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novembre 17, 2025

Europe News !

Sommaire :

A - La Cour des comptes européenne tire la sonnette d’alarme 

B -  Groenland : Un projet de loi pour limiter l’accès des étrangers à la propriété 

C - Budget : le Royaume-Uni face à un mur fiscal

D - L'Europe vue en baisse en amont d'une semaine chargée

 


 

A - La Cour des comptes européenne tire la sonnette d’alarme  

Un rapport accablant sur le budget de l’UE

Dans un contexte de tensions budgétaires croissantes au sein de l’Union européenne, la Cour des comptes européenne (CAE) a publié son rapport annuel pour l’exercice 2024, un document exhaustif de 638 pages.

Ce rapport, disponible en français sur le site officiel de la CAE, dresse un bilan critique du budget de l’UE, soulignant des erreurs persistantes dans les dépenses et une dette en forte augmentation.

La députée européenne Virginie Joron, du groupe des Patriotes au Parlement européen, a réagi vivement à ce document dans une vidéo postée sur X le 15 octobre 2025, en le qualifiant de « 6e carton rouge » pour l’UE et en pointant du doigt des fraudes liées aux vaccins COVID. Cet article s’appuie sur ces deux sources pour analyser les enjeux soulevés.


Les principaux constats du rapport annuel 2024 de la CAE

Le rapport de la CAE, qui examine les comptes consolidés de l’UE pour 2024, confirme la fiabilité des comptes pour la 18e année consécutive. Les recettes, évaluées à 250,6 milliards d’euros, sont jugées légales et régulières, sans erreurs significatives (même si l’on pourrait remettre en question la sincérité de cette institution forcément pro-UE). Cependant, l’opinion globale sur les dépenses budgétaires est défavorable, avec un taux d’erreur estimé à 3,6 % (intervalle de confiance à 95 % : 2,6-4,6 %). Ce seuil dépasse le niveau de signification de 2 %, indiquant des problèmes généralisés d’éligibilité, de marchés publics et de justificatifs manquants.

Voici un tableau récapitulant les taux d’erreur par rubrique budgétaire principale, tel que détaillé dans le rapport :

 


 

Ces erreurs touchent principalement les dépenses associées à la Facilité pour la reprise et la résilience (FRR), pour lesquelles la Cour émet une opinion avec réserves en raison de lacunes dans les évaluations préalables (effectuées avant le déblocage des fonds) et dans les mécanismes de contrôle exercés par les États membres.

Le rapport note également une exécution budgétaire élevée (98,9 % des engagements et 97,6 % des paiements), mais alerte sur les risques de dégagements automatiques (8,8 milliards d’euros prévus d’ici 2027) et l’impact de l‘inflation sur le pouvoir d’achat des fonds (-13,9 % projeté d’ici 2027).

Sur le plan financier, le passif total de l’UE s’élève à 827,3 milliards d’euros au 31 décembre 2024, dont 601,9 milliards d’euros de passifs financiers (emprunts en hausse à 601,3 milliards d’euros).

Le rapport projette un encours dépassant les 900 milliards d’euros d’ici 2027, en lien avec NextGenerationEU et le soutien à l’Ukraine (plus de 130 milliards d’euros engagés). Les coûts d’intérêts pour NextGenerationEU sont estimés entre 29 et 30,4 milliards d’euros, doublant les prévisions initiales, avec un remboursement reporté aux futurs cadres financiers pluriannuels (CFP).

Concernant les fraudes, le rapport relève des irrégularités dans les achats de vaccins COVID en Italie, au Portugal et en Espagne : en Italie, des faiblesses dans la traçabilité et des paiements incorrects (coûts déjà couverts par l’UE déclarés à nouveau) ; au Portugal, des dépenses inéligibles pour des vaccins revendus à l’UE ou à des tiers sous le programme REACT-EU ; en Espagne, un manque de traçabilité post-livraison. Au niveau de la Commission, des problèmes de transparence dans les négociations de marchés vaccins sont soulignés, avec un manque de documentation sur les prix et clauses (cité à la page 42).

Globalement, 311 affaires de fraude présumée liées à NextGenerationEU ont été signalées fin 2024, pour un préjudice estimé à 2,8 milliards d’euros.

Les recommandations de la CAE portent sur l’amélioration de la traçabilité des données, la fixation de valeurs intermédiaires pour les indicateurs de performance, et l’élaboration d’un calendrier de remboursement pour NextGenerationEU d’ici fin 2026. Un arrêt de la Cour de justice de l’UE du 14 mai 2025 est mentionné, reprochant à la Commission un manquement à la bonne administration dans les achats de vaccins.

La réaction virulente de Virginie Joron

La députée européenne Virginie Joron, connue pour ses positions critiques envers les institutions européennes, a réagi à ce rapport dans une vidéo diffusée sur X le 15 octobre 2025. Elle lie le rapport à des déclarations de Thierry Breton sur LCI concernant des dépenses excessives liées au remaniement Macron (15-20 milliards d’euros). Virginie Joron qualifie le document de « 6e carton rouge » pour la CAE, en insistant sur la dette de l’UE à 600 milliards d’euros, potentiellement 900 milliards d’ici 2027.

Dans cette intervention, elle dénonce des fraudes liées aux vaccins COVID en Italie, au Portugal et en Espagne : « doses revendues, doubles factures… Financées par VOS impôts.  » Elle cite explicitement la page 42 pour le manque de documentation sur les contrats (prix et doses) et la page 251 pour les fraudes spécifiques : en Italie, des bénéficiaires ont déclaré des coûts déjà payés par l’UE ; au Portugal, des doses vendues à l’UE ou à des tiers ont été déclarées pour un financement intégral ; en Espagne, des problèmes similaires de traçabilité. Elle utilise le hashtag #Pfizergate pour évoquer un scandale plus large autour des contrats vaccins, et compare la dette à « un Bruno Le Maire » pour souligner son ampleur. 

Virginie Joron, membre des commissions Marché intérieur, Contrôle budgétaire et Pétitions, n’est pas intervenue en plénière lors de la présentation du rapport au Parlement européen le 22 octobre 2025. Elle a toutefois commenté le document en le reliant à des enjeux nationaux français tels que les impôts et la souveraineté.

Analyse : Entre faits et controverses

Ce rapport de la CAE met en lumière les défis structurels de l’UE : une dette croissante alimentée par la crise COVID et la guerre en Ukraine, et des contrôles insuffisants qui exposent les contribuables à des risques.

Les projections à plus de 900 milliards d’euros d’ici 2027 soulignent l’urgence d’une réforme budgétaire, comme recommandé par la CAE. Les irrégularités sur les vaccins, bien que non qualifiées de fraudes massives dans le rapport (SIC), font écho aux préoccupations de transparence soulevées par le Tribunal de l’UE en mai 2025.

La vidéo de Virginie Joron  https://x.com/v_joron/status/1978399487308824764 met en avant ces constats pour critiquer directement les institutions européennes, reliant les chiffres à des enjeux concrets pour les citoyens. Elle met en avant ces constats accablants, les connectant à des enjeux concrets pour les citoyens. En les associant à des scandales comme #Pfizergate, elle partage son analyse avec le public, appelant implicitement à une plus grande transparence.

https://multipol360.com/la-cour-des-comptes-europeenne-tire-la-sonnette-dalarme/ 


 

B -  Groenland : Un projet de loi pour limiter l’accès des étrangers à la propriété  

Entre souveraineté et développement

Le Groenland, territoire autonome danois riche en ressources naturelles et en paysages immaculés, est en train d’opérer un virage stratégique en matière de politique territoriale.

Un projet de loi, actuellement en discussion au Parlement groenlandais (Inatsisartut), vise à restreindre le droit des étrangers non-résidents à acquérir des biens immobiliers sur son territoire.

Une décision qui reflète la recherche d’un équilibre délicat entre ouverture au monde et préservation des intérêts nationaux.

Une volonté de contrôle face aux convoitises internationales

La mesure, portée par le gouvernement local, n’interdit pas purement et simplement l’acquisition par des étrangers. Selon les termes du projet, les ressortissants de pays non nordiques – c’est-à-dire en dehors du Danemark, de la Finlande, de l’Islande, de la Norvège et de la Suède – devront obtenir une autorisation préalable des autorités groenlandaises pour acheter un bien immobilier.

L’objectif affiché est double. Il s’agit officiellement de protéger le marché local du logement, alors que la pression sur les prix dans certaines zones, notamment la capitale Nuuk, reste une préoccupation. Mais au-delà de cet aspect social, la loi est perçue comme un outil géopolitique. Le Groenland, qui gère déjà la majorité de ses affaires internes, renforce ainsi son contrôle sur son territoire face aux investissements étrangers, parfois perçus comme une forme de prédation économique ou d’influence stratégique.

« C’est une question de souveraineté » , a déclaré un député de la majorité sous couvert d’anonymat. « Nous devons avoir la mainmise sur notre sol, surtout à une époque où les convoitises sur l’Arctique et ses ressources ne cessent de croître. »

Un contexte géostratégique sensible

Cette initiative ne peut être dissociée du contexte géopolitique de la région arctique.

Avec le réchauffement climatique qui ouvre de nouvelles voies maritimes et rend l’exploitation des ressources minières plus accessible, le Groenland est devenu un point de mire sur l’échiquier international.

Ses sous-sols regorgeraient de terres rares, de minerais précieux et de hydrocarbures, attisant l’intérêt de grandes puissances comme les États-Unis, la Russie et surtout la Chine. Pékin, dans le cadre de son initiative « Route de la Soie Polaire », a multiplié les tentatives d’investissement dans les infrastructures et le secteur minier groenlandais ces dernières années.

La perspective, même lointaine, de voir des intérêts étrangers, et notamment chinois, acquérir des terres à des fins stratégiques ou pour y établir une présence durable, a certainement accéléré la prise de conscience à Nuuk et à Copenhague. Bien que la défense et la politique étrangère restent du ressort du Danemark, le gouvernement groenlandais utilise ses leviers autonomes pour affirmer ses prérogatives.


Un équilibre à trouver pour l’avenir économique

La décision groenlandaise n’est pas sans susciter des débats. Si la protection du patrimoine foncier fait consensus, certains s’interrogent sur l’impact potentiel sur les investissements nécessaires au développement économique de l’île.

Le tourisme, un secteur en croissance, pourrait être concerné. Les professionnels redoutent que des restrictions trop sévères ne compliquent le développement d’infrastructures hôtelières ou l’acquisition de résidences secondaires par des touristes à fort pouvoir d’achat, qui constituent une manne financière.

Le gouvernement se veut rassurant, affirmant que les projets d’investissement sérieux et bénéfiques pour l’économie locale continueront à recevoir des autorisations. La loi n’est pas conçue comme un mur, mais comme un filtre.

Une étape de plus vers une souveraineté renforcée

Au-delà de l’aspect purement immobilier, cette législation s’inscrit dans la longue marche du Groenland vers une plus grande autonomie, voire à terme une indépendance totale. En reprenant le contrôle de son sol, le territoire affirme sa capacité à définir seul les règles qui régissent son développement.

C’est un signal fort envoyé à la fois à la communauté internationale et à Copenhague : le Groenland entend être le maître de son destin, capable de se protéger sans pour autant se couper du monde. Le vote final de cette loi, attendu dans les prochains mois, sera un jalon important dans la construction politique de cette nation arctique en quête de son plein accomplissement.

https://multipol360.com/groenland-un-projet-de-loi-pour-limiter-lacces-des-etrangers-a-la-propriete/ 

 

 

C - Budget : le Royaume-Uni face à un mur fiscal

Pas moins de 100 propositions, la plupart alourdissant la fiscalité, ont fuité avant le projet de budget qui sera présenté le 26 novembre. Sur les marchés, le prix de la dette britannique est à la hausse.

Une équation politique différente de la France, mais un casse-tête fiscal qui s'en rapproche. A Londres, le gouvernement travailliste a beau être largement majoritaire à Westminster, il se trouve face à un surcroît de déficit à combler pour les prochaines années, principalement en raison d'un facteur technique. Suite à une erreur, le Bureau de responsabilité budgétaire (OBR) doit en effet réévaluer à la baisse sa prévision de productivité de l'économie britannique.

D'ici au 26 novembre, date de présentation du projet de budget, il faut donc chercher 20 à 30 milliards de livres supplémentaires pour respecter les engagements pris sur plusieurs années par l'équipe Starmer. Même si l'OBR peut se tromper à nouveau…

Flou stratégique

Autre point qui rappelle la France : derrière la discipline affichée par le gouvernement britannique se profile un flou stratégique similaire à celui de la France sur le retour à la croissance durable et à des comptes vraiment équilibrés ; flou que reflète la nervosité particulière des investisseurs sur la dette d'Etat britannique (le Gilt).

Comme l'explique François-Joseph Schichan, du bureau de conseil Flint Global, « ce sont deux pays qui angoissent également les marchés financiers, à la différence près que le Royaume-Uni a déjà connu son moment de réveil : une tempête à la suite du mini-budget de Liz Truss ».

L'autre ressemblance est que la majorité travailliste est devenue si fragile que le Premier ministre Keir Starmer est parfois jugé en sursis. « Je ne donne pas cher de ses chances de rester en place après les élections locales de mai prochain, qui seront un désastre, » poursuit François-Joseph Schichan.

Un point de vue de plus en plus partagé : l'aile gauche du parti est persuadée que c'est à son tour de conduire, depuis le 10 Downing Street, la majorité Labour aux Communes.

Nouvelles tensions sur le Gilt

Depuis ses revers sur les allocations chauffage aux retraités et une tentative infructueuse de baisser les aides à l'invalidité alors qu'un quart de la population active en touche, le gouvernement reste très discret côté réduction des dépenses - ce qui l'empêche d'ailleurs de tirer du crédit politique de ce côté-là. C'est donc à un véritable concours de hausses d'impôt qu'assistent le public et les entreprises britanniques depuis quelques semaines, au prix d'une incertitude pesant sur l'économie.

Quel est le but recherché en matière de politique fiscale ? Je n'en ai aucune idée.

Un expert interrogé par le « Times »

L'option la plus souvent évoquée était celle d'une hausse du taux de base d'impôt sur le revenu pour lever 6 milliards de livres. Ce serait la première fois depuis 50 ans et une rupture avec les promesses de campagne Labour. Mais la chancelière de l'Echiquier, Rachel Reeves, y aurait renoncé, selon la presse britannique, en raison d'un nouveau calcul communiqué in extremis au Trésor par l'OBR. Cela n'a pas empêché l'information de provoquer de nouvelles tensions sur le Gilt, passé à 4,58 % (14 points de base en plus) sur le 10 ans.

Une autre option, qui serait désormais privilégiée, est de geler les seuils déterminant les tranches d'impôts en fonction des revenus pour une année supplémentaire jusqu'à avril 2030, ce qui permettrait de discrètement lever 10 milliards. Ce serait un moyen de ne pas revenir sur les promesses de campagne.

Le secteur libéral dans le viseur du gouvernement

Le gouvernement vise ensuite des mesures plus ciblées. S'il exclut a priori un impôt sur la fortune, il réfléchit notamment à taxer davantage l'immobilier haut de gamme, par exemple en changeant le calcul des impôts locaux (council tax).

La chancelière avait également dans son viseur environ 190.000 professionnels du secteur libéral (avocats, comptables…) payés en tant qu'associés et donc moins taxés. Alors que cela risque de rendre le pays moins attractif et que ces professionnels sont bien placés pour optimiser leurs impôts, cette option, qui aurait pu rapporter 2 milliards, aurait été abandonnée, selon le « Financial Times » en fin de semaine.

Si une baisse de la TVA sur la facture énergétique et le déplafonnement d'allocations familiales après deux enfants dans un foyer sont à l'étude, Londres réfléchit par ailleurs à taxer les jeux d'argent pour un rendement estimé à 3 milliards. Mais les courses de chevaux auraient été exemptées.

Taxe sur les véhicules électriques

Londres pourrait par ailleurs taxer davantage les « surprofits » de son secteur bancaire après trois années de taux d'intérêt élevés. Mais ce serait au prix de la compétitivité de la City pour un rendement de 1 à 2 milliards incertain.

La liste ne s'arrête pas là. Paul Johnson, qui vient de quitter son poste de patron du groupe de réflexion Institute for fiscal studies (IFS), relève qu'il y aurait 100 propositions étudiées par Rachel Reeves, principalement des hausses d'impôts.

Ainsi un resserrement des dégrèvements d'impôt sur les sommes que les salariés demandent à leur employeur de mettre de côté pour eux (pour la retraite, un vélo électrique…) est à l'étude. De même qu'une taxe sur les dividendes ou sur les voitures électriques. Ces dernières donneraient lieu à une surtaxe de 250 livres en moyenne par an, contre 600 livres de taxe sur les carburants pour les voitures à essence.

Le secteur automobile, à qui a été fixée une transition à marche forcée vers l'électrique, a très mal réagi. Londres prévoit aussi de mieux rémunérer - jusqu'à plusieurs millions de livres - les lanceurs d'alerte qui dénoncent les stratégies d'évitement fiscal des entreprises, une incitation à l'américaine…

Pression immense sur Rachel Reeves

Le problème de cet inventaire à la Prévert pour trouver 20 ou 30 milliards rapidement est que les économistes n'en voient pour l'instant pas la cohérence. « Quel est le but recherché en matière de politique fiscale ? Je n'en ai aucune idée », dit Paul Johnson au « Times ».

Or, rappelle ce spécialiste, le code fiscal a besoin d'être réformé en profondeur, qu'il s'agisse de l'impôt sur la propriété immobilière, de la TVA, des tranches les plus élevées de l'impôt sur le revenu, de la fiscalité décourageante sur l'investissement, etc. La pression sur Rachel Reeves le 26 novembre est immense.

Nicolas Madelaine (Correspondant à Londres) Nicolas Madelaine

https://www.lesechos.fr/monde/europe/budget-le-royaume-uni-face-a-un-mur-fiscal-2198912

 


D - L'Europe vue en baisse en amont d'une semaine chargée

Les principales Bourses européennes sont attendues en baisse lundi à l'ouverture, pour commencer une semaine qui sera marquée par la publication des données économiques américaines en retard et des résultats financiers, l'attention se concentrant sur les perspectives en matière de taux d'intérêt et sur l'issue du rallye effréné des valeurs liées à l'intelligence artificielle (IA).

D'après les premières indications disponibles, le CAC 40 parisien pourrait perdre 0,06% à l'ouverture.

Les contrats à terme signalent une baisse de 0,09% pour le Dax à Francfort, de 0,11% pour le FTSE à Londres et de 0,12% pour l'EuroStoxx 50.

La publication de données américaines majeure cette semaine sera le rapport sur l'emploi de septembre, retardé, qui sera dévoilé jeudi.

Ces chiffres pourraient être trop anciens pour être vraiment utiles car des enquêtes privées ont déjà signalé un ralentissement du marché du travail. Mais avec 19 interventions prévues cette semaine de la part de responsables de la Réserve fédérale américaine (Fed), leur interprétation des données sera également scrutée de près.

Vendredi, le président de la Réserve fédérale de Kansas City, Jeffrey Schmid, et la présidente de la Réserve fédérale de Dallas, Lorie Logan, se sont montrés "hawkish" et ont émis des doutes quant à la nécessité de réduire les taux le mois prochain.

"On s'attend à ce que la faiblesse des données sur l'emploi et la hausse de l'inflation entraînent un équilibre des risques. Aucun de ces deux facteurs n'est bon pour le risque car la 'stagflation' fait son retour dans le vocabulaire", a affirmé Bob Savage, responsable de la stratégie macroéconomique des marchés chez BNY.

Un autre événement important pour les marchés cette semaine sera la publication des résultats de Nvidia, qui s'annonce comme un test pour la tendance haussière de l'IA.

LES VALEURS A SUIVRE : [L8N3WQ1RX]

A WALL STREET

Le S&P 500 et le Nasdaq ont rebondi vendredi à New York grâce à des achats à bon compte lors d'une séance volatile marquée par les doutes entourant l'intelligence artificielle et le scepticisme affiché par des responsables de la Réserve fédérale (Fed) sur la nécessité d'une baisse des taux le mois prochain.

Après avoir perdu plus de 1% en matinée, le S&P 500 a clôturé en lègère baisse de 0,05%, à 6.734,11 points, et le Nasdaq Composite en hausse de 0,13% à 22.900,59 points.

Le Nasdaq perd toutefois 0,45% sur la semaine.

Le Dow Jones a clôturé en nette baisse, plombé notamment par UnitedHealth (-3,2%) et Visa (-1,8%). L'indice des grandes valeurs industrielles a terminé sur un recul de 0,65% à 47.147,48 points.

EN ASIE

La Bourse de Tokyo a perdu 0,1% dans un marché agité, les actions liées au tourisme ayant dégringolé dans un contexte de tensions diplomatiques avec la Chine au sujet de Taïwan.

L'économie japonaise s'est par ailleurs contractée sur la période juillet-septembre, pour la première fois en six trimestres, alors que les exportations ont été plombées par les nouveaux droits de douane imposés par les Etats-Unis, selon les données publiées lundi par le gouvernement.

En Chine et à Hong Kong, les investisseurs se montrent aussi prudents face à l'intensification des tensions entre Pékin et Tokyo au cours du week-end et préférent sécuriser leurs bénéfices après la récente reprise.

L'indice composite de la Bourse de Shanghai recule de 0,58% et le CSI 300 des grandes capitalisations abandonne 0,84%.

La Bourse de Hong Kong abandonne 1,03%.

CHANGES/TAUX

Le dollar est en hausse, les investisseurs se préparant à la publication d'une série de données économiques américaines après la fin du "shutdown", dans l'espoir que celles-ci clarifient les perspectives de taux de la Fed en décembre.

Le billet vert gagne 0,13% face à un panier de devises de référence.

L'euro perd 0,17% à 1,1600 dollar.

Sur le marché obligataire, les rendements américains sont quasiment inchangés.

Le taux des Treasuries à dix ans abandonne 0,2 point de base à 4,1463%. Le deux ans recule de 0,8 point de base à 3,6059%.

PÉTROLE

Les prix du pétrole reculent, effaçant les gains enregistrés la semaine dernière, alors que les chargements ont repris au principal centre d'exportation russe de Novorossiisk après deux jours d'interruption dans ce port de la mer Noire qui avait été touché par une attaque ukrainienne.

Le Brent abandonne 0,9% à 63,81 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) recule de 1% à 59,49 dollars.

AUCUN INDICATEUR ÉCONOMIQUE MAJEUR À L'AGENDA DU 17 NOVEMBRE

Mara Vilcu  

https://www.boursorama.com/bourse/actualites/l-europe-vue-en-baisse-en-amont-d-une-semaine-chargee-c105197e837551cb40716955fba76bfe 

 

 

 

 

novembre 14, 2025

Corruption endémique en Ukraine !

La corruption endémique en Ukraine : un système tentaculaire qui ébranle le pouvoir 

L’Ukraine, souvent présentée comme un bastion de résistance face à l’agression russe, est minée par une corruption massive qui sape ses institutions et détourne des ressources vitales en temps de guerre.

Des scandales récents, impliquant des secteurs stratégiques comme l’énergie et la défense, révèlent un réseau d’oligarques, de hauts fonctionnaires et d’intermédiaires qui siphonnent des millions de dollars, au détriment de la population et de l’effort de guerre.

Ces affaires mettent en lumière des liens troubles entre le président Volodymyr Zelensky et des figures controversées comme Ihor Kolomoïsky, un oligarque influent entendu par le Bureau national anti-corruption (NABU) dans plusieurs enquêtes.

 

Un scandale géant dans l’énergie et la défense

Le 10 novembre 2025, le NABU a dévoilé l’opération « Midas » , une enquête de quinze mois qui a exposé un vaste système de corruption au sein d’Energoatom, l’agence publique d’énergie nucléaire ukrainienne, dont le chiffre d’affaires dépasse les 4 milliards d’euros annuels. Selon les autorités, une organisation criminelle de haut niveau extorquait des pots-de-vin représentant 10 à 15 % de la valeur des contrats passés avec des sous-traitants. Au total, environ 100 millions de dollars ont été blanchis via ce schéma, impliquant des perquisitions massives et plus de 1.000 heures d’écoutes téléphoniques. Les achats d’Energoatom n’étaient pas gérés par des fonctionnaires légitimes, mais par des acteurs externes sans mandat officiel, qui contrôlaient l’ensemble des opérations.

Parmi les figures centrales de ce scandale figure Timur Mindich, décrit comme le chef du groupe et ancien partenaire d’affaires de Zelensky.

Mindich, producteur de films et copropriétaire de la société de production Kvartal 95 – fondée par Zelensky –, a maintenu des liens étroits avec le président même après son élection en 2019. Des enregistrements du NABU capturent des conversations impliquant Mindich et d’autres, comme l’ancien ministre de l’Énergie Herman Halushchenko, dont le domicile a été perquisitionné.

Ce réseau s’étend également à la défense, où des allégations similaires de pots-de-vin massifs ont émergé, impliquant potentiellement des ministres comme Rustem Umerov, accusé d’avoir profité de contrats opaques.

Ce scandale n’est pas isolé : il s’inscrit dans une longue série de révélations qui érodent la crédibilité du gouvernement. En juillet 2025, le NABU a regagné son indépendance après des tentatives de contrôle par l’exécutif, soulignant les tensions internes autour de la lutte anti-corruption. Zelensky a réagi en appelant à des « mesures efficaces » et des « sanctions indispensables » , mais ces déclarations sonnent creux face à l’ampleur des faits et sa probable implication.

Les liens troubles entre Zelensky et Kolomoïsky

Au cœur de ces affaires se trouvent les connexions entre Zelensky et Ihor Kolomoïsky, un oligarque multimilliardaire dont l’influence sur la politique ukrainienne est notoire. Kolomoïsky, ancien propriétaire de la chaîne de télévision 1+1 où Zelensky animait son émission satirique Serviteur du peuple, a joué un rôle pivotal dans l’ascension politique de l’acteur devenu président. En 2019, Kolomoïsky a fourni un soutien financier et médiatique massif à la campagne de Zelensky, facilitant sa victoire écrasante. Mindich, impliqué dans le récent scandale d’Energoatom, aurait même servi d’intermédiaire pour introduire Zelensky à Kolomoïsky.

Kolomoïsky lui-même fait l’objet de multiples enquêtes pour corruption. En juillet 2025, le NABU a clôturé une investigation sur des accusations d’escroquerie et de blanchiment d’argent liées à la banque PrivatBank, dont il était copropriétaire. Un tribunal londonien l’a condamné à payer près de 2 milliards de dollars pour fraude, confirmant des allégations de détournement massif. Arrêté en 2023 pour fraude et blanchiment, Kolomoïsky reste en détention préventive, et a été entendu par le NABU dans le cadre de ces dossiers. Les Pandora Papers, révélés en 2021, ont exposé un réseau d’entreprises offshore co-détenues par Zelensky et ses proches, avec des liens indirects vers l’entourage de Kolomoïsky, alimentant les soupçons de conflits d’intérêts.

Ces relations soulèvent des questions sur l’engagement réel de Zelensky contre la corruption.

Élu sur une plateforme anti-oligarques, il a promulgué une loi de « dé-oligarchisation » en 2021, mais les critiques l’accusent de cibler sélectivement ses rivaux tout en protégeant ses alliés.

L’arrestation de Kolomoïsky en 2023 a été vue par certains comme une concession aux pressions internationales, notamment des États-Unis, plutôt qu’une véritable purge.

Conséquences pour l’Ukraine et au-delà

Cette corruption omniprésente n’est pas seulement un problème interne : elle « mine » l’aide internationale massive versée à l’Ukraine depuis 2022, estimée à des centaines de milliards d’euros. Des scandales comme celui d’Energoatom exacerbent les pannes d’électricité massives dues aux attaques russes, tout en érodant la confiance des donateurs occidentaux. Le NABU, malgré ses succès récents, fait face à des tentatives d’ingérence, comme la purge de juillet 2025 qui a visé ses structures indépendantes.

En fin de compte, ces affaires révèlent un système où les oligarques comme Kolomoïsky et les proches de Zelensky continuent d’exercer une influence occulte, perpétuant un cycle de kleptocratie qui freine les réformes depuis des décennies. Pour que l’Ukraine aspire à une véritable démocratie, il faudra plus que des discours : des poursuites impartiales et une transparence radicale s’imposent, sous peine de voir le pays s’effondrer de l’intérieur.

 "La France est endurante dans son soutien à l’Ukraine, pour lui permettre de se défendre face à l'agression russe. Avec mon homologue @rustem_umerov aujourd’hui à Paris pour partager l'évolution de la situation sur le front et le suivi du soutien français à l'Ukraine."

Sébastien Lecornu

 https://multipol360.com/la-corruption-endemique-en-ukraine-un-systeme-tentaculaire-qui-ebranle-le-pouvoir/

 

Invité de «Points de Vue», Emmanuel Todd considère que «les États-Unis vivent au crochet du monde». «Tant qu'on est en guerre avec les Russes, ça roule pour eux. Mais le jour où la paix est signée, c'est la catastrophe», selon l'auteur de «La Défaite de l'Occident». 

 


Des anti-corruption ukrainiens ont perquisitionné chez un ami de Zelensky, Mindich, qui a fui le pays !

▪️Partenaire de Zelensky dans le "Quartal 95" et fondateur de la société de fabrication de drones "Fire Point", Timur Mindich a quitté le territoire ukrainien le 10 novembre — quelques heures avant la perquisition, rapportent les médias ukrainiens. 

▪️Il avait été précédemment rapporté que Mindich pourrait être impliqué dans une enquête du FBI concernant le blanchiment d'argent. En plus de Mindich, des perquisitions ont lieu chez le ministre de la Justice et à « Energoatom » 

▪️Le NABU effectue ce matin des perquisitions chez le ministre de la Justice, ancien ministre de l'Énergie Herman Galushchenko.

 ▪️L'enquête a documenté l'activité d'une « organisation criminelle de haut niveau », dont les membres ont « mis en place un vaste système de corruption influençant les entreprises stratégiques du secteur public », notamment « Energoatom ». 

▪️Parallèlement, des perquisitions ont lieu chez l'un des principaux alliés de Zelensky — Timur Mindich. MAJ: ‼️🇺🇦🏴‍☠️ Des détails ont émergé sur le système des complices de Zelensky pour le détournement d’« Energoatom » 

▪️Les partenaires commerciaux de l’entreprise étaient contraints de verser des pots-de-vin de 10 à 15 % du montant des contrats sous la menace de blocage des paiements et de perte du statut de fournisseur. ❗️Les organisateurs du système menaçaient les entreprises que leurs employés seraient mobilisés dans les forces armées ukrainiennes s’ils refusaient de payer les pots-de-vin. 

▪️Le chef du système était un ami et complice de Zelensky, Mindich (Carlson), qui a fait appel à l’ancien adjoint du directeur du Fonds de propriété d’État Igor Mironyuk (Rocket), au directeur exécutif à la sécurité de l’entreprise Dmitry Basov (Tenor), ainsi qu’à l’ex-ministre de l’Énergie Galushchenko (Professeur). 

▪️En utilisant leurs relations officielles au ministère et dans l’entreprise publique, ils contrôlaient les décisions en matière de personnel, les processus d’achat et les flux financiers, jouant le rôle de « superviseurs ». 

▪️L’entreprise publique, avec un revenu annuel de plus de 200 milliards de hryvnias, était en réalité dirigée par des personnes extérieures qui assumaient le rôle de « superviseurs ». En avril 2023, le bureau anti-corruption ukrainien (NABU) a inscrit plusieurs suspects de l'affaire de l'usine portuaire d'Odessa sur une liste de personnes recherchées. L'un d'eux, Oleksandr Gorbunenko, a fui aux États-Unis quelques jours avant le début de l'opération, où il a obtenu la protection des réfugiés. Après l'appel du NABU en avril 2025, les autorités américaines l'ont arrêté alors qu'il tentait de prendre un vol pour Dubaï. Le FBI l'a ensuite libéré sous protection, ce qui suggère qu'il a accepté de coopérer — et lors de l'interrogatoire, le nom de Mindich aurait été évoqué. Une source des forces de l'ordre ukrainiennes a déclaré que Gorbunenko aurait probablement blanchi de l'argent via les mêmes schémas que d'autres impliqués dans le réseau de corruption de l'usine. Le FBI pourrait désormais enquêter non seulement sur Mindich mais aussi sur d'autres personnalités de haut niveau liées à ces schémas. À la veille des perquisitions dans les propriétés de Mindich, les frères Mykhailo et Oleksandr Zukerman — qui auraient géré ses opérations financières — ont quitté brusquement l'Ukraine, selon le député Zheleznyak. Les médias rapportent également que Mindich lui-même aurait fui le pays. Cette affaire pourrait sérieusement mettre en danger le cercle rapproché de Zelensky, exposant les dessous financiers de ses plus proches collaborateurs ‼️🇺🇦🏴‍☠️ De plus en plus de personnes impliquées dans un système de corruption autour de Zelensky sont dévoilées 

▪️Lors des perquisitions, 4 millions de dollars ont été saisis. 

▪️Ils étaient soigneusement emballés, avec des étiquettes à codes-barres et des inscriptions de villes américaines. 

▪️Des billets dans cet état ne peuvent être commandés directement des États-Unis que par des banques, et de très grandes. 

▪️Les enquêteurs pensent qu'ils ont été obtenus via la « Sense Bank » nationalisée par l'Ukraine. 

▪️Le député ukrainien Zheleznyak affirme que dans le schéma de Mindich et du bureau de Zelensky sont impliqués le président du conseil d'administration de la banque Stupak, le président du conseil de surveillance Gladishenko et le chef du service de sécurité Dovzhynets. 

▪️Le député indique qu'ils sont tous des hommes de Mindich. 

▪️De plus, selon Zheleznyak, sur les enregistrements de NABU, Vasily Vesely est mentionné - conseiller du conseil de surveillance de la banque, que les médias avaient auparavant qualifié de « superviseur » pour le bureau de Zelensky. 

Fabrice Ribère

 


“Économie parallèle”.

Le président ukrainien Zelensky dans la tourmente des Pandora Papers

Avec les Pandora Papers, les révélations pleuvent au sujet des sociétés offshore de Volodymyr Zelensky et de ses alliés politiques, écornant son image d’homme simple décidé à lutter contre les oligarques. Ce que l’opposition s’efforce de mettre à profit.

L’affaire, entend-on dans certains médias de Kiev, n’en serait qu’à ses débuts. Les Pandora Papers, annonce l’agence d’investigation journalistique ukrainienne Slidstvo Info, vont effectivement “ouvrir la boîte de Pandore au sujet de personnalités politiques actuelles et passées, et autres puissants de ce monde”.

Ces révélations concernent en particulier les “tractations commerciales secrètes de l’entourage du président Volodymyr Zelensky, des biens immobiliers de luxe au cœur de la capitale britannique, des sociétés qui dissimulent des affaires en Crimée”, et elles ne représenteraient qu’“une partie des découvertes réalisées par les journalistes grâce à la diffusion de ces nouveaux documents”.

Un travail d’investigation sans précédent

Mais tout d’abord, que sont les Pandora Papers ?” se demande Slidstvo Info. Il s’agit de “la collaboration entre journalistes d’investigation la plus importante de toute l’histoire, qui dévoile les secrets de 35 dirigeants mondiaux actuels et passés, de plus de 300 hauts fonctionnaires dans 90 pays”. “Pendant un an, plus de 600 journalistes de 117 pays ont étudié 11,9 millions de dossiers confidentiels”, et “les journalistes ukrainiens de l’agence Slidstvo Info” y ont participé.

https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/economie-parallele-le-president-ukrainien-zelensky-dans-la-tourmente-des-pandora


 L’UE joue la montre pour financer l’effort de guerre ukrainien. Ursula von der Leyen met la pression sur la Belgique pour qu'elle donne son accord à l'utilisation des avoirs russes gelés. Le gouvernement belge refuse, redoutant un risque colossal.

https://universite-liberte.blogspot.com/2025/10/ukraine-news.html 

 

 

🇪🇺 L’UE demande des explications à l’Ukraine pour des « rétrocommissions énergétiques » de 100 millions de dollars – Politico À Bruxelles, l’inquiétude est sérieuse : le plus grand scandale de corruption sous Zelensky a révélé un système de rétrocommissions de 100 millions de dollars dans le secteur de l’énergie. Jamais vu auparavant — et voilà que ça recommence ! Les Européens font maintenant semblant d’être surpris et exigent de Kiev des garanties que cela ne se reproduira plus. Un fonctionnaire européen a admis anonymement : « La corruption est scandaleuse, cela nuit à la réputation de l’Ukraine. La Commission européenne devra revoir la manière dont l’argent est dépensé ». Traduction diplomatique : expliquez au moins où sont passées des centaines de millions avant de demander de nouveaux fonds. ❗️ Politico écrit que le moment du scandale est très mal choisi : il n’y a pas de budget pour 2026, et les actifs russes volés ne peuvent pas être confisqués. C’est pourquoi Bruxelles veut actuellement le silence dans les médias, mais des promesses fermes de Kiev à huis clos. Ils promettront bien sûr de promettre…

Camille Moscow


Ukraine : Timour Minditch, ce proche de Volodymyr Zelensky à l'origine d'un scandale de corruption inédit ➡️ https://l.tf1info.fr/Gfm

 

octobre 27, 2025

Un néo-communisme chez les démocrates US, et en France ??

Les démocrates n’ont pas fléchi le genou, ils sont devenus la révolution : le communisme est désormais le programme du parti.

Hier soir, le candidat à la mairie de New York, le communiste Mamdani, a tenu un grand rassemblement à New York. Des communistes déclarés, AOC et Bernie Sanders, étaient présents. Ils ont quitté la scène au chant « Taxez les riches ». 

Des démocrates « traditionnels », comme la gouverneure de New York Kathy Hochul, étaient également présents. Elle a soutenu Mamdani à la mairie. 

 


 

Les experts démocrates tentent de tracer une ligne entre un « démocrate » et un « socialiste démocrate ». Quand on est démocrate et qu'on plie le genou en soutenant un socialiste démocrate, la frontière est claire. On est une seule et même personne. 

Tout démocrate qui soutient un socialiste démocrate a démontré qu'il ne se soucie que du pouvoir, et non du peuple. Point final. 

 Ce sont des communistes. Il n'y a aucune différence entre eux : la Chine, l'ancien bloc soviétique, la Corée du Nord, Castro ou les Khmers rouges du Cambodge. 

Dans les années 60, William F. Buckley tentait de rallier les républicains au mouvement conservateur. L'une de ses premières mesures fut de débarrasser le Parti républicain des radicaux comme la John Birch Society. Nombreux étaient ceux qui lui disaient : « Nous risquons de perdre les élections si nous ne les incluons pas. » Il s'en fichait. Gagner des élections en s'associant aux communistes, ou aux John Birch, revient à ne pas vraiment gagner. Il faudra toujours prendre des décisions politiques avec eux à la table des négociations, et donc toujours adopter de mauvaises politiques.

Pour faire simple, « J'ai fait de délicieux brownies au chocolat. J'y ai mis juste un peu de crotte de chien, mais ils sont quand même délicieux. En voulez-vous un ? » 

 Regardez ce qui s'est passé dans des États comme l'Illinois. La vieille machine de Chicago voulait s'accrocher au pouvoir. Elle ne s'intéressait pas aux gens. Juste aux leviers de pouvoir qui les contrôlaient. Peu à peu, elle a été infiltrée par les communistes. Finalement, les communistes ont eu l'intelligence de dire ce que la vieille machine voulait entendre, puis de s'emparer du pouvoir. Toni Preckwinkle a été l'une des premières. Elle contrôle le comté de Cook. Finalement, le conseil municipal de Chicago comptait neuf communistes, et il y a maintenant un maire communiste. Le gouverneur de l'État essaie de se présenter comme un démocrate centriste traditionnel, mais il ne l'est pas. Il est gouverné par une gauche radicale et trouve plus de points communs avec les communistes qu'avec les capitalistes du libre marché. 

 Les personnes qui ont hérité de leur fortune se sentent souvent coupables et adhèrent à des causes comme le communisme pour apaiser cette culpabilité. D'où l'expression « assez riche pour être démocrate ». C'est une construction psychologique étrange et néfaste. 

 Il y a toujours eu des différences entre républicains et démocrates. Mais ces différences sont très marquées aujourd'hui et très différentes de ce qu'elles étaient il y a 50 ans. Autrefois, les démocrates étaient pour les petites gens et les syndicats, tandis que les républicains étaient pour les grandes entreprises et les riches clubs de campagne. 

 Cette différence n'est plus vraie. Les démocrates sont pour les grandes entreprises et pour un pouvoir bureaucratique centralisé et non élu. Les élus démocrates placent simplement leurs proches à ces postes non élus, puis feignent la fonction de contrôle qu'ils sont censés exercer.

Il en résulte une diminution des libertés pour les citoyens et une corruption généralisée. 

La transformation du Parti démocrate a pour conséquence une défense vigoureuse du communisme et des valeurs anti-occidentales. Je ne parle pas de religion, mais simplement des idées simples développées par les Grecs et les Romains de l'Antiquité, puis mises en pratique par les fondateurs des États-Unis. Ironiquement, leur expérience a trouvé son chemin dans d'autres pays. Nombre de ces pays sont ceux d'où les fondateurs ou leurs familles ont émigré. 

 Hier, après 100 ans de corruption et de régime bureaucratique capitaliste de copinage fortement centralisé, l'Argentine a voté pour donner à Mileil la majorité dans toutes les chambres de son assemblée législative. Il a fallu 100 ans pour éliminer la puissance des péronistes corrompus. 

Pourquoi ? 

 Parce que cette corruption s'auto-alimente. Ses tentacules s'étendent au monde des affaires, et celui-ci se retrouve à voter pour la corruption. Les coûts d'opportunité pour les entreprises sont initialement minimes, comme la crotte de chien dans un brownie.  Finalement, ils prennent de l'ampleur et finissent par engloutir l'entreprise tout entière. 

 Ça commence par « nommer telle personne » ou « embaucher telle personne ». Ça se termine par « Donnez-nous tous vos bénéfices ».

Transcription : 

Cela peut être une expérience très solitaire et isolante. J’ai beaucoup de chance d’avoir cinq autres camarades soutenus par DSA qui m’accompagnent à l’Assemblée et au Sénat. Mais, par exemple, avant notre élection, Julia Salazar a été au pouvoir pendant deux ans sans qu’un seul autre socialiste ne soit soutenu par DSA. 

Il est alors beaucoup plus facile de mener une campagne axée sur la sensibilisation aux classes sociales, car nous la mènerons en remettant en question le statu quo actuel et en démontrant, par notre critique, qu’il s’agit d’un problème de capitalisme. Il y a donc 107 démocrates à l’Assemblée de l’État de New York sur 150 membres. Parmi ces 107 démocrates, on compte six élus soutenus par DSA et sept membres. 

Nous avons une septième personne qui est membre de DSA, bien qu’elle n’ait pas été soutenue par DSA. Elle s’appelle Jessica Gonzalez-Rojas. Nous ne disposons manifestement pas des effectifs nécessaires, tels qu'ils sont actuellement, pour obtenir la législation radicale nécessaire et commencer à croire que ces résultats sont suffisants. 

Nous devons continuer à élire davantage de socialistes et nous assurer d'assumer pleinement notre socialisme. Nous avons mené une campagne de boycott universitaire, dont l'un des volets consistait à lutter contre les études à l'étranger dans des universités israéliennes complices de l'occupation, notamment en développant des technologies d'armement pour Tsahal. Aujourd'hui, en portant la question de l'apartheid israélo-palestinien à Bowdoin, vous la mettez au premier plan et elle est plus difficile à ignorer. 

Et ensuite, veiller à démanteler cette relation. Ce sont des choses que vous pouvez faire en tant que législateur. Par exemple, le gouverneur Cuomo a un décret interdisant à l'État de New York de faire affaire avec toute entreprise soupçonnée de sympathiser avec le mouvement BDS. 

En tant que législateur, je peux, une fois que nous aurons constitué une coalition suffisamment large pour cela, annuler ce décret. Mais je crois sincèrement en ce projet politique. Je crois sincèrement au socialisme. 

 Pour moi, c'est la Palestine qui m'a amené à rejoindre ce mouvement. Être socialiste peut être une expérience très solitaire, et ce l'était pour moi, pour tout un pays. Car mon parcours, comme Oren l'a évoqué, a commencé sur mon campus universitaire avec les Étudiants pour la Justice en Palestine. 

 Pour alimenter ce chemin et comprendre que c'est pour le socialisme que nous nous battons en ce moment. Qu'il s'agisse de l'annulation de la dette étudiante ou de l'accès à l'assurance maladie pour tous, ces questions bénéficient d'un soutien populaire massif dans tout le pays. Mais il y a aussi d’autres questions auxquelles nous croyons fermement, que ce soit le BDS ou l’objectif final de s’emparer des moyens de production.


septembre 18, 2025

Avec beaucoup de censure en France, le mensonge covid se craquèle : la vérité éclate peu à peu

En médecine, il existe un principe sacré, gravé dans le marbre depuis l’Antiquité : Primum non nocere – « D’abord, ne pas nuire ». C’est le serment d’Hippocrate, le fondement éthique de toute pratique médicale.

Pourtant, durant la soi-disant pandémie de COVID-19, les autorités sanitaires mondiales, des agences comme l’OMS, la FDA aux États-Unis, l’EMA en Europe et leurs équivalents nationaux comme l’ARS en France, ont piétiné ce principe avec une arrogance criminelle.


Quand on ne sait pas, on ferme sa gueule ? Pas du tout. Au contraire, on a imposé des mesures draconiennes, des confinements absurdes et, pire, des injections expérimentales présentées comme des « vaccins miracles » – un poison qui, aujourd’hui, continue de tuer et de mutiler. Si l’on paye grassement ces « experts » et politiciens pour protéger la santé publique, il est temps que des têtes tombent. Et vite.

Les coûts astronomiques : un gouffre financier et humain inexcusable

Commençons par les chiffres, ces froids témoins d’une incompétence monumentale. La pandémie a coûté au monde entre 8 et 16 trillions de dollars (1 trillon de $ = 1.000 millirds $), selon des estimations. Le FMI a initialement projeté 12,5 trillions de dollars de pertes globales jusqu’en 2024, mais ce chiffre a été revu à la hausse en raison des disruptions persistantes dans les chaînes d’approvisionnement et l’inflation galopante. Aux États-Unis seuls, une étude de JAMA évalue le coût cumulatif à 16 trillions de dollars, incluant les pertes de production et les impacts sur la santé – soit plus que le PIB annuel du pays ! La Banque Mondiale parle de 8,5 trillions de dollars de pertes de production économique sur deux ans, effaçant les gains des quatre années précédentes. Et en Europe ? Une chute moyenne du PIB de 7,4 %, avec des coûts directs et indirects qui s’élèvent à des trillions, selon une revue systématique publiée en 2023.


 

Mais l’argent n’est rien comparé au carnage humain. Plus de 7 millions de morts officiels dus au COVID-19, mais les excès de mortalité racontent une histoire bien plus sombre :

des centaines de milliers de décès supplémentaires liés aux confinements, aux reports de soins et à la désinformation officielle.

Chez les jeunes, c’est une hécatombe psychologique : l’OMS rapporte une augmentation massive de 25 % de la prévalence de l’anxiété et de la dépression mondiale en 2020, touchant particulièrement les 10-24 ans. Aux États-Unis, les symptômes de dépression et d’anxiété ont quadruplé chez les adultes jeunes, passant de 11 % en 2019 à 40 % en 2020, selon des sondages du CDC. Les suicides chez les adolescents ont grimpé de 50 % pendant la pandémie, avec des pics chez les garçons. Une étude du Global Burden of Disease 2021 montre que la charge de la dépression chez les ados a explosé, bien au-delà des prédictions, et continue d’augmenter en 2025.

Cette période a été particulièrement difficile pour les familles ayant des enfants en bas âge et des ados logés en appartement sans jardin ou terrasse, ou même pour les familles nombreuses confinées dans de petites surfaces, où l’enfermement prolongé a exacerbé les tensions, les troubles psychologiques et les retards éducatifs. En France, le premier confinement, particulièrement sévère avec des restrictions draconiennes comme les attestations obligatoires pour sortir, a duré 55 jours (du 17 mars au 11 mai 2020), tandis que le deuxième a duré 46 jours (du 30 octobre au 15 décembre 2020). Pourtant, certains pays comme la Suède, qui n’ont pas imposé de confinements stricts, ont enregistré un excès de mortalité plus faible sur la période de la pandémie – un taux d’excès de mortalité inférieur de près de 27 % à celui de la France, démontrant que ces mesures extrêmes n’étaient pas nécessairement salvatrices et ont causé plus de mal que de bien.

Ces jeunes, confinés, isolés, déscolarisés, payent le prix d’une hystérie collective orchestrée par des bureaucrates incompétents.

Et pour quoi ? Pour une « pandémie » gérée comme un cirque autoritaire, où les libertés ont été sacrifiées sur l’autel de la peur.


Les traitements alternatifs interdits : une censure criminelle au nom de big pharma

Si l’on « ne savait pas » comment gérer le virus, pourquoi interdire les solutions alternatives ? L’hydroxychloroquine et l’ivermectine, des médicaments bon marché, utilisés depuis des décennies contre le paludisme et les parasites, ont été bannis autoritairement par la FDA, l’EMA et d’autres agences. Pourquoi ? Parce qu’ils menaçaient les profits des « vaccins » expérimentaux. Des études récentes, comme une revue systématique de phase III en 2024, montrent que ces traitements, utilisés tôt, réduisent les hospitalisations et la mortalité chez les patients modérés. Aux États-Unis, quatre États (comme le Tennessee et le New Hampshire) ont même légiféré en 2025 pour autoriser l’ivermectine en vente libre, reconnaissant son potentiel. Pourtant, pendant la pandémie, leur usage a explosé illicitement – prescriptions d’ivermectine multipliées par 10, hydroxychloroquine doublées – parce que les gens savaient que les autorités mentaient.

La Mayo Clinic et la FDA admettent aujourd’hui que ces interdictions étaient basées sur des données partielles, mais le mal est fait : des millions ont souffert inutilement pendant que Big Pharma engrangeait des milliards avec des vaccins autorisés sans données complètes sur les effets à long terme. C’est une violation flagrante de la principale règle « Primum non nocere » – on a préféré le profit à la prudence.

Comme l’a récemment admis la Commission européenne dans une réponse à une question parlementaire

posée par le député européen autrichien Gerald Hauser (FPÖ), rapportée par la Berliner Zeitung, les vaccins contre le COVID-19 ont été distribués sans données de sécurité complètes. Hauser a interrogé : « Pourquoi la Commission n’a-t-elle pas informé les citoyens que l’efficacité et la sécurité des vaccins à ARNm – comme stipulé dans le contrat – n’étaient pas garanties ? » L’article souligne que cette décision, liée à des contrats opaques impliquant Ursula von der Leyen, soulève des questions graves sur la responsabilité et les risques imposés à la population.

La chasse aux « tueurs en blouse blanche » : RFK jr., le justicier anti-corruption

Aux États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., nommé Secrétaire à la Santé et aux Services Humains, mène une guerre sans merci contre ces « tueurs en blouse blanche » – ces médecins et bureaucrates corrompus par Big Pharma. Kennedy, dans son combat acharné, expose comment la FDA tire près de la moitié de son budget des compagnies pharmaceutiques qu’elle est censée réguler, créant un conflit d’intérêts flagrant. Le CDC n’est qu’un bras marketing pour les vaccins, et le NIH canalise des milliards vers des études biaisées en faveur des labos. RFK Jr. licencie en masse les corrompus au sein de la CDC, FDA, HHS et NIH, et cible même les exécutifs de BlackRock et Vanguard qui influencent ces agences. Il enquête sur l’épidémie d’autisme, met fin aux mandats vaccinaux COVID et réforme pour restaurer la transparence.

Kennedy expose le « Pfizergate » : des contrats secrets, des prix exorbitants pour des médicaments que les contribuables financent, et une collusion avec le Congrès qui empoche des millions de Big Pharma pour approuver ces poisons. Son alliance avec Trump pour « Make America Healthy Again » est une claque aux élites pharma qui ont profité de la pandémie. Les attaques contre lui – hit pieces, appels à démission – prouvent qu’il touche au cœur du système corrompu.


 

Des têtes doivent tomber : pour une vraie justice

On paye des fortunes ces responsables – salaires mirobolants, budgets colossaux pour l’ARS et ses homologues mondiaux – pour qu’ils protègent la population. Au lieu de ça, ils ont semé la mort, la ruine et la dépression. Les vaccins, libérés sans données complètes, tuent encore aujourd’hui via des effets secondaires occultés.

Cette farce n’aurait pas pu se produire sans la vile collaboration des médias, qui ont servi de relais propagandistes pour amplifier la peur, censurer les voix dissidentes et occulter les scandales, permettant ainsi au scandale de prospérer sous un voile de consensus fabriqué.

Il est grand temps d’une purge globale : enquêtes indépendantes, poursuites judiciaires contre les Fauci, les von der Leyen et leurs complices. Si RFK Jr. peut le faire aux USA, pourquoi pas en Europe ? La « pseudo-pandémie » n’était qu’un prétexte pour le contrôle et les profits. Primum non nocere ? Ils l’ont transformé en « D’abord, enrichir les labos ». Et comment ne pas évoquer l’hypocrisie au sommet, avec Sébastien Lecornu, actuel Premier Ministre nommé en septembre 2025, qui, en tant que Ministre des Outre-mer à l’époque, a participé à un « apéro clandestin » en Nouvelle-Calédonie le 16 octobre 2021, en plein confinement strict, réunissant une dizaine de personnes sans respect des règles qu’il imposait aux citoyens – un symbole parfait de l’élite qui prêche l’austérité tout en s’en exemptant.

https://multipol360.com/le-mensonge-covid-se-craquele-la-verite-eclate-peu-a-peu/ 

ÉTUDE DE DERNIÈRE MINUTE : 

Les « vaccins » contre la COVID-19 sont liés à 63 effets indésirables graves affectant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière)  Les seuils de sécurité des CDC/FDA ont été violés alors que les vaccins contre la COVID perturbent la barrière hémato-encéphalique, provoquant méningite, encéphalite, maladie à prions, abcès cérébraux, réactivations de l'herpès, syndromes démyélinisants et plus encore. En utilisant les données du VAERS de janvier 1990 à novembre 2024, nous avons comparé les rapports d’événements indésirables après la vaccination contre la COVID-19 à ceux après les vaccins contre la grippe :  


 

Affections neurodégénératives et démyélinisantes rares :

- Maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) — 847 fois plus susceptible d'être signalée que les vaccins contre la grippe

Myélite (tous types) — 31 fois plus probable

- Myélite transverse — 21 fois plus probable

Myélite virale — 115 fois plus probable   

Myélite non infectieuse — 132 fois plus probable

- Maladie à prions (général) — 62 fois plus probable 

 

 Infections du SNC :   

- Méningite (tous types) — 34 fois plus probable

Méningite aseptique — 53 fois plus probable

- Méningite bactérienne — 36 fois plus probable

Encéphalite auto-immune — 79 fois plus probable

- Encéphalite limbique — 146 fois plus probable

Encéphalite de Bickerstaff — 68 fois plus probable

- Neuroborréliose (infection du système nerveux central de Lyme) — 321 fois plus probable

Encéphalopathie toxique — 157 fois plus probable

- Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) — 45 fois plus probable 

 

 Réactivations herpétiques du SNC :       

- Méningite à zona — plus de 1 200 fois plus de risques

Méningo-encéphalite à herpès zoster — 339 fois plus probable

- Maladie neurologique du zona — 680 fois plus probable

Méningite à herpès simplex — 132 fois plus probable

Méningo-encéphalite herpétique — 136 fois plus probable

- Méningite à varicelle — 168 fois plus probable 

 

Abcès cérébraux et rachidiens :      

Abcès cérébral — 120 fois plus probable

- Abcès extradural — 169× plus probable

Abcès de la moelle épinière — 89 fois plus probable

- Abcès sous-dural — 36 fois plus probable

       Les injections de COVID-19 non seulement enflamment et perturbent la BHE, mais présentent également des propriétés similaires à celles des prions, provoquant un mauvais repliement des protéines semblable à la « maladie de la vache folle ». Cette perturbation neurologique sans précédent contribue également à expliquer pourquoi une autre étude de Thorp et al. a révélé que les injections d’ARNm étaient liées à 86 troubles neuropsychiatriques graves, notamment la démence, la schizophrénie, les pensées suicidaires et homicides, les accidents vasculaires cérébraux, la psychose, la dépression, les troubles cognitifs, les délires, etc. Tous les signaux de sécurité signalés sont extrêmement préoccupants et justifient une interdiction mondiale immédiate du programme de vaccination contre la COVID-19.

https://x.com/NicHulscher/status/1968470993699213418


 

« Des centaines de scientifiques demandent l'arrêt des vaccins à ARNm ! » 

« Les critiques à l'égard des préparations à base d'ARNm se multiplient : des milliers d'effets secondaires, des questions de sécurité ouvertes - les scientifiques exigent un moratoire et une réévaluation urgente » ! Article ce jour dans le Berliner Zeitung : berliner-zeitung.de/coronavirus/hu La déclaration et les signataires sont là : mwm-proof.com/de/start/ « Le nombre d'effets secondaires signalés à l'Institut Paul Ehrlich (PEI) est alarmant : environ 975 000 effets secondaires ont été signalés » !  Il faut interdire les injections ARNm chez les humains ET chez les animaux d’élevage ! De toute urgence !

 


tkp.at/2025/09/15/eu- L’État membre participant reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas connus à l’heure actuelle. En outre, dans la mesure où cela est applicable, l’État membre participant reconnaît que le vaccin ne doit pas être sérialisé.

La stipulation contractuelle de la non-sérialisation d'un vaccin engage plusieurs implications légales, réglementaires et opérationnelles, particulièrement dans le contexte des médicaments soumis à des normes strictes - La sérialisation consiste à attribuer un identifiant unique (comme un code 2D ou un numéro de série) à chaque unité de médicament, permettant une traçabilité complète de la chaîne d'approvisionnement. Cela vise à lutter contre les contrefaçons, faciliter les rappels et assurer la sécurité des patients. - En Europe, la Directive 2011/62/UE (dite "Falsified Medicines Directive") rend la sérialisation obligatoire depuis le 9 février 2019 pour les médicaments sur ordonnance, y compris les vaccins. Elle impose un dispositif anti-effraction et un identifiant unique pour vérifier l'authenticité. - Aux États-Unis, la Drug Supply Chain Security Act (DSCSA) exige une sérialisation similaire depuis 2013, avec une application pleine en 2024 pour les vaccins, via des codes-barres 2D. - Prévoir contractuellement la non-sérialisation signifie renoncer explicitement à cette exigence. Le contrat lie le fournisseur (ex. : laboratoire pharmaceutique) à livrer des vaccins sans identifiants uniques, et l'acheteur (ex. : État ou organisme public) à les accepter. Cela peut inclure des clauses d'exemption temporaire, mais cela engage la responsabilité des signataires en cas de non-conformité ultérieure. Pour les vaccins COVID-19 : - Le contrat UE-Pfizer/BioNTech a explicitement renoncé à la sérialisation, rendant impossible le suivi individuel des doses. Cela a été critiqué comme contraire à la directive européenne sur les médicaments falsifiés. - Aux États-Unis, le contrat avec Sanofi pour un vaccin COVID-19 stipulait "no serialization at the vial level". - Si la non-sérialisation contrevient à des réglementations, le contrat pourrait être déclaré nul ou partiellement invalide. En Europe, cela pourrait exposer les parties à des sanctions de l'Agence européenne des médicaments (EMA) ou des autorités nationales. - Sans traçabilité, les parties s'engagent implicitement à assumer les risques liés à des erreurs de distribution ou des contrefaçons. En cas d'effets indésirables graves ou de rappel défectueux, cela pourrait amplifier la responsabilité civile ou pénale (ex. : poursuites pour négligence). Sans numéros de série, il est plus difficile de suivre les lots individuels, ce qui complique les rappels en cas de défaut (ex. : contamination) et augmente le risque de produits falsifiés entrant dans la chaîne. Cela engage une vulnérabilité accrue pour la santé publique. - Dans les contrats COVID-19, ces clauses ont été critiquées pour prioriser la vitesse sur la sécurité. Une question parlementaire européenne de 2025 interroge la Commission sur le waiver dans l'accord Pfizer, soulignant un risque pour l'authenticité des vaccins. - Notez que la non-sérialisation n'est pas liée aux clauses de non-responsabilité (indemnité) souvent évoquées dans les mêmes contrats, qui protègent les fabricants contre les poursuites pour effets secondaires.

Maintenant, les preuves émergent suite aux questions posées par l'eurodéputé autrichien Gerald Hauser au Parlement européen. L'efficacité des vaccins contre le COVID-19 était inconnue, les effets indésirables à long terme étaient inconnus au moment du déploiement, la sérialisation a été interdite contractuellement dans les accords avec Pfizer/BioNTech, et le produit était expérimental, encore en phase d'essai lors de la signature des contrats avant l'autorisation. La mortalité due au COVID était connue et surévaluée, comme l'ont indiqué des analyses initiales montrant que le taux de létalité était surestimé en raison d'un sur-dénombrement des cas. 11 jours après la signature des contrats, la loi sur le pass sanitaire était présentée. Pfizer a publié le 28 mai 2021, soit 8 jours après avoir signé l’inverse dans les contrats, un communiqué de presse disant que le vaccin était efficace à 100% pour les 12-15 ans. Le temps est venu de rendre des compte pour les escrocs de l’industrie pharmaceutique . Demain les pièces justificatives seront remises entre les mains d’un juge. 

 
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