octobre 29, 2025

Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard !

Soyez fier d’être complotiste : une conférence d’Idriss Aberkane sur le terrorisme intellectuel

En 2025, lors d’une conférence organisée par l’Union Populaire Républicaine (UPR), le conférencier Idriss Aberkane a livré une présentation provocatrice intitulée « Soyez fier d’être complotiste » . Devant un public attentif, Aberkane a exploré comment la culture générale peut servir d’arme contre l’esclavage intellectuel, en déconstruisant le terme « complotiste » et en illustrant comment des théories qualifiées de marginales se sont souvent avérées justes. Inspiré par des figures historiques comme Spartacus et des concepts psychologiques,

 

 

il invite à revendiquer ce label comme un badge d’honneur pour ceux qui osent questionner les narratifs officiels.

L’origine et l’évolution du terme « complotiste »

Aberkane commence par retracer l’histoire du mot « conspiracy theory » (théorie du complot), apparu au XIXe siècle dans un contexte neutre ou même positif. En 1910, l’historien américain James Ford Rhodes l’utilise dans son ouvrage sur la guerre de Sécession pour décrire un complot authentique des esclavagistes sudistes visant à influencer Washington. À l’époque, le terme désigne une analyse historique rigoureuse, sans connotation péjorative.

Le retournement sémantique intervient après l’assassinat de John F. Kennedy en 1963. La Commission Warren conclut à un tireur isolé, mais des doutes émergent. En 1967, la CIA diffuse le mémorandum 1035-960, ordonnant à ses agents de discréditer les critiques en les qualifiant de « conspiracy theories » (voir ici). Ce document, déclassifié, vise à museler les oppositions en les associant à de l’irrationalité. Aberkane note que des documents déclassifiés par Donald Trump en 2025 confirment les mensonges de la Commission Warren, validant ainsi les doutes initiaux. Le terme devient un outil de « terrorisme intellectuel », comparable aux étiquettes staliniennes comme « ennemi du peuple ».


Des mots qui changent de sens : une histoire d’inversions

Pour illustrer ce phénomène, Aberkane cite de nombreux exemples historiques où des termes négatifs deviennent positifs. « Gothique », inventé par Giorgio Vasari au XVIe siècle pour dénigrer l’art médiéval comme « barbare », est réhabilité par les romantiques au XIXe siècle. « Romantique » était une insulte au XVIIIe siècle, signifiant vulgaire, avant de désigner un mouvement artistique noble.

De même, « impressionniste » naît comme une moquerie sous Napoléon III, mais devient synonyme de génie artistique. « Punk », une insulte dans les années 1970 (comme dans L’Inspecteur Harry), est revendiqué par les Sex Pistols comme symbole de rébellion. Aberkane compare cela à Spartacus, qui transforme l’insulte « servus rebellis » en étendard de liberté. Ces inversions montrent comment les opprimés peuvent réapproprier les étiquettes pour se libérer.

La psychologie de l’esclavage intellectuel

Aberkane lie le « complotisme » à l’esclavage intellectuel, en s’appuyant sur la psychologie. Il évoque Harriet Tubman, qui braquait les esclaves hésitants pour les forcer à la liberté, illustrant la résistance psychologique à l’émancipation. Le concept clé est la « learned helplessness » de Martin Seligman : des expériences sur des chiens montrent comment des chocs répétés induisent une passivité, même quand l’évasion est possible.


Seligman a été controversé pour ses liens avec la CIA, qui a utilisé ses théories dans des programmes d’interrogatoire pour induire l’impuissance (voir ici). Aberkane cite aussi les expériences de Solomon Asch (conformité de groupe) et Stanley Milgram (obéissance à l’autorité), où 65 % des participants infligent des chocs potentiellement mortels sur ordre. Ces phénomènes expliquent pourquoi les gens adhèrent à des narratifs officiels malgré les preuves contraires, favorisant le « gaslighting » (le fait de faire croire à des gens saints d’esprit qu’ils sont fous) – altérer la perception pour semer le doute.

 

 

Quand les « complotistes » avaient raison : un inventaire accablant

Aberkane liste des cas où des théories décriées comme complotistes se sont révélées vraies. Pour le sabotage des pipelines Nord Stream en 2022, initialement attribué aux Russes, des enquêtes pointent vers une implication ukrainienne ou américaine. Joe Biden avait promis de « mettre fin » à Nord Stream 2, une déclaration fact-checkée mais non démentie. Seymour Hersh, dans un article explosif, accuse les États-Unis d’une opération secrète.

Sur Joe Biden et Robert Byrd, ex-membre du KKK (un « exalted cyclops », non un grand wizard), des fact-checks confirment leur amitié et l’éloge funèbre de Biden, malgré les liens racistes de Byrd. En 2025, Google admet avoir censuré du contenu sur YouTube sous pression de l’administration Biden, notamment sur le COVID-19.

La cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024, accusée de parodier « La Cène« , est confirmée comme telle par Barbara Butch, qui poste « Oh yes, the new gay testament« . Des opérations false flag comme l’incident de Gleiwitz (Opération Himmler) en 1939, qui justifia l’invasion de la Pologne, ou le Golfe du Tonkin en 1964, déclassifié comme mensonge pour entrer en guerre au Vietnam.

En Ukraine, Snake Island et le « Ghost of Kyiv » étaient des hoaxes médiatisés avant d’être démentis. Enfin, la théorie du lab leak pour le COVID-19 est désormais soutenue par la CIA avec « low confidence ».

 


 

Vers une souveraineté intellectuelle

Aberkane conclut que la culture générale, comme l’affirmait Charles De Gaulle, est l’école du commandement et de la liberté. Revendiquer « complotiste » c’est résister au terrorisme intellectuel, comme les dissidents soviétiques psychiatrisés. En 2025, avec Internet et les journalistes citoyens, un « underground railway » (chemin de fer souterrain) intellectuel émerge pour libérer les esprits.


Français : si vous êtes concernés, réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard ! 

Nous vivons sur le fil du rasoir. À l’heure où le spectre d’une troisième guerre mondiale, de conflits civils, ou d’une combinaison des deux plane sur nous, l’humanité fait face à une menace insidieuse : la manipulation de nos esprits par les forces du conformisme, de l’obéissance aveugle et de la dissonance cognitive. Les expériences de psychologie sociale, comme celles de Solomon Asch et Stanley Milgram, jettent une lumière crue sur la facilité déconcertante avec laquelle les individus abandonnent leur libre arbitre face à la pression sociale ou à l’autorité. Ajoutons à cela le rôle des médias, propriété d’élites concentrées1 et nous comprenons pourquoi le monde est au bord du gouffre. L’heure est grave : soit nous nous réveillons, soit nous sombrons. Cet article explore ces expériences, leurs implications, et le combat urgent pour reprendre le contrôle de nos esprits avant qu’il ne soit trop tard.

 


Les expériences qui révèlent notre fragilité

Solomon Asch : le conformisme qui étouffe la vérité

En 1951, Solomon Asch a conduit une expérience devenue légendaire pour exposer la puissance du conformisme.

Solomon E. Asch (1907 – 1996)
Solomon Asch
 

Dans un cadre simple, des sujets devaient comparer la longueur de lignes sur des cartes. La tâche était évidente, mais il y avait un piège : tous les autres participants (des complices) donnaient volontairement une réponse fausse. Résultat ? Environ 75 % des sujets se sont conformés à la réponse incorrecte au moins une fois, et 37 % des réponses étaient conformistes, même face à une évidence visuelle. Pourquoi ? La peur d’être jugé, exclu, ou de paraître « différent » pousse les individus à trahir ce qu’ils savent être vrai.

L’expérience de Asch montre que la majorité, même erronée, peut imposer sa vision par la simple force de la cohérence. Une seule voix dissidente, cependant, suffit à briser ce sortilège : quand un complice donnait la bonne réponse, les sujets étaient beaucoup plus enclins à résister. Cela révèle une vérité cruciale : le conformisme prospère dans l’unanimité, mais s’effrite dès qu’une alternative émerge.

Stanley Milgram : l’obéissance jusqu’à l’horreur

Dix ans plus tard, en 1961, Stanley Milgram a poussé l’analyse plus loin avec son expérience sur l’obéissance. Inspiré par les procès de Nuremberg et la question « comment des gens ordinaires ont-ils pu participer à la Shoah ? », Milgram a mis des sujets dans une situation où ils devaient administrer des chocs électriques (fictifs, mais perçus comme réels) à une « victime » sous les ordres d’un expérimentateur en blouse blanche. Résultat : 65 % des sujets ont infligé des chocs mortels (450 volts) simplement parce qu’on leur disait de le faire, malgré les cris de douleur (joués) de la victime. La majorité obéissait, non par sadisme, mais par soumission à l’autorité.


Milgram a montré que l’obéissance peut transformer des individus lambda en complices d’actes immoraux. Les facteurs clés ? La légitimité perçue de l’autorité (la blouse, le titre) et la déresponsabilisation (« je ne fais que suivre les ordres »). Comme Asch, Milgram a aussi trouvé une lueur d’espoir : quand un autre sujet (complice) refusait d’obéir, le taux de soumission chutait drastiquement.

D’autres expériences : Zimbardo et la banalité du mal

Une troisième expérience clé complète ce tableau : l’expérience de la prison de Stanford (1971) de Philip Zimbardo. Des étudiants, assignés au hasard comme « gardiens » ou « prisonniers » dans une prison simulée, ont vu leur comportement changer en quelques jours. Les gardiens sont devenus abusifs, les prisonniers soumis ou brisés. Zimbardo a stoppé l’expérience au bout de six jours, montrant comment un environnement et des rôles imposés peuvent transformer des gens normaux en tyrans ou en victimes. Cette « banalité du mal », théorisée par Hannah Arendt lors du procès d’Eichmann, révèle que des structures sociales peuvent nous pousser à des extrêmes sans qu’on s’en rende compte.


D’autres études, comme celle de Albert Bandura sur l’apprentissage par imitation (expérience de la poupée Bobo, 1961), montrent que les comportements agressifs ou conformistes peuvent être appris en observant des modèles (médias, leaders). Ensemble, ces expériences dressent un portrait alarmant : nous sommes programmés pour suivre, obéir, imiter, souvent au détriment de notre raison ou de notre éthique.

Les médias : les complices modernes du conformisme

Si Asch, Milgram et Zimbardo opéraient dans des labos, aujourd’hui, le laboratoire est mondial, et les médias en sont les expérimentateurs. En France, 90 % des médias (presse, TV, radio) appartiennent à une poignée de milliardaires — Bolloré, Arnault, Drahi, Niel — comme le documente Le Monde diplomatique. Aux États-Unis, c’est Comcast, Disney, Murdoch. Ces empires ne diffusent pas l’information : ils façonnent la réalité. Ils sont les « complices » de l’expérience d’Asch, imposant une réponse unanime qui noie les voix dissidentes.

Le conformisme médiatique

Comme dans l’expérience de Asch, les médias créent une majorité artificielle. Prenez des crises récentes : les guerres en Ukraine ou à Gaza, les tensions sino-américaines, les émeutes urbaines en France (2023). Les grands médias répètent souvent la même ligne — « l’Occident défend la démocratie », « les manifestations sont des violences » — jusqu’à ce qu’elle devienne la « vérité ». Les nuances (intérêts géopolitiques, causes sociales) sont reléguées à la marge, et ceux qui les soulèvent sont étiquetés « extrémistes » ou « désinformateurs ». Le public, comme le sujet d’Asch, se conforme, par peur d’être ostracisé ou de passer pour un fou.

L’obéissance à l’autorité médiatique

Milgram trouve son écho dans la déférence envers les « experts » médiatiques. Pendant la pandémie de Covid-19, des scientifiques triés sur le volet dominaient les plateaux télé, souvent alignés sur les politiques gouvernementales (confinements, vaccins). Ceux qui divergeaient, comme certains épidémiologistes suédois ou des chercheurs critiques (Pr Raoult, Pr Perronne, etc.), étaient marginalisés. Le public, conditionné à obéir aux figures d’autorité (blouses blanches, micros de BFM), suivait, même face à des incohérences (changements de discours sur les masques, efficacité des vaccins). La peur de la maladie jouait le rôle de l’expérimentateur de Milgram : « Faites ce qu’on vous dit, ou vous serez responsables du chaos ou bien encore, vous allez tuer vos grands-parents… »

La dissonance cognitive : le piège intérieur

La dissonance cognitive, concept introduit par Leon Festinger en 1957, aggrave le tableau. Quand nos croyances entrent en conflit avec la réalité, nous ajustons nos perceptions pour réduire l’inconfort. Par exemple :

  • Un citoyen croit en la « démocratie » française, mais voit les médias taire les scandales (McKinsey, Benalla, etc.). Plutôt que de remettre en question le système, il rationalise : « C’est exagéré, les médias sont libres. »
  • Face à des tensions mondiales (Ukraine, Taïwan), les médias martèlent que « l’Occident protège la paix ». Si des preuves d’intérêts pétroliers ou militaires émergent, beaucoup préfèrent les ignorer pour préserver leur vision d’un monde « juste ».

La dissonance cognitive nous pousse à nous conformer, même quand les lignes d’Asch sont évidentes. Elle est l’arme secrète des élites : en contrôlant l’information, elles contrôlent nos conflits internes.


Le fil du rasoir : un monde au bord du chaos

L’heure est grave, le monde est un baril de poudre. Les tensions géopolitiques (Russie-OTAN, Chine-USA, Proche-Orient, etc.), les fractures sociales (gilets jaunes, émeutes raciales), et les crises écologiques manipulées convergent vers un point de rupture. Une troisième guerre mondiale, des guerres civiles, ou les deux ne sont plus des scénarios de science-fiction. Et dans ce chaos, la manipulation des masses par les médias et le conformisme est une arme de destruction massive.

La guerre comme produit du conformisme

Les guerres modernes naissent souvent d’un récit médiatique unifié. Prenons l’invasion de l’Irak en 2003 : les médias US (et français) ont relayé la thèse des « armes de destruction massive » sans preuves solides. Le public, sous l’effet Asch, a suivi, et l’obéissance Milgram a fait le reste : les soldats, les politiciens, les citoyens ont exécuté ou soutenu une guerre illégale. Résultat ? Un million de morts, un Moyen-Orient déstabilisé, et zéro armes trouvées. Aujourd’hui, les tambours de guerre contre la Russie ou la Chine suivent le même schéma : les médias vendent un ennemi, la majorité se conforme, et l’obéissance nous entraîne vers l’abîme.

Les fractures internes : la guerre civile programmée

En France, les émeutes de 2023 (après la mort de Nahel) ou les manifestations des gilets jaunes (2018-2019) montrent une société au bord de l’explosion. Les médias, propriété de Bolloré ou Drahi, ont souvent réduit ces mouvements à de la « violence » ou du « chaos », ignorant leurs racines : inégalités, mépris des élites, répression policière. Comme dans Asch, ils imposent un récit (« les manifestants sont des casseurs ») qui pousse le public à se désolidariser des révoltés. La dissonance cognitive fait le reste : les citoyens préfèrent croire que le système est juste plutôt que d’admettre qu’il les opprime. Résultat ? Une fracture sociale qui pourrait dégénérer en guerre civile si les tensions ne sont pas désamorcées.

Les élites : les marionnettistes du chaos

Les élites — politiques, économiques, médiatiques — prospèrent sur ce conformisme. En France, la concentration des médias (90 % aux mains de 10-15 milliardaires) garantit que les scandales (évasion fiscale, corruption) sont minimisés. Aux US, les géants comme Comcast ou Murdoch font de même. Ces « marionnettistes » ne veulent pas la guerre pour la guerre : ils veulent le contrôle. Une population divisée, conformiste, ou obéissante est plus facile à manipuler, que ce soit pour voter Macron (deux fois), soutenir une guerre, ou accepter l’austérité pendant qu’ils ripaillent.

Se réveiller ou mourir : le combat pour la liberté

Nous sommes à un tournant : « soit on se réveille, soit on meurt ». Les expériences d’Asch, Milgram et Zimbardo ne sont pas juste des leçons de psycho : elles sont des appels à l’action. Voici comment briser les chaînes du conformisme, de l’obéissance et de la dissonance cognitive :

  1. Devenir la voix dissidente

Dans l’expérience d’Asch, une seule voix suffit à libérer les autres. Soyez cette voix. Sur les réseaux sociaux, dans les discussions, dans la rue, osez dire : « Non, ça ne colle pas. » Questionnez les récits médiatiques sur la guerre, les crises, les politiques. Par exemple, demandez pourquoi les médias taisent les profits des marchands d’armes dans le conflit ukrainien, ou pourquoi les émeutes sont toujours réduites à du « vandalisme ». Chaque doute planté est une fissure dans le mur du conformisme.

  1. Défier l’autorité

Milgram montre que l’obéissance est conditionnée par la légitimité perçue. Retirez cette légitimité. Les « experts » de BFM ou de CNN ne sont pas des oracles : ils servent des agendas. Cherchez des sources primaires (rapports, leaks, témoignages), comme les Panama Papers ou les révélations de WikiLeaks. Refusez d’obéir aveuglément aux injonctions (« vaccinez-vous », « soutenez tel camp ») sans preuves solides. L’autorité n’est pas la vérité, surtout de nos jours.

  1. Affronter la dissonance cognitive

La dissonance cognitive est notre ennemi intérieur. Quand vous sentez l’inconfort face à une vérité dérangeante (le système ment, les élites trahissent), ne rationalisez pas. Acceptez le malaise, creusez. Par exemple, si les médias disent que « tout va bien » mais que vous voyez la misère autour de vous, fiez-vous à vos yeux. Lisez des penseurs comme Noam Chomsky (La Fabrication du consentement) ou des enquêtes indépendantes pour aiguiser votre esprit critique.

  1. S’organiser et résister

Zimbardo montre que les environnements façonnent le comportement. Sortez de l’environnement médiatique toxique. Créez des réseaux — en ligne, dans vos communautés — pour partager des doutes, des infos, des stratégies. Les gilets jaunes ont montré qu’un mouvement sans leader peut ébranler le système. Les plateformes comme les réseaus sociaux, malgré leur chaos, permettent encore de contourner les gardiens de l’information. Organisez-vous, comme les scientifiques qui testent des hypothèses : essayez, échouez, recommencez.

  1. Prendre des risques

La science avance en prenant des risques : résister au conformisme, c’est risquer le ridicule, l’exclusion, ou pire. Mais ne rien faire, c’est garantir la soumission. Lancez des débats publics, demandez des comptes (à Bolloré, à Macron, à l’OTAN, à vos députés et sénateurs), cherchez les failles. Les élites ne sont pas invincibles : Epstein est tombé, les Panama Papers ont secoué le monde. Chaque vérité révélée est une victoire. Ayez l’âme d’un résistant, pas celle d’un collabo à qui l’on demandera, tôt ou tard, des comptes.

Le choix,  c’est maintenant !

Nous sommes sur le fil du rasoir. Les expériences d’Asch, Milgram et Zimbardo révèlent pourquoi nous sommes si facilement manipulés : le conformisme nous fait taire, l’obéissance nous rend complices, la dissonance cognitive nous aveugle. Les médias, bras armé des élites, amplifient ces faiblesses, nous poussant vers des guerres, des fractures, ou l’asservissement total. Mais ces expériences montrent aussi une issue : une voix dissidente, un refus d’obéir, un environnement changé peuvent tout bouleverser.

L’heure est grave. Le monde peut basculer dans le chaos, mais il peut aussi basculer vers la liberté. Refusez le « fumier répugnant » des élites. Soyez le sujet d’Asch qui voit la ligne telle qu’elle est. Soyez le rebelle de Milgram qui dit « stop ». Soyez l’acteur de Zimbardo qui brise le rôle imposé. Réveillez-vous, ou nous mourrons tous — pas juste physiquement, mais en tant qu’esprits libres. Le combat commence dans votre tête. Alors, qu’allez-vous faire ?

1 Vérifiez quel(s) titre(s) de presse vous lisez ou regardez, et vous saurez à qui vous vendez votre âme…

 

« Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur, vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre ! »

Winston Churchill

https://multipol360.com/francais-si-vous-etes-concernes-reveillez-vous-avant-quil-ne-soit-trop-tard/

 

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