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septembre 20, 2025

Question environnement avec le GIEC une pseudo-écologie !

Le GIEC est-il techno-optimiste ?

Trop « technophile », le GIEC ? C'est la thèse de l’historien Jean-Baptiste Fressoz, pour qui le groupe III, qui évalue les moyens d’atténuer le réchauffement climatique, sous-estimerait les mesures de sobriété. Un procès à côté de la plaque.

par Anne Denis 




Dans un article récemment paru dans la revue Energy Research & Social Science et dûment relayé par Le Monde du 30 août, l’historien des sciences et chercheur au CNRS Jean-Baptiste Fressoz entend mettre en évidence le biais « technocentrique » qui, selon lui, imprègne tous les rapports du groupe III du GIEC depuis ses débuts en 1990. Ce groupe de travail est chargé de recenser et d’évaluer les solutions d’atténuation du changement climatique qui doivent permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) et donc limiter autour de 2 degrés la hausse de la température planétaire par rapport aux périodes préindustrielles.
L’auteur estime que ce biais « nourrit un faux optimisme, légitime le soutien aux technologies spéculatives, réduit l’éventail des options politiques viables et retarde les transformations structurelles ». Il juge l’objectif de neutralité carbone visé d’ici 2050-2070 par l’Accord de Paris « technologiquement impossible » et appelle à renoncer à ces « illusions » au profit de mesures de sobriété, de décroissance et de redistribution (qu’il ne détaille pas). Hélas, sa thèse souffre elle-même de nombreux biais.

Méthodologie sémantique indigente

Pour mettre en évidence cette supposée technophilie historique, l’historien a compté les occurrences de différents termes dans les six rapports du groupe III, certains identifiés comme technologiques, d’autres évoquant des actions de réduction de la demande. Dans le dernier rapport paru en 2022, il a ainsi compté 1 096 fois le mot « hydrogène », 1 667 fois « innovation » ou 2 111 fois « technologie », mais seulement 232 fois le terme « sufficiency » (sobriété) et 29 fois « décroissance » ! Pour l’auteur, le déséquilibre est probant, même s’il admet qu’il est moins prononcé que dans les précédents opus. Et de fait, le groupe III a, pour la première fois en 2022, consacré un chapitre aux changements de modes de vie et d’usages et à la sobriété, estimant que ces stratégies pourraient réduire les émissions de 40 à 70 % selon les secteurs. Un virage applaudi par toute la sphère de l’écologie politique. « Le GIEC enterre la stratégie de la croissance verte », s’est notamment réjoui l’économiste décroissant Timothée Parrique.
Le politologue François Gemenne, co-auteur du sixième rapport du GIEC, et confronté à l’historien sur France Inter, a moqué « l’extraordinaire faiblesse d’une méthodologie basée sur le nombre d’occurrences de mots », rappelant que le rapport du GIEC n’était pas, comme le prétendait JB Fressoz, « un guide pour nous aider à sortir du carbone », mais l’état des connaissances scientifiques à un moment précis. « On évalue à la fois l’abondance et la convergence de la littérature sur le sujet. Il est donc logique que les rapports parlent davantage d’énergie solaire ».
De plus, remarque le journaliste scientifique Sylvestre Huet sur son blog Sciences au carré hébergé par Le Monde, « Jean-Baptiste Fressoz confond “beaucoup” et “bien”. Il nous dit que le GIEC est obnubilé par les CSC (capture et stockage du carbone), alors que le GIEC nous alerte surtout sur l’extrême difficulté d’une éventuelle mise en œuvre de cette technologie. Mais pour le savoir, il ne faut pas se contenter de faire compter des mots par un logiciel, il faut lire le texte (qui est long) ». Bim.
In fine, ce comptage de mots ne prouve rien. JB Fressoz démonte même sa propre démonstration en admettant, au détour d’un paragraphe, que « la fréquence d’un terme n’implique pas son approbation », citant le cas de l’hydrogène, très critiqué dans le dernier rapport.

Opposition stérile entre technologies et mesures socio-économiques

Résumer le débat à un affrontement entre techno-solutionnistes et décroissants relève du pur sophisme (voir encart « Le coût, principal frein des technologies de décarbonation »). « Ce n’est pas une technologie générique qui permet de réaliser le potentiel de réduction, c’est une synergie entre des changements techniques précis et des modes de vie et de consommation nécessaires », affirme Sylvestre Huet. D’autant que les leviers socio-économiques d’atténuation du changement climatique sont tout aussi complexes à mettre en œuvre que les techniques de décarbonation — sans même parler de la décroissance, qui fait l’objet d’un profond rejet des populations en plus de reposer sur une littérature imprécise et peu aboutie (voir encart ci-dessous).

Confusion entre faisabilité technique et coût économique

JB Fressoz juge les technologies de décarbonation « spéculatives » et « irréalistes ». « Est-ce que l’on sait faire de l’acier, du ciment, des engrais sans émettre de CO₂ ? Non ! Est-ce que l’on sait faire voler des avions ou faire naviguer des porte-conteneurs sans émettre de CO₂ ? Non. Tous les modélisateurs le savent ! », s’est-il emporté sur France Inter.
Sauf qu’en fait, bien souvent, on sait le faire et on le fait déjà, comme peuvent en témoigner de nombreuses entreprises, tels le fabricant d’engrais bas-carbone FertigHy, le cimentier Lafarge Holcim ou, dans le domaine des CSC, le méga-projet norvégien Northern Lights (TotalEnergies, Equinor et Shell). Les technologies bas carbone existent. Le problème, c’est leur coût, encore nettement plus élevé que pour leurs équivalentes plus émettrices. Ainsi, remplacer toutes les chaudières au gaz d’une collectivité par des pompes à chaleur est techniquement facile mais l’investissement nécessaire est encore dissuasif.
« Le GIEC met parfois en avant des solutions peu ou pas matures, admet le physicien-climatologue et co-auteur du cinquième rapport du GIEC François-Marie Bréon. Mais le solaire ou les batteries ne l’étaient pas il y a vingt ans. Or, on voit aujourd’hui les ruptures technologiques réalisées ». Avec, à la clé, des baisses de coûts spectaculaires et la massification des procédés.
B Fressoz se montre particulièrement critique envers la mise en avant par le GIEC des techniques d’émissions négatives comme les CSC (consistant à capturer le carbone rejeté dans l’atmosphère par les centrales thermiques et les usines, puis à l’injecter dans le sous-sol). Le scénario misant sur l’injection, à terme, de 10 milliards de tonnes de CO₂ par an, est-il absurde, comme il le soutient ? Non, répond François-Marie Bréon. Pour lui, la limite à l’essor de ces procédés n’est pas technique, mais politique et économique : « Les CSC coûtent environ 100 euros la tonne. Aucun État n’a un intérêt politique à y consacrer des ressources significatives, car sa population n’en bénéficiera pas directement à court terme, même si la planète en a besoin. Seul un accord international pourra résoudre cette difficulté ».

Un biais « socio-solutionniste » ?

Derrière l’importance que le GIEC accorde à ces techniques, JB Fressoz voit la main des multinationales et de leurs lobbies. Il souligne que le groupe III a, dès sa création, impliqué « de nombreux experts affiliés à l’industrie des combustibles fossiles », citant Total, Exxon, ENI, Mobil Oil, Saudi Aramco, DuPont, Volvo, le World Coal Institute, etc. Et on comprend clairement qu’il le condamne. Selon lui, la participation de ces experts du privé comme co-auteurs « a contribué à façonner le contenu des rapports, notamment en valorisant le rôle des CSC dans les scénarios de neutralité carbone du GIEC ». Une assertion qu’il illustre par une série de retours historiques, insistant sur l’influence exercée par les États-Unis dès 1988. On retrouve ici l’accusation classique de « néolibéralisme » portée par des écologistes radicaux à l’encontre du GIEC, initiée lors d’une réunion du G7 en 1988, sous l’impulsion notable de Margaret Thatcher et de Ronald Reagan.
L’intérêt du GIEC se traduit par un rapport spécial sur les CSC publié en 2005. « Plusieurs auteurs principaux ou réviseurs de ce rapport étaient également employés par des compagnies de charbon, de pétrole, de gaz ou d’électricité », dénonce Fressoz. « De nombreuses références provenaient soit des conférences GHGT (Global Energy Technology Strategy), soit du programme GES de l’AIE, tous deux étroitement liés aux majors pétrolières ». Et alors ? pourrait-on lui répondre, puisqu’il reconnaît lui-même que le groupe III est « majoritairement composé d’experts de la recherche publique ni naïfs ni influençables ».
Le sous-entendu de mise sous influence du groupe III est patent. Il ne cache d’ailleurs pas son rejet viscéral de l’entreprise : « Parfois, écrit-il, le rapport du GIEC ressemble davantage à des brochures de marketing industriel qu’à une évaluation scientifique ». Pour Alexandre Baumann, auteur et créateur d’un
blog sur la pseudo-écologie, « le présupposé de Fressoz est que les chercheurs qui travaillent pour une entreprise privée sont forcément inféodés à leurs employeurs, forcément corrompus, et que la recherche privée ne peut traduire que les intérêts capitalistes en présence. Ce double standard sur la science s’inscrit selon moi dans une logique partisane ».
Même si, rappelons-le, le GIEC n’a aucun rôle prescripteur, il doit présenter des solutions jugées crédibles et réalisables. Et comme il fait autorité auprès des gouvernements (et de la communauté internationale en général), on ne peut certes exclure que des groupes d’intérêt cherchent à influencer ses conclusions. Mais face aux risques de pression, sa force réside dans le recours à des centaines d’experts aux opinions et sensibilités différentes, qui évaluent et synthétisent des milliers de travaux (278 auteurs pour 18 000 articles scientifiques en 2022). C’est ainsi que se construit et s’ajuste au fil des années le consensus scientifique le plus complet et le plus rigoureux actuellement disponible sur le climat. Personne ne peut envisager sérieusement d’en exclure les ingénieurs et les chercheurs du secteur privé, qui élaborent et développent ces technologies. Ni de bannir ces dernières au profit d’une hypothétique sobriété. À moins de souffrir d’un regrettable biais « socio-solutionniste » sans fondement scientifique.
 
 
L’examen de 561 études sur la décroissance dresse un constat cruel : aucune ne donne de preuves solides de sa capacité à résoudre les problèmes sociaux et environnementaux. 
 

 

 

février 16, 2025

« Le Pacte vert européen est voué à un échec retentissant », selon Fabien Bouglé

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Alors que l’économie européenne tourne au ralenti, la Commission européenne, suivie par certains États, lance l’idée d’un regain de compétition industrielle. Une relance qui suivrait les recommandations du rapport de Mario Draghi et passerait par des investissements massifs supplémentaires dans les énergies renouvelables, de l’ordre de 750 à 800 milliards d’euros supplémentaires par an. Dans les faits, l’écart entre PIB européen et PIB américain ne cesse de s’accroître.
 
Décryptage avec Fabien Bouglé, auteur de Guerre de l’énergie: au cœur du nouveau conflit mondial, aux éditions du Rocher.
 

 
 
Epoch Times – Que faut-il penser du retrait de Donald Trump des accords de Paris ? 
Quelles conséquences voyez-vous pour les Européens ?
 
Fabien Bouglé – Je crois que la sortie des accords de Paris est un moment clé et presque révolutionnaire, car elle entérine la fin du dogme des enjeux climatiques. Ce dogme avait été conforté par tous les établissements bancaires, y compris BlackRock, qui s’était retiré du plan bancaire climatique.
Ces politiques climatiques, qui dénigrent les énergies fossiles et imposent des énergies intermittentes polluantes, confortent la politique d’opposition de Donald Trump puisque ce dernier, hostile aux éoliennes, a immédiatement promulgué un décret visant à empêcher leur construction en mer au large des côtes américaines. Il a également exprimé une hostilité générale envers les éoliennes.
Évidemment, cela aura des conséquences fondamentales sur les filières climatiques qui génèrent beaucoup d’argent dans leurs filières. C’est aussi un signal fort pour ceux qui bénéficient de subventions publiques, puisque la sortie des accords de Paris signifie l’arrêt du financement à perte de solutions climatiques, qui ont par ailleurs prouvé leur inefficacité.
 
Cette décision intervient à un moment où de nombreuses sociétés, acteurs de cette politique climatique, subissent des pertes en bourse considérables, à hauteur de milliards de dollars.
Des politiques en Europe et en France insistent sur une relance de la compétitivité européenne et évoquent cette démarche comme une réponse face à la nouvelle administration Trump. Cette compétitivité passerait par un renforcement des investissements dans les énergies vertes et le Pacte vert. Qu’en pensez-vous ?
 
D’après moi, nous assistons aux derniers soubresauts de la bête avant sa mort. Toute cette politique climatique et ce Pacte vert européen est voué à un échec retentissant.
 
 

 
La semaine dernière, des voix se sont élevées à la Commission européenne et au Parlement européen pour dénoncer des subventions massives accordées par la Commission à des associations anti-nucléaires et pro-énergies vertes, visant à conforter la politique de M. Timmermans, alors vice-président chargé de l’énergie. On voit bien que c’est une mascarade et que de nombreux pays membres de l’Union européenne contestent cette orientation.
 
L’Agence internationale de l’énergie indique que le prix de l’énergie en Europe est quasiment deux fois plus élevé qu’aux États-Unis et en Chine. Quelles conséquences pour les économies européennes ?
Vous soulignez un enjeu fondamental. Dans mon livre Guerre de l’énergie : au cœur du nouveau conflit mondial, publié il y a un an, j’évoquais déjà la baisse de compétitivité et l’augmentation de la facture énergétique due au dénigrement du nucléaire, et en particulier du nucléaire français. Cela est lié au marché européen de l’électricité, qui fait la part belle aux énergies intermittentes comme l’éolien et le solaire, ce qui a conduit à une explosion des prix de l’énergie. La France, qui disposait historiquement d’une électricité bon marché grâce à son parc nucléaire, a vu son avantage disparaître ces quatre dernières années.
 
L’Europe ne retrouvera sa compétitivité qu’avec un coût énergétique plus faible, ce qui passe inévitablement par une autonomie accrue vis-à-vis des énergies fossiles, notamment du gaz naturel liquéfié américain et du gaz russe. Il est impératif de relancer un plan nucléaire européen. Historiquement, l’Union européenne s’est construite sur une énergie peu coûteuse grâce au nucléaire. Il faut revenir à ces fondamentaux pour restaurer la compétitivité industrielle.
 
Le coût élevé de l’énergie en Europe a également conduit de nombreuses entreprises à quitter le continent. La politique de Joe Biden, avec l’Inflation Reduction Act, a incité les industries à s’installer aux États-Unis. Donald Trump va renforcer encore cette tendance en attirant davantage d’industries sur le sol américain. Cette concurrence exacerbée constitue un défi majeur pour l’Europe, qui doit impérativement réagir.
 
Un plan nucléaire a toute sa place, le nucléaire, c’est la paix, la liberté. Il est au cœur de l’histoire de la communauté européenne, fondée sur le traité de l’Euratom (Communauté européenne de l’Énergie Atomique) de mars 1957. La France pourrait tout à fait fournir aux autres pays européens ces « électrons de la liberté » pour assurer l’autonomie énergétique de l’Europe et éviter sa dépendance aux énergies fossiles.
 

 
 
Il nous faut revenir aux sources, mais il existe des freins puissants. On le voit avec le GreenGate qui vient d’être révélé et qui concerne le financement d’officines anti nucléaires par la commission européenne.
Le GreenGate, c’est 1 milliards d’euros reversé depuis 2019 à environ 185 associations ayant pour but d’influencer les parlementaires européens afin de voter certaines mesures punitives prévues par le Green Deal. Les dépenses ont été reconnues « inappropriées » par la Commission européenne, mais en France, ce sujet ne semble pas trop intéresser les grands médias…
 
Ce n’est pas illégal, mais en vérité, c’est fou de se dire que la Commission européenne, qui est le bras exécutif de l’UE, manipule grâce à de l’argent le vote des députés européens. Mais ce phénomène ne se limite pas à Bruxelles. En Allemagne, une commission d’enquête a révélé que le ministère de l’Écologie finançait également des ONG environnementales pour soutenir sa politique anti-nucléaire. En France, le ministère de l’Écologie subventionne un réseau d’organisations anti-nucléaires, incluant Greenpeace et WWF, pour influencer les décisions politiques.
 
Ce « Greengate » est un énorme scandale, qui ébranle les fondements du Pacte vert. Ursula von der Leyen tente de le défendre, mais il est évident qu’il est piloté en sous-main par l’Allemagne pour favoriser son industrie énergétique. La découverte de ce système renforce ma conviction que la politique climatique européenne actuelle est vouée à disparaître au profit d’une approche plus rationnelle, garantissant la souveraineté énergétique de l’Europe.
 
Y a-t-il un risque de perte de compétitivité pour l’Europe, si les prix de l’énergie ne baissent pas ?
La flambée des coûts de l’énergie en Europe, combinée à la politique de Joe Biden, a inévitablement attiré les entreprises et notamment les industries vers les États-Unis, perçus comme un nouvel eldorado. C’est un atout majeur maintenant pour Donald Trump : il est déterminé, volontaire et ne reculera sur rien à ce sujet. J’alerte donc nos gouvernants sur la compétition internationale qui s’annonce extrêmement rude.
Cette situation entraînerait une perte considérable de ressources pour l’Europe, aussi bien en termes de compétences que d’opportunités industrielles. L’effet en cascade est évident : un coût énergétique trop élevé réduit la compétitivité, ce qui impacte fortement les résultats économiques et pousse les industries à quitter le continent.
 
Le sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2, la décision de M. Zelensky de couper le gazoduc euro-sibérien et la déstabilisation du réseau énergétique européen ont aggravé cette crise. Ainsi, cette guerre de l’énergie a des conséquences dramatiques pour l’Europe, menaçant à la fois sa compétitivité et son avenir industriel.
 
En novembre dernier, Donald Trump a évoqué le nucléaire français dans le podcast de Joe Rogan. Il a parlé des mini-réacteurs construits en France et suggéré une coopération franco-américaine sur ce sujet. Qu’en pensez-vous ?
 
Cet appel du pied de Donald Trump est intéressant, à condition qu’il ne se traduise pas par une guerre énergétique nucléaire entre la France et les États-Unis. J’ai entendu parler de possibles sanctions américaines contre Framatome, notre fleuron du nucléaire. Si une coopération avec les États-Unis est envisageable, il faut s’assurer que cela ne nous empêche pas de travailler avec d’autres partenaires, notamment la Russie. Je défends depuis toujours une politique de neutralité entre les États-Unis et la Russie dans le domaine du nucléaire.
 

 

juin 10, 2019

L'environnement, le climat.....d'autres vérités !!

Ce site n'est plus sur FB (blacklisté sans motif), alors n'hésitez pas à le diffuser au sein de différents groupes ( notamment ou j'en étais l'administrateur), comme sur vos propres murs respectifs. D'avance merci. L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses. Librement vôtre - Faisons ensemble la liberté, la Liberté fera le reste. N'omettez de lire par ailleurs un journal libéral complet tel que Contrepoints: https://www.contrepoints.org/ Al, PS: N'hésitez pas à m'envoyer vos articles (voir être administrateur du site) afin d'être lu par environ 3000 lecteurs jour sur l'Université Liberté (genestine.alain@orange.fr). Il est dommageable d'effectuer des recherches comme des CC. Merci



Unpopular opinion : on vous raconte n'importe quoi à longueur de journée sur toutes les chaînes sur l'environnement et le climat. Et vous y croyez. Donc petit thread sur toutes les bêtises diffusées ça et là, juste parce que ça me démange et même si personne ne m'écoute.


1. La déforestation. Il y a plus de forêts aujourd'hui sur Terre qu'il y a 20 ans. Selon un rapport de la NASA, la Terre a gagné l'équivalent de l'Amazonie en surface forestière depuis l'an 2000. 


lonelyplanet.com



2. Les glaciers. Les glaces de l'Arctique sont certes moins grands qu'en 1979, mais plus grands que dans les années 1940. Tout simplement parce que les années 1970 ont été une période de refroidissement. Le Time titrait en 1977 "The Coming Ice Age".
 


3. Les ours polaires. Animal-totem des catastrophistes du climat, on croyait l'ours polaire au bord de l'extinction. Sauf que la réalité, selon l'IUCN, c'est qu'il y avait plus d'ours polaires estimés en 2015 (28 500) qu'en 2005 (22 500).




4. Les Maldives submergées. Le point culminant des Maldives est à 2,4m. S'il y a un pays menacé par la montée des eaux, c'est celui-là. Il y a 30 ans, on prédisait que les Maldives allaient couler. 30 ans plus tard, elles sont toujours là, intactes.





5. Tuvalu. Un exemple, c'est insuffisant ? Prenons-en un autre. On disait Tuvalu, dans le Pacifique, en état de submersion. Or, il semblerait que Tuvalu non seulement soit toujours là, mais avec quelques km2 en plus...





6. La montée des eaux. Plus généralement, les données sur la montée du niveau des océans sont stables. Certes, il y a une légère augmentation, mais pas plus que depuis les 2000 dernières années.





7. Les coraux en danger. Autre symbole écologique, la fragilité des coraux a toujours été un sujet d'inquiétude. Manque de bol, encore une fois on s'est trompé : les coraux semblent en super forme en Jamaïque, à Hawaii, en Polynésie, aux Mariannes, etc.






8. Le peak oil. Ce fameux peak oil, la pénurie de pétrole qu'on nous annonçait tant. Il fut repoussé éternellement : 1990, 200, 2004, 2010, etc. Et on ne l'a jamais vu arriver. Même Forbes reconnaît aujourd'hui que c'est du bullshit.



9. Enfin, le Climategate. Celui-là, on l'oublie totalement. Plus personne n'en parle, évidemment : ça fait mauvais genre. Rappelons tout de même que la divulgation des fichiers du GIEC en 2009 a montré l'ampleur de la fraude sur les données climatiques. 






Le plus gros glacier du Groenland croît de nouveau à la plus grande "surprise" des scientifiques.





Contrairement aux prédictions alarmistes et aux modèles bidonnés basés sur la fausse science du CO2, les glaciers américains du Glacier National Park croissent de nouveau.




ICECAP




Les mensonges vont bien finir un jour à ce voir là, non ?

https://dailycaller.com/2019/06/07/national-park-glacier-warnings/?fbclid=IwAR2JOSHqto0lOFzFfofP9XgUGoIFSTi97MRCz163nvk5kZ2UbHScZmZKcK4



Ross McKitrick: This scientist proved climate change isn’t causing extreme weather — so politicians attacked

https://business.financialpost.com/opinion/ross-mckitrick-this-scientist-proved-climate-change-isnt-causing-extreme-weather-so-politicians-attacked




août 09, 2018

L'Étatax un vrai poète, çà carbure et çà nous pompe dur !!

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 Al, 

PS: N'hésitez pas à m'envoyer vos articles (voir être administrateur du site) afin d'être lu par environ 3000 lecteurs jour sur l'Université Liberté (genestine.alain@orange.fr). Il est dommageable d'effectuer des recherches comme des CC. 
Merci




 Le plaisir d’essence. 
   
Dans ce monde de brut
de moins en moins raffiné
nous passons Leclerc de notre temps
à faire l’Esso sur des routes, pour,
au Total, quel Mobil ?
On se plaint d’être à sec,
tandis que le moteur économique,
en ce temps peu ordinaire,
est au bord de l’explosion,
dans un avenir qui semble citerne.
Il conviendrait de rester sur sa réserve,
voire, jauger de l’indécence de ces bouchons
qu’on pousse un peu trop loin.
Il y a des coups de pompes
ou des coûts de pompes
qui se perdent.
La vérité de tout cela sortira-t-elle du puits de pétrole ?
Qu’en pensent nos huiles ?
Peut-on choisir entre L’éthanol et l’État nul,
voilà qui est super inquiétant!
C'est en dégainant le pistolet de la pompe
qu'on prend un fameux coup de fusil.
Je vous laisse réfléchir sur cet axe-là ou sur ces taxes-là...

Bonne route à vous !  






 





 




mars 04, 2017

L'An poule écologique

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