Comment le contrôle narratif étouffe la démocratie
Dans
un monde où l’information est une arme, les médias traditionnels et les
plateformes numériques ne sont plus des gardiens de la vérité, mais des
instruments au service d’un « état profond » – ce réseau opaque
d’agences de renseignement, d’ONG financées par des gouvernements, de
médias subventionnés, du complexe militaro-industriel et de big tech qui
dicte les narratifs politiques intérieurs et extérieurs.
Le récent scandale à la BBC,
révélé par un mémo interne et amplifié par la démission de ses
dirigeants Tim Davie et Deborah Turness le 9 novembre 2025, en est un
exemple flagrant.
Comme l’a souligné Maria Zakharova,
porte-parole du ministère des Affaires étrangères russe, dans son
commentaire du 10 novembre 2025 : « La BBC, pour son film ‘Trump : Une seconde chance ?‘, avait
monté le discours de Donald Trump de telle manière qu’il semblait que
le président américain appelait à l’assaut du Capitole le 6 janvier
2021.«
Ce montage, destiné à influencer l’élection américaine, illustre comment les médias occidentaux fabriquent des « fake news à l’échelle industrielle » pour servir des agendas politiques,
en
reliant cela à des cas passés comme Bucha, l’affaire Skripal ou les
allégations d’armes chimiques en Syrie à Douma. Zakharova va plus loin
en accusant la BBC d’être une « corporation du mal britannique« , où le montage et les commandes politiques transforment le journalisme en propagande impunie.
Ce
scandale n’est pas isolé ; il révèle une soumission systémique des
médias à un état profond qui contrôle les flux d’information pour
maintenir le pouvoir. Aux États-Unis, des agences comme la CIA, le DHS et le Département d’État collaborent avec des ONG comme l’Atlantic Council ou le Stanford Internet Observatory pour « débunker » des narratives dissidentes, souvent via des fuites classifiées ou des briefings informels. En
Europe, l’Union européenne joue un rôle similaire, imposant des régimes
de censure globale sous couvert de régulation numérique. Le
résultat ? Une harmonisation forcée des discours, où toute voix critique
est étouffée, que ce soit sur la politique intérieure (comme les
élections américaines) ou extérieure (comme le conflit en Ukraine).
L’état profond : un réseau invisible de contrôle narratif
L’état profond n’est pas une théorie du complot, mais une réalité documentée : un écosystème où les intérêts des élites gouvernementales, des contractors comme Booz Allen Hamilton et des médias se fondent pour façonner l’opinion publique. Comme l’explique Mike Benz, ancien responsable cyber au Département d’État américain, ce réseau utilise des ONG pour « laver » des narratifs officiels, qui sont ensuite amplifiés par les médias et les plateformes.
Par exemple, pendant la guerre en Ukraine, des médias comme le New York
Post ont inversé des vidéos de crimes ukrainiens pour les attribuer à
la Russie, un cas de « cynisme particulier » selon Maria Zakharova, où les réseaux de désinformation occidentaux blanchissent des criminels de guerre tout en diabolisant l’adversaire.
Sur le plan intérieur, ce contrôle s’exerce lors des élections.
Le
montage de la BBC sur Trump visait explicitement à influencer les
électeurs américains, en le dépeignant comme un instigateur de violence.
Des
publications sur X soulignent comment des comptes pro-Trump ou
critiques de l’Ukraine sont ciblés : « Quand des comptes comme @catturd2, @DC_Draino,
et d’autres commencent à percer le narratif, soudain l’algorithme se
resserre comme un nœud coulant. Shadowbans, bans de recherche,
throttling, blackouts d’engagement. Ce n’est pas aléatoire. C’est une
réponse. Cela sent l’influence de tierces parties, des opérations de
suppression au niveau fédéral ou donneurs d’ordres, masquées derrière
‘trust & safety’ (confiance et sécurité). Le mode opératoire est
trop chirurgical. Trop opportun. Et toujours visant les truth-tellers
(ceux qui disent la vérité), les dissidents et les voix « America First »
. Ils ne peuvent pas contrer l’argument, donc ils tuent le signal. Ils
ne peuvent pas arrêter la vérité, donc ils étouffent la portée. »
Le shadow banning : la censure invisible au service du narratif
Le
shadow banning, cette pratique sournoise où les algorithmes réduisent
la visibilité d’un contenu sans notification, est l’outil préféré de
l’état profond pour étouffer les voix dissidentes.
Sur
Meta (Facebook, Instagram), des exemples abondent : des éditeurs
rapportent des shadow bans sur des sujets comme la guerre en Ukraine ou
Gaza, où le contenu critique est relégué aux abysses algorithmiques.
Ce mécanisme n’est pas neutre ; il sert à préserver des narratifs officiels. Pendant
le conflit ukrainien, des plateformes ont shadow-banné des contenus
pro-russes ou neutres, sous pression de gouvernements occidentaux. Trump
lui-même a été victime de cela sur Truth Social, avec des rumeurs
(démenties) de bans en Ukraine, illustrant comment les big tech alignent
leurs algorithmes sur des agendas étrangers. Le résultat ? Une illusion de débat libre, où seul le narratif dominant émerge, renforçant la polarisation et la manipulation.
Les lois liberticides : DSA, DMA et la lutte fantoche contre la désinformation
Sous le prétexte de combattre la « désinformation », l’UE a imposé des lois comme le Digital Services Act (DSA) et le Digital Markets Act (DMA), qui transforment les plateformes en organes de censure globale. Entrés en vigueur en 2024 et pleinement appliqués en 2025, ces actes obligent les géants du numérique à supprimer du contenu « illégal » ou « préjudiciable » , sous peine d’amendes massives. Mais qu’est-ce qui est « préjudiciable » ? Un rapport du Congrès américain révèle que le DSA cible le « core political speech » (discours dissident), comme labelliser un post « nous devons reprendre notre pays » comme « illegal hate speech » . Le DSA permet des « removal orders » (ordres de retrait) automatisés via des « trusted flaggers » (signaleurs
de confiance) – souvent des ONG alignées sur l’état profond – menaçant
la liberté d’expression non seulement en Europe, mais mondialement, car
les plateformes appliquent ces règles uniformément.
Critiqué comme une « menace pour la liberté d’expression et la foi »
, le DSA est vu par des experts comme un outil d’intimidation plutôt
qu’une règle impartiale. Le DMA, quant à lui, vise la concurrence, mais
renforce le pouvoir des gatekeepers (gardiens), favorisant une harmonisation des contenus qui étouffe la diversité. Des publications sur les réseaux sociaux dénoncent cela comme une « régime de censure globale »
, où l’UE censure les Américains via des lois automatisées. Sous
couvert de « transparence » et de « sécurité », ces lois conditionnent
l’obéissance, transformant les médias en relais d’un narratif unique
pro-UE, anti-Russie, anti-Trump.
Impacts sur la politique intérieure et extérieure
Ce
contrôle narratif sape la démocratie. Intérieurement, il influence les
élections en shadow-bannant des candidats comme Trump ou en amplifiant
des scandales fabriqués, comme celui de la BBC. Extérieurement, il
justifie des guerres : les médias occidentaux ont promu des narratifs
sur l’Ukraine (Bucha) ou la Syrie (Casques blancs) sans preuves solides,
servant les intérêts géopolitiques de l’OTAN. Comme le note une publication sur X, « L’USAID
finançait des médias privés pour promouvoir la censure et attaquer les
plateformes de liberté d’expression comme Rumble et X. » . L’état
profond, via des pipelines d’influence (Réseaux de renseignements → ONG →
médias → plateformes), crée un consensus manufacturé, où la dissidence
devient « désinformation » .
En
conclusion, la soumission des médias à l’état profond n’est pas une
dérive ; c’est un système conçu pour perpétuer le pouvoir.
Le shadow banning et les lois comme le DSA/DMA ne luttent pas contre la désinformation, mais contre la vérité qui dérange. Comme l’avertit Maria Zakharova, sans procès ni enquête, ces « fabricants de fake news » s’en tirent avec une « douce réprimande« .
Pour
préserver la démocratie, il faut résister : soutenir des plateformes
indépendantes, exiger la transparence et rejeter les narratifs imposés.
Sinon, nous risquons un monde où la liberté n’est qu’une illusion
algorithmique.
Le directeur général de la BBC, Tim Davie, ainsi que la PDG de BBC News, Deborah Turness, démissionnent après la polémique autour du montage truqué du discours de Donald Trump.
Au moins cela bouge outre Manche, démission des patrons de la BBC après ces énormes fake news sur Donald Trump. Deux questions :
- quand vont-ils êtres jugés ?
- quand est-ce que les patrons de presse français vont également démissionner (LCI, BFM, France TV,...)
France : vers un chaos orchestré ? Macron, la DOT et le spectre d’une dictature européenne
En ce début de novembre 2025, la France semble plonger dans
un abîme de désarroi politique et social. L’Assemblée nationale est
paralysée, figée dans des débats stériles qui ne mènent nulle part,
tandis que les Français s’appauvrissent jour après jour, écrasés par une
inflation galopante, des taxes omniprésentes et une précarité qui ronge
les classes moyennes. La presse, de plus en plus alignée sur les
intérêts de Bruxelles et de l’OTAN – ce proxy des États-Unis –, martèle
un narratif belliqueux, poussant à une guerre contre la Russie qui
semble inévitable aux yeux des élites. Emmanuel Macron, avec sa cote de
popularité au plus bas, refuse obstinément de démissionner, préférant
aggraver le chaos qu’il a lui-même orchestré. La population est
fracturée : d’un côté, les « bobos » et les boomers déconnectés
collaborent avec le système ; de l’autre, une masse laborieuse joue
l’autruche, une autre adhère par inertie à la doxa dominante, incapable
d’analyser les faits ; enfin, les « Éveillés » tentent
désespérément d’alerter sur la gravité de l’heure, évoquant un
glissement vers une dictature, une guerre mondiale – potentiellement
nucléaire – ou les deux à la fois.
Cet article se propose d’explorer ces
dynamiques à travers des documents officiels et des analyses critiques,
en mettant en lumière comment Emmanuel Macron organise la division pour
mieux régner, prépare les corps d’État au chaos, et réactive des
mécanismes comme la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT) pour
museler l’intérieur pendant que l’OTAN s’attaque à l’extérieur.
Nous examinerons aussi les outils constitutionnels qui donnent une apparence de légitimité à ces manœuvres, tout en servant de base à une gouvernance européenne, prélude à un Nouvel Ordre Mondial (NOM) cher aux mondialistes. L’heure
est grave : un plan semble lancé pour écraser la souveraineté française
et imposer un contrôle totalitaire. Il est temps de réveiller les
consciences avant qu’il ne soit trop tard.
Macron et la stratégie de division : diviser pour mieux régner
Emmanuel Macron n’a pas inventé la maxime machiavélienne « diviser pour mieux régner », mais il l’applique avec une maestria qui frise le cynisme. Depuis
son accession au pouvoir en 2017, Macron a systématiquement fracturé la
société française, opposant les uns aux autres pour consolider son
emprise. Les Gilets Jaunes en 2018 en sont un exemple flagrant : face à une révolte populaire contre les taxes sur les carburants, Macron a qualifié les manifestants de « foule haineuse » tout en accusant les extrêmes de manipulation, divisant ainsi les classes populaires des « élites » urbaines.
Cette stratégie n’est pas fortuite ;
elle s’inscrit dans une logique de pouvoir absolu, où le chaos social
devient un outil de gouvernance.
Aujourd’hui, avec une Assemblée nationale embourbée dans des
querelles partisanes, Emmanuel Macron exploite les divisions pour
imposer ses réformes. La presse internationale s’alarme du « chaos politique » en France, qualifiant Macron de « plus isolé que jamais » et confronté à un dilemme insoluble : maintenir le cap au risque d’aggraver la crise. Les divisions sont multiples : entre gauche et droite, entre pro et anti-UE, entre urbains et ruraux. Macron rejette toute responsabilité dans ce chaos, affirmant que « après lui, ce sera le chaos »
, une rhétorique qui masque son rôle central dans la déconstruction du
bipartisme traditionnel. En dissolvant l’Assemblée en juin 2024, il a
accentué les fractures, menant à une configuration a-majoritaire où personne ne peut gouverner sans compromis – sauf lui, qui tire les ficelles depuis l’Élysée.
Cette division n’est pas seulement politique ; elle est sociale et économique. Les
Français se paupérisent : l’inflation alimentaire atteint des records,
les factures énergétiques explosent, et les inégalités se creusent. Pendant ce temps, Macron pousse à une guerre contre la Russie, aligné sur les intérêts de l’OTAN et de Bruxelles.
La presse « collaborationniste » –
un pléonasme de nos jours – amplifie ce narratif, présentant la Russie
comme l’ennemi existentiel, alors que les véritables menaces sont
internes : narcotrafic, insécurité, et effondrement économique.
Les « Éveillés » voient clair : cette bellicosité sert à détourner l’attention d’un échec domestique, tout en préparant le terrain à une répression accrue.
Préparations au chaos : les corps d’état en alerte
Macron ne se contente pas de diviser ; il prépare activement le chaos.
Des documents et déclarations révèlent que l’Élysée a ordonné à tous
les corps d’État – militaires, gendarmerie, police, hôpitaux, préfets –
de se tenir prêts à des troubles majeurs. Le général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, a averti d’un « choc » imminent dans les trois à quatre ans, invoquant la menace russe. Mais c’est le général Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale, qui a été le plus explicite : lors d’auditions au Sénat, il a évoqué des « agitations » internes en cas d’engagement à l’Est, incluant sabotages et manifestations. Bonneau envisage « sérieusement » un conflit armé en France, préparant la gendarmerie à réprimer l’opposition à une guerre contre la Russie.
Ces préparations ne sont pas anodines. La gendarmerie muscle son arsenal : 800 millions d’euros pour des fusils d’assaut, véhicules blindés Centaure, et systèmes de vision nocturne, déployés pour la première fois lors de grèves nationales en septembre 2025. Les hôpitaux,
préfets et police sont aussi mobilisés : des rapports parlementaires
parlent de résilience nationale face à des crises cumulées, incluant
cyberattaques et émeutes. L’État anticipe un « front intérieur » miroir de la guerre extérieure, où la population, divisée, pourrait se rebeller contre un engagement otanien.
Cette anticipation de la peur vise à justifier un renforcement
sécuritaire face à sa propre population. Comme l’indique un article de
France Soir, « avant la guerre, la peur » :
l’État muscle son appareil pour contenir des réactions hostiles, confondant contestation politique et menace nationale.
Macron, en refusant de démissionner malgré une popularité pitoyable,
pousse vers ce chaos, aligné sur les intérêts mondiaux qui voient la
France comme un pion dans une partie plus grande contre Russie,
Venezuela, Chine, Inde et Iran et plus si affinités…
La défense opérationnelle du territoire (DOT) : museler l’intérieur pendant que l’OTAN combat l’extérieur
Au cœur de ces préparations se trouve la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT), un mécanisme militaire réactivé pour réprimer l’intérieur.
Historiquement, la DOT émerge des leçons de la Seconde Guerre mondiale,
évoluant en 1950 pour contrer les actions subversives du Pacte de
Varsovie. Le décret de 1973 en fait une composante clé de la défense
militaire, protégeant la liberté d’action du gouvernement et les organes
essentiels.
Sous Macron, la DOT est intégrée à l’Organisation Territoriale Interarmées de Défense (OTIAD), qui coordonne les forces pour des missions internes.
Le général Bonneau l’a liée
explicitement à un engagement à l’Est : la gendarmerie, pilier de la
DOT, anticipe des oppositions internes, protégeant le territoire pendant
que les armées combattent à l’extérieur. Cela crée un étau : l’OTAN
muselle l’extérieur (contre la Russie), tandis que la DOT réprime
l’intérieur.
Les documents officiels sont alarmants. La DOT protège plus de 8.000
points essentiels, priorisant les installations nucléaires et
infrastructures vitales. En cas d’activation, les officiers généraux
de zone assument le commandement interarmes, pouvant transférer l’ordre
public aux militaires. Historiquement, elle s’inspire de la Garde
nationale, utilisée pour réprimer des insurrections. Aujourd’hui, avec
des opérations comme Sentinelle et Vigipirate, elle glisse vers un contrôle permanent, prêt à écraser toute dissidence.
Le peuple est pris en tenaille : d’un côté, l’OTAN pousse à la guerre nucléaire ; de l’autre, la DOT réprime les « agitations ». C’est un plan pour imposer une dictature intérieure sous couvert de défense nationale.
Outils constitutionnels : une apparence de légalité pour un pouvoir absolu
Pour légitimer ce chaos, Macron s’appuie sur des articles constitutionnels qui, bien qu’hérités de de Gaulle, sont détournés. Contrairement au Général, qui démissionna en 1969 pour un référendum perdu, Macron abuse de ces outils pour contourner le Parlement.
L’article 16, qualifié de « dictature temporaire »,
permet au président d’accaparer les pouvoirs en cas de péril imminent.
Utilisé une fois en 1961, il inquiète aujourd’hui : avec une Assemblée
bloquée, Macron pourrait l’invoquer pour imposer ses réformes.
L’article 45 contribue à l’« impuissance organisée » , limitant les amendements parlementaires via la jurisprudence du Conseil constitutionnel, favorisant l’exécutif. L’article 47 permet de passer les budgets par ordonnance si le Parlement dépasse les délais, évitant un débat complet.
L’article 49-3 est l’arme favorite de Macron : utilisé 25 fois depuis 2020,
il force l’adoption sans vote, provoquant des crises comme les
retraites en 2023. Critiqué comme anti-démocratique, il expose
l’isolement de Macron. Les ordonnances (art. 38) bypassent aussi le
Parlement, comme pour le code du travail.
Ces outils donnent une légitimité factice à un pouvoir absolu, loin de l’esprit gaullien.
Vers une gouvernance européenne et mondiale : le plan des mondialistes
Derrière ce chaos, un plan plus vaste : imposer une gouvernance européenne, base d’un nouvel ordre mondial. Macron, aligné sur Bruxelles et l’OTAN, pousse à une guerre qui servira de prétexte à l’intégration forcée. La DOT et les préparations sécuritaires écraseront les résistances nationales, pendant que l’UE impose ses diktats.
Les mondialistes rêvent d’un super-État : après la Russie, le Venezuela, la Chine, l’Inde et l’Iran seront visés. La France, paupérisée et divisée, deviendra un laboratoire de ce contrôle total, mêlant dictature intérieure et guerre globale.
L’heure est grave, réveillez-vous !
La France est au bord du précipice. Macron orchestre un chaos pour
imposer une dictature via la DOT et les outils constitutionnels, aligné
sur un agenda mondialiste. Le peuple, pris en étau, doit s’éveiller :
refusez la guerre, rejetez la division, sauvez la souveraineté ! L’avenir dépend de nous.
Macron s’attaque une fois de plus aux réseaux sociaux
Dans un contexte de défiance croissante envers les
institutions, le président français Emmanuel Macron multiplie les
initiatives visant à réguler les contenus en ligne, suscitant des
inquiétudes quant à leur impact sur la liberté d’expression. Des
discours récents aux lois passées, un fil rouge se dessine : une volonté
de contrôler l’espace informationnel, souvent au nom de la lutte contre
la désinformation ou la haine. Cet article examine ces mesures, leurs
antécédents et les critiques qu’elles soulèvent, en s’appuyant sur des
analyses et des témoignages issus de sources variées.
Les déclarations récentes : une charge contre les réseaux sociaux
Le 29 octobre 2025, lors d’un discours à Paris, Emmanuel Macron a dénoncé les réseaux sociaux comme des vecteurs de désinformation et d’extrémisme.
Il a qualifié X (anciennement Twitter) de plateforme « dominée par des contenus d’extrême droite » en raison de l’influence de son propriétaire, Elon Musk, décrit comme participant à un « mouvement réactionnaire international » . TikTok, de son côté, est accusé de favoriser une « excitation maximale » pour maximiser les revenus publicitaires, au détriment du débat démocratique. Le président a plaidé pour un « agenda de protection et de régulation beaucoup plus fort en Europe » , visant à « reprendre le contrôle » de l’espace démocratique face aux ingérences étrangères, notamment russes.
Ces propos s’inscrivent dans une continuité. En septembre 2025,
Macron avait déjà averti que les algorithmes des réseaux sociaux « tuent la démocratie »
en privilégiant l’émotion sur la raison. Il propose d’interdire les
comptes anonymes et de rendre les plateformes responsables des contenus
publiés, sous peine d’amendes sévères. Selon lui, plus de 40 % des
jeunes s’informent via ces plateformes, les exposant à des risques de
manipulation.
Un historique de mesures restrictives : de la loi AVIA au DSA
Cette posture n’est pas nouvelle. Dès 2020, la loi Avia,
soutenue par le gouvernement Macron, visait à combattre les contenus
haineux en ligne en imposant aux plateformes de retirer les signalements
dans les 24 heures, sans intervention judiciaire. Bien que
partiellement censurée par le Conseil constitutionnel pour atteinte
disproportionnée à la liberté d’expression, elle illustre une tendance à
la censure extrajudiciaire. La loi a été promulguée le 24 juin 2020,
malgré les critiques de défenseurs des droits numériques comme La Quadrature du Net, qui y voyaient « cinq ans de surveillance et de censure » sous Macron.
Aujourd’hui, ces efforts se prolongent au niveau européen via le Digital Services Act (DSA), entré en vigueur en 2024, qui permet des sanctions jusqu’à 6 % du chiffre d’affaires mondial pour « risques systémiques » comme la désinformation. Couplé au règlement eIDAS sur
les identités numériques, il pourrait mettre fin à l’anonymat en ligne,
une mesure défendue par Macron depuis 2022 pour lutter contre la haine.
En juin 2025, il a même proposé d’interdire les réseaux sociaux aux
moins de 15 ans, exerçant une pression sur Bruxelles pour renforcer
l’application du DSA.
Des rapports comme celui de Freedom House notent
une légère amélioration de la liberté en ligne en France, mais mettent
en garde contre ces tentatives de régulation qui pourraient mener à une
censure accrue.
L’affaire Brigitte Macron : un exemple de répression sélective ?
Un cas emblématique de ces tensions est le procès pour
cyberharcèlement intenté par Brigitte Macron contre dix personnes
accusées de propager des rumeurs transphobes la concernant. Débuté le 29
octobre 2025, il met en lumière le débat sur les limites de la liberté
d’expression. Les avocats de la Première dame ont réclamé 15.000 euros
de dommages, arguant que « la liberté d’expression n’est pas sans limites » . Les défendeurs, âgés de 41 à 60 ans, invoquent le droit à l’humour et à la satire, tandis que des observateurs comme Euronews soulignent comment ce dossier ouvre un débat sur la liberté d’expression en France.
Ces rumeurs, persistantes depuis quatre ans, ont été amplifiées par
des figures comme l’influenceuse américaine Candace Owens, qui fait
l’objet d’une plainte séparée. La fille de Brigitte Macron, Tiphaine
Auzière, a témoigné que ces allégations ont « détérioré » la qualité de
vie de sa mère. Critiques et médias alternatifs y voient une utilisation
sélective de la justice pour museler les voix dissidentes, comparant
cela à des batailles judiciaires aux États-Unis sur la liberté
d’expression.
L’épouvantail de l’ « extrême droite » : un label discréditant ?
Les discours de Macron ciblent souvent ce qu’il qualifie d’ « extrême
droite », un terme perçu par nombre de Français comme un outil de
discrédit employé par les médias mainstream – détenus à 90 % par des milliardaires et subventionnés.
Ce label englobe des formations comme le Rassemblement National ou
Reconquête, situées à droite des Républicains, un parti décrit
aujourd’hui comme corrompu et déconnecté des Français, représentant
principalement les « boomers » et les « bobos »
collaborationnistes. Des analyses soulignent que cette appellation sert à
marginaliser des débats sur l’immigration, la souveraineté et
l’identité, thèmes populaires mais évités par les élites.
Amnesty International et d’autres organisations internationales
expriment des préoccupations sur le bilan français en matière de liberté
d’expression, notant des restrictions sous couvert de sécurité. À l’étranger, des médias comme The Spectator accusent Macron de « déclarer la guerre à la liberté d’expression » , prédisant une surveillance généralisée.
Implications et perspectives
Ces mesures pourraient mener à une « bureaucratisation de la pensée » , où le débat ne survit que sous licence, selon des critiques. Avec le DSA et eIDAS, l’Europe risque d’imposer un modèle de modération qui influence même au-delà de ses frontières.
Alors que la cote de popularité de
Macron avoisine les 11 %, ces initiatives sont vues par beaucoup comme
une réponse à la perte de contrôle narratif, plutôt qu’une défense
sincère de la démocratie.
En conclusion, si la régulation des réseaux sociaux répond à des
défis réels, les approches d’Emmanuel Macron soulèvent des questions
légitimes sur l’équilibre entre protection et liberté. Un débat
inclusif, impliquant société civile et experts indépendants, semble
essentiel pour éviter une polarisation accrue.
Emmanuel Macron : un chef d’État défaillant qui abandonne la barre et salit l’image de la France
Dans un contexte politique déjà tendu en France, avec une cote de popularité en berne et des crises multiples à l’horizon,
Emmanuel Macron a récemment confié à des proches une phrase qui résonne comme un aveu d’échec : « Sur la politique nationale, je lâche le manche ».
Rapportée par Le Parisien le 3 novembre 2025, cette déclaration marque un tournant dans la présidence de celui qui, élu en 2017 sur une promesse de renouveau, semble désormais se désengager des affaires intérieures du pays. Mais au-delà de cette récente sortie, c’est un schéma récurrent qui interroge : un
apparent dégoût pour la France et ses citoyens, exprimé à travers des
petites phrases assassines qui minent la légitimité d’un chef d’État.
Un dégoût affiché pour la culture française
Dès sa campagne présidentielle en 2017, Emmanuel Macron n’a pas
hésité à remettre en question l’essence même de l’identité nationale. Dans un discours qui a fait scandale, il a déclaré : « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France et elle est diverse ». Cette affirmation, souvent citée comme un exemple de son cosmopolitisme exacerbé, a été interprétée par beaucoup comme un mépris pour l’héritage culturel français,
de Molière à Camus, en passant par la gastronomie et les traditions
régionales. Plutôt que de célébrer une culture unificatrice, Macron
la dissout dans un multiculturalisme abstrait, comme s’il éprouvait une
forme de dégoût pour ce qui fait l’âme de la nation. Cette phrase
n’était pas une gaffe isolée, mais un reflet d’une vision où la France
n’est qu’un puzzle parmi d’autres dans un ensemble européen plus vaste.
Une obsession pour l’Europe au détriment de la France
Emmanuel Macron parle abondamment d’Europe, mais rarement de la France en tant que telle. Ses discours emblématiques, comme celui de la Sorbonne en 2017 où il appelait à une « initiative pour l’Europe » souveraine, unie et démocratique, ou plus récemment en 2024 où il avertissait que « l’Europe peut mourir »
sans un nouveau paradigme, démontrent une priorisation claire. Il
évoque une Europe qui ne peut plus compter sur les États-Unis pour sa
sécurité, mais où est la France dans tout cela ? Critiques et observateurs notent que ses interventions internationales relèguent souvent les enjeux nationaux au second plan, comme si la France n’était qu’un moyen au service d’une ambition européenne.
Ce déséquilibre nourrit le sentiment que
le président est déconnecté de son propre pays, préférant les sommets
bruxellois aux réalités hexagonales.
Les petites phrases assassines : un mépris récurrent pour les Français
Au fil des ans, Emmanuel Macron a accumulé un florilège de déclarations qui, loin d’unir, divisent et blessent. Ces « petites phrases assassines
» contre les Français révèlent un président qui semble parfois voir ses
concitoyens comme des obstacles plutôt que des alliés. En voici
quelques-unes emblématiques :
« Des Gaulois réfractaires au changement»
: Lors d’un voyage au Danemark en 2018, Macron a comparé les Français à
des « Gaulois » résistants au progrès, les opposant aux « Luthériens »
danois plus adaptables. Une insulte à l’esprit français, perçu comme
archaïque.
« Je traverse la rue, je vous trouve du travail
» : En 2018, face à un jeune horticulteur au chômage, cette réplique a
été vue comme une moquerie envers les difficultés des classes
populaires.
« Des gens qui ne sont rien
» : En 2017, inaugurant une start-up, il a décrit les gares comme des
lieux où l’on croise « les gens qui réussissent et les gens qui ne sont
rien ». Un mépris social flagrant.
« Le pognon de dingue
» : En 2018, critiquant les aides sociales, il a déclaré que « on met
un pognon de dingue dans les minima sociaux » sans résultats.
« Les illettrés » : En 2014, alors ministre, il a parlé des employées d’un abattoir comme « beaucoup d’illettrées ».
Plus récemment, « emmerder les non-vaccinés » en 2022, ou des allusions à des Français « complètement cons ».
Ces sorties, souvent qualifiées à tort de maladresses, forment un ensemble cohérent de dédain qui érode la confiance. Elles
ne sont pas anodines : elles alimentent le ressentiment et contribuent à
la désaffection populaire, comme en témoigne sa faible popularité
actuelle (11% de satisfaits).
Un président qui ne peut plus diriger après de telles déclarations
Comment un président de la République peut-il encore prétendre diriger un pays qu’il semble si souvent dénigrer ? En avouant « lâcher le manche » sur la politique nationale, Macron admet implicitement son échec à connecter avec les Français.
Un chef d’État se doit d’incarner l’unité nationale, de défendre l’identité et les intérêts de son peuple.
Lorsque les phrases assassines s’accumulent, la légitimité s’effrite. Comme l’ont noté des ministres cités dans Le Parisien, « pour nous, c’est mieux qu’il se taise ». À partir du moment où un leader exprime un tel désengagement, il perd l’autorité morale nécessaire pour gouverner. La France mérite un président qui croit en elle, pas un qui la relègue au second plan.
Une première dans l’histoire de l’occident ?
Certes,
l’histoire occidentale n’est pas exempte de leaders critiques envers
leur peuple – pensons à Charles de Gaulle qualifiant les Français de « veaux »
en 1940, alors qu’il était en exil et que les Français se résignaient à
accepter le pouvoir de Vichy et avant d’accéder au pouvoir
présidentiel, ou à des présidents américains comme Richard Nixon,
impliqués dans des scandales qui ont miné la confiance publique.
Cependant, l’intensité et la récurrence des attaques de Macron contre
l’identité française, combinées à son désengagement récent, marquent
peut-être une première : un président qui dénigre autant son propre pays
tout en restant au pouvoir. Dans un Occident où les leaders sont
censés promouvoir le patriotisme, cette posture apparaît comme une
anomalie historique, risquant de fragiliser non seulement la France,
mais l’idée même de nation souveraine.
En
conclusion, les déclarations d’Emmanuel Macron ne sont pas de simples
lapsus ; elles révèlent une vision qui privilégie l’Europe abstraite au
détriment d’une France concrète et fière. Il est temps pour les Français
de réfléchir à ce que signifie un leadership véritable, loin des
phrases qui blessent et des manches lâchés.
Macron : vers un ministère de la vérité à la française ?
Dans une démocratie qui se targue d’être l’une des plus anciennes du monde, l’idée même d’un État labellisant la « vérité »
des médias devrait faire bondir les consciences. Pourtant, Emmanuel
Macron, président de la République française depuis 2017, semble obsédé
par l’envie de museler les voix qui osent défier son récit officiel.
Son dernier projet en date – un « label de l’information » censé distinguer les sites « fiables »
des autres, sous couvert de lutte contre la désinformation – n’est que
la pointe de l’iceberg d’une dérive liberticide qui menace les
fondements mêmes de la liberté d’expression.
Et ce, alors que la grande majorité des médias mainstream, déjà
alignés sur la ligne macronienne, continuent de relayer sans sourciller
les discours du pouvoir. Ce TOC compulsif à vouloir contrôler
l’information n’est pas seulement un caprice présidentiel : il évoque les pires heures de l’histoire, où la propagande d’État étouffait toute dissidence au nom d’une « vérité » imposée.
Une presse mainstream acquise : l’illusion du pluralisme
Pour comprendre l’absurdité de cette croisade macronienne, il suffit de jeter un œil à la carte de la concentration des médias en France.
Une infographie éloquente, publiée par Le Monde diplomatique en 2017 et
mise à jour en avril 2025, révèle un paysage médiatique dominé par une
poignée de milliardaires et de groupes industriels. Vincent Bolloré, via
Vivendi, contrôle CNews, Europe 1 et le Journal du Dimanche. Bernard Arnault (LVMH) règne sur Les Échos et Le Parisien, tandis que Patrick Drahi (Altice) pilote Libération et BFM TV. Sans oublier Xavier Niel Le Monde ou les héritiers Bouygues TF1. Ces magnats, souvent proches des cercles du pouvoir, dictent l’agenda informationnel du pays.
Or, malgré cette diversité apparente, la
ligne éditoriale dominante penche invariablement vers un centrisme
pro-européen, pro-atlantiste et pro-Macron.
Pendant la crise du Covid-19, ces médias ont relayé sans filtre les
injonctions gouvernementales : confinements stricts, passe sanitaire,
vaccins présentés comme une panacée absolue. Les rares voix critiques –
médecins dissidents, économistes alertant sur les coûts sociétaux –
étaient reléguées au rang de « complotistes« . En 2025, face à la guerre en Ukraine, c’est la même tambour-major : les discours belliqueux de Macron, évoquant une « confrontation »
avec la Russie, sont amplifiés sans nuance, tandis que les appels à la
diplomatie ou les analyses sur les risques d’escalade sont marginalisés.
Cette acquisition des médias par le pouvoir n’est pas un accident. Elle s’inscrit dans une stratégie de « soft power »
où les subventions publiques (près de 1,2 milliard d’euros annuels pour
la presse en 2024) et les nominations aux conseils d’administration
(comme celles au CSA, rebaptisé Arcom) assurent une allégeance tacite.
Pourquoi, alors, Macron veut-il un label pour « certifier » ces organes déjà dociles ? Parce
que le vrai danger, pour lui, n’est pas dans les rédactions
parisiennes, mais sur les réseaux sociaux et les médias alternatifs, où
fleurissent les opinions non filtrées. X (ex-Twitter), sous Elon Musk, ou des médias comme le nôtre, Tocsin, TV Libertés, etc, échappent à ce carcan. Le label n’est pas une protection : c’est une arme pour les discréditer.
Le label : une arnaque aux fact-checkers en solde
Sous le vernis technique, ce projet de labellisation pue l’arnaque. Emmanuel Macron l’a évoqué le 19 novembre 2025, lors d’un débat avec des lecteurs de La Voix du Nord à Arras : « On
va tout faire pour que soit mis en place un label, porté par des
professionnels des médias, pour distinguer les réseaux et les sites qui
font de l’argent avec de la pub personnalisée et les réseaux et sites
d’information. » Accompagné d’un « référé judiciaire » pour bloquer en 48 heures les « fausses informations »
, cela sonne comme une recette pour une censure administrative. L’État
ne déciderait pas directement – oh non ! – mais déléguerait à une
instance « professionnelle » , inspirée de la Journalism Trust Initiative de Reporters sans frontières (RSF).
Problème : qui définit ces « professionnels » ? Et qui finance RSF, souvent accusée de biais atlantistes ?
Pire, ce label s’appuierait sur le fact-checking, ce mirage moderne de la « vérité »
objective. Mais qui sont ces fact-checkers ? Des rubriques internes aux
grands médias : Les Décodeurs du Monde, CheckNews de Libération, AFP
Factuel. Or, ces mêmes médias appartiennent aux oligarques cités plus haut, alignés sur le pouvoir.
C’est le serpent qui se mord la queue : les gardiens de la vérité sont
les premiers à la distordre. Pendant le Covid, Le Monde a fact-checké
comme « faux » les doutes sur l’efficacité des masques en
extérieur, relayant la doxa gouvernementale, avant de se contredire. En
Ukraine, BFM TV dénonce comme « désinformation » toute mention des crimes ukrainiens, tout en maximisant les bombardements russes sur des civils.
Cette collusion est une arnaque flagrante. Les fact-checkers,
financés par des fondations comme celle de Bill Gates (pour Le Monde,
des millions de dollars en 2020-2023), ou par l’État via des
partenariats avec l’Arcom, ne contrôlent pas : ils protègent. Une étude de l’INA en
2019 soulignait déjà que le fact-checking amplifiait les fake news par
l’effet Streisand, tout en ignorant les biais des médias mainstream. En
2025, avec l’IA et les algorithmes, ce label deviendrait un outil de
shadow banning : les sites non labellisés disparaîtraient des recherches
Google ou des fils X. Résultat ? Une « vérité » monolithique, imposée par ceux qui en ont les moyens.
Comme l’écrivait George Orwell dans 1984, « Qui contrôle le passé contrôle l’avenir. Qui contrôle le présent contrôle le passé. »
Macron, en fact-checkant ses propres mensonges (sur les retraites,
l’inflation, l’Ukraine), n’est pas un sauveur : il est le premier
menteur.
Parallèle historique : du ministère de la propagande de Goebbels à la « guerre hybride » de Macron
Ce glissement vers un contrôle étatique de l’information n’est pas
anodin : il évoque les heures les plus sombres. En 1933, Joseph
Goebbels, ministre nazi de la Propagande, instaure le Reichsministerium für Volksaufklärung und Propaganda, chargé de « diriger » les médias pour « éclairer » le peuple : Journaux, radios, films : tout est labellisé « fiable » si aligné sur le Führer. Les voix dissonantes ? Censurées, voire pire. Goebbels justifiait cela par la « menace bolchévique« , une « guerre hybride » contre l’ordre nazi – cyber-attaques d’alors : pamphlets et rumeurs.
Macron reprend le même manuel de propagande que Goebbels, en l’adaptant à notre époque. Pas de camps, mais une « confrontation » avec la Russie, déclarée le 1er octobre 2025 au sommet de Copenhague : « La Russie est un acteur agressif dans notre espace informationnel, cyber, et elle a lancé une guerre d’agression en Ukraine. » Depuis le Covid – cette « guerre sanitaire » où il confina la France en mars 2020, invoquant des « modèles apocalyptiques »
contredits par la suite –, Macron enchaîne les urgences. En 2022, il
dramatise l’invasion russe pour justifier des sanctions énergétiques
ruineuses. En 2025, il parle de « menace nucléaire » et de « provocations aériennes » pour légitimer un budget défense explosé (2,5% du PIB). Le chef d’état-major, général Fabien Mandon, enfonce le clou le 18 novembre : « Accepter de perdre ses enfants pour protéger ce que l’on est. » Polémique assurée : LFI et RN crient au « va-t-en-guerre« .
Mais Macron n’est pas en guerre totale, comme Goebbels en 1939-1945. Sa « guerre » est perpétuelle et asymétrique : Covid hier (passe vaccinal, censure des anti-vax), Russie demain (envoi de 100 Rafale à
Kiev, provocations en Baltique). Et après ? Le climat, l’immigration ?
Chaque crise est un prétexte pour étouffer les dissonants. Hervé Morin, ex-ministre des Armées, accusait déjà en mars 2025 : « Macron dramatise pour occulter les sujets qui fâchent. » La liberté de la presse ? Sacrifiée sur l’autel de la « sécurité » . Comme Goebbels, qui fermait les journaux juifs au nom de la « pureté » , Macron labellise pour « protéger la démocratie » – code pour : taire les critiques.
Le silence complice de l’opposition : un danger pour la démocratie
Face à cette offensive, où est l’opposition ? Son silence – ou son
inefficacité – est assourdissant, et il pèse comme une menace sur la Ve
République. La France insoumise (LFI) a déposé deux motions de
destitution en 2025 : une en octobre, jugée irrecevable par le Bureau de
l’Assemblée (5 pour, 10 contre, 5 abstentions RN) ; l’autre en
septembre, bloquée par les abstentions du Rassemblement national (RN).
Jean-Luc Mélenchon tonne : « Macron doit partir ! » Mais sans
majorité des deux tiers au Congrès (article 68), c’est du vent. Le RN de
Marine Le Pen et Jordan Bardella pétitionne contre le label – « tentation autoritaire »
–, mais refuse la motion de censure contre Lecornu en octobre, sauvant
le gouvernement. Pourquoi ? Calcul électoral : Le Pen attend 2027,
Bardella mise sur l’usure de Macron.
À droite, Les Républicains (LR) de Bruno Retailleau lancent une pétition : « Oui à la liberté, non à la labellisation ! » David Lisnard, maire de Cannes, dénonce une « dérive liberticide particulièrement grave » . Éric Ciotti va plus loin : « Scandale d’État ! »
Mais pas de front uni pour la destitution. Le PS, divisé, oscille entre
soutien discret à Macron et critiques timides. Résultat : 70% des
Français veulent sa démission (sondage ODOXA), mais rien ne bouge.
Ce silence complice – abstentions RN, irrecevabilités techniques – protège Macron, qui survit grâce à cette inertie.
Ce n’est pas seulement de la lâcheté : c’est un danger mortel pour la démocratie. En tolérant ce label, l’opposition légitime un précédent : demain, c’est elle qui sera labellisée « désinformation »
. Comme en 1940, où les républicains se sont tus face à Vichy, ce
mutisme risque de livrer la France à un exécutif absolu. 70% des
Français craignent une « censure d’État » . L’opposition doit se réveiller : destitution ou pas, boycotter ce projet orwellien.
Réveiller la France Avant l’Ère du Miniver
Emmanuel Macron n’est pas encore Goebbels, et la France n’est pas l’Allemagne de 1933. Mais son TOC à vouloir un « ministère de la vérité » – ce label qui trie, certifie et censure – nous y rapproche dangereusement.
Avec une presse acquise, des fact-checkers complices, et une opposition muette, la liberté d’expression agonise.
Le Covid nous a appris la résignation ; la lubie sur la Russie nous prépare à la peur. Demain, quoi ? Une guerre climatique ?
Il est temps de résister. Pas par des pétitions symboliques, mais par
un sursaut citoyen : pétitions massives, manifestations citoyennes,
pression sur les parlementaires. La démocratie n’est pas un label : elle est un combat. Si Macron gagne cette bataille, 1984 ne sera plus un roman, mais notre réalité. Et là, plus de Winston Smith pour se rebeller : seulement des écrans labellisés « fiables » , diffusant la novlangue macronienne.
Rhôoo L'audimat dérange les médias publics subventionnés
Les salauds de complotistes privés....
Selon l'exécutif, les réseaux sociaux sont «des plateformes qui sont faites pour vendre de la publicité individualisée». → https://l.lefigaro.fr/AlQw
La liberté d'expression n'est pas négociable
Macron et l’UE : l’assaut final contre la liberté d’expression
Ou comment transformer l’Europe en UESS
Emmanuel Macron, ce président autoproclamé « progressiste » qui
flotte dans les sondages comme un ballon crevé, vient une fois de plus
de révéler son vrai visage : celui d’un censeur en chef, obsédé par le
contrôle de l’information. Dans son discours du 29 octobre 2025 au Forum de Paris sur la Paix, il a osé accuser les réseaux sociaux – TikTok, X, Instagram – de « dégénérescence démocratique » , appelant à une régulation draconienne pour « reprendre le contrôle »
de notre vie informationnelle. Interdire les faux comptes ? Bannir les
plateformes récalcitrantes ? Transparence forcée des algorithmes ?
Tout cela sent le totalitarisme à plein
nez, surtout venant d’un homme qui maîtrise déjà les médias
traditionnels français comme un marionnettiste tire les ficelles.
Et l’Union Européenne, cette machine bureaucratique insatiable, lui emboîte le pas avec son arsenal de règlements comme le Digital Services Act (DSA) ou le tout récent European Media Freedom Act (EMFA), entré en vigueur en août 2025, qui, sous prétexte de « protéger les médias », impose une modération qui frise la censure d’État.
Mais arrêtons-nous un instant : pourquoi cette frénésie ? Parce que
Macron et ses alliés bruxellois refusent tout discours contraire à leur
narrative mainstream. Les médias français, comme le montre la carte interactive du
Monde Diplomatique mise à jour en avril 2025, sont concentrés entre les
mains d’une poignée de milliardaires alignés sur les intérêts dominants – Vincent Bolloré, Bernard Arnault et d’autres oligarques qui dictent la ligne éditoriale.
Cette concentration démontre que l’information n’est plus plurielle, mais un outil de propagande pour le pouvoir en place.
L’image jointe à cette analyse – une infographie explosive titrée « Médias Français : Qui Possède Quoi ? »
– illustre parfaitement ce monopole : des flèches relient des empires
comme Lagardère (Europe 1, Paris Match) à des fortunes colossales,
Bolloré à CNews et i24News, Arnault à Les Échos et Le Parisien, sans
oublier les groupes comme Vivendi ou CMA CGM. Près de 90% des médias
nationaux sont détenus par une dizaine de familles ou groupes, tous liés
à des intérêts économiques alignés sur le néolibéralisme européen que
Macron incarne. Pas étonnant qu’il veuille museler les réseaux
sociaux : c’est là que les voix dissidentes – « extrême droite », gauche
radicale, « complotistes » ou simples citoyens exaspérés – trouvent un écho, loin du filtre des subventions d’État.
Cette croisade contre la liberté d’expression n’est pas nouvelle,
mais elle s’intensifie en 2025, année où l’Europe, selon un rapport
américain, voit une « détérioration » des droits humains avec des
« restrictions graves à la liberté d’expression ».
Macron, avec son arrogance jupitérienne, prétend sauver la démocratie en la bridant.
Mais examinons les faits : la France et l’UE disposent déjà d’un arsenal juridique monstrueux qui étouffe toute parole libre.
Ajouter de nouvelles couches de censure
est non seulement inutile, mais révélateur d’une panique face à une
opinion publique qui échappe au contrôle.
L’arsenal juridique existant : une machine à broyer la parole libre
Commençons par la France, ce pays des Lumières qui, sous Macron, ressemble de plus en plus à un État policier de la pensée. La loi sur la liberté de la presse de
1881, pilier du système, est un catalogue d’interdictions : injure,
diffamation (aggravée si raciale, homophobe ou sexiste), provocation à
des crimes, apologie de terrorisme, négationnisme via la loi Gayssot de 1990. Ajoutez la loi Schiappa de
2018, qui criminalise l’outrage sexiste et le harcèlement de rue – des
remarques obscènes ou sifflements deviennent des délits, sous prétexte
de protéger la dignité. Mais cela va plus loin : outrage à agent public,
offense au Président (oui, critiquer Macron trop violemment peut vous
valoir un procès), atteinte à la vie privée (article 9 du Code civil), droit à l’image sans consentement.
Et ce n’est pas tout, voici d’autres joyaux répressifs : la loi pour la Confiance dans l’Économie Numérique (LCEN) de 2004 oblige les hébergeurs à retirer les contenus illicites sur signalement ; la loi Avia de
2020, même partiellement censurée, forçait les plateformes à agir en 24
heures contre les « haineux ». En 2025, on ajoute la loi contre les
« fake news » en période électorale, issue de la loi de 2018 sur la manipulation de l’information, qui permet aux juges d’ordonner le retrait de contenus jugés mensongers. Sans oublier la loi sur le séparatisme de
2021, qui pénalise la « provocation à la haine » en ligne, ou la
récente transposition du règlement européen sur les contenus
terroristes, obligeant un retrait en une heure.
À l’échelle de l’UE, c’est pire : le DSA de 2022 impose aux
plateformes de gérer les « risques systémiques » comme la
désinformation, sous peine d’amendes astronomiques – jusqu’à 6% du
chiffre d’affaires mondial. Résultat ? Une sur-censure pour éviter les ennuis, où des publications légitimes mais controversés disparaissent. L’European Media Freedom Act de
2025, salué par RSF mais critiqué pour son potentiel de contrôle
étatique, protège les médias publics tout en imposant une « modération
active » contre la haine. Ajoutez le règlement sur les services de
médias audiovisuels (SMAS),
qui censure la « haine » dans les vidéos, et des projets en discussion
pour criminaliser le négationnisme à l’échelle européenne. Un rapport du Conseil de l’Europe en septembre 2025 dénonce déjà des « limites excessives » qui nuisent à la sécurité démocratique.
Avec un tel arsenal, pourquoi en ajouter
? Parce que Macron et l’UE craignent la vérité brute des réseaux
sociaux, où les algorithmes ne filtrent pas a priori comme dans les
médias subventionnés.
Ces lois existent pour réprimer, pas pour protéger : elles visent
les « discours de haine » larges, qui incluent souvent des critiques
politiques légitimes. En France, des humoristes comme Dieudonné ou
des activistes comme Alain Soral ont été condamnés pour des blagues ou
opinions. En Europe, des publications anti-vaccins ou pro-Palestine
disparaissent sous le DSA. C’est une censure proactive, où l’État décide ce qui est « acceptable ».
Pas besoin de plus : le gouvernement n’est pas un moraliste
Insistons : il n’est nul besoin d’ajouter encore à cet édifice
répressif. Macron prétend lutter contre la « désinformation », mais son
vrai but est de préserver le monopole mainstream. Les informations
ne doivent pas être filtrées a priori par un gouvernement – c’est le
principe même de la démocratie. Comme l’écrivait John Milton en 1644
dans « Areopagitica », la vérité émerge du choc des idées, pas d’une censure d’État. Ce
n’est pas à un président de faire la morale aux peuples : qui est
Macron pour décider que les contenus « d’extrême droite » sur X ou
« salafistes » sur TikTok sont toxiques ? Ces plateformes, bien que
biaisées, permettent un débat ouvert que les médias traditionnels
étouffent.
Le risque ? Une « police de la pensée » où tout écart est puni. Déjà,
en 2025, des journalistes indépendants comme ceux de Blast ou Off
Investigation se plaignent de pressions. L’UE, avec son « cordon
sanitaire » proposé par RSF, vise à isoler les médias « capturés » par
des États comme la Hongrie, mais cela pourrait s’étendre à tout média
non aligné.
Macron, en appelant à interdire les
anonymes ou les algorithmes opaques, veut un internet stérilisé, où
seuls les discours approuvés survivent.
Mais la morale d’État est une tyrannie : les peuples doivent juger
par eux-mêmes, pas être infantilisés par des élites déconnectées.
Le manque absolu de légitimité de Macron
Et parlons légitimité : Macron n’en a aucune pour prêcher ainsi.
En octobre 2025, sa cote de popularité a plongé à 11%, un record historique sous la Ve République, égalant le nadir de Hollande mais avec encore 19 mois de mandat. Selon des sondages Ifop, Verian et Odoxa, 80-89% des Français le jugent mauvais président. Sur X, les publications pullulent : « Macron à 11%, temps de destitution ? » , « Il veut censurer parce qu’il perd le contrôle » . Comment un homme haï par 89% de son peuple ose-t-il régenter la parole ? Son
discours anti-réseaux est une diversion : face à l’effondrement
économique, aux scandales (comme l’affaire Brigitte), il blâme les
internautes. Pas légitime, il est un danger.
Comparaison avec les États-Unis : la vraie liberté d’opinion
Regardons outre-Atlantique, pays que Macron cite (citait) souvent en
exemple : aux USA, le Premier Amendement protège quasi-absolument la
liberté d’expression. Pas d’exception générale pour « hate speech » –
racisme, négationnisme sont tolérés tant qu’ils ne menacent pas
imminemment. Seules les « true threats » ou incitations immédiates à la
violence sont bannies. La diffamation est dure à prouver pour les
figures publiques. Les plateformes privées modèrent, mais l’État ne peut
pas. Résultat ? Un débat vif, où les idées extrêmes sont contrecarrées
par plus de discours, pas par la censure.
En France/UE, c’est l’inverse : approche « droits de la personne » où l’État protège la dignité au prix de la liberté.
Vers une UESS, l’URSS Européenne
Macron et l’UE transforment l’idée européenne – paix, prospérité – en une UESS
: Union des États Socialistes Soviétiques, où la censure est la norme,
les élites décident de la vérité, et les peuples sont muselés.
Avec son 11% de soutien, Macron n’est qu’un symptôme d’un système pourri.
Résistons : la liberté d’expression est le rempart contre la
tyrannie. Pas de nouvelles lois, pas de morale d’État. Vive la parole
libre, ou l’Europe périra dans les ténèbres et les peuples européens
avec.