Sa société d'IA, xAI, vient de racheter X (anciennement Twitter) dans une transaction massive de 33 milliards de dollars.
En surface, cela ressemble à une simple restructuration d'entreprise. Mais en réalité, Musk vient peut-être de prendre de vitesse toute l'industrie de l'IA.
Voici pourquoi cela change tout :
1 X est évalué à 33 milliards de dollars
2 xAI vaut désormais 80 milliards de dollars
3 La transaction s'est faite entièrement en actions, excluant les 12 milliards de dollars de dette de X
À première vue, on pourrait croire que Musk y perd... après tout, il avait payé 44 milliards de dollars pour Twitter à l'origine. Mais ici, cela ne concerne pas uniquement les réseaux sociaux.
Il concerne quelque chose de bien plus précieux : les données.
En 2022,les gens étaient perplexes. Pourquoi l'homme le plus riche du monde, connu pour construire des fusées et des voitures électriques, voudrait-il d'une plateforme sociale en difficulté ?
Aujourd'hui, la réponse est claire : Twitter (devenu X) n'a jamais été un simple réseau social, c'était un moteur de données massives en temps réel.
Avec 600 millions d'utilisateurs actifs générant un flux constant de conversations, d'opinions et d'événements en temps réel, X est une mine d'or pour entraîner des modèles d'IA.
Et c'est exactement ce dont xAI a besoin pour rivaliser avec OpenAI, Anthropic et Google.
Le timing n'est donc pas une coïncidence
... La preuve, Il y a seulement quelques mois, xAI avait sécurisé un financement de 6 milliards de dollars avec une valorisation de 24 milliards. Désormais, après cette acquisition, sa valorisation s'envole à 80 milliards (dépassant même la croissance d'OpenAI).
Pourquoi est-ce important ?
La plupart des entreprises d'IA peinent à obtenir des données de qualité et réalistes. Leurs modèles dépendent de jeux de données préexistants et obsolètes qui ne reflètent pas le comportement humain en temps réel.
Mais xAI a désormais quelque chose que ses concurrents n'ont pas: un accès direct et en temps réel aux interactions humaines.
Cela signifie :
1 Des modèles d'IA plus humains
2 Un avantage compétitif dans les applications temps réel
3 La capacité d'entraîner l'IA sur les informations les plus récentes disponibles
Que va-t-il se passer ensuite ?
L'avenir nous le dira...
Une chose est sûre, cette fusion ne se résume pas à un assistant IA intégré à X. Elle pose les bases de quelque chose de bien plus grand.
Musk ne se contente pas de rivaliser avec OpenAI, Google et Anthropic. Il change complètement la donne.
Elon Musk annonce que sa start-up d’IA, xAI, a racheté X
Le milliardaire a annoncé vendredi que son entreprise d’intelligence
artificielle avait acquis le réseau social pour un montant de 33
milliards de dollars.
Elon
Musk a annoncé vendredi que sa start-up d’intelligence artificielle
(IA) générative, xAI, avait acquis X, son réseau social, «dans le cadre
d’une transaction entièrement en actions», qui valorise la plateforme à
33 milliards de dollars hors dette.
«Les
avenirs de xAI et de X sont intimement liés», a-t-il assuré dans un
message sur X. Le patron de Tesla et SpaceX avait racheté Twitter fin
2022 pour 44 milliards de dollars et s’est servi du réseau social
notamment pour faire campagne pour Donald Trump.
Selon
le milliardaire, combiner les données, les modèles d’IA, les capacités
informatiques et les ressources humaines des deux entreprises va
permettre à la nouvelle entité de proposer des «services plus
intelligents et plus rentables».
Il
estime qu’associer «les capacités et l’expertise de xAI en matière d’IA
avancée à la portée massive de X» va «libérer l’immense potentiel» de
la société. Plus de 600 millions d’utilisateurs se servent de X, a-t-il
affirmé, sans donner de fréquence.
xAI valorisé à 80 milliards de dollars
L’opération
«valorise xAI à 80 milliards de dollars et X à 33 milliards de dollars
(45 milliards moins 12 milliards de dollars de dettes)», a-t-il encore
indiqué.
L’entrepreneur a fondé xAI en 2023,
en réaction au succès de ChatGPT, le pionnier de l’IA générative lancé
fin 2022 par OpenAI, une start-up qu’il avait contribué à fonder avant
de couper les ponts avec les autres fondateurs.
xAI a mis au point son propre chatbot, Grok,
qui a l’avantage d’être alimenté par l’ensemble des conversations sur
X. Il est censé donner des réponses moins «woke» et faire plus d’humour.
L’homme
le plus riche au monde a conclu son message sur X en affirmant que la
fusion de ses deux entreprises va permettre de «construire une
plateforme qui ne se contente pas de refléter le monde, mais qui
accélère activement le progrès humain».
Tesla a officiellement déposé une proposition d'investissement dans xAI 👀
Les actionnaires sont invités à voter « OUI » en invoquant les synergies dans les domaines de l'IA, de la robotique et de l'énergie, Grok étant déjà intégré dans les véhicules Tesla.
"Ok mais quelques sujets à traiter
Régulation (rgpd)
Qualité des données... Confiance (quid de la perception des utilisateurs)
Cout/renta (si les couts explosent (opé/infra/modé./régul) -> quid de la renta (revenu pub ?)
Technique (pas trivial)
Mais ça reste un coup de génie..."RZDZ
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Le lâche assassinat de Charlie Kirk : quand les ennemis de la liberté d’expression tuent le messager
Le 10 septembre 2025, l’Amérique a perdu l’une de ses voix les plus
audacieuses et influentes du mouvement conservateur. Charlie Kirk,
fondateur de Turning Point USA et
fervent défenseur des valeurs traditionnelles, a été assassiné d’une
balle au cou lors d’un rassemblement à l’Université Utah Valley, dans
l’Utah. Cet acte odieux, capturé en vidéo et diffusé en direct, n’est
pas seulement un meurtre : c’est l’incarnation de la lâcheté des
ennemis de la liberté de pensée. Lorsque l’on ne peut tuer le
message – ces idées conservatrices qui challengent la pensée unique
imposée par les élites progressistes –, on tue le messager.
Charlie
Kirk, à seulement 31 ans, est devenu un martyr pour la vérité, victime
d’une violence politique qui révèle la faiblesse intellectuelle de ceux
qui refusent le débat.
Un parcours météorique : de l’adolescent engagé au porte-voix de la jeunesse conservatrice
Né
le 14 octobre 1993 à Arlington Heights, dans l’Illinois, Charlie Kirk
grandit dans une famille de classe moyenne, avec une mère travaillant
dans la santé mentale et un père architecte. Dès son adolescence à
Prospect Heights, il démontre un leadership précoce en atteignant le
rang d’Eagle Scout et en s’impliquant dans la campagne sénatoriale du
républicain Mark Kirk (sans lien de parenté). Après un bref passage à
Harper College près de Chicago, il abandonne les études formelles pour
se consacrer pleinement à l’activisme politique, une décision qui marque
le début de son ascension fulgurante.
À 18 ans, en 2012, Charlie Kirk fonde Turning Point USA (TPUSA), une organisation étudiante conservatrice, après une rencontre décisive avec Bill Montgomery, un vétéran du Tea Party. Soutenue par des donateurs influents, TPUSA
s’étend rapidement sur les campus américains, organisant des tables
rondes, des campagnes de communication virales et des outils de veille
idéologique pour contrer la domination progressiste dans les universités. En
2019, Kirk élargit son empire avec Turning Point Action, axé sur les
activités électorales, et Turning Point Faith, ciblant les communautés
chrétiennes pour lier engagement civique et convictions religieuses.
Son approche : mobiliser les sympathisants conservateurs en occupant
l’espace idéologique et en favorisant une cohérence narrative.
Charlie
Kirk se distingue par ses tournées sur les campus, notamment ses défis
« prove me wrong » (Prouve-moi que j’ai tort) où il invite les opposants
à débattre avec lui publiquement.
Confiant orateur,
il transforme ces confrontations en spectacles médiatisés, attirant des
milliers de spectateurs et renforçant son image de polémiste intrépide.
Ses prises de position sur l’avortement, les politiques identitaires, le
« wokisme » et les excès universitaires le rendent controversé, mais il
répond invariablement : « Mieux un débat dur que le silence. » Son podcast quotidien, The Charlie Kirk Show, et ses
interventions en direct attirent des millions de vues, faisant de lui
un « entrepreneur d’opinions » qui donne à la jeunesse conservatrice un
langage, des codes et un style d’engagement propre.
Proche allié de Donald Trump et de sa famille, Kirk devient une
figure régulière à la Maison Blanche, participant aux campagnes et à la
mobilisation de la base trumpiste. Cette alliance souligne son rôle
central dans un réseau conservateur reliant financiers, médias,
activistes et élus. Marié en 2021 à Erika Frantzve, ancienne Miss
Arizona USA, entrepreneuse et podcasteuse, il est père de deux enfants :
une fille née en 2022 et un fils en 2024. Chrétien assumé, il lie sa
foi à ses actions publiques, se montrant loyal et attentif envers son
entourage, des traits souvent masqués par son image publique combative.
L’acte lâche : un assassinat qui révèle la faiblesse des adversaires
Le
10 septembre 2025, lors d’un dialogue public sous une tente à
l’Université Utah Valley, Kirk répondait à des questions d’étudiants
quand un tireur non identifié l’atteint à la gorge en plein jour. Évacué d’urgence, il succombe à ses blessures à l’hôpital quelques heures plus tard, devant des milliers de témoins paniqués.
L’attaque,
qualifiée d’assassinat politique par les autorités, fait l’objet d’une
enquête fédérale impliquant le FBI et son directeur Kash Patel.
Le suspect reste en fuite, mais l’événement est traité comme un acte de terrorisme intérieur, survenant à la veille du 24e anniversaire des attentats du 11 septembre – un symbole poignant d’une attaque contre les valeurs américaines.
Cet
assassinat n’est pas un hasard : il illustre la lâcheté profonde des
ennemis de la liberté de pensée. Kirk, en défendant des positions
conservatrices sur l’immigration, les idéologies woke et le soutien à
Trump, challengait la pensée unique – cette uniformité idéologique
imposée par les progressistes radicaux qui dominent les médias et les
campus. Incapables de réfuter ses arguments par le débat intellectuel, ses adversaires ont recours à la violence ultime. Comme l’a dit un commentateur : « Lorsque l’on ne peut tuer le message, on tue le messager. » Cet acte lâche non seulement échoue à étouffer les idées de Kirk, mais les amplifie, transformant sa mort en un cri de ralliement pour la liberté d’expression.
Réactions et polémiques : une Amérique divisée
Les
hommages affluent de toutes parts. Donald Trump, depuis le Bureau
ovale, qualifie Kirk de « martyr pour la vérité et la liberté »,
accusant la rhétorique de la gauche radicale d’encourager la violence
politique et soulignant sa foi profonde. Des conservateurs comme Ben Leo de GB News
le décrivent comme une victime d’un « assassinat politique » dû à ses
idées, tandis que Matin Samimiat, un Iranien-Américain, voit en sa mort une attaque contre la liberté d’expression. Beaucoup le salue comme un « patriote chrétien », avertissant que cela renforcera la détermination conservatrice.
Elon
Musk a réagit à la mort de Charlie Kirk :
« S’ils ne nous laissent pas
en paix, alors notre choix est de combattre ou de mourir. »
Pourtant,
des divisions émergent : certains progressistes ou islamistes célèbrent
sur les réseaux, alimentant les accusations de polarisation. Un
analyste de CNN parle d’une « tragédie nationale dans une Amérique
polarisée ». Trump ordonne les drapeaux en berne jusqu’au 14 septembre, un geste soulignant l’importance politique de Kirk.
Un héritage indélébile : la flamme de la résistance conservatrice
Malgré
sa mort prématurée, l’héritage de Charlie Kirk perdure à travers TPUSA,
ses réseaux sur les campus et dans les communautés religieuses, et son
modèle de dialogue civil mais confrontant. Il a changé l’échelle et
le style du conservatisme étudiant américain, inspirant des milliers de
jeunes à lire, débattre et s’organiser contre l’orthodoxie progressiste.
Cet assassinat lâche, loin d’éteindre sa voix, l’immortalise comme un symbole de résistance.
Dans une ère de polarisation, Kirk nous rappelle que la vraie force réside dans les idées, pas dans la violence. Les ennemis de la liberté ont échoué : le message survit, plus fort que jamais.
Le président Donald Trump annonce que Charlie Kirk recevra, à titre posthume, la plus haute distinction, la médaille présidentielle de la liberté.
Assassinat de Charlie Kirk : le FBI a retrouvé l’arme du crime et diffuse des photos du suspect
La police de l’Utah a affirmé disposer « de bonnes images » du suspect
et avoir pu reconstituer ses mouvements, de son arrivée sur le campus à
sa fuite après le tir contre l’influenceur conservateur.
AFP
Assassinat de Charlie Kirk : les images du suspect prenant la fuite dévoilées par la police américaine
Les images provenant d’une caméra de
vidéosurveillance montrent l’individu courir sur un toit avant de se
percher à la façade du bâtiment pour descendre sur un parking.
Après plus de 24 heures de traque infructueuse,
la police américaine a présenté aux médias, jeudi 11 septembre, des
images du suspect prenant la fuite après la fusillade qui a tué l’influenceur conservateur Charlie Kirk. «Ce sont les preuves vidéo que nous avons utilisées pour suivre ses mouvements et localiser l’arme à feu dans cette zone boisée»,
indique le commissaire à la sécurité publique de l’Utah, Beau Mason,
alors que la police a déjà annoncé avoir retrouvé l’arme du crime dans
des bosquets.
Les images provenant d’une caméra de vidéosurveillance montrent
l’individu courir sur un toit avant de se percher à la façade du
bâtiment et de sauter. «Ici, vous voyez que le suspect a couru
derrière le bâtiment supérieur. Il va ressortir à droite, se déplacer
vers l’angle tout à droite. Là, il va descendre du rebord et sauter au
sol. Après avoir traversé la rue, il se dirige vers la zone boisée», rapporte le policier, images à l’appui.
«Nous demandons au public de nous aider»
Si le suspect a réussi à échapper aux forces de l’ordre, il a accidentellement laissé «des empreintes de paume et des traces» dans
sa fuite, indique le commissaire, qui appelle la population américaine à
les aider à retrouver le meurtrier. À cette fin, la police dresse un
portrait du fugitif : «Il y a une empreinte de chaussure qui nous permet d’identifier clairement que le suspect portait des baskets Converse (...)Il est important de noter son t-shirt noir, son pantalon noir et ce qui semble être du blanc sur ses semelles».
Le gouverneur républicain de l’Utah Spencer Cox a affirmé que la population a déjà fourni 7.000 «pistes et indices» aux enquêteurs. «Nous ne pouvons pas faire notre travail sans l’aide de la population»,
a-t-il plaidé. La police a annoncé une récompense pouvant aller jusqu’à
100.000 dollars pour toute information en lien avec l’enquête. Si
l’identité et les motivations du meurtrier sont toujours inconnues, le
FBI, la police fédérale, a évoqué un acte «ciblé».
Charlie Kirk a été tué mercredi d’une balle
dans le cou alors qu’il participait à un débat public dans une
université de l’Utah, dans l’ouest des États-Unis. Porte-drapeau de la
jeunesse trumpiste, il est désormais vu comme un «martyr» par
la droite américaine. Le président républicain a d’ailleurs annoncé
qu’il remettrait à la victime de 31 ans la médaille présidentielle de la
Liberté à titre posthume.
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George Soros, milliardaire hongro-américain, a bâti un empire philanthropique via les Open Society Foundations (OSF), https://www.opensocietyfoundations.org/ présenté comme un défenseur de la « société ouverte » inspirée du philosophe Karl Popper. Cette vision philosophique, centrée sur la fallibilité humaine et la réflexivité, sert de cadre à des interventions globales promouvant l’ouverture des frontières, les droits humains et la démocratie. Pourtant, derrière cette façade humaniste se cache une stratégie visant à éroder les valeurs ancestrales du monde entier – familiales, spirituelles, communautaires – au profit d’un ordre matérialiste, robotisé et impersonnel où dominent les logiques marchandes et la surveillance technocratique.
Les OSF, fondées en 1979, ont dépensé plus de 23 milliards de dollars en trois décennies, avec un budget annuel avoisinant 1,7 milliard en 2023, finançant des milliers d’organisations dans plus de 100 pays. Soros, influencé par Popper, voit dans les sociétés fermées des ennemis du libéralisme, réduisant l’histoire occidentale à une généalogie totalitaire de Platon à Marx, ignorant les traditions réalistes comme l’augustinisme ou le thomisme. Sa théorie de la réflexivité – où les actions influencent la réalité perçue – s’applique non seulement à la finance, où il a spéculé sur des crises comme celle de la Banque d’Angleterre en 1992, mais aussi à la politique, transformant les sociétés en systèmes cybernétiques manipulables.
La façade humaniste : ingénierie sociale et déconstruction globale
Les OSF se présentent comme promoteurs de justice raciale, d’éducation et de réformes judiciaires, soutenant des mouvements comme Black Lives Matter avec des dizaines de millions de dollars. En réalité, ces financements alimentent une ingénierie sociale inspirée de Gregory Bateson et de la cybernétique, utilisant la « schismogenèse » pour fracturer les sociétés sur des lignes ethniques, culturelles ou identitaires.
Soros, élève de Popper, distingue une ingénierie utopiste menant au totalitarisme, mais son projet d’ouverture forcée impose un impératif catégorique : toute fermeture est réactionnaire, fasciste.
En Europe, via des think tanks comme l’European Council on Foreign Relations (ECFR), https://ecfr.eu/ fondé en 2007 avec des fonds OSF représentant un tiers de son budget (plus de 2 millions d’euros en 2017), Soros influence les politiques étrangères. L’ECFR, regroupant des figures comme Nathalie Loiseau ou Ursula von der Leyen, pousse pour une intégration européenne alignée sur le globalisme, favorisant l’immigration massive et la déconstruction des souverainetés nationales. Des analystes brésiliens comme William Gonçalves dénoncent cette interférence comme une menace à la démocratie, contrastant avec des visions trumpiennes du globalisme comme ennemi.
Suppression des valeurs ancestrales : du local au global
Le réseau Soros cible les valeurs ancestrales au-delà de l’Occident. En Afrique, des financements soutiennent des flux migratoires qui déstabilisent les structures tribales et familiales, favorisant un nomadisme matérialiste. En Asie, des nations comme l’Inde ou le Kazakhstan rejettent ses interventions pour atteinte à l’intérêt national. Les révolutions colorées – en Géorgie, Ukraine ou Kirghizistan – maquillent des coups d’État en soulèvements populaires, financés par OSF pour « ouvrir » des marchés et imposer le libéralisme. Soros admet son rôle en Ukraine en 2014, utilisant même des dynamiques antisémites structurelles pour des fins antirusses.
Cette déconstruction favorise un monde robotisé : algorithmes de surveillance, consommation effrénée, réification de l’humain en objet connecté. Promotion d’idéologies woke, LGBTQ et climatiques via USAID, érodant les repères spirituels et communautaires. En Hongrie, Viktor Orbán a expulsé les OSF en 2018 pour avoir miné l’identité chrétienne ; en Russie, elles sont « indésirables » depuis 2015. Des philosophes comme Alexandre Douguine voient dans l’immigration massive un pilier sorosien du libéralisme, impossible à contrer sans vaincre l’idéologie.
Le cheval de Troie des mondialistes : financements occultes et totalitarisme déguisé
Soros incarne un « philanthropocapitalisme » globaliste, court-circuitant les processus démocratiques via des think tanks (groupes de réflexion) et ONG. L’ECFR, modelé sur le Council on Foreign Relations américain, https://www.cfr.org/ oriente l’Europe vers un extrême-centre, finançant des plans migratoires comme celui de Merkel en 2015, calqué sur des propositions sorosiennes. Des liens avec USAID https://multipol360.com/lusaid-a-finance-une-plateforme.../ transforment l’aide en outil d’influence, finançant des procureurs aux États-Unis qui refusent de punir les crimes, contribuant au chaos urbain.
Elon Musk a accusé George Soros de « haïr l’humanité » https://edition.cnn.com/.../business/elon-musk-george-soros et de vouloir éroder la civilisation par le biais de ses fondations. Soros a admis avoir nourri des « fantasmes messianiques » dès l’enfance, qu’il a pu réaliser grâce à sa fortune, révélant ainsi une hubris mégalomane. Cependant, son empire philanthropique se contracte https://www.alliancemagazine.org/.../the-osf-cuts-show.../ : passant d’une présence dans plus de 100 pays à une structure réduite avec des fermetures d’offices régionaux, des effectifs ramenés à moins de 600 employés et une restructuration impliquant des coupes budgétaires significatives.
Vers un réveil des peuples : résistance aux forces matérialistes
Le paradoxe sorosien est flagrant : promouvoir l’ouverture mène à un totalitarisme technocratique, avec frontières internes, surveillance et concurrence fracturée pour un contrôle supranational. Des leaders comme Trump appellent à des enquêtes RICO https://www.lefigaro.fr/.../donald-trump-menace-de... contre Soros pour organisation de manifestations violentes. En Birmanie, Russie ou Chine, ses fondations sont chassées ; aux États-Unis, des réseaux comme ceux de Musk contrebalancent son influence.
Pour contrer ce cheval de Troie, réguler les financements étrangers des ONG et revitaliser les identités culturelles est impératif. Les valeurs ancestrales – famille, spiritualité, communauté – sont le rempart contre un monde impersonnel où l’humain est réduit à un consommateur sous algorithmes. Le réseau Soros, malgré sa façade, menace la civilisation ; son exposition annonce un réveil global des peuples.
"Trump s’attaque à Soros… et la secousse arrive jusqu’à Paris !
Donald Trump a ouvertement réclamé l’inculpation de George Soros et de son fils Alexander sous le RICO Act pour leur rôle dans le financement et l’orchestration des mouvements violents aux États-Unis.
Et là où ça devient explosif : Alexander Soros est un soutien affiché d’Emmanuel Macron. Ce n’est pas une rumeur, c’est documenté : le fils Soros a ses entrées à l’Élysée et se vante de ses relais en Europe.
Encore plus révélateur : Nathalie Loiseau, eurodéputée macroniste, est membre active du réseau “Soros Europe”. Autrement dit, les petites mains françaises de Macron participent à la même toile mondialiste qui agit dans l’ombre à Washington, Bruxelles et Paris.
Quand Trump dit « nous surveillons Soros et son groupe de psychopathes », cela veut dire que les ramifications européennes ne seront pas épargnées.
Macron le sait : si Soros tombe, tout son réseau d’influence s’effondre avec lui.
C’est donc la panique à l’Élysée.
Retenez bien ceci : Soros, c’est l’idéologie mondialiste, l’immigration incontrôlée, la déconstruction des nations, la guerre permanente.
Si Trump fait tomber Soros, c’est tout le château de cartes mondialiste qui s’écroule — y compris en France.
Ça pourrait bien saigner si ils n'arrivent pas à assassiner Trump !
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Les « twitter files France » : révélations sur la censure orchestrée par le gouvernement Macron
Les « Twitter Files France », publiés récemment par le
journaliste indépendant Michael Shellenberger en collaboration avec les
chercheurs français Pascal Clerotte et l’italien Thomas Fazi,
constituent une bombe médiatique qui expose les mécanismes de censure
mis en place par le gouvernement français sous Emmanuel Macron.
Basés sur des documents internes de
l’ancienne plateforme Twitter (désormais X), ces révélations mettent en
lumière une alliance entre l’État français, des ONG financées
publiquement, des médias subventionnés et l’Union européenne pour
réprimer les discours dissidents.
Alors que la France se présente comme le berceau des droits de
l’homme, ces fichiers démontrent comment elle est devenue l’architecte
d’un «( complexe industriel de censure )» qui étouffe de plus en plus les opinions critiques, au mépris de la liberté d’expression.
Cet article met en lumière la dérive autoritaire du gouvernement
Macron, qui utilise des prétextes comme la lutte contre la « haine en
ligne » pour museler l’opposition.
Les origines des révélations : une bombe lancée par Elon Musk
Les « Twitter Files France » font suite aux précédentes fuites
mondiales initiées par Elon Musk après son rachat de Twitter en 2022.
Centrés sur la France, ces 57 pages de( rapport, )publiés le 3 septembre 2025 sur le compte X de Shellenberger, révèlent des échanges internes prouvant une pression systématique du gouvernement Macron sur la plateforme. Macron a personnellement tenté de contacter Jack Dorsey, alors PDG de Twitter en 2020, pour influencer les politiques de modération.
Un email interne daté du 14 octobre 2020 cite : « L’équipe
du président Macron m’a encore demandé le numéro de Jack parce que le
président Macron veut lui envoyer par SMS quelques mots de soutien
concernant nos nouvelles politiques sur l’intégrité des élections. »
Dorsey a refusé, mais cette insistance coïncide avec des
poursuites judiciaires lancées par quatre associations françaises (SOS
Racisme, SOS Homophobie, UEJF et J’accuse), financées par l’État et l’UE, contre Twitter pour non-suppression de contenus « haineux ».
Idriss Aberkane, Amélie Ismaili et Pascal Clerotte, approfondissent ces faits dans( une émission )intitulée « Révélations explosives : un journaliste d’investigation américain balance les French Twitter Files« . Pascal Clerotte, co-auteur du rapport, explique que ces actions étaient coordonnées pour façonner l’opinion publique et influencer la législation, comme la( loi Avia (précurseur du DSA européen).)
Ces révélations interviennent alors que l’administration Trump conteste le DSA, vu comme une atteinte au Premier Amendement américain,
allant jusqu’à convoquer Thierry Breton, ancien commissaire européen, à
témoigner devant le Congrès américain lors d’une audition intitulée « La menace de l’Europe sur la liberté d’expression et l’innovation en Amérique ». Par grand courage, Thierry Breton( a refusé ) de
soutenir publiquement devant le comité ses directives, déclinant
l’invitation dans une lettre où il invoque l’incapacité à participer et
renvoie la responsabilité à la Commission européenne, tout en appelant à
une résistance européenne dans une tribune publiée.
Des recherches complémentaires via des sources comme le site( Public (où
Shellenberger publie)) confirment que des contenus légaux, comme des
critiques sur les voitures électriques ou l’immigration, ont été ciblés
pour censure, impactant même des utilisateurs américains.
La France, inventrice du « complexe industriel de censure »
Le rapport trace les racines de cette censure à la( loi Pleven )de 1972, qui a permis à des associations de se constituer partie civile comme « procureurs privés » contre les discours « racistes ».
Comme le souligne Pascal Clerotte, cela a
créé une « arme puissante » pour des ONG idéologiques, financées par
l’État, de poursuivre les dissidents.
Depuis, le champ s’est élargi : orientation sexuelle, complotisme,
désinformation électorale. Sous Emmanuel Macron, cela s’est accéléré
avec la création de( Viginum (agence contre les ingérences étrangères en 2021) )et le Fonds Marianne.
En 2023, ce fonds est à l’origine d’une( affaire politico-financière. )Il est l’objet d’une information judiciaire notamment pour « détournement de fonds » et « abus de confiance
» du parquet national financier. Les conclusions d’une enquête de
l’inspection générale de l’administration, et d’une enquête sénatoriale
sont très sévères : elles établissent que « le manque de rigueur,
l’opacité et la désinvolture ont conduit au fiasco », et insistent sur
le rôle personnel joué par Marlène Schiappa dans les décisions
d’attribution des subventions. Ces fonds (2,02 millions d’euros) ont été
utilisé pour financer des associations comme Conspiracy Watch, qui
modèrent des contenus politiques sur les plateformes.
Le gouvernement Macron instrumentalise ces outils pour cibler les
opposants à la doxa du gouvernement (pression, notamment, pendant la
pandémie du COVID-19 pour censurer les critiques des confinements ou les
passeports sanitaires). En 2022, le procureur de Versailles( a poursuivi )le PDG de Twitter France pour ne pas avoir supprimé assez vite des critiques contre un préfet appliquant les QR codes. Cela
illustre une dérive où la « haine en ligne » – jamais définie
précisément – devient un prétexte arbitraire pour réprimer les voix
dissidentes, comme celles des Gilets jaunes ou des souverainistes.
La France a multiplié les demandes de suppression de contenus sur X
depuis 2022, passant d’environ 1.500 en 2021 à plus de 5.000 en 2024,
souvent pour des opinions politiques légitimes.
L’alliance avec l’UE et les ONG : une machine à museler les dissidents
Le DSA (Digital Services Act), voté en 2022 sans opposition des eurodéputés français,
étend cette censure à l’échelle européenne. Les entretiens dénoncent
des « tiers de confiance » – des associations comme celles impliquées
dans les poursuites contre Twitter – chargées de signaler les contenus
« dangereux ».( Pavel Durov, )fondateur de Telegram assigné à résidence en France, (a réagi )sur X : « C’est fou, les fichiers Twitter France révèlent les tentatives de Macron d’étouffer la liberté d’expression depuis des années. » Des recherches sur le
site de l’UE confirment que ces ONG reçoivent des fonds européens,
créant un cercle vicieux où l’État finance ses propres censeurs.
Sous Macron, la France censure non seulement en interne, mais exporte
ce modèle. Cet emballement serait lié au Brexit (2016) et à l’élection
de Donald Trump, moments où les élites se seraient affolées face aux
réseaux sociaux favorisant les populismes. Viginum a même influencé
l’annulation d’un tour (d’élection en Roumanie )en 2024. Cela viole l’article 10 de la( Convention européenne des droits de l’homme, )protégeant la liberté d’expression.
Le gouvernement français, en
pourchassant X et Musk (enquête ouverte en juillet 2025 pour « ingérence
étrangère »), montre son mépris pour les dissidents, préférant protéger
un establishment en déliquescence.
Une dérive autoritaire qui menace la démocratie
Les « Twitter Files France » prouvent
que le gouvernement Macron a transformé la France en laboratoire de
censure, utilisant lois, ONG et pressions judiciaires pour étouffer les
opinions dissidentes.
Sous prétexte de lutter contre la haine ou la désinformation, il
cible les critiques du pouvoir, des souverainistes aux conservateurs.
Cela accélère une dérive autoritaire : fin de l’anonymat en ligne,
surveillance proactive, ingérence dans les élections. Pour restaurer la
liberté d’expression, il faut abolir ces lois liberticides et sortir de
l’UE. Sans cela, la France risque de devenir une démocratie de façade,
où seul le discours officiel a droit de cité.
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Sommaire:
- 1 - Musk révèle les conclusions du DOGE : les 4 enseignements de son apparition dans le bureau ovale
"Le travail que nous effectuons avec le département du Trésor est tellement basique que vous ne pouvez pas croire que ça n'existe pas déjà", a déclaré Elon Musk
- 2 - Elon Musk annonce la faillite des États-Unis ?!
- 1 - Musk révèle les conclusions du DOGE :
"Le travail que nous effectuons avec le département du Trésor est tellement basique que vous ne pouvez pas croire que ça n'existe pas déjà", a déclaré Elon Musk
Le département de l’efficacité gouvernementale (DOGE) d’Elon Musk a déjà découvert des inefficacités de paiement et des gaspillages lors de ses enquêtes sur le département du Trésor et l’administration de la Sécurité sociale, a déclaré le PDG de la tech depuis le bureau ovale, aux côtés du président Donald Trump, le 11 février.
« Il n’est pas facultatif pour nous de réduire les dépenses fédérales. C’est essentiel », a déclaré Elon Musk. « C’est essentiel pour que l’Amérique reste solide en tant que pays. »
Elon Musk a fait ces commentaires lors d’une cérémonie de signature du décret de Donald Trump du 11 février, qui ordonne à toutes les agences fédérales de se coordonner avec le DOGE pour réduire la taille du gouvernement des États-Unis.
M. Musk a déclaré que le DOGE avait déjà fait des découvertes importantes au sein du département du Trésor et de l’administration de la sécurité sociale, et a proposé des moyens de rendre les employés fédéraux plus productifs, tout en répondant aux critiques de Washington.
Voici quatre points à retenir de l’intervention d’Elon Musk dans le bureau ovale le 11 février.
1. Paiements du département du Trésor
« Le travail que nous faisons avec le département du Trésor est tellement fondamental que vous ne pouvez pas croire que ça n’existe pas déjà », a déclaré Elon Musk, en décrivant les efforts du DOGE au sein de l’agence fédérale.
Il a décrit comment de nombreuses entreprises disposent de systèmes qui étiquettent les paiements individuels avec des codes de catégorisation et permettent aux travailleurs d’accéder à un champ de commentaires pour décrire chaque paiement.
« Et si un paiement figure sur la liste ‘Ne pas payer’, alors vous ne le payez pas réellement. Aucune de ces choses n’est vraie à ce jour avec le département du Trésor », a déclaré M. Musk, ajoutant que de nombreux bénéficiaires frauduleux peuvent mettre jusqu’à un an pour figurer sur la liste ‘Ne pas payer’ d’une agence, tout en continuant à recevoir des paiements au cours du processus.
Selon lui, c’est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles des agences fédérales comme le ministère de la Défense échouent régulièrement aux audits.
« Nous parlons simplement d’ajouter des contrôles de bon sens qui devraient être présents et qui ne l’ont pas été », a souligné M. Musk. « Examinons chaque dépense et demandons-nous si elle est dans l’intérêt des gens. Si c’est le cas, c’est approuvé. Si ce n’est pas le cas, nous devrions y réfléchir. »
Un juge fédéral a récemment émis une ordonnance restrictive empêchant le DOGE d’accéder aux systèmes de paiement gouvernementaux du département du Trésor et, le 11 février, un autre juge a rejeté la demande du gouvernement de dissoudre cette ordonnance.
L’ordonnance de restriction initiale interdisait à Elon Musk, qui a été nommé « employé spécial du gouvernement », et à d’autres personnes du DOGE qui ne sont pas des fonctionnaires, d’accéder aux dossiers de paiement.
Mardi, la juge Jeannette Vargas a refusé de dissoudre l’ordonnance, mais a accepté de la modifier pour clarifier que le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, et d’autres hauts fonctionnaires du ministère confirmés par le Sénat ne sont pas interdits d’accès aux systèmes de paiement du ministère. Une audience est prévue vendredi.
2. Décret du DOGE
Les commentaires d’Elon Musk ont été formulés mardi lors d’une cérémonie de signature d’un nouveau décret de Donald Trump ordonnant à tous les chefs d’agence de collaborer avec le DOGE pour réduire le personnel et limiter les embauches au sein de l’administration fédérale.
En référence au décret, Elon Musk a déclaré qu’il souhaitait que des « contrôles de bon sens » soient appliqués au gouvernement. Il a ajouté que la bureaucratie fédérale, qu’il a qualifiée de quatrième branche « non élue » du gouvernement, comptait encore de bonnes personnes, mais que les bureaucrates devaient tout de même rendre des comptes.
Selon une fiche d’information sur l’ordre fournie par la Maison Blanche, les chefs d’agence consulteront le DOGE pour réduire les effectifs fédéraux et limiter l’embauche aux seuls postes essentiels.
Le Bureau de gestion du personnel va créer des règles pour s’assurer que les employés fédéraux sont « tenus aux normes de conduite les plus élevées ». Après l’expiration du gel des embauches décrété par l’administration Trump le 20 janvier, toutes les agences fédérales ne pourront pas embaucher plus d’un employé pour quatre qui partent ou sont libérés de leur poste.
Les agences commenceront également à planifier des réductions d’effectifs à grande échelle et à déterminer quelles composantes des agences – ou les agences elles-mêmes – pourraient être éliminées ou combinées, indique la fiche d’information.
3. Bénéficiaires de la sécurité sociale âgés de « 150 ans »
M. Musk a souligné que le DOGE avait trouvé des bénéficiaires de la sécurité sociale prétendument âgés de « 150 ans » et des paiements ne comportant aucune information d’identification.
Il a également déclaré que le DOGE voulait « s’assurer que les personnes qui méritent de bénéficier de la sécurité sociale y aient droit, et ce rapidement et avec exactitude ».
En plus de discuter des moyens de réformer le système de paiement de la sécurité sociale, M. Musk a proposé des idées pour rendre les employés fédéraux plus productifs.
Afin d’enrichir « les biens et services des États-Unis en les rendant plus utiles », M. Musk a suggéré que certains postes de la bureaucratie fédérale, où les employés traitent encore des dossiers papier selon des méthodes de traitement dépassées, pourraient être transférés vers des postes plus efficaces.
« Comment pouvons-nous accroître la prospérité ? Nous faisons en sorte que les personnes passent d’un rôle à productivité faible ou négative à un rôle à productivité élevée, et vous augmentez ainsi la production totale des biens et des services, ce qui se traduit par une augmentation du niveau de vie pour tous », a-t-il assuré. « C’est l’objectif réel. »
4. Réponse aux critiques et aux conflits d’intérêts
Elon Musk a été interrogé sur les critiques faites au DOGE, qui qualifient ses efforts de « prise de contrôle hostile du gouvernement », réalisée « de manière non transparente ». Il a répondu que Donald Trump et le DOGE n’auraient pas pu demander un mandat plus fort de la part du public, non seulement lors de la victoire électorale du président en 2024, mais aussi lors du renversement du Sénat par les électeurs américains et du maintien de la Chambre des représentants pour le Parti républicain démocrate (GOP).
« Les citoyens ont voté pour une réforme majeure du gouvernement, et c’est ce qu’ils vont obtenir », a assuré Elon Musk.
« Il y a de bonnes personnes dans la bureaucratie fédérale, mais vous ne pouvez pas avoir une bureaucratie fédérale autonome. Vous devez en avoir une qui soit à l’écoute des citoyens. C’est là tout l’intérêt d’une démocratie. »
De nombreux législateurs démocrates ont critiqué le rôle sans précédent d’Elon Musk au sein du gouvernement fédéral, en particulier en tant qu’« employé spécial du gouvernement » non élu et nommé par le président. Ces législateurs ont affirmé que toute action du DOGE affectant le financement ou les crédits fédéraux constituait une violation de l’autorité du Congrès et de l’article I de la Constitution des États-Unis, qui confère au Congrès le pouvoir de gérer les finances de la nation.
Donald Trump a exprimé son désaccord et a déclaré que le président n’était pas tenu de dépenser la totalité des montants alloués.
« Le Congrès a le ‘pouvoir de la bourse’, de sorte que ses crédits fixent nécessairement un plafond pour les dépenses fédérales dans un but particulier, mais il ne devrait pas fixer le plancher », a-t-il déclaré en 2023, faisant référence à sa promesse d’éliminer le gaspillage dans le budget.
Les législateurs démocrates s’inquiètent également de la possibilité pour le pouvoir exécutif de fermer des agences fédérales sans l’accord du Congrès.
De nombreux détracteurs d’Elon Musk soutiennent également qu’il se trouve en situation de conflit d’intérêts à la tête du DOGE, puisque son entreprise, SpaceX, est l’un des principaux sous-traitants du gouvernement américain dans l’aérospatial. M. Musk a réfuté ces inquiétudes mardi.
« La transparence est ce qui crée la confiance », a insisté Elon Musk, ajoutant que le public peut voir si les travaux du DOGE lui profitent, à lui ou à ses entreprises.
La semaine dernière, le président Trump a déclaré à la presse : « Elon ne peut rien faire et ne fera rien sans notre approbation ».
« Et nous lui donnerons l’autorisation lorsque c’est approprié ; là où ce n’est pas approprié, nous ne la lui donnerons pas », a déclaré le président. « S’il y a un conflit, nous ne le laisserons pas s’en approcher », a-t-il ajouté.
- 2 - Elon Musk annonce la faillite des États-Unis ?!
Donald Trump a nommé le milliardaire à la tête d’une commission pour “l’efficacité gouvernementale”. Selon Musk, “sans coupes budgétaires, le pays va droit à la faillite.”
Déficit : 2.000 milliards $
Dette : 34.000 milliards $
Trump et Musk lancent un plan radical : suppressions de subventions, gel des embauches, automatisation… Révolution ou chaos ?
Musk à la manœuvre envers et contre tous:
Nommé à la tête du Department of Government Efficiency (DOGE), Elon Musk veut révolutionner l’administration fédérale.
Il s’entoure de jeunes informaticiens pour traquer les dépenses inutiles. Son équipe a même eu accès au système de paiements du ministère des Finances avant qu’un juge fédéral leur bloque l’entrée.
"Le peuple a voté pour une réforme d’ampleur", assure Musk.
Moins d’État, plus d’efficacité !
L’administration fédérale est devenue un monstre bureaucratique. Trump et Musk passent à l’action :
Gel des subventions inutiles
Fin des embauches systématiques
Vers 1 embauche pour 4 départs (hors maintien de l’ordre)
Suppression des agences gouvernementales les moins utiles (bye bye l'USAID)
Pourquoi ? L’État fédéral ne doit pas étouffer l’économie réelle. Moins d’administratif, plus d’innovation et de croissance !
Les syndicats crient au scandale, mais les contribuables, eux, applaudissent.
La France, un contre-exemple criant
Les dépenses publiques aux (36 % du revenu national, dont 23 % au fédéral) sont déjà parmi les plus basses des pays développés.
Comparons avec la France, championne du monde de la dépense publique avec 57 % du revenu national .
Résultat ? Chômage de masse, pression fiscale écrasante, services inefficaces.
Musk et Trump veulent éviter ce piège : moins d’État, plus de liberté. Une réforme historique ou un pari risqué ?