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septembre 16, 2025

Le NAZISME et le FASCISME viennent TOUJOURS de l'Extrême Gauche ; l'idéologie le SOCIALISME !

Voici un monument NAZI (Socialisme National) avec les mots de l'abominable Hitler lui-même. Traduction : 
 "Je suis SOCIALISTE parce qu'il me paraît incompréhensible de soigner et d'entretenir une machine (outil) avec attention, tout en laissant mourir le plus noble représentant du travail (l'ouvrier) : l'humain lui-même."
Cela pourrait être un discours de Jean-Luc Mélenchon !
 
 

 
 
Et n'oubliez pas de vous renseigner sur Benito Mussolini, ce socialiste pur et dur, d'extrême gauche même ! Benito Mussolini, souvent vénéré ou vilipendé pour son rôle dans l'histoire en tant que dictateur fasciste, a commencé sa carrière politique comme socialiste convaincu. 
 
L'Éveil Socialiste:  
Mussolini est né en 1883, dans une famille d'ouvriers italiens. Son père, forgeron et socialiste fervent, influença profondément ses idées politiques. Benito, du nom de Benito Juárez, un leader révolutionnaire mexicain, fut élevé dans une atmosphère d'idéaux socialistes et républicains. Ce contexte familial planta les graines de son engagement politique socialiste précoce. 
 
La Carrière de Journaliste Socialiste !  
En 1912, Mussolini devint rédacteur en chef du journal socialiste "Avanti!", le quotidien officiel du Parti socialiste italien (PSI). Sa plume acerbe et sa rhétorique le propulsèrent rapidement au centre du mouvement socialiste italien. Mussolini prônait alors des idées marxistes, critiquant vivement le capitalisme et appelant à la révolution prolétarienne. Son influence grandissante au sein du PSI témoigne de son dévouement initial aux principes socialistes.  
 
La Naissance du Fascisme:
Après la guerre, Mussolini fonda les Faisceaux italiens de combat en 1919, qui évoluèrent en Parti national fasciste en 1921. Il fusionna des éléments du nationalisme, du SYNDICALISME et du SOCIALISME pour créer une nouvelle idéologie. Bien que son régime fût anti-communiste, il conserva certaines idées socialistes comme l'interventionnisme étatique dans l'économie et le corporatisme.
 
La Réalité du Socialisme Mussolinien:
Ce parcours démontre que Mussolini n'a jamais véritablement renié ses racines socialistes. Son régime totalitaire fut une fusion perverse de socialisme d'État et de nationalisme extrême. En effet, les politiques économiques de Mussolini, telles que la création de l'Institut pour la Reconstruction Industrielle (IRI) et l'étatisation des industries clés, rappellent les pratiques des régimes socialistes.
 

Conclusion:
L'histoire de Mussolini est un exemple frappant des dangers du socialisme lorsqu'il est couplé à l'ambition personnelle et à l'opportunisme politique. Ses débuts en tant que fervent socialiste et son évolution vers le fascisme démontrent la flexibilité hypocrite des idéologues socialistes lorsqu'ils cherchent le pouvoir à tout prix. Il est crucial de rappeler cette histoire pour souligner les risques de la centralisation du pouvoir et des politiques étatiques omniprésentes, caractéristiques des idéologies socialistes.
 
Soit : LE FASCISME et le NAZISME viennent TOUJOURS de la GAUCHE !     
 
Il n'y a qu'à voir comment la gauche actuelle est devenue autoritaire, violente, intolérante, bigote, antirépublicaine, rigide et antisémite ! Et en plus elle s'allie avec les pires idéologies machistes, religieuses totalitaires, patriarcales et rétrogrades : l'Islam !
 
Petite lecture:

 
 
Source     

septembre 11, 2025

Récupéré par l’extrême gauche, transformant des revendications légitimes en un chaos orchestré !

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Le 10 septembre 2025, la France a été le théâtre d’une mobilisation nationale baptisée « Bloquons Tout ! », un cri de colère contre les politiques du gouvernement Bayrou, accusé de creuser les inégalités fiscales en épargnant les grandes fortunes tout en imposant des sacrifices aux classes moyennes et populaires. Dès ses prémices, ce mouvement citoyen, initialement porté par une indignation populaire spontanée, a été récupéré par l’extrême gauche, transformant des revendications légitimes en un chaos orchestré qui a saccagé, comme à son habitude, les centres-villes de nombreuses grandes villes françaises.

Inspiré du style des Gilets Jaunes, il a réuni entre 175.000 et 200.000 participants à travers le pays, avec 550 rassemblements et 262 blocages, perturbant transports et circulation, mais au prix d’incidents violents et de divisions idéologiques profondes.

 

Un parallèle évident avec les gilets jaunes : de l’élan populaire au détournement violent

Ce scénario rappelle irrésistiblement le mouvement des Gilets Jaunes de 2018, qui avait débuté comme une révolte spontanée contre la hausse des prix du carburant et les difficultés économiques des Français ordinaires, avec un soutien massif de l’opinion publique. À l’origine, des rassemblements pacifiques et festifs sur les ronds-points symbolisaient une colère authentique contre les élites urbaines. Mais rapidement, des groupes d’extrême gauche, comme les antifas et les black blocs, ont infiltré les cortèges, déviant les revendications vers des thèmes idéologiques tels que l’anti-capitalisme, la dénonciation du racisme et de la violence policière, éloignés des préoccupations initiales des citoyens. Ce détournement a conduit à une escalade de la violence, avec des rues incendiées et des vitrines brisées dans des villes comme Paris, transformant une protestation légitime en anarchie perçue, et faisant chuter le soutien populaire. L’extrême gauche a ainsi saccagé l’image du mouvement, diluant sa force originelle et le discréditant aux yeux de l’opinion. De la même manière, « Bloquons Tout ! » a vu ses blocages de routes et de transports publics dégénérer en échauffourées, avec 473 interpellations nationales, dont 203 à Paris, et des dispersions musclées par les forces de l’ordre. Les centres-villes de Paris, Lille, Rennes et d’autres métropoles ont subi des dégradations, des jets de projectiles et des gaz lacrymogènes, confirmant le modèle destructeur de ces récupérations politiques.

 

Des drapeaux Palestiniens au lieu de tricolores : la main-mise de LFI

Un détail symbolique saute aux yeux dans les cortèges : l’absence quasi totale de drapeaux français, remplacés par une profusion de drapeaux palestiniens flottant au vent. Cette omniprésence d’un symbole étranger dans une manifestation censée défendre les intérêts des Français ordinaires illustre parfaitement la main-mise de La France Insoumise (LFI) et de ses alliés sur le mouvement. Au lieu de brandir le bleu-blanc-rouge pour unir autour de revendications nationales comme les inégalités fiscales, les manifestants ont détourné l’événement vers des causes internationales, diluant encore plus l’essence citoyenne du « Bloquons Tout ! ». Ironie amère : on voit plus de solidarité avec des conflits lointains qu’avec les souffrances quotidiennes des classes moyennes françaises, prouvant une fois de plus comment l’extrême gauche impose son agenda idéologique et son fond de commerce.


Une sécurisation colossale pour l’Élysée : le courage en paroles de macron

Face à cette mobilisation, les autorités ont déployé des moyens considérables pour sécuriser l’Élysée, avec pas moins de 80.000 policiers et gendarmes mobilisés à travers le pays, dès la veille au soir, pour protéger des sites symboliques et prévenir toute escalade. Ce dispositif massif rappelle les craintes d’un assaut sur le palais présidentiel, comme lors des Gilets Jaunes. À l’époque, en 2018, Emmanuel Macron avait lancé un défi bravache : « Qu’ils viennent me chercher !« , une phrase prononcée avec assurance pour défier les manifestants. Mais derrière cette bravade, la réalité était bien différente : un hélicoptère était prêt à l’exfiltrer de l’Élysée lors de l’acte du 8 décembre 2018, révélant un courage plus verbal que concret. Sept ans plus tard, sous Bayrou, le même réflexe sécuritaire domine, transformant le siège de la présidence en forteresse imprenable. On ironisera sur ce « venez me chercher » qui sonne creux quand les blindés et les CRS forment un rempart impénétrable grâce, notamment, aux nouveaux chars d’assaut du gouvernement, les Centaures (90 véhicules commandés par la Gendarmerie nationale).

 

Un mot d’ordre initial oublié : l’appel au boycott

Dès le lancement du mouvement, un mot d’ordre clair avait été donné : « ne pas consommer, ne pas payer en cartes bancaires, restez chez vous », visant à priver les banques de commissions et à ralentir l’économie sans violence physique. Des initiatives locales, comme des remises pour paiements en espèces chez certains commerçants, ont émergé, mais l’impact global a été nul. Les banques ont rapporté une activité « tout à fait normale », sans recul notable des transactions par carte, confirmant que cet appel au boycott n’a pas été massivement suivi. Finalement, les Français ont préféré manifester dans la rue plutôt que de s’isoler chez eux, rendant cet aspect du mouvement inopérant.

En conclusion, tout ça pour rien. Malgré les perturbations et les saccages, le « Bloquons Tout ! » n’a pas ébranlé le gouvernement, dilué par des récupérations idéologiques et des symboles détournés, laissant une colère citoyenne intacte mais inaboutie.

Pourtant, la pression monte tout de même inexorablement et les Français ne se sentent pas écoutés.

 Quelques vidéos:

Les éternels ANTIFAS (milice violente d’extrême-gauche) s’en prennent à une jeune femme qui agite un drapeau français.
Le mode opératoire, toujours le même et savamment répété lors de leurs réunions préparatoires, consiste à haranguer la personne en lui criant « Tout le monde déteste les fachos ! » Ici à Montpellier (34).

https://x.com/camille_moscow/status/1965766735375876343

Des blindés devant le palais présidentiel. Non, ce n’est pas une capitale d’Amérique latine en crise. C’est Paris, et il a suffi d’appels à manifester sur Internet pour déclencher ce réflexe militaire.

https://x.com/BVoltaire/status/1965752871275659646 

Banderoles sur la défense des clandestins ou la Palestine, panneaux sur l’écologie… La manifestation place de la République paraît bien éloignée du mot d’ordre initial du 10 septembre.

  

septembre 07, 2025

Allez débrouillez-vous...! Laisse à penser Maître Bayrou

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François Bayrou, ou le drame du médiocre qui se prend pour l'homme providentiel
Si la parole du Premier ministre ne porte pas, c'est qu'elle manque d'allant pour emporter l'adhésion.
On ne s'improvise pas ténor de la politique. Quand François Bayrou, du haut de son Himalaya, en appelle à la responsabilité des Français et de la classe politique sur le budget, ses imprécations sont aussi convaincantes que celles d'un général d'infanterie, dont la seule expérience serait d'avoir joué aux petits soldats quand il était petit. Il y manque l'essentiel, la force de conviction qui emporte tout sur son passage.
C'est tout le problème de François Bayrou. Il a une si haute estime de sa personne qu'il parvient à se convaincre que sa seule parole provoquera chez les Français un sursaut tel qu'ils défileront dans la rue pour l'implorer de rester à son poste. On est loin du compte. Il s'imagine homme providentiel là où sa nomination n'a été qu'une affaire d'appareils, de circonstances, d'un vide qu'il fallait combler pour ne point laisser l'opposition s'installer à Matignon.
 

 
 La France n'a jamais vraiment eu faim de François Bayrou. https://www.slate.fr/.../interview-censure-francois... 
S'il existe bien une petite musique Bayrou, elle s'apparente à une comptine anodine, une sorte de chant sirupeux non dépourvu de charme, mais si peu entraînant qu'il finit immanquablement par endormir le malheureux forcé de l'écouter.
La parole de François Bayrou ne marque pas. Elle ennuie comme ennuient ces discours tenus aux enterrements, https://www.slate.fr/.../blog-sagalovitsch-enterrement... quand un vague cousin part dans un hommage funèbre qui, par sa prétention et sa longueur, provoque dans l'assistance un sentiment d'accablement si profond que l'on en vient à reprocher au défunt de nous avoir fait endurer pareille épreuve.
Gageons que si Winston Churchill avait eu la faconde de François Bayrou, le Royaume-Uni n'aurait pas tenu longtemps avant de subir le joug allemand. https://korii.slate.fr/.../histoire-seconde-guerre... C'est qu'il ne suffit pas d'emprunter à la tragédie ses accents dramatiques pour convaincre son auditoire de l'importance d'un moment. Encore faut-il incarner cette parole, l'incarner avec une telle force, une telle authenticité, que quiconque l'entendant sentira dans sa chair combien l'heure est cruciale.
 

 
 François Bayrou est depuis trop longtemps dans le paysage politique pour ne pas charrier avec lui tout un ensemble de présupposés qui rendent son discours comme inaudible.
Or, les dernières prises de parole https://www.youtube.com/watch?v=CRPkwXUtoKI du Premier ministre ont beau avoir été martiales et récitées sur un ton grave et pénétré, elles n'ont produit aucun effet, sinon un profond ennui voire un franc désintérêt. La ténacité et le volontarisme ne suffisent pas. Il faut encore autre chose, le sentiment d'être face à une personne chez qui le désir de dire vrai s'accompagne d'un véritable mouvement de l'âme, d'une sincérité, fille de la conscience et de la vérité. https://www.slate.fr/dossier/7651/conscience
 

 
 C'est une question de charme, une question de talent, https://www.slate.fr/.../talent-existe-t-il-travail... ce je ne sais quoi qui différencie l'homme du commun de la personne d'exception. Chez cette dernière, il existe une sorte de force intérieure, mais en même temps naturelle, qui donne à sa parole cet air d'évidence à même de séduire les plus coriaces de ses adversaires. Malgré lui, l'esprit se retrouve captif d'un discours dont il sent, au-delà des divergences d'opinion, qu'il le concerne tout entier.
 
Chez François Bayrou, le verbe est mou, insipide, atone. Le Béarnais aura beau répéter dix fois, cent fois, mille fois que la situation est grave, son discours, par l'inertie qu'il propage, ne fera qu'effleurer les consciences. https://www.slate.fr/.../referendum-finances-publiques... Il est tel qu'il est: honnête mais calculateur, fier mais d'une fierté exacerbée qui cache un sentiment de faiblesse, opiniâtre mais d'un courage qui procède d'une crânerie où l'on devine plus le désir d'épater l'autre que de le convaincre vraiment de la justesse de son raisonnement.
 

 

 

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