Entre Mur des "cons", syndicalisme, et, partialité de 19 juges; un(e) seul(e) en déciderait ?
La condamnation de Nicolas Sarkozy : un coup d’état judiciaire ?
A PROPOS DU MOBILE D'UN DELIT NON EXPLIQUE J'avoue que je n'ai pas le courage de lire en entier les 400 pages du jugement de Madame Nathalie Gavarino et de ses deux collègues, ni d'essayer de comprendre comment, en l'absence de toute preuve tangible, leur "intime conviction" permet d'établir que Sarkozy a eu l'intention (un peu comme dans Minority Report) de commettre un délit de détournement de fonds dont les juges ne parviennent pas à démontrer l'existence ! En revanche, est-ce qu'elle et ses copains expliqueraient, par hasard, la raison pour laquelle Kadhafi, à l'époque très proche de Silvio Berlusconi et plutôt réconcilié avec Jacques Chirac, aurait accepté de renflouer illégalement Sarkozy et ses sbires ? Ministre de l'Intérieur au moment des faits, à la fin 2005, ce dernier n'avait que peu de choses à "vendre" au Raïs de la Tripolitaine, en échange de plusieurs dizaines de millions d'euros.Peut-être faudrait-il ou aurait-il fallu commencer par cela - dans la mesure où c'est curieusement le même Sarkozy qui fut très largement à l'origine de la chute puis de l'exécution du dictateur libyen cinq ans plus tard. La thèse du chantage potentiel ne paraît pas crédible, car précisément la possibilité d'un tel chantage aurait dû contraindre Sarkozy à demeurer jusqu'au bout dans les petits papiers du chef de la Jamahiriya, capable de révéler sa prétendue indignité quand il le voulait. A moins que l'ancien ministre, si vigoureusement atlantiste, de Jacques Chirac, n'ait eu d'autres fi... ? Mon Dieu, je n'ose même pas continuer...Gabriel Nerciat Larvatus
La
condamnation d’un ancien Président de la République à une peine de
prison ferme n’a de précédent que celles de Louis XVI et de Pétain, dans
des circonstances historiques exceptionnelles.
A PROPOS DU MOBILE D'UN DELIT NON EXPLIQUE
J'avoue que je n'ai pas le courage de lire en entier les 400 pages du jugement de Madame Nathalie Gavarino et de ses deux collègues, ni d'essayer de comprendre comment, en l'absence de toute preuve tangible, leur "intime conviction" permet d'établir que Sarkozy a eu l'intention (un peu comme dans Minority Report) de commettre un délit de détournement de fonds dont les juges ne parviennent pas à démontrer l'existence !
En revanche, est-ce qu'elle et ses copains expliqueraient, par hasard, la raison pour laquelle Kadhafi, à l'époque très proche de Silvio Berlusconi et plutôt réconcilié avec Jacques Chirac, aurait accepté de renflouer illégalement Sarkozy et ses sbires ?
Ministre de l'Intérieur au moment des faits, à la fin 2005, ce dernier n'avait que peu de choses à "vendre" au Raïs de la Tripolitaine, en échange de plusieurs dizaines de millions d'euros.
Peut-être faudrait-il ou aurait-il fallu commencer par cela - dans la mesure où c'est curieusement le même Sarkozy qui fut très largement à l'origine de la chute puis de l'exécution du dictateur libyen cinq ans plus tard.
La thèse du chantage potentiel ne paraît pas crédible, car précisément la possibilité d'un tel chantage aurait dû contraindre Sarkozy à demeurer jusqu'au bout dans les petits papiers du chef de la Jamahiriya, capable de révéler sa prétendue indignité quand il le voulait.
A moins que l'ancien ministre, si vigoureusement atlantiste, de Jacques Chirac, n'ait eu d'autres fi... ?
Mon Dieu, je n'ose même pas continuer...
Gabriel Nerciat Larvatus
La
condamnation d’un ancien Président de la République à une peine de
prison ferme n’a de précédent que celles de Louis XVI et de Pétain, dans
des circonstances historiques exceptionnelles.
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