Affichage des articles dont le libellé est Sarah KNAFO. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Sarah KNAFO. Afficher tous les articles

décembre 05, 2025

Sarah KNAFO: le scandale de l’aide publique au développement et ses milliards d’euros gaspillés en projets ubuesques

 Le service public diffuse un énième reportage de Cash Investigation, l’émission d’Élise Lucet, militante payée 25 000 euros par mois grâce à nos impôts.

Sur qui porte la hargne de l’audiovisuel public aujourd'hui ? Sans surprise, sur Bernard Arnault !
Car Madame Élise Lucet adore les combats sans risque : les grands patrons, les riches, les entreprises, Trump, le Pape, les catholiques… Avec ça, elle ne risque pas de déplaire à France Télévisions, ni de se retrouver sous protection policière.
Où sont les reportages d’Élise Lucet sur la fraude sociale ou les gabegies de l’État ? Cette militante est prête à passer trois heures sur le moindre euro versé en dividende, tout en fermant les yeux sur les milliards dilapidés chaque semaine par l’État.
Où est son reportage sur les subventions aux énergies renouvelables et sur les fortunes que certains ont bâties à coups de subventions publiques ?
Ces dividendes-là ne choquent pas Élise Lucet.
Où est l’épisode de Cash Investigation qui explique pourquoi nous sommes le pays le plus taxé du monde ? Pourquoi la moitié de ce que vous gagnez est captée par l’État, pourquoi votre niveau de vie recule alors que celui de nos voisins augmente…
Avec Élise Lucet, vous n’aurez jamais de reportage sur la difficulté des commerçants, des indépendants, des éleveurs : leurs faibles revenus ne l’intéressent pas. C’est la différence entre nous : Élise Lucet veut moins de riches, je veux moins de pauvres.
Vous n’aurez jamais de reportage sur les violences que subissent les policiers pour un faible salaire, sur les milliards distribués par l’Agence française de développement pour des bénéficiaires douteux, sur les revenus astronomiques des dirigeants de certaines ONG, sur le manque de pluralité dans le service public…
Vous ne verrez jamais un Cash Investigation sur les black blocs et les casseurs, ni sur leurs circuits de financement, puisqu’Elise Lucet est fière d’être une de leurs égéries.
Ce travail-là, ce sont les médias non subventionnés, jamais labellisés, comme Frontières ou Thinkerview, qui le mènent.
Eux prennent des risques.
Eux bousculent les tabous.
Eux ne vivent pas de notre argent.
 
Sarah Knafo 

Depuis mes révélations sur l’aide publique au développement, ils paniquent. Je les ai laissés mentir et dévoiler leurs cartes. L'heure des comptes a sonné. 

👉10 mensonges démontés, dette explosive, milliards dilapidés, salaires mirobolants, wokisme, siège somptuaire.

Depuis plusieurs mois, je dénonce le scandale de l’aide publique au développement et ses milliards d’euros gaspillés en projets ubuesques. Ce n’est pas un simple gaspillage : c’est littéralement l’argent des Français que l’on distribue dans le monde entier, alors que chez nous, tant de Français manquent de tout. 

J’ai notamment publié les montants accordés à la Chine et à l’Algérie, ce qui m’a valu une plainte du gouvernement algérien. Première victoire : sa plainte fut classée sans suite. Je n’avais fait que révéler un chiffre officiel. 



 

Depuis la semaine dernière, ministres, politiciens et haut-fonctionnaires réagissent comme le gouvernement algérien : ils s’affolent et m’attaquent quand des chiffres publics sont révélés. Leur tactique : nier en bloc, prétendre que je mens. 

Le DG de l’AFD, M. Rémy Rioux, appelle les journalistes en implorant : « Sarah Knafo nous met dans la m****, aidez-nous ! ». Le ministre des Affaires étrangères désigne en urgence une commission d’enquête sur le sujet : il a attendu mes révélations pour s’interroger, comme l’indique la sénatrice LR Nathalie Goulet. Curieusement, ils refusent d’en débattre. Alors, je vais dévoiler le dossier ici.

 

Exposons tout de suite les 10 mensonges de l’AFD. Je vais les démonter un à un.

D'ailleurs, qui est Rémy Rioux, le DG de l’AFD depuis 8 ans, qui appelle les journalistes pour m’attaquer ? Il se définit comme « un haut-fonctionnaire de gauche ». Il est fier d’affirmer : « Nous à l'AFD on se sent Africains. On EST Africains d'ailleurs. » Sachez que pour le remercier de dilapider autant Notre Argent, Monsieur Rémy Rioux est rémunéré 17 500 € par mois, sans les primes. Voilà. Avec vos impôts. A votre bon cœur.



1er mensonge : « L’aide publique au développement ne coûte rien aux contribuables. » FAUX. ❌ 

Elle coûte 15,96 milliards d’euros en 2023. Plus que le budget de la Justice (12,2 milliards) ou l’Agriculture (6,7 milliards). Ce coût a explosé depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron. L’Agence française de développement distribue une partie des 15,96 milliards de l’aide publique au développement. Le reste est distribué par des ministères et d’autres agences publiques.


 

2ème mensonge : l’AFD prétend que l’aide au développement « ne coûte rien, car ce sont des prêts et pas des dons ». FAUX. ❌ 

➡️ 87% des 15,95 milliards d'aide se font sous forme de dons. 

➡️ 65% des aides financées par l’AFD sont des dons. Alors, d’où sort ce chiffre de « 85% de prêts » rabâché par l’AFD ? On peut le trouver sur leur site, mais il indique plutôt que l’AFD se finance à 85% par des prêts contractés sur les marchés. Dans la panique, l’AFD aurait-elle confondu "emprunter" avec "prêter" ? Dramatique.


Donc résumons : 

➡️ L’AFD reçoit de l’argent du contribuable chaque année en loi de finances. C’est son budget. 

➡️ Elle le dépense majoritairement sous forme de dons faits dans des pays étrangers. 

➡️ L’AFD a aussi des frais de structure à payer, son personnel, ses locaux. Et non des moindres ! Nous y revenons dans un instant. 

➡️ Ensuite, elle emprunte des montants faramineux sur les marchés financiers pour prêter aux pays étrangers, « comme une banque », dit-elle. Nous y venons


 3ème mensonge : lorsque j’ai dit que nous aidions même la Chine, deuxième puissance mondiale, le ministre de la Francophonie m’a répondu que la « France n’y dépensait pas un euro d’argent public ». FAUX. ❌ 

 Les données officielles sont cruelles avec les ministres. Entre 2018 et 2020, la France a consacré 371 millions d’euros d’aide publique au développement pour aider la Chine… dont 75% de dons. Soit 278 millions d’argent public. 💣 Monsieur Rioux explique pourtant sur Sud Radio : « je lève de l’argent sur les marchés à 3%, je prête à la Chine à 5% ». Monsieur Rioux est plus fort que Xi Jinping ! Mais il n’a pas le bon sens de comprendre « qu’aider au développement » de la Chine est tout simplement ridicule quand nous avons tant de besoins chez nous. Rappelons que la Chine a un PIB de 18 000 milliards de dollars, soit 6 fois celui de la France et que la France emprunte à des taux supérieurs à ceux de la Chine.


 

4ème mensonge : « L’AFD gagne de l’argent, car elle prête plus cher qu’elle n’emprunte. » FAUX. ❌ 

Pour essayer de calmer l’opinion, l’AFD nous explique qu’elle se fait de la marge sur les prêts qu’elle accorde aux pays étrangers qu’elle aide, en empruntant sur les marchés financiers à des taux faibles et en prêtant à ces pays étrangers à des taux plus élevés. Là, j’imagine que vous vous dites que c’est immoral de se vanter de se faire de l’argent sur le dos des pays pauvres… Ils ne sont plus à une contradiction près ! Seulement les prêts accordés par l’AFD sont généralement « concessionnels », c’est-à-dire qu’ils sont octroyés à des taux proches de 0%. Donc on s’endette à un certain taux, et on prête à un taux plus faible. L’Etat prend en charge le différentiel de taux d’intérêt. Ce poste a plus que quadruplé sous Macron pour atteindre 1,7 milliard d’euros en 2024. C’est 7 milliards payés avec #NotreArgent depuis 2017 pour ces prêts dont l’AFD ose affirmer qu’ils nous enrichissent. 


 

5ème mensonge : « les prêts de l’AFD sont parfaitement remboursés ». FAUX. ❌ 

Il faut savoir l’OCDE interdit de demander des garanties sur les prêts aux pays bénéficiaires d’aide au développement. Si un État ne rembourse pas, l’AFD n’a aucun moyen de récupérer sa créance. Malheureusement, nous savons que la France annule des créances, mais nous ne savons pas à combien s’élèvent ces créances impayées. Il y a une incroyable opacité sur la question, comme le relèvent plusieurs rapports parlementaires, un rapport de la Cour des comptes en 2020 et même Médiapart. Imaginez le ridicule : la France est deux fois plus endettée que la totalité du continent africain, mais elle aide l’Afrique et annule régulièrement des créances !


Vous comprenez désormais le 6/7ème mensonge de l'AFD qui prétend qu’elle « rapporte de l’argent aux Français ». ❌ 

 👉 L’AFD dépense la majeure partie des moyens que l’Etat lui confie sous forme de dons, puis elle s'endette massivement pour prêter aux pays étrangers, à des taux faibles et souvent, elle ne revoit pas cet argent. 

 👉 L’AFD va jusqu’à prétendre qu’elle dégage un « résultat net positif qu’elle reverse à l’État ». ❌ 

On croit rêver. En réalité, en 2021, l’AFD a « rendu » 21 millions d’euros à l’État… qui lui en avait donné plusieurs milliards. Comme toujours, c’est vous qui payez et vous, personne ne vous a rendu le fruit de ce maigre « résultat net positif ». 

 👉 A écouter monsieur Rioux, l’AFD serait un groupe prospère qui multiplie l’argent ! « Avec 2 milliards, on investit 12 milliards » dit-il. Il reçoit 2 de l’État, il emprunte 10. Imaginez un salarié payé au SMIC qui prendrait un nouveau crédit tous les mois de 13 000 euros et affirmerait fièrement : « avec 1300 euros, je fais 13 000 euros ! Je multiplie par 10 ». Il ne multiplie rien, il s’endette. Et pour Rémy Rioux, il nous endette. 

 👉 Alors, vous vous demandez : si l’AFD emprunte beaucoup d’argent sur les marchés financiers, pour donner beaucoup d’argent aux pays étrangers sous forme de dons, et non de prêts (donc de l’argent qu’elle ne reverra jamais) comment rembourse-t-elle donc ce qu’elle emprunte chaque année ? Évidemment, elle ne le peut pas. Les conséquences sont dramatiques. Vous allez comprendre…


 

Maintenant, tenez-vous bien : du fait de cette gestion calamiteuse, la dette de l’AFD atteint 60 milliards d’euros ! Sa dette vient d'exploser de 10 milliards en à peine deux ans. C’est une bombe à retardement. 💣 Que se passe-t-il à l'AFD ?


 

8ème mensonge : « l’APD sert les intérêts et l'influence de la France ». FAUX. ❌ 

Financer l’éducation à l’égalité des sexes en Irak, le développement écoresponsable du ylang ylang aux Comores, analyser l'impact du Covid sur les inégalités au Togo ne sert pas la France. L’aide au développement, ce n’est pas le soft power, c’est le woke power. Et c’est assumé ! C’est écrit noir sur blanc : la loi de 2021 prévoit que 75 % des projets financés aient « comme objectif l'égalité femmes-hommes d'ici 2025 ».

 

Regardez les mots-clés qui obtiennent le plus de subventions parmi les projets financés par l’AFD ! Les projets avec le mot « genre » obtiennent 843 millions d’euros en 2024. En revanche, on cherche toujours les financements pour ceux qui contiennent le mot « terrorisme » ou « faim ».

 


9ème mensonge : l’AFD nous dit que grâce à l’aide publique au développement, nos entreprises remportent des marchés. Ça, c’était avant. Aujourd’hui, c’est FAUX. ❌ 
 
➡️ Comment l’AFD peut-elle mentir aussi éhontément alors qu’elle s’est elle-même engagée à ne pas privilégier les entreprises françaises dans l’utilisation de ses fonds ? Elle lance à chaque fois des appels d’offres ouverts à la compétition internationale. C’est la règle du « déliement de l’aide » promue par l’OCDE. Résultat ? Nous finançons des opérations dont les marchés peuvent être raflés par des entreprises chinoises ! 
 
 ➡️ Les secteurs comme l’énergie, les infrastructures, et le transport représentent seulement 2,3 milliards sur les 15,96 milliards d’aide versée en 2023. Et parmi eux, une partie seulement fera l’objet d’un appel d’offres qu’une entreprise française pourra éventuellement gagner. A lui seul, le groupe Vinci fait plus de 40 milliards d’euros de chiffre d’affaires à l’export. Vous voyez bien que ce n’est pas grâce à l’AFD… 
 
➡️La plupart des financements de l’aide publique au développement ne font l’objet d’aucun appel d’offres auquel les entreprises françaises soient susceptibles de répondre. Quand il s’agit de subventions aux associations, ou de bourses pour des étudiants étrangers, nos entreprises n’ont aucun moyen d’en profiter. 10ème mensonge : le ministre des Affaires étrangères nous dit que l’aide au développement permet de réduire l’immigration. FAUX. ❌ 
 
Sinon, pourquoi l’immigration comorienne explose alors que l’aide au développement vers ce pays hostile a plus que doublé depuis 2017 ?
 

 
M. Rioux utilise cet argument pour défendre les millions pour la « budgétisation genrée en Jordanie ». Il dit qu’ « il faut stabiliser le Proche-Orient ». Fabuleux ! Ne saviez-vous pas que ce qui déstabilisait le Proche-Orient, c’était l’absence de budgétisation genrée ? 🤥 
 
Maintenant, que nous avons répondu point par point à tous leurs mensonges, penchons-nous sur leur gestion… Il y a du nouveau. ⏰ 
 
 Je viens de vous dire que l’AFD était lourdement endettée. Sachez que cette dette ne l’empêche pas de dormir. Ni de se faire construire, en ce moment-même, un nouveau siège somptuaire de 50 000 m², gare d’Austerlitz. Le coût ? 1 milliard d’euros. 💣 
 
Le projet prévoit même 8 000 m² de plus que les besoins de l’AFD. A quoi vont servir ces espaces en trop ? C’est « en cours de définition » nous dit-on. On ne sait jamais. Quand on sait qu’il y a 5 millions de m² de bureaux vides en Île de France, il y a de quoi s’inquiéter.



Savez-vous combien de personnes l’AFD emploie ? 2 800. Il en faut du monde pour distribuer votre argent ! Coût ? 403 millions d'euros de frais de personnels en 2023. C'est colossal. Voyez l'organigramme : le nombre d’adjoints et responsables de départements est hallucinant.


 

Finalement, quel est le bilan ? 

🔴Ils dilapident votre argent dans le monde entier. 

🔴Vous n’y gagnez rien. Nos entreprises n’y gagnent rien. Notre influence n’y gagne rien. 

🔴 Ils dissimulent une dette hors de contôle. 

🔴 Ils se versent des salaires géants et se font construire un palais somptuaire. 

🔴 Ils ne veulent surtout pas que vous sachiez tout ça. C’est pour cela qu’ils disent que je mens. 

 👉 Partagez ce travail et demandez-leur avec moi : l’un des responsables de ces folies acceptera-t-il d’en débattre devant les Français ? Je continuerai de vous informer régulièrement. C’est un travail fondamental : si l’on veut relever l’économie de notre pays, il faut mettre les mains dans cette machine infernale et en démêler tous les fils. Comptez sur moi pour faire toute la lumière dessus. 👊 

 

Sarah KNAFO

https://threadreaderapp.com/thread/1894855664368816301.html?utm_campaign=topunroll 


Rappel d'un autre article ici sur la taxe Zucman:

https://universite-liberte.blogspot.com/2025/09/la-taxe-zucman-vue-par-sarah-knafo.html

 

novembre 10, 2025

Visions avec Sarah Knafo: Budget 2026 et Présidentielle 2027 ?

"Sarah Knafo, née le 24 avril 1993 issue d'une famille de juifs marocains émigrés en France en 1967, fille d'un ingénieur et d'une mère au foyer, a vite visé les sommets. 

Ses études forment un itinéraire élitiste bien huilé, du genre à empiler les diplômes : licence d'économie à la Sorbonne, master en affaires publiques à Sciences Po, ENA, l'école des futurs commis qui se rêvent en tsars. 

Sa carrière trace un zigzag opportuniste : à peine sortie de l'ENA en 2020, elle se cale magistrate à la Cour des comptes, un strapontin prestigieux. Puis, le virage calculé moins d’un an après : elle abandonne le bureau pour se muer en éminence grise de la campagne d'Éric Zemmour. 

Élue députée européenne pour R! à 31 ans, une planque confortable. Aujourd’hui, à 32 ans, elle se la joue prophétesse du "techno-conservatisme", elle hante CNews et glisse à Zemmour des idées piquées à la Maison Blanche. Éphémère et tape-à-l'œil, cette ascension sent le favoritisme et l'air du temps, taillée pour les buzz. 

 Côté cœurs, le feuilleton vaut son pesant de cacahuètes. À 20 ans, coup de foudre avec Louis Sarkozy, un DJ en herbe, héritier d'un nom qui ouvre toutes les portes de Neuilly aux cercles UMP. Une idylle juvénile intense, qui la catapulte dans les dîners en vue et lui offre un premier aperçu des réseaux sarkozystes : soirées branchées, connexions précieuses, et un flirt qui pue déjà l'ambition mutuelle. Brève mais marquante, cette "amourette" refait surface en mai 2025, quand Louis, lors d'une émission télé le 3 mai, lâche sans filtre : "Nous avons partagé une histoire". Une confidence nostalgique qui fait jaser, ravivant les rumeurs d'un calcul précoce de sa part, et transformant ce passé en anecdote croustillante pour booster son aura de séductrice connectée. Puis, le scandale : en 2021, Paris Match révèle sa romance torride avec Zemmour, son boss de 63 ans, officialisée en 2022 malgré les ragots d'adultère avec sa femme. "Sans elle, pas de campagne", avoue-t-il, mi-amoureux mi-stratège. Aujourd'hui, duo « glamour » de meetings enflammés. 

À 32 ans, Sarah Knafo incarne la girouette de la droite conservatrice : diplômes en toc, lits stratégiques, et une carrière qui file comme une bulle de savon. La République des copains a trouvé sa reine des calculs, cœurs et illusions inclus."

Duval Philippe 


Sarah Knafo de A à Z

Pierre angulaire de la campagne d’Éric Zemmour lors de la dernière présidentielle, Sarah Knafo s’est prise au jeu de l’aventure politique. Aujourd’hui députée européenne, sa grande maîtrise des dossiers et sa très bonne pratique des médias l’ont replacée au centre du jeu. Convaincue de la nécessité d’unir les droites pour l’emporter en 2027, elle s’est livrée comme jamais à la rédaction de Valeurs actuelles. Politique, société, économie, culture, international : c’est un « 100% Sarah Knafo » que nous vous proposons dans ce numéro de notre revue « Grands débats. »  

f.mtr.cool/bqfapzuizs 

 


Budget 2026 : le décryptage choc de Sarah Knafo

Face à un budget français jugé « hors de contrôle » et une avalanche fiscale que dénoncent de nombreux économistes, Sarah Knafo propose un contre-budget audacieux de 80 milliards d’euros d’économies.

Atlantico - Vous avez été la première à proposer un contre-budget, avec 80 milliards d’économies. Quel type de budget préconiseriez-vous ? Quel modèle fiscal serait à même de redonner du souffle aux Français sans mettre en danger le budget ?

Sarah Knafo : Mon modèle est simple : il faut dépenser moins pour taxer moins pour que les Français gagnent plus. Nous avons un déficit très important malgré des recettes fiscales les plus élevées du monde (en % du PIB). En France, nous n’avons donc pas un problème de recettes mais de dépenses. Il faut baisser les dépenses.


 

Nous avons un des coûts du travail les plus élevés d’Europe alors que les revenus des Français sont trop faibles : nous sommes tombés à la 10ème place européenne en termes de revenus ! L’écart entre les deux, ce sont les charges. Notre problème de pouvoir d’achat est donc un problème d’excès de charges. Même solution : pour pouvoir baisser les charges, il faut baisser les dépenses.

J’ai proposé un plan d’urgence de 80 milliards d’euros de baisses de dépenses réalisables dès cette année. Notamment la suppression des aides sociales non contributives aux étrangers (de 15 à 20 milliards d’euros d’économies), la fin de l’aide publique au développement (15 milliards d’économies), la fin du soutien aux énergies renouvelables (8 milliards), la fin de la politique de la ville (8 milliards), la privatisation de l’audiovisuel public (4 milliards), la suppression de 50 000 postes administratifs dans la fonction publique, etc.

J’ai choisi des mesures simples et consensuelles, les plus faciles et rapides à mettre en œuvre. Il faudra aller beaucoup plus loin évidemment mais pour cela il faudra une vraie alternance. Nous le ferons dès 2027, à l’Élysée et à l’Assemblée.


Vous dénoncez une « avalanche fiscale » dont seraient coupables l’essentiel des partis politiques français à l’assemblée nationale. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Dans la séquence budgétaire que nous venons de traverser, nous avons vu la grande masse des partis partir à l’assaut de l’argent avec une rage impressionnante. Cela doit nous alerter. Ce ne sont pas seulement l’entreprise ou l’héritage qui ont été pris pour cibles, mais notre économie tout entière. En réalité, j’observe avec tristesse qu’en matière économique, les partis représentés à l’Assemblée ne se différencient que par les cibles de leurs impôts ou l’ampleur de leurs augmentations, mais le principe même de l’augmentation des impôts fait tristement consensus.


 

 Plus de quinze impôts viennent d’être adoptés (cf. le tableau ci-dessous). Les députés, tous bords confondus, ont inventé et proposé des impôts par dizaines ! On a assisté à toutes les alliances possibles pour voter ces augmentations d’impôt : LFI et RN pour taxer les grandes entreprises, les superdividendes et les rachats d’action. LFI et les macronistes pour voter l’augmentation de la CSG. Les macronistes et le RN pour taxer les holdings. Les macronistes, le PS et le RN pour le fameux impôt sur la fortune improductive. On dit que l’Assemblée est bloquée mais, ce qui me désole, c’est que lorsqu’il s’agit d’augmenter les impôts, toutes les alliances sont bonnes et ils arrivent à s’entendre. Résultat de cette orgie de taxes, le taux de prélèvements obligatoires augmentera de plus d’un point par rapport à l’an dernier alors que nous sommes déjà le peuple le plus taxé du monde et que l’urgence est de desserrer l’étau.

 

Gérald Darmanin a ironisé sur la politique économique du RN, avec un Jordan Bardella censément libéral dans ses discours, mais qui pratiquerait la « taqiya ». Êtes-vous en accord avec cet avis ?

Le libéralisme « dans les discours », comme vous dites, ça n’existe pas. Le seul libéralisme qui vaille est celui des actes : c’est sur les actes qu’on doit juger les politiques, qu’il s’agisse du RN comme des autres, et les actes ne plaident pas en la faveur des inventeurs de nouvelles taxes. Je ne sonde donc pas leurs cœurs et leurs reins, je ne connais pas leurs intentions, je regarde les faits. Et ce qui ressort des votes, des amendements rédigés, déposés et votés est clair : le RN veut augmenter massivement les impôts des uns (les Français aisés et les grandes entreprises) pour baisser marginalement ceux de certains autres. Ils ne veulent donc pas diminuer les impôts mais les répartir différemment. Je pense au contraire qu’il faut diminuer les impôts pour tout le monde, car tout le monde en paye trop, riches, pauvres, classe moyenne, ménages, entreprises, TOUS ! Et je pense que cet excès d’impôt, à tous les niveaux, étouffe notre économie dans son ensemble.

Quant à Jordan Bardella qui aurait, en son for intérieur, un avis différent de celui de son parti : a-t-il son propre programme économique ? Non, il a le programme du RN. Donc logiquement, on l’a vu défendre les taxes inventées par le RN et les votes du RN à l’Assemblée. C’est une différence objective entre le RN et nous : la souligner, c’est défendre notre économie et permettre aux Français de choisir de la manière la plus lucide possible. J’ai la conviction que l’écrasante majorité des électeurs du RN vote pour le RN malgré son programme économique, et non pour son programme économique. 


Le RN a notamment inventé « l'impôt sur la fortune financière », qui vise à remplacer l'IFI, en taxant la fortune dite improductive. Cet amendement a été porté par le Modem et adopté. Marine Le Pen s'en est félicité. Qu'en pensez-vous ?

C'est encore une catastrophe pour notre économie... L’État taxera donc chaque année la valeur de ce que nos députés considèrent « improductif ». Comme s’ils avaient des leçons de productivité à donner aux Français. Regardons dans le détail :

- Ils estiment que les actions sont improductives, comme l’ont dit le RN et le PS. Or, une action c'est un investissement dans une entreprise. Qu'y a-t-il de plus productif ? L'invention de la société par action fut même l'un des principaux catalyseurs de la prospérité européenne au XVIIè siècle. Quatre siècles plus tard, des politiciens français viennent expliquer au monde que ce système est improductif…

- Ils estiment que les assurances-vie sont improductives. Ces fonds financent les entreprises et les dettes des États, à commencer par la France. En taxant les fonds d'assurance-vie français, nos députés veulent-ils que notre dette, en plus de grossir à vue d’œil, soit toujours plus détenue par des fonds étrangers ?

- Ils estiment que le bitcoin est improductif. Quand de plus en plus de pays font leur possible pour attirer cet or numérique, nos députés font tout pour le faire fuir. Veulent-ils que la France soit le seul pays qui passer à côté de ce trésor ?

- Ils estiment que les œuvres d'art sont improductives. Les collections étrangères, y compris les grands musées étrangers se frottent les mains : ils vont pouvoir acheter à la baisse quelques œuvres de propriétaires français poussés à vendre. Encore du patrimoine qui s'en va.

- Les bijoux de famille, les objets d'art, les bibelots, l'argenterie... ce n'est pas productif ? Peut-être. Mais acquérir ces biens a motivé des générations à travailler dur et à enrichir le pays. Obliger les propriétaires de ces biens de famille à les vendre à des collectionneurs étrangers est-ce bien plus productif ?

- Et puis, surtout, que fera l’État de bien plus productif avec ce qu'il nous prendra ? La bureaucratie, la gabegie, l'assistanat, l'aide publique au développement, les subventions aux associations politisées, l'audiovisuel public, la politique de la ville, les éoliennes… tout cela n'a rien de productif. Et pourtant, l’État est prêt à taxer tout ce qui bouge, tout ce qui travaille, pour continuer à les financer.

Je veux conclure sur un point plus philosophique : taxer le patrimoine, constitué de revenus passés déjà taxés, c’est bel et bien le début du socialisme. Cela signifie que vous ne serez JAMAIS vraiment propriétaire de ce que vous avez. Que l’État pourra toujours exercer une pression financière qui vous forcera à tout vendre. Un tel vote peut paraître anecdotique pour nos députés, mais il est de nature à briser la confiance de ceux qui ont lutté pour posséder quelque chose.


A l’inverse, défendez-vous une politique fondée sur la libre entreprise et le libre commerce ?

Absolument. Depuis des siècles, la France a mené très loin la réflexion sur la liberté politique. Mais la liberté économique est restée un parent pauvre : elle est considérée comme moins essentielle, moins défendable, et même moins belle que sa sœur politique. Eh bien, c’est une grave erreur philosophique. Les classiques du libéralisme nous apprennent que le droit de propriété n’est pas moins important que le droit de vote. Si on vous retire le droit de posséder le fruit de votre travail, on vous retire tout : on fait de vous un esclave. Et le XXème siècle nous l’a amplement démontré : les régimes qui ont nié le droit de propriété ont fait des dizaines de millions de morts. En France, nous n’en sommes pas là, mais chaque nouvelle taxe et chaque nouvel impôt sont des réductions de notre liberté économique et, de réduction en réduction, on aboutit lentement mais sûrement à une destruction de la liberté tout court.

Cela, le peuple suisse ou le peuple américain le comprennent parfaitement. Chez eux, si vous touchez à la liberté économique ou au droit de propriété, vous le payez très cher dans les urnes. Ces peuples ne laissent pas faire, parce qu’ils savent. Le fait que l’État nous prenne la moitié de ce que nous gagnons devrait nous révolter au plus haut point, et nous inciter à demander des comptes à quiconque veut créer un nouvel impôt ou une nouvelle taxe - ou, ce qui revient au même, une nouvelle dépense. Nous devons devenir extrêmement sévères à l’encontre tous de ceux, de gauche, de droite ou du centre, qui alourdissent la charge fiscale. La France peut apprendre à aimer la liberté économique comme un bien aussi précieux que la liberté politique.

C’est ce changement radical de regard, que l’on peut qualifier de révolutionnaire, que je veux provoquer. Concrètement, il faut beaucoup moins de taxes, de contraintes, de normes, de règles. Et ce ne sera pas le far-west pour autant ! Dans les années 70, le code de l’environnement, le code de la ruralité, le code du travail, le code des impôts et le code de la sécurité sociale pesaient plusieurs kilos de moins qu’aujourd’hui et le pays était convenablement administré. Il faut que l’État intervienne beaucoup moins dans l’économie car à chaque fois qu’il le fait avec des aides, des incitations, des surtaxes, des bonus et des malus... c’est toujours un fiasco. Il faut défendre l’économie, celle de ceux qui créent, et qui sont innombrables. L’épicier, la caissière, le cultivateur, l’indépendant, créent chaque jour. Bernard Arnault crée. Je veux une France qui crée parce qu’elle aime s’enrichir. Enfin, que l’on laisse notre peuple créer ! C’est ça, la prospérité, et ça n’est rien d’autre. C’est à notre portée.

Sarah Knafo

https://atlantico.fr/article/decryptage/budget-2026-le-decryptage-choc-de-sarah-knafo 

 

 


« Non à l’usine à taxes, oui à la baisse massive des dépenses » : le contre-budget de Sarah Knafo

Alors que l’examen du budget a commencé à l’Assemblée nationale, l’eurodéputée Reconquête présente un « contre-budget d’urgence » pour faire face à l’avalanche fiscale présentée par le gouvernement.

Sarah Knafo est députée européenne (Reconquête) et membre de la Commission de l’industrie, de la recherche et de l’énergie. Elle a été magistrate à la Cour des comptes.


 

Comment résumer notre situation économique ? Par une avalanche fiscale et une fuite en avant dépensière, que le budget Lecornu aggrave encore. Avec 15 nouvelles taxes, ce budget est une véritable usine à taxes, qui augmente les prélèvements obligatoires de 40 milliards et la dépense de 29 milliards. Je propose un contre-budget, qui diminue les prélèvements obligatoires de 20 milliards et les dépenses de 80 milliards.

Rappelons que la France n’a pas un problème de recettes - elle a le taux de recettes sur PIB le plus élevé au monde (43 %) ! Elle a un problème de dépenses, avec le taux de dépenses publiques le plus élevé au monde (57 %). On aura beau augmenter les impôts, tant que l’on ne baissera pas massivement les dépenses, la dette se creusera inexorablement. Et c’est prévu dans ce budget : une augmentation…

https://www.lefigaro.fr/vox/economie/non-a-l-usine-a-taxes-oui-a-la-baisse-massive-des-depenses-le-contre-budget-de-sarah-knafo-20251021



Monsieur le Ministre, 

Chez nous, les narcotrafiquants opèrent en plein jour. Ils ont pignon sur rue dans nos banlieues. Ils contrôlent des pans entiers de notre territoire. Ils font la loi dans nos prisons... mais vous allez « traquer » ceux qui opèrent sur un autre continent. 

C’est Jean-Noël Barrot à Paris, Jean-Fidel Castro à Bogota ! 

Chez nous, les douaniers manquent de moyens pour contrôler nos propres frontières, mais vous nous prenez 200 millions d’euros de plus pour aller former des douaniers colombiens et ouvrir une école de lutte contre le narcotrafic près de Punta Cana. Les cartels doivent trembler ! 

Vous avez raison : mieux vaut en rire qu'en pleurer.

Sarah Knafo 

 


C’est bien une "bombe" politique. Sarah Knafo a émergé dans le champ politique comme un ovni. Elle a ouvert sa voie en grand, au talent, à l’excellence, à la compétence et au mérite.
" Le talent sans génie est peu de chose. Le génie sans talent n’est rien ” disait Paul Valéry. Le talent, c'est le relief donné à la platitude. Elle n’est donc pas comme les autres. C’est une "bombe".
Son génie politique est personnel. C’est celui qu'elle a reçu, qu’elle perfectionne, qu'elle façonne et qui fera son destin.
 
Certains mettent tout leur génie à faire oublier qu'ils n’ont aucun talent.
Sarah Knafo a les deux. Elle brille. Elle influence. Elle rayonne. Elle détonne. Elle est fulgurante.
Elle a également l’esprit libre, du bon sens, des idées larges et de la hardiesse. 
 
Députée européenne, elle a des ambitions et des solutions pour la France. Elle est chargée de convictions de droite que je ne retrouve pas au Rassemblement national et qui se perdent chez les Républicains.
Elle est solide. Elle est convaincante. Elle est sûre d’elle.
Elle est originale, parce qu'elle maîtrise son talent et son génie politique. Elle sait utiliser ces deux forces dans le combat politique.
Elle a surtout du courage. Celui qui fait tant défaut aujourd'hui dans la classe politique.
Et ça inquiète.
Son talent, c’est donc son courage, son potentiel et son audace. Son génie, c’est son réservoir d’idées et ses capacités à les déployer avec habileté, pertinence et fulgurance. 
 
" Ayez du talent, on vous reconnaîtra peut-être du génie. Ayez du génie, on ne vous reconnaîtra jamais du talent.”
 
SarahKnafo va aller incontestablement très loin. Elle a du talent ET du génie politique.
Je ne cherche pas à l’encenser pour lui réclamer quelque chose. Non. Je n’ai besoin de rien. Et je ne touche aucun dividendes pour mes réflexions.
Je veux juste faire ressortir ses qualités objectives que beaucoup de politiciens n’ont pas.
C’est aux électeurs de choisir leurs représentants. Ce n’est pas au système ni aux journalistes mitants et partisans de les sélectionner pour nous. »"
 
Yann Bizien
 

 

septembre 24, 2025

Scandale de l'audiovisuel public avec Sarah Knafo

Ce matin, les comptes catastrophiques de France Télévisions sont mis à nu. Il y a quelques jours à peine, en pleine polémique sur les complots de l’audiovisuel public avec le Parti socialiste, la présidente Delphine Ernotte osait se plaindre du manque de moyens et réclamait leur augmentation ! 

Grâce à la Cour des comptes et son rapport paru ce matin, nous apprenons de nouveaux scandales. Rappelons que chaque année, l’Etat reverse à France Télévisions 2,6 milliards d’euros d'argent public, soit votre argent. Alors que nombre de ses concurrents privés font des bénéfices sans toucher d'argent public. Cela aurait déjà de quoi nous scandaliser… Mais vous n’avez encore rien vu. 


 

Ces 7 dernières années, les dépenses de France Info TV ont quasiment doublé. On pourrait imaginer que l’audience et la qualité des programmes ont doublé en conséquence ? Eh non, c’est toujours moins de 1% des téléspectateurs en moyenne qui regardent France Info TV. Chez France Télévisions, l’augmentation des budgets ne correspond donc ni à la qualité des programmes, ni à la satisfaction du public. Alors à quoi ? Au doublement du gaspillage, au seul profit des idéologues. Voulez-vous des preuves ? 

 


 

Chez France TV, les salaires ne connaissent pas la crise : 15% des salariés gagnent... plus de 80 000€ par an et la Cour des comptes critique « des avantages en nature conséquents ». Nous y venons.

On est bien traité chez France Télévisions… et on est nombreux : 8 932 personnes à temps plein ! C’est 2,5 fois plus que chez TF1. Surtout, nos impôts payent plus de journalistes, animateurs et techniciens chez France TV que de chirurgiens dans les hôpitaux publics (5947 en 2024). En France, on meurt aux urgences, mais l’Etat investit toujours plus dans le divertissement et la propagande.


 

Les dépenses de taxis de tout ce monde explosent : elles s’élèvent à 3,8 millions d’euros, soit +80% entre 2019 et 2024, malgré le scandale qui avait déjà sali l’institution. Cela revient à plus de 10 000 euros de taxis par jour ! Ce n’est plus France Télé, c'est France Taxi !

Les frais dérapent : les coûts des réception ont été quasiment multipliés par 5 en seulement 2 ans (de 700 000 euros en 2022 à 3,2 millions en 2024). Au total, les frais de déplacements et de réceptions s'élèvent à plus de 46 millions en 2024, soit 126 000 € par jour. Ils achètent les petits fours les plus chers du monde ?

Le comité d'entreprises de France Télévisions a coûté 14 millions d'euros en 2024. Le rapport précise qu'il a "acquis un immeuble au Crotoy en 2022, en plus des résidences de vacances dont il est propriétaire et qu'il loue à Cannes et à Trouville." Chez France Télévisions, on est déficitaires, mais on trouve quand même de quoi se payer des résidences secondaires en bord de mer !  

 


 

Vous l’avez compris : France Télévisions vit dans un monde où tout est possible parce que l’argent vient d’ailleurs : de vos poches. Vos poches qu’ils vident sans jamais dire merci. Il y a encore tant à dire sur le sujet. Le scandale de l’audiovisuel public ne fait que commencer. Je m’y attèle : à bientôt !

      


Powered By Blogger