La politisation des entreprises : la nouvelle arme des mondialistes
Dans un paysage économique dominé par les géants du S&P 500 (Indice boursier mesurant les performances des 500 plus grandes sociétés cotées aux États-Unis), une tendance alarmante émerge :
les grandes entreprises s’immiscent de plus en plus dans le débat politique, adoptant des positions sur le climat, les droits des minorités ou le contrôle des armes, presque exclusivement alignées sur l’agenda démocrate américain.
Selon une étude récente d’Elisabeth Kempf de la Harvard Business School, analysant plus de 200.000 tweets entre 2012 et 2022, cette politisation a explosé depuis 2017, avec 80-90 % des messages politiques penchant du côté démocrate, même dans des secteurs conservateurs ou chez des PDG républicains. Cette intrusion n’est pas anodine ; elle est le symptôme d’un agenda mondialiste plus sombre, où les élites cherchent à modeler des sociétés serviles, intellectuellement appauvries, pour empêcher tout questionnement critique. Loin d’être une réponse spontanée à la « polarisation », cette tendance sert à imposer une doxa uniformisante, au détriment des libertés et de la diversité culturelle.
Les mondialistes aux commandes : vers une humanité servile et abrutie
La grande majorité de ces entreprises sont dirigées par des mondialistes – ces architectes d’un ordre global sans frontières ni identités – qui voient dans la politisation un outil pour maintenir les peuples dans une docilité intellectuelle. En promouvant des narratifs progressistes standardisés, ils visent à réduire le quotient intellectuel collectif, rendant les masses incapables de remettre en question l’ordre établi. Pourquoi ? Parce qu’un peuple servile consomme sans réfléchir, accepte l’uniformisation culturelle et ne résiste pas aux agendas transnationaux. Des exemples comme Ben & Jerry’s ou Nike, qui s’engagent contre le « suprématisme blanc » ou pour les droits LGBTQ+, illustrent cette stratégie : ces positions ne sont pas philanthropiques, mais calculées pour aligner les consommateurs sur une vision mondiale homogène. Les marchés, d’ailleurs, sanctionnent souvent ces prises de position : les cours des actions chutent en moyenne de 0,2 % après un tweet politique, signe que les investisseurs perçoivent ce risque comme une déviation de la mission économique pure.
Trump n’a rien polarisé : il a simplement résisté à la doxa mondialiste
Contrairement à la narrative dominante, l’ère Trump n’a pas « polarisé » le discours ; elle a simplement révélé l’opposition frontale de cet outsider à la doxa omniprésente que les mondialistes imposent depuis des décennies. Avant 2017, les entreprises restaient discrètes politiquement, mais l’élection de Trump a servi de prétexte pour intensifier leur activisme démocrate, perçu comme une riposte à ses politiques souverainistes. Trump s’est opposé à cette uniformisation forcée, défendant les intérêts nationaux contre les élites globales. Les mondialistes, paniqués par cette remise en cause, ont mobilisé les corporations pour rétablir leur hégémonie idéologique. Ce n’est pas de la polarisation ; c’est une contre-attaque pour écraser toute dissidence.
L’économie d’échelle : la nécessité d’uniformiser les peuples pour maximiser les profits
Au cœur de cette tendance se cache un impératif économique impitoyable : l’économie d’échelle.
Un produit conçu pour un seul pays, avec ses particularités culturelles et réglementaires, est infiniment moins rentable qu’un bien standardisé, diffusé dans 10, 20, 30 ou 40 pays.
Pour maximiser les profits, les mondialistes poussent à l’uniformisation totale des marchés – et donc des peuples. En adoptant des positions politiques « progressistes », les entreprises contribuent à éroder les différences nationales, créant un consommateur global interchangeable, servile et prévisible. Cette stratégie explique pourquoi même des PDG républicains virent au discours démocrate sur les réseaux : elle sert l’agenda d’une mondialisation qui priorise les chaînes d’approvisionnement globales sur les identités locales. Le résultat ? Des sociétés appauvries culturellement, où le questionnement est remplacé par une adhésion passive à la consommation de masse.
L’auto-censure des dirigeants : la peur de la stigmatisation orchestrée par des groupes comme Sleeping Giants
Cette politisation s’accompagne d’une auto-censure rampante parmi les dirigeants d’entreprises, terrifiés à l’idée d’être stigmatisés par des activistes. Prenez Sleeping Giants, une organisation militante fondée en 2016, qui pressionne les compagnies pour qu’elles retirent leurs publicités de médias conservateurs comme Breitbart (ou Valeurs Actuelles en France), accusés de promouvoir la « bigoterie et le sexisme ». En menaçant de boycotts et en exposant publiquement les « complices », Sleeping Giants force les dirigeants à adopter des positions alignées, sous peine d’atteinte à la réputation.
Résultat : une censure auto-imposée, où les dirigeants préfèrent se plier à la doxa démocrate plutôt que risquer l’ostracisme et bien sûr, une baisse drastique de leur chiffre d’affaires.
Des cas comme
ceux de Microsoft ou Delta, qui ont licencié des employés pour des
publications controversées en 2025, illustrent cette peur viscérale.
Cette dynamique n’est pas de la responsabilité sociale ; c’est une capitulation face à une machine de contrôle idéologique.
Heureusement, une contre-attaque est menée par Les Corsaires.
Les impacts négatifs : un double tranchant pour les entreprises et la société
Si 70 % des consommateurs attendent désormais que les marques prennent position – en hausse de 66 % depuis 2017 – cet activisme expose à des boycotts massifs, comme celui de Bud Light en 2023. Les marchés préfèrent la neutralité pour éviter les risques réglementaires ou réputationnels, pourtant les mondialistes persistent, sacrifiant la performance boursière au profit de leur agenda. Pour la société, c’est pire : cette uniformisation idéologique abruti les peuples, les rendant vulnérables à une élite qui dicte la pensée unique.
En conclusion, la politisation des entreprises n’est pas un progrès ; c’est une arme des mondialistes pour uniformiser, abrutir et soumettre. Il est temps de résister à cette doxa imposée, en soutenant des leaders comme Trump qui défient l’ordre global. Sinon, nous risquons une humanité servile, privée de son esprit critique, au service d’une économie d’échelle déshumanisante.
La liberté d’expression est plus que jamais menacée.
Les censeurs se déchaînent pour faire taire les voix dissidentes par tous les moyens.
Face à la tempête, ne restez pas passifs : rejoignez les Corsaires voir vidéo !
Exemple de campagnes des Sleeping giants : Vidéo, cliquez l'image
1 commentaire:
Dans le monde anglophone, les sociétés se rendent lentement compte que le dicton "Go woke, go broke" n'est pas qu'un dicton amusant. Quelques bonnes idées/observations dans le texte tout-de-même, a commencer pas la volonté (a prouver pourtant, car dans le fond, ils se fichent de la culture, ne cherchant qu'a écouler de plus en plus de produit) que les sociétés mondialistes cherchent a créer une culture mondiale. Si c'est le cas, ce n'est pas en étant 'woke' qu'ils vont y arriver. C'est en comptant sur la tendance de la plupart de l'humanité d'acheter ce qu'on leur propose d'acheter. On peut facilement constater cela en regardant surtout l'univers de la mode féminine, ou de nos jours, il est de regle de s'habiller de vêtements mal-coupes et très peu flatteurs...
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