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septembre 10, 2025

L'ami intime du couple Macron, Sébastien Lecornu, enfin Premier Ministre, après Bayrou le numéro 7 !

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Sébastien Lecornu : le nouveau lieutenant d’Emmanuel Macron 

En ce 10 septembre 2025, la nomination de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre par Emmanuel Macron n’est pas seulement un énième remaniement dans une présidence chaotique – c’est une provocation flagrante. À 39 ans, ce « survivant politique » issu de la droite, reconverti en macroniste zélé, incarne tout ce que la Ve République a de plus instable et corrompu. Septième Premier ministre en huit ans sous Macron, Lecornu succède à François Bayrou après un vote de défiance historique, marquant le retour aux pires travers de la IVe République : instabilité, illégitimité et petits arrangements en coulisses. Mais derrière ce choix, se cache un agenda belliciste assumé, porté par un homme aux multiples casseroles, proche de l’extrême droite et chouchou de Brigitte Macron, dont l’influence sur son époux n’est plus à démontrer.


Une ascension fulgurante marquée par l’opportunisme et les trahisons

Né en 1986, Sébastien Lecornu a gravi les échelons à une vitesse suspecte, devenant le plus jeune assistant parlementaire (19 ans – en 2005), conseiller ministériel (22 ans – en 2008), président de conseil départemental (28 ans – en 2015) et ministre de la Défense (35 ans – en 2022) de l’histoire française.

Initialement gaulliste et souverainiste au sein de l’UMP (puis Les Républicains), il a vite trahi ses origines pour rejoindre Emmanuel Macron en 2017, abandonnant ses critiques envers l’Union européenne. Ce virage opportuniste l’a propulsé au gouvernement : secrétaire d’État à l’Écologie, ministre des Collectivités territoriales, des Outre-mer, puis des Armées. À Matignon, il est perçu comme un loyaliste absolu, capable de compromis douteux avec « l’extrême droite » pour survivre politiquement.

Mais cette carrière fulgurante cache une série de scandales. En 2021, une enquête pour prise illégale d’intérêts l’a visé pour avoir cumulé une rémunération d’administrateur de la Société des autoroutes Paris-Normandie (SAPN) avec des décisions favorables à cette société en tant que président du conseil départemental de l’Eure. Bien que classée sans suite en 2022, l’affaire pue le favoritisme. Ajoutez à cela une audition en 2025 pour favoritisme dans l’attribution de marchés publics à un proche pour des expositions photo à 80.000 euros, sans appel d’offres – une enquête du Parquet national financier toujours en cours. Sans oublier les apéros clandestins organisés pendant le confinement Covid en 2021, révélés par la presse, contredisant ses leçons d’exemplarité. Et que dire de l’achat de 100.000 euros de livres à un proche de Macron avec des fonds du ministère des Outre-mer ? Lecornu n’est pas un homme d’État, mais un « pédaleur d’influence » dans une macronie gangrenée par la corruption.

 

Des liens troubles avec « l’extrême droite » et des complicités suspectes

Pire encore, Lecornu entretient des relations secrètes avec le Rassemblement national (RN). En juin 2024, peu après l’annonce par Macron d’élections législatives anticipées, des rencontres secrètes avec les dirigeants du RN, Marine Le Pen et Jordan Bardella, ont été révélées par Libération et confirmées par les participants. En tant que ministre des Armées, il menait ces discussions sans en informer ses collègues – une opacité suspecte dans un contexte de tensions géopolitiques. Ces liens pourraient expliquer pourquoi le RN pourrait épargner son gouvernement, transformant la politique en cirque où Lecornu joue le rôle du « survivant » capable de neutraliser la droite pour Macron.

Ses fréquentations douteuses ne s’arrêtent pas là. Il affiche une complicité avec Yassine Bellatar, humoriste controversé proche des Frères musulmans, malgré les efforts antiterroristes de l’armée française. Son cabinet a prétendu qu’il l’avait confondu avec un technicien, mais des témoins confirment qu’il le connaissait.

 

Le bellicisme incarné : un danger pour la France et l’Europe

En tant que ministre des Armées depuis 2022, Lecornu a piloté une loi de programmation militaire 2024-2030 dotée de 413 milliards d’euros, doublant les dépenses pour atteindre 69 milliards d’ici 2030.

Ce renforcement, motivé par la guerre en Ukraine, inclut la dissuasion nucléaire et un nouveau porte-avions – un choix belliciste qui aligne la France sur une escalade anti-russe. Mais cette politique rencontre des résistances internes : en juin 2025, le ministère des Armées a approché Renault pour produire des drones militaires destinés à la France et à l’Ukraine, en s’appuyant sur l’expertise ukrainienne. Les salariés ont massivement refusé, arguant qu’ils avaient signé pour assembler des voitures, pas des armes. Les syndicats comme Force Ouvrière et la CGT ont souligné les tensions potentielles au sein des équipes, incluant des travailleurs russes et ukrainiens, et demandé des garanties sur le droit de refus. Renault a même envisagé de délocaliser la production en Slovénie pour éviter les conflits, mais cela soulève des risques géopolitiques et de cyberattaques. Cette rébellion ouvrière expose le cynisme de Lecornu : forcer une reconversion industrielle vers la guerre, au mépris des employés et des implications éthiques.

Ce bellicisme n’est pas isolé ; il reflète celui d’Emmanuel Macron, qui a multiplié les déclarations agressives sur l’Ukraine, agitant la peur d’une ingérence russe pour tout justifier. Macron choisit Lecornu, « le pire faucon », pour maintenir un « horizon de guerre » permanent, neutralisant l’opposition et justifiant une hystérie anti-russe. Pourquoi ce choix ? Pour prolonger un macronisme en déroute, où la guerre sert de mortier à un pouvoir chancelant, au risque d’impliquer la France dans un conflit direct avec la Russie. Lecornu, architecte d’un renforcement militaire face à la Russie, incarne ce virage : des conférences avec des leaders bellicistes comme Scholz ou Starmer, des exclusions aériennes risquées, et une armée vampirisée par l’OTAN et l’UE.

Le rôle clé de Brigitte Macron : une influence ombragée

Au cœur de cette nomination, la proximité de Lecornu avec Brigitte Macron, qui exerce une influence considérable sur son époux. Décrit comme son « chouchou« , Lecornu a su la séduire par des dîners et des petites blagues, selon des proches. « Brigitte l’aime beaucoup, ça compte », confiait-on en 2023. Cette affection n’est pas anodine : Brigitte, souvent présentée comme une conseillère informelle, a déjà favorisé des nominations comme celle de Gabriel Attal.

Lecornu, ami intime de cette « bande à Brigitte » (avec Blanquer, Castaner), bénéficie de cette protection élyséenne.

Macron, en le choisissant, cède t-il une fois de plus à cette influence, transformant Matignon en affaire de famille ? Cette dynamique soulève des questions : qui gouverne vraiment ? Une Première dame aux réseaux opaques, qui dépense des millions en procédures judiciaires américaines malgré des déclarations de patrimoine suspectes, finalement blanchies par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).


Un choix scandaleux pour une France en péril

En nommant Lecornu, Macron opte pour la continuité d’un régime instable, belliciste et corrompu. Ce « faucon » pro-Ukraine, aux liens troubles avec le RN et chouchou de Brigitte, risque d’entraîner la France dans une escalade guerrière inutile, tout en ignorant les résistances populaires. Dans une Ve République brisée – sept Premiers ministres en huit ans, dont Édouard Philippe (Monsieur Covid), Jean Castex (l’inénarrable), Élisabeth Borne (Mamie 49.3) et les éphémères Attal, Barnier et Bayrou – Lecornu n’est qu’un fusible de plus. Mais ce choix, dicté par le bellicisme macronien pour contrer la Russie et neutraliser la droite, pourrait bien précipiter le chaos : colère sociale, blocage institutionnel et trahison démocratique. La France mérite mieux qu’un « cirque » dirigé par des clones idéologiques, des comédiens pilotés par des réseaux supranationaux. Lecornu à Matignon ? Une provocation qui pourrait signer la fin d’un macronisme agonisant.

https://multipol360.com/sebastien-lecornu-le-nouveau-lieutenant-demmanuel-macron/

 


Sébastien Lecornu, le moins macroniste des macronistes
 
S’il est proche du président, le Premier ministre, de tendance gaulliste, ne partage en rien sa vision du dialogue avec les oppositions et la population.

Par Saïd Mahrane 
 
Depuis sa nomination à Matignon, on dit de lui qu'il est un « macroniste ». Or il n'existe pas moins macroniste que Sébastien Lecornu au sein du gouvernement. C'est précisément ce qui explique sa survie politique. Proche du président de la République, oui, il l'est indéniablement. Fidèle, loyal, présent, aussi, ce qui lui vaudra, dans ce monde sans foi, la sincère sympathie de Brigitte Macron.
Mais penser un instant que le nouveau Premier ministre puisse adhérer à une représentation de la société et à une manière d'exercer la politique selon des canons macroniens, tels que nous les connaissons depuis 2017, est une erreur.
Le conteur d'histoires face au président philosophe
Pour le comprendre au mieux, il faut regarder du côté de Vernon, ville dont il fut le maire, et de l'Eure, département dont il fut le président. Ce bout de Normandie est une France à petite échelle, avec ses variétés, ses ruptures, ses déserts, ses violences et ses inégalités. Il fallait l'entendre, de retour à Paris, raconter les bonheurs et les galères de la vie loin des lieux du pouvoir. Cette expérience acquise, alors qu'il n'avait pas 30 ans, lui a conféré de solides convictions dans la manière de préserver une cohésion, ce sans quoi rien n'est possible quand on se dit gaulliste.
L'admirateur de la geste gaullienne, partisan des référendums, voue également une passion pour la politique en tant qu'elle est une aventure collective au service d'une idée, et plus encore pour la psychologie des hommes. En la matière, il est un redoutable portraitiste. Quand Macron est tout en concepts philosophiques, lui déroule des événements et fait le récit, sous forme de mises en garde, de bascules historiques nées souvent d'un fait anodin. Un moyen comme un autre de distiller des messages sans froisser les susceptibilités.
Les mots et la connexion
Son aide fut précieuse au président de la République lors des grands débats post-mobilisation des Gilets jaunes. Alimenté en notes par des techniciens parfois aussi ignorants que lui des réalités, Macron, il le confia, fut impressionné par le sens du « concret » de son ministre en charge des Collectivités territoriales. Ouvert sur les thèmes sociétaux, Sébastien Lecornu est avant tout un homme de droite, d'une droite qui n'existe plus, morte avec Philippe Séguin et ceux qu'on appelait jadis les gaullistes sociaux.
En cela, il est le jumeau de Gérald Darmanin, deux survivants de cette famille politique, échoués en macronie. Comment la définir, s'agissant du style ? C'est simple : mettez leur en face un patron du CAC 40 ou un syndicaliste, un général ou un piou-piou, un communiste ou un libéral, ils trouveront aussitôt les mots et la connexion par une bonhommie, une écoute et, toujours, cette impression chez eux qu'une solution est possible.

Un son de cloche différent
 
Au ministère des Armées, beaucoup, parmi les gradés, ont été surpris lors de sa nomination. Les mêmes, lit-on, le regrettent déjà. Mais, plus que tout, et c'est aussi en cela qu'il n'est pas macroniste, Lecornu est un homme qui doute. En 2017, lorsqu'il fut appelé à entrer au gouvernement, il se demanda s'il en avait la légitimité. Puis, au gré des remaniements, le président a noté chez lui une ambition sereine, moins tapageuse que celle d'autres ministres faisant campagne. De même son rapport aux médias est-il « sain » : il ne court pas les micros. S'il n'a rien à dire, il préfère s'abstenir.

Son principal handicap, dans le fond, est précisément cette trop grande loyauté vis-à-vis d'un président qui, il est vrai, lui aura accordé sa confiance à maintes reprises. Dans l'histoire tourmentée du macronisme, on aurait cependant dû entendre un son de cloche différent du funeste « en même temps » et des amphigouris présidentiels. Un son de cloche qui aurait sonné plus humain, plus en faveur des petites gens, des élus locaux, de l'opposition, fait de simplicité, d'humilité, de réactivité, et qui aurait été à mille lieues du mépris de forme exprimé par le président et un entourage à son image.
Certes, s'il avait ouvert la bouche pour exprimer un non gaullien, Lecornu l'aurait payé, puisqu'il est connu que Macron n'aime pas les voix dissidentes, même quand elles disent vrai. Que pourra donc faire le Premier ministre dans le bourbier actuel ? On l'ignore. Il devra montrer une méthode avant de dévoiler des idées. Soit un contresens. C'est à lui, ancien ministre des Armées, de trouver la voie pour sortir les uns et les autres de leurs tranchées, les ramener à la table des négociations et s'accorder sur un budget. Il lui faudra, en l'espèce, oubliant la tutelle présidentielle, être d'abord fidèle à lui-même…
 

septembre 08, 2025

L’Europe au bord de la guerre avec la Russie selon Douglas Macgregor

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Dans un contexte géopolitique tendu, marqué par la guerre en Ukraine et une escalade des tensions entre l’OTAN et la Russie, l’ancien conseiller du secrétaire à la Défense des États-Unis, le colonel Douglas Macgregor, tire la sonnette d’alarme. Dans une interview récente diffusée sur YouTube, intitulée Douglas Macgregor: Europe on the Edge of War with Russia, Macgregor dénonce ce qu’il perçoit comme une série de provocations militaires de l’OTAN qui pourraient précipiter l’Europe dans un conflit direct avec la Russie. Basé sur cette analyse approfondie, cet article explore les risques d’une telle escalade, en s’appuyant sur les déclarations de Macgregor et des événements récents.

 

Les exercices militaires de l’OTAN : une provocation en Arctique ?

L’interview met en lumière des exercices militaires conjoints menés par les États-Unis, l’Allemagne et la Norvège en mer de Barents, une zone stratégique proche de la péninsule de Kola et des bases de la flotte russe du Nord. Ces manœuvres, axées sur la lutte anti-sous-marine, interviennent alors que la guerre par procuration en Ukraine s’effondre, selon Macgregor. 

« Cela s’inscrit dans un schéma qui se poursuit depuis plusieurs mois », affirme-t-il, soulignant l’augmentation des vols d’avions près de la zone d’identification de défense aérienne russe, ainsi que le déploiement de navires équipés de missiles Tomahawk vers Novaya Zemlya.

 


Ces activités ne sont pas isolées. En 2025, l’OTAN a renforcé sa présence maritime dans l’Arctique et le Haut Nord, avec des exercices impliquant le Standing NATO Maritime Group One en mer de Barents. Des opérations comme Formidable Shield 2025, le plus grand exercice de tir réel en mer en Europe cette année, se déroulent de la mer du Nord à la mer de Norvège. Macgregor y voit une tentative d’intimidation : « Nous voyons une tentative d’intimidation en effectuant des frappes d’entraînement sur des installations russes à l’aide de bombardiers et de lance-missiles. » Il ajoute que ces manœuvres, combinées à des vols de bombardiers B-2, visent à effrayer Moscou pour qu’il cède en Ukraine – une stratégie qu’il juge inefficace et dangereuse.

 

Déclarations belliqueuses et cibles stratégiques

Macgregor revient sur des déclarations provocatrices, comme celle du lieutenant général Donahue en juin, qui affirmait que les forces américaines pourraient prendre Kaliningrad – un territoire souverain russe – en quelques heures. « Ce n’est pas quelque chose que nous devrions prendre à la légère », insiste-t-il, notant que Kaliningrad est un centre majeur des capacités militaires russes, incluant missiles et défenses aériennes. Cette rhétorique s’inscrit dans une mentalité d’intimidation promue, selon lui, par l’administration Trump et des figures comme le secrétaire à la Défense Hegseth.

 

 De plus, des attaques récentes sur la base de Mourmansk, loin du front ukrainien, sont citées comme des cibles stratégiques pour l’OTAN. Macgregor explique : « Mourmansk est une cible stratégique […] en raison de la base sous-marine russe. »

Il met en garde contre les ripostes potentielles : les Russes, préparés à une guerre majeure, disposent de missiles capables d’atteindre l’Europe entière, du nord de la Norvège au sud du Portugal.

L’OTAN, quant à elle, ne pourrait défendre que 5 % de son territoire contre de telles menaces.

Ces points font écho à des discussions récentes sur les réseaux sociaux, où des utilisateurs avertis soulignent les risques d’escalade près de Mourmansk et Kaliningrad, voyant cela comme une provocation directe.

Le contexte historique : mers stratégiques et ambitions de l’OTAN

Pour comprendre ces tensions, Macgregor évoque l’histoire russe : une lutte constante pour un accès fiable aux mers – Arctique, Baltique et Noire. L’objectif sous-jacent de la guerre en Ukraine, selon lui, était de transformer la mer Noire en « lac de l’OTAN ». Avec l’adhésion de la Suède et de la Finlande, la mer Baltique est désormais vue comme telle, et des voix comme celle de l’ancien secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh Rasmussen, parlent de bloquer Saint-Pétersbourg. L’Arctique, militarisé avec de nouvelles bases américaines en Scandinavie, devient un nouveau front.

Macgregor critique cette escalade : « Si vous perdez une guerre et qu’il n’existe absolument aucune preuve que quoi que vous fassiez puisse changer ce résultat, pourquoi prendriez-vous de telles mesures irrationnelles ? » Il pointe du doigt le refus de la diplomatie, favorisant les armes et les coalitions de volontaires – comme celle réunie à Paris – qui promettent des missiles de croisière contre la Russie.

Les risques d’escalade : vers un conflit nucléaire ?

Le colonel met en garde contre une fascination américaine pour la « puissance aérienne », qu’il compare à du « sexe sans conséquence » : bombarder sans riposte immédiate. Mais face à la Russie, cela ne fonctionnera pas. « Les Russes sont arrivés au bout de leur patience », dit-il, prédisant des réactions spectaculaires si l’OTAN franchit les lignes rouges. Dans un monde où la Russie est la plus grande puissance nucléaire, refuser la diplomatie pour exiger une « défaite militaire » de Moscou est, selon lui, de la folie.

Des interviews récentes de Macgregor renforcent ce message : il affirme que la guerre en Ukraine est perdue, et que l’OTAN s’épuise en escaladant inutilement. Macgregor conclut sur une note historique, rappelant la Première Guerre mondiale : les Britanniques entrèrent en guerre en 1914 sans en mesurer les coûts, menant à des millions de morts. « Nous sommes devenu tellement suffisant, tellement hypocrite et tellement épris de nous-mêmes que nous en sommes incapables » de négocier, dit-il.

L’urgence de la diplomatie

L’Europe se trouve au bord du précipice, poussée par des élites qui refusent d’admettre l’échec en Ukraine et préfèrent l’escalade à la négociation. Macgregor appelle à une réévaluation : discuter avec les Russes pour fixer un armistice basé sur une solution réelle, plutôt qu’une pause permettant un réarmement. Sans cela, les conséquences pourraient être catastrophiques, touchant non seulement l’Ukraine, mais l’Europe occidentale et les États-Unis.

Désinformation - La russophobie : un réflexe pavlovien pour masquer les échecs de l’UE

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Il ne s'agit pas d'être pro-Poutine, loin de là, comme de subir que de la propagande russe; cependant celle de l'UE via l'OTAN est fort présente aussi..! Stratégie d'une bipolarité par une guerre de la transparence !

Un bouc émissaire universel

Dans les couloirs du pouvoir à Bruxelles, la Russie semble être devenue le bouc émissaire universel, responsable de tous les maux qui affligent l’Europe. Cette russophobie institutionnalisée, alimentée par une élite atlantiste déconnectée des réalités, n’est pas seulement une posture géopolitique ; c’est un mécanisme de diversion systématique.

À chaque crise, à chaque échec interne, le doigt accusateur se pointe invariablement vers Moscou, sans preuves solides ni analyse nuancée.

Examinons comment ce réflexe pavlonien se manifeste, en mettant en lumière des exemples concrets qui révèlent une instrumentalisation flagrante de la peur pour consolider un agenda belliciste et anti-souverainiste.


 

L’affaire de l’avion d’Ursula von der Leyen : un complot inventé pour détourner l’attention

Prenons d’abord l’affaire récente de l’avion d’Ursula von der Leyen lors de sa visite en Bulgarie. Les autorités européennes et certains médias ont rapidement crié au scandale, imputant une prétendue interférence GPS aux Russes, comme s’il s’agissait d’une tentative de sabotage orchestrée par le Kremlin. Cette allégation, présentée comme une escalade dans les tensions hybrides, a fait les gros titres et alimenté l’hystérie anti-russe. Pourtant, face aux données irréfutables de services comme Flight Radar, qui ont démontré l’absence totale de perturbation, la Bulgarie a fini par renoncer à toute enquête, concluant qu’il n’y avait probablement rien du tout. Ce revirement n’a pas empêché l’incident d’être initialement brandi comme preuve d’une agression russe, occultant au passage les vraies raisons du malaise local : des dizaines de milliers de Bulgares manifestant contre l’adhésion forcée de leur pays à la zone euro, prévue pour le 1er janvier prochain. Ici, la russophobie sert de rideau de fumée pour masquer les contestations internes à l’UE, transformant une visite diplomatique ratée en complot international.

L’attentat contre Nord-Stream : des sanctions suicidaires au profit de la chine

 

Photo partagée par le commandement de la défense danoise montrant une fuite de gaz au niveau du gazoduc Nord Stream 2, dans la mer Baltique, au large de l’île danoise de Bornholm, le 27 septembre 2022.

Un schéma similaire se dessine avec l’attentat contre les pipelines Nord Stream.

Il y a deux ans, lorsque l’explosion a privé l’Europe d’une source vitale d’énergie, les accusations ont fusé contre les Russes, qualifiés de complotistes ceux qui osaient suggérer d’autres pistes.

Aujourd’hui, la justice allemande elle-même pointe du doigt les Ukrainiens comme responsables, possiblement aidés par de grandes puissances. Malgré cela, personne à Bruxelles n’a condamné cet acte de terrorisme, et les sanctions anti-russes qui ont suivi n’ont fait qu’aggraver la situation énergétique européenne. Double punition pour les Français, ces mesures ont profité directement à la Chine, qui a signé un accord gazier massif avec la Russie, obtenant des volumes équivalents à ceux autrefois destinés à l’Europe, à des tarifs encore plus bas. Résultat : Pékin renforce sa puissance industrielle grâce à une énergie bon marché, tandis que l’UE s’appauvrit et s’enlise dans une dépendance accrue vis-à-vis des États-Unis. Cette russophobie économique, loin d’affaiblir Moscou, accélère le déclin industriel européen et illustre le réflexe bruxellois de blâmer les Russes pour des choix politiques suicidaires.

La ministre allemande de la justice, Stefanie Hubig, fait une déclaration à la presse à Berlin, en Allemagne, le 21 août 2025, à la suite de l’arrestation en Italie d’un Ukrainien soupçonné d’avoir coordonné le sabotage du gazoduc Nord Stream en 2022.

 

Le dossier ukrainien : une fuite en avant belliciste sans soutien réel

Le dossier ukrainien incarne parfaitement cette obsession pathologique. Emmanuel Macron, porte-étendard de l’atlantisme européen, annonce fièrement que 26 pays seraient prêts à s’engager – sur mer, sol et air – dans une « force de réassurance » en Ukraine. Mais derrière ce chiffre gonflé, la réalité est bien plus modeste : sur une coalition théorique de 30 pays, seuls la France et le Royaume-Uni semblent réellement disposés à envoyer des troupes. La Pologne, deuxième armée de l’UE en effectifs, refuse catégoriquement sans un bouclier américain garanti. Les Allemands et les Italiens se contentent de promesses de soutien financier ou logistique, comme financer des usines d’armement en Ukraine sans déploiement militaire. Même le Canada, le Japon, la Corée du Sud, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont comptabilisés pour des contributions mineures, comme fournir du matériel. Cette fuite en avant, menée par un dirigeant français à la légitimité érodée (à peine 12-14 % dans les sondages), ignore les avertissements clairs de Poutine :

Toute troupe étrangère serait considérée comme une cible légitime.

 

En cas de cessez-le-feu – qui n’équivaut pas à une paix –, l’UE deviendrait cobelligérante, violant le droit international si elle déploie sans accord des deux parties. Un incident mineur, comme une opération ukrainienne non contrôlée par Kiev ou bien une false flag diligentée par l’occident, pourrait entraîner une riposte russe touchant des soldats français, déclenchant un casus belli direct. L’histoire nous le rappelle avec l’incident du Golfe du Tonkin en 1965, qui a lancé la guerre du Vietnam sur une escalade similaire. À Bruxelles, cette russophobie guerrière transforme l’Europe en mèche d’un baril de poudre, au nom d’un atlantisme obsolète que même Washington abandonne : le Pentagone annonce une forte réduction, voire un arrêt, du soutien financier aux pays baltes, forçant l’UE à payer pour une « occupation » américaine en Europe de l’Est. Les contribuables français, deuxièmes contributeurs nets au budget européen, financeront cela via de nouveaux impôts communautaires, au détriment de leurs propres intérêts.

 

 L’hystérie anti-russe dans l’armée française : un trouble profond qui menace la souveraineté

Cette hystérie anti-russe imprègne même les sphères militaires nationales. En France, des officiers de haut rang alertent sur le danger de cette focalisation exclusive sur la « menace russe », qui fait perdre de vue des périls bien plus immédiats. Le renseignement militaire dévie tous ses moyens vers le flanc est, laissant, par exemple, le pillage des ressources outre-mer impuni et dont Macron semble vouloir se débarasser. Parallèlement, le complexe militaro-industriel français s’illusionne en pensant que l’alerte russe gonflera les budgets de défense, profitant à l’industrie nationale. Or, les alliés européens achètent massivement américain, sous pression de Trump qui exige 5 % du PIB en dépenses militaires et des achats outre-Atlantique. Pire, les Allemands cannibalisent l’industrie française : rachats dans les blindés via KNDS, montée en puissance chez Airbus Défense, et tentatives de rouler la France sur le SCAF avec des transferts de technologie qui menacent la souveraineté nucléaire. L’État français, sous Macron, pousse même à ces compromis, rêvant d’européaniser la dissuasion atomique – ce qui signifierait demander la permission à Berlin pour défendre nos intérêts vitaux. Cette soumission à une UE germanocentrée, masquée par une rhétorique anti-russe, révèle un trouble profond dans l’armée française, illustré par le limogeage abrupt du chef d’état-major des armées après des avertissements internes sur l’épuisement des stocks dus aux livraisons en Ukraine.

 

Briser le cycle pour une Europe souveraine et en paix

En somme, la russophobie entretenue par Bruxelles n’est pas une réponse rationnelle à des menaces réelles, mais un réflexe systématique pour détourner l’attention des échecs internes : dépendance énergétique, contestations populaires, déclin industriel et perte de souveraineté. En blâmant les Russes pour tout – des pannes GPS aux explosions de pipelines –, l’UE perpétue un narratif belliciste qui isole l’Europe sur la scène mondiale, au profit de puissances comme la Chine et sous le joug d’un atlantisme agonisant. Il est temps de briser ce cycle vicieux, de privilégier la paix et la souveraineté nationale face à une élite bruxelloise qui ne rêve que de guerre.

https://multipol360.com/la-russophobie-un-reflexe-pavlovien-pour-masquer-les-echecs-de-lue/ 

Voir vidéo : Déclaration officielle de Arianna Podesta, porte-parole adjointe de la Commission européenne, dénonçant le bouillage GPS d’origine russe. Source Deutsche Welle (supprimée depuis)


 

 

septembre 07, 2025

Un monde bipolaire, où se situe la réalité quand bien même vous êtes en pleine guerre de la transparence ( de la désinformation)

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Les illusions européennes sur les garanties de sécurité en Ukraine : un mirage menant à la guerre mondiale !
Dans un monde au bord du gouffre, où la guerre en Ukraine menace d’embraser la planète entière, des dirigeants européens osent promettre des « garanties de sécurité » à Kiev, impliquant un soutien militaire massif et des déploiements de troupes qui pourraient déclencher une troisième guerre mondiale ! Cette soi-disant coalition de « volontaires » – une trentaine de pays, principalement européens – n’est qu’une façade pour une escalade suicidaire, ignorant les avertissements apocalyptiques d’un conflit nucléaire avec la Russie. Les populations, terrorisées par l’idée d’un cataclysme global, rejettent cette folie, mais les élites persistent, prêtes à sacrifier des millions pour leurs ambitions démesurées. Volodymyr Zelensky se rendra à Paris jeudi pour une réunion de la Coalition des volontaires à l’Élysée, coprésidée par Emmanuel Macron et Keir Starmer, avec participation partielle en visioconférence. L’événement vise à discuter des garanties de sécurité pour l’Ukraine et analyser le prétendu refus russe de la paix, sans participation de Donald Trump. 
 

 
 Le rejet massif des Français : macron sans légitimité pour nous entraîner dans l’abîme !
Les Français hurlent leur refus catégorique d’être jetés dans les flammes de cette guerre infernale ou tout autre savamment orchestrée par une oligarchie mortifère ! Des sondages alarmants révèlent que plus de 60 % des citoyens s’opposent à tout envoi de troupes, préférant la diplomatie à la boucherie Emmanuel Macron, ce président affaibli par des élections marquées par l’abstention et les multiples crises sociales, n’a aucune légitimité pour nous condamner à l’apocalypse !
Son mandat, entaché par les Gilets jaunes https://multipol360.com/retour-sur-les-gilets-jaunes-un.../ et une popularité en chute libre, le rend inapte à décider de notre survie. Pourtant, il ose co-diriger cette dérive belliciste, risquant la vie de dizaines de milliers – voire des millions – de Français dans un holocauste nucléaire !
 

 
 Von der Leyen, la dirigeante discréditée : scandales et ambitions cachées pour une armée personnelle !
Ursula von der Leyen, cette figure non élue, parachutée à la tête de la Commission européenne après un mandat allemand miné par les scandales, incarne l’illégitimité absolue ! Accusée de copinage et de malversations dans des contrats de consultants valant des millions d’euros, elle a fait l’objet d’enquêtes pour népotisme et effacement illégal de données. Mais ce n’est pas tout : le scandale « Pfizergate » révèle ses négociations secrètes par SMS avec le PDG de Pfizer pour des contrats de vaccins Covid de 35 milliards d’euros, refusant la transparence et perdant en justice face à des demandes d’accès aux messages ! Virée de l’Allemagne pour incompétence et corruption, elle et ses vassaux complotent maintenant pour se constituer une armée privée, une garde prétorienne assoiffée de pouvoir ! 
L’Eurogendfor, https://eurogendfor.org/ cette force de gendarmerie européenne avec statut militaire, capable de missions policières en gestion de crise et de déploiement rapide (quoi de mieux que des italiens pour taper sur des français ou des allemands -et vice versa-) , ne leur suffit plus – ils veulent plus de sang, un prétexte pour écraser toute opposition et désigner des boucs émissaires ! Comment une telle imposture peut-elle dicter notre destin vers l’annihilation ?
Von der Leyen prépare d’ailleurs une grand-messe satanique https://x.com/vonderleyen/status/1962782763351781631 le 10 septembre 2025 à Strasbourg, son discours sur l’état de l’Union européenne, où elle exposera sa vision et initiatives pour l’année, coïncidant comme par hasard avec une journée de manifestations massives en France. Pour nous, tous les parlementaires français qui se rendront à cette mascarade et apporteront leur soutien à la disparition de la Nation française seront considérés comme des collabos et tenus responsables du chaos qui s’ensuivra.
 

 
 Les motivations sinistres : un « reset » pour effacer les incompétences et malversations, du covid à aujourd’hui !
Derrière cette posture « sécuritaire », se cache un plan machiavélique : appuyer sur le bouton « reset » pour blanchir toutes leurs incompétences et malversations accumulées ! Von der Leyen et ses acolytes, englués dans les scandales Covid – comme ces contrats opaques avec Pfizer qui ont coûté des fortunes aux contribuables européens – cherchent à détourner l’attention par une guerre totale.
Ils ont dilapidé des milliards en vaccins inutiles, favorisé le capitalisme de connivence, et maintenant, face à l’effondrement économique, ils précipitent l’Europe vers le chaos pour effacer leurs crimes !
Cette escalade n’est pas pour l’Ukraine, mais pour sauver leur peau, en sacrifiant des nations entières sur l’autel de leur hubris !
 

 
 La guerre civile qui gronde en Europe : contre les élites incompétentes et corrompues !
Partout en Europe, la guerre civile bouillonne, prête à exploser contre ces élites déconnectées, incompétentes et corrompues qui ont plongé des millions dans la misère !
Un ex-commandant de police lançait récemment un appel solennel https://multipol360.com/face-au-chaos-qui-sen-vient-un.../ à ses collègues, les alertant sur le chaos imminent qui s’annonce, avec une société au bord de l’effondrement où les forces de l’ordre pourraient être forcées de choisir entre réprimer le peuple ou se joindre à la révolte contre un système défaillant.
Des protestations massives des paysans contre les politiques à géométrie variable de neutralité carbone – ces mesures environnementales imposant des restrictions draconiennes sur les engrais, les pesticides et les émissions agricoles pour atteindre zéro émission nette d’ici 2050 – et les importations déloyales secouent la France, l’Allemagne, l’Espagne et au-delà, rappelant les Gilets jaunes. Mais ce n’est que la partie visible de l’iceberg : la France subit une paupérisation vertigineuse, avec une augmentation maîtrisée en apparence de la pauvreté monétaire, mais une réalité bien plus sombre où les budgets des ménages modestes sont de plus en plus contraints, menant à des privations matérielles massives et un sentiment croissant de déclassement social. Ajoutez à cela l’intenable flambée du coût de la vie, https://multipol360.com/lintenable-flambee-du-cout-de-la.../ avec une inflation galopante qui rend les dépenses quotidiennes insurmontables, poussant la situation au bord de l’implosion sociale – une bombe à retardement où les inégalités explosives pourraient déclencher une insurrection générale ! Ces mouvements de colère populaire, alimentés par la hausse du coût la de vie, l’injustice fiscale et une dépendance accrue aux aides sociales depuis la crise de 2008, menacent de dégénérer en chaos total. Les dirigeants, paniqués par cette révolte contre leur incompétence, voient dans la guerre en Ukraine un prétexte idéal pour réprimer et unifier par la peur – mais c’est l’étincelle qui pourrait tout faire sauter ! Le 10 septembre 2025 marque une mobilisation nationale en France avec blocages, grèves et manifestations contre le budget, les salaires bas, les pertes de libertés et le gouvernement, impliquant les syndicats et collectifs citoyens, potentiellement paralysant Paris et d’autres régions.
 

 
 La dilapidation des ressources : argent français jeté à Zelenski, le corrompu rejeté par son peuple !
Pendant que les Français peinent à boucler les fins de mois, avec une dette nationale à 114 % du PIB, un déficit de 5,8 % et une croissance anémique de 0,6 % en 2025, ces élites dilapident des milliards vers Volodymyr Zelensky, ce dirigeant corrompu qui ne fait même plus recette https://multipol360.com/lintenable-flambee-du-cout-de-la.../ auprès de son propre peuple ! Accusé de limiter l’indépendance des agences anti-corruption, impliqué dans des schémas de corruption dans la défense, sa popularité a chuté à 58 %, avec des sondages montrant une désapprobation croissante due à la corruption systémique. Pourquoi financer un régime en déliquescence alors que nos familles souffrent de la stagnation économique et de l’inflation galopante ?
 
L’urgence absolue : destituer macron ou risquer l’apocalypse nucléaire – l’heure est à la révolte !
L’heure est plus que grave : c’est l’ultimatum pour la survie de l’humanité ! Voter la destitution de Macron https://petitions.assemblee-nationale.fr/initia.../i-2743... s’impose comme un acte de résistance vitale pour stopper cette marche vers l’abîme. Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard : la paix doit triompher, ou nous périrons tous dans les flammes d’une guerre mondiale orchestrée par des tyrans discrédités !

 

Les "djeunes" et l'armée française; chair à canon ??

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L’engagement des jeunes dans l’armée française aujourd’hui : une fausse bonne idée ?


L’Armée de terre française lance un appel massif au recrutement : 16.000 soldats par an, comme le rapporte un récent article de France 3 Régions, couvrant une cérémonie à Bayonne où quarante jeunes Basques et Béarnais, âgés de 18 à 24 ans, ont signé des contrats d’engagement. L’article dépeint cette démarche comme une opportunité exaltante, un « rêve d’enfant » pour des recrues motivées par l’aventure, la protection du pays et un sens à leur vie. Des citations émouvantes soulignent les valeurs de fraternité, d’exigence et de dépassement de soi, avec des profils variés – diplômés ou non – accédant à des formations prestigieuses, comme devenir pilote d’hélicoptère via l’académie de Saint-Cyr.

Pourtant, derrière cette vitrine séduisante, une ombre plane : l’engagement militaire aujourd’hui, sous un gouvernement  asservi aux intérêts de l’Union européenne (UE) et de l’OTAN, pourrait transformer ces jeunes en chair à canon pour des causes étrangères et plus que douteuses.

S’engager dans l’armée est une décision noble en soi, mais pas lorsqu’elle sert un pouvoir corrompu qui priorise les agendas géopolitiques sur la défense du peuple français.

                                                     Un déguisement pour la parade de Noël

 Une armée pour défendre le peuple, pas pour des guerres politico-financières

Historiquement, l’armée française est conçue pour protéger la nation et ses citoyens, pas pour mener des offensives impérialistes ou servir de bras armé à des alliances supranationales. L’article de France 3 évoque les risques, y compris « celui de perdre votre vie », comme l’affirme Michèle Alliot-Marie, ancienne ministre de la Défense, en soulignant un « monde incertain et dangereux » marqué par des crises et des transformations technologiques guerrières. Mais ces risques sont-ils justifiés lorsque les missions actuelles semblent dictées par des intérêts politico-financiers ? Sous Emmanuel Macron, la France s’implique dans des conflits comme celui en Ukraine, où des troupes françaises sont envoyées sans mandat clair, servant potentiellement de pions dans une guerre par procuration entre l’OTAN et la RussieMaria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, l’a rappelé avec clarté : Emmanuel Macron doit obtenir l’aval de l’Assemblée nationale pour déclarer la guerre ou déployer des troupes, conformément à votre Constitution. Sans cela, ces envois sont illégitimes, transformant les soldats en « troupes d’occupation » sans le consentement du peuple français.

S’engager aujourd’hui, c’est risquer sa vie pour des élites qui bafouent la souveraineté nationale au profit d’alliances atlantistes, où les jeunes deviennent des mercenaires involontaires pour des intérêts étrangers.

Dans ce conflit ukrainien, les pertes quotidiennes sont effroyables, estimées à environ 1.000 morts par jour, selon des rapports récents ; à ce rythme, il ne faudrait qu’une quinzaine de jours pour que les 16.000 jeunes recrues annuelles françaises disparaissent, broyés par une guerre qui n’est pas la nôtre.

Les leçons de l’histoire : Vichy et la collaboration, un précédent accablant

Pour illustrer ce danger, rappelons l’occupation nazie et le régime de Vichy. Durant la Seconde Guerre mondiale, la police et la gendarmerie françaises, sous les ordres d’un gouvernement collaborationniste, ont souvent servi les intérêts allemands plutôt que ceux de la France. Ont-ils défendu le peuple français en participant à la rafle du Vél’ d’Hiv’, à la déportation de Juifs, ou encore, à la répression des résistants ? Pétain et Laval, au nom d’une « noble cause » supposée, ont aligné les forces armées sur l’ennemi, transformant des militaires loyaux en outils d’oppression. Était-ce une cause honorable ? Non, c’était une trahison. Aujourd’hui, un parallèle s’impose : un gouvernement perçu comme corrompu, influencé par Bruxelles et Washington, pourrait-il exiger le sacrifice de notre jeunesse pour des guerres injustes ? Les jeunes recrues, motivées par un idéal patriotique comme celles citées dans l’article – « Je veux me battre pour la liberté » ou « Pour avoir la paix, il faut une armée forte » – risquent de se retrouver piégées dans des opérations qui ne servent pas la France, mais des agendas globalistes.

La fierté de défendre son pays n’existe que si les ordres donnés vont dans le sens de la défense de son territoire, de ses valeurs et de sa patrie. En l’état actuel, ce n’est plus le cas : l’ennemi est à l’intérieur et non à l’extérieur !

Jean Moulin 1940

Il faut dire aux jeunes qui s’engagent aujourd’hui qu’ils n’auront pas de quoi être fiers de ce qu’ils auront fait, tout comme ne l’ont pas été tous ceux qui ont collaboré avec l’ennemi pendant la Seconde Guerre mondiale, en gardant des camps de prisonniers peuplés d’ennemis fictifs (juifs, communistes, tziganes, patriotes amoureux de la France, etc.). Jean Moulin n’était pas du côté du pouvoir ! N’ayez pas honte de votre engagement, ne collaborez pas avec une oligarchie corrompue qui vous avilira !

 

Un gouvernement corrompu : la jeunesse doit-elle se sacrifier pour eux ?

La France actuelle est gangrenée par la corruption : scandales financiers, népotisme et soumission aux lobbies internationaux minent la légitimité du pouvoir. Emmanuel Macron, avec une popularité en berne (77 % des Français désapprouvent l’action d’Emmanuel Macron), ignore souvent le Parlement, comme le souligne de nombreux chefs de file politique : sans vote à l’Assemblée, les déploiements en Ukraine sont dépourvus de base légale, ce qui fait de l’armée une force illégitime au service d’intérêts étrangers. Pourquoi notre jeunesse devrait-elle risquer sa vie pour un tel régime ? L’article de France 3 vante l’engagement comme un remède au manque de sens chez les jeunes, mais est-ce vraiment le cas lorsque ces vies pourraient être gaspillées dans des conflits comme l’Ukraine, où la France n’a pas d’intérêts directs, mais suit aveuglément l’OTAN ? N’y a-t-il pas de meilleures causes à servir ? Par exemple, défendre les frontières nationales contre l’immigration illégale et la délinquence, ou s’engager dans des mouvements civiques pour restaurer la souveraineté. Attendre une meilleure période – un gouvernement patriote, non asservi – semble plus sage que de se précipiter dans une machine de guerre qui pourrait les broyer pour rien.

 

Prudence, jeunes français – ne devenez pas de la chair à canon

S’engager dans l’armée est une décision admirable quand elle sert la nation. Mais aujourd’hui, avec un gouvernement qui piétine la démocratie et aligne la France sur des puissances extérieures, c’est une fausse bonne idée. Les 16.000 recrues annuelles risquent de devenir des pions dans des guerres illégitimes, comme celles dénoncées par Maria Zakharova, sans mandat populaire.

Jeunes Français, réfléchissez : votre patriotisme mérite mieux qu’une armée de mercenaires au profit d’intérêts étrangers. Attendez une France libre, où l’armée défendra vraiment le peuple, pas des élites corrompues. La noblesse de l’engagement militaire ne doit pas être souillée par des causes indignes.

https://multipol360.com/lengagement-des-jeunes-dans-larmee-francaise-aujourdhui-une-fausse-bonne-idee/

 

 

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