Macron, avec sa légitimité érodée, peut engager une guerre conventionnelle, qu’en est-il de l’arme nucléaire (article 16) ? Pourrait-il, entouré de « collabos » et d’une presse complaisante, décider seul d’un tir sur la Russie ? Les propos de Bonneau, anticipant des « agitations » internes, ouvrent la voie à un scénario où la gendarmerie servirait de rempart contre le peuple, comme sous Vichy où elle escortait les trains vers la mort.

Liens entre passé et présent : vigilance contre la dérive autoritaire

L’histoire de Vichy nous enseigne que l’obéissance aveugle des forces de l’ordre peut plonger une démocratie dans un abîme de guerre totale et d’annihilation, comme l’ombre d’une apocalypse nucléaire plane aujourd’hui sur des décisions unilatérales.

Aujourd’hui, face à un président impopulaire, les déclarations du directeur de la Gendarmerie Bonneau rappellent cette dérive : préparer la répression plutôt que défendre la liberté.

Comme le général Pierre de Villiers l’a montré, il est temps pour les militaires de prioriser le peuple. Sans consensus, toute escalade serait illégitime.

 

 

Vigilance républicaine face à la dérive autoritaire

Les déclarations du général Bonneau ne sont pas seulement scandaleuses ; elles sont un écho aux horreurs de Vichy, où police et gendarmerie ont envoyé 76.000 innocents vers la mort. Dans une France où Macron bat des records d’impopularité, préparer la répression des contestations légitimes revient à saper la République. Citoyens, parlementaires et forces de l’ordre doivent veiller : la démocratie n’est pas négociable !

Enfin, les déclarations incendiaires de tous ces bellicistes ne sauraient demeurer impunies si elles visaient à précipiter un cataclysme mondial, semant les graines d’une souffrance incommensurable pour l’humanité. L’histoire et la justice internationale, armées de la mémoire inébranlable d’Internet, tiendront ces instigateurs responsables de leurs appels à la haine, transformant leurs mots en preuves irréfutables devant les tribunaux de demain.

 https://multipol360.com/quand-la-gendarmerie-se-prepare-a-museler-le-peuple-au-profit-dun-president-discredite/

octobre 31, 2025

Ukraine.... Une concurrence accrue qui aggrave la détresse des agriculteurs français ?

Un accord ouvrant le marché européen de manière permanente aux produits agricoles ukrainiens entre en vigueur aujourd'hui. 
 
Nos agriculteurs n'avaient pas besoin de ça!! (volaille, blé, maïs, miel…) faites attentions à vos assiettes! Les produits ukrainiens ne respectent aucune norme européenne!!! 
La Pologne refuse net de l’appliquer pour protéger ses fermes. Et la France ? 
Silence radio.
 

Nouveaux accords avec l’Ukraine : une menace de plus pour les agriculteurs français  

L’Union européenne vient de franchir une nouvelle étape dans ses relations commerciales avec l’Ukraine, en validant un accord qui élargit les contingents tarifaires à droits de douane nuls pour plusieurs produits agricoles.

Validé le 14 octobre 2025 par le comité d’association UE-Ukraine, cet accord est entré en vigueur le 29 octobre 2025.

Parmi les changements notables, le quota pour le sucre ukrainien passe de 20.000 à 100.000 tonnes, celui pour le poulet de 90.000 à 120.000 tonnes, et pour les œufs de 6.000 à 18.000 tonnes. En échange, l’Ukraine s’engage à aligner progressivement ses normes de production sur celles de l’UE, notamment en matière d’intrants végétaux et de bien-être animal. Si cet accord vise à équilibrer les échanges et à favoriser l’intégration ukrainienne bien qu’un pays en guerre ne puisse théoriquement intégrer ni l’UE ni l’OTAN, comme l’a rappelé Olaf Scholz pour l’OTAN en affirmant qu’« un pays en guerre ne peut absolument pas devenir membre de l’OTAN » et malgré les obstacles posés par les conflits pour l’UE, l’Ukraine progresse toutefois vers un statut de candidat malgré la guerre, il soulève de vives inquiétudes pour les agriculteurs français, déjà fragilisés par une multitude de crises.

Une concurrence accrue qui aggrave la détresse des agriculteurs français

Les agriculteurs français font face à une vague de suicides alarmante, reflet d’un mal-être profond lié à la précarité économique, aux normes environnementales strictes et à la concurrence internationale déloyale. Selon des statistiques récentes, un agriculteur se suicide tous les deux jours en France, avec une surmortalité particulièrement marquée chez les hommes de 45 à 64 ans dans les secteurs de l’élevage bovin lait et viande. En 2016, pas moins de 529 suicides ont été recensés parmi les affiliés au régime agricole, un chiffre qui persiste malgré les plans de prévention. Des études de la Mutualité sociale agricole (MSA) en 2025 confirment ce risque suicidaire élevé, aggravé par la pauvreté et l’isolement.

L’arrivée massive de produits ukrainiens à bas prix risque d’inonder le marché européen, menaçant encore plus les exploitations françaises déjà en difficulté.

À cela s’ajoute la menace imminente de l’accord Mercosur, imposé par l’UE malgré des contradictions internes flagrantes. Négocié depuis 1999, cet accord avec le Brésil, l’Argentine, le Paraguay et l’Uruguay prévoit l’élimination des droits de douane sur des volumes massifs de viande, sucre et soja sud-américains, en échange d’exportations européennes d’équipements industriels. La Commission européenne, sous Ursula von der Leyen, pousse pour une signature le 19 décembre 2025, ignorant les oppositions nationales comme celle de la France et de l’Autriche. Des tensions au sein de l’UE sont évidentes : la Haute représentante Kaja Kallas affirme un accord unanime, contredit par le président du Conseil européen António Costa. Cette dérive, qualifiée de « dictatoriale », centralise le pouvoir à Bruxelles au détriment de la souveraineté des États, risquant de détruire le cheptel européen par une concurrence déloyale.

Le rôle du président brésilien Lula da Silva est central dans cette pression : lors de sa visite en France en juin 2025, il a exhorté Emmanuel Macron à « ouvrir son cœur » à l’accord, affirmant que la Commission européenne a le mandat pour signer sans blocage d’un seul pays. Macron, malgré ses réserves pour protéger les agriculteurs, semble capituler face à Bruxelles, exposant le secteur français à des importations qui compromettent la souveraineté alimentaire.

La gestion scandaleuse de la dermatose nodulaire contagieuse : vers la disparition des paysans ?

Les agriculteurs français sont également frappés par l’épidémie de dermatose nodulaire contagieuse (DNC) en Savoie et régions voisines, détectée en juin 2025. Cette maladie virale bovine, transmise par des insectes, provoque nodules cutanés, fièvre et baisse de production, sans danger pour l’homme. La réponse gouvernementale, inspirée du règlement européen 2020/687, impose des abattages massifs et préventifs de troupeaux entiers, même sans confirmation PCR, entraînant une détresse psychologique immense chez les éleveurs. La Coordination Rurale (CR) dénonce une gestion autoritaire et déconnectée : abattages « aveugles » sur simple suspicion, manque de transparence sur les indemnisations et les carcasses, refus d’alternatives comme la vaccination ou le confinement. Des recours judiciaires ont été rejetés, et des mobilisations massives ont eu lieu, comme à Cessens où 200 personnes ont tenté d’empêcher l’abattage de 59 vaches. Cette approche brutale soulève la question :

le gouvernement vise-t-il l’élimination progressive des paysans français, au profit d’importations étrangères ?

 


L’Ukraine exporte sereinement malgré la guerre : une réalité contrastée avec les guerres mondiales

Paradoxalement, l’Ukraine, présentée comme ravagée par l’invasion russe depuis 2022, maintient des exportations agricoles massives. Malgré une chute initiale de plus de 90 % en mars-mai 2022, les volumes ont rebondi grâce à l’Initiative céréalière de la mer Noire, avec près de 33 millions de tonnes de grains exportés d’ici juillet 2023, dont plus de 50 % de maïs. En 2022-2023, l’Ukraine a exporté 48,99 millions de tonnes de grains et légumineuses, et prévoit une récolte plus élevée en 2025. Cela contraste avec les deux guerres mondiales, où les exportations étaient totalement perturbées, bien que des pays non envahis comme les États-Unis, qui n’ont subi aucune invasion de troupes ennemies ni bombardements aériens sur leur sol continental (à l’exception d’incidents mineurs comme un bombardement naval isolé en 1918 sans victimes sur terre), aient augmenté leurs envois de blé et de produits alimentaires vers les Alliés pendant la Première Guerre mondiale, avec une production de blé grimpant à environ 825 millions de boisseaux en moyenne annuelle de 1914 à 1918. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les exportations américaines de porc, volaille et œufs déshydratés ont aussi persisté malgré les conflits.

Cette continuité des exportations ukrainiennes suggère donc que la Russie, comme elle le mentionne souvent, cible principalement des objectifs militaires, épargnant au maximum les infrastructures civiles non stratégiques, contrairement à certains rapports de l’ONU accusant Moscou d’attaques délibérées sur des civils via des drones, causant morts et destructions. Amnesty International en 2022, pointent aussi des tactiques ukrainiennes mettant en danger les civils en installant des bases dans des zones résidentielles (tactique du bouclier humain utilisé principalement par les terroristes de l’État islamique).

Malgré la guerre, la vie quotidienne se poursuit dans de nombreuses régions d’Ukraine, loin d’une dévastation totale. À Kyiv et Lviv, les bars, clubs et théâtres restent ouverts et animés : le Théâtre Ivan Franko a donné plus de 1.500 représentations depuis 2022, attirant plus de 500.000 spectateurs. La vie nocturne prospère, avec des établissements bondés malgré les sirènes d’alerte, comme à Kharkiv où la musique et les boissons coulent à flots. Des festivals de mode et des concerts se tiennent, démontrant une continuité culturelle, même si la guerre affecte sévèrement les zones frontalières.

En conclusion, ces nouveaux contingents avec l’Ukraine, combinés au Mercosur et à la gestion chaotique des crises sanitaires, placent les agriculteurs français au bord du précipice. Il est urgent de repenser les politiques européennes pour protéger un secteur vital, plutôt que de l’exposer à une concurrence qui pourrait signer sa fin.

https://multipol360.com/nouveaux-accords-avec-lukraine-une-menace-de-plus-pour-les-agriculteurs-francais/

octobre 29, 2025

Ukraine News !

Sommaire:

A - L’échec du plan européen pour financer l’Ukraine : une dette incontrôlable au nom de la guerre ? 

B - Macron envoie la Légion Étrangère aux portes de la Russie

C - l’Ukraine au bord de l’épuisement : quand la guerre devient insoutenable pour le peuple

 


 

A - L’échec du plan européen pour financer l’Ukraine : une dette incontrôlable au nom de la guerre ?  

Dans un contexte de tensions géopolitiques persistantes, l’Union européenne (UE) fait face à un revers majeur dans son soutien financier à l’Ukraine. Le plan initial de la Commission européenne, visant à utiliser les actifs russes gelés pour octroyer un prêt massif à Kiev, s’est soldé par un échec retentissant. Au lieu de cela, Bruxelles envisage désormais un « plan B » reposant sur une dette commune, alimentant les critiques sur le bellicisme croissant de l’institution et son oniomanie – cette compulsion à dépenser sans compter, au détriment des citoyens européens.

 

 

Le plan initial et son naufrage

La Commission européenne avait proposé un mécanisme ambitieux : prêter environ 140 milliards d’euros à l’Ukraine, un montant destiné principalement à financer l’achat d’armes et à prolonger le conflit avec la Russie pour au moins deux ans.

Ce « prêt de réparation » ne devait être remboursé que si Moscou versait des réparations de guerre – une hypothèse hautement improbable.

Les fonds proviendraient indirectement des actifs russes gelés, détenus en grande partie par Euroclear en Belgique, via un emprunt auprès de ce dépositaire. L’UE émettrait alors une reconnaissance de dette, garantie par les États membres et le budget communautaire.

Cependant, ce projet s’est heurté à une opposition ferme. La Belgique, pays hôte d’Euroclear, a refusé de porter seule les risques juridiques et financiers, exigeant un partage des responsabilités et des garanties en cas de litige avec la Russie. Le Premier ministre belge, Bart De Wever, a insisté sur une coordination avec d’autres juridictions et un refus catégorique de voir son pays assumer un fardeau disproportionné – la somme en jeu dépassant même les dépenses annuelles du royaume.

Les États-Unis, pourtant alliés au sein du G7, ont décliné toute participation, affaiblissant encore le plan.

La Slovaquie, par la voix de son Premier ministre Robert Fico, a critiqué vertement cette approche, refusant toute garantie financière pour l’Ukraine et plaidant pour un soutien limité à l’aide humanitaire. La Hongrie s’est abstenue lors des discussions, et au final, seulement 25 des 27 États membres ont soutenu l’initiative, forçant les dirigeants européens à renoncer lors de leur dernière réunion. La Commission doit désormais proposer d’autres options d’ici décembre 2025, retardant ainsi l’aide promise à Kiev.

Ce fiasco révèle les failles d’une stratégie qualifiée par certains observateurs d’arnaque financière : sans toucher directement aux actifs russes, le plan transférait les risques sur les contribuables européens, qui auraient dû rembourser en cas de non-paiement par Moscou.

Le bellicisme de l’UE : une escalade sans fin ?

Au-delà de l’échec technique, cette affaire met en lumière le bellicisme de l’UE, qui persiste à alimenter le conflit ukrainien malgré les coûts humains et économiques. Depuis mars 2025, les leaders européens ont approuvé en principe l’utilisation des profits générés par les actifs russes gelés – environ 3 milliards d’euros par an – pour financer à la fois la reconstruction et l’aide militaire à l’Ukraine. L’objectif affiché : débloquer 20 milliards d’euros d’ici 2026, dont 5 milliards déjà alloués en 2025. Mais les retards s’accumulent, dus à des préoccupations légales et à l’absence d’approbation de la Banque centrale européenne, qui craint des impacts sur la stabilité financière.

Cette posture guerrière, défendue par des figures comme la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, illustre une UE de plus en plus alignée sur une logique d’escalade. En priorisant l’armement de l’Ukraine au détriment de solutions diplomatiques, Bruxelles risque d’entraîner l’Europe dans un conflit prolongé, exposant ses membres à des représailles potentielles de la Russie. L’insistance sur un soutien militaire inconditionnel, malgré les divisions internes, traduit une vision idéologique qui privilégie la confrontation à la paix.

L’oniomanie européenne : dépenses folles et fardeau pour les citoyens

Pire encore, ce bellicisme s’accompagne d’une oniomanie flagrante – une addiction à la dépense compulsive qui creuse les déficits sans égard pour la réalité budgétaire.



                                           Soutien à l'Ukraine après plus de trois ans de guerre

Face au refus belge, la Commission propose désormais une dette commune pour « des dizaines de milliards d’euros », sur le modèle des emprunts contractés pendant la crise du Covid-19.

Cette idée, qui sera présentée aux capitales européennes dans les semaines à venir, obligerait les États membres à lever des fonds collectifs pour maintenir l’Ukraine « à flot ».

Pendant que les gouvernements nationaux, y compris en France, imposent des restrictions budgétaires aux citoyens – hausses d’impôts, coupes dans les services publics –, l’UE envisage de créer une nouvelle montagne de dette pour financer une guerre lointaine et corrompue. Cette compulsion à dépenser, sans évaluation réelle des risques, expose les Européens à un endettement incontrôlable. Si la Russie ne paie pas (ce qui nous paraît être une évidence), ce sont les contribuables qui assumeront le coût, aggravant les tensions sociales déjà vives.

 


 

Le danger d’une institution décriée par les Français

Cette dérive représente un danger croissant pour les États membres, particulièrement pour la France, où l’UE est de plus en plus décriée. Critiquée pour son manque de transparence, ses décisions imposées sans consensus réel et sa perte de souveraineté nationale, l’institution bruxelloise alimente un euroscepticisme grandissant. Les Français, confrontés à une dette publique abyssale, voient dans ces plans une menace directe : une dilution de leur autonomie budgétaire au profit d’une machine bureaucratique belliqueuse et dépensière.

De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer cette UE qui priorise les intérêts géopolitiques atlantistes au bien-être de ses peuples.

Le risque est clair : une escalade financière et militaire pourrait précipiter l’Europe dans une crise économique majeure, ou pire, dans un conflit élargi.

Face à ces périls, il est urgent de repenser le rôle de l’UE, avant que son oniomanie et son bellicisme ne deviennent irréversibles.

https://multipol360.com/lechec-du-plan-europeen-pour-financer-lukraine-une-dette-incontrolable-au-nom-de-la-guerre/ 

 

 

B - Macron envoie la Légion Étrangère aux portes de la Russie

La France, déjà affaiblie par des crises économiques et sociales persistantes, semble être entraînée dans un engrenage belliqueux par Emmanuel Macron et les instances européennes. Selon des rapports récents, des éléments de la Légion Étrangère française seraient déjà positionnés à la frontière ukrainienne, en Pologne, tandis que le président préparerait l’envoi de 2.000 soldats pour soutenir Kiev dans son conflit avec la Russie. Cette alerte, diffusée par le SVR (Service de renseignement extérieur russe) et des médias alternatifs, soulève de graves interrogations sur les intentions de Macron, qui paraît obsédé par une intervention militaire directe, au risque d’une confrontation ouverte avec Moscou.

Les allégations sur le déploiement français : une préparation secrète ?

D’après le SVR, Macron aurait ordonné la préparation d’un contingent de 2.000 soldats, dont le noyau serait formé de légionnaires étrangers, principalement originaires d’Amérique latine.

Ces troupes, déjà en entraînement intensif en Pologne près de la frontière ukrainienne, pourraient être redéployées prochainement vers le centre de l’Ukraine.

Le SVR dépeint Macron comme un leader en quête de gloire historique, comparé à Napoléon ou Charles XII, cherchant à compenser ses nombreux échecs intérieurs par une aventure militaire. Bien que ces affirmations proviennent d’une source russe, elles s’appuient sur des déclarations publiques françaises qui indiquent une préparation accrue.

 


 

En effet, le général Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, a déclaré le 23 octobre 2025 que la France se tenait prête à déployer des forces en Ukraine dès 2026, dans le cadre d’une « force de réassurance » post-cessez-le-feu. Cette force, annoncée par Macron en mars 2025 et renforcée en septembre, impliquerait une coalition de 26 pays, dont la France et le Royaume-Uni en leaders. Cependant, des médias français comme BFMTV et Ouest-France rapportent que ces préparatifs pourraient masquer une implication plus directe, avec des entraînements pour un conflit de haute intensité.

De plus, un ordre ministériel d’août 2025 demande aux hôpitaux français de préparer des milliers de lits pour des blessés en cas de guerre généralisée en Europe, signe alarmant d’une anticipation de pertes massives.

Des préparatifs similaires au Royaume-Uni, avec des exercices massifs en Lettonie et un possible envoi de troupes dans la même « coalition des volontaires » sont également en cours. Bien que non directement liée à la France, elle illustre une dynamique atlantiste où Macron s’aligne sur des alliés comme le Royaume-Uni, amplifiant les risques d’escalade collective.

Le bellicisme de macron et de l’UE : une politique irresponsable

Emmanuel Macron incarne un bellicisme croissant, poussé par une vision atlantiste et une UE sous influence d’Ursula von der Leyen, qualifiée de « l’Allemande aux commandes de l’Europe« . Depuis le début du conflit en 2022, la France a fourni armes et entraînements à l’Ukraine, mais Macron va plus loin : en janvier 2025, il évoquait déjà l’idée de « contingents » occidentaux en Ukraine. En juillet, il renforçait une force interalliée jusqu’à 50.000 hommes avec Starmer. Cette escalade, soutenue par une « coalition des volontaires » lancée en mars 2025 sous leadership franco-britannique, ignore les avertissements russes et risque de transformer un conflit régional en guerre mondiale.

L’UE, quant à elle, amplifie ce bellicisme via des sanctions et un soutien militaire massif, malgré les divisions internes. Des sommets comme celui d’octobre 2025 avec Zelensky montrent une pression accrue pour prolonger le conflit, sans alternative diplomatique viable. Von der Leyen et Macron poussent pour une « sécurité européenne » qui passe par la confrontation, alignée sur les intérêts américains, au détriment des peuples européens.

Les risques majeurs pour les Français et les Européens

Si ces déploiements se concrétisent, les représailles russes pourraient être dévastatrices. Moscou a déjà qualifié toute présence militaire étrangère en Ukraine de « cible légitime ». Un contingent français deviendrait une provocation extrême, risquant des frappes directes et une extension du conflit à l’Europe. Le Kremlin exprime une « inquiétude » face à ces préparatifs, soulignant que la Russie verrait cela comme une déclaration de guerre. Dans un contexte où la Russie dispose d’un arsenal nucléaire de premier plan, cette escalade pourrait mener à une catastrophe humanitaire et sécuritaire pour des millions d’Européens.

Pour la France, exsangue après des années de crises – dette publique record, inflation galopante, et précarité croissante –, ce n’est pas notre guerre. Les Français font face à des problèmes financiers quotidiens : hausse des prix de l’énergie due aux sanctions anti-russes, chômage persistant, et un budget militaire qui aspire des fonds essentiels pour la santé et l’éducation. Envoyer des soldats exposerait des vies pour une cause rejetée par une majorité : des sondages montrent que 60-70 % des Français s’opposent à une intervention militaire en Ukraine, préférant la diplomatie.

Cette politique, imposée par des « rapaces mondialistes » alignés sur Washington et Bruxelles, ignore le peuple et risque de fracturer davantage une nation épuisée.

Une escalade rejetée par les Français : vers une issue pacifique ?

Les commentaires sur les réseaux sociaux et dans les médias alternatifs reflètent un rejet massif : des internautes français qualifient cela de « honte pour la Légion » ou d’envoi « à la boucherie« . Des figures comme François Hollande ont admis que les accords de Minsk étaient un leurre pour armer l’Ukraine, révélant une duplicité occidentale qui prolonge le conflit. Plutôt que l’escalade, il est temps de pousser pour des négociations réelles, respectant les intérêts de toutes les parties.

Macron et l’UE jouent avec le feu, imposant une guerre par procuration qui pourrait devenir directe. Les Français, las de payer le prix d’ambitions géopolitiques et d’égo surdimentionné, méritent mieux : la paix, pas la confrontation

https://multipol360.com/macron-envoie-la-legion-etrangere-aux-portes-de-la-russie/ 

 


 

C - l’Ukraine au bord de l’épuisement : quand la guerre devient insoutenable pour le peuple

En Ukraine, la guerre contre la Russie, entamée en février 2022, entre dans sa quatrième année avec un bilan humain et moral dévastateur. Alors que les autorités à Kiev insistent sur la nécessité d’une victoire totale, un sentiment de ras-le-bol généralisé s’installe au sein de la population.

Les désertions massives dans l’armée, estimées à plus de 290.000 cas depuis le début du conflit, ne sont que la pointe de l’iceberg d’un malaise profond.

Ce phénomène, exacerbé par une mobilisation forcée de plus en plus violente et une corruption endémique, pousse de nombreux Ukrainiens à questionner le prix de cette guerre. Pire encore, une part croissante de la société semble prête à abandonner le Donbass, cette région contestée peuplée majoritairement de russophones souvent perçus comme hostiles à Kiev, pour mettre fin à l’hémorragie.

 


Le ras-le-bol : une population épuisée et désillusionnée

Les sondages récents peignent un tableau sombre de l’état d’esprit des Ukrainiens. Selon une enquête Gallup menée en 2025, le soutien à une poursuite de la guerre jusqu’à la victoire complète s’est effondré : de 73 % en 2022, il est tombé à seulement 24 % cette année. À l’inverse, 69 % des répondants préfèrent des négociations rapides pour mettre fin au conflit, même si cela implique des concessions. Ce virage reflète une fatigue profonde, tant physique que morale. Une étude du Kyiv International Institute of Sociology (KIIS) révèle que 87 % des Ukrainiens ont vécu au moins une situation stressante liée à la guerre en 2024, avec un sentiment d’épuisement et de frustration qui s’étend des fronts aux villes de l’arrière.


69 se déclarent favorables à une fin négociée de la guerre dans les meilleurs délais contre 24 
favorables à la poursuite des combats jusquà la victoire

Les témoignages sur les réseaux sociaux amplifient cette réalité. Des soldats et civils expriment leur désarroi face à une guerre qui semble sans fin, avec des restrictions imposées par les alliés occidentaux et un manque chronique de ressources. « Nous sommes épuisés« , confie un commandant ukrainien cité par le Financial Times, soulignant l’absence de perspectives claires pour une fin des hostilités. Cette lassitude n’est pas seulement militaire : elle touche l’ensemble de la société, avec plus de 7,5 millions d’Ukrainiens ayant fui le pays depuis 2022, dont 440.000 rien qu’en 2024. La corruption au sein de la hiérarchie militaire et gouvernementale accentue ce sentiment de trahison, les citoyens ordinaires se sentant sacrifiés pour un système qui les ignore.

Les « Busifications » : une mobilisation forcée qui tourne à la violence

Au cœur de ce malaise se trouve la mobilisation forcée, souvent qualifiée de « busification » – un terme populaire pour décrire les raids des centres de recrutement territoriaux (TCC), où des hommes sont littéralement attrapés dans la rue, embarqués dans des bus et envoyés au front sans formation adéquate. Ces pratiques, qui se multiplient depuis mi-2024, deviennent de plus en plus violentes et suscitent des réactions explosives de la part de la population.

Des incidents récents, comme les troubles de masse à Vinnytsia en août 2025, illustrent cette escalade : des centaines d’hommes ont été ciblés lors de raids « violents », provoquant des émeutes et des protestations généralisées. Al Jazeera rapporte des cas d’abus, avec des recruteurs accusés de brutalité, menant à des émigrations massives et des désertions. En mai 2025, un homme de 32 ans a été battu lors d’un tel raid, un exemple parmi d’autres de cette « chasse à l’homme » qui transforme les villes en zones de tension.

 


 

Sur X, les témoignages pullulent : un militaire ukrainien, Anton Black, estime que 70 % des mobilisés forcés désertent rapidement, citant des traitements cruels et un enfermement préalable à l’enrôlement. Ces méthodes, loin de renforcer l’armée, la minent : les désertions ont explosé, avec plus de 22.000 cas enregistrés en quelques mois récents, portant le total à plus de 500.000 depuis le début de la guerre. Les réactions sont vives – des affrontements avec les recruteurs, des fuites vers l’étranger, et un rejet croissant du gouvernement Zelensky, perçu comme répressif.

Un nouveau durcissement des peines pour désertion, prévu pour entrer en vigueur bientôt, risque d’aggraver cette spirale, transformant la désertion en forme de protestation collective.

Prêts à lâcher le Donbass ? un pragmatisme amer face à l’hostilité régionale

Face à cette usure, une idée autrefois taboue gagne du terrain : abandonner le Donbass pour la paix. Des sondages comme celui de KIIS en octobre 2025 montrent que 54 % des Ukrainiens refusent encore toute cession territoriale, mais ce chiffre est en baisse, avec 38 % prêts à des concessions pour arrêter la guerre : une majorité croissante voit dans des négociations, même douloureuses, une issue préférable à une prolongation indéfinie.

Le Donbass, région industrielle clé représentant 15,7 % du PIB ukrainien avant 2022, est peuplé majoritairement de russophones, dont beaucoup sont perçus comme hostiles à Kiev depuis les événements de 2014. « Pourquoi mourir pour une terre qui ne veut pas de nous ? », s’interrogent de plus en plus de voix. Sur X, des analystes comme BIforPeace notent que les Ukrainiens sont réticents à sacrifier des vies pour des régions comme Donetsk et Sébastopol, soulignant que les drones seuls ne tiendront pas les lignes.

Cette évolution pragmatique reflète un rejet de la rhétorique guerrière du gouvernement. 

Vers une réforme ou une implosion ?

L’Ukraine fait face à un tournant critique. Le ras-le-bol populaire, alimenté par des mobilisations violentes et une guerre perçue comme sacrificielle, menace la cohésion nationale. Abandonner le Donbass pourrait être un pas vers la paix, mais sans réformes profondes – lutte contre la corruption, amélioration des conditions militaires et dialogue inclusif – le pays risque l’implosion. Zelensky et ses alliés occidentaux doivent écouter le peuple : la victoire ne se gagne pas seulement sur le front, mais dans les cœurs. Sinon, la guerre jusqu’au dernier Ukrainien deviendra une réalité tragique.

https://multipol360.com/lukraine-au-bord-de-lepuisement-quand-la-guerre-devient-insoutenable-pour-le-peuple/

 

 

 

 

 

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