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septembre 16, 2025

Elon Musk !! Quel coup de génie !! Vente de X & Tesla en cours...

Sa société d'IA, xAI, vient de racheter X (anciennement Twitter) dans une transaction massive de 33 milliards de dollars.
‎En surface, cela ressemble à une simple restructuration d'entreprise. Mais en réalité, Musk vient peut-être de prendre de vitesse toute l'industrie de l'IA.
 

 
‎Voici pourquoi cela change tout :
‎ 1✅ X est évalué à 33 milliards de dollars
‎ 2✅ xAI vaut désormais 80 milliards de dollars
‎ 3✅ La transaction s'est faite entièrement en actions, excluant les 12 milliards de dollars de dette de X
 
‎À première vue, on pourrait croire que Musk y perd... après tout, il avait payé 44 milliards de dollars pour Twitter à l'origine. Mais ici, cela ne concerne pas uniquement les réseaux sociaux.
‎Il concerne quelque chose de bien plus précieux : les données.
 
‎ En 2022,les gens étaient perplexes. Pourquoi l'homme le plus riche du monde, connu pour construire des fusées et des voitures électriques, voudrait-il d'une plateforme sociale en difficulté ?
‎Aujourd'hui, la réponse est claire : Twitter (devenu X) n'a jamais été un simple réseau social, c'était un moteur de données massives en temps réel.
 
‎Avec 600 millions d'utilisateurs actifs générant un flux constant de conversations, d'opinions et d'événements en temps réel, X est une mine d'or pour entraîner des modèles d'IA.
‎Et c'est exactement ce dont xAI a besoin pour rivaliser avec OpenAI, Anthropic et Google.
‎Le timing n'est donc pas une coïncidence
 
‎... La preuve, Il y a seulement quelques mois, xAI avait sécurisé un financement de 6 milliards de dollars avec une valorisation de 24 milliards. Désormais, après cette acquisition, sa valorisation s'envole à 80 milliards (dépassant même la croissance d'OpenAI).
 
‎Pourquoi est-ce important ?
‎ La plupart des entreprises d'IA peinent à obtenir des données de qualité et réalistes. Leurs modèles dépendent de jeux de données préexistants et obsolètes qui ne reflètent pas le comportement humain en temps réel.
‎ Mais xAI a désormais quelque chose que ses concurrents n'ont pas: un accès direct et en temps réel aux interactions humaines.
 
‎Cela signifie :
‎1 ✅Des modèles d'IA plus humains
‎2 ✅Un avantage compétitif dans les applications temps réel
‎3 ✅La capacité d'entraîner l'IA sur les informations les plus récentes disponibles
 
‎Que va-t-il se passer ensuite ?
‎ L'avenir nous le dira...
‎Une chose est sûre, cette fusion ne se résume pas à un assistant IA intégré à X. Elle pose les bases de quelque chose de bien plus grand.
‎Musk ne se contente pas de rivaliser avec OpenAI, Google et Anthropic. Il change complètement la donne.
 

Elon Musk annonce que sa start-up d’IA, xAI, a racheté X

 Le milliardaire a annoncé vendredi que son entreprise d’intelligence artificielle avait acquis le réseau social pour un montant de 33 milliards de dollars.

Elon Musk a annoncé vendredi que sa start-up d’intelligence artificielle (IA) générative, xAI, avait acquis X, son réseau social, «dans le cadre d’une transaction entièrement en actions», qui valorise la plateforme à 33 milliards de dollars hors dette.

«Les avenirs de xAI et de X sont intimement liés», a-t-il assuré dans un message sur X. Le patron de Tesla et SpaceX avait racheté Twitter fin 2022 pour 44 milliards de dollars et s’est servi du réseau social notamment pour faire campagne pour Donald Trump.

Selon le milliardaire, combiner les données, les modèles d’IA, les capacités informatiques et les ressources humaines des deux entreprises va permettre à la nouvelle entité de proposer des «services plus intelligents et plus rentables».

Il estime qu’associer «les capacités et l’expertise de xAI en matière d’IA avancée à la portée massive de X» va «libérer l’immense potentiel» de la société. Plus de 600 millions d’utilisateurs se servent de X, a-t-il affirmé, sans donner de fréquence.

xAI valorisé à 80 milliards de dollars

L’opération «valorise xAI à 80 milliards de dollars et X à 33 milliards de dollars (45 milliards moins 12 milliards de dollars de dettes)», a-t-il encore indiqué.

L’entrepreneur a fondé xAI en 2023, en réaction au succès de ChatGPT, le pionnier de l’IA générative lancé fin 2022 par OpenAI, une start-up qu’il avait contribué à fonder avant de couper les ponts avec les autres fondateurs.

xAI a mis au point son propre chatbot, Grok, qui a l’avantage d’être alimenté par l’ensemble des conversations sur X. Il est censé donner des réponses moins «woke» et faire plus d’humour.

L’homme le plus riche au monde a conclu son message sur X en affirmant que la fusion de ses deux entreprises va permettre de «construire une plateforme qui ne se contente pas de refléter le monde, mais qui accélère activement le progrès humain».

Source 


 

 Tesla a officiellement déposé une proposition d'investissement dans xAI 👀


Les actionnaires sont invités à voter « OUI » en invoquant les synergies dans les domaines de l'IA, de la robotique et de l'énergie, Grok étant déjà intégré dans les véhicules Tesla.


 

"Ok mais quelques sujets à traiter 

Régulation (rgpd) Qualité des données... Confiance (quid de la perception des utilisateurs) Cout/renta (si les couts explosent (opé/infra/modé./régul) -> quid de la renta (revenu pub ?) Technique (pas trivial) Mais ça reste un coup de génie..."RZDZ

 

 

 

septembre 09, 2025

La survie de la gauche ! Médiatiser pour désinformer...Donner pour reprendre....CQFD !

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Les biologistes expliquent comment les organismes s'adaptent à leur environnement physique, mais les idéologues s'adaptent également à leur environnement social. Le fait le plus fondamental concernant les idées de la gauche politique est qu'elles ne fonctionnent pas. Il ne faut donc pas s'étonner de la trouver concentrée dans des institutions où les idées n'ont pas besoin de fonctionner pour survivre.


Le monde universitaire est le terrain de jeu des idées bancales, à l'exception des domaines où des épreuves décisives sont nécessaires, comme les sciences, les mathématiques, l'ingénierie, la médecine et le sport. Dans tous ces domaines, chacun à sa manière, il arrive un moment où il faut accepter ou se taire. Il n'est pas surprenant que tous ces domaines constituent des exceptions notables à la domination totale de la gauche sur les campus à travers le pays.


Dans les sciences humaines, par exemple, le test du déconstructionnisme ne consiste pas à savoir s'il peut produire des résultats tangibles, mais s'il reste en vogue. Tant que c'est le cas, les professeurs habiles dans l'art de la prestidigitation verbale peuvent s'attendre à continuer de percevoir des salaires à six chiffres.

On pourrait penser que l'effondrement du communisme dans toute l'Europe de l'Est serait considéré comme un échec décisif pour le marxisme, mais les marxistes universitaires américains ne se laissent pas décourager. Leurs salaires et leur titularisation ne sont pas affectés. Leurs théories continuent de fleurir dans les salles de classe et leurs revues continuent d'encombrer les étagères des bibliothèques.

Le socialisme en général a un bilan d'échecs si flagrant que seuls les intellectuels peuvent l'ignorer ou l'esquiver. Même les pays qui étaient autrefois plus prospères que leurs voisins se sont retrouvés beaucoup plus pauvres que ces derniers après seulement une génération de politiques socialistes. Que ces pays voisins soient le Ghana et la Côte d'Ivoire ou la Birmanie et la Thaïlande, l'histoire est la même partout dans le monde.

 Discréditées ailleurs, les recettes miracles de la gauche continuent de vivre à la télévision publique.

Et l'échec économique n'est pas le pire. Les millions de personnes massacrées par Staline, Mao et Pol Pot pour des raisons politiques constituent une réalité encore plus sinistre.

Les personnes qui vivent et travaillent dans un monde où il y a des résultats financiers à atteindre, des tableaux d'affichage sportifs, des champs de bataille militaires ou des opérations chirurgicales où il est question de vie ou de mort peuvent avoir du mal à apprécier pleinement la différence entre ce type de monde et un monde où le seul critère décisif est de savoir si vos collègues apprécient ce que vous dites.

Le monde universitaire n'est qu'un des domaines où règnent des critères entièrement subjectifs et où les gauchistes prédominent. Les institutions dotées de fonds, telles que les fondations et les musées, ne sont souvent soumises à aucun autre critère que ce que des personnes partageant les mêmes idées trouvent « passionnant » et ce qui permet à ceux qui dirigent ces institutions d'éprouver le sentiment grisant de « faire la différence ». Il en va de même pour les institutions culturelles soutenues involontairement par les contribuables, telles que le Smithsonian ou le National Endowments for the Arts and the Humanities.

La radio et la télévision « publiques » financées par les contribuables sont également coupées de la réalité et dominées par la gauche, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans d'autres pays. Toutes les recettes miracles de la gauche qui ont affamé des millions de personnes dans des pays qui avaient autrefois des excédents alimentaires à exporter, toutes les belles paroles et les réalités sordides qui ont poussé des millions d'autres personnes à fuir leur terre natale, ces recettes miracles perdurent à la télévision publique, un peu comme les vieux films classiques dont les répliques familières peuvent être récitées par les amateurs en même temps que les personnages à l'écran.

Ces institutions privilégiées et isolées, souvent méprisantes envers les valeurs de la société américaine et de la civilisation occidentale, ne sont pas les seuls bastions de la contre-culture de gauche. Hollywood et Broadway le sont également. Bien que le monde du spectacle soit confronté à la nécessité financière d'attirer un public, la véracité de ce qu'il représente n'est guère cruciale. S'il parvient à rendre ses productions percutantes et sexy, ceux qui se plaignent des inexactitudes historiques et des préjugés idéologiques peuvent être écartés comme des pédants insignifiants. Pourquoi les gauchistes parviennent-ils à évincer les autres types de personnes de ces lieux ? Parce que ceux qui sont prêts à se soumettre à l'épreuve de la réalité, qu'ils soient hommes d'affaires sur le marché ou chirurgiens dans une salle d'opération, ont beaucoup d'autres endroits où travailler et vivre. Ils n'ont pas besoin de niches protégées spéciales pour se cacher et chérir leurs précieuses idées.

L'adaptation darwinienne à l'environnement s'applique non seulement à la nature, mais aussi à la société. Tout comme on ne trouve pas d'aigles vivant dans l'océan ou de poissons vivant au sommet des montagnes, on ne trouve pas de gauchistes concentrés là où leurs idées doivent faire leurs preuves. 

  • Le socialisme a un record d'échecs si flagrant que seul un intellectuel pourrait l'ignorer.
Thomas Sowell

 


Le Dr Thomas Sowell est économiste et chercheur principal à la Hoover Institution de Stanford, en Californie.

https://www.forbes.com/forbes/1997/0908/6005128a.html?sh=44d00e08c4c3



septembre 08, 2025

Le réseau Soros : un cheval de Troie mondialiste dans le viseur de Trump

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George Soros, milliardaire hongro-américain, a bâti un empire philanthropique via les Open Society Foundations (OSF), https://www.opensocietyfoundations.org/ présenté comme un défenseur de la « société ouverte » inspirée du philosophe Karl Popper. Cette vision philosophique, centrée sur la fallibilité humaine et la réflexivité, sert de cadre à des interventions globales promouvant l’ouverture des frontières, les droits humains et la démocratie. Pourtant, derrière cette façade humaniste se cache une stratégie visant à éroder les valeurs ancestrales du monde entier – familiales, spirituelles, communautaires – au profit d’un ordre matérialiste, robotisé et impersonnel où dominent les logiques marchandes et la surveillance technocratique.
 

 
 Les OSF, fondées en 1979, ont dépensé plus de 23 milliards de dollars en trois décennies, avec un budget annuel avoisinant 1,7 milliard en 2023, finançant des milliers d’organisations dans plus de 100 pays. Soros, influencé par Popper, voit dans les sociétés fermées des ennemis du libéralisme, réduisant l’histoire occidentale à une généalogie totalitaire de Platon à Marx, ignorant les traditions réalistes comme l’augustinisme ou le thomisme. Sa théorie de la réflexivité – où les actions influencent la réalité perçue – s’applique non seulement à la finance, où il a spéculé sur des crises comme celle de la Banque d’Angleterre en 1992, mais aussi à la politique, transformant les sociétés en systèmes cybernétiques manipulables.
 
La façade humaniste : ingénierie sociale et déconstruction globale
Les OSF se présentent comme promoteurs de justice raciale, d’éducation et de réformes judiciaires, soutenant des mouvements comme Black Lives Matter avec des dizaines de millions de dollars. En réalité, ces financements alimentent une ingénierie sociale inspirée de Gregory Bateson et de la cybernétique, utilisant la « schismogenèse » pour fracturer les sociétés sur des lignes ethniques, culturelles ou identitaires.
Soros, élève de Popper, distingue une ingénierie utopiste menant au totalitarisme, mais son projet d’ouverture forcée impose un impératif catégorique : toute fermeture est réactionnaire, fasciste.
En Europe, via des think tanks comme l’European Council on Foreign Relations (ECFR), https://ecfr.eu/ fondé en 2007 avec des fonds OSF représentant un tiers de son budget (plus de 2 millions d’euros en 2017), Soros influence les politiques étrangères. L’ECFR, regroupant des figures comme Nathalie Loiseau ou Ursula von der Leyen, pousse pour une intégration européenne alignée sur le globalisme, favorisant l’immigration massive et la déconstruction des souverainetés nationales. Des analystes brésiliens comme William Gonçalves dénoncent cette interférence comme une menace à la démocratie, contrastant avec des visions trumpiennes du globalisme comme ennemi.
 

 
 Suppression des valeurs ancestrales : du local au global
Le réseau Soros cible les valeurs ancestrales au-delà de l’Occident. En Afrique, des financements soutiennent des flux migratoires qui déstabilisent les structures tribales et familiales, favorisant un nomadisme matérialiste. En Asie, des nations comme l’Inde ou le Kazakhstan rejettent ses interventions pour atteinte à l’intérêt national. Les révolutions colorées – en Géorgie, Ukraine ou Kirghizistan – maquillent des coups d’État en soulèvements populaires, financés par OSF pour « ouvrir » des marchés et imposer le libéralisme. Soros admet son rôle en Ukraine en 2014, utilisant même des dynamiques antisémites structurelles pour des fins antirusses.
Cette déconstruction favorise un monde robotisé : algorithmes de surveillance, consommation effrénée, réification de l’humain en objet connecté. Promotion d’idéologies woke, LGBTQ et climatiques via USAID, érodant les repères spirituels et communautaires. En Hongrie, Viktor Orbán a expulsé les OSF en 2018 pour avoir miné l’identité chrétienne ; en Russie, elles sont « indésirables » depuis 2015. Des philosophes comme Alexandre Douguine voient dans l’immigration massive un pilier sorosien du libéralisme, impossible à contrer sans vaincre l’idéologie.
 

 
 Le cheval de Troie des mondialistes : financements occultes et totalitarisme déguisé
Soros incarne un « philanthropocapitalisme » globaliste, court-circuitant les processus démocratiques via des think tanks (groupes de réflexion) et ONG. L’ECFR, modelé sur le Council on Foreign Relations américain, https://www.cfr.org/ oriente l’Europe vers un extrême-centre, finançant des plans migratoires comme celui de Merkel en 2015, calqué sur des propositions sorosiennes. Des liens avec USAID https://multipol360.com/lusaid-a-finance-une-plateforme.../ transforment l’aide en outil d’influence, finançant des procureurs aux États-Unis qui refusent de punir les crimes, contribuant au chaos urbain.
 
Elon Musk a accusé George Soros de « haïr l’humanité » https://edition.cnn.com/.../business/elon-musk-george-soros et de vouloir éroder la civilisation par le biais de ses fondations. Soros a admis avoir nourri des « fantasmes messianiques » dès l’enfance, qu’il a pu réaliser grâce à sa fortune, révélant ainsi une hubris mégalomane. Cependant, son empire philanthropique se contracte https://www.alliancemagazine.org/.../the-osf-cuts-show.../ : passant d’une présence dans plus de 100 pays à une structure réduite avec des fermetures d’offices régionaux, des effectifs ramenés à moins de 600 employés et une restructuration impliquant des coupes budgétaires significatives. 
 

 
 Vers un réveil des peuples : résistance aux forces matérialistes
Le paradoxe sorosien est flagrant : promouvoir l’ouverture mène à un totalitarisme technocratique, avec frontières internes, surveillance et concurrence fracturée pour un contrôle supranational. Des leaders comme Trump appellent à des enquêtes RICO https://www.lefigaro.fr/.../donald-trump-menace-de... contre Soros pour organisation de manifestations violentes. En Birmanie, Russie ou Chine, ses fondations sont chassées ; aux États-Unis, des réseaux comme ceux de Musk contrebalancent son influence.
 
Pour contrer ce cheval de Troie, réguler les financements étrangers des ONG et revitaliser les identités culturelles est impératif. Les valeurs ancestrales – famille, spiritualité, communauté – sont le rempart contre un monde impersonnel où l’humain est réduit à un consommateur sous algorithmes. Le réseau Soros, malgré sa façade, menace la civilisation ; son exposition annonce un réveil global des peuples.
 
 
"Trump s’attaque à Soros… et la secousse arrive jusqu’à Paris !
Donald Trump a ouvertement réclamé l’inculpation de George Soros et de son fils Alexander sous le RICO Act pour leur rôle dans le financement et l’orchestration des mouvements violents aux États-Unis.
👉 Et là où ça devient explosif : Alexander Soros est un soutien affiché d’Emmanuel Macron. Ce n’est pas une rumeur, c’est documenté : le fils Soros a ses entrées à l’Élysée et se vante de ses relais en Europe.
👉 Encore plus révélateur : Nathalie Loiseau, eurodéputée macroniste, est membre active du réseau “Soros Europe”. Autrement dit, les petites mains françaises de Macron participent à la même toile mondialiste qui agit dans l’ombre à Washington, Bruxelles et Paris.
 

 
💥 Quand Trump dit « nous surveillons Soros et son groupe de psychopathes », cela veut dire que les ramifications européennes ne seront pas épargnées.
💥 Macron le sait : si Soros tombe, tout son réseau d’influence s’effondre avec lui.
C’est donc la panique à l’Élysée.
⚠️ Retenez bien ceci : Soros, c’est l’idéologie mondialiste, l’immigration incontrôlée, la déconstruction des nations, la guerre permanente.
Si Trump fait tomber Soros, c’est tout le château de cartes mondialiste qui s’écroule — y compris en France.
Ça pourrait bien saigner si ils n'arrivent pas à assassiner Trump !
SATCH"

Patricia Bitschnau

 

février 16, 2025

USAID (Agence des États-Unis pour le développement international)

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Pendant des années, les médias nous ont rabâché que la Russie manipule les élections, qu’elle finance des campagnes de désinformation en France et partout le monde…
 
 

 
Mais qui finance les ONG occidentales, les journalistes, les laboratoires, les coups d’État ?
 
Voici le vrai visage de l’USAID, ses liens avec BigPharma, Bill Gates, George Soros et le WEF :
Dans les années 1990, 300.000 femmes indigènes ont été stérilisées sans leur consentement dans le cadre d’un programme de contrôle démographique au Pérou.
Qui finançait ? L’USAID.
 
Et pire encore : les fonds étaient alloués en fonction du nombre d’opérations pratiquées.
Entre 2013 et 2019, 122 millions de dollars d’aide alimentaire envoyée en #Syrie ont été détournés par Mahmoud Al Hafyan au profit de groupes affiliés à Al-Qaïda.
9 millions de dollars ont été directement versés à des terroristes.
 
 

 
Alors est-ce une perte de contrôle de l’USAID ou un financement déguisé du chaos ?
La suite permet d’avoir de sérieux doutes
En 2017, l’ONG Children of God Relief Institute est accusée d’avoir couvert des abus sexuels sur des enfants.
Son principal bailleur de fonds ? L’USAID, avec 29,3 millions de dollars.
Encore une horreur sans nom dans laquelle l’USAID trempe…
 
En 2022, l’ambassade des EtatsUnis a alloué 10.000 dollars au Festival Queer Lisboa pour promouvoir des films à thématique incestueuse.
Un scandale dénoncé par Marco Rubio, mais totalement passé sous silence par les médias.
On se demande bien pourquoi
 

 
 
L’USAID, c’est 6 200 journalistes et 707 médias financés en 2023 dans 30 pays.
En Ukraine, 9 médias sur 10 dépendent de ces subventions.
En clair : 800 millions d’auditeurs minimum ont été trompés par une information biaisée et tronquée.
Parmi les médias touchés : 
 
 

 
Politico a reçu 44 000$ en “frais d’abonnement” entre 2023 et 2024.
BBC Media Action (différent de BBC News) a obtenu 3,2 millions de dollars pour des “projets éducatifs”.
Mais l’USAID ne se contente pas de financer, elle formate :
279 ONG ont été formées aux “bonnes pratiques journalistiques”, notamment au fact-checking pro-occidental en Géorgie et en Ukraine.
Et la France dans tout ça ?
 
L’USAID a accordé 778 millions de dollars à Internews entre 2015 et 2025.
L’AFP n’apparaît pas dans les subventions directes, mais elle bénéficie des fonds USAID via des services d’information mutualisés dont Internews.
Mieux encore : des journalistes AFP ont été formés par l’USAID aux ateliers de “fact-checking”.
Résultat ?
 
L’USAID, c’est aussi 40 milliards de dollars en 2023 pour l’achat de médicaments, redistribués principalement à J&J, Pfizer et Gilead, et une couverture médiatique qui protège ces grands groupes pour vendre un maximum de vaccins.
Pfizer engrange 122 milliards grâce aux vaccins et au Paxlovid.
Gilead rafle le gros lot avec son traitement contre le VIH : 92 milliards de dollars de revenus prévus d’ici 2029.
ViiV Healthcare (GSK) bénéficie de 20 milliards pour son antirétroviral, massivement diffusé en Afrique via PEPFAR.
Derrière ces chiffres, quelques “coïncidences” troublantes :
• Samantha Power, ex-directrice USAID, siégeait chez Gilead.
• Peter Marocco, actuel patron USAID, était lobbyiste pour Pfizer.
• 57% des employés de l’USAID viennent de l’industrie pharmaceutique.
Et les philanthropes dans tout ça ?
L’Agence France Presse a publié 12 articles en 2024 démentant des "fake news" sur l'USAID, dont une vérification des paiements à des célébrités.
 
 

 
Mais ce n’est pas tout :
L’USAID, c’est aussi la grande alliée de la Fondation Bill & Melinda Gates, via Gavi, l’Alliance du vaccin.
Entre 2021 et 2025, l’agence américaine a injecté 1,58 milliard de dollars dans Gavi, ce qui en fait le 2ᵉ plus gros contributeur après le Royaume-Uni.
En 2021, elle a aussi versé 4 milliards de dollars à COVAX (Gavi) pour financer les vaccins COVID, soit un tiers du budget total.
Et qui décide des priorités de Gavi ?
Bill Gates en personne, qui siège aux comités stratégiques et coupe les financements quand ça ne rapporte plus assez.
 
 

 
Mais un autre nom revient souvent dans ces financements :
GeorgeSoros, via le Balkan Media Network.
L’USAID a attribué 270 millions de dollars à l’East-West Management Institute, un satellite d’Open Society.
Cet argent a servi à financer :
• Les révolutions de couleur en Ukraine (Maïdan 2014), Géorgie (2003) et Kirghizstan (2005).
• Les techniques de mobilisation citoyenne du printemps arabe et en Biélorussie (2020).
• 5 milliards de dollars injectés dans des ONG locales en Ukraine entre 1991 et 2014.
Sûrement son attachement inconditionnel aux valeurs démocratiques ?
L’USAID ne finance pas uniquement les médias et des labos pharmaceutiques.
Elle est aussi un acteur clé du Forum Économique Mondial (WEF).
💰 68,3 millions de dollars versés directement au WEF entre 2015 et 2022 pour des projets comme l’Alliance Globale pour la Facilitation des Échanges.
💰Un accord de 52 millions de dollars signé dès 2013 pour des programmes en Afrique et en Asie.
Et plus inquiétant encore, en 2023, au sommet de Davos, l’USAID a lancé le EDGE Fund, un fonds de 50 millions de dollars destiné à privatiser les ressources africaines.
On trouve aussi des projets tels que la Barbados Blue-Green Bank, une initiative “climatique”.
On n’en attendait pas moins du labo de la Grande Réinitialisation
Derrière l’humanitaire, on retrouve toujours les mêmes mécanismes de soft power :
🔸 Détournements massifs vers des groupes armés
🔸 Ingérences électorales sous couvert de “démocratie”
🔸 Financements culturels et médiatiques imposant une vision idéologique
🔸Collusion entre ONG et grandes entreprises privées
Et bien pire encore, dont nous apprendrons probablement bientôt les détails…
 
L’#USAID n’est que l’arbre qui cache la forêt.
Derrière ces scandales se cache une stratégie globale : manipulation des peuples, contrôle des ressources, domination par le “soft power”.
 
Et ce n’est que le début…
▷ Pourquoi l’Occident est en plein déclin (et ce que personne ne veut dire)
▷ Les stratégies militaires de la Russie qui changent la donne
▷ Israël, le 3e Temple et le rôle caché de Trump
▷ Les 3 placements clés à ne surtout pas rater en février 2025
Nos analyses confidentielles, rédigées par des spécialistes comme François Martin, Sylvain Ferreira et Pierre-Antoine Plaquevent, sont disponibles dans la dernière édition de la Revue.
 
GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Olivier Vial : « En France, beaucoup de grandes sociétés se sont laissé infiltrer par la pensée woke ».

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Violences contre les étudiants de l’UNI, censure dans la presse et wokisme, le directeur du laboratoire d’idées indépendant CERU, Olivier Vial, livre son analyse pour Epoch Times.
 
Epoch Times : Ces derniers jours, des étudiants de l’UNI ont été violemment attaqués ou menacés sur plusieurs campus sur l’ensemble du territoire par des militants d’extrême gauche, notamment à Toulouse, mais aussi à Strasbourg, où des membres du syndicat ont été séquestrés. Des menaces de mort ont également été taguées sur le mur de l’université de Nantes. Qui sont les organisations responsables de ces violences ?
 

 
 
Nous avons affaire à des organisations souvent très autonomes assez difficiles à identifier. Cependant, à Strasbourg, nous savons que ce sont des étudiants issus de la Jeune Garde qui ont commis ces violences. C’est un mouvement antifa dont le porte-parole et fondateur est aujourd’hui député LFI, Raphaël Arnaud. Le fameux député fiché S qui a toujours revendiqué l’utilisation de la violence à des fins politiques.
 
À Toulouse, un autre mouvement est apparu. La majorité des agresseurs étaient masqués, mais l’un d’entre eux a été reconnu. Il s’agit d’un des responsables du mouvement Le Poing Levé. Ce dernier est issu de la mouvance trotskyste française et a récemment pris ses distances avec le NPA, le jugeant trop modéré. Il y a aujourd’hui une galaxie de militants d’extrême gauche qui tournent autour de ces deux grands mouvements, qui prônent la violence et l’utilisent quotidiennement.
 
Par ailleurs, le plus inquiétant est de voir cette violence augmenter et de constater qu’une partie non-négligeable des étudiants semblent séduits par certaines de ces organisations, sans cautionner peut-être toutes leurs dérives.
 
Pour autant, à l’université de Bordeaux, le Poing Levé est devenu majoritaire lors des dernières élections étudiantes. Que des organisations d’extrême gauche arrivent à séduire autant d’étudiants malgré leur radicalité et leur violence, est vraiment de nature à inquiéter.
Ces militants d’extrême gauche sont-ils en train d’accentuer leurs attaques ? De se renforcer ?
Oui, très clairement. Ils sont à la fois en train de gagner une bataille culturelle dans une partie très spécifique de la jeunesse étudiante, dans certaines filières, mais aussi dans les cursus de fabrication de nos élites.
 
On sent vraiment une volonté de leur part de créer un climat de tension physique de plus en plus important puisqu’il y a des agressions très régulièrement. Mardi soir, un étudiant s’est également fait agresser dans la région d’Angers par des antifas.
Vous avez publié dans Le Figaro une tribune sur la démission du président du groupe de presse Ebra, Philippe Carli, après que ce dernier a liké des publications de personnalités dites d’ « extrême droite ». Vous êtes à la tête du CERU, qui travaille, entre autres, sur l’état du wokisme en France. Comment interprétez-vous cette démission de Philippe Carli ?
 
Il y a un lien très intéressant entre ce que nous venons d’aborder et ce qui est arrivé à Philippe Carli. Mark Bray, le chercheur américain penseur de l’antifascisme, expliquait, en 2018, qu’il fallait développer une nouvelle stratégie face à ce qu’il appelle le « fascisme du quotidien ».
Elle part du constat qu’on ne peut pas toujours faire changer les idées d’une personne, mais que nous pouvons les rendre trop coûteuses socialement, professionnellement et physiquement pour qu’elles soient défendues ouvertement.
 
Il s’agit d’empêcher des personnes de défendre leurs idées, soit en les menaçant physiquement – ce que subissent aujourd’hui les militants de l’UNI sur les campus -, soit en menant des campagnes de harcèlement visant à leur faire perdre leur emploi, leurs amis, etc. Ces campagnes de harcèlement conduisent à ce qu’on appelle la cancel culture.
C’est exactement ce qui s’est passé dans le cas de Philippe Carli, puisque des militants se sont d’abord plaints du fait qu’il ait liké certaines personnalités que ces gens considèrent comme d’extrême droite.
Cela ne devrait jamais être une cause de licenciement ou d’une campagne de harcèlement. Le commun des mortels peut liker des publications sur les réseaux sociaux s’il les trouve pertinentes, sans forcément apporter un soutien à l’ensemble des prises de position de la personne « likée ».
 
Malheureusement, c’est le cas aujourd’hui. Le penseur que je viens de citer, Marc Bray, explique qu’il faut pratiquer le « doxing », c’est-à-dire aller faire des recherches sur une personne, voir qui sont ses amis, ses employeurs et harceler l’intégralité de cette chaîne jusqu’à obtenir sa démission.
Ainsi, certains syndicats de journalistes se sont comportés de la sorte avec Philippe Carli. L’affaire a été relayée ensuite par Médiapart et Blast, et cela a fait suffisamment de bruit pour qu’il soit poussé à la démission, puisque l’un des principaux actionnaires du groupe de presse, le Crédit mutuel (qui, selon l’Index du Wokisme en entreprise, n’en est pas à ses premières concessions à l’idéologie woke), a jugé préférable pour la paix des rédactions qu’il se retire.
C’est l’un des cas les plus emblématiques de cette nouvelle forme de censure et d’atteinte à la liberté d’expression.
 
Cette histoire est grave et inédite : on ne condamne pas quelqu’un pour des propos qu’il a tenus, mais simplement pour un like, quelque chose de très anodin !
Et la démission de Philippe Carli ne résulte pas d’une décision de justice, mais de pressions exercées par certains organismes. La pression et les atteintes réputationnelles organisées par des mouvements d’extrême gauche, avec le soutien de certains médias, vont conduire à une vraie privation de liberté d’expression et même de liberté de liker, ce qui est quand même quelque chose de grave.
Le gynécologue de Pau qui n’avait pas souhaité examiner une femme trans a été sanctionné au mois de janvier. Est-il, lui aussi, une victime de l’idéologie woke ?
 
Il y a cette volonté, dans la décision du Conseil de l’ordre des médecins local, de prendre une sanction pour éviter que l’ensemble de la profession ne soit entaché par cette histoire. Mais en faisant ça, l’organisme a commis une vraie erreur d’analyse : la très grande majorité des Français comprend tout à fait que ce gynécologue n’était pas en mesure de recevoir une femme qui était biologiquement un homme. En plus, le secteur de la gynécologie, notamment en province, est extrêmement débordé.
 
Nous avons ici la conjonction d’une forme de cancel culture avec du harcèlement qui va pousser le Conseil de l’ordre à prendre cette mauvaise décision de suspension ; et de l’autre, une tendance liée au wokisme, qui consiste à dire que la société devrait se soumettre à l’autodétermination des gens. Cette philosophie est d’ailleurs défendue par la Haute autorité de santé (HAS, ndlr) quand elle préconise de faciliter les transitions de genre chez les mineurs.
 
Heureusement, cette tendance est encore extrêmement minoritaire, mais on constate qu’elle progresse et qu’elle peut avoir des conséquences assez graves, y compris pour la santé. Regardez ce qui se passe avec les personnes de plus en plus nombreuses qui regrettent d’avoir entrepris des transitions de genre précoces.
 
Aujourd’hui, avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, comment analysez-vous la puissance du wokisme à la fois aux États-Unis et en France ?
Il y a outre-Atlantique une prise de conscience anti-woke. Cette prise de conscience est de plus en plus forte et a notamment permis l’élection de Donald Trump. Les électeurs latinos-américains et une partie des hommes afro-américains ont voté pour lui, précisément à cause de certaines dérives wokistes.
Pour autant, ça ne veut pas du tout dire qu’aux États-Unis et en France, le wokisme est en train de s’affaiblir. Je pense même le contraire. Il existe un risque de réactions wokes aux politiques de Donald Trump et que le mouvement se renforce.
 
Malheureusement en France, on a l’impression que cette prise de conscience contre les dérives du wokisme n’est pas aussi forte qu’en Amérique. Par résistance au trumpisme, beaucoup se déclarent woke !
Et si aux États-Unis, les entreprises commencent à faire machine arrière sur le wokisme, en France, ce n’est pas du tout le cas. Beaucoup de grandes sociétés se sont laissé infiltrer par la pensée woke. On ne voit pas du tout de commencement de retour en arrière.
 

 

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