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décembre 27, 2025

France informations fin décembre 2025

Sommaire

A) - Budget 2026 : la loi spéciale promulguée au Journal officiel 

B) - Noël : plus d’un million de cadeaux déjà à vendre 

C) L’Algérie criminalise la colonisation française

D) - L’accueil des Ukrainiens en France entre dans une phase de rationalisation

E) - Accord UE-Mercosur : le face-à-face décisif des agriculteurs français avec Emmanuel Macron

 


 

 

A) - Budget 2026 : la loi spéciale promulguée au Journal officiel 

En attendant un vrai budget, l’exécutif a officialisé samedi la reconduction temporaire des finances de 2025. Une procédure exceptionnelle sauve les meubles mais révèle les profondes paralysies du Parlement.

C’est désormais acté. Ce samedi, par sa publication au Journal officiel, le président Emmanuel Macron a promulgué la loi spéciale qui régira les finances publiques à compter du 1er janvier 2026. Ce texte, voté à l’unanimité par le Parlement mardi dernier, est loin d’être une victoire politique. Il constitue l’aveu criant d’un échec : l’impossibilité pour les députés et les sénateurs de s’accorder sur un projet de loi de finances dans les délais. Une situation évoquant les blocages outre-Atlantique, même si ce dispositif législatif permet précisément d’« éviter un blocage de l’Etat comme c’est parfois le cas aux Etats-Unis lors des shutdowns ».


 

Un budget figé, des ambitions gelées

Dans les faits, cette mesure technique « reconduit, jusqu’à l’adoption de ce budget, les impôts et les enveloppes allouées à l’Etat dans les conditions de 2025 ». L’État continuera donc de fonctionner et les services publics seront financés, mais toute perspective de nouvelle politique budgétaire est gelée. Le gouvernement ne peut ni créer de nouvel impôt ni engager de dépense inédite. Un cadre particulièrement inconfortable pour la majorité, alors que le chef de l’État a érigé la défense en priorité absolue. Les ambitions en la matière sont donc mises en suspens.

Ce scénario, hélas, commence à devenir familier. Après la chute du gouvernement Barnier en décembre 2024, la France avait déjà connu plusieurs mois de flou avant l’adoption des textes budgétaires en février 2025. L’histoire se répète, mais dans un contexte encore plus tendu.

Le dialogue engagé par le Premier ministre Sébastien Lecornu avec le Parti socialiste a certes permis l’adoption du budget de la Sécurité sociale, au prix de concessions sensibles sur les retraites. Mais ce fragile compromis n’a pas résisté au gouffre qui sépare l’Assemblée nationale du Sénat, cette dernière chambre étant « hostile à tout impôt supplémentaire ».

Le sursis de janvier

Face à cette impasse, le chef du gouvernement a affiché un optimisme de circonstance. 

« Si les calculs politiques sont mis de côté, le Parlement prendra ses responsabilités, le gouvernement aussi », a-t-il déclaré, se disant « persuadé » de parvenir à un accord.

Un vœu pieux qui sonne comme un appel du pied, tandis que son camp le presse de recourir à l’arme nucléaire du 49.3. La loi spéciale n’est qu’un répit, un sursis accordé à la représentation nationale.

La véritable bataille est simplement reportée à janvier. Elle s’annonce brutale. Les parlementaires devront non seulement boucler un budget, mais aussi se confronter à l’épineuse question de la trajectoire des finances publiques. Les discussions écoulées n’ont « pas permis de dessiner une trajectoire de réduction du déficit », alors même que la France est confrontée à un endettement croissant. La loi spéciale évite le chaos immédiat, mais elle laisse intacte cette équation politique quasi insoluble. Le pays est en pilotage automatique, et les turbulences ne font que commencer.

https://multipol360.com/budget-2026-la-loi-speciale-promulguee-au-journal-officiel/

 


B) - Noël : plus d’un million de cadeaux déjà à vendre  

À peine les effluves de bûches dissipés et les derniers échos des cantiques évanouis, une autre réalité, moins feutrée, s’impose dans la froide lumière du 26 décembre. Une France contrainte à la sobriété joyeuse, où le geste du cadeau se mue en réflexe de survie économique. Pour la première fois, le cap du million d’annonces de revente de présents a été franchi dans la seule journée du réveillon et du jour de Noël, selon les données conjointes des géants eBay et Rakuten. La fête est devenue un prétexte à une nécessaire liquidation.

Le réflexe de la revente, nouveau rituel national

Dès avant midi ce 25 décembre, près de 900  000 objets offerts la veille étaient déjà proposés en ligne. Selon eBay, l’offre a littéralement explosé le jour de Noël, avec un demi-million de nouvelles publications, et devrait atteindre un pic à 400 % au-dessus du rythme moyen dans les jours à venir.

L’an dernier à la même heure, on en dénombrait « 340  000 ». La croissance est vertigineuse et témoigne d’une acculturation rapide, voire d’une forme de résignation collective. Le constat est similaire chez son concurrent Rakuten : la plateforme a reçu environ 390 000 propositions émanant de vendeurs non professionnels. Un chiffre qui, bien que colossal, ne représente qu’une hausse modeste de deux points sur un an.

Selon le dernier baromètre Kantar pour eBay, « près de 20 millions » de Français auraient déjà revendu un cadeau en 2025.

Cette masse critique transforme un acte jadis discret en phénomène de société banalisé. Les objets concernés ? Principalement la culture, la high-tech, dominée par les smartphones, et les jouets. Autant de biens qui, sous le sapin, font rêver, mais dont la valeur monétaire immédiate semble désormais primer sur la valeur sentimentale.

 

De la joie reçue à l’euro récupéré

L’analyse de ces chiffres frappe par son cynisme. La question n’est plus « Est-ce que cela lui plaira ? » mais « À combien pourrais-je le revendre ? » La magie de la surprise se dissout dans le calcul froid. Le symbole est amer. Pour chaque paquet déballé puis immédiatement cédé, c’est en moyenne un billet de cent euros qui change de poche, révèle une étude de Rakuten. Cent euros. Le prix d’un plein d’essence, d’une partie des factures d’énergie, d’un panier de courses un peu moins léger. Voilà la véritable étrenne pour des millions de foyers : un maigre viatique pour affronter janvier, mois redouté de toutes les fins de mois difficiles.

Ce n’est plus de l’opportunisme, c’est un symptôme. Le symptôme d’une asphyxie économique savamment orchestrée par des politiques aveugles aux réalités du quotidien. Sous le mandat d’Emmanuel Macron, la paupérisation rampante a gagné les classes moyennes, transformant les moments de partage en casse-tête budgétaire. Noël, période de générosité et de repli familial, est devenu une source d’angoisse supplémentaire. Offrir coûte cher. Recevoir un présent non désiré devient alors une aubaine, une bouée de sauvetage à convertir au plus vite en liquidités.

Ce million d’annonces, c’est le bruit sourd d’une France qui étouffe. C’est l’aveu criant que pour trop de nos concitoyens, la célébration est passée au second plan, derrière l’impératif de remplir le frigo ou de payer le loyer. La joie est devenue un luxe, le cadeau une marchandise de première nécessité. Alors que le gouvernement se gargarise de chiffres macroéconomiques en trompe-l’œil, la vraie vie, elle, se joue sur les plateformes de revente, dans une course éperdue pour boucler les fins de mois.

https://multipol360.com/noel-plus-dun-million-de-cadeaux-deja-a-vendre/ 

 


 

C) L’Algérie criminalise la colonisation française

En qualifiant la période 1830-1962 de « crime d’État imprescriptible », le Parlement algérien exige des excuses et des réparations, jetant un pavé dans la mare des relations bilatérales déjà exsangues.

L’adoption unanime, ce mercredi 24 décembre, d’une loi par l’Algérie stigmatisant la colonisation comme un crime perpétuel marque un tournant politique et mémoriel. Cette décision, loin d’être un simple geste symbolique, attise les braises d’une crise diplomatique latente et interroge quant à l’image de la France dans le monde.

Un acte législatif sans précédent

Le geste est lourd de sens et de conséquences. En votant à l’unanimité une loi qualifiant les 132 années de présence française (1830-1962) de « crime d’État imprescriptible », l’Algérie franchit une ligne rouge. Il ne s’agit plus seulement de désaccords historiques, mais d’une accusation officielle, portée par la voie législative, qui exige de la France « des excuses officielles » et ouvre explicitement la voie à des demandes de réparations.

Cette initiative, selon une analyse de l’AFP, est perçue par le chercheur Hosni Kitouni (université d’Exeter) comme un « moment de rupture dans le rapport mémoriel » entre les deux pays. Si elle est juridiquement inopposable à Paris, elle n’en possède pas moins une charge politique considérable.

Le texte algérien dresse un inventaire précis et implacable des souffrances. Il énumère : les « massacres, torture systématique, spoliations foncières, déplacements forcés, violences sexuelles. »

Il accorde une place particulière aux essais nucléaires dans le Sahara, exigeant la décontamination des sites et l’indemnisation des victimes sur plusieurs générations. En rappelant que l’Algérie « n’était pas un territoire vacant avant 1830 », la loi qualifie la colonisation de « violation flagrante et continue du droit international », comme le souligne Le Monde. Cette cristallisation par écrit des griefs transforme un contentieux diffus en un front de revendications politiques clair.

 


 

Un défi pour la diplomatie et l’image de la France

Pour la France, l’enjeu dépasse largement le cadre bilatéral. Cette loi survient dans un contexte international où les questions de repentance coloniale et de réparations gagnent en audience. L’image d’une France puissance universaliste se trouve directement écorchée par cette narration d’un « crime d’État » perpétré sur plus d’un siècle.

Nos partenaires, notamment en Afrique et au sein du Sud global, observeront avec attention la réaction de Paris. Le silence, perçu comme du mépris, pourrait être tout aussi dommageable qu’une réponse maladroite.

Sur le plan national, cette loi agit comme un électrochoc. Elle frappe une opinion publique déjà divisée, entre ceux qui appellent à un examen lucide du passé et ceux qui, précisément, adoptent des « discours minimisant ou niant la réalité coloniale » — un phénomène que les observateurs relèvent et qui a contribué à durcir la position algérienne.

Le gouvernement se trouve pris en tenaille : comment répondre à une provocation législative sans envenimer la crise diplomatique la plus grave « depuis 1962 », mais sans non plus paraître capituler face à une réécriture unilatérale de l’histoire partagée ?

Un jeu d’échecs mémoriel aux enjeux globaux

L’Algérie, par cette loi, a habilement déplacé le conflit mémoriel du terrain de l’émotion à celui du droit et de la politique internationale. L’objectif est moins d’obtenir des compensations financières, improbables, que de forcer une reconnaissance qui changerait la nature du récit historique.

Les conséquences pour l’image de la France sont potentiellement profondes. Elles touchent à sa crédibilité morale, à son pouvoir d’influence, et à sa capacité à incarner un partenariat d’égal à égal avec ses anciennes colonies. Le défi pour Paris est désormais de trouver une parole à la fois ferme et mesurée, qui préserve ses principes sans offrir à l’accusation de « crime d’État » une caisse de résonance mondiale.

https://multipol360.com/lalgerie-criminalise-la-colonisation-francaise/   



D) - L’accueil des Ukrainiens en France entre dans une phase de rationalisation

Derrière les discours de solidarité, le quotidien des communes et des finances publiques raconte une autre histoire. La réduction de l’aide aux réfugiés ukrainiens n’est pas un choix politique, c’est un constat d’épuisement.

L’élan est retombé. La France, qui avait ouvert ses bras et ses registres d’aide sociale avec une conviction presque unanime en février 2022, ajuste aujourd’hui sa posture avec une froideur administrative qui en dit long. La circulaire de l’ancien Premier ministre Michel Barnier ne se contente pas de « réorienter » la politique d’accueil ; elle acte un recul. Un recul chiffré, tangible : les logements dédiés sont passés de 9 000 à 4 000. Une division par plus de deux. Ce n’est pas une simple adaptation, c’est un désengagement programmé.

Et il survient au moment même où, selon les services de l’État, « tous les mois, dans les Alpes-Maritimes, entre 100 et 150 personnes viennent pour la première fois ».

La machine administrative, à bout de souffle, craque sous le poids d’une charge devenue permanente.

Quand l’urgence devient une facture permanente

Ce recul n’est pas le fruit d’un cynisme soudain, mais le symptôme d’une profonde lassitude. Une lassitude budgétaire d’abord. L’accueil initial, conçu comme une mesure d’urgence temporaire, s’est transformé en une dépense récurrente et structurelle pour les collectivités locales et l’État.

Dans un contexte où la Cour des comptes alerte presque mensuellement sur la trajectoire insoutenable des déficits publics, chaque euro alloué à un dispositif « exceptionnel » est un euro de moins pour nos hôpitaux, nos écoles ou le pouvoir d’achat de nos concitoyens. La générosité a un coût, et ce coût, la France réalise aujourd’hui qu’elle ne peut plus l’assumer seule, indéfiniment, sans sacrifier ses propres fondamentaux.

Mais cette lassitude est aussi sociale, et elle est plus sourde, plus profonde. Elle se niche dans les files d’attente qui s’allongent aux CAF, dans les délais pour obtenir un rendez-vous à la préfecture, dans la tension insupportable sur le marché du logement social. Quand une famille française attend un HLM depuis des années et apprend que des milliers de places ont été réservées en urgence pour d’autres, un sentiment d’injustice, mêlé de fatigue, se diffuse. L’État, en voulant bien faire à l’extérieur, a mis à nu ses faiblesses à l’intérieur.

Le puits se tarit

Le drame le plus profond réside peut-être dans le piège dans lequel cette politique a enfermé tout le monde. Les réfugiés ukrainiens, eux-mêmes, sont pris dans une contradiction absurde. Leur statut temporaire, vidé de sa substance, ne leur offre plus qu’un avenir suspendu. Pour obtenir une stabilité, ils peuvent demander l’asile classique. Mais beaucoup, dit-on, « refusent, par crainte de ne pas pouvoir retourner en Ukraine ». La France leur a offert un refuge, mais elle n’a pas les moyens de leur offrir un vrai futur, et elle leur ferme aujourd’hui la porte du refuge initial.

La République a découvert, à ses dépens, que la solidarité internationale se heurte vite aux murs de la réalité nationale. En réduisant son aide, elle ne tourne pas le dos à ses principes ; elle admet, simplement, qu’elle a atteint la limite de ce qu’elle pouvait donner sans se mettre elle-même en danger. La leçon est dure, mais elle est claire : on ne peut pas indéfiniment puiser dans un puits qui est en train de se tarir.

https://multipol360.com/laccueil-des-ukrainiens-en-france-entre-dans-une-phase-de-rationalisation/ 

 


 

E) - Accord UE-Mercosur : le face-à-face décisif des agriculteurs français avec Emmanuel Macron

Le Président de la République a convié ce mardi les représentants du monde paysan pour une rencontre cruciale, à l’heure où la colère gronde contre le traité commercial avec l’Amérique du Sud.

Dans un contexte de crise aiguë pour l’élevage national, la rencontre organisée ce mardi  à l’Élysée revêtait un caractère exceptionnel. Pour la première fois depuis le début de l’épidémie de dermatose nodulaire bovine en décembre, Emmanuel Macron a reçu les dirigeants des quatre principaux syndicats agricoles — la FNSEA, Jeunes Agriculteurs, la Coordination rurale et la Confédération paysanne. L’ordre du jour était sans ambiguïté : l’épineux projet d’accord entre l’Union européenne et le Mercosur, qui cristallise les craintes de tout un secteur.

La mobilisation, loin de faiblir, s’intensifie. La preuve, jeudi dernier, par plusieurs milliers d’éleveurs et céréaliers convergeant vers Bruxelles avec leurs tracteurs pour bloquer les institutions européennes. Leur crainte ? Voir le marché inondé de viande, de sucre, de riz et de soja en provenance du Brésil, de l’Argentine, du Paraguay et de l’Uruguay, produits dont les normes de production sont perçues comme moins exigeantes.

« Le message de la FNSEA au Président de la République restera inchangé, ferme et clair : Mercosur = Non », avait tonné le syndicat majoritaire avant l’entrevue.

Une position qui, malgré des divergences de stratégie, fait l’unanimité chez les agriculteurs français, des plus modérés aux plus radicaux.

Une signature reportée sous la pression

Face à cette fronde transfrontalière, notamment en France et en Italie, le calendrier diplomatique a dû être bousculé. Alors qu’une signature était initialement espérée samedi dernier à Foz do Iguaçu, en présence d’Ursula von der Leyen, elle a été purement et simplement reportée. Une victoire temporaire pour les opposants, mais l’échéance reste menaçante : selon plusieurs sources diplomatiques, une nouvelle tentative est désormais visée pour le 12 janvier au Paraguay.

Le gouvernement français tente de naviguer en eaux troubles. Interrogé mardi à l’Assemblée nationale, le ministre délégué aux Affaires européennes, Jean-Noël Barrot, a tenté de rassurer en brandissant des « concessions inédites ».

« Nous obtenons des mesures miroir pour garantir la réciprocité, des contrôles douaniers renforcés et des clauses de sauvegarde », a-t-il assuré.

Des promesses jugées largement insuffisantes sur le terrain, où les syndicats promettent déjà une remobilisation massive dès début janvier.

Au-delà du commerce, un modèle en question

L’enjeu dépasse la simple concurrence commerciale. Pour les agriculteurs français, c’est la crédibilité même du « modèle européen » qui est sur la table. Comment justifier des normes environnementales et sanitaires strictes — et coûteuses — face à des importations qui n’y seraient pas soumises avec la même rigueur ? L’accord, s’il ouvre des débouchés pour les vins, les spiritueux et les produits industriels européens, est perçu dans les campagnes comme un coup de massue sur des filières déjà exsangues.

La réception à l’Élysée n’a donc rien d’une simple formalité. Elle intervient à un moment où la patience des éleveurs est à bout, entre la gestion contestée de l’épidémie animale et cette menace économique lointaine. La présence conjointe d’organisations aussi différentes que la FNSEA et la Confédération paysanne, pourtant « opposants historiques au traité », en dit long sur l’ampleur de la défiance.

L’heure des choix

Alors que l’exécutif européen semble pressé de conclure un accord vieux de plus de vingt ans de négociations, Emmanuel Macron se trouve dans une posture délicate. Peut-il imposer à ses partenaires européens un veto français, au risque d’entraver une grande ambition géopolitique ? Peut-il, à l’inverse, passer en force et affronter une colère paysanne qui pourrait embraser l’hiver ? Les concessions techniques évoquées par M. Barrot paraissent bien minces face à l’exigence catégorique d’abandon pur et simple du texte. Le bras de fer ne fait que commencer.

https://multipol360.com/accord-ue-mercosur-le-face-a-face-decisif-des-agriculteurs-francais-avec-emmanuel-macron/ 

 Lire aussi:

Comment endormir avec duplicité nos agriculteurs alors qu'une opportunité se présente à eux !

Dossier biodiversité !! (Notamment H) Ni Bio, ni conventionnel : l’ACS, la troisième voie agricole ? )

novembre 10, 2025

Visions avec Sarah Knafo: Budget 2026 et Présidentielle 2027 ?

"Sarah Knafo, née le 24 avril 1993 issue d'une famille de juifs marocains émigrés en France en 1967, fille d'un ingénieur et d'une mère au foyer, a vite visé les sommets. 

Ses études forment un itinéraire élitiste bien huilé, du genre à empiler les diplômes : licence d'économie à la Sorbonne, master en affaires publiques à Sciences Po, ENA, l'école des futurs commis qui se rêvent en tsars. 

Sa carrière trace un zigzag opportuniste : à peine sortie de l'ENA en 2020, elle se cale magistrate à la Cour des comptes, un strapontin prestigieux. Puis, le virage calculé moins d’un an après : elle abandonne le bureau pour se muer en éminence grise de la campagne d'Éric Zemmour. 

Élue députée européenne pour R! à 31 ans, une planque confortable. Aujourd’hui, à 32 ans, elle se la joue prophétesse du "techno-conservatisme", elle hante CNews et glisse à Zemmour des idées piquées à la Maison Blanche. Éphémère et tape-à-l'œil, cette ascension sent le favoritisme et l'air du temps, taillée pour les buzz. 

 Côté cœurs, le feuilleton vaut son pesant de cacahuètes. À 20 ans, coup de foudre avec Louis Sarkozy, un DJ en herbe, héritier d'un nom qui ouvre toutes les portes de Neuilly aux cercles UMP. Une idylle juvénile intense, qui la catapulte dans les dîners en vue et lui offre un premier aperçu des réseaux sarkozystes : soirées branchées, connexions précieuses, et un flirt qui pue déjà l'ambition mutuelle. Brève mais marquante, cette "amourette" refait surface en mai 2025, quand Louis, lors d'une émission télé le 3 mai, lâche sans filtre : "Nous avons partagé une histoire". Une confidence nostalgique qui fait jaser, ravivant les rumeurs d'un calcul précoce de sa part, et transformant ce passé en anecdote croustillante pour booster son aura de séductrice connectée. Puis, le scandale : en 2021, Paris Match révèle sa romance torride avec Zemmour, son boss de 63 ans, officialisée en 2022 malgré les ragots d'adultère avec sa femme. "Sans elle, pas de campagne", avoue-t-il, mi-amoureux mi-stratège. Aujourd'hui, duo « glamour » de meetings enflammés. 

À 32 ans, Sarah Knafo incarne la girouette de la droite conservatrice : diplômes en toc, lits stratégiques, et une carrière qui file comme une bulle de savon. La République des copains a trouvé sa reine des calculs, cœurs et illusions inclus."

Duval Philippe 


Sarah Knafo de A à Z

Pierre angulaire de la campagne d’Éric Zemmour lors de la dernière présidentielle, Sarah Knafo s’est prise au jeu de l’aventure politique. Aujourd’hui députée européenne, sa grande maîtrise des dossiers et sa très bonne pratique des médias l’ont replacée au centre du jeu. Convaincue de la nécessité d’unir les droites pour l’emporter en 2027, elle s’est livrée comme jamais à la rédaction de Valeurs actuelles. Politique, société, économie, culture, international : c’est un « 100% Sarah Knafo » que nous vous proposons dans ce numéro de notre revue « Grands débats. »  

f.mtr.cool/bqfapzuizs 

 


Budget 2026 : le décryptage choc de Sarah Knafo

Face à un budget français jugé « hors de contrôle » et une avalanche fiscale que dénoncent de nombreux économistes, Sarah Knafo propose un contre-budget audacieux de 80 milliards d’euros d’économies.

Atlantico - Vous avez été la première à proposer un contre-budget, avec 80 milliards d’économies. Quel type de budget préconiseriez-vous ? Quel modèle fiscal serait à même de redonner du souffle aux Français sans mettre en danger le budget ?

Sarah Knafo : Mon modèle est simple : il faut dépenser moins pour taxer moins pour que les Français gagnent plus. Nous avons un déficit très important malgré des recettes fiscales les plus élevées du monde (en % du PIB). En France, nous n’avons donc pas un problème de recettes mais de dépenses. Il faut baisser les dépenses.


 

Nous avons un des coûts du travail les plus élevés d’Europe alors que les revenus des Français sont trop faibles : nous sommes tombés à la 10ème place européenne en termes de revenus ! L’écart entre les deux, ce sont les charges. Notre problème de pouvoir d’achat est donc un problème d’excès de charges. Même solution : pour pouvoir baisser les charges, il faut baisser les dépenses.

J’ai proposé un plan d’urgence de 80 milliards d’euros de baisses de dépenses réalisables dès cette année. Notamment la suppression des aides sociales non contributives aux étrangers (de 15 à 20 milliards d’euros d’économies), la fin de l’aide publique au développement (15 milliards d’économies), la fin du soutien aux énergies renouvelables (8 milliards), la fin de la politique de la ville (8 milliards), la privatisation de l’audiovisuel public (4 milliards), la suppression de 50 000 postes administratifs dans la fonction publique, etc.

J’ai choisi des mesures simples et consensuelles, les plus faciles et rapides à mettre en œuvre. Il faudra aller beaucoup plus loin évidemment mais pour cela il faudra une vraie alternance. Nous le ferons dès 2027, à l’Élysée et à l’Assemblée.


Vous dénoncez une « avalanche fiscale » dont seraient coupables l’essentiel des partis politiques français à l’assemblée nationale. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Dans la séquence budgétaire que nous venons de traverser, nous avons vu la grande masse des partis partir à l’assaut de l’argent avec une rage impressionnante. Cela doit nous alerter. Ce ne sont pas seulement l’entreprise ou l’héritage qui ont été pris pour cibles, mais notre économie tout entière. En réalité, j’observe avec tristesse qu’en matière économique, les partis représentés à l’Assemblée ne se différencient que par les cibles de leurs impôts ou l’ampleur de leurs augmentations, mais le principe même de l’augmentation des impôts fait tristement consensus.


 

 Plus de quinze impôts viennent d’être adoptés (cf. le tableau ci-dessous). Les députés, tous bords confondus, ont inventé et proposé des impôts par dizaines ! On a assisté à toutes les alliances possibles pour voter ces augmentations d’impôt : LFI et RN pour taxer les grandes entreprises, les superdividendes et les rachats d’action. LFI et les macronistes pour voter l’augmentation de la CSG. Les macronistes et le RN pour taxer les holdings. Les macronistes, le PS et le RN pour le fameux impôt sur la fortune improductive. On dit que l’Assemblée est bloquée mais, ce qui me désole, c’est que lorsqu’il s’agit d’augmenter les impôts, toutes les alliances sont bonnes et ils arrivent à s’entendre. Résultat de cette orgie de taxes, le taux de prélèvements obligatoires augmentera de plus d’un point par rapport à l’an dernier alors que nous sommes déjà le peuple le plus taxé du monde et que l’urgence est de desserrer l’étau.

 

Gérald Darmanin a ironisé sur la politique économique du RN, avec un Jordan Bardella censément libéral dans ses discours, mais qui pratiquerait la « taqiya ». Êtes-vous en accord avec cet avis ?

Le libéralisme « dans les discours », comme vous dites, ça n’existe pas. Le seul libéralisme qui vaille est celui des actes : c’est sur les actes qu’on doit juger les politiques, qu’il s’agisse du RN comme des autres, et les actes ne plaident pas en la faveur des inventeurs de nouvelles taxes. Je ne sonde donc pas leurs cœurs et leurs reins, je ne connais pas leurs intentions, je regarde les faits. Et ce qui ressort des votes, des amendements rédigés, déposés et votés est clair : le RN veut augmenter massivement les impôts des uns (les Français aisés et les grandes entreprises) pour baisser marginalement ceux de certains autres. Ils ne veulent donc pas diminuer les impôts mais les répartir différemment. Je pense au contraire qu’il faut diminuer les impôts pour tout le monde, car tout le monde en paye trop, riches, pauvres, classe moyenne, ménages, entreprises, TOUS ! Et je pense que cet excès d’impôt, à tous les niveaux, étouffe notre économie dans son ensemble.

Quant à Jordan Bardella qui aurait, en son for intérieur, un avis différent de celui de son parti : a-t-il son propre programme économique ? Non, il a le programme du RN. Donc logiquement, on l’a vu défendre les taxes inventées par le RN et les votes du RN à l’Assemblée. C’est une différence objective entre le RN et nous : la souligner, c’est défendre notre économie et permettre aux Français de choisir de la manière la plus lucide possible. J’ai la conviction que l’écrasante majorité des électeurs du RN vote pour le RN malgré son programme économique, et non pour son programme économique. 


Le RN a notamment inventé « l'impôt sur la fortune financière », qui vise à remplacer l'IFI, en taxant la fortune dite improductive. Cet amendement a été porté par le Modem et adopté. Marine Le Pen s'en est félicité. Qu'en pensez-vous ?

C'est encore une catastrophe pour notre économie... L’État taxera donc chaque année la valeur de ce que nos députés considèrent « improductif ». Comme s’ils avaient des leçons de productivité à donner aux Français. Regardons dans le détail :

- Ils estiment que les actions sont improductives, comme l’ont dit le RN et le PS. Or, une action c'est un investissement dans une entreprise. Qu'y a-t-il de plus productif ? L'invention de la société par action fut même l'un des principaux catalyseurs de la prospérité européenne au XVIIè siècle. Quatre siècles plus tard, des politiciens français viennent expliquer au monde que ce système est improductif…

- Ils estiment que les assurances-vie sont improductives. Ces fonds financent les entreprises et les dettes des États, à commencer par la France. En taxant les fonds d'assurance-vie français, nos députés veulent-ils que notre dette, en plus de grossir à vue d’œil, soit toujours plus détenue par des fonds étrangers ?

- Ils estiment que le bitcoin est improductif. Quand de plus en plus de pays font leur possible pour attirer cet or numérique, nos députés font tout pour le faire fuir. Veulent-ils que la France soit le seul pays qui passer à côté de ce trésor ?

- Ils estiment que les œuvres d'art sont improductives. Les collections étrangères, y compris les grands musées étrangers se frottent les mains : ils vont pouvoir acheter à la baisse quelques œuvres de propriétaires français poussés à vendre. Encore du patrimoine qui s'en va.

- Les bijoux de famille, les objets d'art, les bibelots, l'argenterie... ce n'est pas productif ? Peut-être. Mais acquérir ces biens a motivé des générations à travailler dur et à enrichir le pays. Obliger les propriétaires de ces biens de famille à les vendre à des collectionneurs étrangers est-ce bien plus productif ?

- Et puis, surtout, que fera l’État de bien plus productif avec ce qu'il nous prendra ? La bureaucratie, la gabegie, l'assistanat, l'aide publique au développement, les subventions aux associations politisées, l'audiovisuel public, la politique de la ville, les éoliennes… tout cela n'a rien de productif. Et pourtant, l’État est prêt à taxer tout ce qui bouge, tout ce qui travaille, pour continuer à les financer.

Je veux conclure sur un point plus philosophique : taxer le patrimoine, constitué de revenus passés déjà taxés, c’est bel et bien le début du socialisme. Cela signifie que vous ne serez JAMAIS vraiment propriétaire de ce que vous avez. Que l’État pourra toujours exercer une pression financière qui vous forcera à tout vendre. Un tel vote peut paraître anecdotique pour nos députés, mais il est de nature à briser la confiance de ceux qui ont lutté pour posséder quelque chose.


A l’inverse, défendez-vous une politique fondée sur la libre entreprise et le libre commerce ?

Absolument. Depuis des siècles, la France a mené très loin la réflexion sur la liberté politique. Mais la liberté économique est restée un parent pauvre : elle est considérée comme moins essentielle, moins défendable, et même moins belle que sa sœur politique. Eh bien, c’est une grave erreur philosophique. Les classiques du libéralisme nous apprennent que le droit de propriété n’est pas moins important que le droit de vote. Si on vous retire le droit de posséder le fruit de votre travail, on vous retire tout : on fait de vous un esclave. Et le XXème siècle nous l’a amplement démontré : les régimes qui ont nié le droit de propriété ont fait des dizaines de millions de morts. En France, nous n’en sommes pas là, mais chaque nouvelle taxe et chaque nouvel impôt sont des réductions de notre liberté économique et, de réduction en réduction, on aboutit lentement mais sûrement à une destruction de la liberté tout court.

Cela, le peuple suisse ou le peuple américain le comprennent parfaitement. Chez eux, si vous touchez à la liberté économique ou au droit de propriété, vous le payez très cher dans les urnes. Ces peuples ne laissent pas faire, parce qu’ils savent. Le fait que l’État nous prenne la moitié de ce que nous gagnons devrait nous révolter au plus haut point, et nous inciter à demander des comptes à quiconque veut créer un nouvel impôt ou une nouvelle taxe - ou, ce qui revient au même, une nouvelle dépense. Nous devons devenir extrêmement sévères à l’encontre tous de ceux, de gauche, de droite ou du centre, qui alourdissent la charge fiscale. La France peut apprendre à aimer la liberté économique comme un bien aussi précieux que la liberté politique.

C’est ce changement radical de regard, que l’on peut qualifier de révolutionnaire, que je veux provoquer. Concrètement, il faut beaucoup moins de taxes, de contraintes, de normes, de règles. Et ce ne sera pas le far-west pour autant ! Dans les années 70, le code de l’environnement, le code de la ruralité, le code du travail, le code des impôts et le code de la sécurité sociale pesaient plusieurs kilos de moins qu’aujourd’hui et le pays était convenablement administré. Il faut que l’État intervienne beaucoup moins dans l’économie car à chaque fois qu’il le fait avec des aides, des incitations, des surtaxes, des bonus et des malus... c’est toujours un fiasco. Il faut défendre l’économie, celle de ceux qui créent, et qui sont innombrables. L’épicier, la caissière, le cultivateur, l’indépendant, créent chaque jour. Bernard Arnault crée. Je veux une France qui crée parce qu’elle aime s’enrichir. Enfin, que l’on laisse notre peuple créer ! C’est ça, la prospérité, et ça n’est rien d’autre. C’est à notre portée.

Sarah Knafo

https://atlantico.fr/article/decryptage/budget-2026-le-decryptage-choc-de-sarah-knafo 

 

 


« Non à l’usine à taxes, oui à la baisse massive des dépenses » : le contre-budget de Sarah Knafo

Alors que l’examen du budget a commencé à l’Assemblée nationale, l’eurodéputée Reconquête présente un « contre-budget d’urgence » pour faire face à l’avalanche fiscale présentée par le gouvernement.

Sarah Knafo est députée européenne (Reconquête) et membre de la Commission de l’industrie, de la recherche et de l’énergie. Elle a été magistrate à la Cour des comptes.


 

Comment résumer notre situation économique ? Par une avalanche fiscale et une fuite en avant dépensière, que le budget Lecornu aggrave encore. Avec 15 nouvelles taxes, ce budget est une véritable usine à taxes, qui augmente les prélèvements obligatoires de 40 milliards et la dépense de 29 milliards. Je propose un contre-budget, qui diminue les prélèvements obligatoires de 20 milliards et les dépenses de 80 milliards.

Rappelons que la France n’a pas un problème de recettes - elle a le taux de recettes sur PIB le plus élevé au monde (43 %) ! Elle a un problème de dépenses, avec le taux de dépenses publiques le plus élevé au monde (57 %). On aura beau augmenter les impôts, tant que l’on ne baissera pas massivement les dépenses, la dette se creusera inexorablement. Et c’est prévu dans ce budget : une augmentation…

https://www.lefigaro.fr/vox/economie/non-a-l-usine-a-taxes-oui-a-la-baisse-massive-des-depenses-le-contre-budget-de-sarah-knafo-20251021



Monsieur le Ministre, 

Chez nous, les narcotrafiquants opèrent en plein jour. Ils ont pignon sur rue dans nos banlieues. Ils contrôlent des pans entiers de notre territoire. Ils font la loi dans nos prisons... mais vous allez « traquer » ceux qui opèrent sur un autre continent. 

C’est Jean-Noël Barrot à Paris, Jean-Fidel Castro à Bogota ! 

Chez nous, les douaniers manquent de moyens pour contrôler nos propres frontières, mais vous nous prenez 200 millions d’euros de plus pour aller former des douaniers colombiens et ouvrir une école de lutte contre le narcotrafic près de Punta Cana. Les cartels doivent trembler ! 

Vous avez raison : mieux vaut en rire qu'en pleurer.

Sarah Knafo 

 


C’est bien une "bombe" politique. Sarah Knafo a émergé dans le champ politique comme un ovni. Elle a ouvert sa voie en grand, au talent, à l’excellence, à la compétence et au mérite.
" Le talent sans génie est peu de chose. Le génie sans talent n’est rien ” disait Paul Valéry. Le talent, c'est le relief donné à la platitude. Elle n’est donc pas comme les autres. C’est une "bombe".
Son génie politique est personnel. C’est celui qu'elle a reçu, qu’elle perfectionne, qu'elle façonne et qui fera son destin.
 
Certains mettent tout leur génie à faire oublier qu'ils n’ont aucun talent.
Sarah Knafo a les deux. Elle brille. Elle influence. Elle rayonne. Elle détonne. Elle est fulgurante.
Elle a également l’esprit libre, du bon sens, des idées larges et de la hardiesse. 
 
Députée européenne, elle a des ambitions et des solutions pour la France. Elle est chargée de convictions de droite que je ne retrouve pas au Rassemblement national et qui se perdent chez les Républicains.
Elle est solide. Elle est convaincante. Elle est sûre d’elle.
Elle est originale, parce qu'elle maîtrise son talent et son génie politique. Elle sait utiliser ces deux forces dans le combat politique.
Elle a surtout du courage. Celui qui fait tant défaut aujourd'hui dans la classe politique.
Et ça inquiète.
Son talent, c’est donc son courage, son potentiel et son audace. Son génie, c’est son réservoir d’idées et ses capacités à les déployer avec habileté, pertinence et fulgurance. 
 
" Ayez du talent, on vous reconnaîtra peut-être du génie. Ayez du génie, on ne vous reconnaîtra jamais du talent.”
 
SarahKnafo va aller incontestablement très loin. Elle a du talent ET du génie politique.
Je ne cherche pas à l’encenser pour lui réclamer quelque chose. Non. Je n’ai besoin de rien. Et je ne touche aucun dividendes pour mes réflexions.
Je veux juste faire ressortir ses qualités objectives que beaucoup de politiciens n’ont pas.

octobre 23, 2025

Cambriolage du Louvre !!

À vrai dire je suis très étonné de ce qui se passe avec ces vols prestigieux notamment dans les musées de l’État.
Au sein par exemple de musées privés voire même de grandes propriétés privées des œuvres d’art de toutes sortes exposées existent ; cependant elles sont pour la plupart des copies, les œuvres originales étant en coffre-fort voire souvent en banque au sein de coffre personnalisé.
Comment se fait-il qu’un musée comme le Louvre par sécurité nonobstant l’économie effectuée , de ne pas mettre d’excellentes œuvres copiées à la vue du public ? 
 
Préparatif de Noël au Louvre
 
D autant qu’au Louvre au sein de ses sous-sol ils ont des structures sécurisées existantes
Cela ferait travailler par ailleurs des spécialistes de l’art des conservateurs déjà existants et rétribués.
Bien entendu il faut une moindre réflexion de nos fonctionnaires, pas aisée !
Par ailleurs qu’ils nous disent pas qu’ils ne soient pas capables de copie. Pour faire bien ils ont bien imité la grande statue de Voltaire à une époque sachant que l’original était au musée de l’Ermitage à St Petersbourg Russie, dit en urss Leningrad.
Aussi pourrions-nous supposer que si l’état aurait prévu des mesures d’assurance, une estimation de remboursement serait ? Perte des joyaux malgré tout, d’une culture… Mais allez savoir s’il n’y a pas magouille entre états ou mandataires privés, in fine rembourser une ubuesque dette 💸 ? 😂
Tout est tellement envisageable dans cette fourberie politique.
 
 
 
Terrifiante notre sécurité au Louvre
Un cambriolage et non un braquage, encore un souci de vocabulaire !
Le musée du Louvre a été braqué ce dimanche matin à l’ouverture, par plusieurs individus qui ont réussi à s’échapper avec des bijoux, a annoncé la ministre de la Culture Rachida Dati. Le site est fermé pour la journée.
Selon les informations du journal Le Parisien, les malfaiteurs ont accédé au bâtiment côté quais de Seine, où se déroulent des travaux, en empruntant un monte-charge qui mène directement à la salle visée.
Après avoir brisé des vitres, deux hommes auraient pénétré à l’intérieur, alors qu’un troisième restait posté dehors. Les voleurs se seraient alors emparés de neuf pièces de la collection de bijoux de Napoléon et de l’impératrice : collier, broche, diadème…
1354 diamants et 56 émeraudes
 

 
𝙈𝙤𝙣 𝙩𝙚𝙭𝙩𝙚 𝙚𝙣 𝙘𝙚 𝙙𝙞𝙢𝙖𝙣𝙘𝙝𝙚, 𝙙𝙚́𝙙𝙞𝙚́ 𝙖𝙪 𝙢𝙪𝙨𝙚́𝙚 𝙙𝙪 𝙇𝙤𝙪𝙫𝙧𝙚 𝙙𝙪𝙧𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙚́𝙥𝙧𝙤𝙪𝙫𝙚́ - 𝐩𝐚𝐫 𝐌. Khaled Hizem :
Pour tout amoureux des arts, dans leur diversité et universalité, le Louvre compte parmi leurs plus grands foyers, étant le musée le plus visité au monde, suscitant une vive admiration pour ses fascinantes collections.
En ce 19 octobre 2025, cet auguste musée vient d'être durement éprouvé, car il fut, ce matin, victime d'un cambriolage spectaculaire et fracassant, qui toucha, malheureusement, l'un de ses précieux ensembles : les joyaux de la couronne de France, qui sont exposés, depuis des lustres, dans la magnifique galerie d'Apollon.
Celle-ci est un espace à la fois majestueux et somptueux par son opulente décoration. Elle fut réalisée sous le règne de Louis XIV, grâce à l'architecte Louis Le Vau (1612-1670) et au peintre Charles Lebrun (1619-1690). Au XIXe siècle, le génial Eugène Delacroix (1798-1868) compléta son remarquable plafond.
Il y a quelques heures, dans ce lieu emblématique, plusieurs bijoux exceptionnels furent dérobés en quelques minutes. Dans la foulée de ce désastre poignant pour tout passionné par le patrimoine de l'Hexagone et de l'humanité, la couronne de l'impératrice Eugénie, réalisée en 1855 et constituée d'or, de diamants et d'émeraudes, fut retrouvée mais hélas abîmée. Cependant, d'autres trésors furent emportés.
Ceux-ci, inestimables, comportent un célèbre diadème, composé de plus de deux mille diamants et perles, ayant aussi appartenu à l'impératrice Eugénie, ainsi que sa plus belle broche (dite "broche reliquaire") et son nœud de corsage. Un diadème, un collier et une boucle d'oreille, en saphirs et diamants, possédés par les reines Marie-Amélie et Hortense, de même qu'un éblouissant collier, garni de trente-deux émeraudes, de l'impératrice Marie-Louise, avec une paire de ses boucles d'oreilles, furent également pillés.
Cette infortune est d'autant plus pénible pour le Louvre que ce dernier rassembla patiemment, pendant de longues décennies, de superbes parures qui remontent, essentiellement, aux règnes des empereurs Napoléon Ier (1804-1814) et Napoléon III (1852-1870), ainsi que, dans une moindre mesure, à la période de la Restauration (1814-1830) et à l'époque du roi Louis-Philippe Ier (1830-1848).
Je rappelle que c'est sous la Troisième République qu'eut lieu, en mai 1887, la vente calamiteuse des joyaux de la couronne de France, qui dispersa, aux quatre vents, la majeure partie. C'est petit à petit que le prestigieux musée parisien réussit à acquérir des éléments importants de cette sublime collection.
Daté entre les années 1890 et 1900, ce photochrome montre la galerie d'Apollon qui fut le théâtre, ce dimanche, de ce triste vol. Puissent la France et son incomparable Louvre avoir le bonheur de récupérer pareilles merveilles, pour les replacer dans ce splendide écrin...
 

J𝐨𝐲𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐇𝐞𝐱𝐚𝐠𝐨𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥'𝐡𝐮𝐦𝐚𝐧𝐢𝐭𝐞́ -
Attaché à une vaste culture humaniste, affectionnant l'histoire et les arts, je ne peux, comme tout passionné de patrimoine, qu'être ému par l'incroyable et consternant vol des joyaux de la couronne de France, qui eut lieu au musée du Louvre avant-hier.
Appartenant au précieux patrimoine de l'Hexagone, ces derniers font tout autant partie de l'héritage culturel de l'humanité. Au sein de la galerie d'Apollon, où sont exposés divers trésors royaux et impériaux, neuf d'entre eux furent dérobés, dont seule la superbe couronne de l'impératrice Eugénie, réalisée en 1855 et composée d'or, de 1354 diamants et de 56 émeraudes, fut heureusement retrouvée bien qu'endommagée.
Les huit encore manquants sont également exceptionnels et inestimables, car ils représentent aussi bien des témoins privilégiés de l'histoire de la monarchie, que des œuvres fort remarquables de la joaillerie française au XIXe siècle. Si le XVIIIe siècle fut un âge d'or pour le mobilier français, avec le raffinement des styles Louis XV et Louis XVI, c'est avant tout le XIXe siècle qui se distingue par les plus fascinantes parures.
 

 
Parmi les bijoux pillés, incluant un collier et une paire de boucles d'oreilles en émeraudes et diamants de l'impératrice Marie-Louise, ainsi qu'un diadème en perles et diamants, une broche et un nœud de corsage de l'impératrice Eugénie, de même qu'un diadème, un collier et une boucle d'oreille en saphirs et diamants des reines Hortense et Marie-Amélie, deux merveilles sont à évoquer pour leur histoire et pour leur grande beauté.
La première, la broche "dite reliquaire", est la plus admirable des broches de l'impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III. Si elle remonte à 1855, étant façonnée par le joaillier Paul-Alfred Bapst (1823-1879), son importance est due au fait que deux de ses 94 diamants, des "Mazarins", avaient autrefois appartenu à Louis XIV. Ceux-ci furent légués par le premier ministre du royaume fleurdelisé, le cardinal Jules Mazarin (1602-1661), à son filleul le roi soleil.
La valeur historique de cette broche est telle, que même pendant la déplorable vente des joyaux de la couronne de France, par la Troisième République en mai 1887, elle fut parmi les quelques pièces conservées et fut affectée au musée du Louvre.
La deuxième est le magnifique diadème, constitué d'environ deux mille diamants et de 212 perles, qu'affectionnait beaucoup l'impératrice Eugénie. Celui-ci, réalisé en 1853 par le joaillier Alexandre-Gabriel Lemonnier (1808-1884), fut offert par l'empereur Napoléon III à sa conjointe peu de temps après leur mariage, lequel se déroula le 30 janvier 1853 à la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Faisant partie des bijoux préférés de l'impératrice Eugénie, ce diadème apparaît même dans son célèbre portrait officiel, peint en 1855 par Franz-Xaver Winterhalter (1805-1873). Vendu en1887, il fut acheté, trois ans plus tard, par la riche famille princière allemande de Tour et Taxis (Thurn und Taxis). Ce n'est qu'en 1992 qu'il revint en France, quand le Louvre réussit à l'acquérir.
Outre ces deux splendeurs, parmi les huit pièces volées figure aussi le sublime collier, formé de 1138 diamants et de trente-deux émeraudes, cadeau de Napoléon Ier à son épouse, l'impératrice Marie-Louise, en 1810. Œuvre du joaillier François-Régnault Nitot (1779-1853), il compte parmi les plus beaux colliers du Premier Empire.
Ce qui est navrant, dans ce funeste cambriolage, qui constitue une catastrophe patrimoniale, c'est que parmi les huit bijoux arrachés à leur magistral écrin, la galerie d'Appolon, sept d'entre eux entrèrent dans les collections du Louvre entre les années 1980 et 2000, patiemment rassemblés notamment grâce à la générosité de ses mécènes.
Datée de 1887, cette illustration est l'un des clichés, pris par le photographe français Michel Berthaud (1845-1912) qui immortalisa les joyaux de la couronne de France dans la seconde moitié des années 1880. Elle montre l'éclatant diadème de l'impératrice Eugénie, qui associe l'élégance et la somptuosité. Puisse ce dernier, et les autres joyaux dérobés, regagner le plus prestigieux des musées...
𝐌. 𝐊𝐡𝐚𝐥𝐞𝐝 𝐇𝐢𝐳𝐞𝐦.
Tunis
Master de droit science juridique et politique
 
 

Cambriolage du Louvre : un nouveau scandale d’une France en déliquescence

Le 19 octobre 2025, le Musée du Louvre, joyau du patrimoine français et musée le plus visité au monde, a été le théâtre d’un vol audacieux qui a duré à peine sept minutes. Huit artefacts inestimables des Joyaux de la Couronne française ont été dérobés dans la Galerie d’Apollon, exposant au grand jour des vulnérabilités sécuritaires criantes et transformant cet incident en un scandale d’État potentiellement explosif.

Ce « casse du siècle », comme l’ont qualifié certains médias, n’est pas seulement un échec policier : il symbolise un dysfonctionnement systémique, mêlant négligence gouvernementale, laxisme judiciaire et une minimisation politique qui frise l’indécence.

À travers une analyse critique des faits, des réactions et des théories émergentes, cet article met en lumière comment ce vol, prévisible et mal géré, pourrait marquer un tournant dans la perception de la gestion patrimoniale française.

 


 

Les faits : un vol exécuté avec une facilité déconcertante

Le cambriolage s’est déroulé le dimanche 19 octobre 2025, entre 9h30 et 9h37, peu après l’ouverture du musée. Quatre malfaiteurs, opérant comme un « commando » bien rodé, sont arrivés sur deux scooters et ont utilisé un camion équipé d’une nacelle télescopique stationné sur le Quai François-Mitterrand, le long de la Seine. Ils ont accédé au balcon du premier étage, brisé une fenêtre à l’aide d’une disqueuse, et pénétré dans la Galerie d’Apollon. Une fois à l’intérieur, ils ont menacé les agents de sécurité avec l’outil et fracassé les vitrines pour s’emparer des joyaux. La fuite s’est faite par le même itinéraire, laissant derrière eux des indices accablants : deux disqueuses, un chalumeau, de l’essence, des gants, un talkie-walkie, une couverture, un gilet jaune et même un casque de moto potentiellement porteur d’ADN.

 


 

Les objets volés incluent un collier d’émeraudes et une paire de boucles d’oreilles de l’impératrice Marie-Louise, un diadème et un collier de saphirs (avec 8 saphirs et 631 diamants) des reines Marie-Amélie et Hortense, ainsi qu’une boucle d’oreille assortie. Un neuvième artefact, la couronne de l’impératrice Eugénie (épouse de Napoléon III), a été laissé choir et brisée – un « accident domestique » qui trahit un amateurisme flagrant pour un vol de cette ampleur. Aucune blessure n’a été rapportée, mais la valeur historique et culturelle des pièces, ornées de milliers de diamants, d’émeraudes et de saphirs, est inestimable – estimée à au moins 80 millions d’euros sur le marché noir, sans compter leur symbolisme napoléonien.

 


 

Critique immédiate : Comment un musée comme le Louvre, qui accueille des millions de visiteurs annuellement, peut-il être si vulnérable ? Les vitrines brisables à la disqueuse, les alarmes volumétriques désactivées au moment de l’ouverture, et un balcon accessible sans barrières renforcées évoquent une négligence criminelle. Un rapport de la Cour des Comptes de 2024 dénonçait déjà des « défaillances accablantes » en matière de sécurité, pourtant ignorées malgré un « plan colossal » de 700-800 millions d’euros annoncé par Emmanuel Macron en 2025 pour renforcer les protections. Ce vol n’est pas un coup de maître, mais un exploit rendu possible par un laxisme institutionnel : « Cambriolé plus facilement qu’une maison », ironise-t-on sur les ondes de RMC.

 


 

Réactions politiques : le tweet indécent de Rachida Dati et l’hypocrisie gouvernementale

Le tollé a été immédiat, amplifié par le tweet controversé de Rachida Dati, ministre de la Culture, posté le jour même : « Au @MuseeLouvre ce matin pour saluer l’engagement exemplaire des agents mobilisés suite au vol survenu. Respect pour leur réactivité et leur professionnalisme. Avec le Président de la République @EmmanuelMacron, nous leur transmettons nos remerciements les plus sincères. » Accompagné d’une photo sur place, ce message a provoqué plus de 2.100 réponses virulentes sur X, accusant la ministre de déni et d’ironie déplacée. « Engagement, réactivité, professionnalisme ??? Vous êtes sérieuse ??? Il me semble que tout le monde a failli ! », s’indigne un utilisateur. D’autres ironisent : « On s’auto-congratule quand les cambriolages réussissent mdr. »

 

Cette communication maladroite cristallise les critiques : comment féliciter pour une « réactivité » alors que le vol s’est déroulé sans intervention ? Elle révèle un gouvernement déconnecté, minimisant l’échec pour préserver son image. Jordan Bardella (RN) qualifie l’événement d’ « humiliation », appelant à l’unité tout en pointant du doigt l’État. François Hollande n’exclut pas des « ingérences étrangères » ou une « tentative de déstabilisation », tandis que Le Figaro dénonce : « Les autorités ont failli. » Des appels à la démission de la direction du musée fusent : « La direction du Musée va démissionner ? »

 


 

Approches criminologiques : un vol « prévisible » et des failles systémiques

Une vidéo d’analyse criminologique, diffusée le soir du vol, renforce les doutes en qualifiant l’événement de « scandale d’État ». Les experts, dont le criminologue Xavier Raufer et l’ancien ministre adjoint bulgare Philippe Gunev, soulignent que le vol « nous pendait au nez depuis des années ». Des braquages audacieux près de l’Élysée (comme celui de Kim Kardashian en 2016 ou des sacs de luxe en 2025 rue du Faubourg Saint-Honoré) illustrent un contexte propice au crime : « Les malfaiteurs ne s’arrêtent que quand on les arrête. »

Critique acerbe : Le Louvre est « moins protégé qu’une bijouterie commerciale », comparé au Windsor Castle ou à la Constitution américaine (protégée par bunker). « En France, c’est beaucoup plus facile, on n’entend pas si souvent des choses comme ce qui se passe en France dans d’autres pays. », note Gunev. Les voleurs, amateurs (couronne brisée, Régent non volé), pourraient être des « braqueurs de Rolex » plutôt que des spécialistes. Hypothèse de minimisation : « Sauf si les pouvoirs publics dissimulent l’ampleur du vol. »

Liens politiques : La Brigade de Répression du Banditisme (BRB) serait distraite par l’incarcération de Nicolas Sarkozy. Critique du renseignement : Priorité au « big data » (Palantir) au détriment des informateurs humains. Le ministère de l’Intérieur est fustigé : «On ne peut pas être ministre en temps partiel en étant candidat à ceci et cela. » Appel à des investissements : « Ce sera vraiment un signal fort indiquant que l’on ne peut pas continuer comme ça. »

 


Théories conspirationnistes et implications internationales : la France ridiculisée

Sur X (ex-Twitter), les théories conspirationnistes pullulent : certains évoquent un ‘inside job’ (un coup monté de l’intérieur) ou une commande financée par des multi-milliardaires. D’autres établissent des liens avec le ‘Grand Reset’ (théorie d’un complot mondial pour restructurer l’économie), interprétant le vol comme une liquidation délibérée du patrimoine national. Des ingérences étrangères sont aussi suspectées, impliquant la Russie (au hasard bien sûr…), la Corée du Nord ou Israël via des sociétés de sécurité privées. Enfin, l’ironie ne manque pas, avec des blagues sur les braqueurs fuyant vers Bercy faisant allusion à la dette publique française, comme si le vol symbolisait un pillage budgétaire.
 
 

 

Un appel à la responsabilité ou un symptôme d’un état défaillant ?

Ce cambriolage n’est pas un incident isolé, mais un symptôme d’un État défaillant : ce casse s’ajoute à l’incendie de Notre-Dame de 2019, qui détruit peu à peu des symboles de la grandeur de la France. Versailles sera-t-il la prochaine victime ? Sécurité obsolète, renseignement défaillant, et une couverture politique indigne. On peut y voir une analogie troublante avec l’affaire du collier de la reine Marie-Antoinette en 1785 : ce scandale d’escroquerie autour d’un bijou extravagant, impliquant intrigue et négligence royale, avait discrédité la monarchie et précipité la Révolution française. Aujourd’hui, ce vol de joyaux impériaux pourrait symboliser le déclin de la République, révélant corruption systémique et incompétence au sommet de l’État. Dans cette optique, si les bijoux ne sont pas récupérés rapidement, cela pourrait déclencher une crise majeure, avec des demandes d’enquêtes indépendantes. La France, berceau de la culture, ne peut plus se permettre de tels échecs. Il est temps de passer des félicitations déplacées à une action ferme, sous peine de voir son patrimoine dilapidé et son image internationale ternie pour de bon.

https://multipol360.com/cambriolage-du-louvre-un-nouveau-scandale-dune-france-en-deliquescence/

 

Question de privé !!

Certainement pas pour épater la galerie !!

Vingt-quatre heures après le cambriolage du Louvre, s’inaugurait, à deux pas de là, la nouvelle Fondation Cartier. Le contraste entre les deux édifices en dit long sur la rivalité qui se dessine entre musées et établissements abritant les collections des milliardaires.

 

 


 
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