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juillet 06, 2017

Jupiter Macron se substitue t-il à Martine !!

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L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.

 Librement vôtre - Faisons ensemble la liberté, la Liberté fera le reste.
Al,



















Communiqué du Général (2s) Henri Roure –
Un putsch sans soldats
L’élection présidentielle, qui a amené M. Macron à la présidence, est le fruit vénéneux d’un déni de démocratie. Il s’agit d’une spoliation, résultat d’un rejet masqué de l’idéal démocratique. La manipulation vient de loin. Elle est probablement la forme la plus élaborée du coup d’État car elle ne refuse pas le principe des élections sur lequel repose l’expression de la volonté populaire, mais, sciemment - j’allais écrire scientifiquement - elle pervertit, oriente, sculpte l’opinion publique. Elle repose sur l’énorme puissance d’un système qui a l’ambition de s’imposer au monde, à commencer par ce que nous appelons, aujourd’hui, improprement, l’Occident. Ses moyens sont, à l’évidence, considérables.

Nous sommes confrontés à un monstre que certains ont baptisé l’internationalisme financier, ou l’ultra libéralisme, mais qui, en tout état de cause, est intimement lié à la puissance étatsunienne. Il s’agit de l’avatar le plus ingénieux de l’impérialisme étatsunien relayé par son allié fidèle l’Union Européenne.

La vraie démocratie est trop dangereuse pour la finance internationale, car elle peut amener au pouvoir des personnes véritablement choisies par le peuple avec des idées aussi saugrenues que la défense des intérêts nationaux, la patrie, la protection sociale, la morale, l’éducation et la culture, le service public ou encore l’État de droit. Ce risque ne peut être accepté quand il s’agit de globaliser ou plus exactement d’américaniser et de subordonner les peuples au puissant réseau politico-bancaire piloté par Washington. Il est donc nécessaire de tendre vers une pensée unique.

Difficile cependant de s’affranchir des élections… Dès lors il faut les truquer à l’aide de la désinformation aboutissant à la manipulation de l’opinion publique ; c’est tellement plus simple et moins risqué puisque le système est propriétaire des médias et des instituts de sondage et peut s’appuyer sur quelques dirigeants, intellectuels ou bobos, bien placés et convaincus. Il ne faut pas s’étonner, ainsi, de l’assassinat politique de François Fillon, dont le programme trop judicieux et national pouvait éloigner la France de cette subordination. L’astuce fut de l’accuser de ce que l’immense majorité des parlementaires fait, en toute légalité, mais qui, pour lui, fut présenté, dans un acharnement médiatique sans limite, comme de la corruption. Aucun journaliste ne s’éleva pour regarder les faits avec objectivité. Et pour cause, tous dépendent du système…
Aude Lancelin, ancienne rédactrice en chef adjointe de l’Obs le dit clairement : « l’ensemble des médias est sous la coupe du CAC 40 ». En association avec eux quelques juges haineux trop liés à un pouvoir désireux de se survivre à lui-même et intimement impliqué dans le réseau. La suite se présentait d’évidence. Face à un éclatement consommé des partis traditionnels, résultat de primaires inspirées de la vision étatsunienne de la sélection des candidats et inadaptées à la culture politique française, un inconnu, issu directement du milieu bancaire, et présentant l’image de la nouveauté, pu être propulsé dans le pseudo débat. Le système, alors, n’a même pas cherché à se dissimuler sous les atours d’une apparente objectivité. Les médias aux ordres n’eurent qu’à relayer l’habituelle hystérie anti Front National en utilisant tous les vieux procédés passant de l’association d’images aux citations hors contexte et à l’insinuation. Il fallait faire « barrage » sans que quiconque sache vraiment pourquoi, ou, plus justement, de crainte que le constat devienne trop clair que ce parti avait récupéré les idées gaullistes, imprudemment abandonnées par la droite classique.

Le matraquage, cette fois, fit l’éloge du néophyte et, toute honte bue, ceux qui auraient dû rester neutres ou au moins discrets, affirmèrent péremptoirement qu’il fallait voter pour lui. Preuve suprême de cet internationalisme bien loin d’être prolétarien, l’étatsunien Obama apporta bruyamment son soutien, Merkel de même et l’inénarrable Junker donna sa contribution. Des étrangers intervenaient dans une élection française ! Personne n’y vit un scandale… Dans un panorama politique trafiqué et disloqué, le banquier fut élu. Il le fut avec les voix d’électeurs qui, par opposition, viscérale et entretenue, à l’autre candidat, celui de la négation absolue de ce système, se sont piégés. Comment faire désormais pour se séparer de celui qu’ils ont, de fait, contribué fortement à porter à la magistrature suprême ?

Ajoutons que l’opération était tellement bien montée que le nouveau président a été élu alors que l’immense majorité du corps électoral lui était, sinon hostile, du moins opposée. Qui le dit ? Regardons les chiffres sous un angle particulier. La participation a été de 74,56% soit 25% d’abstentions. Il y a eu 66% de suffrages exprimés, c’est à dire 34% de nuls ou blancs. Si, à ce chiffre, nous ajoutons les 34% qui ont voté Le Pen, nous constatons que 68% des personnes qui se sont déplacées jusqu’aux urnes n’ont pas voté pour Macron. Dans cette élection, nombreux sont ceux qui se sont abstenus par hostilité aux finalistes. En minorant leur nombre parmi les non-votants, nous pouvons les estimer à 6 ou 7%. Ce qui fait un total intermédiaire voisin de 75% qui ont refusé Macron. Si nous ajoutons à ce dernier chiffre ceux qui ont voté Macron par opposition à le Pen, mais pas par adhésion à ses idées, nous aboutissons, probablement, à 85% du corps électoral qui ne soutient pas le nouvel « élu »
Le nouveau président est peut-être légal aux termes de la Constitution, mais illégitime au regard de la morale politique. Au bilan, Macron est un usurpateur. En réalité, la démocratie française d’aujourd’hui n’est qu’une dictature qui se déguise. Elle est devenue le pire des régimes comme tous les autres. J’ose espérer que personne parmi ces profiteurs, qui vont suivre Macron, ne proférera la moindre critique sur la façon dont nos amis africains voient la démocratie…

Je ne suis donc pas en opposition mais en résistance, tout en sachant que le combat sera long et difficile. Je débute ma marche…

Général Henri Roure
Secrétaire national pour les questions de défense au CNIP (Centre National des Indépendant et Paysans)





Bizarre, bizarre,

Regardant de temps en temps la télévision, j'avais vu la belle maison d'Emmanuel MACRON au Touquet, juste après son élection, avec les drapeaux français et européen au-dessus de la porte, le tout attirant la foule des touristes .
Par simple curiosité, j'ai été consulter la déclaration de patrimoine du récipiendaire , déclaration à laquelle la haute autorité n'avait trouvé aucune anomalie .
On y trouve beaucoup de choses et, en particulier, un emprunt de 350.000 francs (donc aux environs de 2001) et 64.155 francs d'intérêts d'emprunt, l'emprunt étant destiné à financer des travaux dans un immeuble situé à XXXXXX).
Il doit y avoir un petit oubli, car la maison du Touquet n'apparaît nulle part sur cette déclaration, pas plus que l'immeuble ayant supporté les travaux. C'est peut-être le même immeuble ...ou pas . Mais aussi, pourquoi cacher l'adresse, puisque l'emprunt prouve qu'il existe ?
Or, on sait que les époux Macron sont mariés sous le régime de communauté légale et que cet immeuble fait partie soit du patrimoine propre d'E. Macron, soit du patrimoine de la communauté du couple ou de celui d'une société civile immobilière , il aurait dû y figurer aux termes de la Loi. Alors?


Tout le monde peut commettre un oubli ou une erreur, errare humanum est , persevere diabolicum...

mai 26, 2015

Humour et Liberté

L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture, librement vôtre. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.

Toujours aussi d'actualité, les régimes politiques peuvent se modifier; Mais les motivations des gouvernants sont toujours les mêmes. Histoire répétitive de la dette publique



 Sommaire:

A) Colbert-Mazarin: L'Etat et ses dettes! -  Antoine Rault

B) L’Etat, sa Dette et son peuple - Alain Genestine (2007)

C) Leçon d'économie et de Finance : Impôts, Emprunt d'état, loterie nationale... François Ier

D) - Humour de Wikiberal

E) ETRE PRESIDENT, C'EST PAS UNE SINECURE - Par Christiane Chavane

F) Voilà pourquoi le socialisme ne marche pas - Source: http://neoconservatisme.over-blog.com/

G) La liberté d'expression, Vincent Bénard

 

 
A) Colbert-Mazarin: L'Etat et ses dettes! - Antoine Rault

Au sommet de son pouvoir mais à la fin de sa vie, le Cardinal Mazarin achève l'éducation du jeune roi Louis XIV, sous le regard de la reine-mère Anne d'Autriche et d'un Colbert qui attend son heure. Tous ces personnages, leurs calculs et leurs rivalités ne sont pas sans rappeler les jeux du pouvoir et ces liens étroits entre affaires publiques et vie privée que l'on connaît aujourd'hui 


Colbert: Pour trouver de  l'argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus.
J'aimerais que  Monsieur le Surintendant m'explique comment on s'y prend pour dépenser  encore quand on est déjà endetté jusqu'au cou…

Mazarin: Quand on est un  simple mortel, bien sûr, et qu'on est couvert de dettes, on va en prison.  Mais l'Etat…, lui,
C’est différent. On ne peut pas jeter l'Etat en prison.  Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous les Etats font ça.

Colbert : Ah oui ? Vous  croyez ? Cependant, il nous faut de l'argent. Et comment en trouver quand  on a déjà créé tous les impôts imaginables ?

Mazarin  : On en crée  d'autres.

Colbert : Nous ne pouvons  pas taxer les pauvres plus qu'ils ne le sont déjà.

Mazarin : Oui, c’est  impossible.

Colbert: Alors, les riches ?

Mazarin: Les riches, non  plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des  centaines de pauvres

Colbert : Alors, comment  fait-on ?

Mazarin: Colbert, tu  raisonnes comme un fromage (comme un pot de chambre sous le derrière d'un  malade) ! il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres, ni  riches… Des Français qui travaillent, rêvant d'être riches et redoutant  d'être pauvres ! c'est ceux-là que nous devons taxer, encore plus,  toujours plus ! Ceux là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour  compenser… c'est un réservoir inépuisable.


Extrait du « Diable Rouge » C’était il y a 4 siècles !
Nota : Enfin presque !!! Il semblerait que ce dialogue ait été « reconstitué » à l’occasion d’une pièce de théâtre « Le Diable Rouge » écrite par Antoine Rault et qui a reçu un Molière en 2009.
Mais personnellement, je trouve ce dialogue très crédible tant la classe moyenne a toujours été la vache à lait des gouvernements …



B) L’Etat, sa Dette et son peuple - Alain Genestine (2007)

Sur une reprise de la fable de "la Cigale et la Fourmi" de Jean de La Fontaine, un petit peu de dérision dans cette morosité ambiante.


L’Etat, sa Dette et son peuple.


- L’Etat avec sa générosité bien connue,

- Enrôla les banques afin de prêter argent

- A d’insolvables inconnus.

- L’Etat « nounou » ; Mais toujours aussi indigent,

- Se trouva fort dépourvu,

- Quand la crise fut venue.

- Pas un seul petit billet dans ses rets.

- D’énorme dette et ses intérêts.

- Il alla crier famine

- Auprès du peuple qui faisait mine,

- Justifiant le bienfait de le taxer

- De quelque argent pour subsister, sans vexer.

- Jusqu’à une ère, souhaitée plus tranquille,

- Je vous promet dû, dit-il,

- Avant quelques mandats,

- Intérêt et principal, parole d’Etat.

- Le peuple a ne pas abuser s’il en faut

- C’est là son moindre défaut.

- Que faisiez-vous lors de forte croissance ?

- Dit-il à cet Etat « taxeur » en toute bienséance.

- Nuit et jour à tout venant

- Je promettais, ne vous déplaise.

- Vous promettiez ? Nous en sommes fort aise.

- Eh bien ! Prenez vos responsabilités maintenant.

- Ne laissez pas nos enfants en apnée

- Par les fruits pourris d’un système mort-né.

- Faites moins d’Etat pour plus de Liberté

- Nonobstant plus d’humilité.

A-G



 


C) Leçon d'économie et de Finance : Impôts, Emprunt d'état, loterie nationale... François Ier


 Extrait du film François Ier... de 1937 avec Fernandel.


 
 

D) - Humour de Wikiberal 

L'humour est une forme d'esprit railleuse qui (selon Larousse) « s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité ».
« Politesse du désespoir » d'après Boris Vian, c'est « une façon habile et satisfaisante de désamorcer le réel au moment même où il va vous tomber dessus », selon Romain Gary. « Rire, c'est être malicieux, mais avec une bonne conscience  » (Friedrich Nietzsche, Le gai savoir).

Voir aussi

Citations humoristiques

« Chaque plaisanterie est une petite révolution. » (George Orwell)
  • Justice : un produit plus ou moins frelaté que l'État vend au citoyen pour le récompenser de son obéissance, de ses impôts et des actions civiles qu'il exerce. (Ambrose Bierce, Le dictionnaire du diable)
  • Agissez contre la pollution ! Refusez de respirer ! » (Achille Talon)
  • Qui peut honnêtement, sans arrière-pensées, rendre Marx responsable des millions de morts du communisme sous prétexte qu'il avait oublié le facteur humain dans ses calculs ? (Basile de Koch, Histoire universelle de la pensée, 2005)
  • Tous les êtres de toutes les Galaxies sont égaux devant la Grande Matrice, indépendamment de leur forme, du nombre de leurs écailles ou de leurs bras, et indépendamment même de l'état physique (solide, liquide ou gazeux) dans lequel il se trouve qu'ils vivent. (Umberto Eco)
  • Le communisme, c'est une des seules maladies graves qu'on n'a pas expérimentées d'abord sur les animaux. (Coluche)
  • Grâce à Nietzsche, la pensée occidentale se débarrasse pêle-mêle de la morale, des valeurs, des Grecs, de Dieu, de l'État, de la Démocratie... autant d'inventions nées de la haine, du ressentiment et de la résignation des faibles, toujours en train de se plaindre et d'appeler la police. (Basile de Koch, Histoire universelle de la pensée, 2005)
  • C'est pas grave d'être de gauche... en général ça passe au premier relevé d'ISF. (Gaspard Proust)
  • Ah ! Que ne suis-je riche, pour venir en aide au pauvre que je suis ! (Tristan Bernard, Le fardeau de la liberté)
  • La pensée d'Aristote contient en germe l'Inquisition, le fascisme et le communisme. Heureusement que les deux tiers de son œuvre ont été égarés ! (Basile de Koch, Histoire universelle de la pensée, 2005)
  • La première Loi de l’Économie est : pour tout économiste, il existe un économiste d'avis contraire. La seconde Loi de l’Économie est : ils ont tous les deux tort. (econoclaste.org)
  • Économie : la science qui permettra d'expliquer demain pourquoi les prédictions d'hier ne se sont pas réalisées aujourd'hui. (anonyme)
  • Si vous pensez que l'éducation coûte cher, essayez l'ignorance ! (Derek Bok)
  • Hannah Arendt : sa critique du totalitarisme fait autorité, sauf peut-être chez les penseurs fascistes et staliniens. (Basile de Koch, Histoire universelle de la pensée, 2005)
  • Quel mérite y a-t-il à donner un emploi à quelqu'un qui le mérite ? En donner à ceux qui ne le méritent pas, ça, c'est du mérite ! (Ayn Rand, La Grève)
  • Egoïste : personne de mauvais goût, qui s'intéresse davantage à elle-même qu'à moi. (Ambrose Bierce, Le dictionnaire du diable)
  • Inventeur de la théorie des Idées, Platon démontre que nous sommes prisonniers d'une caverne insalubre et que nous tournons le dos à la vraie vie qui est ailleurs. (Basile de Koch, Histoire universelle de la pensée, 2005)
  • Selon certaines sources, l'hégélianisme aurait fait à ce jour plus de 185 millions de morts, et au moins le triple de migraineux. (Basile de Koch, Histoire universelle de la pensée, 2005)
  • S'il y avait un impôt sur la connerie, l'Etat s'autofinancerait. (Coluche)
  • Qui donne à l’État prête à rire. » (Tristan Bernard)
  • Premier libéral-libertaire, Guillaume d'Occam oppose l'intuition personnelle et expérimentale à l'ordre prétendument naturel et immanent. Ce faisant, il invente le nominalisme et le rasoir. (Basile de Koch, Histoire universelle de la pensée, 2005)
  • La moitié des hommes politiques sont des bons à rien. Les autres sont prêts à tout. (Coluche)
  • Ça fait beaucoup marrer les gens de voir qu'on peut se moquer de la politique, alors que, dans l'ensemble, c'est surtout la politique qui se moque de nous. (Coluche)
  • La grande différence qu’il y a entre les oiseaux et les hommes politiques, c’est que, de temps en temps, les oiseaux s’arrêtent de voler. (Coluche)
  • Les fonctionnaires sont tellement habitués à ne rien faire que lorsqu'ils font grève, ils appellent ça une "journée d'action". (Coluche)
  • La politique est l'art de chercher des ennuis, de les trouver, d'en donner un diagnostic erroné, puis d'appliquer les mauvais remèdes. (Groucho Marx)
  • Les hommes politiques et les couches des bébés doivent être changés souvent... et pour les mêmes raisons. (George Bernard Shaw)
  • Il vaut mieux pomper même s'il ne se passe rien que risquer qu'il se passe quelque chose de pire en ne pompant pas. (devise Shadok applicable à l'interventionnisme étatique)
  • Le problème des Français est qu'ils n'ont pas de mot dans leur langue pour "laissez-faire". (Graham Watson)
  • J’adorerais être de gauche. C’est un souhait, mais je trouve que c’est tellement élevé comme vertu que j’y ai renoncé. C’est un gros boulot, un dépassement de soi, c’est une attitude, une présence à l’autre… Il faut être "exceptionnel" quand tu es de gauche. Quand tu n’es pas de gauche, tu peux être moyen. Quand tu es de gauche, c’est l’excellence, le génie moral, le génie de l’entraide. C'est trop de boulot ! (Fabrice Luchini, France 2, 17/10/2013)
  • Les socialistes ont eu tort de venir au pouvoir. Ils auraient dû faire comme Dieu : ne jamais se montrer pour qu'on continue à y croire. (Coluche)






E) ETRE PRESIDENT, C'EST PAS UNE SINECURE

Après avoir lu le compte rendu du discours que Nicolas Sarkozy a fait devant les députés UMP, je n'ai pas pu m'empêcher de le réécrire version Ouvrard (1932 : je n'suis pas bien portant).

Depuis que je suis président
C’n’est pas rigolo. Entre nous,
J’ai beau avoir le mors aux dents,
Je me fais un mauvais sang fou.
J’ai beau vouloir tout réformer
Les idées refusent de germer.
 
J’ai l’Borloo
Bien falôt
Bussereau
Qui prend l’eau
Nathalie
En folie
La Lagarde
Qui m’met en garde
Le Fillon
Qui fait l’…
Et la MAM
fait du ramdam
Y’a la Dati
Qu’à pas tout dit
La Pécresse
En détresse
Le Kouchner
Sur les nerfs
La Boutin
Pas boute en train
 
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant
D’travailler tambour battant
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant
De mener c’gouvernement
 
Pour tâcher d’guérir la France
Ce matin com’ mon coeur balance
J’ai convoqué le Parlement
Et j’ai reçu les opposants
D’quoi souffre-t-elle ? Qu’ils m’ont d’mandé
C’est bien simpl’ que j’ai répliqué
 
J’ai la dette
Qui m’embête
La sécu
Qu’est perclue
Les allocs
En breloque
Les retraites
En goguette
Y’a l’euro
Qu’est trop haut
Et l’pétrole
Qui s’étiole
Tous nos sous
Sont au clou
Les achats
Sont trop bas
Tout’ les poches
S’effilochent
Y’a la PAC
Mise à sac
Par l’Europ’
Qu’est pas top.
Y’a la Chine
Qui me mine
Le travail
Qui se taille
Les patrons
Hauss’le ton
 
Ah mon Dieu qu’c'est embêtant
D’s’occuper ainsi tout le temps
Ah mon Dieu qu’c'est embêtant
Ces problèmes sont importants
 
Pour leur trouver des solutions
Sans tomber sous l’coup d’l’émotion
J’veux faire voter bien des motions
Mais tout l’monde me dit : « attention »
L’état c’est moi et moi tout seul
Fait' c’que j’dis et fermez vos gueul'

Par Christiane Chavane




F) Voilà pourquoi le socialisme ne marche pas

Cela circule sur le net et cela démontre pourquoi le socialisme amène systématiquement les sociétés à la faillite. C'est simple et bien expliqué.

Un professeur d'économie dans un lycée annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais, par contre, une année, c'est la classe entière qui a connu l'échec.

Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n'y est ni pauvre ni riche; un système égalitaire parfait, en quelque sorte.

Le professeur dit alors: "OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi, personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.".

Après le 1er contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux; par contre, ceux qui n'avaient rien fait étaient ravis.

A l'approche du 2e contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s'étaient donné de la peine pour le 1er test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n'était satisfait.

Quand arriva le 3e contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre.

A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche à réussir ou n'essaie de s'améliorer.

Les choses sont aussi simples que ça.



G) La liberté d'expression, Vincent Bénard 

 

 

 

 
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