Affichage des articles dont le libellé est Gauche caviar. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Gauche caviar. Afficher tous les articles

novembre 25, 2025

Crise sociétale - Marche blanche pour Mehdi Kessaci: RIP

 Les stars marseillaises auraient-elles dû se mobiliser pour Mehdi Kessaci ? 

► https://l.rmc.fr/Fwb

Je persiste: où étaient les figures de Marseille, Jul, Soprano, Zidane, Redouane Bougheraba? Imaginez une seconde s'ils avaient été là, au 1er rang, entourant la famille Kessaci? À quel point ç'aurait été fort. Pourquoi ce silence? Je guette leurs réseaux sociaux, et... rien 💔

Apolline de Malherbe


@apollineWakeUp 


 

Marche blanche pour Mehdi Kessaci, ou comment transformer un règlement de comptes en grand-messe républicaine

La marche blanche de trop

Les images ont fait le tour des chaînes d’info en boucle : un cortège blanc, des roses blanches, des larmes, des slogans, des élus serrant des mains. 6.200 personnes selon la préfecture, « des dizaines de milliers » selon les organisateurs. Au centre, Amine Kessaci, le frère du défunt, visage fermé, protégé par un cordon de CRS. À ses côtés, Benoît Payan, le maire de Marseille, costume sombre et mine de circonstance.

Derrière, le casting complet de la gauche caviar : Yaël Braun-Pivet, Raphaël Glucksmann, François Ruffin, Clémentine Autain, Yannick Jadot. Tout le monde est venu communier dans le même théâtre.

Mehdi Kessaci, 20 ans, a pris huit balles dans le corps le 13 novembre à 19 h 30, quartier de la Busserine. Exécution propre, rapide, professionnelle. Le message était clair : « Ferme-la, Amine, ou le prochain c’est toi. » Parce qu’Amine, depuis cinq ans, joue les Don Quichotte contre les trafiquants avec son association Conscience. Il dénonce, il filme, il poste sur Instagram, il gêne. Résultat : un frère déjà tué en 2020, et maintenant Mehdi.

 

Alors oui, il y avait de la vraie douleur dans cette marche. Celle de la mère, celle des copains d’enfance, celle des habitants qui en ont assez de vivre sous la loi des kalachs.

Mais il y avait surtout une gigantesque opération de récupération politique et médiatique.

Car pendant que les caméras pleuraient sur le cercueil symbolique, à cinq cents mètres à peine, les points de deal tournaient à plein régime. Des gamins de 14-16 ans en Audi RS6 flambant neuves (location 1.800 €/mois payée cash) faisaient des rodéos sur le même rond-point où les manifestants déposaient leurs roses. RSA de la mère + chiffre du shit et de la coke = train de vie de footballeur. C’est la réalité quotidienne de ce milieu, pas l’exception que l’on montre aux journaux de 20 heures.

Personne n’a osé le dire dans les micros, mais tout le monde le sait : à Marseille, 70 % des interpellations pour narcotrafic concernent des jeunes issus de l’immigration maghrébine ou subsaharienne. C’est un fait statistique, pas une opinion. Et ce n’est pas du racisme de le dire, c’est du réalisme. Les réseaux DZ Mafia, les clans comoriens, les Mocro-mafia, ce ne sont pas des fantasmes d’extrême droite, ce sont les noms qui reviennent dans tous les dossiers de la PJ et de l’OFAST.

Et pendant ce temps-là, qui finance tout ça ? Les 40 % de cocaïne consommée par les CSP+ des 7e et 8e arrondissements, les cadres, les avocats, les étudiants de certains campus qui se font livrer en Uber-Coke à 23 h 30 – ce service de livraison de drogue à domicile via Telegram, en 15-30 minutes, avec des mules en scooter T-Max volé. Ce sont eux, les vrais commanditaires. Eux que Macron a qualifiés de « bourgeois des centres-villes » le 19 novembre : nous lui rappellerons ses parôles lorsque certaines rumeurs seront confirmées… enfin, passons.

Quant aux pleureuses d’un jour : 

  • Benoît Payan, qui annule une projection de film chrétien pour « prosélytisme » mais trouve normal de participer à la fête de l’Aïd sur fonds publics. 
  • La France Insoumise, qui hurle au racisme dès qu’on parle immigration et délinquance, mais qui vient se faire photographier quand il y a un mort à exploiter ; tout en parlant constamment de récupérations…
  • Les écolos, qui bloquent toute politique répressive au nom de la « justice sociale » et qui, dans les faits, laissent les cités sous la coupe des trafiquants.

Le narcotrafic, ce n’est pas un « fléau qui touche les enfants perdus de la République ». 

C’est un business qui pèse entre 3,5 et 6 milliards d’euros par an en France, que l’INSEE intègre tranquillement dans le PIB depuis 2018,

avec 21.000 « emplois équivalents temps plein » – guetteurs et tueurs à gages comptés comme des boulangers. Depuis cette décision d’Eurostat en 2013, adoptée par la France en mai 2018, le trafic de drogue (cannabis, cocaïne, héroïne) est évalué à 2,7 milliards d’euros de valeur ajoutée annuelle, boostant le PIB de 0,1 point et créant ces 21.000 jobs fantômes, basés sur des sondages de consommateurs (OFDT/Mildeca) multipliés par prix rue et pureté ajustée. L’INSEE justifie ça par l’harmonisation européenne.

À Marseille, bilan 2024 de l’OFAST : 3.400 interpellations, 29 points de deal fermés, dont 12 avec volet livraison via apps, et 380 kg de coke saisis en novembre seul. Opérations comme Castellane (avril 2025 : 21 interpellations, 15-40 M€ de CA, incluant livraisons Telegram et scooters pour drops domicile) ou drogues de synthèse (octobre 2025 : 88 kg d’ecstasy saisis, 75.000 € cash, via TGV et port de Marseille) montrent que la police tape fort, mais le trafic rebondit. Et le blanchiment ? Septembre 2025 : réseau DZ Mafia démantelé, 30 M€ blanchis en or (219.000 € cash saisis, 5 véhicules, dont Golf GTI louée par un chef de 24 ans au RSA).

 


 

Alors oui, Mehdi est mort. Et oui, c’est une horreur ! 

Mais non, la marche blanche d’hier n’a rien changé et ne changera rien : dans six mois, on refera la même cérémonie pour le prochain. 

Parce que personne n’a le courage de dire la vérité toute crue : tant qu’on continuera à fermer les yeux sur l’origine des réseaux, sur la responsabilité des consommateurs bobos, sur les fraudes massives aux allocs sans vérifier le train de vie et sur quarante ans de laxisme bipartisan, les Mercedes continueront de tourner et les cercueils blancs aussi.

La République ne pliera pas ? 

Elle est déjà à genoux depuis longtemps et elle vient juste de mettre un genou à terre pour la photo.

https://multipol360.com/marche-blanche-pour-mehdi-kessaci-ou-comment-transformer-un-reglement-de-comptes-en-grand-messe-republicaine/

 

octobre 04, 2025

Paris dépensent sans compter, normal "c'est l'État qui paie"

Quand les élus socialistes de Paris dépensent sans compter, au mépris des Français 

Dans un pays où l’inflation ronge le pouvoir d’achat, où la pauvreté touche plus de 14 % de la population et où des millions de Français peinent à boucler les fins de mois, des élus socialistes comme Anne Hidalgo, maire de Paris, et Eric Lejoindre, maire du 18e arrondissement, s’offrent un train de vie fastueux aux frais des contribuables. Révélées par des médias comme Mediapart et relayées par France-Soir et de nombreux autres, ces dépenses somptuaires – robes de luxe, dîners étoilés, pressing exorbitant – illustrent une gabegie flagrante et un potentiel détournement de fonds publics. Pire encore, ce scandale s’étend à des institutions comme France Télévisions, où les dirigeants et présentateurs, grassement payés par l’argent public, passent leur temps à faire la morale aux Français dans leurs émissions, tout en creusant des déficits abyssaux. Cet article décrypte ces abus, en soulignant le contraste criant entre le luxe des élites et la précarité des citoyens.

 


 

Les notes de frais embarrassantes : un symbole de gabegie chez les élus parisiens

Le scandale éclate avec les révélations sur Eric Lejoindre, maire socialiste du 18e arrondissement de Paris. Entre mai 2020 et avril 2024, cet élu a dépensé plus de 35.557 euros en frais de représentation, une enveloppe financée par les impôts des Parisiens. Parmi ces dépenses, plus de 6.000 euros en pressing, des repas dans des restaurants étoilés, des soins chez le coiffeur et même des tee-shirts ou des pizzas au Nutella – des achats qui frisent l’usage personnel plutôt que professionnel. Élu en 2014 et réélu en 2020, Lejoindre justifie ces frais comme « normaux » pour un maire, mais ses explications peinent à convaincre. Comme l’interroge RTL : « Un maire peut-il tout se faire rembourser ? » Les critiques fusent, avec des associations comme Saccage Paris dénonçant un « sens d’impunité » chez les élus.

Anne Hidalgo, la maire de Paris, n’est pas en reste. Épinglée par Mediapart, elle aurait dépensé 84.000 euros en vêtements de luxe et 125.000 euros en voyages entre 2020 et 2024. Ces notes de frais, qualifiées de « somptieuses » par Le Figaro, incluent des robes haute couture et des dîners gastronomiques, le tout aux frais des contribuables. Hidalgo, qui refuse souvent de partager ces détails avec les journalistes, a finalement publié les notes des maires d’arrondissement le 2 octobre 2025, en guise de transparence forcée. Son premier adjoint, Patrick Bloche, défend ces dépenses comme « frais de représentation » encadrés par la loi, mais cela n’efface pas l’impression de gabegie – un gaspillage systématique de l’argent public pour un confort personnel.

Ces pratiques soulèvent la question d’un potentiel détournement de fonds. Bien que légales sur le papier – les enveloppes annuelles vont de 11.092 euros pour un maire d’arrondissement à environ 20.000 euros pour Hidalgo – elles frôlent l’abus lorsque les achats semblent personnels. Comme le note Le Parisien, il n’y a « pas d’enquête en cours » pour l’instant, mais des voix comme celles de Transparence citoyenne appellent à des contrôles plus stricts pour limiter ces abus. Cette « guerre des notes de frais » à la Mairie de Paris, comme la qualifie France info, met en lumière un système où les élus socialistes semblent profiter sans vergogne, renforçant le sentiment d’une élite déconnectée.

 


 

Un train de vie opulent face à la précarité des Français

Le contraste entre le train de vie de ces élus et la réalité des Français est saisissant. Tandis que Hidalgo et Lejoindre s’offrent des luxes financés par les impôts, 14,4 % des Français vivent sous le seuil de pauvreté, selon des rapports récents du Sénat et de l’Assemblée nationale. En 2025, l’inflation alimentaire a grimpé en flèche, avec des hausses de plus de 20 % cumulées depuis 2022 pour les produits de base, forçant des millions à choisir entre manger et se chauffer. Les débats parlementaires soulignent cette fracture : « C’est 14,4 % du nombre de Français qui sont sous le seuil de pauvreté », rappelait un sénateur lors d’une séance en avril 2025.

Les élus, eux, touchent des rémunérations confortables – un maire comme Hidalgo gagne environ 9.000 euros net par mois, sans compter les frais – comparées aux salaires médians des Français, autour de 2.000 euros. Cette disparité est exacerbée par la crise économique : inflation à 1,2 % en septembre 2025, mais ressentie bien plus haut pour l’alimentation et l’énergie. Des rapports comme celui du CESE sur l’éradication de la grande pauvreté à l’horizon 2030 soulignent l’urgence, mais les élus semblent sourds, préférant des dîners étoilés à des politiques sociales efficaces.

Cette gabegie n’est pas seulement financière ; elle érode la confiance en la démocratie, dans un pays où les citoyens luttent contre la précarité tandis que leurs représentants vivent comme des pachas.

 

 

Le scandale de France télévisions : morale à deux vitesses et dépenses folles

Le scandale ne s’arrête pas aux élus locaux. France Télévisions, financée à 3,3 milliards d’euros par l’argent public en 2024, est épinglée par un rapport cinglant de la Cour des comptes publié en septembre 2025. Le groupe audiovisuel public cumule 81 millions d’euros de déficit net entre 2017 et 2024, avec un budget 2025 prévoyant un trou de 40 millions d’euros supplémentaires. La Cour des comptes dénonce une situation financière « critique », avec une trésorerie au plus bas et des capitaux propres en chute libre, menaçant même de « dissolution » d’ici fin 2026.

Parmi les abus pointés : des salaires « étonnants » – moyen de 6.000 euros brut mensuel, avec 15 % des salariés gagnant plus de 80.000 euros par an – des frais de taxis « mirobolants » et 14 millions d’euros dédiés aux comités sociaux.

31 cadres perçoivent plus de 200.000 euros par an, dont 5 franchissent les 300.000 euros (soit plus de 25.000 euros par mois) À ce prix-là, ils peuvent raconter ce que veut le gouvernement…

Des présentateurs vedettes comme Delphine Ernotte (présidente) touchent des rémunérations faramineuses, tout en animant des émissions qui font la morale aux Français sur l’austérité, l’écologie ou la solidarité. Comme le raille un site critique : « Chez France TV, les salaires ne connaissent pas la crise. » Cette hypocrisie est flagrante : des émissions comme celles de France 2 ou France 3 prônent la sobriété, tandis que l’institution dépense « un pognon de dingue », pour reprendre l’expression de Macron, creusant des déficits malgré des restructurations.

 

 

Une élite déconnectée qui méprise les contribuables

Ces scandales – des notes de frais des élus parisiens aux déficits de France Télévisions – révèlent une élite qui vit aux crochets des citoyens, dans une gabegie qui frise le détournement. Pendant que les Français subissent l’inflation et la pauvreté, Hidalgo, Lejoindre et les dirigeants de France TV s’offrent un train de vie opulent, tout en faisant la morale. Il est temps de réclamer plus de transparence et de sanctions, pour restaurer la confiance en nos institutions.

 

 

Powered By Blogger