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septembre 18, 2025

Avec beaucoup de censure en France, le mensonge covid se craquèle : la vérité éclate peu à peu

En médecine, il existe un principe sacré, gravé dans le marbre depuis l’Antiquité : Primum non nocere – « D’abord, ne pas nuire ». C’est le serment d’Hippocrate, le fondement éthique de toute pratique médicale.

Pourtant, durant la soi-disant pandémie de COVID-19, les autorités sanitaires mondiales, des agences comme l’OMS, la FDA aux États-Unis, l’EMA en Europe et leurs équivalents nationaux comme l’ARS en France, ont piétiné ce principe avec une arrogance criminelle.


Quand on ne sait pas, on ferme sa gueule ? Pas du tout. Au contraire, on a imposé des mesures draconiennes, des confinements absurdes et, pire, des injections expérimentales présentées comme des « vaccins miracles » – un poison qui, aujourd’hui, continue de tuer et de mutiler. Si l’on paye grassement ces « experts » et politiciens pour protéger la santé publique, il est temps que des têtes tombent. Et vite.

Les coûts astronomiques : un gouffre financier et humain inexcusable

Commençons par les chiffres, ces froids témoins d’une incompétence monumentale. La pandémie a coûté au monde entre 8 et 16 trillions de dollars (1 trillon de $ = 1.000 millirds $), selon des estimations. Le FMI a initialement projeté 12,5 trillions de dollars de pertes globales jusqu’en 2024, mais ce chiffre a été revu à la hausse en raison des disruptions persistantes dans les chaînes d’approvisionnement et l’inflation galopante. Aux États-Unis seuls, une étude de JAMA évalue le coût cumulatif à 16 trillions de dollars, incluant les pertes de production et les impacts sur la santé – soit plus que le PIB annuel du pays ! La Banque Mondiale parle de 8,5 trillions de dollars de pertes de production économique sur deux ans, effaçant les gains des quatre années précédentes. Et en Europe ? Une chute moyenne du PIB de 7,4 %, avec des coûts directs et indirects qui s’élèvent à des trillions, selon une revue systématique publiée en 2023.


 

Mais l’argent n’est rien comparé au carnage humain. Plus de 7 millions de morts officiels dus au COVID-19, mais les excès de mortalité racontent une histoire bien plus sombre :

des centaines de milliers de décès supplémentaires liés aux confinements, aux reports de soins et à la désinformation officielle.

Chez les jeunes, c’est une hécatombe psychologique : l’OMS rapporte une augmentation massive de 25 % de la prévalence de l’anxiété et de la dépression mondiale en 2020, touchant particulièrement les 10-24 ans. Aux États-Unis, les symptômes de dépression et d’anxiété ont quadruplé chez les adultes jeunes, passant de 11 % en 2019 à 40 % en 2020, selon des sondages du CDC. Les suicides chez les adolescents ont grimpé de 50 % pendant la pandémie, avec des pics chez les garçons. Une étude du Global Burden of Disease 2021 montre que la charge de la dépression chez les ados a explosé, bien au-delà des prédictions, et continue d’augmenter en 2025.

Cette période a été particulièrement difficile pour les familles ayant des enfants en bas âge et des ados logés en appartement sans jardin ou terrasse, ou même pour les familles nombreuses confinées dans de petites surfaces, où l’enfermement prolongé a exacerbé les tensions, les troubles psychologiques et les retards éducatifs. En France, le premier confinement, particulièrement sévère avec des restrictions draconiennes comme les attestations obligatoires pour sortir, a duré 55 jours (du 17 mars au 11 mai 2020), tandis que le deuxième a duré 46 jours (du 30 octobre au 15 décembre 2020). Pourtant, certains pays comme la Suède, qui n’ont pas imposé de confinements stricts, ont enregistré un excès de mortalité plus faible sur la période de la pandémie – un taux d’excès de mortalité inférieur de près de 27 % à celui de la France, démontrant que ces mesures extrêmes n’étaient pas nécessairement salvatrices et ont causé plus de mal que de bien.

Ces jeunes, confinés, isolés, déscolarisés, payent le prix d’une hystérie collective orchestrée par des bureaucrates incompétents.

Et pour quoi ? Pour une « pandémie » gérée comme un cirque autoritaire, où les libertés ont été sacrifiées sur l’autel de la peur.


Les traitements alternatifs interdits : une censure criminelle au nom de big pharma

Si l’on « ne savait pas » comment gérer le virus, pourquoi interdire les solutions alternatives ? L’hydroxychloroquine et l’ivermectine, des médicaments bon marché, utilisés depuis des décennies contre le paludisme et les parasites, ont été bannis autoritairement par la FDA, l’EMA et d’autres agences. Pourquoi ? Parce qu’ils menaçaient les profits des « vaccins » expérimentaux. Des études récentes, comme une revue systématique de phase III en 2024, montrent que ces traitements, utilisés tôt, réduisent les hospitalisations et la mortalité chez les patients modérés. Aux États-Unis, quatre États (comme le Tennessee et le New Hampshire) ont même légiféré en 2025 pour autoriser l’ivermectine en vente libre, reconnaissant son potentiel. Pourtant, pendant la pandémie, leur usage a explosé illicitement – prescriptions d’ivermectine multipliées par 10, hydroxychloroquine doublées – parce que les gens savaient que les autorités mentaient.

La Mayo Clinic et la FDA admettent aujourd’hui que ces interdictions étaient basées sur des données partielles, mais le mal est fait : des millions ont souffert inutilement pendant que Big Pharma engrangeait des milliards avec des vaccins autorisés sans données complètes sur les effets à long terme. C’est une violation flagrante de la principale règle « Primum non nocere » – on a préféré le profit à la prudence.

Comme l’a récemment admis la Commission européenne dans une réponse à une question parlementaire

posée par le député européen autrichien Gerald Hauser (FPÖ), rapportée par la Berliner Zeitung, les vaccins contre le COVID-19 ont été distribués sans données de sécurité complètes. Hauser a interrogé : « Pourquoi la Commission n’a-t-elle pas informé les citoyens que l’efficacité et la sécurité des vaccins à ARNm – comme stipulé dans le contrat – n’étaient pas garanties ? » L’article souligne que cette décision, liée à des contrats opaques impliquant Ursula von der Leyen, soulève des questions graves sur la responsabilité et les risques imposés à la population.

La chasse aux « tueurs en blouse blanche » : RFK jr., le justicier anti-corruption

Aux États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., nommé Secrétaire à la Santé et aux Services Humains, mène une guerre sans merci contre ces « tueurs en blouse blanche » – ces médecins et bureaucrates corrompus par Big Pharma. Kennedy, dans son combat acharné, expose comment la FDA tire près de la moitié de son budget des compagnies pharmaceutiques qu’elle est censée réguler, créant un conflit d’intérêts flagrant. Le CDC n’est qu’un bras marketing pour les vaccins, et le NIH canalise des milliards vers des études biaisées en faveur des labos. RFK Jr. licencie en masse les corrompus au sein de la CDC, FDA, HHS et NIH, et cible même les exécutifs de BlackRock et Vanguard qui influencent ces agences. Il enquête sur l’épidémie d’autisme, met fin aux mandats vaccinaux COVID et réforme pour restaurer la transparence.

Kennedy expose le « Pfizergate » : des contrats secrets, des prix exorbitants pour des médicaments que les contribuables financent, et une collusion avec le Congrès qui empoche des millions de Big Pharma pour approuver ces poisons. Son alliance avec Trump pour « Make America Healthy Again » est une claque aux élites pharma qui ont profité de la pandémie. Les attaques contre lui – hit pieces, appels à démission – prouvent qu’il touche au cœur du système corrompu.


 

Des têtes doivent tomber : pour une vraie justice

On paye des fortunes ces responsables – salaires mirobolants, budgets colossaux pour l’ARS et ses homologues mondiaux – pour qu’ils protègent la population. Au lieu de ça, ils ont semé la mort, la ruine et la dépression. Les vaccins, libérés sans données complètes, tuent encore aujourd’hui via des effets secondaires occultés.

Cette farce n’aurait pas pu se produire sans la vile collaboration des médias, qui ont servi de relais propagandistes pour amplifier la peur, censurer les voix dissidentes et occulter les scandales, permettant ainsi au scandale de prospérer sous un voile de consensus fabriqué.

Il est grand temps d’une purge globale : enquêtes indépendantes, poursuites judiciaires contre les Fauci, les von der Leyen et leurs complices. Si RFK Jr. peut le faire aux USA, pourquoi pas en Europe ? La « pseudo-pandémie » n’était qu’un prétexte pour le contrôle et les profits. Primum non nocere ? Ils l’ont transformé en « D’abord, enrichir les labos ». Et comment ne pas évoquer l’hypocrisie au sommet, avec Sébastien Lecornu, actuel Premier Ministre nommé en septembre 2025, qui, en tant que Ministre des Outre-mer à l’époque, a participé à un « apéro clandestin » en Nouvelle-Calédonie le 16 octobre 2021, en plein confinement strict, réunissant une dizaine de personnes sans respect des règles qu’il imposait aux citoyens – un symbole parfait de l’élite qui prêche l’austérité tout en s’en exemptant.

https://multipol360.com/le-mensonge-covid-se-craquele-la-verite-eclate-peu-a-peu/ 

ÉTUDE DE DERNIÈRE MINUTE : 

Les « vaccins » contre la COVID-19 sont liés à 63 effets indésirables graves affectant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière)  Les seuils de sécurité des CDC/FDA ont été violés alors que les vaccins contre la COVID perturbent la barrière hémato-encéphalique, provoquant méningite, encéphalite, maladie à prions, abcès cérébraux, réactivations de l'herpès, syndromes démyélinisants et plus encore. En utilisant les données du VAERS de janvier 1990 à novembre 2024, nous avons comparé les rapports d’événements indésirables après la vaccination contre la COVID-19 à ceux après les vaccins contre la grippe :  


 

Affections neurodégénératives et démyélinisantes rares :

- Maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) — 847 fois plus susceptible d'être signalée que les vaccins contre la grippe

Myélite (tous types) — 31 fois plus probable

- Myélite transverse — 21 fois plus probable

Myélite virale — 115 fois plus probable   

Myélite non infectieuse — 132 fois plus probable

- Maladie à prions (général) — 62 fois plus probable 

 

 Infections du SNC :   

- Méningite (tous types) — 34 fois plus probable

Méningite aseptique — 53 fois plus probable

- Méningite bactérienne — 36 fois plus probable

Encéphalite auto-immune — 79 fois plus probable

- Encéphalite limbique — 146 fois plus probable

Encéphalite de Bickerstaff — 68 fois plus probable

- Neuroborréliose (infection du système nerveux central de Lyme) — 321 fois plus probable

Encéphalopathie toxique — 157 fois plus probable

- Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) — 45 fois plus probable 

 

 Réactivations herpétiques du SNC :       

- Méningite à zona — plus de 1 200 fois plus de risques

Méningo-encéphalite à herpès zoster — 339 fois plus probable

- Maladie neurologique du zona — 680 fois plus probable

Méningite à herpès simplex — 132 fois plus probable

Méningo-encéphalite herpétique — 136 fois plus probable

- Méningite à varicelle — 168 fois plus probable 

 

Abcès cérébraux et rachidiens :      

Abcès cérébral — 120 fois plus probable

- Abcès extradural — 169× plus probable

Abcès de la moelle épinière — 89 fois plus probable

- Abcès sous-dural — 36 fois plus probable

       Les injections de COVID-19 non seulement enflamment et perturbent la BHE, mais présentent également des propriétés similaires à celles des prions, provoquant un mauvais repliement des protéines semblable à la « maladie de la vache folle ». Cette perturbation neurologique sans précédent contribue également à expliquer pourquoi une autre étude de Thorp et al. a révélé que les injections d’ARNm étaient liées à 86 troubles neuropsychiatriques graves, notamment la démence, la schizophrénie, les pensées suicidaires et homicides, les accidents vasculaires cérébraux, la psychose, la dépression, les troubles cognitifs, les délires, etc. Tous les signaux de sécurité signalés sont extrêmement préoccupants et justifient une interdiction mondiale immédiate du programme de vaccination contre la COVID-19.

https://x.com/NicHulscher/status/1968470993699213418


 

« Des centaines de scientifiques demandent l'arrêt des vaccins à ARNm ! » 

« Les critiques à l'égard des préparations à base d'ARNm se multiplient : des milliers d'effets secondaires, des questions de sécurité ouvertes - les scientifiques exigent un moratoire et une réévaluation urgente » ! Article ce jour dans le Berliner Zeitung : berliner-zeitung.de/coronavirus/hu La déclaration et les signataires sont là : mwm-proof.com/de/start/ « Le nombre d'effets secondaires signalés à l'Institut Paul Ehrlich (PEI) est alarmant : environ 975 000 effets secondaires ont été signalés » !  Il faut interdire les injections ARNm chez les humains ET chez les animaux d’élevage ! De toute urgence !

 


tkp.at/2025/09/15/eu- L’État membre participant reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas connus à l’heure actuelle. En outre, dans la mesure où cela est applicable, l’État membre participant reconnaît que le vaccin ne doit pas être sérialisé.

La stipulation contractuelle de la non-sérialisation d'un vaccin engage plusieurs implications légales, réglementaires et opérationnelles, particulièrement dans le contexte des médicaments soumis à des normes strictes - La sérialisation consiste à attribuer un identifiant unique (comme un code 2D ou un numéro de série) à chaque unité de médicament, permettant une traçabilité complète de la chaîne d'approvisionnement. Cela vise à lutter contre les contrefaçons, faciliter les rappels et assurer la sécurité des patients. - En Europe, la Directive 2011/62/UE (dite "Falsified Medicines Directive") rend la sérialisation obligatoire depuis le 9 février 2019 pour les médicaments sur ordonnance, y compris les vaccins. Elle impose un dispositif anti-effraction et un identifiant unique pour vérifier l'authenticité. - Aux États-Unis, la Drug Supply Chain Security Act (DSCSA) exige une sérialisation similaire depuis 2013, avec une application pleine en 2024 pour les vaccins, via des codes-barres 2D. - Prévoir contractuellement la non-sérialisation signifie renoncer explicitement à cette exigence. Le contrat lie le fournisseur (ex. : laboratoire pharmaceutique) à livrer des vaccins sans identifiants uniques, et l'acheteur (ex. : État ou organisme public) à les accepter. Cela peut inclure des clauses d'exemption temporaire, mais cela engage la responsabilité des signataires en cas de non-conformité ultérieure. Pour les vaccins COVID-19 : - Le contrat UE-Pfizer/BioNTech a explicitement renoncé à la sérialisation, rendant impossible le suivi individuel des doses. Cela a été critiqué comme contraire à la directive européenne sur les médicaments falsifiés. - Aux États-Unis, le contrat avec Sanofi pour un vaccin COVID-19 stipulait "no serialization at the vial level". - Si la non-sérialisation contrevient à des réglementations, le contrat pourrait être déclaré nul ou partiellement invalide. En Europe, cela pourrait exposer les parties à des sanctions de l'Agence européenne des médicaments (EMA) ou des autorités nationales. - Sans traçabilité, les parties s'engagent implicitement à assumer les risques liés à des erreurs de distribution ou des contrefaçons. En cas d'effets indésirables graves ou de rappel défectueux, cela pourrait amplifier la responsabilité civile ou pénale (ex. : poursuites pour négligence). Sans numéros de série, il est plus difficile de suivre les lots individuels, ce qui complique les rappels en cas de défaut (ex. : contamination) et augmente le risque de produits falsifiés entrant dans la chaîne. Cela engage une vulnérabilité accrue pour la santé publique. - Dans les contrats COVID-19, ces clauses ont été critiquées pour prioriser la vitesse sur la sécurité. Une question parlementaire européenne de 2025 interroge la Commission sur le waiver dans l'accord Pfizer, soulignant un risque pour l'authenticité des vaccins. - Notez que la non-sérialisation n'est pas liée aux clauses de non-responsabilité (indemnité) souvent évoquées dans les mêmes contrats, qui protègent les fabricants contre les poursuites pour effets secondaires.

Maintenant, les preuves émergent suite aux questions posées par l'eurodéputé autrichien Gerald Hauser au Parlement européen. L'efficacité des vaccins contre le COVID-19 était inconnue, les effets indésirables à long terme étaient inconnus au moment du déploiement, la sérialisation a été interdite contractuellement dans les accords avec Pfizer/BioNTech, et le produit était expérimental, encore en phase d'essai lors de la signature des contrats avant l'autorisation. La mortalité due au COVID était connue et surévaluée, comme l'ont indiqué des analyses initiales montrant que le taux de létalité était surestimé en raison d'un sur-dénombrement des cas. 11 jours après la signature des contrats, la loi sur le pass sanitaire était présentée. Pfizer a publié le 28 mai 2021, soit 8 jours après avoir signé l’inverse dans les contrats, un communiqué de presse disant que le vaccin était efficace à 100% pour les 12-15 ans. Le temps est venu de rendre des compte pour les escrocs de l’industrie pharmaceutique . Demain les pièces justificatives seront remises entre les mains d’un juge. 

 
europarl.europa.eu/doceo/document… (questions de Gerald Hauser sur les vaccins COVID) - polit-x.de/en/documents/2… (pression politique sur l'EMA pour les tests de vaccins) - vidal.fr/actualites/301… (efficacité des vaccins COVID-19) - bbc.com/afrique/monde-… (inconnues sur l'efficacité des vaccins COVID) - quechoisir.org/actualite-covi… (efficacité et risques des vaccins COVID) - swissmedic.ch/swissmedic/fr/… (effets indésirables à long terme des vaccins COVID) - senat.fr/rap/r23-651/r2… (effets indésirables des vaccins COVID) - canada.ca/fr/sante-publi… (sécurité et effets secondaires des vaccins COVID) - europarl.europa.eu/doceo/document… (renonciation à la sérialisation dans l'accord Pfizer/BioNTech) - commission.europa.eu/system/files/2… (accord d'achat anticipé avec Pfizer/BioNTech) - rai.it/dl/doc/2021/04… (détails contractuels Pfizer/BioNTech) - commission.europa.eu/strategy-and-p… (vaccination COVID dans l'UE et contrats) - op.europa.eu/webpub/eca/spe… (rapport sur l'acquisition de vaccins COVID par l'UE) - ansm.sante.fr/dossiers-thema… (procédure d'autorisation des vaccins COVID) - pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC76… (estimations du taux de létalité COVID) - liberation.fr/checknews/loms… (surévaluation des morts COVID par l'OMS) - who.int/fr/news/item/0… (surmortalité associée à la COVID) - inrae.fr/covid-19/mieux… (comprendre l'épidémie COVID et taux de létalité) - lemonde.fr/les-decodeurs/… (contagiosité et létalité du virus COVID) - info.gouv.fr/actualite/pass… (passe sanitaire en France) - associations.gouv.fr/IMG/pdf/dossie… (dossier de presse sur le pass sanitaire) - fr.wikipedia.org/wiki/Passe_san… (passe sanitaire français) - op.europa.eu/webpub/eca/spe… (rapport sur les contrats vaccins COVID UE) - lemonde.fr/planete/articl… (contrats européens pour vaccins COVID) - pfizer.com/news/press-rel… (autorisation UE pour vaccin Pfizer 12-15 ans, 28 mai 2021) - pfizer.com/news/press-rel… (résultats d'efficacité 100% pour 12-15 ans, mars 2021) - lemonde.fr/planete/articl… (efficacité 100% annoncée par Pfizer) - lemonde.fr/planete/articl… (autorisation vaccin Pfizer pour 12-15 ans)

 


 

septembre 12, 2025

Prostitution infantile: "SAUVONS NOS ENFANTS DES PÉDOPHILES" Quelle honte !!

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Prostitution infantile : Maître Amas lance des poursuites judiciaires contre des responsables de l’ASE 

En France, l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), censée protéger les mineurs en danger, se révèle souvent être un piège mortel pour des milliers d’enfants.

Placés en foyers ou familles d’accueil par les départements, ces jeunes – souvent des adolescentes de 12 à 16 ans – sont exposés à la prostitution, à la drogue et à l’exploitation sexuelle.

 

Des proxénètes les guettent devant les portes des centres, via des applications comme Snapchat, profitant d’un manque criant de surveillance et de placements inadaptés. Une commission d’enquête parlementaire de 2025 estime à 15.000 le nombre d’enfants placés sombrant dans la prostitution, un chiffre glaçant qualifié de « national » par les associations et avocats. Ce scandale, qui touche particulièrement l’Île-de-France, les Bouches-du-Rhône et l’Occitanie, met en lumière un système défaillant où l’obligation de protection des mineurs est bafouée.

Au premier plan de cette bataille judiciaire se trouve Maître Michel Amas, avocat au barreau de Marseille, spécialiste en droit de la famille et protection de l’enfance. Représentant des familles et mineurs lésés, il dénonce les « placements abusifs » qui mènent directement à l’exploitation. Dans une publication sur X daté du 12 septembre 2025, il annonce : « Journal M6 du 19/45 – 11 septembre le début des poursuites des responsables. Les assignations partent dès cette semaines. Les enfants se prostituent parce qu’ils ont été placés. Les Présidents sont responsables de leur échec. Ils ont une obligation de résultat pas de moyen. » Le 11 septembre marque un tournant décisif avec le début des poursuites contre les présidents de conseils départementaux, tenus responsables en vertu d’une « obligation de résultat » pour assurer la sécurité des enfants placés. Ces recours, prolongeant ceux intentés en avril-mai 2025 contre des départements comme l’Essonne ou les Yvelines, visent des « fautes graves » : passivité face aux proxénètes, cohabitation forcée avec des agresseurs, et foyers sans surveillance nocturne. Des condamnations ont déjà été prononcées, comme pour un département ayant livré une mineure à ses bourreaux.

Maître Michel AMAS
Maître Michel AMAS

Maître Amas, collaborant avec des militants comme Olivier Le Mailloux, estime que jusqu’à 20.000 mineurs pourraient être touchés, et alerte sur un système corrompu où l’ASE, financée à hauteur de 8.000 euros par mois par enfant, priorise les économies sur la vie des plus vulnérables. Récemment, le 7 septembre, il a annoncé une nouvelle action : « Nous saisirons dans quelques jours la justice, pour la fermeture d’un site spécialisé dans la prostitution (NDLR : site supprimé de nos colonnes). Pour la plupart des jeunes filles livrés à la pédophilie, les personnes qui les commercialisent mettent des annonces sur ce site d’escortes. »

L’activisme implacable de Karl Zéro : une voix qui brise l’omerta


Karl Zéro, journaliste d’investigation et fondateur du journal L’Envers des Affaires, est devenu une figure emblématique de la lutte contre ces horreurs. Connu pour ses enquêtes percutantes sur la pédophilie et les dysfonctionnements sociétaux, il a multiplié les interventions médiatiques pour exposer la prostitution infantile au sein de l’ASE. Dans une vidéo choc diffusée il y a cinq jours sur YouTube et Instagram, il lance un appel désespéré : « Sauvons nos enfants des pédophiles ! 25.000 mineurs prostitués ! Derrière ce chiffre glaçant, une réalité insoutenable. Des milliers d’enfants placés sous la protection de l’Aide Sociale à l’Enfance sont livrés aux proxénètes. » Il dépeint les foyers ASE comme « littéralement des viviers à prostituées », où les jeunes sont abandonnés à leur sort, exposés à des réseaux pédocriminels.


 

Son activisme ne s’arrête pas là. En mai 2025, Karl Zéro a accordé une interview explosive à l’émission Tocsin, révélant des scandales de prostitution et de pédophilie dans les centres ASE, avec des images et témoignages accablants.

Karl Zero
Karl Zero

Il n’hésite pas à qualifier le système de « pourri » et appelle à « faire péter ce système de l’ASE », soulignant que ces placements abusifs transforment des enfants traumatisés en proies faciles pour les « chiens » des rues.

Ses interventions ont suscité des débats houleux : un éducateur de l’ASE dans le Nord-Est lui a même répondu publiquement, défendant le travail au sol mais admettant des dysfonctionnements profonds. Sur les réseaux, Karl Zéro relaie en continu des cas concrets, comme des mineures de 14 ans prostituées dans des Airbnb gérés par l’ASE, ou des enfants laissés dans des hôtels sans supervision. Son combat, relayé par des comptes comme @Omerta_officiel, vise à briser l’omerta et à pousser à une réforme radicale, en lien avec des associations et militants comme Lyes Louffok, ancien enfant placé. Grâce à lui, le sujet a gagné en visibilité, culminant avec l’émission  du Journal M6 (19/45) du 11 septembre, où il a réitéré ses accusations.


Un budget conséquent, des résultats catastrophiques : la distorsion d’un système en gabegie

Malgré ces alertes, les fonds publics coulent à flots sans résultats tangibles. En 2023, les départements ont consacré pas moins de 11 milliards d’euros à la protection de l’enfance, dont 80 % pour des mesures d’accueil (foyers, familles d’accueil). Ce montant, en hausse constante, représente jusqu’à 20 % du budget de certains départements, comme dans le Nord (680 millions d’euros) ou la Seine-Saint-Denis (323 millions). À l’échelle nationale, l’État ajoute 1,5 milliard d’euros pour la protection judiciaire de la jeunesse, portant le total à plus de 12 milliards annuels. Pourtant, cette manne financière se traduit par une catastrophe : 15.000 à 25.000 mineurs placés sombrent dans la prostitution, selon des estimations du Dr Aziz Zaouche et de Karl Zéro. Des études, comme celle de la Seine-Saint-Denis sur 101 dossiers, montrent que la majorité des victimes ont été prises en charge par l’ASE sans protection efficace, menant à des viols, inceste et exploitation.


Cette distorsion est flagrante : un plan national de lutte contre la prostitution des mineurs, lancé en 2021, n’alloue que 14 millions d’euros, une goutte d’eau face aux 11 milliards globaux. Les fonds servent souvent à des placements hôteliers précaires ou à des foyers sous-équipés, favorisant la corruption et les fuites vers les réseaux proxénètes. Des recours judiciaires, comme ceux contre trois départements en mai 2025, accusent explicitement cette gabegie :

« Nous lançons l’alerte pour que tout le monde sache qu’en France, des petits garçons et des petites filles se prostituent parce que l’État les abandonne. »

Dans un pays déficitaire, où chaque euro compte, c’est un scandale absolu.


 

Un dossier prioritaire : nos enfants avant la guerre

Ce dossier est absolument prioritaire, car il concerne nos enfants – l’avenir de la nation – et révèle une gabegie intolérable des maigres ressources de l’État français, endetté à plus de 110 % du PIB. Comment justifier des milliards dilapidés dans un système qui livre des mineures à la prostitution, alors que des suicides et morts d’enfants placés se multiplient en 2025 ? Les réformes timides, comme le plafonnement des pouponnières à 30 enfants annoncé le 6 septembre, sont bienvenues mais insuffisantes face à l’urgence.

Et pendant ce temps, l’État verse des milliards à l’industrie de la guerre : le budget de la défense pour 2025 avoisine les 50 milliards d’euros, avec des hausses pour l’armement et l’Ukraine, alors que nos enfants se font violer dans les foyers censés les protéger !

Nous ne devons pas tolérer cela. Prioriser les armes sur la chair de nos enfants est une trahison morale et budgétaire. Il est temps de réallouer ces fonds, de réformer l’ASE en profondeur, et de soutenir inconditionnellement des voix comme celles de Maître Amas et Karl Zéro. Nos enfants ne peuvent plus attendre : leur protection doit primer sur tout.

https://multipol360.com/prostitution-infantile-maitre-amas-lance-des-poursuites-judiciaires-contre-des-responsables-de-lase/

 Journal M6 du 19/45 - 11 septembre le début des poursuites des responsables. Les assignations partent dès cette semaines. Les enfants se prostituent parce qu'ils ont été placés. Les Présidents sont responsables de leur échec. Ils ont une obligation de résultat pas de moyen. https://x.com/michel_amas/status/1966371086548787285

 

 

septembre 11, 2025

Népal : Renversement du communisme pour la Liberté ! Lynchage des dirigeants....Vidéos

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Extrêmes tensions au Népal : une leçon pour la France ?

Le Népal, pays enclavé de l’Himalaya traditionnellement marqué par une résilience pacifique, est plongé depuis début septembre 2025 dans une crise majeure. Des manifestations massives, portées par la génération Z (les jeunes nés après 1997), ont dégénéré en violences intenses : au moins 19 morts, plus de 100 blessés, incendies de bâtiments publics et évasions de milliers de prisonniers.


Cette « révolution Gen Z » exprime un ras-le-bol profond face à une misère économique croissante, combinée à une répression policière et militaire qui prive le peuple de ses libertés fondamentales – un cocktail intolérable, surtout quand une élite corrompue affiche un luxe ostentatoire au milieu de la pauvreté générale.

Le déclencheur : une suppression des réseaux sociaux qui allume la poudre

Tout a commencé avec l’interdiction par le gouvernement de 26 plateformes de réseaux sociaux, (sauf TikTok qui a accepté de signer une charte de « non-agression » envers le gouvernement), une partie du réseau internet ainsi que des plateformes de communication (WhatsApp, Messenger, etc…) vue comme une censure directe contre la voix de la jeunesse. Pour la Gen Z, qui représente près de 40 % de la population népalaise, ces outils étaient essentiels pour dénoncer la corruption rampante et le népotisme. Avec un taux de chômage des jeunes dépassant 19-20 % et une absence totale de perspectives économiques, les manifestations ont éclaté dès le 8 septembre à Katmandou, réclamant non seulement la levée de l’interdiction, mais aussi la fin d’un système où les « nepo kids » (enfants de l’élite) monopolisent emplois et privilèges et publiaient leur vie dorée sur ces mêmes réseaux sociaux.

L’escalade de la violence : répression brutale et défections dans les forces de l’ordre

Les protestations, initialement pacifiques, ont viré au chaos face à une répression policière accrue : tirs à balles réelles, gaz lacrymogènes et arrestations arbitraires. Le Parlement (Singha Durbar) et des résidences de ministres ont été incendiés, symbolisant la rage contre une nomenklatura vivant dans l’opulence – voitures de luxe, voyages extravagants et fêtes somptueuses – tandis que 20 % des Népalais vivent sous le seuil de pauvreté.

Cette misère, alliée à la privation de libertés (censure, couvre-feu), est devenue intolérable, menant à des affrontements meurtriers.

Une partie de l’armée et certains policiers ont même basculé du côté des manifestants, refusant de réprimer davantage. Des vidéos montrent des soldats intervenant contre les attaques policières, un tournant décisif qui a accéléré la chute du gouvernement et mis en lumière les fractures au sein des forces de sécurité.


 

La chute du gouvernement : démission de Khadga Prasad Sharma Oli et incertitudes politiques

Sous la pression, le Premier ministre K.P. Sharma Oli a démissionné, fuyant au milieu du chaos. L’armée a assumé le commandement de la sécurité, et les protestations se sont étendues hors de Katmandou. Les manifestants, célébrant dans les rues, exigent une refonte totale du système, accusant l’élite de trahison nationale.

Réactions internationales : l’ONU et les appels à la modération

L’ONU s’est dite prête à assister le Népal pour un dialogue pacifique, exprimant sa préoccupation face aux violences. Transparency International classe le Népal à 35/100 sur son indice de corruption, soulignant un problème systémique qui alimente l’instabilité.

 

Parallèle avec la situation prérévolutionnaire en France

Cette crise népalaise évoque la France de 1789 : un peuple écrasé par la misère (famines, taxes) face à une noblesse luxueuse et exempte d’impôts. La répression royale (censure, lettres de cachet) et la privation de libertés avaient rendu la situation intolérable, menant à la Révolution. En France aujourd’hui, des échos similaires : inégalités croissantes, répression des manifestations (Gilets jaunes), censure numérique accrue, et une élite déconnectée et opulente. Si la misère s’ajoute à la perte de libertés, le risque d’explosion sociale – comme au Népal – plane.


Leçons pour l’avenir : misère et privation de libertés, un cocktail explosif

Le Népal montre que réprimer une jeunesse exaspérée par la corruption, le népotisme et la misère tout en affichant un luxe élitiste, mène inévitablement au chaos. La liberté numérique n’est pas un luxe, mais une soupape essentielle : un droit d’expression et de communication aujourd’hui indispensables face à la basse collaboration des médias français avec le pouvoir.

https://multipol360.com/extremes-tensions-au-nepal-une-lecon-pour-la-france/

En France, où la défiance grandit, ce parallèle interroge : jusqu’où tolérer l’accumulation de frustrations avant un basculement similaire ?

Le coin des vidéos:

Images prises par un drone du palais gouvernemental en feu au Népal.

Il n'y a plus de parlement au Népal.

Battez-vous, Népal ! Renversez votre gouvernement communiste !

 Les jeunes népalais ont applaudi l'armée pour les avoir protégés contre les attaques de la police !

Au Népal, des manifestants capturent des politiciens et les jettent dans la rivière. 

 

Le Népal s'est libéré de sa tyrannie communiste, en mettant les politiciens gauchistes corrompus à leur place et en leur donnant une bonne correction. Merci d'avoir montré au monde entier comment finissent les tyrans communistes. Un dirigeant communiste mis à nu et balancé au bord de la rivière, ci-dessous:

Les opprimés dévorent les oppresseurs au Népal.
John Mbadi, originaire du Népal, a été battu comme un tambour Roho Samia.

 Après une semaine de violents affrontements et la chute du gouvernement, c’est sur Discord que 200 000 internautes ont élu leur nouvelle Première ministre. 

Un soulèvement inédit.

l.lepoint.fr/eTw 

septembre 09, 2025

Le conflit entre ploutocratie et démocratie par William Graham Sumner

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Dans cet article, initialement publié dans The Independent, Sumner soutient que la démocratie est vulnérable à l'influence ploutocratique.

 

Tous les hommes riches ne sont pas des ploutocrates. Dans les nations classiques, on considérait que le commerce et l'industrie étaient dégradants pour l'homme libre ; quant au commerce, on croyait que tout marchand était nécessairement un escroc, qu'il devait recourir à la ruse par nécessité et que son métier lui avait inculqué une certaine fourberie et une malhonnêteté mesquine. Quant à l'artisanat, on affirmait qu'il déformait le corps de l'homme et accaparait son esprit et son temps, de sorte qu'il en ressortait brisé dans son âme, ignorant et sordide. Les mêmes idées concernant le commerce et, en partie, l'artisanat, ont prévalu tout au long du Moyen Âge.

La civilisation classique reposait sur l'esclavage humain. C'est pourquoi elle s'est épuisée, elle s'est consumée. Elle a atteint son apogée en termes d'organisation et de développement, puis a commencé à gaspiller son capital et à épuiser ses matériaux et ses processus. Il est toutefois évident que toute civilisation avancée doit être produite et soutenue par une force adéquate. Dans le cas que nous venons de mentionner, il s'agissait du courage et de la force physique des hommes. Aujourd'hui, la civilisation moderne repose sur le capital, c'est-à-dire sur des outils et des machines qui asservissent les forces naturelles et les mettent au service des tâches pénibles. C'est ce qui a permis d'émanciper les esclaves et les serfs, de libérer la masse de l'humanité du travail pénible qui déforme le corps et épuise l'esprit, tout en produisant une civilisation avancée et en évitant l'usure des hommes.

La « dignité du travail » et le « pouvoir du capital » sont donc tous deux le produit du même mouvement moderne. Ils vont de pair ; c'est le pouvoir du capital qui a mis fin à la servilité du travail ; c'est le pouvoir du capital qui a libéré les femmes de la corvée du moulin à grains et de la salle de filature ; c'est le pouvoir du capital qui a permis aux hommes modernes de continuer à exploiter les mines et les carrières sans misère, alors qu'à l'époque classique, ces formes de travail étaient si pénibles que seuls les pires criminels ou les esclaves les plus bas étaient condamnés à les exercer. Toute civilisation élevée est contre nature, dans la mesure où elle est le produit de l'art et de l'effort. Elle est donc instable, prête à retomber à son niveau d'origine si la force et l'intelligence qui la produisent et la maintiennent venaient à faillir. Notre civilisation est soutenue par le capital et la science moderne ; si l'un ou l'autre venait à faillir, si nous épuisions notre capital ou si notre science n'était pas à la hauteur des tâches qui lui incombent, notre civilisation déclinerait.

 La dignité du capital est corrélative à la dignité du travail. Le capitaliste n'est pas simplement tombé sous le coup de l'interdiction dont le travailleur a échappé ; les temps modernes ont produit des classes d'hommes, maîtres de l'industrie et accumulateurs de capital, qui comptent parmi les produits les plus distincts et les plus particuliers des temps modernes. À quelle autre époque de l'histoire une telle classe d'hommes a-t-elle existé ? Il y a eu, dans le passé, de grands marchands qui ont montré que l'idée d'un marchand comme d'un homme qui triche sur les poids et parie sur les différences est une calomnie méprisable et ignorante ; les grands maîtres de l'industrie, cependant, sont quelque chose d'entièrement moderne, et les invectives à l'encontre de cette classe, qualifiée de parasites, de pillards, de spéculateurs et de monopoleurs, sont aussi ignorantes et inexcusables que les anciennes idées fausses sur les ouvriers, qui sont désormais dépassées. Un grand capitaliste n'est pas nécessairement un ploutocrate, pas plus qu'un grand général n'est un tyran.

Un ploutocrate est un homme qui, possédant du capital et disposant du pouvoir qu'il confère, l'utilise non pas dans le domaine industriel, mais dans le domaine politique ; au lieu d'employer des ouvriers, il recrute des lobbyistes. Au lieu d'investir son capital dans la terre, il opère sur le marché par le biais de la législation, de monopoles artificiels, de privilèges législatifs ; il crée des emplois et met en place des combinaisons mi-politiques, mi-industrielles ; il exploite les vices industriels, fait de la vénalité un moteur, dépense son ingéniosité non pas dans les processus de production, mais dans la « connaissance des hommes » et dans les tactiques du lobbying. Le système industriel moderne lui offre un champ d'action magnifique, souvent bien plus profitable que celui de l'industrie légitime.

Je soutiens donc qu'il est de la plus haute importance que nous reconnaissions la vérité sur le capital et les capitalistes, afin de rejeter le flot d'absurdités et d'abus qui circule à leur sujet ; que nous fassions la distinction entre le faux et le vrai, le bien et le mal, et que nous nous forgions surtout une idée claire de l'ennemi social et politique, distinct de tous les autres. L'histoire récente de tous les États civilisés du monde montre l'avancée de la ploutocratie et ses effets néfastes sur les institutions politiques. Comme d'habitude, les abus et les vices côtoient de près les institutions nécessaires et légitimes. Les regroupements de capitaux sont indispensables, car nous avons des objectifs à atteindre qui ne peuvent être réalisés d'aucune autre manière ; les monopoles existent dans la nature et, même s'ils sont fortement modifiés par l'art, ils ne cessent jamais d'avoir leur effet. La spéculation est une fonction légitime de l'organisation, et non un abus ou un tort public. Les trusts, bien que leur nom soit une erreur, sont manifestement de plus en plus nombreux dans le monde entier et sont en grande partie le résultat des moyens de communication modernes, qui ont permis à des personnes ayant un intérêt commun, bien que dispersées sur toute la terre, si leur nombre n'est pas trop important, de former des combinaisons pour l'exploitation d'un monopole naturel. Que gagne-t-on à dénoncer sans discernement ces phénomènes ou à confondre indistinctement les définitions ? Une telle attitude n'aura pour seul effet que d'alimenter les abus et de détruire les utilités.

La première réaction, lorsqu'un phénomène social ou industriel qui n'est pas considéré comme bon ou agréable se présente, est de dire qu'il faut adopter une loi pour le combattre. Si la ploutocratie est un abus de la législation et des institutions politiques, comment la législation peut-elle y mettre fin ? Le problème est que les institutions politiques ne sont pas assez fortes pour résister à la ploutocratie ; comment pourraient-elles alors la vaincre ? La démocratie redoute particulièrement la ploutocratie, et à juste titre.

Il n'existe aucune forme de pouvoir politique aussi inadaptée à la ploutocratie que la démocratie. La démocratie dispose d'un ensemble d'institutions qui sont extra-légales, mais qui constituent ses éléments les plus puissants : l'organisation des partis, les primaires, les conventions, etc. Tout cet appareil est bien adapté aux objectifs de la ploutocratie : il concerne la phase de formation de l'activité politique ; il fonctionne en grande partie dans le secret ; il dispose d'un champ d'action vaste mais indéfini de dépenses légitimes, ou quasi légitimes, qui ne font l'objet d'aucun contrôle. Comme les opérations de cet appareil sont extra-légales, elles sont irresponsables, mais elles touchent et contrôlent les fonctions publiques et civiles. Même dans le domaine des institutions constitutionnelles, la ploutocratie entre toujours en lice avec un petit groupe, une organisation solide, une motivation puissante, un objectif précis et une discipline stricte, tandis que de l'autre côté se trouve un groupe important et désorganisé, sans discipline, avec des idées indéfinies, des intérêts mal compris et des bonnes intentions indéfinies.

Si la législation est appliquée au contrôle des intérêts, en particulier lorsque ces derniers sont favorisés par les circonstances, le seul effet obtenu est d'imposer à ces intérêts des modes d'action plus sournois et plus secrets. M. Adams affirme que, depuis l'adoption de la loi sur le commerce interétatique, les méthodes des cheminots sont devenues plus viles et plus secrètes que jamais. Le législateur, dans ses efforts pour réussir dans son entreprise, ne peut que sacrifier davantage les droits ouverts et honnêtes qui sont à sa portée, tout comme le gouvernement russe, en essayant d'atteindre les éléments mécontents de sa société et de les écraser par la sévérité, ne fait que causer des inconvénients et des pertes illimités aux honnêtes gens, sans pour autant attraper les nihilistes. Dans une démocratie, en fin de compte, la lutte entre le nombre et la richesse n'est rien d'autre qu'une lutte entre deux groupes d'avocats, l'un rédigeant des lois au nom de l'État, l'autre imaginant des moyens de contourner ces lois au nom de ses clients. Ce dernier groupe est bien mieux rémunéré en termes de considération, de sécurité et d'argent.

Je maintiens donc qu'il s'agit là d'une lutte déplorable, dans laquelle tout ce qui nous est cher, en termes d'intérêt public, est en jeu, et que la politique la plus sage à cet égard consiste à réduire au minimum les relations entre l'État et l'industrie. Tant que ces relations existent, tous les intérêts industriels sont plus ou moins contraints d'employer des méthodes ploutocratiques. La corruption est peut-être plus grande chez ceux qui les exercent que chez ceux qui en sont les objets. Le laissez-faire, loin d'être ce qu'il semble être dans la plupart des discussions actuelles, touche au cœur même de la morale, de la politique et de l'économie politique des questions publiques les plus importantes de notre époque. 


 William Graham Sumner était professeur d'économie politique à Yale et a fait œuvre de pionnier en sociologie à une époque où cette discipline en était encore à ses balbutiements. Outre ses travaux universitaires couvrant une multitude de disciplines, il a rédigé des essais populaires pour des publications telles que Harper's Weekly.

Source ici

 

 

 

 

septembre 07, 2025

Opinion avec Charles Rojzman ?

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La « Palestine » est un mirage où se concentrent les nostalgies et les humiliations d’un islam qui n’a jamais cessé de se rêver empire.
 
Elle figure l’ombre portée d’une grandeur perdue, d’un âge où l’histoire semblait offrir à cette religion, jugée par ses fidèles comme la dernière, la meilleure, la plus parfaite, la souveraineté sur les hommes et sur le monde. 
 
 Le conflit israélo-arabe n’est pas seulement une lutte de frontières : il est une plaie ouverte dans l’âme musulmane, chaque musulman vivant la victoire d’Israël comme le miroir de sa propre défaite, chaque échec arabe comme un rappel de la disgrâce. À la domination passée de l’Occident chrétien s’ajoute la réussite éclatante d’un peuple que l’on rêvait condamné à l’infériorité : double humiliation, sur laquelle se greffent les fantasmes de l’apartheid et les cris de l’oppression.
 
Car il y a un gouffre entre les promesses du Livre et la réalité quotidienne : un Allah qui a promis le règne et la justice, et des régimes arabes qui s’enlisent dans la corruption, la pauvreté, la guerre civile, l’exil massif de leurs propres enfants. Ce gouffre engendre jalousie, ressentiment, paranoïa.
 
Le Palestinien de Gaza ou du Liban, l’immigré de Tunis ou de Saint-Denis, tous se vivent comme des victimes d’un complot permanent, d’une hostilité implacable. Et cette victimisation se transmue en une exaltation du djihad, en une sacralisation de la haine, en une ivresse morbide où l’on croit reconquérir sa dignité en versant le sang.
 

 
 Mais ce sang ne lave rien. Il ne comble pas la béance intérieure d’un monde incapable d’accepter sa faillite, d’un homme qui refuse de se regarder en face. Au lieu de s’aimer dans ses limites, au lieu de consentir à l’imperfection qui est la loi de toute créature, le musulman est maintenu dans l’illusion d’un absolu qui l’empoisonne : Dieu lui dicte qui est aimé et qui ne l’est pas, qui mérite de vivre et qui doit disparaître. L’amour de soi, seul remède, est alors impossible : la haine des autres occupe toute la scène.
 

 
 Et derrière ce théâtre de l’absolu se cache un désespoir nu : celui d’un islam qui ne supporte pas de n’être plus empire, et qui préfère rêver sa grandeur perdue plutôt que de bâtir une vie commune avec ses propres failles. La « Palestine » n’est alors rien d’autre que ce rêve éveillé : un drapeau troué planté sur le tombeau d’une civilisation qui se refuse à son deuil.

 

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