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septembre 24, 2025

Scandale de l'audiovisuel public avec Sarah Knafo

Ce matin, les comptes catastrophiques de France Télévisions sont mis à nu. Il y a quelques jours à peine, en pleine polémique sur les complots de l’audiovisuel public avec le Parti socialiste, la présidente Delphine Ernotte osait se plaindre du manque de moyens et réclamait leur augmentation ! 

Grâce à la Cour des comptes et son rapport paru ce matin, nous apprenons de nouveaux scandales. Rappelons que chaque année, l’Etat reverse à France Télévisions 2,6 milliards d’euros d'argent public, soit votre argent. Alors que nombre de ses concurrents privés font des bénéfices sans toucher d'argent public. Cela aurait déjà de quoi nous scandaliser… Mais vous n’avez encore rien vu. 


 

Ces 7 dernières années, les dépenses de France Info TV ont quasiment doublé. On pourrait imaginer que l’audience et la qualité des programmes ont doublé en conséquence ? Eh non, c’est toujours moins de 1% des téléspectateurs en moyenne qui regardent France Info TV. Chez France Télévisions, l’augmentation des budgets ne correspond donc ni à la qualité des programmes, ni à la satisfaction du public. Alors à quoi ? Au doublement du gaspillage, au seul profit des idéologues. Voulez-vous des preuves ? 

 


 

Chez France TV, les salaires ne connaissent pas la crise : 15% des salariés gagnent... plus de 80 000€ par an et la Cour des comptes critique « des avantages en nature conséquents ». Nous y venons.

On est bien traité chez France Télévisions… et on est nombreux : 8 932 personnes à temps plein ! C’est 2,5 fois plus que chez TF1. Surtout, nos impôts payent plus de journalistes, animateurs et techniciens chez France TV que de chirurgiens dans les hôpitaux publics (5947 en 2024). En France, on meurt aux urgences, mais l’Etat investit toujours plus dans le divertissement et la propagande.


 

Les dépenses de taxis de tout ce monde explosent : elles s’élèvent à 3,8 millions d’euros, soit +80% entre 2019 et 2024, malgré le scandale qui avait déjà sali l’institution. Cela revient à plus de 10 000 euros de taxis par jour ! Ce n’est plus France Télé, c'est France Taxi !

Les frais dérapent : les coûts des réception ont été quasiment multipliés par 5 en seulement 2 ans (de 700 000 euros en 2022 à 3,2 millions en 2024). Au total, les frais de déplacements et de réceptions s'élèvent à plus de 46 millions en 2024, soit 126 000 € par jour. Ils achètent les petits fours les plus chers du monde ?

Le comité d'entreprises de France Télévisions a coûté 14 millions d'euros en 2024. Le rapport précise qu'il a "acquis un immeuble au Crotoy en 2022, en plus des résidences de vacances dont il est propriétaire et qu'il loue à Cannes et à Trouville." Chez France Télévisions, on est déficitaires, mais on trouve quand même de quoi se payer des résidences secondaires en bord de mer !  

 


 

Vous l’avez compris : France Télévisions vit dans un monde où tout est possible parce que l’argent vient d’ailleurs : de vos poches. Vos poches qu’ils vident sans jamais dire merci. Il y a encore tant à dire sur le sujet. Le scandale de l’audiovisuel public ne fait que commencer. Je m’y attèle : à bientôt !

      


L’hypocrisie médiatique, savoir désinformer pour le "camp du bien" et son idéologie: le Socialisme, collectivisme, étatisme de connivence !!

Thomas Legrand et Patrick Cohen, champions de l’hypocrisie médiatique

Dans le paysage médiatique français, dominé par des voix qui se prétendent neutres et objectives, Thomas Legrand et Patrick Cohen incarnent l’archétype des idéologues déguisés en journalistes.

Ces figures du service public, financées par l’argent des contribuables, passent leur temps à hurler au loup contre la « désinformation de l’extrême droite » et les prétendues ingérences russes dans les élections.

Pourtant, une récente révélation les montre en pleine connivence avec des cadres du Parti socialiste, complotant pour influencer les scrutins à venir – un scandale qui expose leur double jeu flagrant. Loin des minimisations lisses servies par les médias alignés, examinons comment ces deux-là utilisent leur position pour fausser le jeu démocratique, tout en accusant les autres de manipulation.

 


Une connivence flagrante au service des socialistes

Imaginez : deux éditorialistes vedettes de France Inter et France 5, assis dans un café parisien, discutant stratégie avec des figures du PS comme Luc Broussy et Pierre Jouvet. Les échanges, capturés sans fard, révèlent un plan clair pour torpiller Rachida Dati à la mairie de Paris et booster Raphaël Glucksmann pour la présidentielle de 2027. « On fait ce qu’il faut pour Dati », lâche l’un d’eux, sous-entendant des efforts médiatiques pour « éliminer » les rivaux.

Ce n’est pas un simple bavardage amical ; c’est une confession d’utilisation de moyens publics pour orienter l’opinion.

France Inter, payée par tous les Français, devient un outil partisan au profit des socialistes. Et quand on les confronte, ils minimisent : « J’ai juste pris un café avec deux socialistes. » Non, c’était ni plus, ni moins qu’un flagrant délit d’influencement pur, une tentative de détourner le regard du vrai crime : influencer des élections avec de l’argent public.

Ces mêmes journalistes qui traquent la « désinformation russe » à longueur d’antenne – accusant Moscou de tout, des punaises de lit aux chutes de popularité de Macron, en passant par les manifestations du 10 septembre – se révèlent ainsi être les vrais manipulateurs. Pendant que Vladimir Poutine est blâmé pour des ingérences fantasmées à 4.000 km, Legrand et Cohen ourdissent des plans locaux pour favoriser leurs alliés idéologiques. Hypocrisie totale : ils crient à la menace extérieure pour masquer leur propre biais gauchiste, financé par les impôts de ceux qu’ils méprisent.

Le système en boucle fermée : promotion mutuelle et impunité

Ce scandale n’est pas isolé ; il s’inscrit dans un écosystème où ces idéologues se protègent mutuellement.

Pensez à Caroline Fourest ou à Léa Salamé, compagne de Raphaël Glucksmann, qui reçoit des économistes alignés pour vanter des théories bidouillées – comme Gabriel Zucman, viré d’Harvard pour truquage de données. (À noter que Glucksmann, avant sa relation avec Léa Salamé depuis environ 2016, a été marié à Eka Zgouladze, une politicienne géorgienne et ukrainienne impliquée dans des réformes controversées en Ukraine et en Géorgie, notamment en tant que vice-ministre de l’Intérieur en Géorgie de 2006 à 2012 sous Mikheil Saakachvili, puis en Ukraine de 2014 à 2016 où elle a dirigé des réformes policières souvent financées par des aides occidentales (USA, UE), ce qui l’a exposée à des accusations d’être une « agente d’influence étrangère » dans le contexte des débats géorgiens sur le financement d’organisations politiques par l’étranger, comme dans les lois récentes sur les « agents étrangers » visant à réguler les ONG financées par l’Occident et liées à des figures comme George Soros ; ce lien international ajoute une couche à son profil, mais c’est surtout avec Léa Salamé que surgit un conflit d’intérêt évident, car en tant que présentatrice du 20h sur France 2, elle pourrait influencer l’opinion publique en faveur de son compagnon politique, un risque qu’ils ont eux-mêmes reconnu en promettant de le « trancher » si Glucksmann se présente en 2027 – une promesse qui sonne creux dans ce système verrouillé.


 

Léa Salamé, sur le service public, promeut des idées qui servent son camp, sans transparence.

Cohen et Legrand opèrent de même : ils utilisent leurs plateformes pour de l’autopromotion partisane, transformant les médias publics en machine à laver les scandales.

Et pour couronner le tout, la patronne de France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci – une autre chaîne publique financée par les contribuables –, a volé au secours de ces deux « journalistes », leur apportant un « soutien total » tout en s’en prenant une fois de plus à CNews, qu’elle qualifie de « chaîne d’extrême droite » pour avoir relayé l’affaire.

Ernotte accuse CNews d’être une « chaîne d’opinion d’extrême droite » et d’ « allumer de façon scandaleuse des contre-feux », tentant ainsi de détourner l’attention des questions légitimes posées par cette connivence.

Ironie du sort, ces donneurs de leçons sur la probité et l’intégrité journalistique – qui accusent les autres de manipulation – sont eux-mêmes empêtrés dans des scandales : Ernotte fait l’objet de plaintes pour détournement de fonds publics liées à des notes de frais exorbitantes, comme un déplacement à Cannes facturé plus de 100.000 euros, ou des notes de taxi pharaoniques (2 à 3 millions d’euros de frais de taxis annuels) à France Télévisions, malgré une dotation publique massive de 2,57 milliards d’euros par an. Une « grande probité » qui frise l’hypocrisie, alors qu’ils s’alarment de coupes budgétaires mineures tout en dilapidant l’argent public pour des privilèges personnels.


 

Quand l’affaire éclate, ils contre-attaquent en criant à la violation de la vie privée – un écran de fumée classique. Mais filmer dans un lieu public, lors d’une discussion politique, n’est pas une atteinte ; c’est de l’investigation légitime, comme l’ont fait Élise Lucet ou d’autres sans jamais être inquiétés. Patrick Cohen menace de procès, mais les précédents judiciaires le condamnent d’avance : c’est du bluff pour intimider. Un huissier a déjà confirmé que les rushes sont conformes, sans montage trompeur.

Pourtant, ces « journalistes » se victimisent, accusant une « campagne de dénigrement » orchestrée par la droite – alors que ce sont eux qui déforment la réalité quotidiennement.

Des idéologues qui traquent la « désinformation » pour mieux la pratiquer

Legrand et Cohen se posent en gardiens de la vérité, dénonçant sans relâche l’extrême droite et les Russes comme sources de fake news. Mais qui sont les vrais désinformateurs ? Eux, qui trient les indignations : silence sur des crimes comme l’assassinat d’Irina Zarutska par un multirécidiviste, titré de manière euphémique par CNN (leur modèle ?), mais hurlements contre toute critique de leur camp. Ils accusent les autres de polariser la société, mais leur biais gauchiste alimente la division, en justifiant la violence verbale contre les « fascistes » – un terme qu’ils collent à quiconque ose contredire leur doxa.

Pire, ils incarnent le terrorisme intellectuel : en minimisant leur propre rôle dans la manipulation électorale, ils pavent la voie à une justice à deux vitesses. Si un chroniqueur de droite tenait des propos similaires, il serait lynché médiatiquement. Mais pour eux, l’Arcom et les comités d’éthique ferment les yeux, validant que « rien ne permet d’affirmer une faute ». C’est l’impunité totale pour les bien-pensants.

Vers une réaction citoyenne : plaintes et lois pour les déloger

Il est temps de briser ce cercle vicieux. Ces idéologues ne passeront plus pour des experts neutres ; la réalité les rattrape. Des associations de contribuables doivent se constituer partie civile pour détournement de fonds publics – car influencer des élections avec des moyens d’État, c’est un déni de démocratie. Des plaintes massives, des boycotts d’émissions, et des propositions de loi pour interdire ces pratiques : voilà les armes. Sans cela, Legrand et Cohen continueront à crier à la désinformation tout azimut tout en sabotant la démocratie de l’intérieur.

En fin de compte, ces deux-là ne sont pas des journalistes, mais des militants payés par nos impôts pour imposer leur vision. Ras-le-bol de leur hypocrisie : il est temps qu’ils rendent des comptes, avant que leur manipulation ne détruise ce qui reste de pluralisme en France.

Cliquez sur l'image ci-dessous pour voir la vidéo sur X


 https://multipol360.com/thomas-legrand-et-patrick-cohen-champions-de-lhypocrisie-mediatique/

 

 

 

septembre 16, 2025

Le NAZISME et le FASCISME viennent TOUJOURS de l'Extrême Gauche ; l'idéologie le SOCIALISME !

Voici un monument NAZI (Socialisme National) avec les mots de l'abominable Hitler lui-même. Traduction : 
 "Je suis SOCIALISTE parce qu'il me paraît incompréhensible de soigner et d'entretenir une machine (outil) avec attention, tout en laissant mourir le plus noble représentant du travail (l'ouvrier) : l'humain lui-même."
Cela pourrait être un discours de Jean-Luc Mélenchon !
 
 

 
 
Et n'oubliez pas de vous renseigner sur Benito Mussolini, ce socialiste pur et dur, d'extrême gauche même ! Benito Mussolini, souvent vénéré ou vilipendé pour son rôle dans l'histoire en tant que dictateur fasciste, a commencé sa carrière politique comme socialiste convaincu. 
 
L'Éveil Socialiste:  
Mussolini est né en 1883, dans une famille d'ouvriers italiens. Son père, forgeron et socialiste fervent, influença profondément ses idées politiques. Benito, du nom de Benito Juárez, un leader révolutionnaire mexicain, fut élevé dans une atmosphère d'idéaux socialistes et républicains. Ce contexte familial planta les graines de son engagement politique socialiste précoce. 
 
La Carrière de Journaliste Socialiste !  
En 1912, Mussolini devint rédacteur en chef du journal socialiste "Avanti!", le quotidien officiel du Parti socialiste italien (PSI). Sa plume acerbe et sa rhétorique le propulsèrent rapidement au centre du mouvement socialiste italien. Mussolini prônait alors des idées marxistes, critiquant vivement le capitalisme et appelant à la révolution prolétarienne. Son influence grandissante au sein du PSI témoigne de son dévouement initial aux principes socialistes.  
 
La Naissance du Fascisme:
Après la guerre, Mussolini fonda les Faisceaux italiens de combat en 1919, qui évoluèrent en Parti national fasciste en 1921. Il fusionna des éléments du nationalisme, du SYNDICALISME et du SOCIALISME pour créer une nouvelle idéologie. Bien que son régime fût anti-communiste, il conserva certaines idées socialistes comme l'interventionnisme étatique dans l'économie et le corporatisme.
 
La Réalité du Socialisme Mussolinien:
Ce parcours démontre que Mussolini n'a jamais véritablement renié ses racines socialistes. Son régime totalitaire fut une fusion perverse de socialisme d'État et de nationalisme extrême. En effet, les politiques économiques de Mussolini, telles que la création de l'Institut pour la Reconstruction Industrielle (IRI) et l'étatisation des industries clés, rappellent les pratiques des régimes socialistes.
 

Conclusion:
L'histoire de Mussolini est un exemple frappant des dangers du socialisme lorsqu'il est couplé à l'ambition personnelle et à l'opportunisme politique. Ses débuts en tant que fervent socialiste et son évolution vers le fascisme démontrent la flexibilité hypocrite des idéologues socialistes lorsqu'ils cherchent le pouvoir à tout prix. Il est crucial de rappeler cette histoire pour souligner les risques de la centralisation du pouvoir et des politiques étatiques omniprésentes, caractéristiques des idéologies socialistes.
 
Soit : LE FASCISME et le NAZISME viennent TOUJOURS de la GAUCHE !     
 
Il n'y a qu'à voir comment la gauche actuelle est devenue autoritaire, violente, intolérante, bigote, antirépublicaine, rigide et antisémite ! Et en plus elle s'allie avec les pires idéologies machistes, religieuses totalitaires, patriarcales et rétrogrades : l'Islam !
 
Petite lecture:

 
 
Source     

septembre 09, 2025

La survie de la gauche ! Médiatiser pour désinformer...Donner pour reprendre....CQFD !

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Les biologistes expliquent comment les organismes s'adaptent à leur environnement physique, mais les idéologues s'adaptent également à leur environnement social. Le fait le plus fondamental concernant les idées de la gauche politique est qu'elles ne fonctionnent pas. Il ne faut donc pas s'étonner de la trouver concentrée dans des institutions où les idées n'ont pas besoin de fonctionner pour survivre.


Le monde universitaire est le terrain de jeu des idées bancales, à l'exception des domaines où des épreuves décisives sont nécessaires, comme les sciences, les mathématiques, l'ingénierie, la médecine et le sport. Dans tous ces domaines, chacun à sa manière, il arrive un moment où il faut accepter ou se taire. Il n'est pas surprenant que tous ces domaines constituent des exceptions notables à la domination totale de la gauche sur les campus à travers le pays.


Dans les sciences humaines, par exemple, le test du déconstructionnisme ne consiste pas à savoir s'il peut produire des résultats tangibles, mais s'il reste en vogue. Tant que c'est le cas, les professeurs habiles dans l'art de la prestidigitation verbale peuvent s'attendre à continuer de percevoir des salaires à six chiffres.

On pourrait penser que l'effondrement du communisme dans toute l'Europe de l'Est serait considéré comme un échec décisif pour le marxisme, mais les marxistes universitaires américains ne se laissent pas décourager. Leurs salaires et leur titularisation ne sont pas affectés. Leurs théories continuent de fleurir dans les salles de classe et leurs revues continuent d'encombrer les étagères des bibliothèques.

Le socialisme en général a un bilan d'échecs si flagrant que seuls les intellectuels peuvent l'ignorer ou l'esquiver. Même les pays qui étaient autrefois plus prospères que leurs voisins se sont retrouvés beaucoup plus pauvres que ces derniers après seulement une génération de politiques socialistes. Que ces pays voisins soient le Ghana et la Côte d'Ivoire ou la Birmanie et la Thaïlande, l'histoire est la même partout dans le monde.

 Discréditées ailleurs, les recettes miracles de la gauche continuent de vivre à la télévision publique.

Et l'échec économique n'est pas le pire. Les millions de personnes massacrées par Staline, Mao et Pol Pot pour des raisons politiques constituent une réalité encore plus sinistre.

Les personnes qui vivent et travaillent dans un monde où il y a des résultats financiers à atteindre, des tableaux d'affichage sportifs, des champs de bataille militaires ou des opérations chirurgicales où il est question de vie ou de mort peuvent avoir du mal à apprécier pleinement la différence entre ce type de monde et un monde où le seul critère décisif est de savoir si vos collègues apprécient ce que vous dites.

Le monde universitaire n'est qu'un des domaines où règnent des critères entièrement subjectifs et où les gauchistes prédominent. Les institutions dotées de fonds, telles que les fondations et les musées, ne sont souvent soumises à aucun autre critère que ce que des personnes partageant les mêmes idées trouvent « passionnant » et ce qui permet à ceux qui dirigent ces institutions d'éprouver le sentiment grisant de « faire la différence ». Il en va de même pour les institutions culturelles soutenues involontairement par les contribuables, telles que le Smithsonian ou le National Endowments for the Arts and the Humanities.

La radio et la télévision « publiques » financées par les contribuables sont également coupées de la réalité et dominées par la gauche, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans d'autres pays. Toutes les recettes miracles de la gauche qui ont affamé des millions de personnes dans des pays qui avaient autrefois des excédents alimentaires à exporter, toutes les belles paroles et les réalités sordides qui ont poussé des millions d'autres personnes à fuir leur terre natale, ces recettes miracles perdurent à la télévision publique, un peu comme les vieux films classiques dont les répliques familières peuvent être récitées par les amateurs en même temps que les personnages à l'écran.

Ces institutions privilégiées et isolées, souvent méprisantes envers les valeurs de la société américaine et de la civilisation occidentale, ne sont pas les seuls bastions de la contre-culture de gauche. Hollywood et Broadway le sont également. Bien que le monde du spectacle soit confronté à la nécessité financière d'attirer un public, la véracité de ce qu'il représente n'est guère cruciale. S'il parvient à rendre ses productions percutantes et sexy, ceux qui se plaignent des inexactitudes historiques et des préjugés idéologiques peuvent être écartés comme des pédants insignifiants. Pourquoi les gauchistes parviennent-ils à évincer les autres types de personnes de ces lieux ? Parce que ceux qui sont prêts à se soumettre à l'épreuve de la réalité, qu'ils soient hommes d'affaires sur le marché ou chirurgiens dans une salle d'opération, ont beaucoup d'autres endroits où travailler et vivre. Ils n'ont pas besoin de niches protégées spéciales pour se cacher et chérir leurs précieuses idées.

L'adaptation darwinienne à l'environnement s'applique non seulement à la nature, mais aussi à la société. Tout comme on ne trouve pas d'aigles vivant dans l'océan ou de poissons vivant au sommet des montagnes, on ne trouve pas de gauchistes concentrés là où leurs idées doivent faire leurs preuves. 

  • Le socialisme a un record d'échecs si flagrant que seul un intellectuel pourrait l'ignorer.
Thomas Sowell

 


Le Dr Thomas Sowell est économiste et chercheur principal à la Hoover Institution de Stanford, en Californie.

https://www.forbes.com/forbes/1997/0908/6005128a.html?sh=44d00e08c4c3



septembre 06, 2025

Enseignement et dérives !

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La formation idéologique ne plairait t-elle plus ? 
Plus une vocation ? 
Serait-ce devenu un danger ?
 
 

Pénurie de professeurs à la rentrée 2025 : un naufrage éducatif annoncé
La crise des vocations : 2 500 postes non pourvus
La rentrée scolaire 2025 s’annonce sous de sombres auspices pour l’Éducation nationale française. Selon les dernières données officielles, l’équivalent de 2.500 postes de professeurs restent non pourvus, https://www.franceinfo.fr/.../ma-fille-m-a-dit-que-c... principalement dans l’enseignement secondaire. Cette situation, confirmée par la ministre de l’Éducation Élisabeth Borne, met en lumière une crise profonde des vocations, avec des concours qui ne font plus le plein de candidats. Des matières comme les lettres classiques, l’allemand ou les sciences industrielles sont particulièrement touchées, laissant des classes entières sans enseignants stables. Des parents, comme cette mère des Mureaux dans les Yvelines, rapportent des anecdotes poignantes : « Ma fille m’a dit que c’était une remplaçante, mais qu’elle ne serait plus là dans une semaine, que ce serait une autre. » Ce turn-over incessant prive les élèves, surtout dans les zones d’éducation prioritaire (REP+), d’une continuité pédagogique essentielle, avec des classes parfois redistribuées ou laissées sans maître pendant des semaines.
 
Cette rentrée 2025 a été encore plus chaotique dans certains départements, comme les Bouches-du-Rhône et le Var, où elle a été reportée https://www.lemonde.fr/.../rentree-scolaire-reportee-d... d’une journée en raison d’intempéries annoncées, avec une vigilance orange pour pluies et orages, entraînant des précipitations pouvant atteindre 100 à 150 millimètres par heure et des risques d’inondations. La décision du préfet, prise le 31 août malgré un ciel clair à ce moment, a affecté près de 700.000 élèves, fermant écoles, collèges, lycées, crèches et même certains sites universitaires, tout en stoppant les transports scolaires. Finalement, la rentrée a eu lieu le 2 septembre, mais avec 123 écoles impactées dans les Bouches-du-Rhône (dont deux fermées), des ruissellements près de Cassis et La Ciotat, des coupures d’électricité touchant plus de 700 foyers dans le Var, des inondations et même un accident mortel dû à une chaussée glissante.
 
Cette mesure révèle la lâcheté des autorités, qui paniquent au moindre orage et reportent une rentrée nationale pour des prévisions météo, même si les impacts réels ont été limités. La France n’assume plus rien, baissant les bras face à un épisode cévenol banal, aggravant le sentiment d’instabilité pour parents et enseignants déjà fragilisés par la pénurie.
 

 
Le constat accablant : démographie en chute et instabilité politique
Cette pénurie n’est pas un accident isolé, mais le symptôme d’un système en plein effondrement, comme l’analysent des experts tels que Jean-Paul Brighelli, ancien enseignant et auteur de La Fabrique du crétin, https://www.fnac.com/.../Jean-Paul-Brighelli-La-fabrique... et Michel Valadier, directeur général de la Fondation pour l’école. https://www.fondationpourlecole.org/ Dans une table ronde récente, ils dressent un constat accablant : https://www.youtube.com/watch?v=Fb4iTy7ui9Y l’école française subit une accélération de la chute démographique, avec 92.000 élèves en moins cette année et une projection de 800.000 en cinq ans. Cela entraîne des fermetures de classes massives – 5.000 dans le public – et d’écoles entières, particulièrement dans les zones rurales, où les protestations des parents se multiplient.
Mais au-delà du quantitatif, c’est le qualitatif qui alarme : une instabilité politique chronique, avec six ministres en deux ans, empêche toute réforme de fond.
 
Les conditions de travail infernales : un recrutement politisé et démagogique
Les conditions de travail des professeurs sont au cœur de cette crise. Brighelli et Valadier pointent du doigt un recrutement hyper politisé, imprégné d’une idéologie de gauche qui privilégie la démagogie au détriment de l’autorité et de la transmission des savoirs. « Tant que l’on ne définit pas l’école comme le lieu de la transmission des savoirs, on ne progressera pas », martèle Brighelli. Selon lui, les programmes sont idéologiquement bornés, imposant des théories comme celle du genre sous prétexte d’accueil et d’inclusion, transformant l’instruction en un terrain de fantasmes politiques. Les professeurs, formés dans des structures pédagogistes comme les INSPE (ex-IUFM), sont démunis : ils apprennent plus le « savoir-être » que le savoir pur, délaissant la grammaire, l’orthographe ou l’histoire factuelle. Résultat ? Un manque criant d’autorité, où les élèves contestent ouvertement les enseignants, et une hiérarchie qui, à l’image de cette idéologie, ne les soutient pas. « L’enfant est roi », résume Brighelli, évoquant des cas où les parents sont infantilisés et les professeurs livrés à eux-mêmes face à des dérives comme l’idéologisation des cours d’histoire, qui culpabilisent les élèves sur le colonialisme ou le « privilège blanc » sans contextualisation chronologique.
 

 
 
La déresponsabilisation des parents et l’idéologie envahissante
Valadier renchérit : les parents, déresponsabilisés, voient leurs enfants rentrer à la maison pour leur faire la morale sur le tri sélectif ou d’autres sujets triviaux appris à l’école, tandis que les fondamentaux – lire, écrire, compter – passent au second plan.
Cette démagogie crée un cercle vicieux : les enseignants ne savent pas se faire respecter, car leur formation les oriente vers l’acceptation et l’amitié plutôt que l’instruction stricte. « Il faut que l’école soit à l’écart du monde », cite Brighelli en référence à Jean Zay, ministre du Front Populaire, pour insister sur le besoin d’interdire aux maîtres d’importer leurs biais idéologiques, comme ces professeurs agitant des drapeaux palestiniens au lycée. La hiérarchie, complice de cette politisation, abandonne les enseignants face à des classes ingérables, où l’ambiance de travail est dramatique et la baisse de niveau drastique.
 
L’effondrement historique : des réformes destructrices
Dans une conversation explosive https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=ra9nv8umSbk avec Brighelli, l’effondrement est encore plus détaillé. Il remonte aux années 1970, avec le collège unique et le regroupement familial, qui ont abaissé les standards pour intégrer des populations immigrées sans adapter le système. « On a préféré les compétences aux savoirs », regrette-t-il, critiquant des réformes comme le protocole de Lisbonne (2000) https://www.europarl.europa.eu/summits/lis1_fr.htm qui ont massifié l’enseignement au prix d’une médiocrité généralisée. Les professeurs, issus d’une formation défaillante, peinent à transmettre : « Les nouveaux arrivants disent ‘va voir Brighelli, il sait lui' ». Pire, l’islamisme et le wokisme infiltrent les classes, avec des enseignants craignant pour leur sécurité physique – quatre agressions par jour en moyenne. Brighelli dénonce une laïcité mal comprise, ouverte aux délires religieux, où les certitudes familiales ou communautaires supplantent le doute scientifique et philosophique.
Ce scandale emblématique illustre tragiquement le manque de soutien de la hiérarchie : Samuel Paty, https://www.franceinfo.fr/.../samuel-paty-l-enseignant... professeur d’histoire-géographie décapité en 2020 pour avoir montré des caricatures lors d’un cours sur la liberté d’expression, n’a pas été protégé malgré des menaces claires.
Au lieu de le défendre fermement, l’académie a envoyé un inspecteur pour lui rappeler les règles de neutralité et de laïcité, tandis que la principale lui a suggéré de s’excuser si son approche avait été « maladroite », sans que l’État ne porte plainte pour diffamation.
Des députés comme Patrick Hetzel https://www.franceinfo.fr/.../samuel-paty-l-enseignant... critiquent cette passivité, soulignant une lâcheté idéologique qui abandonne les enseignants face à l’islamisme radical, préférant l’apaisement à une protection concrète et constante.
 


Les conséquences dramatiques : évitement et perte d’élitisme
Les conséquences sont dévastatrices : un phénomène d’évitement massif vers le privé, où 400 nouvelles classes ouvrent tandis que le public en ferme des milliers. Les parents qui le peuvent fuient un système où l’élitisme républicain – dégager une élite par le mérite – est remplacé par une égalité factice, réservant des places dans les grandes écoles à des élèves sous-préparés. « Ce sont des élèves qui ont besoin d’une stabilité pour reprendre pied dans leur scolarité », note un syndicaliste, mais avec 2.500 postes vacants, cette stabilité est un mirage. Brighelli appelle à redonner le pouvoir aux chefs d’établissement pour recruter et adapter les programmes, en respectant le réel plutôt que l’idéologie.
Vers une réforme urgente : sortir du naufrage
La pénurie de professeurs pour 2025 n’est que la pointe de l’iceberg d’un naufrage idéologique et structurel. Tant que le recrutement restera politisé à gauche, privilégiant la démagogie et l’enfant-roi au détriment de l’autorité et des savoirs, l’école française continuera sa chute. Des réformes radicales s’imposent : recentrer sur l’instruction, renforcer l’autorité des professeurs et soutenir une hiérarchie ferme. Sinon, comme le prédit Brighelli, « nous sommes tout en bas, et on va y rester ».
 
Info - Drame !!
« Faire la lumière sur ce drame ». Élisabeth Borne saisit l’Inspection générale après le suicide d’une enseignante dans le Cantal le jour de la rentrée. L’enseignante de 42 ans avait retrouvé des tags visant son orientation sexuelle et une lettre anonyme contenant des menaces de mort.
"Une directrice d’école s’est donné la mort aujourd’hui.
Pendant des mois, elle a été harcelée par un corbeau parce qu’elle était lesbienne et mariée à une femme.
Le corbeau taguait l’établissement dans lequel elle travaillait d’injures homophobes et de messages d’incitation au suicide, tels que : « Va crever, sale gouine ».
Elle a déposé plainte à cinq reprises. Elle avait déjà tenté de mettre fin à ses jours.
L’institution et la mairie ne l’ont pas véritablement soutenue.
Sa plainte a été classée sans suite.
Ce 1er septembre, jour de rentrée scolaire, alors qu’elle était en arrêt de travail depuis un an, elle a appelé le 3114 avant de se suicider.
Paix à son âme.
 
Il faut agir pour que cela n’arrive plus jamais. Que jamais une victime de harcèlement, de quelque nature que ce soit, ne puisse se sentir abandonnée. Que jamais la justice ne classe une affaire de harcèlement tant que celui-ci ne s’est pas arrêté et que tout n’a pas été fait pour que l’auteur soit identifié et qu’il ne puisse plus recommencer.
Il faut protéger les victimes."
Ilan Gabet
 

 

Déficit public !!

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Liberté
D’où vient le déficit ?
Comment le combler ?
  
 
1974 : c’est la dernière année où les comptes de l’État ont été équilibrés. Depuis, les vannes de la dette se sont ouvertes et les finances publiques glissent vers un gouffre sans fond. Est-ce irrémédiable ?
Un demi-siècle plus tard, en 2024, le déficit des administrations s’établit à 5,8 % du PIB, soit 168 milliards d’euros, à peu près 5 400 € par ménage français. Il continue d’alimenter une dette record de 3 305 milliards d’euros, supérieure à 100 000 € par foyer. La France est désormais sur le podium des pays les plus endettés de l’UE, avec 113 % du PIB, derrière la Grèce (154 %) et l’Italie (135 %). Et les prévisions pour 2025, tablent sur 116%.
 
D’où vient le déficit ?
Chaque année, les administrations publiques collectent des recettes et les redistribuent. Le déficit vient de la différence entre la dépense publique et les prélèvements obligatoires. La pression fiscale en France est pourtant l’une des plus élevées du monde. Plus d’un euro sur 2 produits est taxé par l’Etat (51 % du PIB contre 46 % en moyenne UE en 2024). Malgré ces masses considérables collectées, la dépense s’établissait l’année dernière à 57 % du PIB. Sur 10 € dépensés par les administrations publiques, seuls 9 € proviennent des impôts et des cotisations obligatoires. L’euro manquant est emprunté sur les marchés. Rapporté au nombre de ménages, les administrations publiques ont dépensé en moyenne 52 000 € après avoir collecté 47 000 € en 2023.
 
 
 
Envisagé sur le temps long, notre déficit est structurel. Il est, depuis plus de 10 ans, d’environ 3 points plus élevé que celui de nos voisins européens. Sur les dernières années, il a continué de dériver bien au-delà des 3 % malgré la fin des mesures d’exception liées au covid. D’après la Cour des comptes https://www.ccomptes.fr/.../la-situation-des-finances... , les recettes fiscales ont été très en deçà des attentes et les dépenses ont été fortement tirées par les collectivités territoriales et les prestations sociales en 2023 et 2024.
 
Si l’on compare la France avec nos voisins, nous allouons 8 points de PIB de plus que la moyenne de l’UE aux dépenses publiques, dont 1,5 points de plus sur la santé et 4 points de plus sur la protection sociale, essentiellement sur les pensions. Si l’intégration de ces dernières dans la comptabilité du déficit fait débat (voir encadré), la comparaison européenne est implacable : notre trou d’air vient plus d’un excès de dépenses majoritairement attribuable au retraites que d’un manque de recettes…
 

 
 
A lire : Retraites : déficit ou pas déficit ?: https://lel.media/insert/retraites-deficit-ou-pas-deficit/
 
Ce surcoût s’explique notamment par un âge de départ effectif survenant en France 2 ans avant https://www.oecd.org/.../full-report/component-36.html... celui de la moyenne des pays de l’OCDE, et par un système qui repose quasiment exclusivement sur la répartition. Contrairement à la capitalisation, https://lel.media/capitalisation-vs-repartition-victoire.../ cette redistribution directe est mise à mal par le papy-boom et la baby-bust (effondrement de la natalité) qui dégradent le ratio actifs/retraités. Une réalité qui, ces dernières années, a été négligée à cause du faible coût de la charge de la dette – autrement dit, le coût de ses intérêts. Chiffre qui a atteint 58 milliards d’euros en 2024. Un montant historiquement bas obtenu grâce aux très faibles taux, parfois même négatifs, sur les emprunts contractés entre 2015 et 2021.
Mais la donne a changé. Cette parenthèse conjoncturelle exceptionnelle s’est désormais refermée. Et depuis quatre ans, les taux ont largement remonté, voyant la facture s’envoler, ce qui entraîne nos finances publiques dans un cercle vicieux https://lel.media/peur-sur-la-dette/ . Le déficit se met à dériver sous la pression du coût de la dette, devenu un boulet de plus en plus lourd à porter. Il tend désormais autour de 6 %, alors que la croissance peine à atteindre les 1 %. Notre endettement n’est pas un investissement. Il soutient à bout de bras un système exsangue, aux dépens des générations futures.
 

 
 
Comment combler le déficit ?
Les mesures pour réduire le déficit constituent des choix politiques forts. Plusieurs propositions sont régulièrement avancées dans le débat public. Au-delà de leur légitimité ou des courants idéologiques qui les portent, elles doivent d’abord être analysées à l’aune de leur réalité comptable. Ces initiatives seraient-elles à même de réduire significativement le déficit ? Voici un tour d’horizon (non exhaustif) de ces propositions et de leur ordre de grandeur et de leur impact budgétaire attendu.
Certaines mesures comme la baisse du salaire des ministres et des parlementaires portent une charge symbolique forte, mais elles auraient un impact budgétaire quasiment nul. Au-delà de leur légitimité ou de leur efficacité qui font débat, les antiennes comme la suppression de l’aide médicale d’État (AME), ou le rétablissement de l’exit tax auraient un potentiel très limité pour réduire le déficit.
Les mesures consistant à faire payer les riches, comme la réintroduction de l’ISF ou la mise en place de la taxe Zucman peuvent avoir des effets pervers tels que l’exil fiscal, voire la baisse des recettes du fait de l’effet de la courbe de Laffer : lorsque la pression fiscale devient trop forte, l’activité économique se rétracte et les recettes fiscales diminuent. (Voir encart ci-dessous)
 
 
L’analyse des ordres de grandeur révèle que ce sont surtout les réformes paramétriques sur les postes de dépense principaux qui sont susceptibles de réduire significativement le déficit. Ces mesures peuvent se compter en dizaines de milliards d’euros. Elles impliquent des arbitrages politiques fortement impopulaires, comme retarder l’âge de départ à la retraite ou désindexer les pensions.
L’autre fenêtre d’opportunité pour réduire le déficit consisterait à engager des réformes plus structurelles visant à désengager l’État de certains secteurs via des privatisations. Cela pourrait notamment concerner l’audiovisuel public, ce qui libérerait des crédits et réduirait le déficit, mais serait fortement contesté, en dépit d’un urgent besoin de réforme et de dépolitisation de celui-ci.
 
Quelles que soient les trajectoires choisies, une chose est certaine : le retour de la croissance est indispensable pour accompagner le rétablissement des comptes publics. La priorité est donc de lever les freins à l’innovation et de soutenir une politique nataliste. Mais aussi de s’assurer que les arbitrages pris pour réduire le déficit ne grèvent pas davantage la croissance. Risque que ferait courir à notre pays une augmentation de la pression fiscale.
par Pierre Frihet
à lire sur lel.media: https://lel.media/

 


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