octobre 23, 2025
Cambriolage du Louvre !!
octobre 05, 2025
Sénateurs prenez le pouvoir !!
Arnaud Montebourg exhorte les sénateurs à « prendre le pouvoir » face à un gouvernement bloqué
Dans une intervention passionnée lors d’une table ronde au Sénat, l’ancien ministre Arnaud Montebourg a lancé un appel choc aux parlementaires.
Invité à débattre sur la possibilité de relancer le « fabriqué en France », Montebourg a dénoncé un gouvernement inactif et paralysé, les invitant à saisir l’initiative législative.
Cette séquence, capturée dans une vidéo publiée sur la chaîne YouTube « Moment Politique » le 1er octobre 2025, commence à prendre de l’ampleur. Retour sur les propos incisifs de l’ex-ministre de l’Économie, qui pointe du doigt les dysfonctionnements de la commande publique en France.
Un contexte de débat sur le « made in France »
La table ronde, organisée par la délégation aux entreprises du Sénat, réunissait Arnaud Montebourg, Anaïs Voyis (géographe française, spécialiste des questions industrielles) et plusieurs sénateurs. L’objectif ? Explorer si la production industrielle française reste viable dans un contexte de concurrence internationale accrue. Mais rapidement, le débat a dévié vers une critique acerbe du système d’achats publics français. Montebourg, connu pour son engagement en faveur du patriotisme économique, n’a pas mâché ses mots :
« Il n’y a pas de gouvernement, il est bloqué, il fait rien. Bon, vous faites des commissions d’enquête, faites des propositions de loi parce qu’apparemment elles passent quand il y a des majorités. Allez-y, c’est le moment, prenez le pouvoir. Ça dort. Ça fait 10 ans que ça dure. »
Selon lui, la situation perdure depuis une décennie, avec un exécutif incapable d’agir efficacement. Il a profité de cette audition, datant du 15 mai 2025, pour exhorter les sénateurs à passer à l’offensive via des propositions de loi.
Les particularités françaises : un achat public éclaté et sous pression
Montebourg a identifié deux problèmes majeurs dans la commande publique française. D’abord, sa décentralisation extrême : « En France, on a un achat public qui est éclaté, c’est-à-dire décentralisé, très déconcentré. Donc, vous avez une multiplication d’acteurs acheteurs : collectivités locales, sous-préfectures, hôpitaux, établissements publics… » Il chiffre ce morcellement à 120.000 acheteurs en France, contre seulement 3.000 en Allemagne. Cette dispersion rend impossible une coordination nationale, contrairement à l’Allemagne où un ministre peut facilement imposer une « mission patriotique » aux acheteurs.
Ensuite, la pression pénale qui pèse sur ces acteurs : « La commande publique est sous pression pénale. Donc évidemment, tout le monde tremble. » Les acheteurs, craignant des poursuites, se réfugient derrière des règles strictes, même si, selon Montebourg, « le droit européen n’a jamais empêché la commande patriotique » (NDLR : nous ne sommes pas vraiement d’accord avec lui sur ce point, mais il est sûr que le lobbying européen omniprésent à Bruxelles s’en charge efficacement). Il cite en exemple d’autres pays européens qui pratiquent une préférence nationale avec fermeté.
Des propositions concrètes pour réformer le système
Pour remédier à ces faiblesses, l’ancien ministre propose une refonte profonde. Première mesure : réduire drastiquement le nombre d’acheteurs et les former à utiliser les règles en faveur de la production française. Il cite l’UGAP (Union des groupements d’achats publics) comme un modèle partiel, mais critique sa tutelle actuelle sous le ministère du Budget, qui privilégie la baisse des prix au détriment des producteurs nationaux. « Le ministère du Budget, ça veut dire qu’on cherche à baisser les prix. Donc c’est une politique d’achat toujours au moins cher », regrette-t-il, plaidant pour un rattachement au ministère de l’Économie ou de l’Industrie.
Montebourg va plus loin en suggérant la création d’agences régionales d’achats publics :
« Il faut un acheteur par région pour toutes les collectivités locales et qui fait le boulot, une agence technique de commande publique. »
Ces structures centraliseraient les achats, libéreraient du temps pour d’autres agents publics et orienteraient les commandes vers les entreprises françaises. Il évoque des exemples existants, comme en Aquitaine, mais insiste sur la nécessité d’une approche obligatoire et coordonnée, impliquant État, régions, départements et collectivités.
Pour illustrer son propos, Montebourg relate l’affaire des poches de sang de l’entreprise Carelide (dans les Hauts-de-France).
Les hôpitaux de Paris (AP-HP) ont préféré un fournisseur allemand pour un centime d’euro d’écart, menant à la faillite de l’entreprise française.
L’État a dû injecter 20 millions d’euros pour la sauver, alors qu’une simple préférence nationale aurait suffi. « On demandait juste à l’AP-HP d’abandonner son centime compétitif avec les poches allemandes », tonne-t-il, dénonçant l’absence d’autorité sur les acheteurs publics.
Il critique également l’UGAP pour des achats non patriotiques, comme des pulls pour les pompiers ou l’armée tricotés en Chine : « C’est un scandale. »
Un appel à l’action : « Prenez le pouvoir ! »
En conclusion de son intervention, Montebourg réitère son appel aux sénateurs : « Maintenant prenez cette affaire en main. Il y a pas de gouvernement en France mais il y a au moins un parlement. » Il les invite à transformer leurs commissions d’enquête en propositions de loi concrètes, profitant des majorités parlementaires pour agir. « Allez-y, c’est le moment. Prenez le pouvoir. Ça dort. »
Cette intervention résonne comme un cri d’alarme pour un patriotisme économique plus affirmé. Dans un contexte de délocalisations et de dépendance industrielle, les propositions de Montebourg pourraient inspirer de futures réformes. Reste à voir si les sénateurs répondront à cet appel choc.
septembre 12, 2025
Prostitution infantile: "SAUVONS NOS ENFANTS DES PÉDOPHILES" Quelle honte !!
Ce site n'est plus sur FB (blacklisté sans motif),
Prostitution infantile : Maître Amas lance des poursuites judiciaires contre des responsables de l’ASE
En France, l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), censée protéger les mineurs en danger, se révèle souvent être un piège mortel pour des milliers d’enfants.
Placés en foyers ou familles d’accueil par les départements, ces jeunes – souvent des adolescentes de 12 à 16 ans – sont exposés à la prostitution, à la drogue et à l’exploitation sexuelle.
Des proxénètes les guettent devant les portes des centres, via des applications comme Snapchat, profitant d’un manque criant de surveillance et de placements inadaptés. Une commission d’enquête parlementaire de 2025 estime à 15.000 le nombre d’enfants placés sombrant dans la prostitution, un chiffre glaçant qualifié de « national » par les associations et avocats. Ce scandale, qui touche particulièrement l’Île-de-France, les Bouches-du-Rhône et l’Occitanie, met en lumière un système défaillant où l’obligation de protection des mineurs est bafouée.
Au premier plan de cette bataille judiciaire se trouve Maître Michel Amas, avocat au barreau de Marseille, spécialiste en droit de la famille et protection de l’enfance. Représentant des familles et mineurs lésés, il dénonce les « placements abusifs » qui mènent directement à l’exploitation. Dans une publication sur X daté du 12 septembre 2025, il annonce : « Journal M6 du 19/45 – 11 septembre le début des poursuites des responsables. Les assignations partent dès cette semaines. Les enfants se prostituent parce qu’ils ont été placés. Les Présidents sont responsables de leur échec. Ils ont une obligation de résultat pas de moyen. » Le 11 septembre marque un tournant décisif avec le début des poursuites contre les présidents de conseils départementaux, tenus responsables en vertu d’une « obligation de résultat » pour assurer la sécurité des enfants placés. Ces recours, prolongeant ceux intentés en avril-mai 2025 contre des départements comme l’Essonne ou les Yvelines, visent des « fautes graves » : passivité face aux proxénètes, cohabitation forcée avec des agresseurs, et foyers sans surveillance nocturne. Des condamnations ont déjà été prononcées, comme pour un département ayant livré une mineure à ses bourreaux.
Maître Amas, collaborant avec des militants comme Olivier Le Mailloux, estime que jusqu’à 20.000 mineurs pourraient être touchés, et alerte sur un système corrompu où l’ASE, financée à hauteur de 8.000 euros par mois par enfant, priorise les économies sur la vie des plus vulnérables. Récemment, le 7 septembre, il a annoncé une nouvelle action : « Nous saisirons dans quelques jours la justice, pour la fermeture d’un site spécialisé dans la prostitution (NDLR : site supprimé de nos colonnes). Pour la plupart des jeunes filles livrés à la pédophilie, les personnes qui les commercialisent mettent des annonces sur ce site d’escortes. »
L’activisme implacable de Karl Zéro : une voix qui brise l’omerta
Karl Zéro, journaliste d’investigation et fondateur du journal L’Envers des Affaires, est devenu une figure emblématique de la lutte contre ces horreurs. Connu pour ses enquêtes percutantes sur la pédophilie et les dysfonctionnements sociétaux, il a multiplié les interventions médiatiques pour exposer la prostitution infantile au sein de l’ASE. Dans une vidéo choc diffusée il y a cinq jours sur YouTube et Instagram, il lance un appel désespéré : « Sauvons nos enfants des pédophiles ! 25.000 mineurs prostitués ! Derrière ce chiffre glaçant, une réalité insoutenable. Des milliers d’enfants placés sous la protection de l’Aide Sociale à l’Enfance sont livrés aux proxénètes. » Il dépeint les foyers ASE comme « littéralement des viviers à prostituées », où les jeunes sont abandonnés à leur sort, exposés à des réseaux pédocriminels.
Son activisme ne s’arrête pas là. En mai 2025, Karl Zéro a accordé une interview explosive à l’émission Tocsin, révélant des scandales de prostitution et de pédophilie dans les centres ASE, avec des images et témoignages accablants.

Il n’hésite pas à qualifier le système de « pourri » et appelle à « faire péter ce système de l’ASE », soulignant que ces placements abusifs transforment des enfants traumatisés en proies faciles pour les « chiens » des rues.
Ses interventions ont suscité des débats houleux : un éducateur de l’ASE dans le Nord-Est lui a même répondu publiquement, défendant le travail au sol mais admettant des dysfonctionnements profonds. Sur les réseaux, Karl Zéro relaie en continu des cas concrets, comme des mineures de 14 ans prostituées dans des Airbnb gérés par l’ASE, ou des enfants laissés dans des hôtels sans supervision. Son combat, relayé par des comptes comme @Omerta_officiel, vise à briser l’omerta et à pousser à une réforme radicale, en lien avec des associations et militants comme Lyes Louffok, ancien enfant placé. Grâce à lui, le sujet a gagné en visibilité, culminant avec l’émission du Journal M6 (19/45) du 11 septembre, où il a réitéré ses accusations.
Un budget conséquent, des résultats catastrophiques : la distorsion d’un système en gabegie
Malgré ces alertes, les fonds publics coulent à flots sans résultats tangibles. En 2023, les départements ont consacré pas moins de 11 milliards d’euros à la protection de l’enfance, dont 80 % pour des mesures d’accueil (foyers, familles d’accueil). Ce montant, en hausse constante, représente jusqu’à 20 % du budget de certains départements, comme dans le Nord (680 millions d’euros) ou la Seine-Saint-Denis (323 millions). À l’échelle nationale, l’État ajoute 1,5 milliard d’euros pour la protection judiciaire de la jeunesse, portant le total à plus de 12 milliards annuels. Pourtant, cette manne financière se traduit par une catastrophe : 15.000 à 25.000 mineurs placés sombrent dans la prostitution, selon des estimations du Dr Aziz Zaouche et de Karl Zéro. Des études, comme celle de la Seine-Saint-Denis sur 101 dossiers, montrent que la majorité des victimes ont été prises en charge par l’ASE sans protection efficace, menant à des viols, inceste et exploitation.
Cette distorsion est flagrante : un plan national de lutte contre la prostitution des mineurs, lancé en 2021, n’alloue que 14 millions d’euros, une goutte d’eau face aux 11 milliards globaux. Les fonds servent souvent à des placements hôteliers précaires ou à des foyers sous-équipés, favorisant la corruption et les fuites vers les réseaux proxénètes. Des recours judiciaires, comme ceux contre trois départements en mai 2025, accusent explicitement cette gabegie :
« Nous lançons l’alerte pour que tout le monde sache qu’en France, des petits garçons et des petites filles se prostituent parce que l’État les abandonne. »
Dans un pays déficitaire, où chaque euro compte, c’est un scandale absolu.
Un dossier prioritaire : nos enfants avant la guerre
Ce dossier est absolument prioritaire, car il concerne nos enfants – l’avenir de la nation – et révèle une gabegie intolérable des maigres ressources de l’État français, endetté à plus de 110 % du PIB. Comment justifier des milliards dilapidés dans un système qui livre des mineures à la prostitution, alors que des suicides et morts d’enfants placés se multiplient en 2025 ? Les réformes timides, comme le plafonnement des pouponnières à 30 enfants annoncé le 6 septembre, sont bienvenues mais insuffisantes face à l’urgence.
Et pendant ce temps, l’État verse des milliards à l’industrie de la guerre : le budget de la défense pour 2025 avoisine les 50 milliards d’euros, avec des hausses pour l’armement et l’Ukraine, alors que nos enfants se font violer dans les foyers censés les protéger !
Nous ne devons pas tolérer cela. Prioriser les armes sur la chair de nos enfants est une trahison morale et budgétaire. Il est temps de réallouer ces fonds, de réformer l’ASE en profondeur, et de soutenir inconditionnellement des voix comme celles de Maître Amas et Karl Zéro. Nos enfants ne peuvent plus attendre : leur protection doit primer sur tout.
Journal M6 du 19/45 - 11 septembre le début des poursuites des responsables.
Les assignations partent dès cette semaines.
Les enfants se prostituent parce qu'ils ont été placés.
Les Présidents sont responsables de leur échec. Ils ont une obligation de résultat pas de moyen. https://x.com/michel_amas/status/1966371086548787285
septembre 07, 2025
Un monde bipolaire, où se situe la réalité quand bien même vous êtes en pleine guerre de la transparence ( de la désinformation)
Ce site n'est plus sur FB (blacklisté sans motif),


























