Cependant une pétition pour un référendum sur l'immigration, il faudrait l'effectuer sur une plateforme à audimat national, non spécieuse !
Nonobstant en donner la question qui sera posée au référendum !
Quelques slogans:
« Si demain je prends les rênes du pays, dès le matin je claque les frontières. Je n’ai besoin de personne pour ça, et peu importe l’impératrice Von der Leyen. Ma seule priorité, ce sont les Français ! »
"J’ai lancé cette pétition pour deux raisons :
- Le courrier abondant que j’ai reçu, toujours avec les mêmes mots : « On n’est plus chez nous », « Soyez notre porte-parole ».
-" La gravité de la situation : le peuple historique français sera, dans quelques décennies, minoritaire chez lui. On n’arrête plus les arrivées — 500 000 par an — et on est incapable d’expulser les OQTF (130 000 depuis un an). Un pays qui ne sait plus contrôler ses frontières meurt à petit feu : c’est une urgence vitale. Il faut passer par un acte de contournement de la société médiatique, qui pèsera dans le débat."
Eh bien voilà, ce que malheureusement je subodorais :
La « pétition » de Philippe de Villiers sur l’immigration a encore plus de failles que ce qu’on pensait
Alors que le compteur de signatures enfle et agite l’extrême droite médiatique, de nombreuses étrangetés apparaissent.
Par Romain Herreros
Branle-bas de combat dans les médias de Vincent Bolloré. Ses têtes de gondole, Pascal Praud en tête, hurlent au scandale démocratique. La raison ? Le peu d’écho médiatique que rencontre la pétition mise en ligne par Philippe de Villiers réclamant un référendum sur l’immigration, et dont Le HuffPost avait déjà révélé les (multiples) défauts la semaine dernière.
À mesure que le compteur de signatures enfle sur la page d’accueil du site lancé par le fondateur du Puy de Fou (la barre du million est très largement franchie ce mardi à la mi-journée), de nombreuses bizarreries apparaissent au sujet de cet objet de marketing mediatico-politique.
Ce vendredi, Le HuffPost avait montré que l’on pouvait voter à plusieurs reprises, en entrant différentes adresses valides. Or, comme le souligne BFMTV ce mardi 16 septembre, il est même possible de signer virtuellement cette pétition via des adresses fictives (en changeant simplement une lettre dans son adresse), puisqu’il n’existe aucun système de vérification. Un boulevard pour ceux qui auraient l’idée de faire gonfler artificiellement le nombre de signataires, ou pour des puissances étrangères désireuses de parasiter notre débat public. D’autant qu’il existe des services de bots spécialement conçus pour ce genre de manipulation.
Soi-disant signée par… Mélenchon
Autre défaut souligné par nos confrères : le fait que l’on puisse vérifier si une personne a déjà signé (ou non) en entrant son adresse. Ce qui, au-delà du fait que cela pose un sérieux problème de confidentialité, donne lieu à des situations plus que loufoques. Comme celle repérée par un journaliste de L’Opinion, qui a montré sur le réseau social X qu’une adresse attribuée à… Jean-Luc Mélenchon avait apporté sa signature à la pétition. Ce qui illustre au passage que l’on peut signer la pétition pour d’autres, sans qu’ils soient au courant.
Ainsi, des internautes s’amusent à signer avec des noms farfelus, comme « Arnaque de Villiers », quand d’autres le font avec les adresses mails de personnalités de CNews. Un défaut majeur et surtout une hérésie pour les pétitions en lignes. À titre d’exemple, il est impossible de faire de telles manœuvres sur le site spécialisé
Change.org : puisqu’un e-mail de vérification est envoyé au signataire afin de confirmer qu’il s’agit bien d’une initiative de sa part.
Par ailleurs, la dimension marketing de l’objet mis en ligne par le polémiste d’extrême droite commence à être mise en évidence. Notamment la coche que le signataire est invité à signer, et qui indique : « Je consens à ce que Philippe de Villiers communique mon adresse e-mail à la société Lagardère Media News afin qu’elle m’adresse des informations, offres, bons plans et avantages promotionnels pour les titres JDD et JDNews ».
On est ici plus proche de la campagne d’abonnements que de la requête initiale, consistant à réclamer un référendum sur l’immigration. D’autant que le site mis en ligne par Philippe de Villiers est situé 2 rue des Cévennes… Soit le siège de Lagardère Media News, sous contrôle de Vincent Bolloré.
« Une pseudo-pétition politique »
À gauche, certains commencent à dénoncer de cette manipulation politique. « Donc un groupe de presse qui touche de l’argent public est derrière une pseudo-pétition politique (sans aucune vérification des adresses par ailleurs) ? Et ça ne dérange personne ? À quand la fin de la collusion avec l’empire médiatique de l’extrême droite ? », dénonce Manuel Bompard, coordinateur national de la France insoumise.
D’autres, au contraire, soutiennent l’initiative. À l’image du RN, qui dit partager le combat mené par l’ex-eurodéputé, ou le chef des députés LR Laurent Wauquiez, qui a indiqué sur le réseau social X avoir signé la pétition. Peut-être que le député de Haute-Loire voulait seulement profiter des opérations promotionnelles du JDD…
Les frontières semblent se dissoudre au nom d’un
multiculturalisme imposé, l’immigration massive émerge comme le problème
du siècle pour les nations occidentales. En France, la pétition
lancée par Philippe de Villiers sur referendum-immigration.com, qui a
récolté plus d’1,5 million de signatures en quelques jours,
n’est pas un caprice souverainiste :
c’est le cri d’un peuple las de voir son identité, son économie et sa
sécurité érodés par une vague migratoire incontrôlée.
Ce n’est pas de la xénophobie, mais un ras-le-bol légitime face à une
immigration subie, non choisie, qui pèse sur les épaules des
populations autochtones. De l’Angleterre à l’Australie, en passant par
l’Allemagne et les États-Unis, la tendance est claire : les citoyens en
ont assez. Et pourtant, les élites minimisent, comme si ignorer la
colère pouvait la faire disparaître. Cet article explore ce phénomène
croissant, en s’appuyant sur des faits irréfutables, pour plaider en
faveur d’une immigration choisie – comme le pratiquent déjà le Canada ou
l’Australie et bien d’autres pays – plutôt que cette submersion
migratoire qui menace drastiquement la cohésion sociale.
La France au bord du gouffre : quand le peuple réclame sa voix
En France, l’immigration n’est plus un sujet tabou ; c’est une
urgence vitale. Avec un solde migratoire net estimé à plus de 300.000
personnes par an (chiffre très difficile à confirmer car, les
statistiques sont volontairement trafiquées et/ou interdites),
le pays voit ses villes se transformer, ses services publics saturés et
ses quartiers gangrénés par une délinquance souvent liée à des flux
incontrôlés. Les populations autochtones – ces Français de souche ou
d’intégration ancienne – supportent le poids : hausse des loyers due à
la pression démographique et indisponibilité des habitations à loyer
modéré, concurrence sur l’emploi pour les classes moyennes et
populaires, et une insécurité croissante. Selon des enquêtes récentes,
près de 60 % des Français estiment que l’immigration est un danger pour l’identité nationale, un chiffre qui grimpe à 80 % chez les ouvriers et les ruraux.
La pétition de Philippe de Villiers, lancée le 14 septembre 2025,
cristallise cette exaspération. Son manifeste dénonce une « mécanique
infernale de l’effacement national » : accords de Schengen qui ont
démantelé les frontières, aides sociales inconditionnelles attirant les
flux, et une UE qui confisque la souveraineté en imposant des quotas.
« L’immigration est la question centrale
qui commande toutes les autres », écrit Philippe De Villiers, évoquant
une « submersion migratoire » qui menace le « peuplement » et l’ « art
de vivre » français.
Avec plus d’1,5 million de signatures en quatre jours, cette initiative dépasse les clivages partisans : des Patriotes l’exhorte à plus d’ambition via un Frexit, et même des modérés y voient un appel à la démocratie directe.
Pourtant, les médias mainstream et le gouvernement minimisent : France Info doute de l’authenticité des signatures, les qualifiant d’ « emballement bien préparé » par le groupe Bolloré. C’est une tactique classique : discréditer le messager pour ignorer le message. Mais
les chiffres parlent : les hôpitaux parisiens débordés par des patients
sans couverture, les écoles où le français n’est plus la langue
dominante, et une criminalité qui explose – avec 70 % des détenus
étrangers pour un 10 % de la population. Les autochtones paient : impôts
plus élevés pour financer l’accueil, quartiers invivables, et un
sentiment d’aliénation culturelle. L’immigration subie n’enrichit pas ;
elle appauvrit et divise.
L’Angleterre en ébullition : un million de voix étouffées par Londres
L’exemple le plus frappant vient d’outre-Manche, où une manifestation
monstre a secoué Londres le 13 septembre 2025. Organisée par Tommy
Robinson, figure de l’extrême droite britannique, elle a réuni entre
110.000 et 150.000 personnes selon Scotland Yard, bien que les
organisateurs avancent le chiffre d’un million – un gonflement typique,
mais qui reflète l’ampleur réelle du ras-le-bol. Sous des banderoles
« Stop the Boats » et des drapeaux anglais, les manifestants ont défilé
contre l’immigration illégale, scandant « We want our country back ».
C’était un cri contre les traversées de la Manche : plus de 50.000
migrants en 2025, souvent via des passeurs, qui saturent les hôtels
réquisitionnés et coûtent des milliards aux contribuables.
Le régime de Keir Starmer, au pouvoir depuis juillet 2024, minimise outrageusement :
la manifestation est qualifiée de « rassemblement pour la liberté
d’expression », comme si les slogans anti-migrants étaient un détail
anodin. Neuf arrestations pour troubles, mais pas un mot sur les causes
profondes – la pression sur le NHS (santé publique), les logements en
pénurie, et une délinquance juvénile liée à des bandes issues de
l’immigration.
Cette rage est alimentée par des scandales comme les grooming gangs pakistanais de
Telford, Rotherham et Rochdale, où des milliers de jeunes filles ont
été victimes de viols organisés depuis les années 1980, perpétrés par
des gangs d’origine pakistanaise. Ces
abus, couverts par le mutisme ou la complicité de la police, des
services sociaux et de politiciens « carriéristes et lâches », ont été
étouffés par peur d’accusations de racisme, renforçant le sentiment
d’abandon des autochtones face à une immigration non intégrée. Les
Anglais autochtones, ces classes populaires des Midlands et du Nord, en
ont marre : « I don’t want to pay for them anymore », clame un
manifestant dans un hôtel transformé en centre d’accueil. Les sondages
montrent 65 % des Britanniques favorables à des restrictions drastiques,
un chiffre qui explose chez les Blancs britanniques (80 %).
Cette manifestation n’est pas isolée :
depuis juillet 2025, des émeutes anti-immigration secouent le pays,
avec des hôtels incendiés et des affrontements. Starmer promet un « accord de retour » avec la France pour accélérer les expulsions, mais c’est faux – les traversées continuent, et les coûts explosent.
Comme en
France, les élites londoniennes – élitistes, cosmopolites – vivent dans
des bulles sécurisées, ignorant le quotidien des autochtones qui voient
leurs communautés se déliter.
Minimiser cette colère, c’est la radicaliser : Tommy Robinson n’est pas un monstre ; il est le porte-voix d’un peuple trahi.
Une tendance mondiale : de l’Australie à l’Allemagne, le ras-le-bol des hôtes
Ce phénomène n’est pas franco-britannique ; il est global. Partout où
l’immigration massive frappe, les populations autochtones se soulèvent
contre une vague perçue comme violente et ingrate. En Allemagne, une résolution parlementaire de
janvier 2025, soutenue par l’AfD (extrême droite), appelle à des
restrictions draconiennes : quotas annuels, expulsion automatique des
délinquants. Des milliers ont marché à Berlin en février contre ce
« crackdown », mais les sondages montrent 55 % des Allemands favorables –
un basculement post-2015, quand Merkel ouvrit les vannes à un million
de réfugiés, suivi d’une explosion de la criminalité (agressions sexuelles à Cologne) et d’une pression sur les ZUS (quartiers sensibles).
Aux États-Unis, les « immigration-related demonstrations » en 2025
sont en hausse de 30 % : bien que 97 % soient pro-immigrants (selon un rapport de Princeton),
les anti-immigration – comme les caravanes à la frontière texane –
mobilisent des foules enragées contre les « sanctuary cities »
submergées. Trump, réélu en 2024, promet un mur géant et des expulsions
massives, porté par 70 % des Blancs ruraux qui voient l’immigration
comme une « invasion ». En Australie, les boat people sont stoppés net
depuis 2013, mais 2025 voit des manifestations contre les visas
temporaires qui saturent Sydney : « No more boats, no more burdens »,
scandent les autochtones, las d’une délinquance importée.

En Italie, Giorgia Meloni expulse des milliers via des accords avec la Tunisie et la Libye, mais les arrivées via Lampedusa persistent
– 150.000 en 2025. Les Italiens du Sud, autochtones appauvris, en ont
assez : manifestations violentes contre les centres d’accueil qui
« volent » les emplois agricoles. Même au Canada,
bastion du multiculturalisme, les sondages de 2025 montrent 60 % des
Canadiens pour geler l’immigration, face à une hausse des loyers de 20 %
et une criminalité en hausse dans Toronto. Partout, la violence –
émeutes, agressions – et l’ingratitude perçue (refus d’intégration,
revendications immédiates) alimentent la colère. Les autochtones ne
haïssent pas les migrants ; ils haïssent d’être forcés d’accueillir sans
filtre, au détriment de leur bien-être.
La preuve ultime : les pays d’origine qui claquent la porte
La meilleure illustration de cette immigration toxique ? Les pays
d’origine refusent de reprendre leurs ressortissants expulsés,
transformant l’Europe en « bagne mondial ». L’UE, dans son Pacte sur la
migration adopté en 2024 et renforcé en 2025, propose une liste de « pays sûrs »
– Égypte, Tunisie, Bangladesh, Colombie, Inde, Kosovo, Maroc – pour
accélérer les reconduites. Mais ces nations freinent des quatre fers :
pas de documents, refus de charters, négociations interminables pour des
aides européennes. En 2025, seulement 20 % des ordres d’expulsion sont exécutés,
selon la Commission : le Maroc bloque les vols pour ses délinquants, la
Tunisie conditionne les retours à des milliards d’euros, et l’Algérie
renvoie les bateaux.
C’est l’ironie cruelle : ces migrants, souvent « ingrats » envers
l’hôte européen (demandes d’asile frauduleuses, criminalité), sont vus
comme un fardeau par leurs propres pays. Le Kosovo, listé « sûr »,
refuse 70 % des reconduites ; l’Inde exige des preuves irréfutables pour
des fraudeurs. Résultat ? Les autochtones européens paient : prisons
surpeuplées, coûts judiciaires exorbitants, et une impunité qui
encourage les flux. C’est un piège géopolitique où l’Occident perd sur
tous les tableaux.
Vers une immigration choisie : la seule voie de sauvegarde
Face à ce chaos, la solution est claire : passer d’une immigration
subie à une immigration choisie. Comme au Canada avec son système à
points (compétences, langue, intégration), ou en Australie (visas
qualifiés, quotas stricts), la France et l’Europe doivent filtrer :
priorité aux talents, aux familles unies légalement, et zéro tolérance
pour la délinquance. Un référendum, comme celui réclamé par Philippe de
Villiers, rendrait la parole au peuple – pas aux élites bruxelloises.
Les autochtones ne demandent pas la
fermeture totale ; ils veulent le contrôle. Ignorer cela, comme Starmer à
Londres ou Macron à Paris, c’est risquer l’implosion sociale.
L’immigration choisie enrichit ; la subie détruit. Il est temps que
les nations reprennent leur destin en main, avant que la colère ne
devienne révolution.
https://multipol360.com/la-petition-de-philippe-de-villiers-sur-limmigration-depasse-les-15-million-de-signatures/
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