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septembre 16, 2025

Le NAZISME et le FASCISME viennent TOUJOURS de l'Extrême Gauche ; l'idéologie le SOCIALISME !

Voici un monument NAZI (Socialisme National) avec les mots de l'abominable Hitler lui-même. Traduction : 
 "Je suis SOCIALISTE parce qu'il me paraît incompréhensible de soigner et d'entretenir une machine (outil) avec attention, tout en laissant mourir le plus noble représentant du travail (l'ouvrier) : l'humain lui-même."
Cela pourrait être un discours de Jean-Luc Mélenchon !
 
 

 
 
Et n'oubliez pas de vous renseigner sur Benito Mussolini, ce socialiste pur et dur, d'extrême gauche même ! Benito Mussolini, souvent vénéré ou vilipendé pour son rôle dans l'histoire en tant que dictateur fasciste, a commencé sa carrière politique comme socialiste convaincu. 
 
L'Éveil Socialiste:  
Mussolini est né en 1883, dans une famille d'ouvriers italiens. Son père, forgeron et socialiste fervent, influença profondément ses idées politiques. Benito, du nom de Benito Juárez, un leader révolutionnaire mexicain, fut élevé dans une atmosphère d'idéaux socialistes et républicains. Ce contexte familial planta les graines de son engagement politique socialiste précoce. 
 
La Carrière de Journaliste Socialiste !  
En 1912, Mussolini devint rédacteur en chef du journal socialiste "Avanti!", le quotidien officiel du Parti socialiste italien (PSI). Sa plume acerbe et sa rhétorique le propulsèrent rapidement au centre du mouvement socialiste italien. Mussolini prônait alors des idées marxistes, critiquant vivement le capitalisme et appelant à la révolution prolétarienne. Son influence grandissante au sein du PSI témoigne de son dévouement initial aux principes socialistes.  
 
La Naissance du Fascisme:
Après la guerre, Mussolini fonda les Faisceaux italiens de combat en 1919, qui évoluèrent en Parti national fasciste en 1921. Il fusionna des éléments du nationalisme, du SYNDICALISME et du SOCIALISME pour créer une nouvelle idéologie. Bien que son régime fût anti-communiste, il conserva certaines idées socialistes comme l'interventionnisme étatique dans l'économie et le corporatisme.
 
La Réalité du Socialisme Mussolinien:
Ce parcours démontre que Mussolini n'a jamais véritablement renié ses racines socialistes. Son régime totalitaire fut une fusion perverse de socialisme d'État et de nationalisme extrême. En effet, les politiques économiques de Mussolini, telles que la création de l'Institut pour la Reconstruction Industrielle (IRI) et l'étatisation des industries clés, rappellent les pratiques des régimes socialistes.
 

Conclusion:
L'histoire de Mussolini est un exemple frappant des dangers du socialisme lorsqu'il est couplé à l'ambition personnelle et à l'opportunisme politique. Ses débuts en tant que fervent socialiste et son évolution vers le fascisme démontrent la flexibilité hypocrite des idéologues socialistes lorsqu'ils cherchent le pouvoir à tout prix. Il est crucial de rappeler cette histoire pour souligner les risques de la centralisation du pouvoir et des politiques étatiques omniprésentes, caractéristiques des idéologies socialistes.
 
Soit : LE FASCISME et le NAZISME viennent TOUJOURS de la GAUCHE !     
 
Il n'y a qu'à voir comment la gauche actuelle est devenue autoritaire, violente, intolérante, bigote, antirépublicaine, rigide et antisémite ! Et en plus elle s'allie avec les pires idéologies machistes, religieuses totalitaires, patriarcales et rétrogrades : l'Islam !
 
Petite lecture:

 
 
Source     

septembre 11, 2025

Le gauchisme Us, comme partout: « Lorsque l’on ne peut tuer le message, on tue le messager. »

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Le lâche assassinat de Charlie Kirk : quand les ennemis de la liberté d’expression tuent le messager


Le 10 septembre 2025, l’Amérique a perdu l’une de ses voix les plus audacieuses et influentes du mouvement conservateur. Charlie Kirk, fondateur de Turning Point USA et fervent défenseur des valeurs traditionnelles, a été assassiné d’une balle au cou lors d’un rassemblement à l’Université Utah Valley, dans l’Utah. Cet acte odieux, capturé en vidéo et diffusé en direct, n’est pas seulement un meurtre : c’est l’incarnation de la lâcheté des ennemis de la liberté de pensée. Lorsque l’on ne peut tuer le message – ces idées conservatrices qui challengent la pensée unique imposée par les élites progressistes –, on tue le messager.

Charlie Kirk, à seulement 31 ans, est devenu un martyr pour la vérité, victime d’une violence politique qui révèle la faiblesse intellectuelle de ceux qui refusent le débat.

Un parcours météorique : de l’adolescent engagé au porte-voix de la jeunesse conservatrice

Né le 14 octobre 1993 à Arlington Heights, dans l’Illinois, Charlie Kirk grandit dans une famille de classe moyenne, avec une mère travaillant dans la santé mentale et un père architecte. Dès son adolescence à Prospect Heights, il démontre un leadership précoce en atteignant le rang d’Eagle Scout et en s’impliquant dans la campagne sénatoriale du républicain Mark Kirk (sans lien de parenté). Après un bref passage à Harper College près de Chicago, il abandonne les études formelles pour se consacrer pleinement à l’activisme politique, une décision qui marque le début de son ascension fulgurante.

À 18 ans, en 2012, Charlie Kirk fonde Turning Point USA (TPUSA), une organisation étudiante conservatrice, après une rencontre décisive avec Bill Montgomery, un vétéran du Tea Party. Soutenue par des donateurs influents, TPUSA s’étend rapidement sur les campus américains, organisant des tables rondes, des campagnes de communication virales et des outils de veille  idéologique pour contrer la domination progressiste dans les universités. En 2019, Kirk élargit son empire avec Turning Point Action, axé sur les activités électorales, et Turning Point Faith, ciblant les communautés chrétiennes pour lier engagement civique et convictions religieuses. Son approche : mobiliser les sympathisants conservateurs en occupant l’espace idéologique et en favorisant une cohérence narrative.


 

Charlie Kirk se distingue par ses tournées sur les campus, notamment ses défis « prove me wrong » (Prouve-moi que j’ai tort) où il invite les opposants à débattre avec lui publiquement.

Confiant orateur, il transforme ces confrontations en spectacles médiatisés, attirant des milliers de spectateurs et renforçant son image de polémiste intrépide. Ses prises de position sur l’avortement, les politiques identitaires, le « wokisme » et les excès universitaires le rendent controversé, mais il répond invariablement : « Mieux un débat dur que le silence. » Son podcast quotidien, The Charlie Kirk Show, et ses interventions en direct attirent des millions de vues, faisant de lui un « entrepreneur d’opinions » qui donne à la jeunesse conservatrice un langage, des codes et un style d’engagement propre.

Proche allié de Donald Trump et de sa famille, Kirk devient une figure régulière à la Maison Blanche, participant aux campagnes et à la mobilisation de la base trumpiste. Cette alliance souligne son rôle central dans un réseau conservateur reliant financiers, médias, activistes et élus. Marié en 2021 à Erika Frantzve, ancienne Miss Arizona USA, entrepreneuse et podcasteuse, il est père de deux enfants : une fille née en 2022 et un fils en 2024. Chrétien assumé, il lie sa foi à ses actions publiques, se montrant loyal et attentif envers son entourage, des traits souvent masqués par son image publique combative.


L’acte lâche : un assassinat qui révèle la faiblesse des adversaires

Le 10 septembre 2025, lors d’un dialogue public sous une tente à l’Université Utah Valley, Kirk répondait à des questions d’étudiants quand un tireur non identifié l’atteint à la gorge en plein jour. Évacué d’urgence, il succombe à ses blessures à l’hôpital quelques heures plus tard, devant des milliers de témoins paniqués.

L’attaque, qualifiée d’assassinat politique par les autorités, fait l’objet d’une enquête fédérale impliquant le FBI et son directeur Kash Patel.

Le suspect reste en fuite, mais l’événement est traité comme un acte de terrorisme intérieur, survenant à la veille du 24e anniversaire des attentats du 11 septembre – un symbole poignant d’une attaque contre les valeurs américaines.

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                                https://x.com/Trump_Fact_News/status/1966344671182848341 

Cet assassinat n’est pas un hasard : il illustre la lâcheté profonde des ennemis de la liberté de pensée. Kirk, en défendant des positions conservatrices sur l’immigration, les idéologies woke et le soutien à Trump, challengait la pensée unique – cette uniformité idéologique imposée par les progressistes radicaux qui dominent les médias et les campus. Incapables de réfuter ses arguments par le débat intellectuel, ses adversaires ont recours à la violence ultime. Comme l’a dit un commentateur : « Lorsque l’on ne peut tuer le message, on tue le messager. » Cet acte lâche non seulement échoue à étouffer les idées de Kirk, mais les amplifie, transformant sa mort en un cri de ralliement pour la liberté d’expression.

 

 

Réactions et polémiques : une Amérique divisée

Les hommages affluent de toutes parts. Donald Trump, depuis le Bureau ovale, qualifie Kirk de « martyr pour la vérité et la liberté », accusant la rhétorique de la gauche radicale d’encourager la violence politique et soulignant sa foi profonde. Des conservateurs comme Ben Leo de GB News le décrivent comme une victime d’un « assassinat politique » dû à ses idées, tandis que Matin Samimiat, un Iranien-Américain, voit en sa mort une attaque contre la liberté d’expression. Beaucoup le salue comme un « patriote chrétien », avertissant que cela renforcera la détermination conservatrice.

Elon Musk a réagit à la mort de Charlie Kirk :

« S’ils ne nous laissent pas en paix, alors notre choix est de combattre ou de mourir. »

Pourtant, des divisions émergent : certains progressistes ou islamistes célèbrent sur les réseaux, alimentant les accusations de polarisation. Un analyste de CNN parle d’une « tragédie nationale dans une Amérique polarisée ». Trump ordonne les drapeaux en berne jusqu’au 14 septembre, un geste soulignant l’importance politique de Kirk.


Un héritage indélébile : la flamme de la résistance conservatrice

Malgré sa mort prématurée, l’héritage de Charlie Kirk perdure à travers TPUSA, ses réseaux sur les campus et dans les communautés religieuses, et son modèle de dialogue civil mais confrontant. Il a changé l’échelle et le style du conservatisme étudiant américain, inspirant des milliers de jeunes à lire, débattre et s’organiser contre l’orthodoxie progressiste.

Cet assassinat lâche, loin d’éteindre sa voix, l’immortalise comme un symbole de résistance.

Dans une ère de polarisation, Kirk nous rappelle que la vraie force réside dans les idées, pas dans la violence. Les ennemis de la liberté ont échoué : le message survit, plus fort que jamais.

https://multipol360.com/le-lache-assassinat-de-charlie-kirk-quand-les-ennemis-de-la-liberte-dexpression-tuent-le-messager/

 Le président Donald Trump annonce que Charlie Kirk recevra, à titre posthume, la plus haute distinction, la médaille présidentielle de la liberté.


 


Assassinat de Charlie Kirk : le FBI a retrouvé l’arme du crime et diffuse des photos du suspect

La police de l’Utah a affirmé disposer « de bonnes images » du suspect et avoir pu reconstituer ses mouvements, de son arrivée sur le campus à sa fuite après le tir contre l’influenceur conservateur.  
AFP

 


Assassinat de Charlie Kirk : les images du suspect prenant la fuite dévoilées par la police américaine

Les images provenant d’une caméra de vidéosurveillance montrent l’individu courir sur un toit avant de se percher à la façade du bâtiment pour descendre sur un parking. 

Après plus de 24 heures de traque infructueuse, la police américaine a présenté aux médias, jeudi 11 septembre, des images du suspect prenant la fuite après la fusillade qui a tué l’influenceur conservateur Charlie Kirk. «Ce sont les preuves vidéo que nous avons utilisées pour suivre ses mouvements et localiser l’arme à feu dans cette zone boisée», indique le commissaire à la sécurité publique de l’Utah, Beau Mason, alors que la police a déjà annoncé avoir retrouvé l’arme du crime dans des bosquets.

Les images provenant d’une caméra de vidéosurveillance montrent l’individu courir sur un toit avant de se percher à la façade du bâtiment et de sauter. «Ici, vous voyez que le suspect a couru derrière le bâtiment supérieur. Il va ressortir à droite, se déplacer vers l’angle tout à droite. Là, il va descendre du rebord et sauter au sol. Après avoir traversé la rue, il se dirige vers la zone boisée», rapporte le policier, images à l’appui.

«Nous demandons au public de nous aider»

Si le suspect a réussi à échapper aux forces de l’ordre, il a accidentellement laissé «des empreintes de paume et des traces» dans sa fuite, indique le commissaire, qui appelle la population américaine à les aider à retrouver le meurtrier. À cette fin, la police dresse un portrait du fugitif : «Il y a une empreinte de chaussure qui nous permet d’identifier clairement que le suspect portait des baskets Converse (...) Il est important de noter son t-shirt noir, son pantalon noir et ce qui semble être du blanc sur ses semelles».

Le gouverneur républicain de l’Utah Spencer Cox a affirmé que la population a déjà fourni 7.000 «pistes et indices» aux enquêteurs. «Nous ne pouvons pas faire notre travail sans l’aide de la population», a-t-il plaidé. La police a annoncé une récompense pouvant aller jusqu’à 100.000 dollars pour toute information en lien avec l’enquête. Si l’identité et les motivations du meurtrier sont toujours inconnues, le FBI, la police fédérale, a évoqué un acte «ciblé».

Charlie Kirk a été tué mercredi d’une balle dans le cou alors qu’il participait à un débat public dans une université de l’Utah, dans l’ouest des États-Unis. Porte-drapeau de la jeunesse trumpiste, il est désormais vu comme un «martyr» par la droite américaine. Le président républicain a d’ailleurs annoncé qu’il remettrait à la victime de 31 ans la médaille présidentielle de la Liberté à titre posthume.

l.lefigaro.fr/UmA 

https://x.com/Le_Figaro/status/1966415310270943530 

 

 

 

 

 

septembre 09, 2025

La survie de la gauche ! Médiatiser pour désinformer...Donner pour reprendre....CQFD !

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Les biologistes expliquent comment les organismes s'adaptent à leur environnement physique, mais les idéologues s'adaptent également à leur environnement social. Le fait le plus fondamental concernant les idées de la gauche politique est qu'elles ne fonctionnent pas. Il ne faut donc pas s'étonner de la trouver concentrée dans des institutions où les idées n'ont pas besoin de fonctionner pour survivre.


Le monde universitaire est le terrain de jeu des idées bancales, à l'exception des domaines où des épreuves décisives sont nécessaires, comme les sciences, les mathématiques, l'ingénierie, la médecine et le sport. Dans tous ces domaines, chacun à sa manière, il arrive un moment où il faut accepter ou se taire. Il n'est pas surprenant que tous ces domaines constituent des exceptions notables à la domination totale de la gauche sur les campus à travers le pays.


Dans les sciences humaines, par exemple, le test du déconstructionnisme ne consiste pas à savoir s'il peut produire des résultats tangibles, mais s'il reste en vogue. Tant que c'est le cas, les professeurs habiles dans l'art de la prestidigitation verbale peuvent s'attendre à continuer de percevoir des salaires à six chiffres.

On pourrait penser que l'effondrement du communisme dans toute l'Europe de l'Est serait considéré comme un échec décisif pour le marxisme, mais les marxistes universitaires américains ne se laissent pas décourager. Leurs salaires et leur titularisation ne sont pas affectés. Leurs théories continuent de fleurir dans les salles de classe et leurs revues continuent d'encombrer les étagères des bibliothèques.

Le socialisme en général a un bilan d'échecs si flagrant que seuls les intellectuels peuvent l'ignorer ou l'esquiver. Même les pays qui étaient autrefois plus prospères que leurs voisins se sont retrouvés beaucoup plus pauvres que ces derniers après seulement une génération de politiques socialistes. Que ces pays voisins soient le Ghana et la Côte d'Ivoire ou la Birmanie et la Thaïlande, l'histoire est la même partout dans le monde.

 Discréditées ailleurs, les recettes miracles de la gauche continuent de vivre à la télévision publique.

Et l'échec économique n'est pas le pire. Les millions de personnes massacrées par Staline, Mao et Pol Pot pour des raisons politiques constituent une réalité encore plus sinistre.

Les personnes qui vivent et travaillent dans un monde où il y a des résultats financiers à atteindre, des tableaux d'affichage sportifs, des champs de bataille militaires ou des opérations chirurgicales où il est question de vie ou de mort peuvent avoir du mal à apprécier pleinement la différence entre ce type de monde et un monde où le seul critère décisif est de savoir si vos collègues apprécient ce que vous dites.

Le monde universitaire n'est qu'un des domaines où règnent des critères entièrement subjectifs et où les gauchistes prédominent. Les institutions dotées de fonds, telles que les fondations et les musées, ne sont souvent soumises à aucun autre critère que ce que des personnes partageant les mêmes idées trouvent « passionnant » et ce qui permet à ceux qui dirigent ces institutions d'éprouver le sentiment grisant de « faire la différence ». Il en va de même pour les institutions culturelles soutenues involontairement par les contribuables, telles que le Smithsonian ou le National Endowments for the Arts and the Humanities.

La radio et la télévision « publiques » financées par les contribuables sont également coupées de la réalité et dominées par la gauche, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans d'autres pays. Toutes les recettes miracles de la gauche qui ont affamé des millions de personnes dans des pays qui avaient autrefois des excédents alimentaires à exporter, toutes les belles paroles et les réalités sordides qui ont poussé des millions d'autres personnes à fuir leur terre natale, ces recettes miracles perdurent à la télévision publique, un peu comme les vieux films classiques dont les répliques familières peuvent être récitées par les amateurs en même temps que les personnages à l'écran.

Ces institutions privilégiées et isolées, souvent méprisantes envers les valeurs de la société américaine et de la civilisation occidentale, ne sont pas les seuls bastions de la contre-culture de gauche. Hollywood et Broadway le sont également. Bien que le monde du spectacle soit confronté à la nécessité financière d'attirer un public, la véracité de ce qu'il représente n'est guère cruciale. S'il parvient à rendre ses productions percutantes et sexy, ceux qui se plaignent des inexactitudes historiques et des préjugés idéologiques peuvent être écartés comme des pédants insignifiants. Pourquoi les gauchistes parviennent-ils à évincer les autres types de personnes de ces lieux ? Parce que ceux qui sont prêts à se soumettre à l'épreuve de la réalité, qu'ils soient hommes d'affaires sur le marché ou chirurgiens dans une salle d'opération, ont beaucoup d'autres endroits où travailler et vivre. Ils n'ont pas besoin de niches protégées spéciales pour se cacher et chérir leurs précieuses idées.

L'adaptation darwinienne à l'environnement s'applique non seulement à la nature, mais aussi à la société. Tout comme on ne trouve pas d'aigles vivant dans l'océan ou de poissons vivant au sommet des montagnes, on ne trouve pas de gauchistes concentrés là où leurs idées doivent faire leurs preuves. 

  • Le socialisme a un record d'échecs si flagrant que seul un intellectuel pourrait l'ignorer.
Thomas Sowell

 


Le Dr Thomas Sowell est économiste et chercheur principal à la Hoover Institution de Stanford, en Californie.

https://www.forbes.com/forbes/1997/0908/6005128a.html?sh=44d00e08c4c3



septembre 06, 2025

Le mouvement du 10 septembre : une colère antisystème entre espoir populaire et soupçons de manipulation

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À une semaine de la date fatidique, le mouvement « Bloquons tout » https://www.franceinfo.fr/.../corteges-blocages-de-sites... du 10 septembre 2025 suscite un mélange d’enthousiasme et d’interrogations en France.
Né sur les réseaux sociaux en réaction aux annonces budgétaires du gouvernement de François Bayrou, cet appel à une mobilisation massive vise à paralyser le pays par des grèves, des blocages et des actions de désobéissance civile.
Si certains y voient un écho aux Gilets jaunes de 2018, https://multipol360.com/retour-sur-les-gilets-jaunes-un.../ avec un potentiel de contestation populaire authentique, d’autres alertent sur des signes d’amplification artificielle et de risques sécuritaires. Décryptage d’une dynamique complexe, entre ras-le-bol citoyen et enjeux géopolitiques.
 
 
Les origines d’une mobilisation numérique
Tout commence mi-août 2025, avec des appels anonymes sur les plateformes en ligne invitant à « bloquer tout » pour protester contre les mesures d’austérité. Les coupes budgétaires, l’imposition accrue sur les ménages modestes et la réduction des droits sociaux ont cristallisé une colère diffuse, amplifiée par le sentiment d’un déni démocratique après les élections législatives. Rapidement, le mouvement gagne en visibilité : les premiers jours voient une moyenne de 19.000 messages par jour sur X (ex-Twitter), avant un recul relatif mi-août, puis une explosion à partir du 17 août, coïncidant avec le soutien public de Jean-Luc Mélenchon et de La France insoumise (LFI). Dès lors, le volume atteint 40.000, puis 70.000 messages quotidiens, dépassant les 840.000 au total – un chiffre supérieur à celui des Gilets jaunes en 2018, où les réseaux sociaux jouaient un rôle plus marginal.
X est devenu central pour la diffusion, mais Telegram et Facebook servent à organiser les actions locales, comme les assemblées générales (AG) qui se multiplient dans plus de 60 villes. À Nantes, plus de 500 personnes se réunissent ; à Paris, au parc de la Villette, on discute stratégies de blocage. Les revendications sont hétérogènes : référendum d’initiative citoyenne (RIC), opposition aux réformes du travail, boycott économique, mais sans consensus clair sur les modes d’action.
 
Une composition hétérogène et des divisions internes
Le mouvement rassemble un spectre large : anciens Gilets jaunes, sympathisants de gauche radicale, « complotistes », souverainistes et même des figures identitaires. Initialement, des initiatives individuelles dominent à droite, appelant à des actions isolées via les réseaux. À gauche, influencée par LFI et le PCF, l’approche est plus collective, dans la lignée des grands mouvements sociaux. Cette dualité freine la fédération : les souverainistes craignent une « gauchisation », tandis que la droite identitaire dénonce une récupération politique comme elle l’a déjà fait pour le mouvement des Gilets jaunes.
Les analyses de cartographie des communautés sur X révèlent une présence dominante de la gauche mélenchoniste depuis le 17 août, mais aussi une zone distincte de comptes suspects. Les syndicats, comme la CGT dans certains départements, appellent à la grève, mais les centrales nationales restent prudentes, préférant préparer leur propre mobilisation contre le budget 2026. Des secteurs comme les transports (Sud Aérien), les écoles ou les services publics pourraient être touchés, avec des appels à bloquer aéroports, routes et sites stratégiques.
 

 
 Soupçons d’ « astroturfing » https://www.radiofrance.fr/.../zoom-zoom-zen-du-jeudi-25... et d’amplification artificielle
 
Si la colère semble réelle, des éléments troublants émergent. Les analyses de plateformes comme Visibrain pointent une activité anormale : faux comptes et bots amplifient les hashtags comme #BloquonsTout, représentant jusqu’à 75 % des retweets des messages les plus viraux. Près de 3.000 contenus médiatiques ont relayé le mouvement, mais cette visibilité semble boostée artificiellement. Il ne s’agit pas nécessairement d’une opération de déstabilisation étrangère totale, mais d’une exploitation possible par des « ingénieurs du chaos » pour affaiblir la France.
La chronologie interroge : accélération le 17 août, explosion fin août avec des volumes suspects, mobilisation le 10 septembre, suivie potentiellement d’un Conseil de défense https://www.lalettre.fr/.../macron-convoque-un-conseil-de... sur la désinformation et la grand messe satanique d’Ursula Von der Leyen. https://multipol360.com/les-illusions-europeennes-sur.../ Cette séquence pourrait justifier un durcissement sécuritaire, en liant désordre numérique à des mesures de contrôle.
 

 
 Les enjeux sécuritaires et réglementaires
Les renseignements territoriaux anticipent des actions partout en France, avec plus de 100.000 participants potentiels, incluant blocages de routes, gares, raffineries, et même des risques de sabotages sur des sites stratégiques.
Le gouvernement surveille de près, avec des réunions au ministère de l’Intérieur pour évaluer les menaces. Au-delà, cela s’inscrit dans un contexte européen : la transposition de la directive NIS2 https://monespacenis2.cyber.gouv.fr/directive/ et le Digital Services Act (DSA) https://www.touteleurope.eu/.../numerique-que-sont-le.../ renforcent les obligations des plateformes contre la désinformation, avec des sanctions lourdes. Ces outils pourraient mener à une surveillance accrue, risquant d’arbitraire : médias indépendants critiques pourraient être classés comme « vecteurs de risque », entraînant déréférenciation algorithmique ou restrictions économiques (NDLR : nous en savons quelque chose…).
 

 
 Perspectives : feu de paille ou étincelle révolutionnaire ?
Le 10 septembre pourrait être un test grandeur nature. S’il mobilise massivement, il pourrait forcer un recul gouvernemental, comme l’espèrent les organisateurs qui appellent à une grève illimitée et à une solidarité populaire. Mais les divisions internes, l’absence de leadership clair et les suspicions de manipulation pourraient le limiter à un « feu de paille ». Dans un pays marqué par les inégalités croissantes, cette mobilisation reflète une frustration profonde, mais elle pose aussi la question d’une opportunité saisie par des acteurs extérieurs pour semer le chaos, ou, inversement, par le gouvernement français lui-même, qui jouerait les pompiers pyromanes pour durcir l’étouffement de l’opposition et de la rébellion qui monte de plus en plus – potentiellement via la mise en place de l’article 16 de la Constitution, permettant des pouvoirs exceptionnels en cas de crise grave. Quoi qu’il en soit, elle met en lumière les limites d’un système perçu comme déconnecté, et pourrait accélérer des débats sur la régulation numérique (crédit social) et la liberté d’expression. Les prochains jours diront si la France s’arrête vraiment et règle ses comptes avec une oligarchie totalement déconnectée avec la réalité, ou si la contestation s’essouffle face à la répression.
 
 

 

Psychologie de l'anticapitalisme selon Von MISES

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Aujourd'hui, je vous propose de découvrir deux passages essentiels de Ludwig von Mises tirés de son livre "The Anti-Capitalist Mentality". 📖 par @UlrichFromy
 

 
Ce texte toujours d'actualité éclaire la psychologie de l'anticapitalisme, nourri d'envie et de ressentiment.
Dans les sociétés anciennes, fondées sur les castes, la hiérarchie et la naissance, un individu pouvait accepter son sort. Il était esclave ou roturier « par la volonté des dieux » ou par hérédité. Son échec social n’était pas sa faute : aucune honte, mais résignation.
 
Le capitalisme change radicalement la donne. Ici, la réussite sociale ne dépend plus de la naissance, mais des actes. Celui qui échoue ne peut plus invoquer le destin. Il sait qu’il a été jugé insuffisant par ses semblables et que d’autres, partis du même point, ont mieux réussi.
Mises résume brutalement : le capitalisme est sévère car il applique le principe « à chacun selon ses mérites ». En bref, la dureté du capitalisme réside dans son principe : chacun est traité selon sa contribution au bien-être des autres.
 
Pas d’excuses. Pas d’abri. L’homme sait que son voisin, parti du même niveau que lui, a fait mieux, et que tout le monde en est témoin.
 

 
Cette transparence sociale génère humiliation et ressentiment. Le capitalisme met à nu les insuffisances personnelles. Les succès des autres, souvent des self-made-men, rappellent constamment à l’individu sa propre défaite. Cette comparaison incessante mine l’équilibre moral et l’estime de soi.
 
Plutôt que d’admettre sa propre infériorité, l’homme préfère accuser le système :
« Si je suis pauvre, c’est parce que les riches ont triché. Moi, j’étais trop honnête pour m’enrichir. »
Ainsi naît l’idéologie anticapitaliste : une transformation du ressentiment personnel en doctrine pseudo-morale. Le bouc émissaire devient « le capital », « les élites », « Wall Street ». La haine de soi et la reconnaissance de ses propres limitations se déguise en critique sociale dirigée contre autrui ou contre une idée vague d’un système coupable.
 
Mises observe que l’hostilité envers le mérite n’est pas nouvelle. Justus Moser, écrivain allemand du XVIIIe siècle, redoutait déjà une société fondée sur le mérite individuel.
 
Selon lui, une société où tout repose sur les capacités individuelles est intolérable. La nature humaine pousse chacun à surestimer sa propre valeur. Si le statut social dépend de facteurs extérieurs (naissance, ancienneté), les moins favorisés peuvent préserver leur dignité.
 
Mais si seul le mérite compte, l’échec devient une insulte personnelle, une humiliation. Cela engendre inévitablement haine et inimitié envers ceux qui réussissent.
 
Car si l’échec est personnel, il est humiliant. Il est donc plus confortable de blâmer l’origine sociale que ses propres talents. Moser avait raison sur un point : le capitalisme, en valorisant le mérite, exacerbe les sentiments d’envie et de frustration chez ceux qui échouent.
 
L’anticapitalisme naît donc d’une révolte contre un miroir impitoyable : une société de droit égal révèle l’inégalité des hommes en intelligence, volonté et énergie. Chacun rêve alors d’un monde « juste » qui le récompenserait selon sa « vraie valeur »… c’est-à-dire selon son auto-évaluation.
 
Comment fonctionne ce ressentiment chez les intellectuels ? L’homme ordinaire n’est pas directement confronté aux réussites supérieures. Il ne côtoie pas son patron ou les grands entrepreneurs. Son envie reste vague, dirigée contre des abstractions.
 
Il en va autrement pour les intellectuels : ils fréquentent régulièrement leurs pairs plus p pères, souvent des anciens camarades de classe ou collègues. Ces derniers, qu’ils croise au travail ou dans des cercles sociaux, les surpassent en reconnaissance et, souvent, e revenus. 
 
Cette proximité rend leur humiliation plus cuisante. Ils savent que ces « gagnants » ne sont pas fondamentalement différents d’eux, mais qu’ils ont mieux réussi.
Ce voisinage rend l’humiliation insoutenable pour l’intellectuel. Il se retrouve face à ses anciens amis d’école, désormais mieux reconnus et rémunérés. Les codes de la courtoisie professionnelle lui interdisent d’exprimer ouvertement sa jalousie. 
 
Cette obligation de masquer son ressentiment exacerbe sa frustration. Pour la canaliser, il accuse le capitalisme, ce système « injuste » qui a promu d’autres à sa place. Sa haine du capitalisme n’est qu’un paravent pour dissimuler son animosité envers ceux qui l’ont surpassé.
Ainsi, selon Mises, l’hostilité des intellectuels envers le capitalisme s’explique par cette rivalité intime entre pairs.
 
Les intellectuels détestent le capitalisme non pas pour des raisons abstraites, mais parce qu’il incarne, à leurs yeux, le succès de leurs rivaux. Le rejet du marché et de ses verdicts n’est que le masque idéologique d’un ressentiment personnel : la haine envers ceux qui ont mieux réussi. Un moyen de rejeter la faute sur une structure plutôt que d’affronter leur propre sentiment d’infériorité. 
 

 
En somme, pour Mises : l’homme ordinaire nourrit un ressentiment diffus envers « le capital », l’intellectuel nourrit une rancune intime envers ses pairs, mais l’habille dans une critique sociale. L’anticapitalisme devient une philosophie de consolation face à l’échec personnel.
 
Retrouvez l’intégralité du livre « The Anti-Capitalist Mentality » de Ludwig von Mises sur le site de l’Institut Mises
 

 

 

février 16, 2025

Olivier Vial : « En France, beaucoup de grandes sociétés se sont laissé infiltrer par la pensée woke ».

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Violences contre les étudiants de l’UNI, censure dans la presse et wokisme, le directeur du laboratoire d’idées indépendant CERU, Olivier Vial, livre son analyse pour Epoch Times.
 
Epoch Times : Ces derniers jours, des étudiants de l’UNI ont été violemment attaqués ou menacés sur plusieurs campus sur l’ensemble du territoire par des militants d’extrême gauche, notamment à Toulouse, mais aussi à Strasbourg, où des membres du syndicat ont été séquestrés. Des menaces de mort ont également été taguées sur le mur de l’université de Nantes. Qui sont les organisations responsables de ces violences ?
 

 
 
Nous avons affaire à des organisations souvent très autonomes assez difficiles à identifier. Cependant, à Strasbourg, nous savons que ce sont des étudiants issus de la Jeune Garde qui ont commis ces violences. C’est un mouvement antifa dont le porte-parole et fondateur est aujourd’hui député LFI, Raphaël Arnaud. Le fameux député fiché S qui a toujours revendiqué l’utilisation de la violence à des fins politiques.
 
À Toulouse, un autre mouvement est apparu. La majorité des agresseurs étaient masqués, mais l’un d’entre eux a été reconnu. Il s’agit d’un des responsables du mouvement Le Poing Levé. Ce dernier est issu de la mouvance trotskyste française et a récemment pris ses distances avec le NPA, le jugeant trop modéré. Il y a aujourd’hui une galaxie de militants d’extrême gauche qui tournent autour de ces deux grands mouvements, qui prônent la violence et l’utilisent quotidiennement.
 
Par ailleurs, le plus inquiétant est de voir cette violence augmenter et de constater qu’une partie non-négligeable des étudiants semblent séduits par certaines de ces organisations, sans cautionner peut-être toutes leurs dérives.
 
Pour autant, à l’université de Bordeaux, le Poing Levé est devenu majoritaire lors des dernières élections étudiantes. Que des organisations d’extrême gauche arrivent à séduire autant d’étudiants malgré leur radicalité et leur violence, est vraiment de nature à inquiéter.
Ces militants d’extrême gauche sont-ils en train d’accentuer leurs attaques ? De se renforcer ?
Oui, très clairement. Ils sont à la fois en train de gagner une bataille culturelle dans une partie très spécifique de la jeunesse étudiante, dans certaines filières, mais aussi dans les cursus de fabrication de nos élites.
 
On sent vraiment une volonté de leur part de créer un climat de tension physique de plus en plus important puisqu’il y a des agressions très régulièrement. Mardi soir, un étudiant s’est également fait agresser dans la région d’Angers par des antifas.
Vous avez publié dans Le Figaro une tribune sur la démission du président du groupe de presse Ebra, Philippe Carli, après que ce dernier a liké des publications de personnalités dites d’ « extrême droite ». Vous êtes à la tête du CERU, qui travaille, entre autres, sur l’état du wokisme en France. Comment interprétez-vous cette démission de Philippe Carli ?
 
Il y a un lien très intéressant entre ce que nous venons d’aborder et ce qui est arrivé à Philippe Carli. Mark Bray, le chercheur américain penseur de l’antifascisme, expliquait, en 2018, qu’il fallait développer une nouvelle stratégie face à ce qu’il appelle le « fascisme du quotidien ».
Elle part du constat qu’on ne peut pas toujours faire changer les idées d’une personne, mais que nous pouvons les rendre trop coûteuses socialement, professionnellement et physiquement pour qu’elles soient défendues ouvertement.
 
Il s’agit d’empêcher des personnes de défendre leurs idées, soit en les menaçant physiquement – ce que subissent aujourd’hui les militants de l’UNI sur les campus -, soit en menant des campagnes de harcèlement visant à leur faire perdre leur emploi, leurs amis, etc. Ces campagnes de harcèlement conduisent à ce qu’on appelle la cancel culture.
C’est exactement ce qui s’est passé dans le cas de Philippe Carli, puisque des militants se sont d’abord plaints du fait qu’il ait liké certaines personnalités que ces gens considèrent comme d’extrême droite.
Cela ne devrait jamais être une cause de licenciement ou d’une campagne de harcèlement. Le commun des mortels peut liker des publications sur les réseaux sociaux s’il les trouve pertinentes, sans forcément apporter un soutien à l’ensemble des prises de position de la personne « likée ».
 
Malheureusement, c’est le cas aujourd’hui. Le penseur que je viens de citer, Marc Bray, explique qu’il faut pratiquer le « doxing », c’est-à-dire aller faire des recherches sur une personne, voir qui sont ses amis, ses employeurs et harceler l’intégralité de cette chaîne jusqu’à obtenir sa démission.
Ainsi, certains syndicats de journalistes se sont comportés de la sorte avec Philippe Carli. L’affaire a été relayée ensuite par Médiapart et Blast, et cela a fait suffisamment de bruit pour qu’il soit poussé à la démission, puisque l’un des principaux actionnaires du groupe de presse, le Crédit mutuel (qui, selon l’Index du Wokisme en entreprise, n’en est pas à ses premières concessions à l’idéologie woke), a jugé préférable pour la paix des rédactions qu’il se retire.
C’est l’un des cas les plus emblématiques de cette nouvelle forme de censure et d’atteinte à la liberté d’expression.
 
Cette histoire est grave et inédite : on ne condamne pas quelqu’un pour des propos qu’il a tenus, mais simplement pour un like, quelque chose de très anodin !
Et la démission de Philippe Carli ne résulte pas d’une décision de justice, mais de pressions exercées par certains organismes. La pression et les atteintes réputationnelles organisées par des mouvements d’extrême gauche, avec le soutien de certains médias, vont conduire à une vraie privation de liberté d’expression et même de liberté de liker, ce qui est quand même quelque chose de grave.
Le gynécologue de Pau qui n’avait pas souhaité examiner une femme trans a été sanctionné au mois de janvier. Est-il, lui aussi, une victime de l’idéologie woke ?
 
Il y a cette volonté, dans la décision du Conseil de l’ordre des médecins local, de prendre une sanction pour éviter que l’ensemble de la profession ne soit entaché par cette histoire. Mais en faisant ça, l’organisme a commis une vraie erreur d’analyse : la très grande majorité des Français comprend tout à fait que ce gynécologue n’était pas en mesure de recevoir une femme qui était biologiquement un homme. En plus, le secteur de la gynécologie, notamment en province, est extrêmement débordé.
 
Nous avons ici la conjonction d’une forme de cancel culture avec du harcèlement qui va pousser le Conseil de l’ordre à prendre cette mauvaise décision de suspension ; et de l’autre, une tendance liée au wokisme, qui consiste à dire que la société devrait se soumettre à l’autodétermination des gens. Cette philosophie est d’ailleurs défendue par la Haute autorité de santé (HAS, ndlr) quand elle préconise de faciliter les transitions de genre chez les mineurs.
 
Heureusement, cette tendance est encore extrêmement minoritaire, mais on constate qu’elle progresse et qu’elle peut avoir des conséquences assez graves, y compris pour la santé. Regardez ce qui se passe avec les personnes de plus en plus nombreuses qui regrettent d’avoir entrepris des transitions de genre précoces.
 
Aujourd’hui, avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, comment analysez-vous la puissance du wokisme à la fois aux États-Unis et en France ?
Il y a outre-Atlantique une prise de conscience anti-woke. Cette prise de conscience est de plus en plus forte et a notamment permis l’élection de Donald Trump. Les électeurs latinos-américains et une partie des hommes afro-américains ont voté pour lui, précisément à cause de certaines dérives wokistes.
Pour autant, ça ne veut pas du tout dire qu’aux États-Unis et en France, le wokisme est en train de s’affaiblir. Je pense même le contraire. Il existe un risque de réactions wokes aux politiques de Donald Trump et que le mouvement se renforce.
 
Malheureusement en France, on a l’impression que cette prise de conscience contre les dérives du wokisme n’est pas aussi forte qu’en Amérique. Par résistance au trumpisme, beaucoup se déclarent woke !
Et si aux États-Unis, les entreprises commencent à faire machine arrière sur le wokisme, en France, ce n’est pas du tout le cas. Beaucoup de grandes sociétés se sont laissé infiltrer par la pensée woke. On ne voit pas du tout de commencement de retour en arrière.
 

 

avril 16, 2022

Les Socialopithèques !

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Ce socialisme adoubé d'un extrême à l'autre

Rappelez vous pour certains il y a déjà 15 ans mentionné sur mes blogs, la création d'un genre et ses espèces.
 
Le Socialopithèque !!
 
Il se décompose depuis l'ère industriel US: 
 
- Des Inertiopithèques: Précepte d'un ordre établi, conservatisme, traditions, un clivage de droite lui sera ordonné, espèce vieillissante ou l'inertie est omniprésente, républicain. Collectiviste & Étatiste
L'idolâtre un certain feue De Gaulle.
- Mouvance centriste, européiste, fédéraliste
 
- Des Égalopithèques: Précepte du mouvement/progrès par l'égalitarisme. Collectiviste & Étatiste
Une espèce qui aura phagocyté les premiers libéraux à la révolution de 89/93. Un clivage de gauche leurs seront attribués, du reste qu'ils se sont définis comme donnés. Ils se sont proprement accaparés les racines: sociales et progrès, ce qui leurs permettent de s'identifier socialistes comme progressistes. Ils empruntent le terme Égalité pour conditionner l'égalitarisme, le symbole Liberté par les libertés (pas qu'eux). Un mentor, Engels/Marx, puis en 81 un Dieu idolâtré encore: Mitterrand.
- Mouvance européiste, fédéraliste, mondialiste (ordre mondial), universaliste.
 
- Des Nationalopithèques: Précepte post-guerrier d'une nation, d'une patrie.
Une espèce autant situé sur tous les clivages. Définie soit populaire, soit populiste, tout deux représentent la "plèbe" !
Ils sont vilipendés par les deux espèces précédente ici par le mot extrême, extrémiste, voire xénophobe, raciste (une réalité pour certains d'entre eux).
Plusieurs mentors aussi différents selon: Staline, Lénine, Mao, Pol pot, Hitler, Castro, Chavez, Ché Guévara ....enfin ils sont nombreux.
Collectiviste & Hyper Étatiste
 
Des Libéralopithèques: Précepte étatique des libertés
Prône la liberté sans savoir la conjurer de l'État, du socialisme/collectivisme. Absolument pas libéral !
- Mouvance centriste, européiste, fédéraliste
 

 
 
 
 
 

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