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novembre 14, 2025

La soumission des médias à l’état profond

La soumission des médias à l’état profond 

Comment le contrôle narratif étouffe la démocratie

Dans un monde où l’information est une arme, les médias traditionnels et les plateformes numériques ne sont plus des gardiens de la vérité, mais des instruments au service d’un « état profond » – ce réseau opaque d’agences de renseignement, d’ONG financées par des gouvernements, de médias subventionnés, du complexe militaro-industriel et de big tech qui dicte les narratifs politiques intérieurs et extérieurs.

 


 

Le récent scandale à la BBC, révélé par un mémo interne et amplifié par la démission de ses dirigeants Tim Davie et Deborah Turness le 9 novembre 2025, en est un exemple flagrant.

Comme l’a souligné Maria Zakharova, porte-parole du ministère des Affaires étrangères russe, dans son commentaire du 10 novembre 2025 : « La BBC, pour son film ‘Trump : Une seconde chance ?‘, avait monté le discours de Donald Trump de telle manière qu’il semblait que le président américain appelait à l’assaut du Capitole le 6 janvier 2021.« 


Ce montage, destiné à influencer l’élection américaine, illustre comment les médias occidentaux fabriquent des « fake news à l’échelle industrielle » pour servir des agendas politiques,

en reliant cela à des cas passés comme Bucha, l’affaire Skripal ou les allégations d’armes chimiques en Syrie à Douma. Zakharova va plus loin en accusant la BBC d’être une « corporation du mal britannique« , où le montage et les commandes politiques transforment le journalisme en propagande impunie.

 

Ce scandale n’est pas isolé ; il révèle une soumission systémique des médias à un état profond qui contrôle les flux d’information pour maintenir le pouvoir. Aux États-Unis, des agences comme la CIA, le DHS et le Département d’État collaborent avec des ONG comme l’Atlantic Council ou le Stanford Internet Observatory pour « débunker » des narratives dissidentes, souvent via des fuites classifiées ou des briefings informels. En Europe, l’Union européenne joue un rôle similaire, imposant des régimes de censure globale sous couvert de régulation numérique. Le résultat ? Une harmonisation forcée des discours, où toute voix critique est étouffée, que ce soit sur la politique intérieure (comme les élections américaines) ou extérieure (comme le conflit en Ukraine).

L’état profond : un réseau invisible de contrôle narratif

L’état profond n’est pas une théorie du complot, mais une réalité documentée : un écosystème où les intérêts des élites gouvernementales, des contractors comme Booz Allen Hamilton et des médias se fondent pour façonner l’opinion publique. Comme l’explique Mike Benz, ancien responsable cyber au Département d’État américain, ce réseau utilise des ONG pour « laver » des narratifs officiels, qui sont ensuite amplifiés par les médias et les plateformes. Par exemple, pendant la guerre en Ukraine, des médias comme le New York Post ont inversé des vidéos de crimes ukrainiens pour les attribuer à la Russie, un cas de « cynisme particulier » selon Maria Zakharova, où les réseaux de désinformation occidentaux blanchissent des criminels de guerre tout en diabolisant l’adversaire.

Sur le plan intérieur, ce contrôle s’exerce lors des élections.

Le montage de la BBC sur Trump visait explicitement à influencer les électeurs américains, en le dépeignant comme un instigateur de violence.

Des publications sur X soulignent comment des comptes pro-Trump ou critiques de l’Ukraine sont ciblés : « Quand des comptes comme @catturd2@DC_Draino, et d’autres commencent à percer le narratif, soudain l’algorithme se resserre comme un nœud coulant. Shadowbans, bans de recherche, throttling, blackouts d’engagement. Ce n’est pas aléatoire. C’est une réponse. Cela sent l’influence de tierces parties, des opérations de suppression au niveau fédéral ou donneurs d’ordres, masquées derrière ‘trust & safety’ (confiance et sécurité). Le mode opératoire est trop chirurgical. Trop opportun. Et toujours visant les truth-tellers (ceux qui disent la vérité), les dissidents et les voix « America First » . Ils ne peuvent pas contrer l’argument, donc ils tuent le signal. Ils ne peuvent pas arrêter la vérité, donc ils étouffent la portée. »

Le shadow banning : la censure invisible au service du narratif

Le shadow banning, cette pratique sournoise où les algorithmes réduisent la visibilité d’un contenu sans notification, est l’outil préféré de l’état profond pour étouffer les voix dissidentes.

Sur Meta (Facebook, Instagram), des exemples abondent : des éditeurs rapportent des shadow bans sur des sujets comme la guerre en Ukraine ou Gaza, où le contenu critique est relégué aux abysses algorithmiques.

Ce mécanisme n’est pas neutre ; il sert à préserver des narratifs officiels. Pendant le conflit ukrainien, des plateformes ont shadow-banné des contenus pro-russes ou neutres, sous pression de gouvernements occidentaux. Trump lui-même a été victime de cela sur Truth Social, avec des rumeurs (démenties) de bans en Ukraine, illustrant comment les big tech alignent leurs algorithmes sur des agendas étrangers. Le résultat ? Une illusion de débat libre, où seul le narratif dominant émerge, renforçant la polarisation et la manipulation.

 


 

Les lois liberticides : DSA, DMA et la lutte fantoche contre la désinformation

Sous le prétexte de combattre la « désinformation », l’UE a imposé des lois comme le Digital Services Act (DSA) et le Digital Markets Act (DMA), qui transforment les plateformes en organes de censure globale. Entrés en vigueur en 2024 et pleinement appliqués en 2025, ces actes obligent les géants du numérique à supprimer du contenu « illégal » ou « préjudiciable » , sous peine d’amendes massives. Mais qu’est-ce qui est « préjudiciable » ? Un rapport du Congrès américain révèle que le DSA cible le « core political speech » (discours dissident), comme labelliser un post « nous devons reprendre notre pays » comme « illegal hate speech » . Le DSA permet des « removal orders » (ordres de retrait) automatisés via des « trusted flaggers » (signaleurs de confiance) – souvent des ONG alignées sur l’état profond – menaçant la liberté d’expression non seulement en Europe, mais mondialement, car les plateformes appliquent ces règles uniformément.

Critiqué comme une « menace pour la liberté d’expression et la foi » , le DSA est vu par des experts comme un outil d’intimidation plutôt qu’une règle impartiale. Le DMA, quant à lui, vise la concurrence, mais renforce le pouvoir des gatekeepers (gardiens), favorisant une harmonisation des contenus qui étouffe la diversité. Des publications sur les réseaux sociaux dénoncent cela comme une « régime de censure globale » , où l’UE censure les Américains via des lois automatisées. Sous couvert de « transparence » et de « sécurité », ces lois conditionnent l’obéissance, transformant les médias en relais d’un narratif unique pro-UE, anti-Russie, anti-Trump.

 


 

Impacts sur la politique intérieure et extérieure

Ce contrôle narratif sape la démocratie. Intérieurement, il influence les élections en shadow-bannant des candidats comme Trump ou en amplifiant des scandales fabriqués, comme celui de la BBC. Extérieurement, il justifie des guerres : les médias occidentaux ont promu des narratifs sur l’Ukraine (Bucha) ou la Syrie (Casques blancs) sans preuves solides, servant les intérêts géopolitiques de l’OTAN. Comme le note une publication sur X, « L’USAID finançait des médias privés pour promouvoir la censure et attaquer les plateformes de liberté d’expression comme Rumble et X. » . L’état profond, via des pipelines d’influence (Réseaux de renseignements → ONG → médias → plateformes), crée un consensus manufacturé, où la dissidence devient « désinformation » .

En conclusion, la soumission des médias à l’état profond n’est pas une dérive ; c’est un système conçu pour perpétuer le pouvoir.

Le shadow banning et les lois comme le DSA/DMA ne luttent pas contre la désinformation, mais contre la vérité qui dérange. Comme l’avertit Maria Zakharova, sans procès ni enquête, ces « fabricants de fake news » s’en tirent avec une « douce réprimande« .

Pour préserver la démocratie, il faut résister : soutenir des plateformes indépendantes, exiger la transparence et rejeter les narratifs imposés. Sinon, nous risquons un monde où la liberté n’est qu’une illusion algorithmique.

 https://multipol360.com/la-soumission-des-medias-a-letat-profond/

 

Le directeur général de la BBC, Tim Davie, ainsi que la PDG de BBC News, Deborah Turness, démissionnent après la polémique autour du montage truqué du discours de Donald Trump.
 
Au moins cela bouge outre Manche, démission des patrons de la BBC après ces énormes fake news sur Donald Trump. Deux questions : 
 
- quand vont-ils êtres jugés ?
- quand est-ce que les patrons de presse français vont également démissionner (LCI, BFM, France TV,...)
 
 

 

novembre 04, 2025

Président Macron, vers une expression cadenassée comme tendre vers un chaos orchestré ?

France : vers un chaos orchestré ? Macron, la DOT et le spectre d’une dictature européenne 

En ce début de novembre 2025, la France semble plonger dans un abîme de désarroi politique et social. L’Assemblée nationale est paralysée, figée dans des débats stériles qui ne mènent nulle part, tandis que les Français s’appauvrissent jour après jour, écrasés par une inflation galopante, des taxes omniprésentes et une précarité qui ronge les classes moyennes. La presse, de plus en plus alignée sur les intérêts de Bruxelles et de l’OTAN – ce proxy des États-Unis –, martèle un narratif belliqueux, poussant à une guerre contre la Russie qui semble inévitable aux yeux des élites. Emmanuel Macron, avec sa cote de popularité au plus bas, refuse obstinément de démissionner, préférant aggraver le chaos qu’il a lui-même orchestré. La population est fracturée : d’un côté, les « bobos » et les boomers déconnectés collaborent avec le système ; de l’autre, une masse laborieuse joue l’autruche, une autre adhère par inertie à la doxa dominante, incapable d’analyser les faits ; enfin, les « Éveillés » tentent désespérément d’alerter sur la gravité de l’heure, évoquant un glissement vers une dictature, une guerre mondiale – potentiellement nucléaire – ou les deux à la fois.


Cet article se propose d’explorer ces dynamiques à travers des documents officiels et des analyses critiques, en mettant en lumière comment Emmanuel Macron organise la division pour mieux régner, prépare les corps d’État au chaos, et réactive des mécanismes comme la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT) pour museler l’intérieur pendant que l’OTAN s’attaque à l’extérieur.

Nous examinerons aussi les outils constitutionnels qui donnent une apparence de légitimité à ces manœuvres, tout en servant de base à une gouvernance européenne, prélude à un Nouvel Ordre Mondial (NOM) cher aux mondialistes. L’heure est grave : un plan semble lancé pour écraser la souveraineté française et imposer un contrôle totalitaire. Il est temps de réveiller les consciences avant qu’il ne soit trop tard.

Macron et la stratégie de division : diviser pour mieux régner

Emmanuel Macron n’a pas inventé la maxime machiavélienne « diviser pour mieux régner », mais il l’applique avec une maestria qui frise le cynisme. Depuis son accession au pouvoir en 2017, Macron a systématiquement fracturé la société française, opposant les uns aux autres pour consolider son emprise. Les Gilets Jaunes en 2018 en sont un exemple flagrant : face à une révolte populaire contre les taxes sur les carburants, Macron a qualifié les manifestants de « foule haineuse » tout en accusant les extrêmes de manipulation, divisant ainsi les classes populaires des « élites » urbaines.

Cette stratégie n’est pas fortuite ; elle s’inscrit dans une logique de pouvoir absolu, où le chaos social devient un outil de gouvernance.

Aujourd’hui, avec une Assemblée nationale embourbée dans des querelles partisanes, Emmanuel Macron exploite les divisions pour imposer ses réformes. La presse internationale s’alarme du « chaos politique » en France, qualifiant Macron de « plus isolé que jamais » et confronté à un dilemme insoluble : maintenir le cap au risque d’aggraver la crise. Les divisions sont multiples : entre gauche et droite, entre pro et anti-UE, entre urbains et ruraux. Macron rejette toute responsabilité dans ce chaos, affirmant que « après lui, ce sera le chaos » , une rhétorique qui masque son rôle central dans la déconstruction du bipartisme traditionnel. En dissolvant l’Assemblée en juin 2024, il a accentué les fractures, menant à une configuration a-majoritaire où personne ne peut gouverner sans compromis – sauf lui, qui tire les ficelles depuis l’Élysée.

Cette division n’est pas seulement politique ; elle est sociale et économique. Les Français se paupérisent : l’inflation alimentaire atteint des records, les factures énergétiques explosent, et les inégalités se creusent. Pendant ce temps, Macron pousse à une guerre contre la Russie, aligné sur les intérêts de l’OTAN et de Bruxelles.

La presse « collaborationniste » – un pléonasme de nos jours – amplifie ce narratif, présentant la Russie comme l’ennemi existentiel, alors que les véritables menaces sont internes : narcotrafic, insécurité, et effondrement économique.

Les « Éveillés » voient clair : cette bellicosité sert à détourner l’attention d’un échec domestique, tout en préparant le terrain à une répression accrue.

Préparations au chaos : les corps d’état en alerte

Macron ne se contente pas de diviser ; il prépare activement le chaos. Des documents et déclarations révèlent que l’Élysée a ordonné à tous les corps d’État – militaires, gendarmerie, police, hôpitaux, préfets – de se tenir prêts à des troubles majeurs. Le général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, a averti d’un « choc » imminent dans les trois à quatre ans, invoquant la menace russe. Mais c’est le général Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale, qui a été le plus explicite : lors d’auditions au Sénat, il a évoqué des « agitations » internes en cas d’engagement à l’Est, incluant sabotages et manifestations. Bonneau envisage « sérieusement » un conflit armé en France, préparant la gendarmerie à réprimer l’opposition à une guerre contre la Russie.

Ces préparations ne sont pas anodines. La gendarmerie muscle son arsenal : 800 millions d’euros pour des fusils d’assaut, véhicules blindés Centaure, et systèmes de vision nocturne, déployés pour la première fois lors de grèves nationales en septembre 2025. Les hôpitaux, préfets et police sont aussi mobilisés : des rapports parlementaires parlent de résilience nationale face à des crises cumulées, incluant cyberattaques et émeutes. L’État anticipe un « front intérieur » miroir de la guerre extérieure, où la population, divisée, pourrait se rebeller contre un engagement otanien.

 


 

Cette anticipation de la peur vise à justifier un renforcement sécuritaire face à sa propre population. Comme l’indique un article de France Soir, « avant la guerre, la peur » :

l’État muscle son appareil pour contenir des réactions hostiles, confondant contestation politique et menace nationale.

Macron, en refusant de démissionner malgré une popularité pitoyable, pousse vers ce chaos, aligné sur les intérêts mondiaux qui voient la France comme un pion dans une partie plus grande contre Russie, Venezuela, Chine, Inde et Iran et plus si affinités…

La défense opérationnelle du territoire (DOT) : museler l’intérieur pendant que l’OTAN combat l’extérieur

Au cœur de ces préparations se trouve la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT), un mécanisme militaire réactivé pour réprimer l’intérieur. Historiquement, la DOT émerge des leçons de la Seconde Guerre mondiale, évoluant en 1950 pour contrer les actions subversives du Pacte de Varsovie. Le décret de 1973 en fait une composante clé de la défense militaire, protégeant la liberté d’action du gouvernement et les organes essentiels.

Sous Macron, la DOT est intégrée à l’Organisation Territoriale Interarmées de Défense (OTIAD), qui coordonne les forces pour des missions internes.

Le général Bonneau l’a liée explicitement à un engagement à l’Est : la gendarmerie, pilier de la DOT, anticipe des oppositions internes, protégeant le territoire pendant que les armées combattent à l’extérieur. Cela crée un étau : l’OTAN muselle l’extérieur (contre la Russie), tandis que la DOT réprime l’intérieur.

Les documents officiels sont alarmants. La DOT protège plus de 8.000 points essentiels, priorisant les installations nucléaires et infrastructures vitales. En cas d’activation, les officiers généraux de zone assument le commandement interarmes, pouvant transférer l’ordre public aux militaires. Historiquement, elle s’inspire de la Garde nationale, utilisée pour réprimer des insurrections. Aujourd’hui, avec des opérations comme Sentinelle et Vigipirate, elle glisse vers un contrôle permanent, prêt à écraser toute dissidence.

Le peuple est pris en tenaille : d’un côté, l’OTAN pousse à la guerre nucléaire ; de l’autre, la DOT réprime les « agitations ». C’est un plan pour imposer une dictature intérieure sous couvert de défense nationale.

Outils constitutionnels : une apparence de légalité pour un pouvoir absolu

Pour légitimer ce chaos, Macron s’appuie sur des articles constitutionnels qui, bien qu’hérités de de Gaulle, sont détournés. Contrairement au Général, qui démissionna en 1969 pour un référendum perdu, Macron abuse de ces outils pour contourner le Parlement.

L’article 16, qualifié de « dictature temporaire », permet au président d’accaparer les pouvoirs en cas de péril imminent. Utilisé une fois en 1961, il inquiète aujourd’hui : avec une Assemblée bloquée, Macron pourrait l’invoquer pour imposer ses réformes.

L’article 45 contribue à l’« impuissance organisée » , limitant les amendements parlementaires via la jurisprudence du Conseil constitutionnel, favorisant l’exécutif. L’article 47 permet de passer les budgets par ordonnance si le Parlement dépasse les délais, évitant un débat complet.

L’article 49-3 est l’arme favorite de Macron : utilisé 25 fois depuis 2020, il force l’adoption sans vote, provoquant des crises comme les retraites en 2023. Critiqué comme anti-démocratique, il expose l’isolement de Macron. Les ordonnances (art. 38) bypassent aussi le Parlement, comme pour le code du travail.

Ces outils donnent une légitimité factice à un pouvoir absolu, loin de l’esprit gaullien.

Vers une gouvernance européenne et mondiale : le plan des mondialistes

Derrière ce chaos, un plan plus vaste : imposer une gouvernance européenne, base d’un nouvel ordre mondial. Macron, aligné sur Bruxelles et l’OTAN, pousse à une guerre qui servira de prétexte à l’intégration forcée. La DOT et les préparations sécuritaires écraseront les résistances nationales, pendant que l’UE impose ses diktats.

Les mondialistes rêvent d’un super-État : après la Russie, le Venezuela, la Chine, l’Inde et l’Iran seront visés. La France, paupérisée et divisée, deviendra un laboratoire de ce contrôle total, mêlant dictature intérieure et guerre globale.

L’heure est grave, réveillez-vous !

La France est au bord du précipice. Macron orchestre un chaos pour imposer une dictature via la DOT et les outils constitutionnels, aligné sur un agenda mondialiste. Le peuple, pris en étau, doit s’éveiller : refusez la guerre, rejetez la division, sauvez la souveraineté ! L’avenir dépend de nous.

https://multipol360.com/france-vers-un-chaos-orchestre-macron-la-dot-et-le-spectre-dune-dictature-europeenne/ 

 


Macron s’attaque une fois de plus aux réseaux sociaux 

Dans un contexte de défiance croissante envers les institutions, le président français Emmanuel Macron multiplie les initiatives visant à réguler les contenus en ligne, suscitant des inquiétudes quant à leur impact sur la liberté d’expression. Des discours récents aux lois passées, un fil rouge se dessine : une volonté de contrôler l’espace informationnel, souvent au nom de la lutte contre la désinformation ou la haine. Cet article examine ces mesures, leurs antécédents et les critiques qu’elles soulèvent, en s’appuyant sur des analyses et des témoignages issus de sources variées.

Les déclarations récentes : une charge contre les réseaux sociaux

Le 29 octobre 2025, lors d’un discours à Paris, Emmanuel Macron a dénoncé les réseaux sociaux comme des vecteurs de désinformation et d’extrémisme.

Il a qualifié X (anciennement Twitter) de plateforme « dominée par des contenus d’extrême droite » en raison de l’influence de son propriétaire, Elon Musk, décrit comme participant à un « mouvement réactionnaire international » . TikTok, de son côté, est accusé de favoriser une « excitation maximale » pour maximiser les revenus publicitaires, au détriment du débat démocratique. Le président a plaidé pour un « agenda de protection et de régulation beaucoup plus fort en Europe » , visant à « reprendre le contrôle » de l’espace démocratique face aux ingérences étrangères, notamment russes.

Ces propos s’inscrivent dans une continuité. En septembre 2025, Macron avait déjà averti que les algorithmes des réseaux sociaux « tuent la démocratie » en privilégiant l’émotion sur la raison. Il propose d’interdire les comptes anonymes et de rendre les plateformes responsables des contenus publiés, sous peine d’amendes sévères. Selon lui, plus de 40 % des jeunes s’informent via ces plateformes, les exposant à des risques de manipulation.

Un historique de mesures restrictives : de la loi AVIA au DSA

Cette posture n’est pas nouvelle. Dès 2020, la loi Avia, soutenue par le gouvernement Macron, visait à combattre les contenus haineux en ligne en imposant aux plateformes de retirer les signalements dans les 24 heures, sans intervention judiciaire. Bien que partiellement censurée par le Conseil constitutionnel pour atteinte disproportionnée à la liberté d’expression, elle illustre une tendance à la censure extrajudiciaire. La loi a été promulguée le 24 juin 2020, malgré les critiques de défenseurs des droits numériques comme La Quadrature du Net, qui y voyaient « cinq ans de surveillance et de censure » sous Macron.

Aujourd’hui, ces efforts se prolongent au niveau européen via le Digital Services Act (DSA), entré en vigueur en 2024, qui permet des sanctions jusqu’à 6 % du chiffre d’affaires mondial pour « risques systémiques » comme la désinformation. Couplé au règlement eIDAS sur les identités numériques, il pourrait mettre fin à l’anonymat en ligne, une mesure défendue par Macron depuis 2022 pour lutter contre la haine. En juin 2025, il a même proposé d’interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans, exerçant une pression sur Bruxelles pour renforcer l’application du DSA.

Des rapports comme celui de Freedom House notent une légère amélioration de la liberté en ligne en France, mais mettent en garde contre ces tentatives de régulation qui pourraient mener à une censure accrue.

L’affaire Brigitte Macron : un exemple de répression sélective ?

Un cas emblématique de ces tensions est le procès pour cyberharcèlement intenté par Brigitte Macron contre dix personnes accusées de propager des rumeurs transphobes la concernant. Débuté le 29 octobre 2025, il met en lumière le débat sur les limites de la liberté d’expression. Les avocats de la Première dame ont réclamé 15.000 euros de dommages, arguant que « la liberté d’expression n’est pas sans limites » . Les défendeurs, âgés de 41 à 60 ans, invoquent le droit à l’humour et à la satire, tandis que des observateurs comme Euronews soulignent comment ce dossier ouvre un débat sur la liberté d’expression en France.

Ces rumeurs, persistantes depuis quatre ans, ont été amplifiées par des figures comme l’influenceuse américaine Candace Owens, qui fait l’objet d’une plainte séparée. La fille de Brigitte Macron, Tiphaine Auzière, a témoigné que ces allégations ont « détérioré » la qualité de vie de sa mère. Critiques et médias alternatifs y voient une utilisation sélective de la justice pour museler les voix dissidentes, comparant cela à des batailles judiciaires aux États-Unis sur la liberté d’expression.

L’épouvantail de l’ « extrême droite » : un label discréditant ?

Les discours de Macron ciblent souvent ce qu’il qualifie d’ « extrême droite », un terme perçu par nombre de Français comme un outil de discrédit employé par les médias mainstream – détenus à 90 % par des milliardaires et subventionnés. Ce label englobe des formations comme le Rassemblement National ou Reconquête, situées à droite des Républicains, un parti décrit aujourd’hui comme corrompu et déconnecté des Français, représentant principalement les « boomers » et les « bobos » collaborationnistes. Des analyses soulignent que cette appellation sert à marginaliser des débats sur l’immigration, la souveraineté et l’identité, thèmes populaires mais évités par les élites.

Amnesty International et d’autres organisations internationales expriment des préoccupations sur le bilan français en matière de liberté d’expression, notant des restrictions sous couvert de sécurité. À l’étranger, des médias comme The Spectator accusent Macron de « déclarer la guerre à la liberté d’expression » , prédisant une surveillance généralisée.

Implications et perspectives

Ces mesures pourraient mener à une « bureaucratisation de la pensée » , où le débat ne survit que sous licence, selon des critiques. Avec le DSA et eIDAS, l’Europe risque d’imposer un modèle de modération qui influence même au-delà de ses frontières.

Alors que la cote de popularité de Macron avoisine les 11 %, ces initiatives sont vues par beaucoup comme une réponse à la perte de contrôle narratif, plutôt qu’une défense sincère de la démocratie.

En conclusion, si la régulation des réseaux sociaux répond à des défis réels, les approches d’Emmanuel Macron soulèvent des questions légitimes sur l’équilibre entre protection et liberté. Un débat inclusif, impliquant société civile et experts indépendants, semble essentiel pour éviter une polarisation accrue.

https://multipol360.com/macron-sattaque-une-fois-de-plus-aux-reseaux-sociaux/ 

 


 

Emmanuel Macron : un chef d’État défaillant qui abandonne la barre et salit l’image de la France 

Dans un contexte politique déjà tendu en France, avec une cote de popularité en berne et des crises multiples à l’horizon,

Emmanuel Macron a récemment confié à des proches une phrase qui résonne comme un aveu d’échec : « Sur la politique nationale, je lâche le manche ».

Rapportée par Le Parisien le 3 novembre 2025, cette déclaration marque un tournant dans la présidence de celui qui, élu en 2017 sur une promesse de renouveau, semble désormais se désengager des affaires intérieures du pays. Mais au-delà de cette récente sortie, c’est un schéma récurrent qui interroge : un apparent dégoût pour la France et ses citoyens, exprimé à travers des petites phrases assassines qui minent la légitimité d’un chef d’État.

Un dégoût affiché pour la culture française

Dès sa campagne présidentielle en 2017, Emmanuel Macron n’a pas hésité à remettre en question l’essence même de l’identité nationale. Dans un discours qui a fait scandale, il a déclaré : « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France et elle est diverse ».  Cette affirmation, souvent citée comme un exemple de son cosmopolitisme exacerbé, a été interprétée par beaucoup comme un mépris pour l’héritage culturel français, de Molière à Camus, en passant par la gastronomie et les traditions régionales. Plutôt que de célébrer une culture unificatrice, Macron la dissout dans un multiculturalisme abstrait, comme s’il éprouvait une forme de dégoût pour ce qui fait l’âme de la nation. Cette phrase n’était pas une gaffe isolée, mais un reflet d’une vision où la France n’est qu’un puzzle parmi d’autres dans un ensemble européen plus vaste.

Une obsession pour l’Europe au détriment de la France

Emmanuel Macron parle abondamment d’Europe, mais rarement de la France en tant que telle. Ses discours emblématiques, comme celui de la Sorbonne en 2017 où il appelait à une « initiative pour l’Europe » souveraine, unie et démocratique, ou plus récemment en 2024 où il avertissait que « l’Europe peut mourir » sans un nouveau paradigme, démontrent une priorisation claire. Il évoque une Europe qui ne peut plus compter sur les États-Unis pour sa sécurité, mais où est la France dans tout cela ? Critiques et observateurs notent que ses interventions internationales relèguent souvent les enjeux nationaux au second plan, comme si la France n’était qu’un moyen au service d’une ambition européenne.

Ce déséquilibre nourrit le sentiment que le président est déconnecté de son propre pays, préférant les sommets bruxellois aux réalités hexagonales.

Les petites phrases assassines : un mépris récurrent pour les Français

Au fil des ans, Emmanuel Macron a accumulé un florilège de déclarations qui, loin d’unir, divisent et blessent. Ces « petites phrases assassines » contre les Français révèlent un président qui semble parfois voir ses concitoyens comme des obstacles plutôt que des alliés. En voici quelques-unes emblématiques :

  • « Des Gaulois réfractaires au changement » : Lors d’un voyage au Danemark en 2018, Macron a comparé les Français à des « Gaulois » résistants au progrès, les opposant aux « Luthériens » danois plus adaptables.  Une insulte à l’esprit français, perçu comme archaïque.
  • « Je traverse la rue, je vous trouve du travail » : En 2018, face à un jeune horticulteur au chômage, cette réplique a été vue comme une moquerie envers les difficultés des classes populaires.
  • « Des gens qui ne sont rien » : En 2017, inaugurant une start-up, il a décrit les gares comme des lieux où l’on croise « les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien ».  Un mépris social flagrant.
  • « Le pognon de dingue » : En 2018, critiquant les aides sociales, il a déclaré que « on met un pognon de dingue dans les minima sociaux » sans résultats.
  • « Les illettrés » : En 2014, alors ministre, il a parlé des employées d’un abattoir comme « beaucoup d’illettrées ».
  • Plus récemment, « emmerder les non-vaccinés » en 2022, ou des allusions à des Français « complètement cons ».

Ces sorties, souvent qualifiées à tort de maladresses, forment un ensemble cohérent de dédain qui érode la confiance. Elles ne sont pas anodines : elles alimentent le ressentiment et contribuent à la désaffection populaire, comme en témoigne sa faible popularité actuelle (11% de satisfaits).


Un président qui ne peut plus diriger après de telles déclarations

Comment un président de la République peut-il encore prétendre diriger un pays qu’il semble si souvent dénigrer ? En avouant « lâcher le manche » sur la politique nationale, Macron admet implicitement son échec à connecter avec les Français.

Un chef d’État se doit d’incarner l’unité nationale, de défendre l’identité et les intérêts de son peuple.

Lorsque les phrases assassines s’accumulent, la légitimité s’effrite. Comme l’ont noté des ministres cités dans Le Parisien, « pour nous, c’est mieux qu’il se taise ».  À partir du moment où un leader exprime un tel désengagement, il perd l’autorité morale nécessaire pour gouverner. La France mérite un président qui croit en elle, pas un qui la relègue au second plan.

Une première dans l’histoire de l’occident ?

Certes, l’histoire occidentale n’est pas exempte de leaders critiques envers leur peuple – pensons à Charles de Gaulle qualifiant les Français de « veaux » en 1940, alors qu’il était en exil et que les Français se résignaient à accepter le pouvoir de Vichy et avant d’accéder au pouvoir présidentiel, ou à des présidents américains comme Richard Nixon, impliqués dans des scandales qui ont miné la confiance publique.
Cependant, l’intensité et la récurrence des attaques de Macron contre l’identité française, combinées à son désengagement récent, marquent peut-être une première : un président qui dénigre autant son propre pays tout en restant au pouvoir. Dans un Occident où les leaders sont censés promouvoir le patriotisme, cette posture apparaît comme une anomalie historique, risquant de fragiliser non seulement la France, mais l’idée même de nation souveraine.
 
 

 
En conclusion, les déclarations d’Emmanuel Macron ne sont pas de simples lapsus ; elles révèlent une vision qui privilégie l’Europe abstraite au détriment d’une France concrète et fière. Il est temps pour les Français de réfléchir à ce que signifie un leadership véritable, loin des phrases qui blessent et des manches lâchés.

 

 

 

 

octobre 31, 2025

Emmanuel Macron et la liberté d’expression ?

Rhôoo L'audimat dérange les médias publics subventionnés
Les salauds de complotistes privés....
Selon l'exécutif, les réseaux sociaux sont «des plateformes qui sont faites pour vendre de la publicité individualisée». → https://l.lefigaro.fr/AlQw
La liberté d'expression n'est pas négociable
 
 

Macron et l’UE : l’assaut final contre la liberté d’expression 

Ou comment transformer l’Europe en UESS

Emmanuel Macron, ce président autoproclamé « progressiste » qui flotte dans les sondages comme un ballon crevé, vient une fois de plus de révéler son vrai visage : celui d’un censeur en chef, obsédé par le contrôle de l’information. Dans son discours du 29 octobre 2025 au Forum de Paris sur la Paix, il a osé accuser les réseaux sociaux – TikTok, X, Instagram – de « dégénérescence démocratique » , appelant à une régulation draconienne pour « reprendre le contrôle » de notre vie informationnelle. Interdire les faux comptes ? Bannir les plateformes récalcitrantes ? Transparence forcée des algorithmes ?

Tout cela sent le totalitarisme à plein nez, surtout venant d’un homme qui maîtrise déjà les médias traditionnels français comme un marionnettiste tire les ficelles.

Et l’Union Européenne, cette machine bureaucratique insatiable, lui emboîte le pas avec son arsenal de règlements comme le Digital Services Act (DSA) ou le tout récent European Media Freedom Act (EMFA), entré en vigueur en août 2025, qui, sous prétexte de « protéger les médias », impose une modération qui frise la censure d’État.

Mais arrêtons-nous un instant : pourquoi cette frénésie ? Parce que Macron et ses alliés bruxellois refusent tout discours contraire à leur narrative mainstream. Les médias français, comme le montre la carte interactive du Monde Diplomatique mise à jour en avril 2025, sont concentrés entre les mains d’une poignée de milliardaires alignés sur les intérêts dominants – Vincent Bolloré, Bernard Arnault et d’autres oligarques qui dictent la ligne éditoriale.


Cette concentration démontre que l’information n’est plus plurielle, mais un outil de propagande pour le pouvoir en place.

L’image jointe à cette analyse – une infographie explosive titrée « Médias Français : Qui Possède Quoi ? » – illustre parfaitement ce monopole : des flèches relient des empires comme Lagardère (Europe 1, Paris Match) à des fortunes colossales, Bolloré à CNews et i24News, Arnault à Les Échos et Le Parisien, sans oublier les groupes comme Vivendi ou CMA CGM. Près de 90% des médias nationaux sont détenus par une dizaine de familles ou groupes, tous liés à des intérêts économiques alignés sur le néolibéralisme européen que Macron incarne. Pas étonnant qu’il veuille museler les réseaux sociaux : c’est là que les voix dissidentes – « extrême droite », gauche radicale, « complotistes » ou simples citoyens exaspérés – trouvent un écho, loin du filtre des subventions d’État.

Cette croisade contre la liberté d’expression n’est pas nouvelle, mais elle s’intensifie en 2025, année où l’Europe, selon un rapport américain, voit une « détérioration » des droits humains avec des « restrictions graves à la liberté d’expression ».

Macron, avec son arrogance jupitérienne, prétend sauver la démocratie en la bridant.

Mais examinons les faits : la France et l’UE disposent déjà d’un arsenal juridique monstrueux qui étouffe toute parole libre.

Ajouter de nouvelles couches de censure est non seulement inutile, mais révélateur d’une panique face à une opinion publique qui échappe au contrôle.

L’arsenal juridique existant : une machine à broyer la parole libre

Commençons par la France, ce pays des Lumières qui, sous Macron, ressemble de plus en plus à un État policier de la pensée. La loi sur la liberté de la presse de 1881, pilier du système, est un catalogue d’interdictions : injure, diffamation (aggravée si raciale, homophobe ou sexiste), provocation à des crimes, apologie de terrorisme, négationnisme via la loi Gayssot de 1990. Ajoutez la loi Schiappa de 2018, qui criminalise l’outrage sexiste et le harcèlement de rue – des remarques obscènes ou sifflements deviennent des délits, sous prétexte de protéger la dignité. Mais cela va plus loin : outrage à agent public, offense au Président (oui, critiquer Macron trop violemment peut vous valoir un procès), atteinte à la vie privée (article 9 du Code civil), droit à l’image sans consentement.

Et ce n’est pas tout, voici d’autres joyaux répressifs : la loi pour la Confiance dans l’Économie Numérique (LCEN) de 2004 oblige les hébergeurs à retirer les contenus illicites sur signalement ; la loi Avia de 2020, même partiellement censurée, forçait les plateformes à agir en 24 heures contre les « haineux ». En 2025, on ajoute la loi contre les « fake news » en période électorale, issue de la loi de 2018 sur la manipulation de l’information, qui permet aux juges d’ordonner le retrait de contenus jugés mensongers. Sans oublier la loi sur le séparatisme de 2021, qui pénalise la « provocation à la haine » en ligne, ou la récente transposition du règlement européen sur les contenus terroristes, obligeant un retrait en une heure.

À l’échelle de l’UE, c’est pire : le DSA de 2022 impose aux plateformes de gérer les « risques systémiques » comme la désinformation, sous peine d’amendes astronomiques – jusqu’à 6% du chiffre d’affaires mondial. Résultat ? Une sur-censure pour éviter les ennuis, où des publications légitimes mais controversés disparaissent. L’European Media Freedom Act de 2025, salué par RSF mais critiqué pour son potentiel de contrôle étatique, protège les médias publics tout en imposant une « modération active » contre la haine. Ajoutez le règlement sur les services de médias audiovisuels (SMAS), qui censure la « haine » dans les vidéos, et des projets en discussion pour criminaliser le négationnisme à l’échelle européenne. Un rapport du Conseil de l’Europe en septembre 2025 dénonce déjà des « limites excessives » qui nuisent à la sécurité démocratique.

Avec un tel arsenal, pourquoi en ajouter ? Parce que Macron et l’UE craignent la vérité brute des réseaux sociaux, où les algorithmes ne filtrent pas a priori comme dans les médias subventionnés.

Ces lois existent pour réprimer, pas pour protéger : elles visent les « discours de haine » larges, qui incluent souvent des critiques politiques légitimes. En France, des humoristes comme Dieudonné ou des activistes comme Alain Soral ont été condamnés pour des blagues ou opinions. En Europe, des publications anti-vaccins ou pro-Palestine disparaissent sous le DSA. C’est une censure proactive, où l’État décide ce qui est « acceptable ».

 

Pas besoin de plus : le gouvernement n’est pas un moraliste

Insistons : il n’est nul besoin d’ajouter encore à cet édifice répressif. Macron prétend lutter contre la « désinformation », mais son vrai but est de préserver le monopole mainstream. Les informations ne doivent pas être filtrées a priori par un gouvernement – c’est le principe même de la démocratie. Comme l’écrivait John Milton en 1644 dans « Areopagitica », la vérité émerge du choc des idées, pas d’une censure d’État. Ce n’est pas à un président de faire la morale aux peuples : qui est Macron pour décider que les contenus « d’extrême droite » sur X ou « salafistes » sur TikTok sont toxiques ? Ces plateformes, bien que biaisées, permettent un débat ouvert que les médias traditionnels étouffent.

Le risque ? Une « police de la pensée » où tout écart est puni. Déjà, en 2025, des journalistes indépendants comme ceux de Blast ou Off Investigation se plaignent de pressions. L’UE, avec son « cordon sanitaire » proposé par RSF, vise à isoler les médias « capturés » par des États comme la Hongrie, mais cela pourrait s’étendre à tout média non aligné.

Macron, en appelant à interdire les anonymes ou les algorithmes opaques, veut un internet stérilisé, où seuls les discours approuvés survivent.

Mais la morale d’État est une tyrannie : les peuples doivent juger par eux-mêmes, pas être infantilisés par des élites déconnectées.

 

Le manque absolu de légitimité de Macron

Et parlons légitimité : Macron n’en a aucune pour prêcher ainsi.

En octobre 2025, sa cote de popularité a plongé à 11%, un record historique sous la Ve République, égalant le nadir de Hollande mais avec encore 19 mois de mandat. Selon des sondages Ifop, Verian et Odoxa, 80-89% des Français le jugent mauvais président. Sur X, les publications pullulent : « Macron à 11%, temps de destitution ? » , « Il veut censurer parce qu’il perd le contrôle » . Comment un homme haï par 89% de son peuple ose-t-il régenter la parole ? Son discours anti-réseaux est une diversion : face à l’effondrement économique, aux scandales (comme l’affaire Brigitte), il blâme les internautes. Pas légitime, il est un danger.

Comparaison avec les États-Unis : la vraie liberté d’opinion

Regardons outre-Atlantique, pays que Macron cite (citait) souvent en exemple : aux USA, le Premier Amendement protège quasi-absolument la liberté d’expression. Pas d’exception générale pour « hate speech » – racisme, négationnisme sont tolérés tant qu’ils ne menacent pas imminemment. Seules les « true threats » ou incitations immédiates à la violence sont bannies. La diffamation est dure à prouver pour les figures publiques. Les plateformes privées modèrent, mais l’État ne peut pas. Résultat ? Un débat vif, où les idées extrêmes sont contrecarrées par plus de discours, pas par la censure.

En France/UE, c’est l’inverse : approche « droits de la personne » où l’État protège la dignité au prix de la liberté.

 

Vers une UESS, l’URSS Européenne

Macron et l’UE transforment l’idée européenne – paix, prospérité – en une UESS : Union des États Socialistes Soviétiques, où la censure est la norme, les élites décident de la vérité, et les peuples sont muselés.

Avec son 11% de soutien, Macron n’est qu’un symptôme d’un système pourri.

Résistons : la liberté d’expression est le rempart contre la tyrannie. Pas de nouvelles lois, pas de morale d’État. Vive la parole libre, ou l’Europe périra dans les ténèbres et les peuples européens avec.

https://multipol360.com/macron-et-lue-lassaut-final-contre-la-liberte-dexpression/

 

 

 

octobre 11, 2025

Le Cri d’alarme de Pavel Durov, Fondateur de Telegram, le Jour de son Anniversaire.

« J’ai 41 ans, mais je n’ai pas envie de fêter ça. Notre génération est en train de manquer de temps pour sauver l’Internet libre que nos pères ont construit pour nous. Ce qui fut autrefois la promesse d’un libre échange d’informations devient aujourd’hui l’outil de contrôle ultime. Les pays autrefois libres mettent en place des mesures dystopiques : identités numériques (Royaume-Uni), vérifications d’âge en ligne (Australie), surveillance massive des messages privés (Union européenne). L’Allemagne persécute ceux qui osent critiquer leurs dirigeants sur Internet. Le Royaume-Uni emprisonne des milliers de personnes pour leurs tweets. La France poursuit pénalement des responsables du numérique qui défendent la liberté et la vie privée. Un monde sombre et dystopique approche à toute vitesse — pendant que nous dormons. Notre génération risque d’entrer dans l’Histoire comme la dernière à avoir connu les libertés… et à les avoir laissées disparaître. On nous a menti. On nous a fait croire que le plus grand combat de notre génération consistait à détruire tout ce que nos ancêtres nous ont légué : la tradition, la vie privée, la souveraineté, le libre marché et la liberté d’expression. En trahissant leur héritage, nous nous sommes engagés sur une voie d’autodestruction — morale, intellectuelle, économique, et, au bout du compte, biologique. Alors non, je ne vais pas célébrer aujourd’hui. Le temps m’est compté. Le temps NOUS est compté. »

 


 

Le cri de désespoir de Pavel Durov : un avertissement sur l’érosion des libertés numériques 

Le 10 octobre 2025, à l’occasion de son 41e anniversaire, Pavel Durov, fondateur de Telegram, a partagé un message poignant sur son canal personnel, exprimant un profond sentiment d’urgence face à la dégradation des libertés sur Internet.

Ce texte, empreint de désarroi, dénonce la transformation d’un outil conçu pour l’échange libre d’informations en un instrument de surveillance et de contrôle massif.

Durov appelle à une prise de conscience immédiate pour préserver un web respectueux de la vie privée et de la souveraineté individuelle, avant qu’il ne soit trop tard.

 


 

Le message de Durov : un refus de fêter face à une menace globale

Durov commence par rejeter toute célébration, soulignant que le temps manque pour sauver l’Internet libre hérité des générations précédentes. Voici le contenu intégral de son post, publié en anglais mais traduit pour clarté :

« J’ai 41 ans aujourd’hui, mais je n’ai pas envie de fêter ça. Notre génération manque de temps pour sauver l’Internet libre bâti par nos pères. Ce qui était la promesse d’un échange libre d’informations devient l’outil ultime de contrôle. Des pays autrefois libres introduisent des mesures dystopiques : identités numériques (Royaume-Uni), vérifications d’âge en ligne (Australie), et scans massifs de messages privés (UE). L’Allemagne persécute quiconque critique les officiels sur Internet. Le Royaume-Uni emprisonne des milliers de personnes pour leurs tweets. La France enquête pénalement sur les leaders de la tech qui défendent la liberté et la vie privée. Un monde sombre et dystopique approche à grands pas — pendant que l’on dort.

Notre génération risque d’entrer dans l’histoire comme la dernière à avoir joui de libertés — et à les avoir laissés confisquer.

On nous a menti. On nous a fait croire que le plus grand combat de notre génération était de détruire tout ce que nos ancêtres nous avaient légués : tradition, vie privée, souveraineté, marché libre et liberté d’expression. En trahissant l’héritage de nos aïeux, nous nous sommes engagés sur la voie de l’autodestruction — morale, intellectuelle, économique, et finalement biologique. Donc non, je ne vais pas célébrer aujourd’hui mon anniversaire. Il me reste peu de temps. Il nous reste peu de temps. »

Ce post met en lumière des exemples concrets de restrictions croissantes : des identités numériques imposées au Royaume-Uni, des scans systématiques de messages dans l’Union européenne, des poursuites judiciaires en Allemagne pour critiques en ligne, et des emprisonnements massifs au Royaume-Uni pour des publications sur les réseaux sociaux. Durov pointe particulièrement la France, où il est personnellement visé par des enquêtes pénales pour son engagement en faveur de la confidentialité, suite à son arrestation en août 2024 et à une surveillance judiciaire continue en 2025.

 

 

Un contexte de censure et de persécutions croissantes

Ce message s’inscrit dans un climat mondial de répression numérique, où les gouvernements et les grandes plateformes tech intensifient leur contrôle.

En Australie, les vérifications d’âge obligatoires pour l’accès en ligne soulèvent des craintes de surveillance généralisée. Dans l’UE, les propositions de scanner les messages privés au nom de la sécurité menacent la confidentialité des communications. Aux États-Unis, des pressions sur les réseaux sociaux pour censurer des contenus « controversés » illustrent une tendance similaire. Durov voit dans ces évolutions une trahison des principes fondateurs d’Internet : un espace de liberté et d’échange sans frontières imposées par les États.

Des figures comme Elon Musk, propriétaire de X, ont relayé des préoccupations analogues, défendant une liberté d’expression absolue face à des régulations perçues comme oppressives. Ce discours résonne en 2025, une année marquée par des tensions accrues entre innovateurs tech et autorités, avec des enquêtes pénales contre des leaders qui refusent de coopérer avec les demandes de modération.

Une alerte sur l’autodestruction sociétale

Au-delà de la critique technologique, Durov accuse la société d’avoir été dupée en pensant que le progrès impliquait de détruire les héritages ancestraux – tradition, souveraineté, marché libre et liberté d’expression. Cette trahison mènerait à une autodestruction multidimensionnelle : morale par la perte de valeurs, intellectuelle par la censure des idées, économique par la centralisation du pouvoir, et même biologique par les impacts sociétaux indirects. Des médias internationaux, comme ceux en Inde, ont amplifié ce message, le voyant comme un appel global à résister à un avenir dystopique.

Vers une mobilisation pour préserver les libertés ?

Le message de Durov n’est pas seulement un constat amer ; c’est un appel à l’action. En soutenant des plateformes comme Telegram, qui priorisent la chiffrement et la confidentialité, ou en militant contre les régulations invasives, les individus peuvent contribuer à inverser la tendance. Des initiatives citoyennes et des débats publics pourraient émerger pour défendre un Internet fidèle à ses origines : un outil d’émancipation plutôt que de contrôle.

En conclusion, à 41 ans, Pavel Durov transforme son anniversaire en un cri d’alarme. Son avertissement rappelle que le temps presse pour sauvegarder les libertés numériques. Sans réaction collective, notre génération pourrait marquer la fin d’une ère de libre expression.

Il est impératif de se mobiliser maintenant, avant que le « monde sombre » qu’il décrit ne devienne réalité.

https://multipol360.com/le-cri-de-desespoir-de-pavel-durov-un-avertissement-sur-lerosion-des-libertes-numeriques/

 

 

septembre 24, 2025

Formalisation des Principes de la Liberté; Contrat d'installation anarcho-capitaliste sur une zone donnée.

Préambule

Reconnaissant la dignité inhérente, la liberté et la souveraineté morale de chaque personne, et confirmant que la paix, la prospérité et l’épanouissement humain naissent là où chacun respecte la liberté égale des autres — nous proclamons ces Principes universels de liberté (« Principes »).
Leur but est de promouvoir des interactions sans conflit. Ces principes découlent de la raison, de l’expérience et de l’éthique ; ils ne sont imposés par aucun État ni par la volonté de la majorité. L’adoption est volontaire, chacun peut adopter les principes par un acte de consentement clair, et leur application dépend du choix libre des individus et des communautés de vivre selon ces principes et de résoudre les conflits sous leur égide.
 

 

Portée et hiérarchie

Primauté

Ces principes constituent la norme méta-normative suprême pour tous les adoptants.

Règles secondaires

Les adoptants peuvent établir des chartes, accords, statuts, coutumes, codes privés ou autres systèmes juridiques privés fondés sur ces principes (« Règles et lois secondaires »). Ces règles peuvent préciser des procédures ou traiter des questions non couvertes ici, mais ne peuvent contredire, annuler ou limiter ces principes.

Conflits

Si une règle ou une pratique secondaire contredit ces principes, ces principes prévalent. De tels différends seront résolus par arbitrage impartial.

Interprétation

Si ces principes sont silencieux ou ambigus, l’arbitre peut consulter :
  • * Les règles secondaires pertinentes, les pratiques coutumières et les principes juridiques généralement reconnus ;
  • * Les systèmes établis de droit privé tels que le droit romain, la common law anglo-américaine ou les codes civils modernes ;
  • * Les codifications, réstatements et commentaires académiques réputés — notamment des penseurs libertariens — à condition qu’ils soient compatibles avec ces principes.

Article I — Termes et définitions

  • * Adoptant — Toute personne qui adopte ces principes.
  • * Personne (titulaire de droits) — Tout être sensible dont la souveraineté morale fonde la présomption d’auto-propriété et de responsabilités mutuelles. Ces principes ne définissent pas délibérément quand la personnalité commence ou finit ; cela sera déterminé par la recherche scientifique, philosophique ou spirituelle et, si nécessaire, par arbitrage impartial. Note : Le terme « personne » n’inclut pas les entités collectives ou juridiques telles que les sociétés, associations ou autres organisations ; elles ne peuvent détenir des droits que par l’intermédiaire d’une personne réelle.
  • * Ressource — Tout moyen rare et rival qu’une personne peut contrôler pour atteindre un objectif. Le corps d’une personne est une ressource, tout comme les choses extérieures (« ressources externes »). Les informations, idées, modèles et connaissances — n’étant pas rivaux — ne sont pas des ressources. Les ressources externes peuvent être détenues par des individus ou des groupes par contrat ou propriété commune. La propriété de groupe n’accorde pas plus de droits que la propriété individuelle.
  • * Droit (propriété) — Le droit exclusif d’une personne de contrôler une ressource et d’exclure les autres de son usage, sauf consentement du propriétaire. Tous les droits sont des droits de propriété.
  • * Consentement — L’autorisation ou la licence donnée par le propriétaire d’une ressource à un autre pour l’utiliser, ou, dans le cas de ressources externes, pour transférer la propriété. Le consentement peut être donné ou refusé explicitement ou implicitement selon les circonstances, la dernière expression prévalant. Dans certains cas, le consentement peut être présumé, comme dans la gestion d’affaires (Negotiorum Gestio), où une personne agit dans l’intérêt du propriétaire en supposant que celui-ci aurait consenti.
  • * Agression — L’utilisation, l’appropriation, la violation ou le franchissement des limites de la ressource d’autrui sans consentement du propriétaire, ou l’acquisition frauduleuse ; ou une menace crédible de cela.
  • * Tutelle — Une gestion fiduciaire où une personne compétente agit au nom d’une autre qui manque actuellement de souveraineté morale. La tutelle peut découler de relations naturelles (ex : parent-enfant, proches avec handicap), de contrats ou de pratiques communautaires. Le tuteur est lié par ces principes, doit agir dans le meilleur intérêt du protégé et peut être soumis à l’arbitrage impartial en cas d’objection raisonnable.
  • * Arme de destruction massive (ADM) — Tout dispositif, système, agent, instrument ou technologie dont l’usage courant ne distingue pas entre agresseur et non-participant et dont les dommages peuvent être massivement létaux.
  • * Loi — Les lois sont des règles exécutoires qui reconnaissent les droits de propriété sur les ressources et autorisent l’usage de la force pour protéger ces droits. Toute loi contraire à ces principes est injuste et nulle. Des exemples de lois injustes figurent à l’article V.
  • * Contrat — Un accord unilatéral, bilatéral ou multilatéral de transfert de propriété — présent ou futur — par lequel le(s) propriétaire(s) de ressources externes transfèrent volontairement la propriété ou la licence d’utilisation de ressources spécifiques à d’autres.

Article II — Principes

  • 1. Principe de non-agression — L’agression contre la ressource d’autrui est injuste, quel que soit le statut ou l’échelle de l’auteur. L’agression inclut les actes individuels et collectifs, où les participants peuvent être responsables des actes des autres selon la relation et la causalité.
  • 2. Auto-propriété — Chaque personne est le propriétaire originel et présumé de son corps. L’incapacité temporaire ou permanente ne supprime pas l’auto-propriété. L’auto-propriété peut être partiellement ou totalement perdue suite à une agression, selon les principes de défense et de proportionnalité.
  • 3. Appropriation initiale (homesteading) — Les ressources externes non possédées deviennent la propriété de la première personne (ou groupe) qui les marque, occupe ou transforme clairement, établissant ainsi un lien objectif et vérifiable entre la personne et la ressource. Cette propriété demeure jusqu’à transfert par contrat, réparation ou abandon. L’abandon peut être déterminé par des signes suffisants tels qu’une longue inactivité, une déclaration claire ou l’absence d’objection à une occupation ouverte par autrui.
  • 4. Échange volontaire (transfert contractuel de propriété) — Une personne peut acquérir la propriété d’une ressource externe par transfert contractuel du propriétaire précédent. Ce transfert peut être partiel ou total, conditionnel ou non, temporaire ou permanent, immédiat ou futur, selon le contrat entre les parties. Seules les promesses créent une obligation morale mais non légale ; les contrats sont des transferts volontaires de propriété fondés sur les droits du propriétaire, qui restent jusqu’au transfert, réparation ou abandon.
  • 5. Réparation — L’agresseur avéré doit indemniser la victime à hauteur du préjudice causé. Cela peut inclure le transfert de propriété de ressources. Lors de la détermination de l’indemnisation, il faut tenir compte de l’étendue du préjudice, de la perte subjective de la victime, de l’intention et des motivations de l’agresseur, et, selon §10, du type et du degré de sanction que la victime peut imposer.

Article III — Normes complémentaires

  • 6. Inaliénabilité de la personne — Les contrats transférant le contrôle ultime du corps d’une personne, tels que les contrats d’esclavage volontaire, ne sont pas exécutoires.
  • 7. Proportionnalité et autodéfense — La force défensive en réponse à une agression est justifiée et n’est pas elle-même une agression, lorsqu’elle est raisonnablement nécessaire et proportionnée à la menace, qu’elle soit immédiate ou différée. Lorsque possible, l’auto-assistance doit être évitée conformément à l’article 11.
  • 8. Armes de destruction massive (ADM) — La possession, le développement ou l’utilisation d’une ADM constitue une menace continue lorsqu’elle expose des innocents à un risque prévisible par des effets indifférenciés ou catastrophiques. Cette présomption ne peut être réfutée que si des mesures de protection solides éliminent le risque de préjudice. Si ce n’est pas le cas, une action proportionnée — avec notification, dialogue et arbitrage lorsque possible — est justifiée pour éliminer le danger ; en cas d’urgence, une intervention immédiate peut être permise.
  • 9. Présomption de propriété — Celui qui détient une ressource externe est présumé propriétaire, cette présomption pouvant être réfutée par une preuve de meilleure propriété, telle qu’un transfert contractuel, une réparation d’agression ou un abandon. En cas de litige, la partie prouvant le meilleur droit l’emporte, en tenant compte des présomptions et des standards de preuve.
  • 10. Standards de preuve et procédure : sanction. Un agresseur peut perdre certains droits par son acte. La nature et l’étendue de toute réparation — indemnisation, sanction ou protection — seront déterminées selon les règles communautaires compatibles avec ces principes. Les réparations sévères exigent des standards de preuve élevés, tels que la preuve au-delà du doute raisonnable, la décision unanime, la protection contre la double sanction et le droit du jury sur la loi et les faits. En cas d’agression mortelle, le droit de pardon ou de règlement appartient au plus proche parent de la victime ou à l’arbitre ; s’il y a plusieurs victimes, l’arbitre peut fixer les conditions du pardon. L’agression répétée ou grave peut faire de l’agresseur une menace continue, justifiant des mesures défensives proportionnées.

Article IV — Ordre juridique décentralisé

  • 11. Objectifs ; prévention des conflits et compromis — Les adoptants de ces principes s’engagent à négocier de bonne foi, à rechercher le compromis lorsque possible et à soumettre les différends à un arbitrage impartial, afin de promouvoir des interactions sans conflit. Lorsque possible, l’auto-assistance, la justice privée, le fait de juger sa propre cause ou l’anarchie doivent être évités. Tous ceux qui adoptent ces principes et souhaitent en bénéficier doivent s’efforcer de les respecter et de soutenir un ordre juridique libre qui les applique. La fourniture de protection peut être confiée à des entrepreneurs ou à des milices organisées, à condition qu’ils respectent ces principes.
  • 12. Arbitrage concurrentiel — Aucune institution ne détient de monopole forcé sur la loi ou son application. Les individus sont libres de choisir des arbitres et agences de protection concurrents. Les institutions d’arbitrage et les tribunaux peuvent, avec le consentement des clients, établir des cours d’appel pour résoudre les différends entre arbitres et agences de protection.
  • 13. Évolution coutumière du droit — Les communautés peuvent développer et promulguer des règles et lois secondaires, des registres, des règles de procédure et de preuve compatibles avec ces principes.

Article V — Lois injustes sélectionnées

Les lois énumérées ci-dessous sont des exemples de lois positives, passées ou présentes, incompatibles avec ces principes et donc injustes. Cette liste est illustrative et non exhaustive : toute loi contraire à ces principes est injuste, qu’elle soit mentionnée ici ou non. L’inclusion de certaines lois ne signifie pas que d’autres lois contradictoires peuvent être appliquées.
  • * Impôt — Prélèvement non consenti de ressources, généralement pour financer des institutions gouvernementales ; les besoins communautaires doivent être satisfaits par des moyens volontaires et des solutions de marché libre.
  • * Expropriation — Saisie, réglementation ou restriction de l’usage des ressources, qu’il y ait compensation ou non.
  • * Interdiction de consommation ou d’usage de substances — Interdictions sur l’alcool, les drogues ou toute substance consommable.
  • * Travail forcé — Service militaire obligatoire, esclavage ou tout service imposé aux innocents.
  • * Interdiction des armes défensives — Interdiction générale de la possession d’armes pour la légitime défense, sauf ADM.
  • * Monopole monétaire — Banque centrale, lois sur la monnaie légale, contrôle des devises ou restrictions sur la possession ou l’usage d’or, de cryptomonnaies ou de toute forme de monnaie.
  • * Propriété intellectuelle — Droit d’auteur, brevets ou lois similaires, car les idées ne sont pas des ressources rivales. Note : La création et l’innovation ne peuvent être protégées et récompensées que par des accords non agressifs.
  • * Réputation comme propriété — Lois sur la diffamation, les marques ou similaires qui considèrent la réputation comme une propriété distincte. Note : La réputation n’existe que dans l’esprit d’autrui et ne peut être possédée, bien qu’elle puisse être protégée par des moyens pacifiques.
  • * Obligations non choisies — Toute obligation positive ou droit au bien-être qui n’a pas été accepté volontairement ou qui ne découle pas d’un acte volontaire.
  • * Censure — Toute loi censurant, sanctionnant ou imposant l’expression en raison de son contenu est injuste. Note : Si la parole cause une agression, l’orateur est responsable.

Confirmation finale

L’aspiration derrière ces principes est un monde sans agression systémique, ouvert à tous. Que chaque âme libre se souvienne : nous ne nous inclinons devant aucun État, nous ne nous agenouillons devant aucun ordre sauf la justice, nous ne servons aucun maître sauf la raison et l’éthique. Ici, sous ces principes, nous choisissons une vie sans contrainte, sans chaînes et sans tyrans. Et aucune puissance sur Terre ne peut nous arrêter.
Signature
J'adopte par la présente les Principes Universels de Liberté.
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