"Je suis SOCIALISTE parce qu'il me paraît incompréhensible de soigner et d'entretenir une machine (outil) avec attention, tout en laissant mourir le plus noble représentant du travail (l'ouvrier) : l'humain lui-même."
septembre 16, 2025
Le NAZISME et le FASCISME viennent TOUJOURS de l'Extrême Gauche ; l'idéologie le SOCIALISME !
septembre 11, 2025
Le gauchisme Us, comme partout: « Lorsque l’on ne peut tuer le message, on tue le messager. »
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Le lâche assassinat de Charlie Kirk : quand les ennemis de la liberté d’expression tuent le messager
Le 10 septembre 2025, l’Amérique a perdu l’une de ses voix les plus audacieuses et influentes du mouvement conservateur. Charlie Kirk, fondateur de Turning Point USA et fervent défenseur des valeurs traditionnelles, a été assassiné d’une balle au cou lors d’un rassemblement à l’Université Utah Valley, dans l’Utah. Cet acte odieux, capturé en vidéo et diffusé en direct, n’est pas seulement un meurtre : c’est l’incarnation de la lâcheté des ennemis de la liberté de pensée. Lorsque l’on ne peut tuer le message – ces idées conservatrices qui challengent la pensée unique imposée par les élites progressistes –, on tue le messager.
Charlie Kirk, à seulement 31 ans, est devenu un martyr pour la vérité, victime d’une violence politique qui révèle la faiblesse intellectuelle de ceux qui refusent le débat.
Un parcours météorique : de l’adolescent engagé au porte-voix de la jeunesse conservatrice
Né le 14 octobre 1993 à Arlington Heights, dans l’Illinois, Charlie Kirk grandit dans une famille de classe moyenne, avec une mère travaillant dans la santé mentale et un père architecte. Dès son adolescence à Prospect Heights, il démontre un leadership précoce en atteignant le rang d’Eagle Scout et en s’impliquant dans la campagne sénatoriale du républicain Mark Kirk (sans lien de parenté). Après un bref passage à Harper College près de Chicago, il abandonne les études formelles pour se consacrer pleinement à l’activisme politique, une décision qui marque le début de son ascension fulgurante.
À 18 ans, en 2012, Charlie Kirk fonde Turning Point USA (TPUSA), une organisation étudiante conservatrice, après une rencontre décisive avec Bill Montgomery, un vétéran du Tea Party. Soutenue par des donateurs influents, TPUSA s’étend rapidement sur les campus américains, organisant des tables rondes, des campagnes de communication virales et des outils de veille idéologique pour contrer la domination progressiste dans les universités. En 2019, Kirk élargit son empire avec Turning Point Action, axé sur les activités électorales, et Turning Point Faith, ciblant les communautés chrétiennes pour lier engagement civique et convictions religieuses. Son approche : mobiliser les sympathisants conservateurs en occupant l’espace idéologique et en favorisant une cohérence narrative.
Charlie Kirk se distingue par ses tournées sur les campus, notamment ses défis « prove me wrong » (Prouve-moi que j’ai tort) où il invite les opposants à débattre avec lui publiquement.
Confiant orateur, il transforme ces confrontations en spectacles médiatisés, attirant des milliers de spectateurs et renforçant son image de polémiste intrépide. Ses prises de position sur l’avortement, les politiques identitaires, le « wokisme » et les excès universitaires le rendent controversé, mais il répond invariablement : « Mieux un débat dur que le silence. » Son podcast quotidien, The Charlie Kirk Show, et ses interventions en direct attirent des millions de vues, faisant de lui un « entrepreneur d’opinions » qui donne à la jeunesse conservatrice un langage, des codes et un style d’engagement propre.
Proche allié de Donald Trump et de sa famille, Kirk devient une figure régulière à la Maison Blanche, participant aux campagnes et à la mobilisation de la base trumpiste. Cette alliance souligne son rôle central dans un réseau conservateur reliant financiers, médias, activistes et élus. Marié en 2021 à Erika Frantzve, ancienne Miss Arizona USA, entrepreneuse et podcasteuse, il est père de deux enfants : une fille née en 2022 et un fils en 2024. Chrétien assumé, il lie sa foi à ses actions publiques, se montrant loyal et attentif envers son entourage, des traits souvent masqués par son image publique combative.
L’acte lâche : un assassinat qui révèle la faiblesse des adversaires
Le 10 septembre 2025, lors d’un dialogue public sous une tente à l’Université Utah Valley, Kirk répondait à des questions d’étudiants quand un tireur non identifié l’atteint à la gorge en plein jour. Évacué d’urgence, il succombe à ses blessures à l’hôpital quelques heures plus tard, devant des milliers de témoins paniqués.
L’attaque, qualifiée d’assassinat politique par les autorités, fait l’objet d’une enquête fédérale impliquant le FBI et son directeur Kash Patel.
Le suspect reste en fuite, mais l’événement est traité comme un acte de terrorisme intérieur, survenant à la veille du 24e anniversaire des attentats du 11 septembre – un symbole poignant d’une attaque contre les valeurs américaines.
https://x.com/Trump_Fact_News/status/1966344671182848341
Cet assassinat n’est pas un hasard : il illustre la lâcheté profonde des ennemis de la liberté de pensée. Kirk, en défendant des positions conservatrices sur l’immigration, les idéologies woke et le soutien à Trump, challengait la pensée unique – cette uniformité idéologique imposée par les progressistes radicaux qui dominent les médias et les campus. Incapables de réfuter ses arguments par le débat intellectuel, ses adversaires ont recours à la violence ultime. Comme l’a dit un commentateur : « Lorsque l’on ne peut tuer le message, on tue le messager. » Cet acte lâche non seulement échoue à étouffer les idées de Kirk, mais les amplifie, transformant sa mort en un cri de ralliement pour la liberté d’expression.
Réactions et polémiques : une Amérique divisée
Les hommages affluent de toutes parts. Donald Trump, depuis le Bureau ovale, qualifie Kirk de « martyr pour la vérité et la liberté », accusant la rhétorique de la gauche radicale d’encourager la violence politique et soulignant sa foi profonde. Des conservateurs comme Ben Leo de GB News le décrivent comme une victime d’un « assassinat politique » dû à ses idées, tandis que Matin Samimiat, un Iranien-Américain, voit en sa mort une attaque contre la liberté d’expression. Beaucoup le salue comme un « patriote chrétien », avertissant que cela renforcera la détermination conservatrice.
Elon Musk a réagit à la mort de Charlie Kirk :
« S’ils ne nous laissent pas en paix, alors notre choix est de combattre ou de mourir. »
Pourtant, des divisions émergent : certains progressistes ou islamistes célèbrent sur les réseaux, alimentant les accusations de polarisation. Un analyste de CNN parle d’une « tragédie nationale dans une Amérique polarisée ». Trump ordonne les drapeaux en berne jusqu’au 14 septembre, un geste soulignant l’importance politique de Kirk.
Un héritage indélébile : la flamme de la résistance conservatrice
Malgré sa mort prématurée, l’héritage de Charlie Kirk perdure à travers TPUSA, ses réseaux sur les campus et dans les communautés religieuses, et son modèle de dialogue civil mais confrontant. Il a changé l’échelle et le style du conservatisme étudiant américain, inspirant des milliers de jeunes à lire, débattre et s’organiser contre l’orthodoxie progressiste.
Cet assassinat lâche, loin d’éteindre sa voix, l’immortalise comme un symbole de résistance.
Dans une ère de polarisation, Kirk nous rappelle que la vraie force réside dans les idées, pas dans la violence. Les ennemis de la liberté ont échoué : le message survit, plus fort que jamais.
Le président Donald Trump annonce que Charlie Kirk recevra, à titre posthume, la plus haute distinction, la médaille présidentielle de la liberté.
Assassinat de Charlie Kirk : le FBI a retrouvé l’arme du crime et diffuse des photos du suspect
Assassinat de Charlie Kirk : les images du suspect prenant la fuite dévoilées par la police américaine
Les images provenant d’une caméra de vidéosurveillance montrent l’individu courir sur un toit avant de se percher à la façade du bâtiment pour descendre sur un parking.
Après plus de 24 heures de traque infructueuse, la police américaine a présenté aux médias, jeudi 11 septembre, des images du suspect prenant la fuite après la fusillade qui a tué l’influenceur conservateur Charlie Kirk. «Ce sont les preuves vidéo que nous avons utilisées pour suivre ses mouvements et localiser l’arme à feu dans cette zone boisée», indique le commissaire à la sécurité publique de l’Utah, Beau Mason, alors que la police a déjà annoncé avoir retrouvé l’arme du crime dans des bosquets.
Les images provenant d’une caméra de vidéosurveillance montrent l’individu courir sur un toit avant de se percher à la façade du bâtiment et de sauter. «Ici, vous voyez que le suspect a couru derrière le bâtiment supérieur. Il va ressortir à droite, se déplacer vers l’angle tout à droite. Là, il va descendre du rebord et sauter au sol. Après avoir traversé la rue, il se dirige vers la zone boisée», rapporte le policier, images à l’appui.
«Nous demandons au public de nous aider»
Si le suspect a réussi à échapper aux forces de l’ordre, il a accidentellement laissé «des empreintes de paume et des traces» dans sa fuite, indique le commissaire, qui appelle la population américaine à les aider à retrouver le meurtrier. À cette fin, la police dresse un portrait du fugitif : «Il y a une empreinte de chaussure qui nous permet d’identifier clairement que le suspect portait des baskets Converse (...) Il est important de noter son t-shirt noir, son pantalon noir et ce qui semble être du blanc sur ses semelles».
Le gouverneur républicain de l’Utah Spencer Cox a affirmé que la population a déjà fourni 7.000 «pistes et indices» aux enquêteurs. «Nous ne pouvons pas faire notre travail sans l’aide de la population», a-t-il plaidé. La police a annoncé une récompense pouvant aller jusqu’à 100.000 dollars pour toute information en lien avec l’enquête. Si l’identité et les motivations du meurtrier sont toujours inconnues, le FBI, la police fédérale, a évoqué un acte «ciblé».
Charlie Kirk a été tué mercredi d’une balle dans le cou alors qu’il participait à un débat public dans une université de l’Utah, dans l’ouest des États-Unis. Porte-drapeau de la jeunesse trumpiste, il est désormais vu comme un «martyr» par la droite américaine. Le président républicain a d’ailleurs annoncé qu’il remettrait à la victime de 31 ans la médaille présidentielle de la Liberté à titre posthume.
https://x.com/Le_Figaro/status/1966415310270943530
septembre 09, 2025
La survie de la gauche ! Médiatiser pour désinformer...Donner pour reprendre....CQFD !
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Les biologistes expliquent comment les organismes s'adaptent à leur environnement physique, mais les idéologues s'adaptent également à leur environnement social. Le fait le plus fondamental concernant les idées de la gauche politique est qu'elles ne fonctionnent pas. Il ne faut donc pas s'étonner de la trouver concentrée dans des institutions où les idées n'ont pas besoin de fonctionner pour survivre.
Le monde universitaire est le terrain de jeu des idées bancales, à l'exception des domaines où des épreuves décisives sont nécessaires, comme les sciences, les mathématiques, l'ingénierie, la médecine et le sport. Dans tous ces domaines, chacun à sa manière, il arrive un moment où il faut accepter ou se taire. Il n'est pas surprenant que tous ces domaines constituent des exceptions notables à la domination totale de la gauche sur les campus à travers le pays.
Dans les sciences humaines, par exemple, le test du déconstructionnisme ne consiste pas à savoir s'il peut produire des résultats tangibles, mais s'il reste en vogue. Tant que c'est le cas, les professeurs habiles dans l'art de la prestidigitation verbale peuvent s'attendre à continuer de percevoir des salaires à six chiffres.
On pourrait penser que l'effondrement du communisme dans toute l'Europe de l'Est serait considéré comme un échec décisif pour le marxisme, mais les marxistes universitaires américains ne se laissent pas décourager. Leurs salaires et leur titularisation ne sont pas affectés. Leurs théories continuent de fleurir dans les salles de classe et leurs revues continuent d'encombrer les étagères des bibliothèques.
Le socialisme en général a un bilan d'échecs si flagrant que seuls les intellectuels peuvent l'ignorer ou l'esquiver. Même les pays qui étaient autrefois plus prospères que leurs voisins se sont retrouvés beaucoup plus pauvres que ces derniers après seulement une génération de politiques socialistes. Que ces pays voisins soient le Ghana et la Côte d'Ivoire ou la Birmanie et la Thaïlande, l'histoire est la même partout dans le monde.
Discréditées ailleurs, les recettes miracles de la gauche continuent de vivre à la télévision publique.
Et l'échec économique n'est pas le pire. Les millions de personnes massacrées par Staline, Mao et Pol Pot pour des raisons politiques constituent une réalité encore plus sinistre.
Les personnes qui vivent et travaillent dans un monde où il y a des résultats financiers à atteindre, des tableaux d'affichage sportifs, des champs de bataille militaires ou des opérations chirurgicales où il est question de vie ou de mort peuvent avoir du mal à apprécier pleinement la différence entre ce type de monde et un monde où le seul critère décisif est de savoir si vos collègues apprécient ce que vous dites.
Le monde universitaire n'est qu'un des domaines où règnent des critères entièrement subjectifs et où les gauchistes prédominent. Les institutions dotées de fonds, telles que les fondations et les musées, ne sont souvent soumises à aucun autre critère que ce que des personnes partageant les mêmes idées trouvent « passionnant » et ce qui permet à ceux qui dirigent ces institutions d'éprouver le sentiment grisant de « faire la différence ». Il en va de même pour les institutions culturelles soutenues involontairement par les contribuables, telles que le Smithsonian ou le National Endowments for the Arts and the Humanities.
La radio et la télévision « publiques » financées par les contribuables sont également coupées de la réalité et dominées par la gauche, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans d'autres pays. Toutes les recettes miracles de la gauche qui ont affamé des millions de personnes dans des pays qui avaient autrefois des excédents alimentaires à exporter, toutes les belles paroles et les réalités sordides qui ont poussé des millions d'autres personnes à fuir leur terre natale, ces recettes miracles perdurent à la télévision publique, un peu comme les vieux films classiques dont les répliques familières peuvent être récitées par les amateurs en même temps que les personnages à l'écran.
Ces institutions privilégiées et isolées, souvent méprisantes envers les valeurs de la société américaine et de la civilisation occidentale, ne sont pas les seuls bastions de la contre-culture de gauche. Hollywood et Broadway le sont également. Bien que le monde du spectacle soit confronté à la nécessité financière d'attirer un public, la véracité de ce qu'il représente n'est guère cruciale. S'il parvient à rendre ses productions percutantes et sexy, ceux qui se plaignent des inexactitudes historiques et des préjugés idéologiques peuvent être écartés comme des pédants insignifiants. Pourquoi les gauchistes parviennent-ils à évincer les autres types de personnes de ces lieux ? Parce que ceux qui sont prêts à se soumettre à l'épreuve de la réalité, qu'ils soient hommes d'affaires sur le marché ou chirurgiens dans une salle d'opération, ont beaucoup d'autres endroits où travailler et vivre. Ils n'ont pas besoin de niches protégées spéciales pour se cacher et chérir leurs précieuses idées.
L'adaptation darwinienne à l'environnement s'applique non seulement à la nature, mais aussi à la société. Tout comme on ne trouve pas d'aigles vivant dans l'océan ou de poissons vivant au sommet des montagnes, on ne trouve pas de gauchistes concentrés là où leurs idées doivent faire leurs preuves.
- Le socialisme a un record d'échecs si flagrant que seul un intellectuel pourrait l'ignorer.
Le Dr Thomas Sowell est économiste et chercheur principal à la Hoover Institution de Stanford, en Californie.
https://www.forbes.com/forbes/1997/0908/6005128a.html?sh=44d00e08c4c3
septembre 06, 2025
Le mouvement du 10 septembre : une colère antisystème entre espoir populaire et soupçons de manipulation
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Psychologie de l'anticapitalisme selon Von MISES
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février 16, 2025
Olivier Vial : « En France, beaucoup de grandes sociétés se sont laissé infiltrer par la pensée woke ».
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avril 16, 2022
Les Socialopithèques !
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Ce socialisme adoubé d'un extrême à l'autre