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septembre 25, 2025

Reconnaissance d'une province palestinienne...?

 

Une vague de reconnaissances internationales pour l’état de Palestine

Israël: pourquoi il n’y aura pas d’État "palestinien" & Histoire Israël !! 

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Défiance envers Israël et les États-Unis

Dans un tournant diplomatique majeur, plusieurs pays occidentaux ont franchi le pas de reconnaître officiellement l’État de Palestine comme souverain, marquant une rupture avec la position traditionnelle d’Israël et des États-Unis.

À ce jour, l’État de Palestine est reconnu comme souverain par 157 États membres des Nations Unies sur un total de 193, ce qui représente environ 81,3 % des membres de l’ONU.

Parmi ces nations figurent le Canada, l’Australie, le Royaume-Uni et la France, qui ont annoncé leur décision ces derniers jours, provoquant des réactions vives de part et d’autre du conflit israélo-palestinien.

Un mouvement collectif de reconnaissance

Cette vague de reconnaissances survient dans un contexte de tensions accrues au Moyen-Orient, où les appels à une solution à deux États se multiplient face à l’escalade des violences. Le Canada a été le premier à annoncer sa position, suivi rapidement par l’Australie et le Royaume-Uni, qui ont tous invoqué des principes de justice internationale et de respect des droits humains.

La France, sous la présidence d’Emmanuel Macron, s’est alignée sur cette position, bien que cette décision soit d’abord motivée par des considérations électoralistes, visant à consolider le soutien de certaines franges de l’électorat français en vue des prochaines élections (aussi bien législatives que municipales).

De plus, la France fournissait traditionnellement des armes à Israël, provoquant une vive réaction récemment de la part des grévistes dockers qui ont refusé de charger les bateaux les transportant, en signe de protestation contre les bombardements israéliens à Gaza.

Ces annonces collectives défient ouvertement Israël, qui maintient que toute reconnaissance unilatérale de la Palestine sape les négociations bilatérales. Les États-Unis, alliés historiques d’Israël, ont exprimé leur désapprobation, arguant que cela pourrait compliquer les efforts de paix dans la région.

Réactions Israéliennes et Palestiniennes

Du côté israélien, la réponse a été immédiate et ferme. Le gouvernement israélien a qualifié cette reconnaissance de « cadeau au Hamas », accusant ces pays de récompenser le terrorisme et d’ignorer les menaces sécuritaires pesant sur Israël. Des déclarations officielles du bureau du Premier ministre ont souligné que cette mesure « ne change rien sur le terrain » et pourrait même encourager les extrémistes.

À l’inverse, les Palestiniens ont accueilli cette nouvelle comme une avancée historique. Des représentants de l’Autorité palestinienne ont salué ces décisions comme un pas vers la légitimité internationale de leur État, renforçant leur position sur la scène mondiale. Des réactions recueillies auprès de résidents de la Cisjordanie occupée reflètent un mélange d’espoir et de prudence : « C’est un signe que le monde nous écoute enfin, mais il faut des actions concrètes pour mettre fin à l’occupation », a déclaré un habitant de Ramallah interrogé par des médias locaux.

L’implication des Nations Unies

Les Nations Unies ont également réagi à ces développements. Des représentants de l’ONU ont recueilli des avis variés, certains voyant dans ces reconnaissances un soutien à la résolution 242 du Conseil de sécurité, qui appelle à un retrait israélien des territoires occupés. D’autres, cependant, mettent en garde contre une polarisation accrue qui pourrait entraver les pourparlers de paix. Le Secrétaire général de l’ONU a appelé à un dialogue renouvelé, soulignant que « la reconnaissance est un outil, mais pas une fin en soi ».


 

Perspectives et enjeux futurs

Cette série de reconnaissances pourrait redessiner la carte diplomatique du Moyen-Orient, en isolant davantage Israël sur la scène internationale et en renforçant la cause palestinienne. Toutefois, des analystes s’interrogent sur l’impact réel : sans un engagement ferme pour des négociations, ces gestes symboliques risquent de rester lettre morte. Pour la France en particulier, la décision de Macron, perçue comme opportuniste par certains critiques, pourrait influencer les dynamiques internes européennes, où d’autres pays comme l’Allemagne hésitent encore.

Alors que les tensions persistent, le monde observe si cette vague diplomatique mènera à une paix durable ou à une escalade des conflits. Les prochains mois seront cruciaux pour évaluer les retombées de ces annonces historiques.

https://multipol360.com/une-vague-de-reconnaissances-internationales-pour-letat-de-palestine/

 

septembre 24, 2025

Informations Internationales: Zelensky; Russie et Venezuela; Pakistan/Arabie saoudite en nucléaire; SCAF

Sommaire:

- Zelensky, le mendiant de l’Occident

- La Russie et le Venezuela renforcent leur alliance stratégique

- Le Pakistan étend son parapluie nucléaire à l’Arabie saoudite

-  Tensions au sein du projet SCAF

Zelensky, le mendiant de l’Occident : Les Européens, éternels dindons de la farce

Dans le théâtre géopolitique actuel, Volodymyr Zelensky joue le rôle du suppliant éternel, tendant la main à Donald Trump et à l’Union européenne pour quémander argent et armes, tout en orchestrant un système où les États-Unis s’enrichissent sur le dos des contribuables européens.

Ce scénario, digne d’une comédie noire, révèle comment l’Ukraine profite d’une aide massive sans jamais rembourser, pendant que les peuples d’Europe subissent une austérité accrue.

Et comble de l’ironie, Zelensky annonce maintenant la vente d’armes excédentaires produites grâce à ces dons – une double, voire triple peine pour les Européens qui financent cette boucle infernale.

 


 

Zelensky, maître dans l’art de la mendicité diplomatique

Depuis l’opération spéciale russe en 2022, Zelensky n’a cessé de multiplier les appels à l’aide, alternant entre discours émouvants et pressions directes. En septembre 2025, alors que la guerre s’enlise, il prépare une rencontre avec Trump pour implorer un soutien continu en armes et fonds. Mais ce n’est pas nouveau : Zelensky a déjà prouvé sa capacité à jouer sur la culpabilité occidentale, obtenant des milliards sans contrepartie réelle. Face à un Trump pragmatique, qui répète que les États-Unis ne financeront plus directement l’Ukraine mais vendront des armes aux alliés, Zelensky risque de devoir supplier plus fort que jamais. L’UE, de son côté, reste le principal bailleur, avec plus de 3,9 milliards d’euros issus d’actifs russes gelés alloués en 2025 pour soutenir Kiev. Zelensky « pleure » auprès de ces puissances, mais c’est une stratégie calculée : il sait que l’Occident, divisé, continuera à payer pour éviter une victoire russe.

 


 

Trump vend, l’Europe paie : Un deal gagnant pour les Américains

Sous l’administration Trump en 2025, la politique d’aide à l’Ukraine a pris un virage mercantile. Les États-Unis approuvent des paquets d’armes – comme des systèmes Patriot – financés par les alliés de l’OTAN, qui achètent ensuite l’équipement américain pour le transférer à Kiev. Trump lui-même l’admet sans ambages : « Nous gagnons de l’argent sur la guerre parce que l’OTAN achète notre équipement. »

C’est un coup de maître pour Washington : les ventes d’armes boostent l’industrie américaine, tandis que l’Europe assume le fardeau financier.

Zelensky, de son côté, reçoit ces armes sans débourser un centime, sachant pertinemment que l’Ukraine, endettée jusqu’au cou, ne les remboursera jamais. Les prêts et garanties européennes s’accumulent, mais Kiev, ravagé par la guerre, n’a pas les moyens de payer – et personne ne semble exiger de comptes. Résultat : Zelensky est « gagnant », armé aux frais des autres, et les États-Unis engrangent des profits records sur les exportations militaires.

Les peuples européens, saignés à blanc par l’austérité

Pendant ce temps, les citoyens européens sont les grands perdants de cette équation. Les gouvernements de l’UE imposent des politiques d’austérité pour équilibrer des budgets grevés par l’aide à l’Ukraine, qui pèse sur la croissance et alimente l’inflation.

Des milliards d’euros sont détournés vers Kiev, forçant les États membres à couper dans les services publics, les retraites et les investissements sociaux.

En France, en Allemagne ou ailleurs, les contribuables se saignent pour financer une guerre lointaine, tandis que leurs économies stagnent sous le poids de la « nouvelle austérité » imposée par ce « keynésianisme militaire ». Les mouvements sociaux grondent : pourquoi sacrifier le bien-être des Européens pour un conflit qui profite d’abord à l’industrie américaine ? Les sondages montrent une fatigue croissante face à cette aide inconditionnelle, qui creuse les inégalités et menace la reprise post-pandémie.

 


 

La cerise sur le gâteau : Zelensky revendra les armes « excédentaires »

Et comme si cela ne suffisait pas, Zelensky a annoncé le 19 septembre 2025 un plan d’exportations « contrôlées » d’armes ukrainiennes, incluant des drones navals et des systèmes antichars produits en excès. L’Ukraine, qui produit désormais des millions de drones par an grâce aux technologies et fonds occidentaux, compte vendre ces surplus à des alliés pour financer plus de production. Mais ces armes n’ont pas été payées avec l’argent de Kiev : elles résultent en grande partie des aides européennes et des transferts d’équipements. Comme le souligne de nombreux internautes, « Les Européens se saignent pour aider l’Ukraine et lui livrer des armes. Et Zelensky va les revendre. »

De plus, ce flux incessant d’armes prolonge la guerre, augmentant les morts de part et d’autre, et la grande majorité de ces armes sont détruites par des tirs de missiles russes alors qu’elles ne sont pas encore déployées, souvent dans des dépôts de stockage visés par des frappes extrêmement précises.

 


 

C’est une insulte flagrante : les peuples européens financent, Zelensky reçoit, et maintenant il monétise ce qui lui a été donné gratuitement. Une double peine ? Non, triple : payer pour armer l’Ukraine, subir l’austérité, et voir ces armes revendues sur le marché international, potentiellement à des pays hostiles.

Ce cercle vicieux expose la complicité des dirigeants européens, qui sacrifient leurs citoyens sur l’autel du profit et de leur ego surdimensionné. Zelensky mendie, Trump vend, et l’Europe paie la note. Il est temps que les peuples d’Europe exigent des comptes et lance une vaste enquête sur ce profit macabre, suivi de jugements et de condamnations des protagonistes.

https://multipol360.com/zelensky-le-mendiant-de-loccident-les-europeens-eternels-dindons-de-la-farce/

La Russie et le Venezuela renforcent leur alliance stratégique : un accord face aux pressions américaines


Le parlement vénézuélien a approuvé à l’unanimité, le 18 septembre 2025, un traité de partenariat stratégique avec la Russie, marquant une étape décisive dans la consolidation des relations bilatérales.

Signé par les présidents Vladimir Poutine et Nicolás Maduro en mai 2025, cet accord étend la coopération politique, économique et militaire jusqu’en 2035, dans un contexte de tensions accrues avec les États-Unis.

 


 

Caracas cherche ainsi à approfondir ses liens avec Moscou pour contrer les sanctions et les ingérences américaines, renforçant une alliance qui s’appuie sur environ 350 accords bilatéraux existants.

Une coopération multidimensionnelle : défense, énergie et technologie

Cet accord couvre une vaste gamme de domaines, incluant des initiatives conjointes au sein de l’OPEP+ et du Forum des pays exportateurs de gaz, pour stabiliser les marchés énergétiques mondiaux. Sur le plan militaire, des exercices impliquant des chasseurs russes Su-30 ont eu lieu au Venezuela en septembre 2025, démontrant une collaboration concrète et servant de signal dissuasif face aux menaces régionales. L’arsenal vénézuélien, largement d’origine russe, comprend des fusils AK-103 produits sous licence, des systèmes antiaériens Buk-M2 et S-300VM, des lance-roquettes BM-30, ainsi que des avions Su-30, renforçant la capacité défensive de Caracas.

 


 

Dans le secteur énergétique, les projets portent sur l’exploration pétrolière et gazière, avec une assurance pour le transport pétrolier résistant aux sanctions. La technologie spatiale est également au programme, via l’installation d’une station GLONASS russe au Venezuela, tandis que l’industrie bénéficie de collaborations en métallurgie, extraction minérale et pharmacie. Des initiatives en renseignement, lutte contre l’espionnage, drones, projets ferroviaires et télécoms complètent cet accord, avec une réduction de 25 % des tarifs sur les biens vénézuéliens dans l’Union économique eurasiatique.

Un soutien mutuel pour un monde multipolaire

Les deux pays s’engagent à un soutien mutuel à l’ONU, pour résister aux sanctions et promouvoir un ordre mondial multipolaire, luttant contre le terrorisme et le trafic de drogue.

Maduro pourrait se rendre en Russie plus tard en 2025 pour finaliser les détails, tandis que des consultations bilatérales à Moscou ont déjà renforcé cette alliance globale. Cet accord renforce l’influence russe en Amérique latine, avec le Venezuela comme allié principal, et soutient l’adhésion de Caracas aux BRICS.

Implications géopolitiques : un message de souveraineté

Des discussions sur les réseaux sociaux, présentent cet accord comme un symbole de paix, de souveraineté et de résistance aux tentatives de « changement de régime » orchestrées par les États-Unis. En pleine crise économique et politique au Venezuela, ce partenariat offre un bouclier contre les pressions extérieures, tout en diversifiant les alliances de Moscou au-delà de l’Europe et de l’Asie.

Cet accord entre la Russie et le Venezuela illustre un réalignement géopolitique, où les nations sanctionnées unissent leurs forces pour défier l’hégémonie américaine.

Il pourrait transformer les dynamiques en Amérique latine, favorisant un monde davantage multipolaire, mais soulève aussi des questions sur la stabilité régionale face aux tensions persistantes.

https://multipol360.com/la-russie-et-le-venezuela-renforcent-leur-alliance-strategique-un-accord-face-aux-pressions-americaines/

Le Pakistan étend son parapluie nucléaire à l’Arabie saoudite

Le Pakistan et l’Arabie Saoudite ont signé un pacte de défense mutuelle le 17 septembre 2025, étendant le parapluie nucléaire pakistanais au royaume saoudien dans un contexte de tensions croissantes au Moyen-Orient.

 


Cet accord, révélé par des sources proches du gouvernement saoudien, marque un tournant stratégique, permettant potentiellement à Riyad de bénéficier de la dissuasion nucléaire pakistanaise face à des menaces régionales comme Israël.

Alors que les États-Unis sont perçus comme de moins en moins fiables, cette alliance renforce les liens entre deux puissances musulmanes et soulève des inquiétudes sur la prolifération nucléaire.

Un historique de coopération nucléaire discrète

Les racines de cette alliance remontent aux années 1970-1990, lorsque l’Arabie Saoudite a investi plus d’un milliard de dollars dans le programme nucléaire pakistanais, en échange d’un accès potentiel aux armes en cas de crise. Islamabad, qui possède aujourd’hui environ 170 ogives nucléaires selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI), dispose de vecteurs avancés comme le missile Shaheen-III (portée de 2.750 km) et des avions JF-17 capables de les déployer. Ce financement saoudien a été crucial pendant les sanctions internationales contre le Pakistan, et l’accord actuel formalise cette relation symbiotique. Des analystes comme Ali Shihabi, proche de la couronne saoudienne, confirment que « le nucléaire est une partie intégrante de cet accord », rappelant le soutien mutuel historique.

Le contexte récent : un bombardement qui accélère les alliances

Cet accord intervient dans un climat de haute tension, exacerbé par le bombardement israélien sur Doha, au Qatar, le 9 septembre 2025, visant des leaders du Hamas.

Condamné par les pays du Golfe, cet incident a mis en lumière les faiblesses des garanties de sécurité américaines, poussant l’Arabie Saoudite à diversifier ses partenariats militaires.

Le ministre pakistanais de la Défense, Khawaja Muhammad Asif, a explicitement déclaré que le programme nucléaire pakistanais pourrait être mis à disposition de l’Arabie Saoudite dans le cadre de ce pacte, renforçant ainsi la dissuasion conjointe contre toute agression. Par ailleurs, plus de 2,5 millions de Pakistanais résident en Arabie Saoudite, renforçant les liens économiques et humains entre les deux nations.

Les détails de l’accord : une dissuasion étendue mais spéculative

Le pacte inclut l’utilisation potentielle des armes nucléaires pakistanaises pour défendre l’Arabie Saoudite, bien que certains aspects restent spéculatifs et basés sur des sources non publiques. Des discussions sur les réseaux sociaux évoquent le rôle du Pakistan comme « gardien » d’armes financées par l’Arabie Saoudite et le Qatar, avec des liens potentiels aux États-Unis via des systèmes de contrôle d’activation (PALs) supervisés par la CIA. Cet arrangement vise à équilibrer les forces régionales, particulièrement face à l’avancée du programme nucléaire iranien.

 


 

Les implications régionales et mondiales : vers une escalade nucléaire ?

Cet accord pourrait redessiner l’équilibre des puissances au Moyen-Orient, offrant à l’Arabie Saoudite une alternative crédible aux alliances occidentales et contrant les menaces posées par Israël et potentiellement l’Iran (avec qui le Pakistan s’est néanmoins rapproché). Cependant, il soulève des craintes de prolifération nucléaire, risquant d’escalader les tensions dans une région déjà volatile.

Les experts s’inquiètent d’une course aux armements qui pourrait impliquer d’autres acteurs, comme le Qatar ou les Émirats arabes unis, et affaiblir les efforts internationaux de non-prolifération.

Une alliance nécessaire ou un risque incalculable ?

En étendant son parapluie nucléaire à l’Arabie Saoudite, le Pakistan non seulement renforce sa position géopolitique mais contribue aussi à un réalignement des alliances au Moyen-Orient, loin de la dépendance traditionnelle vis-à-vis des États-Unis. Cet accord, fruit d’une coopération de longue date, répond à des menaces immédiates mais pose des questions cruciales sur la stabilité mondiale. Dans un monde où les tensions nucléaires s’intensifient, cette initiative pourrait soit stabiliser la région, soit précipiter une crise majeure. Il est impératif que la communauté internationale soit attentive à ces développements afin d’éviter une éventuelle escalade rapidement incontrôlable.
 

Tensions au sein du projet SCAF : L’Allemagne envisage-t-elle d’exclure la France ?

Le projet SCAF (Système de Combat Aérien du Futur), également connu sous le nom de FCAS (Future Combat Air System), est l’un des piliers de la coopération européenne en matière de défense.

 


 

Lancé en 2017 par la France, l’Allemagne et l’Espagne, ce programme ambitieux vise à développer un avion de combat de sixième génération, accompagné d’un écosystème de drones, de systèmes de surveillance et de ravitaillement en vol.

Avec un budget estimé à 100 milliards d’euros, il est censé remplacer les Rafale français et les Eurofighter allemands et espagnols d’ici 2040-2045. Cependant, des tensions persistantes entre Paris et Berlin menacent désormais sa viabilité, avec des rumeurs selon lesquelles l’Allemagne pourrait chercher à se passer de la France. Ces frictions s’inscrivent dans un contexte plus large de relations franco-allemandes marquées par une posture allemande de plus en plus belliqueuse en matière commerciale et étrangère.

 


 

Le contexte du projet SCAF

Le SCAF n’est pas seulement un avion : c’est un système intégré conçu pour assurer l’autonomie stratégique de l’Europe face aux puissances comme les États-Unis et la Chine. Dassault Aviation, en France, est chargé de piloter le pilier central, le Next Generation Fighter (NGF), un chasseur piloté. Airbus, représentant l’Allemagne et l’Espagne, gère d’autres aspects comme les drones et les systèmes de communication. Dès le départ, les divergences étaient prévisibles : la France insiste sur des capacités nucléaires et navales (pour ses porte-avions), tandis que l’Allemagne et l’Espagne n’ont pas ces besoins spécifiques. Dans ce cadre, Emmanuel Macron a envisagé un dialogue stratégique sur l’extension de la dissuasion nucléaire française à l’Europe, y compris l’Allemagne, comme indiqué dans une tribune commune avec le chancelier allemand Friedrich Merz en juin 2025, appelant à renforcer la défense européenne.

Ce projet, remis sur la table par Macron dès mars 2025, est perçu par beaucoup comme une véritable trahison de la souveraineté française en matière de dissuasion nucléaire, d’autant plus que Berlin semble vouloir exclure la France du SCAF tout en profitant potentiellement de ce « parapluie » nucléaire.

Cette ouverture de Macron à un partage nucléaire est critiquée comme une imprécision stratégique, risquant de diluer la force de frappe indépendante de la France, et souligne une asymétrie :

Les Allemands apparaissent comme particulièrement gonflés en cherchant à utiliser la France pour renforcer leur sécurité nucléaire via ce dialogue, tout en menaçant de l’écarter pour l’avion du futur qu’est le SCAF.

Malgré des avancées initiales, le projet stagne depuis des années. Huit ans après son lancement, il est toujours bloqué à la phase de pré-démonstrateur, avec des négociations interminables sur la répartition des tâches et la propriété intellectuelle.

 


 

Les tensions actuelles : exigences françaises et frustrations allemandes

Les crispations se concentrent sur deux points majeurs. D’abord, la répartition du travail. Des rapports indiquent que la France, via Dassault, pousserait pour un contrôle accru sur le NGF, allant jusqu’à 80 % des tâches selon certaines sources. Cependant, cette affirmation a été démentie par des analyses plus nuancées, expliquant que Dassault vise plutôt une restructuration pour respecter le délai critique de 2045 pour la France, où le Rafale doit être remplacé pour maintenir la crédibilité nucléaire. Dassault argue de son expertise unique, illustrée par le succès commercial du Rafale, et refuse une gouvernance diluée qui pourrait compromettre l’efficacité.

De son côté, l’Allemagne s’agace de ces « exigences » françaises. Berlin estime que, en tant que financeur majeur, il doit avoir un accès complet aux technologies développées, y compris les « secrets » de Dassault.

Airbus, soutenu par le gouvernement allemand, menace de quitter le projet si ses intérêts ne sont pas préservés. Le PDG de Dassault a publiquement critiqué ce modèle collaboratif, le qualifiant d’inefficace et risquant de mener à l’échec.

Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, a récemment renforcé ces critiques lors d’une audition à l’Assemblée nationale le 9 avril 2025, qualifiant le modèle trinational de « complexe et long », comparé au succès du démonstrateur de drone nEUROn, réalisé avec cinq autres pays européens en dix ans et plus de 170 vols d’essai. Il a déploré l’attribution du pilier drone à Airbus malgré l’expertise de Dassault, créant des problèmes d’interface, et plaidé pour un maître d’œuvre unique centré sur l’avion. Trappier a averti que le NGF, tel que conçu à trois, pourrait s’avérer bien plus cher que le Rafale.

 


 

Ces désaccords ont culminé récemment avec des informations selon lesquelles l’Allemagne explore des alternatives pour continuer sans la France. Des sources indiquent que Berlin envisage de s’associer avec la Suède (qui développe un successeur au Gripen) ou le Royaume-Uni, impliqué dans le programme concurrent GCAP (Global Combat Air Programme) avec l’Italie et le Japon. L’Espagne pourrait suivre l’Allemagne dans cette voie, laissant la France isolée.

Les positions des parties prenantes

Du côté français, on minimise la crise. Le ministère des Armées affirme que « la France et l’Allemagne restent déterminées à mener à bien le programme SCAF en coopération avec l’Espagne ». Paris se veut rassurant, évoquant une « solution d’ici la fin de l’année » lors d’une réunion de haut niveau prévue en octobre. Dassault insiste sur un modèle « best athlete », où les compétences priment sur les quotas nationaux. Trappier va plus loin en affirmant que la France pourrait développer seule le successeur du Rafale, déclarant : « De qui j’attends des compétences, à part moi, pour faire un avion de combat ? (…) Les compétences, c’est moi qui les ai. » Il cite Otto von Bismarck pour illustrer la difficulté d’un partenariat à trois : « Dans un système à trois puissances, il faut être l’une des deux. » 

L’Allemagne, quant à elle, appelle à mettre les intérêts nationaux de côté pour relancer le projet, mais ses actions suggèrent le contraire. Des officiels allemands ont exprimé leur frustration face au manque de progrès, et des médias rapportent que Berlin réclame un partage plus équitable des technologies pour éviter une dépendance excessive à la France.

Airbus, au cœur du débat, déclare que le SCAF reste « possible » malgré les tensions avec Dassault. L’Espagne, plus discrète, semble alignée sur l’Allemagne pour des raisons industrielles.

Le SCAF dans un contexte plus large de relations franco-allemandes tendues

Les tensions autour du SCAF ne sont pas isolées, mais s’inscrivent dans une posture allemande de plus en plus belliqueuse en matière commerciale et étrangère, comme le souligne une analyse récente. L’Allemagne utilise les institutions européennes pour amplifier ses intérêts nationaux, adoptant des mesures protectionnistes et interventionnistes présentées comme défensives, mais qui révèlent une agressivité croissante. Par exemple, Berlin pousse l’UE à préparer des représailles commerciales contre les États-Unis en cas de nouveaux tarifs douaniers, potentiellement jusqu’à 30 % sur les produits européens, avec une mise en œuvre possible dès le 1er août. Cette ligne dure est partagée avec la France, où les deux pays s’alignent pour activer l’Instrument Anti-Coercition (ACI) de l’UE, incluant des tarifs supplémentaires, la suspension d’activités commerciales américaines ou des restrictions d’accès aux marchés publics.

Cependant, cette convergence masque des divergences plus profondes. En politique étrangère, l’Allemagne adopte une position plus agressive, notamment dans le conflit en Ukraine, en achetant des armes américaines supplémentaires (financées par la dette) pour les envoyer à Kiev, soutenant ce qui est perçu comme une guerre par procuration des États-Unis contre la Russie. Cela contraste avec l’ère Merkel, où l’Allemagne externalisait sa sécurité aux États-Unis, sa croissance à la Chine et son énergie à la Russie – une stratégie aujourd’hui en échec.

Les sanctions contre la Russie ont entraîné la perte d’énergie bon marché via Nord Stream, accélérant la désindustrialisation et augmentant les coûts énergétiques, au point que l’Allemagne achète désormais de l’électricité à la France en raison de son sous-investissement dans le nucléaire.

Économiquement, ces politiques agressives, amplifiées par l’UE, ont des coûts élevés pour les citoyens européens : stagnation, inflation, frictions sociales et hausse de la criminalité. L’Allemagne, décrite comme le pire performer du G7 avec une récession en cours, influence des politiques comme le Green Deal de 2020, critiqué pour désindustrialiser l’Europe au profit de ses industries exportatrices. Cette dynamique renforce les suspicions françaises dans le SCAF, où Berlin est vu comme cherchant à dominer, rappelant une arrogance historique dans les relations bilatérales.

 


 

Les implications pour la défense européenne

Si l’Allemagne décidait d’ « éjecter » la France, cela porterait un coup sévère à l’ambition d’une défense européenne unifiée. Le SCAF symbolise la coopération post-Brexit, mais son échec pourrait fragmenter l’industrie aéronautique européenne, favorisant une dépendance accrue aux États-Unis (via des achats d’F-35) ou à d’autres partenaires. Economiquement, des milliers d’emplois sont en jeu, et stratégiquement, l’Europe risquerait de perdre du terrain face aux avancées américaines et chinoises en matière d’avions de nouvelle génération. Dans ce contexte de bellicisme allemand, un échec du SCAF pourrait accentuer les fractures au sein de l’UE, avec l’Allemagne priorisant ses intérêts nationaux sur l’intégration européenne.

Trappier suggère que la France pourrait opter pour un développement indépendant, comme pour le Rafale, en s’inspirant du modèle du nEUROn pour des partenariats plus flexibles basés sur les compétences industrielles plutôt que sur des critères géographiques.

Certains observateurs rappellent l’histoire : dans les années 1980, la France avait quitté un projet similaire pour développer seule le Rafale, avec succès. Une répétition pourrait convenir à Dassault, mais au prix d’un isolement européen.

 


 

Vers une résolution ou une rupture ?

Cependant, face à une UE, en train de sombrer, dans des travers totalitaires, les peuples européens n’en veulent plus.

Ils exigent de conserver une entière souveraineté dans laquelle la coopération resterait possible, tout en préservant impérativement l’indépendance de chaque pays.

Hors de question de perdre sa souveraineté dans ce processus. La position de Dassault apparaît donc comme la meilleure : prioriser les compétences et l’expertise française pour un développement potentiellement autonome. La France a toujours su construire d’excellents avions (Rafale, Concorde, etc…) et trains (TGV) : il faut donc absolument relancer une industrie forte, avec une revalorisation de la recherche et développement (R&D) pour assurer une autonomie stratégique et économique.
Si la coopération prévaut sous ces conditions, le SCAF pourrait renforcer l’Europe ; sinon, il risque de devenir un symbole d’échec continental, amplifié par les tensions commerciales et étrangères actuelles.

Les Français ne veulent pas de défense européenne ; ils veulent leur propre armée forte, mais certainement pas une armée européenne confiée à quelques technocrates belliqueux et affairistes.

https://multipol360.com/tensions-au-sein-du-projet-scaf-lallemagne-envisage-t-elle-dexclure-la-france/

 

 

Les grandes entreprises s’immiscent de plus en plus dans le débat politique "Wok"

La politisation des entreprises : la nouvelle arme des mondialistes

Dans un paysage économique dominé par les géants du S&P 500 (Indice boursier mesurant les performances des 500 plus grandes sociétés cotées aux États-Unis), une tendance alarmante émerge :

les grandes entreprises s’immiscent de plus en plus dans le débat politique, adoptant des positions sur le climat, les droits des minorités ou le contrôle des armes, presque exclusivement alignées sur l’agenda démocrate américain.


 

Selon une étude récente d’Elisabeth Kempf de la Harvard Business School, analysant plus de 200.000 tweets entre 2012 et 2022, cette politisation a explosé depuis 2017, avec 80-90 % des messages politiques penchant du côté démocrate, même dans des secteurs conservateurs ou chez des PDG républicains. Cette intrusion n’est pas anodine ; elle est le symptôme d’un agenda mondialiste plus sombre, où les élites cherchent à modeler des sociétés serviles, intellectuellement appauvries, pour empêcher tout questionnement critique. Loin d’être une réponse spontanée à la « polarisation », cette tendance sert à imposer une doxa uniformisante, au détriment des libertés et de la diversité culturelle.


 

Les mondialistes aux commandes : vers une humanité servile et abrutie

La grande majorité de ces entreprises sont dirigées par des mondialistes – ces architectes d’un ordre global sans frontières ni identités – qui voient dans la politisation un outil pour maintenir les peuples dans une docilité intellectuelle. En promouvant des narratifs progressistes standardisés, ils visent à réduire le quotient intellectuel collectif, rendant les masses incapables de remettre en question l’ordre établi. Pourquoi ? Parce qu’un peuple servile consomme sans réfléchir, accepte l’uniformisation culturelle et ne résiste pas aux agendas transnationaux. Des exemples comme Ben & Jerry’s ou Nike, qui s’engagent contre le « suprématisme blanc » ou pour les droits LGBTQ+, illustrent cette stratégie : ces positions ne sont pas philanthropiques, mais calculées pour aligner les consommateurs sur une vision mondiale homogène. Les marchés, d’ailleurs, sanctionnent souvent ces prises de position : les cours des actions chutent en moyenne de 0,2 % après un tweet politique, signe que les investisseurs perçoivent ce risque comme une déviation de la mission économique pure.

 


 

Trump n’a rien polarisé : il a simplement résisté à la doxa mondialiste

Contrairement à la narrative dominante, l’ère Trump n’a pas « polarisé » le discours ; elle a simplement révélé l’opposition frontale de cet outsider à la doxa omniprésente que les mondialistes imposent depuis des décennies. Avant 2017, les entreprises restaient discrètes politiquement, mais l’élection de Trump a servi de prétexte pour intensifier leur activisme démocrate, perçu comme une riposte à ses politiques souverainistes. Trump s’est opposé à cette uniformisation forcée, défendant les intérêts nationaux contre les élites globales. Les mondialistes, paniqués par cette remise en cause, ont mobilisé les corporations pour rétablir leur hégémonie idéologique. Ce n’est pas de la polarisation ; c’est une contre-attaque pour écraser toute dissidence.

L’économie d’échelle : la nécessité d’uniformiser les peuples pour maximiser les profits

Au cœur de cette tendance se cache un impératif économique impitoyable : l’économie d’échelle.

Un produit conçu pour un seul pays, avec ses particularités culturelles et réglementaires, est infiniment moins rentable qu’un bien standardisé, diffusé dans 10, 20, 30 ou 40 pays.

Pour maximiser les profits, les mondialistes poussent à l’uniformisation totale des marchés – et donc des peuples. En adoptant des positions politiques « progressistes », les entreprises contribuent à éroder les différences nationales, créant un consommateur global interchangeable, servile et prévisible. Cette stratégie explique pourquoi même des PDG républicains virent au discours démocrate sur les réseaux : elle sert l’agenda d’une mondialisation qui priorise les chaînes d’approvisionnement globales sur les identités locales. Le résultat ? Des sociétés appauvries culturellement, où le questionnement est remplacé par une adhésion passive à la consommation de masse.

L’auto-censure des dirigeants : la peur de la stigmatisation orchestrée par des groupes comme Sleeping Giants

Cette politisation s’accompagne d’une auto-censure rampante parmi les dirigeants d’entreprises, terrifiés à l’idée d’être stigmatisés par des activistes. Prenez Sleeping Giants, une organisation militante fondée en 2016, qui pressionne les compagnies pour qu’elles retirent leurs publicités de médias conservateurs comme Breitbart (ou Valeurs Actuelles en France), accusés de promouvoir la « bigoterie et le sexisme ». En menaçant de boycotts et en exposant publiquement les « complices », Sleeping Giants force les dirigeants à adopter des positions alignées, sous peine d’atteinte à la réputation.

Résultat : une censure auto-imposée, où les dirigeants préfèrent se plier à la doxa démocrate plutôt que risquer l’ostracisme et bien sûr, une baisse drastique de leur chiffre d’affaires.

Des cas comme ceux de Microsoft ou Delta, qui ont licencié des employés pour des publications controversées en 2025, illustrent cette peur viscérale. Cette dynamique n’est pas de la responsabilité sociale ; c’est une capitulation face à une machine de contrôle idéologique.
Heureusement, une contre-attaque est menée par Les Corsaires.

 


 

Les impacts négatifs : un double tranchant pour les entreprises et la société

Si 70 % des consommateurs attendent désormais que les marques prennent position – en hausse de 66 % depuis 2017 – cet activisme expose à des boycotts massifs, comme celui de Bud Light en 2023. Les marchés préfèrent la neutralité pour éviter les risques réglementaires ou réputationnels, pourtant les mondialistes persistent, sacrifiant la performance boursière au profit de leur agenda. Pour la société, c’est pire : cette uniformisation idéologique abruti les peuples, les rendant vulnérables à une élite qui dicte la pensée unique.

En conclusion, la politisation des entreprises n’est pas un progrès ; c’est une arme des mondialistes pour uniformiser, abrutir et soumettre. Il est temps de résister à cette doxa imposée, en soutenant des leaders comme Trump qui défient l’ordre global. Sinon, nous risquons une humanité servile, privée de son esprit critique, au service d’une économie d’échelle déshumanisante.

La liberté d’expression est plus que jamais menacée. Les censeurs se déchaînent pour faire taire les voix dissidentes par tous les moyens. Face à la tempête, ne restez pas passifs : rejoignez les Corsaires voir vidéo !

corsairesdefrance.com

Exemple de campagnes des Sleeping giants : Vidéo, cliquez l'image


 

 

 

 

septembre 18, 2025

Avec beaucoup de censure en France, le mensonge covid se craquèle : la vérité éclate peu à peu

En médecine, il existe un principe sacré, gravé dans le marbre depuis l’Antiquité : Primum non nocere – « D’abord, ne pas nuire ». C’est le serment d’Hippocrate, le fondement éthique de toute pratique médicale.

Pourtant, durant la soi-disant pandémie de COVID-19, les autorités sanitaires mondiales, des agences comme l’OMS, la FDA aux États-Unis, l’EMA en Europe et leurs équivalents nationaux comme l’ARS en France, ont piétiné ce principe avec une arrogance criminelle.


Quand on ne sait pas, on ferme sa gueule ? Pas du tout. Au contraire, on a imposé des mesures draconiennes, des confinements absurdes et, pire, des injections expérimentales présentées comme des « vaccins miracles » – un poison qui, aujourd’hui, continue de tuer et de mutiler. Si l’on paye grassement ces « experts » et politiciens pour protéger la santé publique, il est temps que des têtes tombent. Et vite.

Les coûts astronomiques : un gouffre financier et humain inexcusable

Commençons par les chiffres, ces froids témoins d’une incompétence monumentale. La pandémie a coûté au monde entre 8 et 16 trillions de dollars (1 trillon de $ = 1.000 millirds $), selon des estimations. Le FMI a initialement projeté 12,5 trillions de dollars de pertes globales jusqu’en 2024, mais ce chiffre a été revu à la hausse en raison des disruptions persistantes dans les chaînes d’approvisionnement et l’inflation galopante. Aux États-Unis seuls, une étude de JAMA évalue le coût cumulatif à 16 trillions de dollars, incluant les pertes de production et les impacts sur la santé – soit plus que le PIB annuel du pays ! La Banque Mondiale parle de 8,5 trillions de dollars de pertes de production économique sur deux ans, effaçant les gains des quatre années précédentes. Et en Europe ? Une chute moyenne du PIB de 7,4 %, avec des coûts directs et indirects qui s’élèvent à des trillions, selon une revue systématique publiée en 2023.


 

Mais l’argent n’est rien comparé au carnage humain. Plus de 7 millions de morts officiels dus au COVID-19, mais les excès de mortalité racontent une histoire bien plus sombre :

des centaines de milliers de décès supplémentaires liés aux confinements, aux reports de soins et à la désinformation officielle.

Chez les jeunes, c’est une hécatombe psychologique : l’OMS rapporte une augmentation massive de 25 % de la prévalence de l’anxiété et de la dépression mondiale en 2020, touchant particulièrement les 10-24 ans. Aux États-Unis, les symptômes de dépression et d’anxiété ont quadruplé chez les adultes jeunes, passant de 11 % en 2019 à 40 % en 2020, selon des sondages du CDC. Les suicides chez les adolescents ont grimpé de 50 % pendant la pandémie, avec des pics chez les garçons. Une étude du Global Burden of Disease 2021 montre que la charge de la dépression chez les ados a explosé, bien au-delà des prédictions, et continue d’augmenter en 2025.

Cette période a été particulièrement difficile pour les familles ayant des enfants en bas âge et des ados logés en appartement sans jardin ou terrasse, ou même pour les familles nombreuses confinées dans de petites surfaces, où l’enfermement prolongé a exacerbé les tensions, les troubles psychologiques et les retards éducatifs. En France, le premier confinement, particulièrement sévère avec des restrictions draconiennes comme les attestations obligatoires pour sortir, a duré 55 jours (du 17 mars au 11 mai 2020), tandis que le deuxième a duré 46 jours (du 30 octobre au 15 décembre 2020). Pourtant, certains pays comme la Suède, qui n’ont pas imposé de confinements stricts, ont enregistré un excès de mortalité plus faible sur la période de la pandémie – un taux d’excès de mortalité inférieur de près de 27 % à celui de la France, démontrant que ces mesures extrêmes n’étaient pas nécessairement salvatrices et ont causé plus de mal que de bien.

Ces jeunes, confinés, isolés, déscolarisés, payent le prix d’une hystérie collective orchestrée par des bureaucrates incompétents.

Et pour quoi ? Pour une « pandémie » gérée comme un cirque autoritaire, où les libertés ont été sacrifiées sur l’autel de la peur.


Les traitements alternatifs interdits : une censure criminelle au nom de big pharma

Si l’on « ne savait pas » comment gérer le virus, pourquoi interdire les solutions alternatives ? L’hydroxychloroquine et l’ivermectine, des médicaments bon marché, utilisés depuis des décennies contre le paludisme et les parasites, ont été bannis autoritairement par la FDA, l’EMA et d’autres agences. Pourquoi ? Parce qu’ils menaçaient les profits des « vaccins » expérimentaux. Des études récentes, comme une revue systématique de phase III en 2024, montrent que ces traitements, utilisés tôt, réduisent les hospitalisations et la mortalité chez les patients modérés. Aux États-Unis, quatre États (comme le Tennessee et le New Hampshire) ont même légiféré en 2025 pour autoriser l’ivermectine en vente libre, reconnaissant son potentiel. Pourtant, pendant la pandémie, leur usage a explosé illicitement – prescriptions d’ivermectine multipliées par 10, hydroxychloroquine doublées – parce que les gens savaient que les autorités mentaient.

La Mayo Clinic et la FDA admettent aujourd’hui que ces interdictions étaient basées sur des données partielles, mais le mal est fait : des millions ont souffert inutilement pendant que Big Pharma engrangeait des milliards avec des vaccins autorisés sans données complètes sur les effets à long terme. C’est une violation flagrante de la principale règle « Primum non nocere » – on a préféré le profit à la prudence.

Comme l’a récemment admis la Commission européenne dans une réponse à une question parlementaire

posée par le député européen autrichien Gerald Hauser (FPÖ), rapportée par la Berliner Zeitung, les vaccins contre le COVID-19 ont été distribués sans données de sécurité complètes. Hauser a interrogé : « Pourquoi la Commission n’a-t-elle pas informé les citoyens que l’efficacité et la sécurité des vaccins à ARNm – comme stipulé dans le contrat – n’étaient pas garanties ? » L’article souligne que cette décision, liée à des contrats opaques impliquant Ursula von der Leyen, soulève des questions graves sur la responsabilité et les risques imposés à la population.

La chasse aux « tueurs en blouse blanche » : RFK jr., le justicier anti-corruption

Aux États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., nommé Secrétaire à la Santé et aux Services Humains, mène une guerre sans merci contre ces « tueurs en blouse blanche » – ces médecins et bureaucrates corrompus par Big Pharma. Kennedy, dans son combat acharné, expose comment la FDA tire près de la moitié de son budget des compagnies pharmaceutiques qu’elle est censée réguler, créant un conflit d’intérêts flagrant. Le CDC n’est qu’un bras marketing pour les vaccins, et le NIH canalise des milliards vers des études biaisées en faveur des labos. RFK Jr. licencie en masse les corrompus au sein de la CDC, FDA, HHS et NIH, et cible même les exécutifs de BlackRock et Vanguard qui influencent ces agences. Il enquête sur l’épidémie d’autisme, met fin aux mandats vaccinaux COVID et réforme pour restaurer la transparence.

Kennedy expose le « Pfizergate » : des contrats secrets, des prix exorbitants pour des médicaments que les contribuables financent, et une collusion avec le Congrès qui empoche des millions de Big Pharma pour approuver ces poisons. Son alliance avec Trump pour « Make America Healthy Again » est une claque aux élites pharma qui ont profité de la pandémie. Les attaques contre lui – hit pieces, appels à démission – prouvent qu’il touche au cœur du système corrompu.


 

Des têtes doivent tomber : pour une vraie justice

On paye des fortunes ces responsables – salaires mirobolants, budgets colossaux pour l’ARS et ses homologues mondiaux – pour qu’ils protègent la population. Au lieu de ça, ils ont semé la mort, la ruine et la dépression. Les vaccins, libérés sans données complètes, tuent encore aujourd’hui via des effets secondaires occultés.

Cette farce n’aurait pas pu se produire sans la vile collaboration des médias, qui ont servi de relais propagandistes pour amplifier la peur, censurer les voix dissidentes et occulter les scandales, permettant ainsi au scandale de prospérer sous un voile de consensus fabriqué.

Il est grand temps d’une purge globale : enquêtes indépendantes, poursuites judiciaires contre les Fauci, les von der Leyen et leurs complices. Si RFK Jr. peut le faire aux USA, pourquoi pas en Europe ? La « pseudo-pandémie » n’était qu’un prétexte pour le contrôle et les profits. Primum non nocere ? Ils l’ont transformé en « D’abord, enrichir les labos ». Et comment ne pas évoquer l’hypocrisie au sommet, avec Sébastien Lecornu, actuel Premier Ministre nommé en septembre 2025, qui, en tant que Ministre des Outre-mer à l’époque, a participé à un « apéro clandestin » en Nouvelle-Calédonie le 16 octobre 2021, en plein confinement strict, réunissant une dizaine de personnes sans respect des règles qu’il imposait aux citoyens – un symbole parfait de l’élite qui prêche l’austérité tout en s’en exemptant.

https://multipol360.com/le-mensonge-covid-se-craquele-la-verite-eclate-peu-a-peu/ 

ÉTUDE DE DERNIÈRE MINUTE : 

Les « vaccins » contre la COVID-19 sont liés à 63 effets indésirables graves affectant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière)  Les seuils de sécurité des CDC/FDA ont été violés alors que les vaccins contre la COVID perturbent la barrière hémato-encéphalique, provoquant méningite, encéphalite, maladie à prions, abcès cérébraux, réactivations de l'herpès, syndromes démyélinisants et plus encore. En utilisant les données du VAERS de janvier 1990 à novembre 2024, nous avons comparé les rapports d’événements indésirables après la vaccination contre la COVID-19 à ceux après les vaccins contre la grippe :  


 

Affections neurodégénératives et démyélinisantes rares :

- Maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) — 847 fois plus susceptible d'être signalée que les vaccins contre la grippe

Myélite (tous types) — 31 fois plus probable

- Myélite transverse — 21 fois plus probable

Myélite virale — 115 fois plus probable   

Myélite non infectieuse — 132 fois plus probable

- Maladie à prions (général) — 62 fois plus probable 

 

 Infections du SNC :   

- Méningite (tous types) — 34 fois plus probable

Méningite aseptique — 53 fois plus probable

- Méningite bactérienne — 36 fois plus probable

Encéphalite auto-immune — 79 fois plus probable

- Encéphalite limbique — 146 fois plus probable

Encéphalite de Bickerstaff — 68 fois plus probable

- Neuroborréliose (infection du système nerveux central de Lyme) — 321 fois plus probable

Encéphalopathie toxique — 157 fois plus probable

- Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) — 45 fois plus probable 

 

 Réactivations herpétiques du SNC :       

- Méningite à zona — plus de 1 200 fois plus de risques

Méningo-encéphalite à herpès zoster — 339 fois plus probable

- Maladie neurologique du zona — 680 fois plus probable

Méningite à herpès simplex — 132 fois plus probable

Méningo-encéphalite herpétique — 136 fois plus probable

- Méningite à varicelle — 168 fois plus probable 

 

Abcès cérébraux et rachidiens :      

Abcès cérébral — 120 fois plus probable

- Abcès extradural — 169× plus probable

Abcès de la moelle épinière — 89 fois plus probable

- Abcès sous-dural — 36 fois plus probable

       Les injections de COVID-19 non seulement enflamment et perturbent la BHE, mais présentent également des propriétés similaires à celles des prions, provoquant un mauvais repliement des protéines semblable à la « maladie de la vache folle ». Cette perturbation neurologique sans précédent contribue également à expliquer pourquoi une autre étude de Thorp et al. a révélé que les injections d’ARNm étaient liées à 86 troubles neuropsychiatriques graves, notamment la démence, la schizophrénie, les pensées suicidaires et homicides, les accidents vasculaires cérébraux, la psychose, la dépression, les troubles cognitifs, les délires, etc. Tous les signaux de sécurité signalés sont extrêmement préoccupants et justifient une interdiction mondiale immédiate du programme de vaccination contre la COVID-19.

https://x.com/NicHulscher/status/1968470993699213418


 

« Des centaines de scientifiques demandent l'arrêt des vaccins à ARNm ! » 

« Les critiques à l'égard des préparations à base d'ARNm se multiplient : des milliers d'effets secondaires, des questions de sécurité ouvertes - les scientifiques exigent un moratoire et une réévaluation urgente » ! Article ce jour dans le Berliner Zeitung : berliner-zeitung.de/coronavirus/hu La déclaration et les signataires sont là : mwm-proof.com/de/start/ « Le nombre d'effets secondaires signalés à l'Institut Paul Ehrlich (PEI) est alarmant : environ 975 000 effets secondaires ont été signalés » !  Il faut interdire les injections ARNm chez les humains ET chez les animaux d’élevage ! De toute urgence !

 


tkp.at/2025/09/15/eu- L’État membre participant reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas connus à l’heure actuelle. En outre, dans la mesure où cela est applicable, l’État membre participant reconnaît que le vaccin ne doit pas être sérialisé.

La stipulation contractuelle de la non-sérialisation d'un vaccin engage plusieurs implications légales, réglementaires et opérationnelles, particulièrement dans le contexte des médicaments soumis à des normes strictes - La sérialisation consiste à attribuer un identifiant unique (comme un code 2D ou un numéro de série) à chaque unité de médicament, permettant une traçabilité complète de la chaîne d'approvisionnement. Cela vise à lutter contre les contrefaçons, faciliter les rappels et assurer la sécurité des patients. - En Europe, la Directive 2011/62/UE (dite "Falsified Medicines Directive") rend la sérialisation obligatoire depuis le 9 février 2019 pour les médicaments sur ordonnance, y compris les vaccins. Elle impose un dispositif anti-effraction et un identifiant unique pour vérifier l'authenticité. - Aux États-Unis, la Drug Supply Chain Security Act (DSCSA) exige une sérialisation similaire depuis 2013, avec une application pleine en 2024 pour les vaccins, via des codes-barres 2D. - Prévoir contractuellement la non-sérialisation signifie renoncer explicitement à cette exigence. Le contrat lie le fournisseur (ex. : laboratoire pharmaceutique) à livrer des vaccins sans identifiants uniques, et l'acheteur (ex. : État ou organisme public) à les accepter. Cela peut inclure des clauses d'exemption temporaire, mais cela engage la responsabilité des signataires en cas de non-conformité ultérieure. Pour les vaccins COVID-19 : - Le contrat UE-Pfizer/BioNTech a explicitement renoncé à la sérialisation, rendant impossible le suivi individuel des doses. Cela a été critiqué comme contraire à la directive européenne sur les médicaments falsifiés. - Aux États-Unis, le contrat avec Sanofi pour un vaccin COVID-19 stipulait "no serialization at the vial level". - Si la non-sérialisation contrevient à des réglementations, le contrat pourrait être déclaré nul ou partiellement invalide. En Europe, cela pourrait exposer les parties à des sanctions de l'Agence européenne des médicaments (EMA) ou des autorités nationales. - Sans traçabilité, les parties s'engagent implicitement à assumer les risques liés à des erreurs de distribution ou des contrefaçons. En cas d'effets indésirables graves ou de rappel défectueux, cela pourrait amplifier la responsabilité civile ou pénale (ex. : poursuites pour négligence). Sans numéros de série, il est plus difficile de suivre les lots individuels, ce qui complique les rappels en cas de défaut (ex. : contamination) et augmente le risque de produits falsifiés entrant dans la chaîne. Cela engage une vulnérabilité accrue pour la santé publique. - Dans les contrats COVID-19, ces clauses ont été critiquées pour prioriser la vitesse sur la sécurité. Une question parlementaire européenne de 2025 interroge la Commission sur le waiver dans l'accord Pfizer, soulignant un risque pour l'authenticité des vaccins. - Notez que la non-sérialisation n'est pas liée aux clauses de non-responsabilité (indemnité) souvent évoquées dans les mêmes contrats, qui protègent les fabricants contre les poursuites pour effets secondaires.

Maintenant, les preuves émergent suite aux questions posées par l'eurodéputé autrichien Gerald Hauser au Parlement européen. L'efficacité des vaccins contre le COVID-19 était inconnue, les effets indésirables à long terme étaient inconnus au moment du déploiement, la sérialisation a été interdite contractuellement dans les accords avec Pfizer/BioNTech, et le produit était expérimental, encore en phase d'essai lors de la signature des contrats avant l'autorisation. La mortalité due au COVID était connue et surévaluée, comme l'ont indiqué des analyses initiales montrant que le taux de létalité était surestimé en raison d'un sur-dénombrement des cas. 11 jours après la signature des contrats, la loi sur le pass sanitaire était présentée. Pfizer a publié le 28 mai 2021, soit 8 jours après avoir signé l’inverse dans les contrats, un communiqué de presse disant que le vaccin était efficace à 100% pour les 12-15 ans. Le temps est venu de rendre des compte pour les escrocs de l’industrie pharmaceutique . Demain les pièces justificatives seront remises entre les mains d’un juge. 

 
europarl.europa.eu/doceo/document… (questions de Gerald Hauser sur les vaccins COVID) - polit-x.de/en/documents/2… (pression politique sur l'EMA pour les tests de vaccins) - vidal.fr/actualites/301… (efficacité des vaccins COVID-19) - bbc.com/afrique/monde-… (inconnues sur l'efficacité des vaccins COVID) - quechoisir.org/actualite-covi… (efficacité et risques des vaccins COVID) - swissmedic.ch/swissmedic/fr/… (effets indésirables à long terme des vaccins COVID) - senat.fr/rap/r23-651/r2… (effets indésirables des vaccins COVID) - canada.ca/fr/sante-publi… (sécurité et effets secondaires des vaccins COVID) - europarl.europa.eu/doceo/document… (renonciation à la sérialisation dans l'accord Pfizer/BioNTech) - commission.europa.eu/system/files/2… (accord d'achat anticipé avec Pfizer/BioNTech) - rai.it/dl/doc/2021/04… (détails contractuels Pfizer/BioNTech) - commission.europa.eu/strategy-and-p… (vaccination COVID dans l'UE et contrats) - op.europa.eu/webpub/eca/spe… (rapport sur l'acquisition de vaccins COVID par l'UE) - ansm.sante.fr/dossiers-thema… (procédure d'autorisation des vaccins COVID) - pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC76… (estimations du taux de létalité COVID) - liberation.fr/checknews/loms… (surévaluation des morts COVID par l'OMS) - who.int/fr/news/item/0… (surmortalité associée à la COVID) - inrae.fr/covid-19/mieux… (comprendre l'épidémie COVID et taux de létalité) - lemonde.fr/les-decodeurs/… (contagiosité et létalité du virus COVID) - info.gouv.fr/actualite/pass… (passe sanitaire en France) - associations.gouv.fr/IMG/pdf/dossie… (dossier de presse sur le pass sanitaire) - fr.wikipedia.org/wiki/Passe_san… (passe sanitaire français) - op.europa.eu/webpub/eca/spe… (rapport sur les contrats vaccins COVID UE) - lemonde.fr/planete/articl… (contrats européens pour vaccins COVID) - pfizer.com/news/press-rel… (autorisation UE pour vaccin Pfizer 12-15 ans, 28 mai 2021) - pfizer.com/news/press-rel… (résultats d'efficacité 100% pour 12-15 ans, mars 2021) - lemonde.fr/planete/articl… (efficacité 100% annoncée par Pfizer) - lemonde.fr/planete/articl… (autorisation vaccin Pfizer pour 12-15 ans)

 


 

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