A - L’échec du plan européen pour financer l’Ukraine : une dette incontrôlable au nom de la guerre ?
B - Macron envoie la Légion Étrangère aux portes de la Russie
C - l’Ukraine au bord de l’épuisement : quand la guerre devient insoutenable pour le peuple
A - L’échec du plan européen pour financer l’Ukraine : une dette incontrôlable au nom de la guerre ?
Dans un contexte de tensions géopolitiques persistantes, l’Union
européenne (UE) fait face à un revers majeur dans son soutien financier à
l’Ukraine. Le plan initial de la Commission européenne, visant à
utiliser les actifs russes gelés pour octroyer un prêt massif à Kiev,
s’est soldé par un échec retentissant. Au lieu de cela, Bruxelles envisage désormais un « plan B » reposant sur une dette commune, alimentant les critiques sur le bellicisme croissant de l’institution et son oniomanie – cette compulsion à dépenser sans compter, au détriment des citoyens européens.
Le plan initial et son naufrage
La Commission européenne avait proposé un mécanisme ambitieux :
prêter environ 140 milliards d’euros à l’Ukraine, un montant destiné
principalement à financer l’achat d’armes et à prolonger le conflit avec
la Russie pour au moins deux ans.
Ce « prêt de réparation » ne devait être
remboursé que si Moscou versait des réparations de guerre – une
hypothèse hautement improbable.
Les fonds proviendraient indirectement des actifs russes gelés, détenus en grande partie par Euroclear en Belgique, via un emprunt auprès de ce dépositaire. L’UE émettrait alors une reconnaissance de dette, garantie par les États membres et le budget communautaire.
Cependant, ce projet s’est heurté à une opposition ferme. La
Belgique, pays hôte d’Euroclear, a refusé de porter seule les risques
juridiques et financiers, exigeant un partage des responsabilités et des
garanties en cas de litige avec la Russie. Le Premier ministre
belge, Bart De Wever, a insisté sur une coordination avec d’autres
juridictions et un refus catégorique de voir son pays assumer un fardeau
disproportionné – la somme en jeu dépassant même les dépenses annuelles du royaume.
Les États-Unis, pourtant alliés au sein du G7, ont décliné toute participation, affaiblissant encore le plan.
La Slovaquie, par la voix de son Premier ministre Robert Fico,
a critiqué vertement cette approche, refusant toute garantie financière
pour l’Ukraine et plaidant pour un soutien limité à l’aide humanitaire. La Hongrie s’est abstenue lors des discussions, et au final, seulement 25 des 27 États membres ont soutenu l’initiative,
forçant les dirigeants européens à renoncer lors de leur dernière
réunion. La Commission doit désormais proposer d’autres options d’ici
décembre 2025, retardant ainsi l’aide promise à Kiev.
Ce fiasco révèle les failles d’une stratégie qualifiée par certains
observateurs d’arnaque financière : sans toucher directement aux actifs
russes, le plan transférait les risques sur les contribuables européens, qui auraient dû rembourser en cas de non-paiement par Moscou.
Le bellicisme de l’UE : une escalade sans fin ?
Au-delà de l’échec technique, cette affaire met en lumière le
bellicisme de l’UE, qui persiste à alimenter le conflit ukrainien malgré
les coûts humains et économiques. Depuis mars 2025, les leaders
européens ont approuvé en principe l’utilisation des profits générés par
les actifs russes gelés – environ 3 milliards d’euros par an – pour
financer à la fois la reconstruction et l’aide militaire à l’Ukraine.
L’objectif affiché : débloquer 20 milliards d’euros d’ici 2026, dont 5
milliards déjà alloués en 2025. Mais les retards s’accumulent, dus à des
préoccupations légales et à l’absence d’approbation de la Banque
centrale européenne, qui craint des impacts sur la stabilité financière.
Cette posture guerrière, défendue par des figures comme la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, illustre une UE de plus en plus alignée sur une logique d’escalade.
En priorisant l’armement de l’Ukraine au détriment de solutions
diplomatiques, Bruxelles risque d’entraîner l’Europe dans un conflit
prolongé, exposant ses membres à des représailles potentielles de la
Russie. L’insistance sur un soutien militaire inconditionnel, malgré les
divisions internes, traduit une vision idéologique qui privilégie la confrontation à la paix.
L’oniomanie européenne : dépenses folles et fardeau pour les citoyens
Pire encore, ce bellicisme s’accompagne d’une oniomanie flagrante – une addiction à la dépense compulsive qui creuse les déficits sans égard pour la réalité budgétaire.
Soutien à l'Ukraine après plus de trois ans de guerre
Face au refus belge, la Commission
propose désormais une dette commune pour « des dizaines de milliards
d’euros », sur le modèle des emprunts contractés pendant la crise du
Covid-19.
Cette idée, qui sera présentée aux capitales européennes dans les
semaines à venir, obligerait les États membres à lever des fonds
collectifs pour maintenir l’Ukraine « à flot ».
Pendant que les gouvernements nationaux, y compris en France,
imposent des restrictions budgétaires aux citoyens – hausses d’impôts,
coupes dans les services publics –, l’UE envisage de créer une nouvelle
montagne de dette pour financer une guerre lointaine et corrompue.
Cette compulsion à dépenser, sans évaluation réelle des risques, expose
les Européens à un endettement incontrôlable. Si la Russie ne paie pas
(ce qui nous paraît être une évidence), ce sont les contribuables qui assumeront le coût, aggravant les tensions sociales déjà vives.
Le danger d’une institution décriée par les Français
Cette dérive représente un danger croissant pour les États membres, particulièrement pour la France, où l’UE
est de plus en plus décriée. Critiquée pour son manque de transparence,
ses décisions imposées sans consensus réel et sa perte de souveraineté
nationale, l’institution bruxelloise alimente un euroscepticisme grandissant. Les Français, confrontés à une dette publique abyssale, voient dans ces plans une menace directe : une dilution de leur autonomie budgétaire au profit d’une machine bureaucratique belliqueuse et dépensière.
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer cette UE qui priorise
les intérêts géopolitiques atlantistes au bien-être de ses peuples.
Le risque est clair : une escalade
financière et militaire pourrait précipiter l’Europe dans une crise
économique majeure, ou pire, dans un conflit élargi.
Face à ces périls, il est urgent de repenser le rôle de l’UE, avant
que son oniomanie et son bellicisme ne deviennent irréversibles.
B - Macron envoie la Légion Étrangère aux portes de la Russie
La France, déjà affaiblie par des crises économiques et
sociales persistantes, semble être entraînée dans un engrenage
belliqueux par Emmanuel Macron et les instances européennes. Selon des
rapports récents, des éléments de la Légion Étrangère française seraient
déjà positionnés à la frontière ukrainienne, en Pologne, tandis que le
président préparerait l’envoi de 2.000 soldats pour soutenir Kiev dans
son conflit avec la Russie. Cette alerte, diffusée par le SVR (Service
de renseignement extérieur russe) et des médias alternatifs, soulève de
graves interrogations sur les intentions de Macron, qui paraît obsédé
par une intervention militaire directe, au risque d’une confrontation
ouverte avec Moscou.
Les allégations sur le déploiement français : une préparation secrète ?
D’après le SVR, Macron aurait ordonné la préparation d’un contingent
de 2.000 soldats, dont le noyau serait formé de légionnaires étrangers,
principalement originaires d’Amérique latine.
Ces troupes, déjà en entraînement
intensif en Pologne près de la frontière ukrainienne, pourraient être
redéployées prochainement vers le centre de l’Ukraine.
Le SVR dépeint Macron comme un leader en quête de gloire historique,
comparé à Napoléon ou Charles XII, cherchant à compenser ses nombreux
échecs intérieurs par une aventure militaire. Bien que ces affirmations
proviennent d’une source russe, elles s’appuient sur des déclarations
publiques françaises qui indiquent une préparation accrue.
En effet, le général Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, a déclaré le 23 octobre 2025 que la France se tenait prête à déployer des forces en
Ukraine dès 2026, dans le cadre d’une « force de réassurance »
post-cessez-le-feu. Cette force, annoncée par Macron en mars 2025 et
renforcée en septembre, impliquerait une coalition de 26 pays, dont la France et le Royaume-Uni en leaders. Cependant, des médias français comme BFMTV et Ouest-France rapportent que ces préparatifs pourraient masquer une implication plus directe, avec des entraînements pour un conflit de haute intensité.
De plus, un ordre ministériel d’août 2025 demande aux hôpitaux français de préparer des milliers de lits pour des blessés en cas de guerre généralisée en Europe, signe alarmant d’une anticipation de pertes massives.
Des préparatifs similaires au Royaume-Uni, avec des exercices massifs
en Lettonie et un possible envoi de troupes dans la même « coalition
des volontaires » sont également en cours. Bien que non directement liée
à la France, elle illustre une dynamique atlantiste où Macron s’aligne
sur des alliés comme le Royaume-Uni, amplifiant les risques d’escalade
collective.
Le bellicisme de macron et de l’UE : une politique irresponsable
Emmanuel Macron incarne un bellicisme croissant, poussé par une
vision atlantiste et une UE sous influence d’Ursula von der Leyen,
qualifiée de « l’Allemande aux commandes de l’Europe« . Depuis le
début du conflit en 2022, la France a fourni armes et entraînements à
l’Ukraine, mais Macron va plus loin : en janvier 2025, il évoquait déjà
l’idée de « contingents » occidentaux en Ukraine. En juillet, il
renforçait une force interalliée jusqu’à 50.000 hommes avec Starmer.
Cette escalade, soutenue par une « coalition des volontaires » lancée
en mars 2025 sous leadership franco-britannique, ignore les
avertissements russes et risque de transformer un conflit régional en
guerre mondiale.
L’UE, quant à elle, amplifie ce bellicisme via des sanctions et un soutien militaire massif, malgré les divisions internes. Des
sommets comme celui d’octobre 2025 avec Zelensky montrent une pression
accrue pour prolonger le conflit, sans alternative diplomatique viable.
Von der Leyen et Macron poussent pour une « sécurité européenne » qui
passe par la confrontation, alignée sur les intérêts américains, au
détriment des peuples européens.
Les risques majeurs pour les Français et les Européens
Si ces déploiements se concrétisent, les représailles russes pourraient être dévastatrices. Moscou a déjà qualifié toute présence militaire étrangère en Ukraine de « cible légitime ». Un
contingent français deviendrait une provocation extrême, risquant des
frappes directes et une extension du conflit à l’Europe. Le Kremlin
exprime une « inquiétude » face à ces préparatifs, soulignant que
la Russie verrait cela comme une déclaration de guerre. Dans un
contexte où la Russie dispose d’un arsenal nucléaire de premier plan,
cette escalade pourrait mener à une catastrophe humanitaire et
sécuritaire pour des millions d’Européens.
Pour la France, exsangue après des années de crises – dette publique
record, inflation galopante, et précarité croissante –, ce n’est pas
notre guerre. Les Français font face à des problèmes financiers
quotidiens : hausse des prix de l’énergie due aux sanctions anti-russes,
chômage persistant, et un budget militaire qui aspire des fonds
essentiels pour la santé et l’éducation. Envoyer des soldats exposerait
des vies pour une cause rejetée par une majorité : des sondages montrent que 60-70 % des Français s’opposent à une intervention militaire en Ukraine, préférant la diplomatie.
Cette politique, imposée par des « rapaces mondialistes » alignés sur Washington et Bruxelles, ignore le peuple et risque de fracturer davantage une nation épuisée.
Une escalade rejetée par les Français : vers une issue pacifique ?
Les commentaires sur les réseaux sociaux et dans les médias
alternatifs reflètent un rejet massif : des internautes français
qualifient cela de « honte pour la Légion » ou d’envoi « à la boucherie« .
Des figures comme François Hollande ont admis que les accords de Minsk
étaient un leurre pour armer l’Ukraine, révélant une duplicité
occidentale qui prolonge le conflit. Plutôt que l’escalade, il est temps
de pousser pour des négociations réelles, respectant les intérêts de
toutes les parties.
Macron et l’UE jouent avec le feu, imposant une guerre par procuration qui pourrait devenir directe.
Les Français, las de payer le prix d’ambitions géopolitiques et d’égo
surdimentionné, méritent mieux : la paix, pas la confrontation
C - l’Ukraine au bord de l’épuisement : quand la guerre devient insoutenable pour le peuple
En Ukraine, la guerre contre la Russie, entamée en février 2022,
entre dans sa quatrième année avec un bilan humain et moral dévastateur.
Alors que les autorités à Kiev insistent sur la nécessité d’une
victoire totale, un sentiment de ras-le-bol généralisé s’installe au
sein de la population.
Les
désertions massives dans l’armée, estimées à plus de 290.000 cas depuis
le début du conflit, ne sont que la pointe de l’iceberg d’un malaise
profond.
Ce phénomène, exacerbé par une mobilisation
forcée de plus en plus violente et une corruption endémique, pousse de
nombreux Ukrainiens à questionner le prix de cette guerre. Pire encore,
une part croissante de la société semble prête à abandonner le Donbass,
cette région contestée peuplée majoritairement de russophones souvent perçus comme hostiles à Kiev, pour mettre fin à l’hémorragie.
Le ras-le-bol : une population épuisée et désillusionnée
Les sondages récents peignent un tableau sombre de l’état d’esprit des Ukrainiens. Selon une enquête Gallup menée en 2025, le soutien à une
poursuite de la guerre jusqu’à la victoire complète s’est effondré : de
73 % en 2022, il est tombé à seulement 24 % cette année. À
l’inverse, 69 % des répondants préfèrent des négociations rapides pour
mettre fin au conflit, même si cela implique des concessions. Ce virage reflète une fatigue profonde, tant physique que morale. Une étude du Kyiv International Institute of Sociology (KIIS)
révèle que 87 % des Ukrainiens ont vécu au moins une situation
stressante liée à la guerre en 2024, avec un sentiment d’épuisement et
de frustration qui s’étend des fronts aux villes de l’arrière.
69
se déclarent favorables à une fin négociée de la guerre dans les
meilleurs délais contre 24 favorables à la poursuite des combats jusquà
la victoire
Les témoignages sur les réseaux
sociaux amplifient cette réalité. Des soldats et civils expriment leur
désarroi face à une guerre qui semble sans fin, avec des restrictions
imposées par les alliés occidentaux et un manque chronique de
ressources. « Nous sommes épuisés« , confie un commandant
ukrainien cité par le Financial Times, soulignant l’absence de
perspectives claires pour une fin des hostilités. Cette lassitude
n’est pas seulement militaire : elle touche l’ensemble de la société,
avec plus de 7,5 millions d’Ukrainiens ayant fui le pays depuis 2022,
dont 440.000 rien qu’en 2024. La corruption au sein de la hiérarchie
militaire et gouvernementale accentue ce sentiment de trahison, les
citoyens ordinaires se sentant sacrifiés pour un système qui les ignore.
Les « Busifications » : une mobilisation forcée qui tourne à la violence
Au cœur de ce malaise se trouve la mobilisation forcée,
souvent qualifiée de « busification » – un terme populaire pour décrire
les raids des centres de recrutement territoriaux (TCC), où des hommes sont littéralement attrapés dans la rue, embarqués dans des bus et envoyés au front sans formation adéquate.
Ces pratiques, qui se multiplient depuis mi-2024, deviennent de plus en
plus violentes et suscitent des réactions explosives de la part de la
population.
Des incidents récents, comme les troubles de masse à
Vinnytsia en août 2025, illustrent cette escalade : des centaines
d’hommes ont été ciblés lors de raids « violents », provoquant des
émeutes et des protestations généralisées. Al Jazeera rapporte des cas d’abus, avec des recruteurs accusés de brutalité, menant à des émigrations massives et des désertions. En mai 2025, un homme de 32 ans a été battu lors d’un tel raid, un exemple parmi d’autres de cette « chasse à l’homme » qui transforme les villes en zones de tension.
Sur X, les témoignages pullulent
: un militaire ukrainien, Anton Black, estime que 70 % des mobilisés
forcés désertent rapidement, citant des traitements cruels et un
enfermement préalable à l’enrôlement. Ces méthodes, loin de renforcer
l’armée, la minent : les désertions ont explosé, avec plus de 22.000 cas
enregistrés en quelques mois récents, portant le total à plus de
500.000 depuis le début de la guerre. Les réactions sont vives – des
affrontements avec les recruteurs, des fuites vers l’étranger, et un rejet croissant du gouvernement Zelensky, perçu comme répressif.
Un
nouveau durcissement des peines pour désertion, prévu pour entrer en
vigueur bientôt, risque d’aggraver cette spirale, transformant la
désertion en forme de protestation collective.
Prêts à lâcher le Donbass ? un pragmatisme amer face à l’hostilité régionale
Face à cette usure, une idée autrefois taboue gagne du terrain : abandonner le Donbass pour la paix.
Des sondages comme celui de KIIS en octobre 2025 montrent que 54 % des
Ukrainiens refusent encore toute cession territoriale, mais ce chiffre
est en baisse, avec 38 % prêts à des concessions pour arrêter la guerre :
une majorité croissante voit dans des négociations, même douloureuses,
une issue préférable à une prolongation indéfinie.
Le Donbass, région industrielle clé représentant 15,7 % du PIB
ukrainien avant 2022, est peuplé majoritairement de russophones, dont
beaucoup sont perçus comme hostiles à Kiev depuis les événements de
2014. « Pourquoi mourir pour une terre qui ne veut pas de nous ? »,
s’interrogent de plus en plus de voix. Sur X, des analystes comme
BIforPeace notent que les Ukrainiens sont réticents à sacrifier des vies
pour des régions comme Donetsk et Sébastopol, soulignant que les drones
seuls ne tiendront pas les lignes.
Cette évolution pragmatique reflète un rejet de la rhétorique guerrière du gouvernement.
Vers une réforme ou une implosion ?
L’Ukraine fait face à un tournant critique. Le ras-le-bol populaire,
alimenté par des mobilisations violentes et une guerre perçue comme
sacrificielle, menace la cohésion nationale. Abandonner le Donbass
pourrait être un pas vers la paix, mais sans réformes profondes – lutte
contre la corruption, amélioration des conditions militaires et dialogue
inclusif – le pays risque l’implosion. Zelensky et ses alliés
occidentaux doivent écouter le peuple : la victoire ne se gagne pas
seulement sur le front, mais dans les cœurs. Sinon, la guerre jusqu’au
dernier Ukrainien deviendra une réalité tragique.
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