Affichage des articles dont le libellé est UK. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est UK. Afficher tous les articles

octobre 06, 2025

L’effet Laffer du "socialopithèque"

L’effet Laffer : taxer plus pour gagner moins

En Norvège, la taxe façon Zucman vire au fiasco. Au Royaume-Uni, la chasse aux riches déclenche un exode massif. Pourtant, la classe politique française s’obstine à croire qu’augmenter l’impôt sauvera les finances publiques. Dans un pays déjà asphyxié par les prélèvements, taxer plus, c’est récolter moins — et hypothéquer l’avenir.
 
1974, dans un restaurant de Washington. L’économiste Arthur Laffer griffonne une courbe sur une serviette en papier pour convaincre deux conseillers du président Gerald Ford d’une idée simple : taxer à 0 % rapporte 0, taxer à 100 % rapporte 0. Entre les deux existe une nuance efficace pour l’État. Franchissez-la, et chaque micron d’impôt supplémentaire détruit plus de richesse qu’il n’en collecte.

Cinquante et un ans après ce repas, cette idée n’a jamais été aussi centrale, tandis qu’en France, de la taxe Zucman à celle sur le patrimoine financier, l’offensive politico-médiatique pousse à instaurer des prélèvements toujours plus lourds sur les plus fortunés qui n’ont pas encore quitté le pays.
Des expériences récentes doivent pourtant nous alerter. Elles se sont toutes avérées désastreuses.

La faillite du “Zucman norvégien”

En 2022, la Norvège a décidé de taxer davantage les patrimoines les plus élevés en durcissant son impôt sur la fortune (formuesskatt) et en alourdissant la taxation des dividendes. Le taux marginal de l’impôt sur la fortune est ainsi passé à 1,1 % pour les patrimoines dépassant 20 millions de couronnes (environ 1,7 million d’euros), avec une particularité redoutable : cet impôt s’applique sur la valeur de marché des actifs, imposant ainsi les plus-values latentes — c’est-à-dire avant même leur réalisation.
Pire encore, voilà un piège fiscal redoutable : l’État norvégien taxe désormais 75 % de la valeur des entreprises (contre 55 % avant), même si cette valeur n’existe que sur le papier. Et pour payer cet impôt sur des gains non réalisés, les propriétaires doivent verser des dividendes… eux-mêmes taxés à 37,84 %. Un cercle vicieux où l’impôt s’auto-alimente. Le gouvernement de centre gauche tablait sur un gain annuel de 1,5 milliard de couronnes norvégiennes (environ 128 millions d’euros).
En réaction, plus de 30 milliardaires et multimillionnaires ont quitté le pays en 2022 — plus que durant les treize années précédentes réunies. La Suisse, avec son impôt sur la fortune plafonné à 0,3 % dans certains cantons et l’absence d’imposition des plus-values mobilières privées, est devenue la terre promise de cet exode fiscal. Un cas illustre l’ampleur des dégâts : le départ de l’industriel Kjell Inge Røkke représenterait à lui seul une perte annuelle de 175 millions de couronnes pour le fisc norvégien (environ 15 millions d’euros).
Au total, entre septembre 2022 et avril 2023, foyers norvégiens fortunés, dont 80 classés comme « très riches », se sont installés en Suisse, emportant avec eux leur contribution globale aux finances publiques : impôt sur le revenu, cotisations sociales, TVA sur leur consommation, etc.
Une analyse du média Citizen X a estimé la perte nette de revenus fiscaux à environ 381 millions d’euros, soit trois fois le gain initialement projeté pour les hausses d’impôt. La prévision gouvernementale reposait sur une analyse statique, supposant que la base imposable resterait inchangée.
 

 
Au-delà des recettes fiscales perdues, c’est toute l’économie productive qui souffre. En imposant chaque année la valeur latente des actions d’entreprise, le système force les entrepreneurs à ponctionner régulièrement le capital de leur société pour s’acquitter de l’impôt. Cette décapitalisation récurrente ampute leur capacité à investir, innover ou embaucher — en plus d’être vexante.
Une étude du National Bureau of Economic Research (NBER), menée sur des données scandinaves, en quantifie l’impact : dans les années suivant le départ d’un propriétaire pour raisons fiscales, l’emploi dans son entreprise chute de 33 %, la valeur ajoutée de 34 % et les investissements de 22 %.
Bien loin de nuire aux seuls riches qu’ils visent, les nouveaux impôts norvégiens touchent l’ensemble de la population par un affaiblissement des ressources de l’État et une dégradation de l’économie.

« Wexit » britannique : quand la chasse aux riches tourne au fiasco

En avril 2025, le Royaume-Uni a mis fin à l’un des plus anciens privilèges fiscaux au monde : le statut « non-dom ». Vieux de 225 ans, ce régime permettait aux résidents britanniques dont le domicile permanent était à l’étranger de ne payer l’impôt que sur leurs revenus au Royaume-Uni, laissant leur fortune offshore intouchée. Environ 69 000 personnes en bénéficiaient, versant 12,4 milliards de livres au fisc de Sa Gracieuse Majesté en 2022.
Le nouveau système, baptisé Foreign Income and Gains (FIG), n’offre plus qu’une exemption de quatre ans aux nouveaux arrivants, contre un régime quasi permanent auparavant. Surtout, il introduit une « queue fiscale » redoutable : quiconque a vécu dix ans au Royaume-Uni voit ses actifs mondiaux soumis aux droits de succession britanniques (40 %) pendant trois à dix ans après son départ. Le gouvernement travailliste projetait 33,8 milliards de livres de recettes sur cinq ans.
L’hémorragie a commencé avant même l’entrée en vigueur de la loi. Dès l’annonce de la réforme en mars 2024, la fuite massive a démarré : 10 800 millionnaires ont quitté le pays dans l’année, soit une hausse de 157 % par rapport à 2023. Pour 2025, où le texte sera effectivement appliqué, les projections anticipent 16 500 départs supplémentaires, ce qui ferait du Royaume-Uni le champion mondial de l’exode des fortunes.
Le pari budgétaire pourrait même virer au cauchemar. Des analyses indépendantes du Centre for Economics and Business Research (CEBR) ont identifié un seuil critique : si plus de 25 % des non-doms partent, le gain fiscal se transformera en perte nette. À 33 %, le trou atteindrait 700 millions de livres la première année et 3,5 milliards sur la législature. Or, 60 % des conseillers fiscaux prévoient que plus de 40 % de leurs clients non-doms partiront dans les deux ans — bien au-delà du seuil fatal.
L’impact économique observé dès 2024 dépasse largement les seules recettes fiscales. Le marché immobilier de luxe londonien s’est effondré : aucune transaction supérieure à 100 millions de livres en 2024 ; 70 % des vendeurs de propriétés haut de gamme sont des non-doms en partance vers Miami, Dubaï ou Monaco. Le secteur du commerce de détail a perdu 169 000 emplois en 2024, le pire résultat depuis la pandémie. Les services financiers ont vu leurs offres d’emploi chuter de 28 %.
Ce fiasco britannique rappelle le cas norvégien : la taxation des plus riches finit souvent par appauvrir bien au-delà de sa cible initiale et aggrave les déficits de l’État.

La taxe yachts française : entre 200 et 500 euros perdus pour chaque euro taxé

En 2018, la France a instauré une surtaxe sur les grands yachts de plus de 30 mètres, censée rapporter 10 millions d’euros par an. L’objectif affiché ? Compenser symboliquement la suppression de l’ISF et faire contribuer les « signes extérieurs de richesse » jugés « improductifs ».
En sept ans, le total des recettes atteint péniblement 682 000 euros, soit moins de 1 % des 70 millions espérés. En 2025, seuls cinq navires sont taxés, contre une cinquantaine attendue. Les coûts de gestion de la taxe excèdent vraisemblablement déjà les maigres recettes perçues.
 

 
Mais le véritable gouffre se situe ailleurs. On peut estimer les pertes fiscales indirectes dues à la fuite des yachts (TVA sur l’avitaillement, charges sociales des équipages, taxes sur le carburant, impôts sur les sociétés de services) à un montant annuel compris entre 20 et 50 millions d’euros, sur la base des baisses d’activité constatées dans les principaux ports azuréens. Ainsi, pour chaque euro collecté par la taxe, l’État en perd entre 200 et 500 en recettes indirectes chaque année. Bien joué.
Outre les recettes fiscales, le désastre est également économique. Face à cette taxation de 30 000 à 200 000 euros annuels, les propriétaires ont massivement changé de pavillon vers la Belgique, les Pays-Bas ou le Panama.
Le résultat est terrible pour la Côte d’Azur. Le Port Vauban d’Antibes, le plus grand d’Europe dédié au yachting, a vu son activité chuter de 33 % et ses ventes de carburant de 50 %. Le « Quai des Milliardaires » s’est vidé par anticipation dès l’été 2017. À Saint-Tropez et Toulon, les pertes de chiffre d’affaires en escale ont atteint 30 à 40 %.
L’onde de choc a fini par toucher tout l’écosystème productif : commerces de luxe, avitailleurs, équipages, etc. Le secteur du yachting génère 1 à 2,1 milliards d’euros de retombées annuelles en région PACA et soutient 10 000 emplois directs.
La France possède le deuxième espace maritime mondial, est leader sur les voiliers, et 36 % de la flotte mondiale de yachts fréquente la Méditerranée. Pourtant, en 2025, le Port Vauban n’accueille aucun yacht sous pavillon français, et la surtaxe sur les yachts n’a ni disparu, ni même fait l’objet d’une évaluation rigoureuse par le législateur.

Des taxes qui coûtent cher à l’État et à toute la société

L’histoire fiscale moderne regorge d’exemples frappants de taxes conçues pour punir les riches, mais qui finissent par nuire aux finances publiques et à l’ensemble de l’économie.
En France, la « mise au barème » des revenus du capital par François Hollande en 2013 était censée rapporter 400 millions d’euros. D’après une note de l’Institut des politiques publiques, elle a entraîné une perte fiscale de 500 millions d’euros, en provoquant un effondrement des dividendes de 14 milliards d’euros.
Aux États-Unis, la proposition de taxe Warren de 2019 — 2 % au-dessus de 50 millions de dollars, 6 % au-dessus d’un milliard — a été évaluée par l’Université de Pennsylvanie. Verdict : même en utilisant les recettes pour exclusivement réduire le déficit, l’effet sur 30 ans était estimé à –0,9 % de PIB et –0,8 % de salaires.
L’économiste Gabriel Zucman lui-même a publié une étude sur l’impôt sur la fortune danois des années 1980. Elle montre que pour chaque couronne prélevée, les contribuables réduisaient leur patrimoine de cinq couronnes supplémentaires en modifiant leurs comportements d’épargne et d’investissement. Il s’agissait donc d’un outil redoutablement efficace pour détruire la richesse, pas pour combler les déficits de l’État. Le Danemark l’a d’ailleurs abrogé en 1997.
Quid de la « taxe Zucman » elle-même ? L’économiste Antoine Levy a décortiqué la note du Conseil d’analyse économique (CAE) — que Zucman cite lui-même comme référence — et révèle que cette taxe, loin de rapporter 20 milliards comme annoncé, impliquerait une perte nette pour l’État. La note du CAE montre que l’exil fiscal ne représente que 27 % des recettes perdues ; la réponse comportementale totale (réduction des dividendes, ventes d’actifs, restructurations patrimoniales, etc.) ferait grimper les pertes fiscales à près de 30 milliards d’euros.
 

 
Les prévisions optimistes des législateurs reposent sur une erreur fatale : croire que les contribuables resteront immobiles face aux prédations fiscales. Dans les faits, ils fuient, réduisent leur production ou leurs investissements, ou encore déploient des stratégies d’évitement. Les politiques fiscales ont un pouvoir immense sur ce que chacun fait de sa vie. Avec des taxes excessives, l’État perd plus d’argent qu’il n’en gagne, tout en appauvrissant tout le monde au passage.
Le 23 septembre dernier, l’économiste Thomas Piketty a livré une réponse glaçante aux critiques de la « taxe Zucman ». Face aux objections sur le risque d’exil fiscal, il rétorque sans trembler : « Vos actifs sont gelés, vous pouvez être arrêtés à l’aéroport. »
Au-delà de son inefficacité évidente — les contribuables trouveront mille autres façons d’adapter leurs comportements —, cette proposition est extrêmement dangereuse. Quel type de régime interdit à ses ressortissants de quitter le territoire national ? On ne le sait que trop bien. Que reste-t-il de la liberté inscrite dans notre devise quand des agents de l’État contrôlent les départs sur des critères patrimoniaux ? Rien. Les velléités autoritaires d’économistes tels que M. Piketty doivent être dénoncées sans ambiguïté, car l’histoire a déjà montré jusqu’à quelles atrocités mènent de telles illusions.
À moins que la destruction de l’assiette fiscale soit voulue ? Gabriel Zucman lui-même l’assume avec une franchise déconcertante dans son ouvrage Le Triomphe de l’injustice : « Dans ce chapitre, nous allons expliquer pourquoi des gouvernements démocratiques peuvent raisonnablement choisir d’appliquer aux riches des taux supérieurs à ceux qui maximisent les recettes fiscales — c’est-à-dire pourquoi détruire une partie de l’assiette fiscale peut être dans l’intérêt de la collectivité. » (nous soulignons)
Est-il vraiment dans l’intérêt de la collectivité d’aggraver les déficits qui nourrissent la dette léguée aux jeunes, de réduire les financements de l’école, de la santé et de la transition énergétique ? A-t-on bien réfléchi à l’intérêt de la société quand on promeut des mesures qui violent le droit de propriété inscrit dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, tout en appauvrissant le pays ?
Les expériences récentes convergent toutes vers une même conclusion : La satisfaction tirée de la volonté de « faire mal aux riches » ne saurait justifier de nuire gravement à l’avenir du pays.
 
 

 
 
 
 

 

septembre 20, 2025

International News: Forces conservatrices et patriotiques - Sanctions UE contre Russie - Pologne Vs marchandises chinoises

 Sommaire:


A) L’avancée des forces conservatrices et patriotiques : un phénomène mondial en pleine expansion

B) Le 19ème paquet de sanctions de l’UE contre la Russie !!

C) La Pologne bloque l’accès des marchandises chinoises à l’Europe

D) La Pologne reconnait une nouvelle accusation sans fondement contre la Russie

 


A) L’avancée des forces conservatrices et patriotiques : un phénomène mondial en pleine expansion

Les peuples du monde entier expriment une lassitude croissante face à l’idéologisme dominant des idées de gauche, perçu comme déconnecté de la réalité quotidienne.

Ce phénomène se traduit par une progression fulgurante des idées conservatrices et patriotiques, qui attirent de plus en plus d’adeptes.

Portées par un désir profond de préserver l’identité nationale et de résister à une élite déracinée visant à transformer les citoyens en consommateurs interchangeables et en « robots » au service d’un mondialisme effréné, ces idées transcendent les frontières. Même sans toujours accéder au pouvoir immédiat, elles influencent les débats et pourraient se concrétiser dans de futurs gouvernements, comme le montrent les tendances de 2025 avec une hausse de la disruption politique liée au populisme et à « l’extrême droite ». Des élections récentes et des sondages illustrent cette dynamique, non seulement en Europe mais aussi à l’échelle globale, où des mouvements similaires remettent en question les systèmes des partis traditionnels.

 


 

La lassitude des peuples face à l’idéologisme de gauche et sa collaboration avec le mondialisme

Les idées de gauche, imprégnées d’un progressisme abstrait, ignorent souvent les réalités concrètes des citoyens : hausse du coût de la vie, insécurité liée à l‘immigration massive, et érosion des traditions culturelles. Paradoxalement, la gauche et le centre mou collaborent avec le mondialisme, un système qui les utilise pour avancer ses agendas d’uniformisation globale. Piloté par des élites déracinées, ce mondialisme promeut une perte d’essence nationale au profit d’un marché interchangeable. Les peuples aspirent à conserver leur identité et refusent d’être déclassés, relégués à des rôles sans racines. Cette frustration alimente un « vent de changement » mondial, où les idées populistes de droite – anti-globalisation, nativistes et protectionnistes – gagnent du terrain, influençant même la politique étrangère. En 2025, le populisme continue à façonner la politique globale, avec des cibles comme les élites gouvernementales et les agendas « woke ».

En France, cette collaboration prend une forme particulièrement cynique sous Emmanuel Macron, qui utilise l’extrême-gauche, notamment les antifas et les black-blocs, pour saborder les manifestations populaires et les discréditer.

 

Lors du mouvement des Gilets Jaunes en 2018-2019, ces groupes radicaux ont infiltré les cortèges, commettant des actes de violence qui ont servi à justifier une répression accrue et à dépeindre les protestataires comme des extrémistes, faisant ainsi des black-blocs les « idiots utiles » du pouvoir macroniste. Plus récemment, lors de la journée d’action « Bloquons Tout » le 10 septembre 2025 – une mobilisation massive inspirée des Gilets Jaunes, avec blocages d’autoroutes, sabotages et heurts avec la police –, des éléments d’extrême-gauche ont été impliqués dans des actes de vandalisme, comme des incendies à Paris, renforçant l’image de chaos et permettant au gouvernement de minimiser les revendications populaires contre la politique économique et sociale. Ces groupes tentent de substituer leurs idées mondialistes – wokisme, anti-frontières, immigration massive – aux demandes authentiques des manifestants, en apportant finalement leur caution au gouvernement en place. Ils trahissent ainsi totalement leur propre raison d’être anti-capitaliste, préférant s’aligner sur un pouvoir libéral qui les instrumentalise. Il est également à signaler que la gauche dans sa quasi-majorité a appelé à voter Macron deux fois, en 2017 et 2022, contre Marine Le Pen, formant un « front républicain » qui a consolidé le mondialisme au pouvoir au détriment de ses propres idéaux.

 


 

Les idées conservatrices et patriotiques gagnent des adeptes en Europe

En Europe, ces idées attirent un nombre croissant d’adeptes, même au-delà des partis au pouvoir. Les élections européennes de 2024 ont marqué un tournant, avec les partis dits « d’extrême droite » remportant plus de sièges au Parlement que jamais, influençant des pays comme la France, le Portugal, la Belgique et l’Autriche. En Allemagne, l’AfD mène avec 27 % dans les sondages ; en France, le Rassemblement National (RN) atteint 30 % et plus ; aux Pays-Bas, le PVV de Geert Wilders est en coalition ; en Italie, les Frères d’Italie de Giorgia Meloni dominent à 28-30 % ; en Hongrie, Fidesz d’Orbán dépasse 50 %. Nationalistes et populistes de droite remodèlent le paysage, avec une hausse en 2025 due à des défis comme la croissance économique faible et les crises sécuritaires. Des alliances comme « Patriots for Europe » – regroupant Le Pen, Orbán, Wilders, Salvini et Abascal – forment la troisième force au Parlement avec 84 sièges, prônant souveraineté, frontières sécurisées et préservation des racines judéo-chrétiennes. Même sans gouverner partout, ces idées pourraient briser le « cordon sanitaire » en 2025, avec une demande accrue pour inclure « l’extrême droite » dans des coalitions.

Une tendance mondiale : des Etats-Unis à l’argentine

Ce mouvement n’est pas confiné à l’Europe ; il gagne des adeptes dans le monde entier, avec des figures comme Donald Trump aux États-Unis, réélu en 2024 et inspirant un populisme autoritaire qui cible les élites et promeut l’anti-globalisation. En Argentine, Javier Milei incarne un populisme libertarien, combinant réformes économiques radicales et discours anti-élite, influençant d’autres leaders comme Trump qui adopte un populisme économique similaire. Au Brésil, l’héritage de Bolsonaro persiste malgré des revers, tandis qu’en Inde, Modi et en Turquie, Erdoğan renforcent des nationalismes populistes. Ces idées, vues comme une force légitime, pourraient mener à plus de gouvernements populistes, remplaçant la méfiance par une coopération transatlantique. Le populisme global n’est pas mort ; il évolue, avec des exemples comme Wilders aux Pays-Bas montrant sa résilience.

Les progrès spectaculaires en Grande-Bretagne : Nigel Farage et reform UK à l’assaut du pouvoir

 

En Grande-Bretagne, le renouveau patriotique se manifeste avec la percée de Nigel Farage et Reform UK. Artisan du Brexit, Farage positionne son parti comme alternative au bipartisme. En juillet 2024, il remporte cinq sièges ; depuis, des défections de conservateurs comme Danny Kruger et d’anciens ministres comme Nadine Dorries renforcent ses rangs. Les sondages de septembre 2025 créditent Reform UK de 32 %, devançant travaillistes et conservateurs. Farage se prépare pour gouverner, visant 2027, en s’opposant à l’immigration illégale et aux politiques woke. Cette ascension reflète un sentiment patriotique renaissant, amplifié par les récentes manifestations conduites par Tommy Robinson.

La nécessité d’une union des patriotes en France pour un futur gouvernement

En France, les idées conservatrices et patriotiques séduisent un public massif, bien que leur représentation actuelle par le Rassemblement National (RN) de Marine Le Pen soit entaché de compromissions qui trahissent ses électeurs. Malgré des sondages à plus de 30 % et une influence sur les crises politiques successives – comme la chute du gouvernement Bayrou en septembre 2025,

le RN s’aligne de plus en plus sur les positions du gouvernement Macron : pro-UE, pro-OTAN, et calqué sur la plupart des décisions de politique étrangère, à l’exception d’une rhétorique plus ferme sur l’immigration qui masque une convergence réelle.

Des rencontres secrètes avec des ministres macronistes, un refus systématique de soutenir des motions de censure ou de destitution contre Macron – malgré le soutien massif de sa base pour de telles actions –, et une posture « responsable » qui préserve l’institution présidentielle illustrent ce « renoncement national », transformant le RN en une opposition factice intégrée au système mondialiste.

Ce « cordon sanitaire » inversé, où le RN protège Macron au nom de la stabilité, révèle un fossé entre les élites partisanes et un peuple las des promesses non tenues. Avec la crise actuelle – Macron nommant un nouveau Premier ministre minoritaire pour la énième fois –, des élections anticipées pourraient bouleverser le paysage, mais seulement si les patriotes transcendent ces trahisons. Une union urgente s’impose : rassembler la gauche patriotique (Georges Kuzmanovic, Juan Branco) et la droite souverainiste (Les Patriotes de Florian Philippot, François Asselineau, Éric Zemmour, Jean-Frédéric Poisson, Nicolas Dupont-Aignan) pour former un front uni contre l’euromondialisme de Macron (NDLR : liste non exhaustive).

Cette alliance, en priorisant la Nation au-delà des clivages, pourrait enfin « foutre dehors » les mondialistes et restaurer une France souveraine.

Mais si cette hypothétique union devait échouer à cause des égos surdimensionnés des leaders actuels, une personnalité extérieure aux partis traditionnels – charismatique et rassembleuse – devra émerger pour siphonner les électeurs de tous ces mouvements, y compris ceux du RN déçus par ces alignements.

En effet, les électeurs n’appartiennent à personne et restent libres de déserter des partis qui les ont trahis depuis des décennies, comme en témoigne le taux d’abstention record lors des élections récentes, signe d’une défiance profonde envers un système partisan corrompu et déconnecté.

En conclusion, les idées conservatrices et patriotiques ne se limitent pas aux partis au pouvoir ; elles attirent des millions d’adeptes mondialement, influençant débats et futurs gouvernements. De l’Europe aux Amériques, ce mouvement répond à un système défaillant. En France, il pave la voie à un changement radical. Le temps des élites déracinées s’achève ; place aux Nations fortes et identitaires ouvertes à toute collaboration mutuellement profitable sans exception idéologique raisonnable.

Un monde multipolaire comme nous le prônons tous les jours ici dans nos colonnes.

https://multipol360.com/lavancee-des-forces-conservatrices-et-patriotiques-un-phenomene-mondial-en-pleine-expansion/


 

B) Le 19ème paquet de sanctions de l’UE contre la Russie !!

Un suicide économique orchestré par Bruxelles et Washington

Adoption du paquet : une soumission aux diktats américains

L’Union européenne, dans une démonstration flagrante de soumission aux diktats américains, vient d’adopter son 19e paquet de sanctions contre la Russie, un ensemble de mesures hypocrites et autodestructrices qui accélèrent la dégringolade économique des peuples européens. Proposé par la Commission européenne le 19 septembre 2025 et soumis à l’approbation unanime des États membres, ce paquet cible principalement le secteur énergétique russe, sous la pression directe de Donald Trump, qui a conditionné ses propres sanctions à une rupture plus ferme des Européens avec Moscou. Au lieu de défendre les intérêts de ses citoyens, l’UE choisit de creuser sa propre tombe, en accentuant la dépendance vis-à-vis de Washington et en sacrifiant l’accès à une énergie abordable, vitale pour la compétitivité industrielle.

L’interdiction avancée du GNL russe : un coup dur pour la France

Parmi les mesures phares de ce paquet suicidaire figure l’avancée d’un an de l’interdiction totale des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe, fixée désormais au 1er janvier 2027 au lieu de 2028. Cette décision, qui frappe directement la France – l’un des plus gros importateurs de GNL russe en Europe – illustre l’hypocrisie crasse de Bruxelles. Pendant que les dirigeants européens fanfaronnent sur leur « découplage » avec la Russie, des pays comme la France continuent d’acheter massivement ce gaz, souvent via des intermédiaires, tout en prétendant lutter contre l’agression russe en Ukraine. Résultat : les prix de l’énergie explosent pour les ménages et les entreprises européennes, favorisant une délocalisation massive des industries vers des régions plus stables et moins idéologiquement alignées.

Sanctions sur les navires et les pays tiers : vers une guerre commerciale globale

Mais l’absurdité ne s’arrête pas là. Le paquet inclut des sanctions contre 118 nouveaux navires de la « flotte fantôme » russe, portant le total à plus de 560 vaisseaux interdits, ainsi que des interdictions sur la réassurance de ces navires et des avions russes utilisés.

Pire encore, l’UE cible désormais des entreprises en pays tiers, notamment en Chine et en Inde, accusées de commercer des produits énergétiques russes ou de violer les sanctions existantes.

Des raffineries, traders pétroliers et sociétés pétrochimiques chinoises et indiennes sont listées, avec des contrôles d’exportation renforcés sur 45 entités supplémentaires dans ces pays. Cela équivaut à une déclaration de guerre commerciale contre les géants asiatiques, alignée sur les intérêts de Trump qui vise à isoler la Russie au prix d’une confrontation avec Pékin et New Delhi.

Les Européens, déjà affaiblis, se voient ainsi expulsés des marchés russo-asiatiques florissants, laissant la place libre aux Américains pour occuper ces espaces économiques lucratifs.

Mesures financières draconiennes : isolant l’Europe du reste du monde

Ajoutons à cela des mesures financières draconiennes : une interdiction totale des transactions avec davantage de banques russes et leurs filiales en pays tiers, un bannissement des plateformes de cryptomonnaies, et des restrictions sur les services crypto pour les nationaux russes. Le système de cartes de crédit russe MIR et les paiements rapides SBP sont également visés. Sans oublier des interdictions sur des exportations de produits chimiques, métaux, sels et minerais utiles à l’armée russe, ainsi que sur des services high-tech comme l’IA, l’informatique haute performance et les informations géospatiales.

L’hypocrisie européenne : des accusations sélectives et contradictoires

Ces décisions idiotes, dictées par une élite bruxelloise déconnectée, asservissent les peuples européens en les privant d’énergie bon marché et en les exposant à une inflation galopante.

Prenez la Hongrie et la Slovaquie : ces pays, dépendants à 70-80 % du pétrole russe via oléoducs, disposent de réserves limitées (30-45 jours) et ne peuvent se passer de ces approvisionnements sans catastrophe économique. Pourtant, sous la pression de Macron et consorts, on les accuse d’hypocrisie, alors que des géants comme l’Allemagne importent du pétrole « russe » via le Kazakhstan – où des compagnies russes comme Lukoil opèrent – ou que la France et d’autres achètent via l’Inde et la Turquie, générant des milliards de profits pour ces intermédiaires au détriment des peuples.

Les bénéficiaires invisibles : Turquie, Inde et autres intermédiaires

L’hypocrisie est totale : la Turquie, deuxième plus grand bénéficiaire des réexportations de pétrole russe vers l’Europe (5 milliards de dollars depuis 2022), échappe aux critiques, tout comme l’Inde. Pendant ce temps, les Européens paient le prix fort, avec des industries qui fuient vers les États-Unis ou l’Asie.

L’UE, main dans la main avec l’OTAN, pousse à l’escalade guerrière contre la Russie, alimentant un conflit que le peuple français rejette massivement.

Les sondages le montrent : les Français ne veulent pas de cette guerre par procuration, qui draine leurs ressources sans bénéfice tangible.

L’asservissement des peuples et l’urgence du FREXIT

Il est temps de dire stop à cet asservissement. La France n’a aucun intérêt à rester dans cette UE mortifère, où elle verse plus d’argent qu’elle n’en reçoit – contributeur net à hauteur de presque 10 milliards d’euros annuels, finançant des pays qui nous concurrencent ou nous défient. Une sortie de l’UE, suivie d’un rapprochement avec les BRICS+, offrirait une alternative vitale : accès à des marchés émergents dynamiques, énergie abordable via des partenariats avec la Russie, la Chine et l’Inde, et une souveraineté retrouvée loin des bellicistes de Bruxelles et de l’OTAN. Les peuples européens méritent mieux que d’être les pions d’une élite atlantiste qui les ruine pour plaire à Washington. Le Frexit n’est plus une option, c’est une nécessité pour survivre dans un monde multipolaire.

https://multipol360.com/le-19e-paquet-de-sanctions-de-lue-contre-la-russie/ 

 


C) La Pologne bloque l’accès des marchandises chinoises à l’Europe

La Pologne a récemment pris une décision radicale en fermant sa frontière avec la Biélorussie, incluant un point de passage ferroviaire stratégique qui servait de porte d’entrée principale pour les marchandises chinoises vers l’Union européenne.


Cette mesure, effective depuis le 12 septembre 2025, répond à des préoccupations sécuritaires liées à de très controversées incursions de drones russes dans l’espace aérien polonais, exacerbant les tensions régionales avec la Russie.

 

Le site concerné, un hub ferroviaire majeur, gérait jusqu’à 90 % du fret ferroviaire entre la Chine et l’UE, facilitant le transit de biens d’une valeur annuelle estimée à 25 milliards d’euros via une ligne express traversant la Russie. Bien que ce mode de transport ne représente qu’une fraction modeste des échanges globaux entre l’UE et la Chine – environ 3,7 % – il connaît une croissance rapide, avec une augmentation de plus de 10 % du volume de fret et une hausse de 85 % de la valeur des expéditions en 2024.

Cette fermeture, initialement présentée comme temporaire lors d’exercices militaires russes, s’est transformée en blocage indéfini, perturbant gravement la chaîne d’approvisionnement connue sous le nom de « Nouvelle Route de la Soie » ferroviaire. Pékin a exercé des pressions diplomatiques sur Varsovie pour une réouverture rapide, soulignant les risques pour les relations commerciales bilatérales, mais la Pologne a maintenu sa position, priorisant la sécurité nationale. L’Union européenne suit de près la situation, évaluant les impacts potentiels sur le commerce global, tandis que des alternatives comme la route maritime du Nord via la Russie émergent pour contourner le problème, bien que plus coûteuses et dépendantes des conditions climatiques. Cette interruption pourrait entraîner des hausses de prix pour les consommateurs européens et des retards dans les chaînes logistiques, affectant des secteurs comme l’électronique, l’automobile et d’autres biens de consommation courante.

 


Un contexte géopolitique en mutation : l’émergence de blocs alternatifs

Cet épisode s’inscrit dans un paysage géopolitique en pleine transformation, où les tensions entre l’Occident et les puissances émergentes comme la Chine et la Russie accélèrent le déclin de l’influence européenne et américaine. Des forums internationaux récents illustrent cette dynamique : des sommets regroupant des nations du Sud global, comme ceux impliquant des pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, visent à établir un ordre mondial plus équilibré (OCS, BRICS+), loin de l’hégémonie des institutions traditionnelles telles que le FMI ou la Banque mondiale.

Par exemple, des discussions tenues récemment sous présidence brésilienne ont mis l’accent sur la dédollarisation, favorisant les échanges en monnaies locales pour réduire la dépendance au dollar américain. Ces initiatives, portées par un groupe élargi (BRICS+) incluant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine, l’Afrique du Sud, ainsi que de nouveaux membres comme l’Égypte, l’Éthiopie, l’Iran, les Émirats arabes unis et l’Indonésie, représentent près de la moitié de la population mondiale et 40 % du PIB global. Les agendas incluent la réforme du commerce international pour contrer le protectionnisme occidental, la gouvernance de l’intelligence artificielle, et des projets de développement durable, tout en renforçant la coopération avec des partenaires d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est. Malgré des divergences internes, ces efforts consolident une coopération Sud-Sud, avec des outils comme une banque de développement pour financer des infrastructures et une plateforme de paiements unifiée.

 

 

Un autre sommet (OCS), tenu fin août 2025 à Tianjin en Chine, a souligné la quête d’une stabilité eurasienne face à un Occident perçu en déclin économique et sociétal. Réunissant des leaders de la Chine, de la Russie, de l’Inde et d’autres États asiatiques, ce forum a promu une coopération en matière de sécurité, d’intelligence artificielle et d’extraction de ressources critiques, avec des propositions de financement massif pour des projets régionaux. Le commerce au sein de ce bloc a bondi de 25 % en 2023, atteignant des centaines de milliards de dollars, contrastant avec une croissance mondiale occidentale freinée à 2,3 % pour 2025, marquée par un ralentissement du PIB américain, une inflation persistante en Europe, une hausse du chômage et une érosion des valeurs traditionnelles.

Ces évolutions signalent un basculement vers un monde multipolaire, où les sanctions unilatérales et les doubles standards occidentaux sont contestés, favorisant des accords régionaux et une attractivité accrue pour les investissements directs étrangers.

La France face à un choix crucial : quitter l’UE pour sauvegarder son avenir

Dans ce contexte, la France se trouve à un carrefour stratégique. L’Union européenne, par ses alignements rigides sur des intérêts atlantistes et ses politiques qui exacerbent les tensions commerciales – comme cette fermeture polonaise qui pénalise l’ensemble du bloc – semble œuvrer à sa propre perte et à celle des peuples qui la composent. En persistant dans une dépendance vis-à-vis de Washington et en ignorant les opportunités offertes par les nouveaux pôles de puissance, l’UE risque l’isolement économique et géopolitique, aggravant les crises internes comme l’inflation, le chômage et la désindustrialisation.

Pour la France, il est impératif de se repositionner en souveraineté : quitter l’UE pour nouer des partenariats équilibrés avec les blocs émergents, préservant ainsi son identité, son économie et son influence globale. Une telle démarche permettrait de s’affranchir d’une structure bureaucratique qui, au lieu de protéger, expose ses membres à des conflits extérieurs et à une concurrence déloyale, favorisant un avenir où les nations reprennent le contrôle de leur destin.

https://multipol360.com/la-pologne-bloque-lacces-des-marchandises-chinoises-a-leurope/


 

D) La Pologne reconnait une nouvelle accusation sans fondement contre la Russie

Dans un contexte de tensions géopolitiques persistantes en Europe de l’Est, un incident survenu en Pologne a récemment fait les gros titres, révélant une fois de plus les pièges des accusations hâtives. Le 18 septembre 2025, le journal allemand Berliner Zeitung a rapporté que les autorités polonaises avaient officiellement admis que le missile qui avait endommagé une maison dans la région de Lublin provenait d’un de leurs propres avions de chasse F-16, et non d’une attaque russe comme initialement supposé.

Cet aveu met en lumière non seulement un dysfonctionnement technique, mais aussi la propension récurrente à pointer du doigt la Russie pour tous les maux, une pratique qui alimente les narratifs de propagande et complique les relations internationales.

 


Rappel des faits

L’incident remonte à la nuit du 9 au 10 septembre 2025, lorsque 19 drones russes non armés auraient pénétré l’espace aérien polonais, dont 15 ont atterri sans cible précise, sans causer de blessés, provoquant une réponse immédiate des forces armées polonaises. Des avions F-16 ont été déployés pour intercepter ces engins, considérés comme une provocation de Moscou dans le cadre du conflit en Ukraine. Lors de cette opération, un missile air-air AIM-120 AMRAAM a été lancé contre l’un des drones, mais un défaut de guidage l’a empêché d’atteindre sa cible. Au lieu de cela, le projectile a atterri sur le toit d’une maison dans le village de Wyryki-Wola, près de la frontière biélorusse, causant des dommages matériels sans faire de victimes.

 


 

Initialement, les autorités polonaises ont attribué les dégâts à un drone russe abattu. Cependant, des enquêtes ultérieures, rapportées par des médias comme Rzeczpospolita, ont révélé la vérité : il s’agissait bien d’un missile polonais défectueux qui n’avait pas explosé à l’impact.

Tomasz Siemoniak, coordinateur des services de renseignement polonais, a confirmé lors d’une déclaration que « tout indique que c’était une roquette tirée par notre avion lors de la défense de la Pologne », tout en précisant que des investigations étaient encore en cours pour une confirmation définitive.

Le Premier ministre Donald Tusk a, de son côté, maintenu que la responsabilité ultime incombait à la Russie pour avoir initié l’incursion de drones, qualifiant l’événement de « provocation ».

L’armée polonaise a promis une compensation pour les dommages causés à la résidence, et le président polonais a exigé des explications détaillées sur cet incident embarrassant. Cet épisode n’est pas isolé ; il rappelle un incident similaire en novembre 2022, où un missile ukrainien avait atterri en Pologne, initialement imputé à la Russie avant que les faits ne soient démentis.

 


 

La sempiternelle facilité d’accuser la Russie

Cet événement illustre une tendance bien ancrée dans les discours médiatiques et politiques occidentaux : la facilité à accuser la Russie de tous les maux de la terre. Dans un climat de guerre froide renouvelée, où les tensions avec Moscou sont exacerbées par le conflit en Ukraine, les narratifs anti-russes prolifèrent souvent sans vérification approfondie. Des médias et des responsables politiques sautent rapidement aux conclusions, alimentant une rhétorique belliqueuse qui peut escalader les conflits inutile

En fin de compte, cet incident rappelle l’importance d’une enquête rigoureuse avant toute accusation publique. Alors que la Pologne renforce ses défenses aériennes – y compris avec des systèmes Patriot et des F-16 – Macron saute sur l’occasion et déploie trois Rafales de type « médiatique » face aux menaces russes persistantes…

 


 

N’oublions pas ce que disait un grand-maître de la propagande allemande abjecte : “un mensonge répété mille fois se transforme en vérité”, Joseph Goebbels.

https://multipol360.com/la-pologne-reconnait-une-accusation-russe-sans-fondement/

septembre 18, 2025

À ce jour, la pétition de Philippe de Villiers sur l’immigration dépasse les 1,5 million de signatures

 

Cependant une pétition pour un référendum sur l'immigration, il faudrait l'effectuer sur une plateforme à audimat national, non spécieuse !
Nonobstant en donner la question qui sera posée au référendum !
 
 

 
Quelques slogans:
« Si demain je prends les rênes du pays, dès le matin je claque les frontières. Je n’ai besoin de personne pour ça, et peu importe l’impératrice Von der Leyen. Ma seule priorité, ce sont les Français ! »
"J’ai lancé cette pétition pour deux raisons :
- Le courrier abondant que j’ai reçu, toujours avec les mêmes mots : « On n’est plus chez nous », « Soyez notre porte-parole ».
-" La gravité de la situation : le peuple historique français sera, dans quelques décennies, minoritaire chez lui. On n’arrête plus les arrivées — 500 000 par an — et on est incapable d’expulser les OQTF (130 000 depuis un an). Un pays qui ne sait plus contrôler ses frontières meurt à petit feu : c’est une urgence vitale. Il faut passer par un acte de contournement de la société médiatique, qui pèsera dans le débat."
youtu.be/rW48HBRs5Gw Mise en ligne le week-end dernier, cette pétition nationale a déjà dépassé les 830.000 signataires ce dimanche. → https://l.lefigaro.fr/vIc Ce chiffre a été atteint plus vite que pour la pétition pour la loi Duplomb. Néanmoins, il est difficile à certifier. → https://l.lefigaro.fr/osy
 
 
 
Eh bien voilà, ce que malheureusement je subodorais :
La « pétition » de Philippe de Villiers sur l’immigration a encore plus de failles que ce qu’on pensait
Alors que le compteur de signatures enfle et agite l’extrême droite médiatique, de nombreuses étrangetés apparaissent.
Par Romain Herreros
Branle-bas de combat dans les médias de Vincent Bolloré. Ses têtes de gondole, Pascal Praud en tête, hurlent au scandale démocratique. La raison ? Le peu d’écho médiatique que rencontre la pétition mise en ligne par Philippe de Villiers réclamant un référendum sur l’immigration, et dont Le HuffPost avait déjà révélé les (multiples) défauts la semaine dernière.
À mesure que le compteur de signatures enfle sur la page d’accueil du site lancé par le fondateur du Puy de Fou (la barre du million est très largement franchie ce mardi à la mi-journée), de nombreuses bizarreries apparaissent au sujet de cet objet de marketing mediatico-politique.
Ce vendredi, Le HuffPost avait montré que l’on pouvait voter à plusieurs reprises, en entrant différentes adresses valides. Or, comme le souligne BFMTV ce mardi 16 septembre, il est même possible de signer virtuellement cette pétition via des adresses fictives (en changeant simplement une lettre dans son adresse), puisqu’il n’existe aucun système de vérification. Un boulevard pour ceux qui auraient l’idée de faire gonfler artificiellement le nombre de signataires, ou pour des puissances étrangères désireuses de parasiter notre débat public. D’autant qu’il existe des services de bots spécialement conçus pour ce genre de manipulation.
Soi-disant signée par… Mélenchon
Autre défaut souligné par nos confrères : le fait que l’on puisse vérifier si une personne a déjà signé (ou non) en entrant son adresse. Ce qui, au-delà du fait que cela pose un sérieux problème de confidentialité, donne lieu à des situations plus que loufoques. Comme celle repérée par un journaliste de L’Opinion, qui a montré sur le réseau social X qu’une adresse attribuée à… Jean-Luc Mélenchon avait apporté sa signature à la pétition. Ce qui illustre au passage que l’on peut signer la pétition pour d’autres, sans qu’ils soient au courant.
Ainsi, des internautes s’amusent à signer avec des noms farfelus, comme « Arnaque de Villiers », quand d’autres le font avec les adresses mails de personnalités de CNews. Un défaut majeur et surtout une hérésie pour les pétitions en lignes. À titre d’exemple, il est impossible de faire de telles manœuvres sur le site spécialisé Change.org : puisqu’un e-mail de vérification est envoyé au signataire afin de confirmer qu’il s’agit bien d’une initiative de sa part.
Par ailleurs, la dimension marketing de l’objet mis en ligne par le polémiste d’extrême droite commence à être mise en évidence. Notamment la coche que le signataire est invité à signer, et qui indique : « Je consens à ce que Philippe de Villiers communique mon adresse e-mail à la société Lagardère Media News afin qu’elle m’adresse des informations, offres, bons plans et avantages promotionnels pour les titres JDD et JDNews ».
On est ici plus proche de la campagne d’abonnements que de la requête initiale, consistant à réclamer un référendum sur l’immigration. D’autant que le site mis en ligne par Philippe de Villiers est situé 2 rue des Cévennes… Soit le siège de Lagardère Media News, sous contrôle de Vincent Bolloré.
« Une pseudo-pétition politique »
À gauche, certains commencent à dénoncer de cette manipulation politique. « Donc un groupe de presse qui touche de l’argent public est derrière une pseudo-pétition politique (sans aucune vérification des adresses par ailleurs) ? Et ça ne dérange personne ? À quand la fin de la collusion avec l’empire médiatique de l’extrême droite ? », dénonce Manuel Bompard, coordinateur national de la France insoumise.
D’autres, au contraire, soutiennent l’initiative. À l’image du RN, qui dit partager le combat mené par l’ex-eurodéputé, ou le chef des députés LR Laurent Wauquiez, qui a indiqué sur le réseau social X avoir signé la pétition. Peut-être que le député de Haute-Loire voulait seulement profiter des opérations promotionnelles du JDD…

 


Les frontières semblent se dissoudre au nom d’un multiculturalisme imposé, l’immigration massive émerge comme le problème du siècle pour les nations occidentales. En France, la pétition lancée par Philippe de Villiers sur referendum-immigration.com, qui a récolté plus d’1,5 million de signatures en quelques jours,

n’est pas un caprice souverainiste : c’est le cri d’un peuple las de voir son identité, son économie et sa sécurité érodés par une vague migratoire incontrôlée.

Ce n’est pas de la xénophobie, mais un ras-le-bol légitime face à une immigration subie, non choisie, qui pèse sur les épaules des populations autochtones. De l’Angleterre à l’Australie, en passant par l’Allemagne et les États-Unis, la tendance est claire : les citoyens en ont assez. Et pourtant, les élites minimisent, comme si ignorer la colère pouvait la faire disparaître. Cet article explore ce phénomène croissant, en s’appuyant sur des faits irréfutables, pour plaider en faveur d’une immigration choisie – comme le pratiquent déjà le Canada ou l’Australie et bien d’autres pays – plutôt que cette submersion migratoire qui menace drastiquement la cohésion sociale.

La France au bord du gouffre : quand le peuple réclame sa voix

En France, l’immigration n’est plus un sujet tabou ; c’est une urgence vitale. Avec un solde migratoire net estimé à plus de 300.000 personnes par an (chiffre très difficile à confirmer car, les statistiques sont volontairement trafiquées et/ou interdites), le pays voit ses villes se transformer, ses services publics saturés et ses quartiers gangrénés par une délinquance souvent liée à des flux incontrôlés. Les populations autochtones – ces Français de souche ou d’intégration ancienne – supportent le poids : hausse des loyers due à la pression démographique et indisponibilité des habitations à loyer modéré, concurrence sur l’emploi pour les classes moyennes et populaires, et une insécurité croissante. Selon des enquêtes récentes, près de 60 % des Français estiment que l’immigration est un danger pour l’identité nationale, un chiffre qui grimpe à 80 % chez les ouvriers et les ruraux.

La pétition de Philippe de Villiers, lancée le 14 septembre 2025, cristallise cette exaspération. Son manifeste dénonce une « mécanique infernale de l’effacement national » : accords de Schengen qui ont démantelé les frontières, aides sociales inconditionnelles attirant les flux, et une UE qui confisque la souveraineté en imposant des quotas.

« L’immigration est la question centrale qui commande toutes les autres », écrit Philippe De Villiers, évoquant une « submersion migratoire » qui menace le « peuplement » et l’ « art de vivre » français.

Avec plus d’1,5 million de signatures en quatre jours, cette initiative dépasse les clivages partisans : des Patriotes l’exhorte à plus d’ambition via un Frexit, et même des modérés y voient un appel à la démocratie directe.

Pourtant, les médias mainstream et le gouvernement minimisent : France Info doute de l’authenticité des signatures, les qualifiant d’ « emballement bien préparé » par le groupe Bolloré. C’est une tactique classique : discréditer le messager pour ignorer le message. Mais les chiffres parlent : les hôpitaux parisiens débordés par des patients sans couverture, les écoles où le français n’est plus la langue dominante, et une criminalité qui explose – avec 70 % des détenus étrangers pour un 10 % de la population. Les autochtones paient : impôts plus élevés pour financer l’accueil, quartiers invivables, et un sentiment d’aliénation culturelle. L’immigration subie n’enrichit pas ; elle appauvrit et divise.

L’Angleterre en ébullition : un million de voix étouffées par Londres

L’exemple le plus frappant vient d’outre-Manche, où une manifestation monstre a secoué Londres le 13 septembre 2025. Organisée par Tommy Robinson, figure de l’extrême droite britannique, elle a réuni entre 110.000 et 150.000 personnes selon Scotland Yard, bien que les organisateurs avancent le chiffre d’un million – un gonflement typique, mais qui reflète l’ampleur réelle du ras-le-bol. Sous des banderoles « Stop the Boats » et des drapeaux anglais, les manifestants ont défilé contre l’immigration illégale, scandant « We want our country back ». C’était un cri contre les traversées de la Manche : plus de 50.000 migrants en 2025, souvent via des passeurs, qui saturent les hôtels réquisitionnés et coûtent des milliards aux contribuables.

Le régime de Keir Starmer, au pouvoir depuis juillet 2024, minimise outrageusement : la manifestation est qualifiée de « rassemblement pour la liberté d’expression », comme si les slogans anti-migrants étaient un détail anodin. Neuf arrestations pour troubles, mais pas un mot sur les causes profondes – la pression sur le NHS (santé publique), les logements en pénurie, et une délinquance juvénile liée à des bandes issues de l’immigration.

Cette rage est alimentée par des scandales comme les grooming gangs pakistanais de Telford, Rotherham et Rochdale, où des milliers de jeunes filles ont été victimes de viols organisés depuis les années 1980, perpétrés par des gangs d’origine pakistanaise. Ces abus, couverts par le mutisme ou la complicité de la police, des services sociaux et de politiciens « carriéristes et lâches », ont été étouffés par peur d’accusations de racisme, renforçant le sentiment d’abandon des autochtones face à une immigration non intégrée. Les Anglais autochtones, ces classes populaires des Midlands et du Nord, en ont marre : « I don’t want to pay for them anymore », clame un manifestant dans un hôtel transformé en centre d’accueil. Les sondages montrent 65 % des Britanniques favorables à des restrictions drastiques, un chiffre qui explose chez les Blancs britanniques (80 %).

Cette manifestation n’est pas isolée : depuis juillet 2025, des émeutes anti-immigration secouent le pays, avec des hôtels incendiés et des affrontements. Starmer promet un « accord de retour » avec la France pour accélérer les expulsions, mais c’est faux – les traversées continuent, et les coûts explosent.

Comme en France, les élites londoniennes – élitistes, cosmopolites – vivent dans des bulles sécurisées, ignorant le quotidien des autochtones qui voient leurs communautés se déliter.

Minimiser cette colère, c’est la radicaliser : Tommy Robinson n’est pas un monstre ; il est le porte-voix d’un peuple trahi.

Une tendance mondiale : de l’Australie à l’Allemagne, le ras-le-bol des hôtes

Ce phénomène n’est pas franco-britannique ; il est global. Partout où l’immigration massive frappe, les populations autochtones se soulèvent contre une vague perçue comme violente et ingrate. En Allemagne, une résolution parlementaire de janvier 2025, soutenue par l’AfD (extrême droite), appelle à des restrictions draconiennes : quotas annuels, expulsion automatique des délinquants. Des milliers ont marché à Berlin en février contre ce « crackdown », mais les sondages montrent 55 % des Allemands favorables – un basculement post-2015, quand Merkel ouvrit les vannes à un million de réfugiés, suivi d’une explosion de la criminalité (agressions sexuelles à Cologne) et d’une pression sur les ZUS (quartiers sensibles).

Aux États-Unis, les « immigration-related demonstrations » en 2025 sont en hausse de 30 % : bien que 97 % soient pro-immigrants (selon un rapport de Princeton), les anti-immigration – comme les caravanes à la frontière texane – mobilisent des foules enragées contre les « sanctuary cities » submergées. Trump, réélu en 2024, promet un mur géant et des expulsions massives, porté par 70 % des Blancs ruraux qui voient l’immigration comme une « invasion ». En Australie, les boat people sont stoppés net depuis 2013, mais 2025 voit des manifestations contre les visas temporaires qui saturent Sydney : « No more boats, no more burdens », scandent les autochtones, las d’une délinquance importée.

 


 

En Italie, Giorgia Meloni expulse des milliers via des accords avec la Tunisie et la Libye, mais les arrivées via Lampedusa persistent – 150.000 en 2025. Les Italiens du Sud, autochtones appauvris, en ont assez : manifestations violentes contre les centres d’accueil qui « volent » les emplois agricoles. Même au Canada, bastion du multiculturalisme, les sondages de 2025 montrent 60 % des Canadiens pour geler l’immigration, face à une hausse des loyers de 20 % et une criminalité en hausse dans Toronto. Partout, la violence – émeutes, agressions – et l’ingratitude perçue (refus d’intégration, revendications immédiates) alimentent la colère. Les autochtones ne haïssent pas les migrants ; ils haïssent d’être forcés d’accueillir sans filtre, au détriment de leur bien-être.

La preuve ultime : les pays d’origine qui claquent la porte

La meilleure illustration de cette immigration toxique ? Les pays d’origine refusent de reprendre leurs ressortissants expulsés, transformant l’Europe en « bagne mondial ». L’UE, dans son Pacte sur la migration adopté en 2024 et renforcé en 2025, propose une liste de « pays sûrs » – Égypte, Tunisie, Bangladesh, Colombie, Inde, Kosovo, Maroc – pour accélérer les reconduites. Mais ces nations freinent des quatre fers : pas de documents, refus de charters, négociations interminables pour des aides européennes. En 2025, seulement 20 % des ordres d’expulsion sont exécutés, selon la Commission : le Maroc bloque les vols pour ses délinquants, la Tunisie conditionne les retours à des milliards d’euros, et l’Algérie renvoie les bateaux.

C’est l’ironie cruelle : ces migrants, souvent « ingrats » envers l’hôte européen (demandes d’asile frauduleuses, criminalité), sont vus comme un fardeau par leurs propres pays. Le Kosovo, listé « sûr », refuse 70 % des reconduites ; l’Inde exige des preuves irréfutables pour des fraudeurs. Résultat ? Les autochtones européens paient : prisons surpeuplées, coûts judiciaires exorbitants, et une impunité qui encourage les flux. C’est un piège géopolitique où l’Occident perd sur tous les tableaux.

Vers une immigration choisie : la seule voie de sauvegarde

Face à ce chaos, la solution est claire : passer d’une immigration subie à une immigration choisie. Comme au Canada avec son système à points (compétences, langue, intégration), ou en Australie (visas qualifiés, quotas stricts), la France et l’Europe doivent filtrer : priorité aux talents, aux familles unies légalement, et zéro tolérance pour la délinquance. Un référendum, comme celui réclamé par Philippe de Villiers, rendrait la parole au peuple – pas aux élites bruxelloises.

Les autochtones ne demandent pas la fermeture totale ; ils veulent le contrôle. Ignorer cela, comme Starmer à Londres ou Macron à Paris, c’est risquer l’implosion sociale.

L’immigration choisie enrichit ; la subie détruit. Il est temps que les nations reprennent leur destin en main, avant que la colère ne devienne révolution.

https://multipol360.com/la-petition-de-philippe-de-villiers-sur-limmigration-depasse-les-15-million-de-signatures/ 

À lire aussi:

Pluralité: Du côté de Philippe de Villiers : une déclaration explosive pour le Frexit, symbole d’un patriote visionnaire

Powered By Blogger