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novembre 10, 2025

Visions avec Sarah Knafo: Budget 2026 et Présidentielle 2027 ?

"Sarah Knafo, née le 24 avril 1993 issue d'une famille de juifs marocains émigrés en France en 1967, fille d'un ingénieur et d'une mère au foyer, a vite visé les sommets. 

Ses études forment un itinéraire élitiste bien huilé, du genre à empiler les diplômes : licence d'économie à la Sorbonne, master en affaires publiques à Sciences Po, ENA, l'école des futurs commis qui se rêvent en tsars. 

Sa carrière trace un zigzag opportuniste : à peine sortie de l'ENA en 2020, elle se cale magistrate à la Cour des comptes, un strapontin prestigieux. Puis, le virage calculé moins d’un an après : elle abandonne le bureau pour se muer en éminence grise de la campagne d'Éric Zemmour. 

Élue députée européenne pour R! à 31 ans, une planque confortable. Aujourd’hui, à 32 ans, elle se la joue prophétesse du "techno-conservatisme", elle hante CNews et glisse à Zemmour des idées piquées à la Maison Blanche. Éphémère et tape-à-l'œil, cette ascension sent le favoritisme et l'air du temps, taillée pour les buzz. 

 Côté cœurs, le feuilleton vaut son pesant de cacahuètes. À 20 ans, coup de foudre avec Louis Sarkozy, un DJ en herbe, héritier d'un nom qui ouvre toutes les portes de Neuilly aux cercles UMP. Une idylle juvénile intense, qui la catapulte dans les dîners en vue et lui offre un premier aperçu des réseaux sarkozystes : soirées branchées, connexions précieuses, et un flirt qui pue déjà l'ambition mutuelle. Brève mais marquante, cette "amourette" refait surface en mai 2025, quand Louis, lors d'une émission télé le 3 mai, lâche sans filtre : "Nous avons partagé une histoire". Une confidence nostalgique qui fait jaser, ravivant les rumeurs d'un calcul précoce de sa part, et transformant ce passé en anecdote croustillante pour booster son aura de séductrice connectée. Puis, le scandale : en 2021, Paris Match révèle sa romance torride avec Zemmour, son boss de 63 ans, officialisée en 2022 malgré les ragots d'adultère avec sa femme. "Sans elle, pas de campagne", avoue-t-il, mi-amoureux mi-stratège. Aujourd'hui, duo « glamour » de meetings enflammés. 

À 32 ans, Sarah Knafo incarne la girouette de la droite conservatrice : diplômes en toc, lits stratégiques, et une carrière qui file comme une bulle de savon. La République des copains a trouvé sa reine des calculs, cœurs et illusions inclus."

Duval Philippe 


Sarah Knafo de A à Z

Pierre angulaire de la campagne d’Éric Zemmour lors de la dernière présidentielle, Sarah Knafo s’est prise au jeu de l’aventure politique. Aujourd’hui députée européenne, sa grande maîtrise des dossiers et sa très bonne pratique des médias l’ont replacée au centre du jeu. Convaincue de la nécessité d’unir les droites pour l’emporter en 2027, elle s’est livrée comme jamais à la rédaction de Valeurs actuelles. Politique, société, économie, culture, international : c’est un « 100% Sarah Knafo » que nous vous proposons dans ce numéro de notre revue « Grands débats. »  

f.mtr.cool/bqfapzuizs 

 


Budget 2026 : le décryptage choc de Sarah Knafo

Face à un budget français jugé « hors de contrôle » et une avalanche fiscale que dénoncent de nombreux économistes, Sarah Knafo propose un contre-budget audacieux de 80 milliards d’euros d’économies.

Atlantico - Vous avez été la première à proposer un contre-budget, avec 80 milliards d’économies. Quel type de budget préconiseriez-vous ? Quel modèle fiscal serait à même de redonner du souffle aux Français sans mettre en danger le budget ?

Sarah Knafo : Mon modèle est simple : il faut dépenser moins pour taxer moins pour que les Français gagnent plus. Nous avons un déficit très important malgré des recettes fiscales les plus élevées du monde (en % du PIB). En France, nous n’avons donc pas un problème de recettes mais de dépenses. Il faut baisser les dépenses.


 

Nous avons un des coûts du travail les plus élevés d’Europe alors que les revenus des Français sont trop faibles : nous sommes tombés à la 10ème place européenne en termes de revenus ! L’écart entre les deux, ce sont les charges. Notre problème de pouvoir d’achat est donc un problème d’excès de charges. Même solution : pour pouvoir baisser les charges, il faut baisser les dépenses.

J’ai proposé un plan d’urgence de 80 milliards d’euros de baisses de dépenses réalisables dès cette année. Notamment la suppression des aides sociales non contributives aux étrangers (de 15 à 20 milliards d’euros d’économies), la fin de l’aide publique au développement (15 milliards d’économies), la fin du soutien aux énergies renouvelables (8 milliards), la fin de la politique de la ville (8 milliards), la privatisation de l’audiovisuel public (4 milliards), la suppression de 50 000 postes administratifs dans la fonction publique, etc.

J’ai choisi des mesures simples et consensuelles, les plus faciles et rapides à mettre en œuvre. Il faudra aller beaucoup plus loin évidemment mais pour cela il faudra une vraie alternance. Nous le ferons dès 2027, à l’Élysée et à l’Assemblée.


Vous dénoncez une « avalanche fiscale » dont seraient coupables l’essentiel des partis politiques français à l’assemblée nationale. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Dans la séquence budgétaire que nous venons de traverser, nous avons vu la grande masse des partis partir à l’assaut de l’argent avec une rage impressionnante. Cela doit nous alerter. Ce ne sont pas seulement l’entreprise ou l’héritage qui ont été pris pour cibles, mais notre économie tout entière. En réalité, j’observe avec tristesse qu’en matière économique, les partis représentés à l’Assemblée ne se différencient que par les cibles de leurs impôts ou l’ampleur de leurs augmentations, mais le principe même de l’augmentation des impôts fait tristement consensus.

 Plus de quinze impôts viennent d’être adoptés (cf. le tableau ci-dessous). Les députés, tous bords confondus, ont inventé et proposé des impôts par dizaines ! On a assisté à toutes les alliances possibles pour voter ces augmentations d’impôt : LFI et RN pour taxer les grandes entreprises, les superdividendes et les rachats d’action. LFI et les macronistes pour voter l’augmentation de la CSG. Les macronistes et le RN pour taxer les holdings. Les macronistes, le PS et le RN pour le fameux impôt sur la fortune improductive. On dit que l’Assemblée est bloquée mais, ce qui me désole, c’est que lorsqu’il s’agit d’augmenter les impôts, toutes les alliances sont bonnes et ils arrivent à s’entendre. Résultat de cette orgie de taxes, le taux de prélèvements obligatoires augmentera de plus d’un point par rapport à l’an dernier alors que nous sommes déjà le peuple le plus taxé du monde et que l’urgence est de desserrer l’étau.

 

Gérald Darmanin a ironisé sur la politique économique du RN, avec un Jordan Bardella censément libéral dans ses discours, mais qui pratiquerait la « taqiya ». Êtes-vous en accord avec cet avis ?

Le libéralisme « dans les discours », comme vous dites, ça n’existe pas. Le seul libéralisme qui vaille est celui des actes : c’est sur les actes qu’on doit juger les politiques, qu’il s’agisse du RN comme des autres, et les actes ne plaident pas en la faveur des inventeurs de nouvelles taxes. Je ne sonde donc pas leurs cœurs et leurs reins, je ne connais pas leurs intentions, je regarde les faits. Et ce qui ressort des votes, des amendements rédigés, déposés et votés est clair : le RN veut augmenter massivement les impôts des uns (les Français aisés et les grandes entreprises) pour baisser marginalement ceux de certains autres. Ils ne veulent donc pas diminuer les impôts mais les répartir différemment. Je pense au contraire qu’il faut diminuer les impôts pour tout le monde, car tout le monde en paye trop, riches, pauvres, classe moyenne, ménages, entreprises, TOUS ! Et je pense que cet excès d’impôt, à tous les niveaux, étouffe notre économie dans son ensemble.

Quant à Jordan Bardella qui aurait, en son for intérieur, un avis différent de celui de son parti : a-t-il son propre programme économique ? Non, il a le programme du RN. Donc logiquement, on l’a vu défendre les taxes inventées par le RN et les votes du RN à l’Assemblée. C’est une différence objective entre le RN et nous : la souligner, c’est défendre notre économie et permettre aux Français de choisir de la manière la plus lucide possible. J’ai la conviction que l’écrasante majorité des électeurs du RN vote pour le RN malgré son programme économique, et non pour son programme économique. 


Le RN a notamment inventé « l'impôt sur la fortune financière », qui vise à remplacer l'IFI, en taxant la fortune dite improductive. Cet amendement a été porté par le Modem et adopté. Marine Le Pen s'en est félicité. Qu'en pensez-vous ?

C'est encore une catastrophe pour notre économie... L’État taxera donc chaque année la valeur de ce que nos députés considèrent « improductif ». Comme s’ils avaient des leçons de productivité à donner aux Français. Regardons dans le détail :

- Ils estiment que les actions sont improductives, comme l’ont dit le RN et le PS. Or, une action c'est un investissement dans une entreprise. Qu'y a-t-il de plus productif ? L'invention de la société par action fut même l'un des principaux catalyseurs de la prospérité européenne au XVIIè siècle. Quatre siècles plus tard, des politiciens français viennent expliquer au monde que ce système est improductif…

- Ils estiment que les assurances-vie sont improductives. Ces fonds financent les entreprises et les dettes des États, à commencer par la France. En taxant les fonds d'assurance-vie français, nos députés veulent-ils que notre dette, en plus de grossir à vue d’œil, soit toujours plus détenue par des fonds étrangers ?

- Ils estiment que le bitcoin est improductif. Quand de plus en plus de pays font leur possible pour attirer cet or numérique, nos députés font tout pour le faire fuir. Veulent-ils que la France soit le seul pays qui passer à côté de ce trésor ?

- Ils estiment que les œuvres d'art sont improductives. Les collections étrangères, y compris les grands musées étrangers se frottent les mains : ils vont pouvoir acheter à la baisse quelques œuvres de propriétaires français poussés à vendre. Encore du patrimoine qui s'en va.

- Les bijoux de famille, les objets d'art, les bibelots, l'argenterie... ce n'est pas productif ? Peut-être. Mais acquérir ces biens a motivé des générations à travailler dur et à enrichir le pays. Obliger les propriétaires de ces biens de famille à les vendre à des collectionneurs étrangers est-ce bien plus productif ?

- Et puis, surtout, que fera l’État de bien plus productif avec ce qu'il nous prendra ? La bureaucratie, la gabegie, l'assistanat, l'aide publique au développement, les subventions aux associations politisées, l'audiovisuel public, la politique de la ville, les éoliennes… tout cela n'a rien de productif. Et pourtant, l’État est prêt à taxer tout ce qui bouge, tout ce qui travaille, pour continuer à les financer.

Je veux conclure sur un point plus philosophique : taxer le patrimoine, constitué de revenus passés déjà taxés, c’est bel et bien le début du socialisme. Cela signifie que vous ne serez JAMAIS vraiment propriétaire de ce que vous avez. Que l’État pourra toujours exercer une pression financière qui vous forcera à tout vendre. Un tel vote peut paraître anecdotique pour nos députés, mais il est de nature à briser la confiance de ceux qui ont lutté pour posséder quelque chose.


A l’inverse, défendez-vous une politique fondée sur la libre entreprise et le libre commerce ?

Absolument. Depuis des siècles, la France a mené très loin la réflexion sur la liberté politique. Mais la liberté économique est restée un parent pauvre : elle est considérée comme moins essentielle, moins défendable, et même moins belle que sa sœur politique. Eh bien, c’est une grave erreur philosophique. Les classiques du libéralisme nous apprennent que le droit de propriété n’est pas moins important que le droit de vote. Si on vous retire le droit de posséder le fruit de votre travail, on vous retire tout : on fait de vous un esclave. Et le XXème siècle nous l’a amplement démontré : les régimes qui ont nié le droit de propriété ont fait des dizaines de millions de morts. En France, nous n’en sommes pas là, mais chaque nouvelle taxe et chaque nouvel impôt sont des réductions de notre liberté économique et, de réduction en réduction, on aboutit lentement mais sûrement à une destruction de la liberté tout court.

Cela, le peuple suisse ou le peuple américain le comprennent parfaitement. Chez eux, si vous touchez à la liberté économique ou au droit de propriété, vous le payez très cher dans les urnes. Ces peuples ne laissent pas faire, parce qu’ils savent. Le fait que l’État nous prenne la moitié de ce que nous gagnons devrait nous révolter au plus haut point, et nous inciter à demander des comptes à quiconque veut créer un nouvel impôt ou une nouvelle taxe - ou, ce qui revient au même, une nouvelle dépense. Nous devons devenir extrêmement sévères à l’encontre tous de ceux, de gauche, de droite ou du centre, qui alourdissent la charge fiscale. La France peut apprendre à aimer la liberté économique comme un bien aussi précieux que la liberté politique.

C’est ce changement radical de regard, que l’on peut qualifier de révolutionnaire, que je veux provoquer. Concrètement, il faut beaucoup moins de taxes, de contraintes, de normes, de règles. Et ce ne sera pas le far-west pour autant ! Dans les années 70, le code de l’environnement, le code de la ruralité, le code du travail, le code des impôts et le code de la sécurité sociale pesaient plusieurs kilos de moins qu’aujourd’hui et le pays était convenablement administré. Il faut que l’État intervienne beaucoup moins dans l’économie car à chaque fois qu’il le fait avec des aides, des incitations, des surtaxes, des bonus et des malus... c’est toujours un fiasco. Il faut défendre l’économie, celle de ceux qui créent, et qui sont innombrables. L’épicier, la caissière, le cultivateur, l’indépendant, créent chaque jour. Bernard Arnault crée. Je veux une France qui crée parce qu’elle aime s’enrichir. Enfin, que l’on laisse notre peuple créer ! C’est ça, la prospérité, et ça n’est rien d’autre. C’est à notre portée.

Sarah Knafo

https://atlantico.fr/article/decryptage/budget-2026-le-decryptage-choc-de-sarah-knafo 

 

 


« Non à l’usine à taxes, oui à la baisse massive des dépenses » : le contre-budget de Sarah Knafo

Alors que l’examen du budget a commencé à l’Assemblée nationale, l’eurodéputée Reconquête présente un « contre-budget d’urgence » pour faire face à l’avalanche fiscale présentée par le gouvernement.

Sarah Knafo est députée européenne (Reconquête) et membre de la Commission de l’industrie, de la recherche et de l’énergie. Elle a été magistrate à la Cour des comptes.


 

Comment résumer notre situation économique ? Par une avalanche fiscale et une fuite en avant dépensière, que le budget Lecornu aggrave encore. Avec 15 nouvelles taxes, ce budget est une véritable usine à taxes, qui augmente les prélèvements obligatoires de 40 milliards et la dépense de 29 milliards. Je propose un contre-budget, qui diminue les prélèvements obligatoires de 20 milliards et les dépenses de 80 milliards.

Rappelons que la France n’a pas un problème de recettes - elle a le taux de recettes sur PIB le plus élevé au monde (43 %) ! Elle a un problème de dépenses, avec le taux de dépenses publiques le plus élevé au monde (57 %). On aura beau augmenter les impôts, tant que l’on ne baissera pas massivement les dépenses, la dette se creusera inexorablement. Et c’est prévu dans ce budget : une augmentation…

https://www.lefigaro.fr/vox/economie/non-a-l-usine-a-taxes-oui-a-la-baisse-massive-des-depenses-le-contre-budget-de-sarah-knafo-20251021



Monsieur le Ministre, 

Chez nous, les narcotrafiquants opèrent en plein jour. Ils ont pignon sur rue dans nos banlieues. Ils contrôlent des pans entiers de notre territoire. Ils font la loi dans nos prisons... mais vous allez « traquer » ceux qui opèrent sur un autre continent. 

C’est Jean-Noël Barrot à Paris, Jean-Fidel Castro à Bogota ! 

Chez nous, les douaniers manquent de moyens pour contrôler nos propres frontières, mais vous nous prenez 200 millions d’euros de plus pour aller former des douaniers colombiens et ouvrir une école de lutte contre le narcotrafic près de Punta Cana. Les cartels doivent trembler ! 

Vous avez raison : mieux vaut en rire qu'en pleurer.

Sarah Knafo 

 


C’est bien une "bombe" politique. Sarah Knafo a émergé dans le champ politique comme un ovni. Elle a ouvert sa voie en grand, au talent, à l’excellence, à la compétence et au mérite.
" Le talent sans génie est peu de chose. Le génie sans talent n’est rien ” disait Paul Valéry. Le talent, c'est le relief donné à la platitude. Elle n’est donc pas comme les autres. C’est une "bombe".
Son génie politique est personnel. C’est celui qu'elle a reçu, qu’elle perfectionne, qu'elle façonne et qui fera son destin.
 
Certains mettent tout leur génie à faire oublier qu'ils n’ont aucun talent.
Sarah Knafo a les deux. Elle brille. Elle influence. Elle rayonne. Elle détonne. Elle est fulgurante.
Elle a également l’esprit libre, du bon sens, des idées larges et de la hardiesse. 
 
Députée européenne, elle a des ambitions et des solutions pour la France. Elle est chargée de convictions de droite que je ne retrouve pas au Rassemblement national et qui se perdent chez les Républicains.
Elle est solide. Elle est convaincante. Elle est sûre d’elle.
Elle est originale, parce qu'elle maîtrise son talent et son génie politique. Elle sait utiliser ces deux forces dans le combat politique.
Elle a surtout du courage. Celui qui fait tant défaut aujourd'hui dans la classe politique.
Et ça inquiète.
Son talent, c’est donc son courage, son potentiel et son audace. Son génie, c’est son réservoir d’idées et ses capacités à les déployer avec habileté, pertinence et fulgurance. 
 
" Ayez du talent, on vous reconnaîtra peut-être du génie. Ayez du génie, on ne vous reconnaîtra jamais du talent.”
 
SarahKnafo va aller incontestablement très loin. Elle a du talent ET du génie politique.
Je ne cherche pas à l’encenser pour lui réclamer quelque chose. Non. Je n’ai besoin de rien. Et je ne touche aucun dividendes pour mes réflexions.
Je veux juste faire ressortir ses qualités objectives que beaucoup de politiciens n’ont pas.
C’est aux électeurs de choisir leurs représentants. Ce n’est pas au système ni aux journalistes mitants et partisans de les sélectionner pour nous. »"
 
Yann Bizien
 

 

octobre 23, 2025

Cambriolage du Louvre !!

À vrai dire je suis très étonné de ce qui se passe avec ces vols prestigieux notamment dans les musées de l’État.
Au sein par exemple de musées privés voire même de grandes propriétés privées des œuvres d’art de toutes sortes exposées existent ; cependant elles sont pour la plupart des copies, les œuvres originales étant en coffre-fort voire souvent en banque au sein de coffre personnalisé.
Comment se fait-il qu’un musée comme le Louvre par sécurité nonobstant l’économie effectuée , de ne pas mettre d’excellentes œuvres copiées à la vue du public ? 
 
Préparatif de Noël au Louvre
 
D autant qu’au Louvre au sein de ses sous-sol ils ont des structures sécurisées existantes
Cela ferait travailler par ailleurs des spécialistes de l’art des conservateurs déjà existants et rétribués.
Bien entendu il faut une moindre réflexion de nos fonctionnaires, pas aisée !
Par ailleurs qu’ils nous disent pas qu’ils ne soient pas capables de copie. Pour faire bien ils ont bien imité la grande statue de Voltaire à une époque sachant que l’original était au musée de l’Ermitage à St Petersbourg Russie, dit en urss Leningrad.
Aussi pourrions-nous supposer que si l’état aurait prévu des mesures d’assurance, une estimation de remboursement serait ? Perte des joyaux malgré tout, d’une culture… Mais allez savoir s’il n’y a pas magouille entre états ou mandataires privés, in fine rembourser une ubuesque dette 💸 ? 😂
Tout est tellement envisageable dans cette fourberie politique.
 
 
 
Terrifiante notre sécurité au Louvre
Un cambriolage et non un braquage, encore un souci de vocabulaire !
Le musée du Louvre a été braqué ce dimanche matin à l’ouverture, par plusieurs individus qui ont réussi à s’échapper avec des bijoux, a annoncé la ministre de la Culture Rachida Dati. Le site est fermé pour la journée.
Selon les informations du journal Le Parisien, les malfaiteurs ont accédé au bâtiment côté quais de Seine, où se déroulent des travaux, en empruntant un monte-charge qui mène directement à la salle visée.
Après avoir brisé des vitres, deux hommes auraient pénétré à l’intérieur, alors qu’un troisième restait posté dehors. Les voleurs se seraient alors emparés de neuf pièces de la collection de bijoux de Napoléon et de l’impératrice : collier, broche, diadème…
1354 diamants et 56 émeraudes
 

 
𝙈𝙤𝙣 𝙩𝙚𝙭𝙩𝙚 𝙚𝙣 𝙘𝙚 𝙙𝙞𝙢𝙖𝙣𝙘𝙝𝙚, 𝙙𝙚́𝙙𝙞𝙚́ 𝙖𝙪 𝙢𝙪𝙨𝙚́𝙚 𝙙𝙪 𝙇𝙤𝙪𝙫𝙧𝙚 𝙙𝙪𝙧𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙚́𝙥𝙧𝙤𝙪𝙫𝙚́ - 𝐩𝐚𝐫 𝐌. Khaled Hizem :
Pour tout amoureux des arts, dans leur diversité et universalité, le Louvre compte parmi leurs plus grands foyers, étant le musée le plus visité au monde, suscitant une vive admiration pour ses fascinantes collections.
En ce 19 octobre 2025, cet auguste musée vient d'être durement éprouvé, car il fut, ce matin, victime d'un cambriolage spectaculaire et fracassant, qui toucha, malheureusement, l'un de ses précieux ensembles : les joyaux de la couronne de France, qui sont exposés, depuis des lustres, dans la magnifique galerie d'Apollon.
Celle-ci est un espace à la fois majestueux et somptueux par son opulente décoration. Elle fut réalisée sous le règne de Louis XIV, grâce à l'architecte Louis Le Vau (1612-1670) et au peintre Charles Lebrun (1619-1690). Au XIXe siècle, le génial Eugène Delacroix (1798-1868) compléta son remarquable plafond.
Il y a quelques heures, dans ce lieu emblématique, plusieurs bijoux exceptionnels furent dérobés en quelques minutes. Dans la foulée de ce désastre poignant pour tout passionné par le patrimoine de l'Hexagone et de l'humanité, la couronne de l'impératrice Eugénie, réalisée en 1855 et constituée d'or, de diamants et d'émeraudes, fut retrouvée mais hélas abîmée. Cependant, d'autres trésors furent emportés.
Ceux-ci, inestimables, comportent un célèbre diadème, composé de plus de deux mille diamants et perles, ayant aussi appartenu à l'impératrice Eugénie, ainsi que sa plus belle broche (dite "broche reliquaire") et son nœud de corsage. Un diadème, un collier et une boucle d'oreille, en saphirs et diamants, possédés par les reines Marie-Amélie et Hortense, de même qu'un éblouissant collier, garni de trente-deux émeraudes, de l'impératrice Marie-Louise, avec une paire de ses boucles d'oreilles, furent également pillés.
Cette infortune est d'autant plus pénible pour le Louvre que ce dernier rassembla patiemment, pendant de longues décennies, de superbes parures qui remontent, essentiellement, aux règnes des empereurs Napoléon Ier (1804-1814) et Napoléon III (1852-1870), ainsi que, dans une moindre mesure, à la période de la Restauration (1814-1830) et à l'époque du roi Louis-Philippe Ier (1830-1848).
Je rappelle que c'est sous la Troisième République qu'eut lieu, en mai 1887, la vente calamiteuse des joyaux de la couronne de France, qui dispersa, aux quatre vents, la majeure partie. C'est petit à petit que le prestigieux musée parisien réussit à acquérir des éléments importants de cette sublime collection.
Daté entre les années 1890 et 1900, ce photochrome montre la galerie d'Apollon qui fut le théâtre, ce dimanche, de ce triste vol. Puissent la France et son incomparable Louvre avoir le bonheur de récupérer pareilles merveilles, pour les replacer dans ce splendide écrin...
 

J𝐨𝐲𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐇𝐞𝐱𝐚𝐠𝐨𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥'𝐡𝐮𝐦𝐚𝐧𝐢𝐭𝐞́ -
Attaché à une vaste culture humaniste, affectionnant l'histoire et les arts, je ne peux, comme tout passionné de patrimoine, qu'être ému par l'incroyable et consternant vol des joyaux de la couronne de France, qui eut lieu au musée du Louvre avant-hier.
Appartenant au précieux patrimoine de l'Hexagone, ces derniers font tout autant partie de l'héritage culturel de l'humanité. Au sein de la galerie d'Apollon, où sont exposés divers trésors royaux et impériaux, neuf d'entre eux furent dérobés, dont seule la superbe couronne de l'impératrice Eugénie, réalisée en 1855 et composée d'or, de 1354 diamants et de 56 émeraudes, fut heureusement retrouvée bien qu'endommagée.
Les huit encore manquants sont également exceptionnels et inestimables, car ils représentent aussi bien des témoins privilégiés de l'histoire de la monarchie, que des œuvres fort remarquables de la joaillerie française au XIXe siècle. Si le XVIIIe siècle fut un âge d'or pour le mobilier français, avec le raffinement des styles Louis XV et Louis XVI, c'est avant tout le XIXe siècle qui se distingue par les plus fascinantes parures.
 

 
Parmi les bijoux pillés, incluant un collier et une paire de boucles d'oreilles en émeraudes et diamants de l'impératrice Marie-Louise, ainsi qu'un diadème en perles et diamants, une broche et un nœud de corsage de l'impératrice Eugénie, de même qu'un diadème, un collier et une boucle d'oreille en saphirs et diamants des reines Hortense et Marie-Amélie, deux merveilles sont à évoquer pour leur histoire et pour leur grande beauté.
La première, la broche "dite reliquaire", est la plus admirable des broches de l'impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III. Si elle remonte à 1855, étant façonnée par le joaillier Paul-Alfred Bapst (1823-1879), son importance est due au fait que deux de ses 94 diamants, des "Mazarins", avaient autrefois appartenu à Louis XIV. Ceux-ci furent légués par le premier ministre du royaume fleurdelisé, le cardinal Jules Mazarin (1602-1661), à son filleul le roi soleil.
La valeur historique de cette broche est telle, que même pendant la déplorable vente des joyaux de la couronne de France, par la Troisième République en mai 1887, elle fut parmi les quelques pièces conservées et fut affectée au musée du Louvre.
La deuxième est le magnifique diadème, constitué d'environ deux mille diamants et de 212 perles, qu'affectionnait beaucoup l'impératrice Eugénie. Celui-ci, réalisé en 1853 par le joaillier Alexandre-Gabriel Lemonnier (1808-1884), fut offert par l'empereur Napoléon III à sa conjointe peu de temps après leur mariage, lequel se déroula le 30 janvier 1853 à la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Faisant partie des bijoux préférés de l'impératrice Eugénie, ce diadème apparaît même dans son célèbre portrait officiel, peint en 1855 par Franz-Xaver Winterhalter (1805-1873). Vendu en1887, il fut acheté, trois ans plus tard, par la riche famille princière allemande de Tour et Taxis (Thurn und Taxis). Ce n'est qu'en 1992 qu'il revint en France, quand le Louvre réussit à l'acquérir.
Outre ces deux splendeurs, parmi les huit pièces volées figure aussi le sublime collier, formé de 1138 diamants et de trente-deux émeraudes, cadeau de Napoléon Ier à son épouse, l'impératrice Marie-Louise, en 1810. Œuvre du joaillier François-Régnault Nitot (1779-1853), il compte parmi les plus beaux colliers du Premier Empire.
Ce qui est navrant, dans ce funeste cambriolage, qui constitue une catastrophe patrimoniale, c'est que parmi les huit bijoux arrachés à leur magistral écrin, la galerie d'Appolon, sept d'entre eux entrèrent dans les collections du Louvre entre les années 1980 et 2000, patiemment rassemblés notamment grâce à la générosité de ses mécènes.
Datée de 1887, cette illustration est l'un des clichés, pris par le photographe français Michel Berthaud (1845-1912) qui immortalisa les joyaux de la couronne de France dans la seconde moitié des années 1880. Elle montre l'éclatant diadème de l'impératrice Eugénie, qui associe l'élégance et la somptuosité. Puisse ce dernier, et les autres joyaux dérobés, regagner le plus prestigieux des musées...
𝐌. 𝐊𝐡𝐚𝐥𝐞𝐝 𝐇𝐢𝐳𝐞𝐦.
Tunis
Master de droit science juridique et politique
 
 

Cambriolage du Louvre : un nouveau scandale d’une France en déliquescence

Le 19 octobre 2025, le Musée du Louvre, joyau du patrimoine français et musée le plus visité au monde, a été le théâtre d’un vol audacieux qui a duré à peine sept minutes. Huit artefacts inestimables des Joyaux de la Couronne française ont été dérobés dans la Galerie d’Apollon, exposant au grand jour des vulnérabilités sécuritaires criantes et transformant cet incident en un scandale d’État potentiellement explosif.

Ce « casse du siècle », comme l’ont qualifié certains médias, n’est pas seulement un échec policier : il symbolise un dysfonctionnement systémique, mêlant négligence gouvernementale, laxisme judiciaire et une minimisation politique qui frise l’indécence.

À travers une analyse critique des faits, des réactions et des théories émergentes, cet article met en lumière comment ce vol, prévisible et mal géré, pourrait marquer un tournant dans la perception de la gestion patrimoniale française.

 


 

Les faits : un vol exécuté avec une facilité déconcertante

Le cambriolage s’est déroulé le dimanche 19 octobre 2025, entre 9h30 et 9h37, peu après l’ouverture du musée. Quatre malfaiteurs, opérant comme un « commando » bien rodé, sont arrivés sur deux scooters et ont utilisé un camion équipé d’une nacelle télescopique stationné sur le Quai François-Mitterrand, le long de la Seine. Ils ont accédé au balcon du premier étage, brisé une fenêtre à l’aide d’une disqueuse, et pénétré dans la Galerie d’Apollon. Une fois à l’intérieur, ils ont menacé les agents de sécurité avec l’outil et fracassé les vitrines pour s’emparer des joyaux. La fuite s’est faite par le même itinéraire, laissant derrière eux des indices accablants : deux disqueuses, un chalumeau, de l’essence, des gants, un talkie-walkie, une couverture, un gilet jaune et même un casque de moto potentiellement porteur d’ADN.

 


 

Les objets volés incluent un collier d’émeraudes et une paire de boucles d’oreilles de l’impératrice Marie-Louise, un diadème et un collier de saphirs (avec 8 saphirs et 631 diamants) des reines Marie-Amélie et Hortense, ainsi qu’une boucle d’oreille assortie. Un neuvième artefact, la couronne de l’impératrice Eugénie (épouse de Napoléon III), a été laissé choir et brisée – un « accident domestique » qui trahit un amateurisme flagrant pour un vol de cette ampleur. Aucune blessure n’a été rapportée, mais la valeur historique et culturelle des pièces, ornées de milliers de diamants, d’émeraudes et de saphirs, est inestimable – estimée à au moins 80 millions d’euros sur le marché noir, sans compter leur symbolisme napoléonien.

 


 

Critique immédiate : Comment un musée comme le Louvre, qui accueille des millions de visiteurs annuellement, peut-il être si vulnérable ? Les vitrines brisables à la disqueuse, les alarmes volumétriques désactivées au moment de l’ouverture, et un balcon accessible sans barrières renforcées évoquent une négligence criminelle. Un rapport de la Cour des Comptes de 2024 dénonçait déjà des « défaillances accablantes » en matière de sécurité, pourtant ignorées malgré un « plan colossal » de 700-800 millions d’euros annoncé par Emmanuel Macron en 2025 pour renforcer les protections. Ce vol n’est pas un coup de maître, mais un exploit rendu possible par un laxisme institutionnel : « Cambriolé plus facilement qu’une maison », ironise-t-on sur les ondes de RMC.

 


 

Réactions politiques : le tweet indécent de Rachida Dati et l’hypocrisie gouvernementale

Le tollé a été immédiat, amplifié par le tweet controversé de Rachida Dati, ministre de la Culture, posté le jour même : « Au @MuseeLouvre ce matin pour saluer l’engagement exemplaire des agents mobilisés suite au vol survenu. Respect pour leur réactivité et leur professionnalisme. Avec le Président de la République @EmmanuelMacron, nous leur transmettons nos remerciements les plus sincères. » Accompagné d’une photo sur place, ce message a provoqué plus de 2.100 réponses virulentes sur X, accusant la ministre de déni et d’ironie déplacée. « Engagement, réactivité, professionnalisme ??? Vous êtes sérieuse ??? Il me semble que tout le monde a failli ! », s’indigne un utilisateur. D’autres ironisent : « On s’auto-congratule quand les cambriolages réussissent mdr. »

 

Cette communication maladroite cristallise les critiques : comment féliciter pour une « réactivité » alors que le vol s’est déroulé sans intervention ? Elle révèle un gouvernement déconnecté, minimisant l’échec pour préserver son image. Jordan Bardella (RN) qualifie l’événement d’ « humiliation », appelant à l’unité tout en pointant du doigt l’État. François Hollande n’exclut pas des « ingérences étrangères » ou une « tentative de déstabilisation », tandis que Le Figaro dénonce : « Les autorités ont failli. » Des appels à la démission de la direction du musée fusent : « La direction du Musée va démissionner ? »

 


 

Approches criminologiques : un vol « prévisible » et des failles systémiques

Une vidéo d’analyse criminologique, diffusée le soir du vol, renforce les doutes en qualifiant l’événement de « scandale d’État ». Les experts, dont le criminologue Xavier Raufer et l’ancien ministre adjoint bulgare Philippe Gunev, soulignent que le vol « nous pendait au nez depuis des années ». Des braquages audacieux près de l’Élysée (comme celui de Kim Kardashian en 2016 ou des sacs de luxe en 2025 rue du Faubourg Saint-Honoré) illustrent un contexte propice au crime : « Les malfaiteurs ne s’arrêtent que quand on les arrête. »

Critique acerbe : Le Louvre est « moins protégé qu’une bijouterie commerciale », comparé au Windsor Castle ou à la Constitution américaine (protégée par bunker). « En France, c’est beaucoup plus facile, on n’entend pas si souvent des choses comme ce qui se passe en France dans d’autres pays. », note Gunev. Les voleurs, amateurs (couronne brisée, Régent non volé), pourraient être des « braqueurs de Rolex » plutôt que des spécialistes. Hypothèse de minimisation : « Sauf si les pouvoirs publics dissimulent l’ampleur du vol. »

Liens politiques : La Brigade de Répression du Banditisme (BRB) serait distraite par l’incarcération de Nicolas Sarkozy. Critique du renseignement : Priorité au « big data » (Palantir) au détriment des informateurs humains. Le ministère de l’Intérieur est fustigé : «On ne peut pas être ministre en temps partiel en étant candidat à ceci et cela. » Appel à des investissements : « Ce sera vraiment un signal fort indiquant que l’on ne peut pas continuer comme ça. »

 


Théories conspirationnistes et implications internationales : la France ridiculisée

Sur X (ex-Twitter), les théories conspirationnistes pullulent : certains évoquent un ‘inside job’ (un coup monté de l’intérieur) ou une commande financée par des multi-milliardaires. D’autres établissent des liens avec le ‘Grand Reset’ (théorie d’un complot mondial pour restructurer l’économie), interprétant le vol comme une liquidation délibérée du patrimoine national. Des ingérences étrangères sont aussi suspectées, impliquant la Russie (au hasard bien sûr…), la Corée du Nord ou Israël via des sociétés de sécurité privées. Enfin, l’ironie ne manque pas, avec des blagues sur les braqueurs fuyant vers Bercy faisant allusion à la dette publique française, comme si le vol symbolisait un pillage budgétaire.
 
 

 

Un appel à la responsabilité ou un symptôme d’un état défaillant ?

Ce cambriolage n’est pas un incident isolé, mais un symptôme d’un État défaillant : ce casse s’ajoute à l’incendie de Notre-Dame de 2019, qui détruit peu à peu des symboles de la grandeur de la France. Versailles sera-t-il la prochaine victime ? Sécurité obsolète, renseignement défaillant, et une couverture politique indigne. On peut y voir une analogie troublante avec l’affaire du collier de la reine Marie-Antoinette en 1785 : ce scandale d’escroquerie autour d’un bijou extravagant, impliquant intrigue et négligence royale, avait discrédité la monarchie et précipité la Révolution française. Aujourd’hui, ce vol de joyaux impériaux pourrait symboliser le déclin de la République, révélant corruption systémique et incompétence au sommet de l’État. Dans cette optique, si les bijoux ne sont pas récupérés rapidement, cela pourrait déclencher une crise majeure, avec des demandes d’enquêtes indépendantes. La France, berceau de la culture, ne peut plus se permettre de tels échecs. Il est temps de passer des félicitations déplacées à une action ferme, sous peine de voir son patrimoine dilapidé et son image internationale ternie pour de bon.

https://multipol360.com/cambriolage-du-louvre-un-nouveau-scandale-dune-france-en-deliquescence/

 

Question de privé !!

Certainement pas pour épater la galerie !!

Vingt-quatre heures après le cambriolage du Louvre, s’inaugurait, à deux pas de là, la nouvelle Fondation Cartier. Le contraste entre les deux édifices en dit long sur la rivalité qui se dessine entre musées et établissements abritant les collections des milliardaires.

 

 


 
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