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novembre 04, 2025

Président Macron, vers une expression cadenassée comme tendre vers un chaos orchestré ?

France : vers un chaos orchestré ? Macron, la DOT et le spectre d’une dictature européenne 

En ce début de novembre 2025, la France semble plonger dans un abîme de désarroi politique et social. L’Assemblée nationale est paralysée, figée dans des débats stériles qui ne mènent nulle part, tandis que les Français s’appauvrissent jour après jour, écrasés par une inflation galopante, des taxes omniprésentes et une précarité qui ronge les classes moyennes. La presse, de plus en plus alignée sur les intérêts de Bruxelles et de l’OTAN – ce proxy des États-Unis –, martèle un narratif belliqueux, poussant à une guerre contre la Russie qui semble inévitable aux yeux des élites. Emmanuel Macron, avec sa cote de popularité au plus bas, refuse obstinément de démissionner, préférant aggraver le chaos qu’il a lui-même orchestré. La population est fracturée : d’un côté, les « bobos » et les boomers déconnectés collaborent avec le système ; de l’autre, une masse laborieuse joue l’autruche, une autre adhère par inertie à la doxa dominante, incapable d’analyser les faits ; enfin, les « Éveillés » tentent désespérément d’alerter sur la gravité de l’heure, évoquant un glissement vers une dictature, une guerre mondiale – potentiellement nucléaire – ou les deux à la fois.


Cet article se propose d’explorer ces dynamiques à travers des documents officiels et des analyses critiques, en mettant en lumière comment Emmanuel Macron organise la division pour mieux régner, prépare les corps d’État au chaos, et réactive des mécanismes comme la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT) pour museler l’intérieur pendant que l’OTAN s’attaque à l’extérieur.

Nous examinerons aussi les outils constitutionnels qui donnent une apparence de légitimité à ces manœuvres, tout en servant de base à une gouvernance européenne, prélude à un Nouvel Ordre Mondial (NOM) cher aux mondialistes. L’heure est grave : un plan semble lancé pour écraser la souveraineté française et imposer un contrôle totalitaire. Il est temps de réveiller les consciences avant qu’il ne soit trop tard.

Macron et la stratégie de division : diviser pour mieux régner

Emmanuel Macron n’a pas inventé la maxime machiavélienne « diviser pour mieux régner », mais il l’applique avec une maestria qui frise le cynisme. Depuis son accession au pouvoir en 2017, Macron a systématiquement fracturé la société française, opposant les uns aux autres pour consolider son emprise. Les Gilets Jaunes en 2018 en sont un exemple flagrant : face à une révolte populaire contre les taxes sur les carburants, Macron a qualifié les manifestants de « foule haineuse » tout en accusant les extrêmes de manipulation, divisant ainsi les classes populaires des « élites » urbaines.

Cette stratégie n’est pas fortuite ; elle s’inscrit dans une logique de pouvoir absolu, où le chaos social devient un outil de gouvernance.

Aujourd’hui, avec une Assemblée nationale embourbée dans des querelles partisanes, Emmanuel Macron exploite les divisions pour imposer ses réformes. La presse internationale s’alarme du « chaos politique » en France, qualifiant Macron de « plus isolé que jamais » et confronté à un dilemme insoluble : maintenir le cap au risque d’aggraver la crise. Les divisions sont multiples : entre gauche et droite, entre pro et anti-UE, entre urbains et ruraux. Macron rejette toute responsabilité dans ce chaos, affirmant que « après lui, ce sera le chaos » , une rhétorique qui masque son rôle central dans la déconstruction du bipartisme traditionnel. En dissolvant l’Assemblée en juin 2024, il a accentué les fractures, menant à une configuration a-majoritaire où personne ne peut gouverner sans compromis – sauf lui, qui tire les ficelles depuis l’Élysée.

Cette division n’est pas seulement politique ; elle est sociale et économique. Les Français se paupérisent : l’inflation alimentaire atteint des records, les factures énergétiques explosent, et les inégalités se creusent. Pendant ce temps, Macron pousse à une guerre contre la Russie, aligné sur les intérêts de l’OTAN et de Bruxelles.

La presse « collaborationniste » – un pléonasme de nos jours – amplifie ce narratif, présentant la Russie comme l’ennemi existentiel, alors que les véritables menaces sont internes : narcotrafic, insécurité, et effondrement économique.

Les « Éveillés » voient clair : cette bellicosité sert à détourner l’attention d’un échec domestique, tout en préparant le terrain à une répression accrue.

Préparations au chaos : les corps d’état en alerte

Macron ne se contente pas de diviser ; il prépare activement le chaos. Des documents et déclarations révèlent que l’Élysée a ordonné à tous les corps d’État – militaires, gendarmerie, police, hôpitaux, préfets – de se tenir prêts à des troubles majeurs. Le général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, a averti d’un « choc » imminent dans les trois à quatre ans, invoquant la menace russe. Mais c’est le général Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale, qui a été le plus explicite : lors d’auditions au Sénat, il a évoqué des « agitations » internes en cas d’engagement à l’Est, incluant sabotages et manifestations. Bonneau envisage « sérieusement » un conflit armé en France, préparant la gendarmerie à réprimer l’opposition à une guerre contre la Russie.

Ces préparations ne sont pas anodines. La gendarmerie muscle son arsenal : 800 millions d’euros pour des fusils d’assaut, véhicules blindés Centaure, et systèmes de vision nocturne, déployés pour la première fois lors de grèves nationales en septembre 2025. Les hôpitaux, préfets et police sont aussi mobilisés : des rapports parlementaires parlent de résilience nationale face à des crises cumulées, incluant cyberattaques et émeutes. L’État anticipe un « front intérieur » miroir de la guerre extérieure, où la population, divisée, pourrait se rebeller contre un engagement otanien.

 


 

Cette anticipation de la peur vise à justifier un renforcement sécuritaire face à sa propre population. Comme l’indique un article de France Soir, « avant la guerre, la peur » :

l’État muscle son appareil pour contenir des réactions hostiles, confondant contestation politique et menace nationale.

Macron, en refusant de démissionner malgré une popularité pitoyable, pousse vers ce chaos, aligné sur les intérêts mondiaux qui voient la France comme un pion dans une partie plus grande contre Russie, Venezuela, Chine, Inde et Iran et plus si affinités…

La défense opérationnelle du territoire (DOT) : museler l’intérieur pendant que l’OTAN combat l’extérieur

Au cœur de ces préparations se trouve la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT), un mécanisme militaire réactivé pour réprimer l’intérieur. Historiquement, la DOT émerge des leçons de la Seconde Guerre mondiale, évoluant en 1950 pour contrer les actions subversives du Pacte de Varsovie. Le décret de 1973 en fait une composante clé de la défense militaire, protégeant la liberté d’action du gouvernement et les organes essentiels.

Sous Macron, la DOT est intégrée à l’Organisation Territoriale Interarmées de Défense (OTIAD), qui coordonne les forces pour des missions internes.

Le général Bonneau l’a liée explicitement à un engagement à l’Est : la gendarmerie, pilier de la DOT, anticipe des oppositions internes, protégeant le territoire pendant que les armées combattent à l’extérieur. Cela crée un étau : l’OTAN muselle l’extérieur (contre la Russie), tandis que la DOT réprime l’intérieur.

Les documents officiels sont alarmants. La DOT protège plus de 8.000 points essentiels, priorisant les installations nucléaires et infrastructures vitales. En cas d’activation, les officiers généraux de zone assument le commandement interarmes, pouvant transférer l’ordre public aux militaires. Historiquement, elle s’inspire de la Garde nationale, utilisée pour réprimer des insurrections. Aujourd’hui, avec des opérations comme Sentinelle et Vigipirate, elle glisse vers un contrôle permanent, prêt à écraser toute dissidence.

Le peuple est pris en tenaille : d’un côté, l’OTAN pousse à la guerre nucléaire ; de l’autre, la DOT réprime les « agitations ». C’est un plan pour imposer une dictature intérieure sous couvert de défense nationale.

Outils constitutionnels : une apparence de légalité pour un pouvoir absolu

Pour légitimer ce chaos, Macron s’appuie sur des articles constitutionnels qui, bien qu’hérités de de Gaulle, sont détournés. Contrairement au Général, qui démissionna en 1969 pour un référendum perdu, Macron abuse de ces outils pour contourner le Parlement.

L’article 16, qualifié de « dictature temporaire », permet au président d’accaparer les pouvoirs en cas de péril imminent. Utilisé une fois en 1961, il inquiète aujourd’hui : avec une Assemblée bloquée, Macron pourrait l’invoquer pour imposer ses réformes.

L’article 45 contribue à l’« impuissance organisée » , limitant les amendements parlementaires via la jurisprudence du Conseil constitutionnel, favorisant l’exécutif. L’article 47 permet de passer les budgets par ordonnance si le Parlement dépasse les délais, évitant un débat complet.

L’article 49-3 est l’arme favorite de Macron : utilisé 25 fois depuis 2020, il force l’adoption sans vote, provoquant des crises comme les retraites en 2023. Critiqué comme anti-démocratique, il expose l’isolement de Macron. Les ordonnances (art. 38) bypassent aussi le Parlement, comme pour le code du travail.

Ces outils donnent une légitimité factice à un pouvoir absolu, loin de l’esprit gaullien.

Vers une gouvernance européenne et mondiale : le plan des mondialistes

Derrière ce chaos, un plan plus vaste : imposer une gouvernance européenne, base d’un nouvel ordre mondial. Macron, aligné sur Bruxelles et l’OTAN, pousse à une guerre qui servira de prétexte à l’intégration forcée. La DOT et les préparations sécuritaires écraseront les résistances nationales, pendant que l’UE impose ses diktats.

Les mondialistes rêvent d’un super-État : après la Russie, le Venezuela, la Chine, l’Inde et l’Iran seront visés. La France, paupérisée et divisée, deviendra un laboratoire de ce contrôle total, mêlant dictature intérieure et guerre globale.

L’heure est grave, réveillez-vous !

La France est au bord du précipice. Macron orchestre un chaos pour imposer une dictature via la DOT et les outils constitutionnels, aligné sur un agenda mondialiste. Le peuple, pris en étau, doit s’éveiller : refusez la guerre, rejetez la division, sauvez la souveraineté ! L’avenir dépend de nous.

https://multipol360.com/france-vers-un-chaos-orchestre-macron-la-dot-et-le-spectre-dune-dictature-europeenne/ 

 


Macron s’attaque une fois de plus aux réseaux sociaux 

Dans un contexte de défiance croissante envers les institutions, le président français Emmanuel Macron multiplie les initiatives visant à réguler les contenus en ligne, suscitant des inquiétudes quant à leur impact sur la liberté d’expression. Des discours récents aux lois passées, un fil rouge se dessine : une volonté de contrôler l’espace informationnel, souvent au nom de la lutte contre la désinformation ou la haine. Cet article examine ces mesures, leurs antécédents et les critiques qu’elles soulèvent, en s’appuyant sur des analyses et des témoignages issus de sources variées.

Les déclarations récentes : une charge contre les réseaux sociaux

Le 29 octobre 2025, lors d’un discours à Paris, Emmanuel Macron a dénoncé les réseaux sociaux comme des vecteurs de désinformation et d’extrémisme.

Il a qualifié X (anciennement Twitter) de plateforme « dominée par des contenus d’extrême droite » en raison de l’influence de son propriétaire, Elon Musk, décrit comme participant à un « mouvement réactionnaire international » . TikTok, de son côté, est accusé de favoriser une « excitation maximale » pour maximiser les revenus publicitaires, au détriment du débat démocratique. Le président a plaidé pour un « agenda de protection et de régulation beaucoup plus fort en Europe » , visant à « reprendre le contrôle » de l’espace démocratique face aux ingérences étrangères, notamment russes.

Ces propos s’inscrivent dans une continuité. En septembre 2025, Macron avait déjà averti que les algorithmes des réseaux sociaux « tuent la démocratie » en privilégiant l’émotion sur la raison. Il propose d’interdire les comptes anonymes et de rendre les plateformes responsables des contenus publiés, sous peine d’amendes sévères. Selon lui, plus de 40 % des jeunes s’informent via ces plateformes, les exposant à des risques de manipulation.

Un historique de mesures restrictives : de la loi AVIA au DSA

Cette posture n’est pas nouvelle. Dès 2020, la loi Avia, soutenue par le gouvernement Macron, visait à combattre les contenus haineux en ligne en imposant aux plateformes de retirer les signalements dans les 24 heures, sans intervention judiciaire. Bien que partiellement censurée par le Conseil constitutionnel pour atteinte disproportionnée à la liberté d’expression, elle illustre une tendance à la censure extrajudiciaire. La loi a été promulguée le 24 juin 2020, malgré les critiques de défenseurs des droits numériques comme La Quadrature du Net, qui y voyaient « cinq ans de surveillance et de censure » sous Macron.

Aujourd’hui, ces efforts se prolongent au niveau européen via le Digital Services Act (DSA), entré en vigueur en 2024, qui permet des sanctions jusqu’à 6 % du chiffre d’affaires mondial pour « risques systémiques » comme la désinformation. Couplé au règlement eIDAS sur les identités numériques, il pourrait mettre fin à l’anonymat en ligne, une mesure défendue par Macron depuis 2022 pour lutter contre la haine. En juin 2025, il a même proposé d’interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans, exerçant une pression sur Bruxelles pour renforcer l’application du DSA.

Des rapports comme celui de Freedom House notent une légère amélioration de la liberté en ligne en France, mais mettent en garde contre ces tentatives de régulation qui pourraient mener à une censure accrue.

L’affaire Brigitte Macron : un exemple de répression sélective ?

Un cas emblématique de ces tensions est le procès pour cyberharcèlement intenté par Brigitte Macron contre dix personnes accusées de propager des rumeurs transphobes la concernant. Débuté le 29 octobre 2025, il met en lumière le débat sur les limites de la liberté d’expression. Les avocats de la Première dame ont réclamé 15.000 euros de dommages, arguant que « la liberté d’expression n’est pas sans limites » . Les défendeurs, âgés de 41 à 60 ans, invoquent le droit à l’humour et à la satire, tandis que des observateurs comme Euronews soulignent comment ce dossier ouvre un débat sur la liberté d’expression en France.

Ces rumeurs, persistantes depuis quatre ans, ont été amplifiées par des figures comme l’influenceuse américaine Candace Owens, qui fait l’objet d’une plainte séparée. La fille de Brigitte Macron, Tiphaine Auzière, a témoigné que ces allégations ont « détérioré » la qualité de vie de sa mère. Critiques et médias alternatifs y voient une utilisation sélective de la justice pour museler les voix dissidentes, comparant cela à des batailles judiciaires aux États-Unis sur la liberté d’expression.

L’épouvantail de l’ « extrême droite » : un label discréditant ?

Les discours de Macron ciblent souvent ce qu’il qualifie d’ « extrême droite », un terme perçu par nombre de Français comme un outil de discrédit employé par les médias mainstream – détenus à 90 % par des milliardaires et subventionnés. Ce label englobe des formations comme le Rassemblement National ou Reconquête, situées à droite des Républicains, un parti décrit aujourd’hui comme corrompu et déconnecté des Français, représentant principalement les « boomers » et les « bobos » collaborationnistes. Des analyses soulignent que cette appellation sert à marginaliser des débats sur l’immigration, la souveraineté et l’identité, thèmes populaires mais évités par les élites.

Amnesty International et d’autres organisations internationales expriment des préoccupations sur le bilan français en matière de liberté d’expression, notant des restrictions sous couvert de sécurité. À l’étranger, des médias comme The Spectator accusent Macron de « déclarer la guerre à la liberté d’expression » , prédisant une surveillance généralisée.

Implications et perspectives

Ces mesures pourraient mener à une « bureaucratisation de la pensée » , où le débat ne survit que sous licence, selon des critiques. Avec le DSA et eIDAS, l’Europe risque d’imposer un modèle de modération qui influence même au-delà de ses frontières.

Alors que la cote de popularité de Macron avoisine les 11 %, ces initiatives sont vues par beaucoup comme une réponse à la perte de contrôle narratif, plutôt qu’une défense sincère de la démocratie.

En conclusion, si la régulation des réseaux sociaux répond à des défis réels, les approches d’Emmanuel Macron soulèvent des questions légitimes sur l’équilibre entre protection et liberté. Un débat inclusif, impliquant société civile et experts indépendants, semble essentiel pour éviter une polarisation accrue.

https://multipol360.com/macron-sattaque-une-fois-de-plus-aux-reseaux-sociaux/ 

 


 

Emmanuel Macron : un chef d’État défaillant qui abandonne la barre et salit l’image de la France 

Dans un contexte politique déjà tendu en France, avec une cote de popularité en berne et des crises multiples à l’horizon,

Emmanuel Macron a récemment confié à des proches une phrase qui résonne comme un aveu d’échec : « Sur la politique nationale, je lâche le manche ».

Rapportée par Le Parisien le 3 novembre 2025, cette déclaration marque un tournant dans la présidence de celui qui, élu en 2017 sur une promesse de renouveau, semble désormais se désengager des affaires intérieures du pays. Mais au-delà de cette récente sortie, c’est un schéma récurrent qui interroge : un apparent dégoût pour la France et ses citoyens, exprimé à travers des petites phrases assassines qui minent la légitimité d’un chef d’État.

Un dégoût affiché pour la culture française

Dès sa campagne présidentielle en 2017, Emmanuel Macron n’a pas hésité à remettre en question l’essence même de l’identité nationale. Dans un discours qui a fait scandale, il a déclaré : « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France et elle est diverse ».  Cette affirmation, souvent citée comme un exemple de son cosmopolitisme exacerbé, a été interprétée par beaucoup comme un mépris pour l’héritage culturel français, de Molière à Camus, en passant par la gastronomie et les traditions régionales. Plutôt que de célébrer une culture unificatrice, Macron la dissout dans un multiculturalisme abstrait, comme s’il éprouvait une forme de dégoût pour ce qui fait l’âme de la nation. Cette phrase n’était pas une gaffe isolée, mais un reflet d’une vision où la France n’est qu’un puzzle parmi d’autres dans un ensemble européen plus vaste.

Une obsession pour l’Europe au détriment de la France

Emmanuel Macron parle abondamment d’Europe, mais rarement de la France en tant que telle. Ses discours emblématiques, comme celui de la Sorbonne en 2017 où il appelait à une « initiative pour l’Europe » souveraine, unie et démocratique, ou plus récemment en 2024 où il avertissait que « l’Europe peut mourir » sans un nouveau paradigme, démontrent une priorisation claire. Il évoque une Europe qui ne peut plus compter sur les États-Unis pour sa sécurité, mais où est la France dans tout cela ? Critiques et observateurs notent que ses interventions internationales relèguent souvent les enjeux nationaux au second plan, comme si la France n’était qu’un moyen au service d’une ambition européenne.

Ce déséquilibre nourrit le sentiment que le président est déconnecté de son propre pays, préférant les sommets bruxellois aux réalités hexagonales.

Les petites phrases assassines : un mépris récurrent pour les Français

Au fil des ans, Emmanuel Macron a accumulé un florilège de déclarations qui, loin d’unir, divisent et blessent. Ces « petites phrases assassines » contre les Français révèlent un président qui semble parfois voir ses concitoyens comme des obstacles plutôt que des alliés. En voici quelques-unes emblématiques :

  • « Des Gaulois réfractaires au changement » : Lors d’un voyage au Danemark en 2018, Macron a comparé les Français à des « Gaulois » résistants au progrès, les opposant aux « Luthériens » danois plus adaptables.  Une insulte à l’esprit français, perçu comme archaïque.
  • « Je traverse la rue, je vous trouve du travail » : En 2018, face à un jeune horticulteur au chômage, cette réplique a été vue comme une moquerie envers les difficultés des classes populaires.
  • « Des gens qui ne sont rien » : En 2017, inaugurant une start-up, il a décrit les gares comme des lieux où l’on croise « les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien ».  Un mépris social flagrant.
  • « Le pognon de dingue » : En 2018, critiquant les aides sociales, il a déclaré que « on met un pognon de dingue dans les minima sociaux » sans résultats.
  • « Les illettrés » : En 2014, alors ministre, il a parlé des employées d’un abattoir comme « beaucoup d’illettrées ».
  • Plus récemment, « emmerder les non-vaccinés » en 2022, ou des allusions à des Français « complètement cons ».

Ces sorties, souvent qualifiées à tort de maladresses, forment un ensemble cohérent de dédain qui érode la confiance. Elles ne sont pas anodines : elles alimentent le ressentiment et contribuent à la désaffection populaire, comme en témoigne sa faible popularité actuelle (11% de satisfaits).


Un président qui ne peut plus diriger après de telles déclarations

Comment un président de la République peut-il encore prétendre diriger un pays qu’il semble si souvent dénigrer ? En avouant « lâcher le manche » sur la politique nationale, Macron admet implicitement son échec à connecter avec les Français.

Un chef d’État se doit d’incarner l’unité nationale, de défendre l’identité et les intérêts de son peuple.

Lorsque les phrases assassines s’accumulent, la légitimité s’effrite. Comme l’ont noté des ministres cités dans Le Parisien, « pour nous, c’est mieux qu’il se taise ».  À partir du moment où un leader exprime un tel désengagement, il perd l’autorité morale nécessaire pour gouverner. La France mérite un président qui croit en elle, pas un qui la relègue au second plan.

Une première dans l’histoire de l’occident ?

Certes, l’histoire occidentale n’est pas exempte de leaders critiques envers leur peuple – pensons à Charles de Gaulle qualifiant les Français de « veaux » en 1940, alors qu’il était en exil et que les Français se résignaient à accepter le pouvoir de Vichy et avant d’accéder au pouvoir présidentiel, ou à des présidents américains comme Richard Nixon, impliqués dans des scandales qui ont miné la confiance publique.
Cependant, l’intensité et la récurrence des attaques de Macron contre l’identité française, combinées à son désengagement récent, marquent peut-être une première : un président qui dénigre autant son propre pays tout en restant au pouvoir. Dans un Occident où les leaders sont censés promouvoir le patriotisme, cette posture apparaît comme une anomalie historique, risquant de fragiliser non seulement la France, mais l’idée même de nation souveraine.
 
 

 
En conclusion, les déclarations d’Emmanuel Macron ne sont pas de simples lapsus ; elles révèlent une vision qui privilégie l’Europe abstraite au détriment d’une France concrète et fière. Il est temps pour les Français de réfléchir à ce que signifie un leadership véritable, loin des phrases qui blessent et des manches lâchés.

 

 

 

 

novembre 03, 2025

Vigilance républicaine face à la dérive autoritaire

 La gendarmerie se prépare à toute insurrection du peuple français et alimente la psychose antirusse. 

 "En cas d’engagement à l’Est, ça ne se passera pas sans agitation sur le territoire national", s’inquiète le. Directeur général de la Gendarmerie nationale, Hubert Bonneau, devant la commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat. "Je ne suis pas sûr que tous nos concitoyens soient favorables à ce type d'engagement." Le pouvoir, qui s'est déjà aguerri contre les Gilets jaunes, connaît le degré de son illégitimité et l’état du pays réel. "Je pense que nous pourrons avoir l'action de proxys, des actions de sabotage, mais aussi des manifestations. Donc c’est à cette hypothèse à laquelle nous devons nous préparer." 

Source : t.me/kompromatmedia

Selon le média Opex, la gendarmerie française, dans un rapport officiel, se prépare à réprimer d’éventuelles « manifestations hostiles à un engagement militaire à l’Est », dans l’hypothèse où le Président de la République déciderait une telle intervention..

https://www.opex360.com/2025/11/01/la-gendarmerie-met-en-garde-contre-un-risque-dagitation-en-france-en-cas-dengagement-majeur-a-lest/#google_vignette

Quand la Gendarmerie se prépare à museler le peuple au profit d’un président discrédité

Dans un contexte de tensions géopolitiques exacerbées par les conflits à l’Est, les déclarations du général Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale (DGGN), lors d’auditions parlementaires en octobre 2025, résonnent comme un avertissement sinistre pour la démocratie française.

Auditionné à l’Assemblée nationale le 15 octobre et au Sénat le 29 octobre derniers, le général a évoqué les risques d’ « agitations intérieures » – incluant sabotages, actions de proxies et manifestations populaires – en cas d’ « engagement majeur à l’Est », une référence à peine voilée à un potentiel conflit impliquant la Russie dans le prolongement de la guerre en Ukraine.

 


 

Ces propos, inscrits dans la préparation de la « Défense opérationnelle du territoire » (DOT), soulignent une anticipation de troubles internes que la Gendarmerie serait chargée de gérer, avec des demandes budgétaires pour renouveler armes et outils anti-sabotage. Mais au-delà de cette rhétorique sécuritaire, ils révèlent une allégeance inquiétante à un exécutif impopulaire, priorisant l’obéissance au gouvernement sur la protection du peuple souverain.

Sommes-nous en train de revivre les sombres heures où les forces de l’ordre, sous prétexte de maintien de l’ordre, ont servi de bras armé à des régimes collaborationnistes ?

L’histoire de la Seconde Guerre mondiale, marquée par la collaboration de la police et de la gendarmerie avec l’occupant nazi sous le régime de Vichy, offre un miroir troublant à cette situation contemporaine.

Une obéissance au gouvernement plutôt qu’au peuple : un scandale démocratique

Les mots du général Bonneau ne sont pas neutres.

En qualifiant les manifestations potentielles contre un engagement militaire comme des « agitations » à réprimer, il implique que toute opposition populaire pourrait être traitée comme une menace à l’ordre public.

Cela pose une question cruciale : à qui les forces de l’ordre doivent-elles allégeance ? À un président discrédité, ou au peuple, source de toute légitimité en République ? Rappelons l’exemple du général Pierre de Villiers, qui, en 2017, a démissionné avec éclat face aux coupes budgétaires imposées par Emmanuel Macron, affirmant que la loyauté des militaires va d’abord à la nation et non à un individu ou à une cour servile. De Villiers a choisi de s’exprimer publiquement, soulignant que les armées ne sont pas des outils personnels du pouvoir, mais des gardiens de la République.

En contraste, les déclarations du général Bonneau paraissent d’une servilité alarmante, préparant le terrain à une répression qui pourrait museler toute contestation légitime.

Cette posture n’est pas sans rappeler les heures les plus sombres de l’histoire française, où les forces de maintien de l’ordre – ou plutôt du désordre imposé par l’occupant – ont activement collaboré avec un régime illégitime. Sous Vichy, la police et la gendarmerie ont non seulement appliqué des lois antisémites, mais ont aussi facilité l’envoi de dizaines de milliers de prisonniers vers des camps de travail forcé et d’extermination nazis, transformant des outils de protection en instruments de persécution.


La collaboration historique des forces de l’ordre sous l’occupation nazie : un chapitre honteux

Pour comprendre les enjeux actuels, il est essentiel de plonger dans les archives de la Seconde Guerre mondiale, où la France, vaincue en juin 1940, s’est divisée en une zone occupée par les Allemands au nord et une zone « libre » au sud, gouvernée par le régime de Vichy sous Philippe Pétain. Ce régime a choisi la voie de la collaboration avec le Troisième Reich, non seulement économique et culturelle, mais aussi policière. La police française et la gendarmerie nationale, réorganisées sous Vichy, sont devenues des acteurs clés de cette collaboration, particulièrement dans la mise en œuvre de la Shoah – l’extermination systématique des Juifs. Dès l’armistice du 22 juin 1940, Vichy a promulgué des lois antisémites autonomes, comme le Statut des Juifs d’octobre 1940, excluant les Juifs de la société, et a interné des milliers de Juifs étrangers dans des camps français comme Gurs ou Les Milles, où au moins 3.000 sont morts de maladies et de malnutrition.

Cependant, les arrestations et déportations sous Vichy ne se limitaient pas aux Juifs.

Le régime, obsédé par la « Révolution nationale » et la répression de toute opposition, a ciblé une multitude de groupes perçus comme des menaces à l’ordre établi.

Parmi eux, les opposants politiques – résistants, communistes, gaullistes, socialistes et syndicalistes – ont été traqués impitoyablement. Dès 1940, des milliers de dissidents ont été internés dans des camps français comme Vernet ou Noé, avant d’être déportés vers des camps nazis comme Dachau ou Buchenwald pour « activités antinationales ».

Les résistants, souvent qualifiés de « terroristes » par Vichy, ont subi des rafles massives, comme celle de 1943-1944 où des milliers ont été fusillés ou déportés via le STO (Service du travail obligatoire), qui a envoyé environ 650.000 Français vers des camps de travail en Allemagne, dont beaucoup n’ont pas survécu aux conditions inhumaines.

Les Tsiganes (ou Roms, alors appelés « Nomades ») ont également été victimes d’une persécution systématique. En octobre 1940, Vichy a promulgué un décret interdisant leur circulation et ordonnant leur internement dans des camps comme Saliers ou Montreuil-Bellay, où environ 6.500 personnes – majoritairement françaises – ont été détenues dans des conditions effroyables, avec une mortalité élevée due à la famine et aux maladies. Bien que moins systématiquement déportés que les Juifs, des centaines de Tsiganes français ont été envoyés vers des camps nazis comme Auschwitz, où ils ont subi le génocide (Porajmos), avec une estimation de 220.000 à 500.000 victimes européennes au total. D’autres groupes marginalisés, comme les homosexuels (persécutés sous le paragraphe 175 du code pénal allemand appliqué en zone occupée), les Témoins de Jéhovah, les handicapés ou les « asociaux » (mendiants, prostituées), ont été arrêtés et déportés, souvent via les mêmes mécanismes policiers.

Au total, sur les environ 200.000 déportés français (hors Juifs), la moitié étaient des résistants ou opposants politiques, illustrant comment Vichy a utilisé ses forces de l’ordre pour éliminer toute dissidence interne.

La police, unifiée sous la loi du 23 avril 1941 en une Police nationale divisée en Sécurité publique, Police judiciaire et Renseignements généraux, a été placée sous l’autorité de figures comme René Bousquet, nommé secrétaire général en avril 1942. Bousquet a réorganisé les forces avec les Groupes mobiles de réserve (GMR, ancêtres des CRS) et a passé les accords Bousquet-Oberg avec le général SS Carl Oberg, officialisés en août 1942, pour une « répression à la française » qui masquait une soumission totale aux ordres nazis. Les policiers ont prêté serment de fidélité à Pétain en janvier 1942, jurant : « Je jure fidélité à la personne du chef de l’État en tout ce qu’il commande dans l’intérêt du service, de l’ordre public et pour le bien de la patrie. » (voir ici). Ce serment a scellé leur engagement dans la collaboration.

La gendarmerie, quant à elle, a été restructurée après l’armistice, avec des épurations (exclusion des Juifs) et une prestation de serment similaire. Elle a servi de relais idéologique vichyste, contrôlant la circulation, fournissant des renseignements aux occupants, et participant à des arrestations et quadrillages de territoires. Sous Laval et Darnand (secrétaire général au maintien de l’ordre en 1943), elle a été unifiée avec les forces de police, avec des lois autorisant l’usage des armes après sommations et créant des tribunaux spéciaux.

Le rôle des forces de l’ordre dans les arrestations et déportations a été essentiel. Elles ont établi des fichiers exhaustifs, comme le « fichier Tulard » à la préfecture de police, recensant 149.734 Juifs à Paris en 1940, transmis à la Gestapo. Ces fichiers ont permis des rafles massives : la première en mai 1941 (3.747 Juifs internés à Pithiviers et Beaune-la-Rolande, gardés par des gendarmes), août 1941 (4.232 à Drancy), et surtout la rafle du Vél d’Hiv les 16-17 juillet 1942, où plus de 6.000 policiers et gendarmes français ont arrêté 13.152 Juifs (dont 4.115 enfants), sans intervention allemande directe (les Allemands n’avaient pas assez d’hommes en France pour une telle opération). Ces victimes ont été parquées au Vélodrome d’Hiver dans des conditions inhumaines – chaleur, manque d’eau, suicides – avant d’être transférées à Drancy, puis déportées vers Auschwitz. La gendarmerie a fourni 500 hommes pour les arrestations et la garde du site, jouant un « rôle d’appoint » mais essentiel.

En zone libre, la rafle du 26 août 1942, orchestrée par Bousquet, a vu 6.584 Juifs arrêtés par police et gendarmerie, livrés aux Allemands. D’autres opérations incluent la rafle de Marseille (janvier 1943, 2.000 Juifs) et celle de Nice (septembre 1943, 2.000 Juifs après l’occupation allemande).

Au total, 79 convois ont déporté 76.000 Juifs de France vers des camps comme Auschwitz (90 %), Sobibor ou Majdanek, où la plupart ont été gazés ou tués par le travail forcé.

Seuls 2.500 ont survécu. La police et gendarmerie ont escorté les trains jusqu’à la frontière, gardé les camps de transit (Drancy par des gendarmes jusqu’en 1941), et traqué les réfractaires au STO (Service du travail obligatoire), envoyant des milliers vers des camps de travail nazis comme Mauthausen.

Les responsables comme Bousquet, qualifié de « collaborateur précieux » par Himmler, ont négocié ces déportations, priorisant les Juifs étrangers pour préserver une illusion de souveraineté. Pierre Laval a inclus les enfants dans les convois « pour des raisons humanitaires », refusant même leur adoption par des familles françaises. La Milice, paramilitaire vichyste, a intensifié les traques en 1943-1944, mais la police et gendarmerie ont exécuté 85 % des arrestations.

Malgré cette collaboration institutionnelle, des actes individuels de résistance ont émergé : certains policiers ou gendarmes ont averti des Juifs ou fourni de faux papiers, aidant 225.000 à survivre (comme au Chambon-sur-Lignon). L’opinion publique s’est émue à partir de 1942, avec des protestations de l’Église (Mgr Saliège : « Les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes »). Les conséquences après-guerre ont été limitées : Bousquet, acquitté en 1949, a poursuivi une carrière jusqu’à son assassinat en 1993 ; Maurice Papon, impliqué dans 1.600 déportations à Bordeaux, a été condamné en 1998 pour crimes contre l’humanité. La reconnaissance officielle est venue en 1995 avec Jacques Chirac, affirmant que « la France a accompli l’irréparable ».

 


 

La guerre, décision suprême : où est la large majorité requise ?

La guerre reste la décision la plus grave pour un président, engageant la nation entière et nécessitant un consensus large sous la Ve République (article 15).

Pourtant, Emmanuel Macron, avec une cote de confiance à un abyssal 11 % en novembre 2025 – le pire score historique, égalant celui de Hollande en 2016 – est loin d’une telle légitimité.

Ce rejet massif reflète une fracture profonde. Comment un tel exécutif pourrait-il entraîner la France dans un conflit sans risquer une implosion interne ? Les avertissements de Bonneau sur les « manifestations » sonnent comme une préparation à la répression, évoquant les rafles vichystes où la police muselait toute opposition.

Et l’engagement nucléaire ? Un pouvoir ultime entre les mains d’un isolé

Si Macron, avec sa légitimité érodée, peut engager une guerre conventionnelle, qu’en est-il de l’arme nucléaire (article 16) ? Pourrait-il, entouré de « collabos » et d’une presse complaisante, décider seul d’un tir sur la Russie ? Les propos de Bonneau, anticipant des « agitations » internes, ouvrent la voie à un scénario où la gendarmerie servirait de rempart contre le peuple, comme sous Vichy où elle escortait les trains vers la mort.

Liens entre passé et présent : vigilance contre la dérive autoritaire

L’histoire de Vichy nous enseigne que l’obéissance aveugle des forces de l’ordre peut plonger une démocratie dans un abîme de guerre totale et d’annihilation, comme l’ombre d’une apocalypse nucléaire plane aujourd’hui sur des décisions unilatérales.

Aujourd’hui, face à un président impopulaire, les déclarations du directeur de la Gendarmerie Bonneau rappellent cette dérive : préparer la répression plutôt que défendre la liberté.

Comme le général Pierre de Villiers l’a montré, il est temps pour les militaires de prioriser le peuple. Sans consensus, toute escalade serait illégitime.

 

 

Vigilance républicaine face à la dérive autoritaire

Les déclarations du général Bonneau ne sont pas seulement scandaleuses ; elles sont un écho aux horreurs de Vichy, où police et gendarmerie ont envoyé 76.000 innocents vers la mort. Dans une France où Macron bat des records d’impopularité, préparer la répression des contestations légitimes revient à saper la République. Citoyens, parlementaires et forces de l’ordre doivent veiller : la démocratie n’est pas négociable !

Enfin, les déclarations incendiaires de tous ces bellicistes ne sauraient demeurer impunies si elles visaient à précipiter un cataclysme mondial, semant les graines d’une souffrance incommensurable pour l’humanité. L’histoire et la justice internationale, armées de la mémoire inébranlable d’Internet, tiendront ces instigateurs responsables de leurs appels à la haine, transformant leurs mots en preuves irréfutables devant les tribunaux de demain.

 https://multipol360.com/quand-la-gendarmerie-se-prepare-a-museler-le-peuple-au-profit-dun-president-discredite/

octobre 29, 2025

Ukraine News !

Sommaire:

A - L’échec du plan européen pour financer l’Ukraine : une dette incontrôlable au nom de la guerre ? 

B - Macron envoie la Légion Étrangère aux portes de la Russie

C - l’Ukraine au bord de l’épuisement : quand la guerre devient insoutenable pour le peuple

 


 

A - L’échec du plan européen pour financer l’Ukraine : une dette incontrôlable au nom de la guerre ?  

Dans un contexte de tensions géopolitiques persistantes, l’Union européenne (UE) fait face à un revers majeur dans son soutien financier à l’Ukraine. Le plan initial de la Commission européenne, visant à utiliser les actifs russes gelés pour octroyer un prêt massif à Kiev, s’est soldé par un échec retentissant. Au lieu de cela, Bruxelles envisage désormais un « plan B » reposant sur une dette commune, alimentant les critiques sur le bellicisme croissant de l’institution et son oniomanie – cette compulsion à dépenser sans compter, au détriment des citoyens européens.

 

 

Le plan initial et son naufrage

La Commission européenne avait proposé un mécanisme ambitieux : prêter environ 140 milliards d’euros à l’Ukraine, un montant destiné principalement à financer l’achat d’armes et à prolonger le conflit avec la Russie pour au moins deux ans.

Ce « prêt de réparation » ne devait être remboursé que si Moscou versait des réparations de guerre – une hypothèse hautement improbable.

Les fonds proviendraient indirectement des actifs russes gelés, détenus en grande partie par Euroclear en Belgique, via un emprunt auprès de ce dépositaire. L’UE émettrait alors une reconnaissance de dette, garantie par les États membres et le budget communautaire.

Cependant, ce projet s’est heurté à une opposition ferme. La Belgique, pays hôte d’Euroclear, a refusé de porter seule les risques juridiques et financiers, exigeant un partage des responsabilités et des garanties en cas de litige avec la Russie. Le Premier ministre belge, Bart De Wever, a insisté sur une coordination avec d’autres juridictions et un refus catégorique de voir son pays assumer un fardeau disproportionné – la somme en jeu dépassant même les dépenses annuelles du royaume.

Les États-Unis, pourtant alliés au sein du G7, ont décliné toute participation, affaiblissant encore le plan.

La Slovaquie, par la voix de son Premier ministre Robert Fico, a critiqué vertement cette approche, refusant toute garantie financière pour l’Ukraine et plaidant pour un soutien limité à l’aide humanitaire. La Hongrie s’est abstenue lors des discussions, et au final, seulement 25 des 27 États membres ont soutenu l’initiative, forçant les dirigeants européens à renoncer lors de leur dernière réunion. La Commission doit désormais proposer d’autres options d’ici décembre 2025, retardant ainsi l’aide promise à Kiev.

Ce fiasco révèle les failles d’une stratégie qualifiée par certains observateurs d’arnaque financière : sans toucher directement aux actifs russes, le plan transférait les risques sur les contribuables européens, qui auraient dû rembourser en cas de non-paiement par Moscou.

Le bellicisme de l’UE : une escalade sans fin ?

Au-delà de l’échec technique, cette affaire met en lumière le bellicisme de l’UE, qui persiste à alimenter le conflit ukrainien malgré les coûts humains et économiques. Depuis mars 2025, les leaders européens ont approuvé en principe l’utilisation des profits générés par les actifs russes gelés – environ 3 milliards d’euros par an – pour financer à la fois la reconstruction et l’aide militaire à l’Ukraine. L’objectif affiché : débloquer 20 milliards d’euros d’ici 2026, dont 5 milliards déjà alloués en 2025. Mais les retards s’accumulent, dus à des préoccupations légales et à l’absence d’approbation de la Banque centrale européenne, qui craint des impacts sur la stabilité financière.

Cette posture guerrière, défendue par des figures comme la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, illustre une UE de plus en plus alignée sur une logique d’escalade. En priorisant l’armement de l’Ukraine au détriment de solutions diplomatiques, Bruxelles risque d’entraîner l’Europe dans un conflit prolongé, exposant ses membres à des représailles potentielles de la Russie. L’insistance sur un soutien militaire inconditionnel, malgré les divisions internes, traduit une vision idéologique qui privilégie la confrontation à la paix.

L’oniomanie européenne : dépenses folles et fardeau pour les citoyens

Pire encore, ce bellicisme s’accompagne d’une oniomanie flagrante – une addiction à la dépense compulsive qui creuse les déficits sans égard pour la réalité budgétaire.



                                           Soutien à l'Ukraine après plus de trois ans de guerre

Face au refus belge, la Commission propose désormais une dette commune pour « des dizaines de milliards d’euros », sur le modèle des emprunts contractés pendant la crise du Covid-19.

Cette idée, qui sera présentée aux capitales européennes dans les semaines à venir, obligerait les États membres à lever des fonds collectifs pour maintenir l’Ukraine « à flot ».

Pendant que les gouvernements nationaux, y compris en France, imposent des restrictions budgétaires aux citoyens – hausses d’impôts, coupes dans les services publics –, l’UE envisage de créer une nouvelle montagne de dette pour financer une guerre lointaine et corrompue. Cette compulsion à dépenser, sans évaluation réelle des risques, expose les Européens à un endettement incontrôlable. Si la Russie ne paie pas (ce qui nous paraît être une évidence), ce sont les contribuables qui assumeront le coût, aggravant les tensions sociales déjà vives.

 


 

Le danger d’une institution décriée par les Français

Cette dérive représente un danger croissant pour les États membres, particulièrement pour la France, où l’UE est de plus en plus décriée. Critiquée pour son manque de transparence, ses décisions imposées sans consensus réel et sa perte de souveraineté nationale, l’institution bruxelloise alimente un euroscepticisme grandissant. Les Français, confrontés à une dette publique abyssale, voient dans ces plans une menace directe : une dilution de leur autonomie budgétaire au profit d’une machine bureaucratique belliqueuse et dépensière.

De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer cette UE qui priorise les intérêts géopolitiques atlantistes au bien-être de ses peuples.

Le risque est clair : une escalade financière et militaire pourrait précipiter l’Europe dans une crise économique majeure, ou pire, dans un conflit élargi.

Face à ces périls, il est urgent de repenser le rôle de l’UE, avant que son oniomanie et son bellicisme ne deviennent irréversibles.

https://multipol360.com/lechec-du-plan-europeen-pour-financer-lukraine-une-dette-incontrolable-au-nom-de-la-guerre/ 

 

 

B - Macron envoie la Légion Étrangère aux portes de la Russie

La France, déjà affaiblie par des crises économiques et sociales persistantes, semble être entraînée dans un engrenage belliqueux par Emmanuel Macron et les instances européennes. Selon des rapports récents, des éléments de la Légion Étrangère française seraient déjà positionnés à la frontière ukrainienne, en Pologne, tandis que le président préparerait l’envoi de 2.000 soldats pour soutenir Kiev dans son conflit avec la Russie. Cette alerte, diffusée par le SVR (Service de renseignement extérieur russe) et des médias alternatifs, soulève de graves interrogations sur les intentions de Macron, qui paraît obsédé par une intervention militaire directe, au risque d’une confrontation ouverte avec Moscou.

Les allégations sur le déploiement français : une préparation secrète ?

D’après le SVR, Macron aurait ordonné la préparation d’un contingent de 2.000 soldats, dont le noyau serait formé de légionnaires étrangers, principalement originaires d’Amérique latine.

Ces troupes, déjà en entraînement intensif en Pologne près de la frontière ukrainienne, pourraient être redéployées prochainement vers le centre de l’Ukraine.

Le SVR dépeint Macron comme un leader en quête de gloire historique, comparé à Napoléon ou Charles XII, cherchant à compenser ses nombreux échecs intérieurs par une aventure militaire. Bien que ces affirmations proviennent d’une source russe, elles s’appuient sur des déclarations publiques françaises qui indiquent une préparation accrue.

 


 

En effet, le général Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, a déclaré le 23 octobre 2025 que la France se tenait prête à déployer des forces en Ukraine dès 2026, dans le cadre d’une « force de réassurance » post-cessez-le-feu. Cette force, annoncée par Macron en mars 2025 et renforcée en septembre, impliquerait une coalition de 26 pays, dont la France et le Royaume-Uni en leaders. Cependant, des médias français comme BFMTV et Ouest-France rapportent que ces préparatifs pourraient masquer une implication plus directe, avec des entraînements pour un conflit de haute intensité.

De plus, un ordre ministériel d’août 2025 demande aux hôpitaux français de préparer des milliers de lits pour des blessés en cas de guerre généralisée en Europe, signe alarmant d’une anticipation de pertes massives.

Des préparatifs similaires au Royaume-Uni, avec des exercices massifs en Lettonie et un possible envoi de troupes dans la même « coalition des volontaires » sont également en cours. Bien que non directement liée à la France, elle illustre une dynamique atlantiste où Macron s’aligne sur des alliés comme le Royaume-Uni, amplifiant les risques d’escalade collective.

Le bellicisme de macron et de l’UE : une politique irresponsable

Emmanuel Macron incarne un bellicisme croissant, poussé par une vision atlantiste et une UE sous influence d’Ursula von der Leyen, qualifiée de « l’Allemande aux commandes de l’Europe« . Depuis le début du conflit en 2022, la France a fourni armes et entraînements à l’Ukraine, mais Macron va plus loin : en janvier 2025, il évoquait déjà l’idée de « contingents » occidentaux en Ukraine. En juillet, il renforçait une force interalliée jusqu’à 50.000 hommes avec Starmer. Cette escalade, soutenue par une « coalition des volontaires » lancée en mars 2025 sous leadership franco-britannique, ignore les avertissements russes et risque de transformer un conflit régional en guerre mondiale.

L’UE, quant à elle, amplifie ce bellicisme via des sanctions et un soutien militaire massif, malgré les divisions internes. Des sommets comme celui d’octobre 2025 avec Zelensky montrent une pression accrue pour prolonger le conflit, sans alternative diplomatique viable. Von der Leyen et Macron poussent pour une « sécurité européenne » qui passe par la confrontation, alignée sur les intérêts américains, au détriment des peuples européens.

Les risques majeurs pour les Français et les Européens

Si ces déploiements se concrétisent, les représailles russes pourraient être dévastatrices. Moscou a déjà qualifié toute présence militaire étrangère en Ukraine de « cible légitime ». Un contingent français deviendrait une provocation extrême, risquant des frappes directes et une extension du conflit à l’Europe. Le Kremlin exprime une « inquiétude » face à ces préparatifs, soulignant que la Russie verrait cela comme une déclaration de guerre. Dans un contexte où la Russie dispose d’un arsenal nucléaire de premier plan, cette escalade pourrait mener à une catastrophe humanitaire et sécuritaire pour des millions d’Européens.

Pour la France, exsangue après des années de crises – dette publique record, inflation galopante, et précarité croissante –, ce n’est pas notre guerre. Les Français font face à des problèmes financiers quotidiens : hausse des prix de l’énergie due aux sanctions anti-russes, chômage persistant, et un budget militaire qui aspire des fonds essentiels pour la santé et l’éducation. Envoyer des soldats exposerait des vies pour une cause rejetée par une majorité : des sondages montrent que 60-70 % des Français s’opposent à une intervention militaire en Ukraine, préférant la diplomatie.

Cette politique, imposée par des « rapaces mondialistes » alignés sur Washington et Bruxelles, ignore le peuple et risque de fracturer davantage une nation épuisée.

Une escalade rejetée par les Français : vers une issue pacifique ?

Les commentaires sur les réseaux sociaux et dans les médias alternatifs reflètent un rejet massif : des internautes français qualifient cela de « honte pour la Légion » ou d’envoi « à la boucherie« . Des figures comme François Hollande ont admis que les accords de Minsk étaient un leurre pour armer l’Ukraine, révélant une duplicité occidentale qui prolonge le conflit. Plutôt que l’escalade, il est temps de pousser pour des négociations réelles, respectant les intérêts de toutes les parties.

Macron et l’UE jouent avec le feu, imposant une guerre par procuration qui pourrait devenir directe. Les Français, las de payer le prix d’ambitions géopolitiques et d’égo surdimentionné, méritent mieux : la paix, pas la confrontation

https://multipol360.com/macron-envoie-la-legion-etrangere-aux-portes-de-la-russie/ 

 


 

C - l’Ukraine au bord de l’épuisement : quand la guerre devient insoutenable pour le peuple

En Ukraine, la guerre contre la Russie, entamée en février 2022, entre dans sa quatrième année avec un bilan humain et moral dévastateur. Alors que les autorités à Kiev insistent sur la nécessité d’une victoire totale, un sentiment de ras-le-bol généralisé s’installe au sein de la population.

Les désertions massives dans l’armée, estimées à plus de 290.000 cas depuis le début du conflit, ne sont que la pointe de l’iceberg d’un malaise profond.

Ce phénomène, exacerbé par une mobilisation forcée de plus en plus violente et une corruption endémique, pousse de nombreux Ukrainiens à questionner le prix de cette guerre. Pire encore, une part croissante de la société semble prête à abandonner le Donbass, cette région contestée peuplée majoritairement de russophones souvent perçus comme hostiles à Kiev, pour mettre fin à l’hémorragie.

 


Le ras-le-bol : une population épuisée et désillusionnée

Les sondages récents peignent un tableau sombre de l’état d’esprit des Ukrainiens. Selon une enquête Gallup menée en 2025, le soutien à une poursuite de la guerre jusqu’à la victoire complète s’est effondré : de 73 % en 2022, il est tombé à seulement 24 % cette année. À l’inverse, 69 % des répondants préfèrent des négociations rapides pour mettre fin au conflit, même si cela implique des concessions. Ce virage reflète une fatigue profonde, tant physique que morale. Une étude du Kyiv International Institute of Sociology (KIIS) révèle que 87 % des Ukrainiens ont vécu au moins une situation stressante liée à la guerre en 2024, avec un sentiment d’épuisement et de frustration qui s’étend des fronts aux villes de l’arrière.


69 se déclarent favorables à une fin négociée de la guerre dans les meilleurs délais contre 24 
favorables à la poursuite des combats jusquà la victoire

Les témoignages sur les réseaux sociaux amplifient cette réalité. Des soldats et civils expriment leur désarroi face à une guerre qui semble sans fin, avec des restrictions imposées par les alliés occidentaux et un manque chronique de ressources. « Nous sommes épuisés« , confie un commandant ukrainien cité par le Financial Times, soulignant l’absence de perspectives claires pour une fin des hostilités. Cette lassitude n’est pas seulement militaire : elle touche l’ensemble de la société, avec plus de 7,5 millions d’Ukrainiens ayant fui le pays depuis 2022, dont 440.000 rien qu’en 2024. La corruption au sein de la hiérarchie militaire et gouvernementale accentue ce sentiment de trahison, les citoyens ordinaires se sentant sacrifiés pour un système qui les ignore.

Les « Busifications » : une mobilisation forcée qui tourne à la violence

Au cœur de ce malaise se trouve la mobilisation forcée, souvent qualifiée de « busification » – un terme populaire pour décrire les raids des centres de recrutement territoriaux (TCC), où des hommes sont littéralement attrapés dans la rue, embarqués dans des bus et envoyés au front sans formation adéquate. Ces pratiques, qui se multiplient depuis mi-2024, deviennent de plus en plus violentes et suscitent des réactions explosives de la part de la population.

Des incidents récents, comme les troubles de masse à Vinnytsia en août 2025, illustrent cette escalade : des centaines d’hommes ont été ciblés lors de raids « violents », provoquant des émeutes et des protestations généralisées. Al Jazeera rapporte des cas d’abus, avec des recruteurs accusés de brutalité, menant à des émigrations massives et des désertions. En mai 2025, un homme de 32 ans a été battu lors d’un tel raid, un exemple parmi d’autres de cette « chasse à l’homme » qui transforme les villes en zones de tension.

 


 

Sur X, les témoignages pullulent : un militaire ukrainien, Anton Black, estime que 70 % des mobilisés forcés désertent rapidement, citant des traitements cruels et un enfermement préalable à l’enrôlement. Ces méthodes, loin de renforcer l’armée, la minent : les désertions ont explosé, avec plus de 22.000 cas enregistrés en quelques mois récents, portant le total à plus de 500.000 depuis le début de la guerre. Les réactions sont vives – des affrontements avec les recruteurs, des fuites vers l’étranger, et un rejet croissant du gouvernement Zelensky, perçu comme répressif.

Un nouveau durcissement des peines pour désertion, prévu pour entrer en vigueur bientôt, risque d’aggraver cette spirale, transformant la désertion en forme de protestation collective.

Prêts à lâcher le Donbass ? un pragmatisme amer face à l’hostilité régionale

Face à cette usure, une idée autrefois taboue gagne du terrain : abandonner le Donbass pour la paix. Des sondages comme celui de KIIS en octobre 2025 montrent que 54 % des Ukrainiens refusent encore toute cession territoriale, mais ce chiffre est en baisse, avec 38 % prêts à des concessions pour arrêter la guerre : une majorité croissante voit dans des négociations, même douloureuses, une issue préférable à une prolongation indéfinie.

Le Donbass, région industrielle clé représentant 15,7 % du PIB ukrainien avant 2022, est peuplé majoritairement de russophones, dont beaucoup sont perçus comme hostiles à Kiev depuis les événements de 2014. « Pourquoi mourir pour une terre qui ne veut pas de nous ? », s’interrogent de plus en plus de voix. Sur X, des analystes comme BIforPeace notent que les Ukrainiens sont réticents à sacrifier des vies pour des régions comme Donetsk et Sébastopol, soulignant que les drones seuls ne tiendront pas les lignes.

Cette évolution pragmatique reflète un rejet de la rhétorique guerrière du gouvernement. 

Vers une réforme ou une implosion ?

L’Ukraine fait face à un tournant critique. Le ras-le-bol populaire, alimenté par des mobilisations violentes et une guerre perçue comme sacrificielle, menace la cohésion nationale. Abandonner le Donbass pourrait être un pas vers la paix, mais sans réformes profondes – lutte contre la corruption, amélioration des conditions militaires et dialogue inclusif – le pays risque l’implosion. Zelensky et ses alliés occidentaux doivent écouter le peuple : la victoire ne se gagne pas seulement sur le front, mais dans les cœurs. Sinon, la guerre jusqu’au dernier Ukrainien deviendra une réalité tragique.

https://multipol360.com/lukraine-au-bord-de-lepuisement-quand-la-guerre-devient-insoutenable-pour-le-peuple/

 

 

 

 

 

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