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octobre 04, 2025

Paris dépensent sans compter, normal "c'est l'État qui paie"

Quand les élus socialistes de Paris dépensent sans compter, au mépris des Français 

Dans un pays où l’inflation ronge le pouvoir d’achat, où la pauvreté touche plus de 14 % de la population et où des millions de Français peinent à boucler les fins de mois, des élus socialistes comme Anne Hidalgo, maire de Paris, et Eric Lejoindre, maire du 18e arrondissement, s’offrent un train de vie fastueux aux frais des contribuables. Révélées par des médias comme Mediapart et relayées par France-Soir et de nombreux autres, ces dépenses somptuaires – robes de luxe, dîners étoilés, pressing exorbitant – illustrent une gabegie flagrante et un potentiel détournement de fonds publics. Pire encore, ce scandale s’étend à des institutions comme France Télévisions, où les dirigeants et présentateurs, grassement payés par l’argent public, passent leur temps à faire la morale aux Français dans leurs émissions, tout en creusant des déficits abyssaux. Cet article décrypte ces abus, en soulignant le contraste criant entre le luxe des élites et la précarité des citoyens.

 


 

Les notes de frais embarrassantes : un symbole de gabegie chez les élus parisiens

Le scandale éclate avec les révélations sur Eric Lejoindre, maire socialiste du 18e arrondissement de Paris. Entre mai 2020 et avril 2024, cet élu a dépensé plus de 35.557 euros en frais de représentation, une enveloppe financée par les impôts des Parisiens. Parmi ces dépenses, plus de 6.000 euros en pressing, des repas dans des restaurants étoilés, des soins chez le coiffeur et même des tee-shirts ou des pizzas au Nutella – des achats qui frisent l’usage personnel plutôt que professionnel. Élu en 2014 et réélu en 2020, Lejoindre justifie ces frais comme « normaux » pour un maire, mais ses explications peinent à convaincre. Comme l’interroge RTL : « Un maire peut-il tout se faire rembourser ? » Les critiques fusent, avec des associations comme Saccage Paris dénonçant un « sens d’impunité » chez les élus.

Anne Hidalgo, la maire de Paris, n’est pas en reste. Épinglée par Mediapart, elle aurait dépensé 84.000 euros en vêtements de luxe et 125.000 euros en voyages entre 2020 et 2024. Ces notes de frais, qualifiées de « somptieuses » par Le Figaro, incluent des robes haute couture et des dîners gastronomiques, le tout aux frais des contribuables. Hidalgo, qui refuse souvent de partager ces détails avec les journalistes, a finalement publié les notes des maires d’arrondissement le 2 octobre 2025, en guise de transparence forcée. Son premier adjoint, Patrick Bloche, défend ces dépenses comme « frais de représentation » encadrés par la loi, mais cela n’efface pas l’impression de gabegie – un gaspillage systématique de l’argent public pour un confort personnel.

Ces pratiques soulèvent la question d’un potentiel détournement de fonds. Bien que légales sur le papier – les enveloppes annuelles vont de 11.092 euros pour un maire d’arrondissement à environ 20.000 euros pour Hidalgo – elles frôlent l’abus lorsque les achats semblent personnels. Comme le note Le Parisien, il n’y a « pas d’enquête en cours » pour l’instant, mais des voix comme celles de Transparence citoyenne appellent à des contrôles plus stricts pour limiter ces abus. Cette « guerre des notes de frais » à la Mairie de Paris, comme la qualifie France info, met en lumière un système où les élus socialistes semblent profiter sans vergogne, renforçant le sentiment d’une élite déconnectée.

 


 

Un train de vie opulent face à la précarité des Français

Le contraste entre le train de vie de ces élus et la réalité des Français est saisissant. Tandis que Hidalgo et Lejoindre s’offrent des luxes financés par les impôts, 14,4 % des Français vivent sous le seuil de pauvreté, selon des rapports récents du Sénat et de l’Assemblée nationale. En 2025, l’inflation alimentaire a grimpé en flèche, avec des hausses de plus de 20 % cumulées depuis 2022 pour les produits de base, forçant des millions à choisir entre manger et se chauffer. Les débats parlementaires soulignent cette fracture : « C’est 14,4 % du nombre de Français qui sont sous le seuil de pauvreté », rappelait un sénateur lors d’une séance en avril 2025.

Les élus, eux, touchent des rémunérations confortables – un maire comme Hidalgo gagne environ 9.000 euros net par mois, sans compter les frais – comparées aux salaires médians des Français, autour de 2.000 euros. Cette disparité est exacerbée par la crise économique : inflation à 1,2 % en septembre 2025, mais ressentie bien plus haut pour l’alimentation et l’énergie. Des rapports comme celui du CESE sur l’éradication de la grande pauvreté à l’horizon 2030 soulignent l’urgence, mais les élus semblent sourds, préférant des dîners étoilés à des politiques sociales efficaces.

Cette gabegie n’est pas seulement financière ; elle érode la confiance en la démocratie, dans un pays où les citoyens luttent contre la précarité tandis que leurs représentants vivent comme des pachas.

 

 

Le scandale de France télévisions : morale à deux vitesses et dépenses folles

Le scandale ne s’arrête pas aux élus locaux. France Télévisions, financée à 3,3 milliards d’euros par l’argent public en 2024, est épinglée par un rapport cinglant de la Cour des comptes publié en septembre 2025. Le groupe audiovisuel public cumule 81 millions d’euros de déficit net entre 2017 et 2024, avec un budget 2025 prévoyant un trou de 40 millions d’euros supplémentaires. La Cour des comptes dénonce une situation financière « critique », avec une trésorerie au plus bas et des capitaux propres en chute libre, menaçant même de « dissolution » d’ici fin 2026.

Parmi les abus pointés : des salaires « étonnants » – moyen de 6.000 euros brut mensuel, avec 15 % des salariés gagnant plus de 80.000 euros par an – des frais de taxis « mirobolants » et 14 millions d’euros dédiés aux comités sociaux.

31 cadres perçoivent plus de 200.000 euros par an, dont 5 franchissent les 300.000 euros (soit plus de 25.000 euros par mois) À ce prix-là, ils peuvent raconter ce que veut le gouvernement…

Des présentateurs vedettes comme Delphine Ernotte (présidente) touchent des rémunérations faramineuses, tout en animant des émissions qui font la morale aux Français sur l’austérité, l’écologie ou la solidarité. Comme le raille un site critique : « Chez France TV, les salaires ne connaissent pas la crise. » Cette hypocrisie est flagrante : des émissions comme celles de France 2 ou France 3 prônent la sobriété, tandis que l’institution dépense « un pognon de dingue », pour reprendre l’expression de Macron, creusant des déficits malgré des restructurations.

 

 

Une élite déconnectée qui méprise les contribuables

Ces scandales – des notes de frais des élus parisiens aux déficits de France Télévisions – révèlent une élite qui vit aux crochets des citoyens, dans une gabegie qui frise le détournement. Pendant que les Français subissent l’inflation et la pauvreté, Hidalgo, Lejoindre et les dirigeants de France TV s’offrent un train de vie opulent, tout en faisant la morale. Il est temps de réclamer plus de transparence et de sanctions, pour restaurer la confiance en nos institutions.

 

 

septembre 24, 2025

L’hypocrisie médiatique, savoir désinformer pour le "camp du bien" et son idéologie: le Socialisme, collectivisme, étatisme de connivence !!

Thomas Legrand et Patrick Cohen, champions de l’hypocrisie médiatique

Dans le paysage médiatique français, dominé par des voix qui se prétendent neutres et objectives, Thomas Legrand et Patrick Cohen incarnent l’archétype des idéologues déguisés en journalistes.

Ces figures du service public, financées par l’argent des contribuables, passent leur temps à hurler au loup contre la « désinformation de l’extrême droite » et les prétendues ingérences russes dans les élections.

Pourtant, une récente révélation les montre en pleine connivence avec des cadres du Parti socialiste, complotant pour influencer les scrutins à venir – un scandale qui expose leur double jeu flagrant. Loin des minimisations lisses servies par les médias alignés, examinons comment ces deux-là utilisent leur position pour fausser le jeu démocratique, tout en accusant les autres de manipulation.

 


Une connivence flagrante au service des socialistes

Imaginez : deux éditorialistes vedettes de France Inter et France 5, assis dans un café parisien, discutant stratégie avec des figures du PS comme Luc Broussy et Pierre Jouvet. Les échanges, capturés sans fard, révèlent un plan clair pour torpiller Rachida Dati à la mairie de Paris et booster Raphaël Glucksmann pour la présidentielle de 2027. « On fait ce qu’il faut pour Dati », lâche l’un d’eux, sous-entendant des efforts médiatiques pour « éliminer » les rivaux.

Ce n’est pas un simple bavardage amical ; c’est une confession d’utilisation de moyens publics pour orienter l’opinion.

France Inter, payée par tous les Français, devient un outil partisan au profit des socialistes. Et quand on les confronte, ils minimisent : « J’ai juste pris un café avec deux socialistes. » Non, c’était ni plus, ni moins qu’un flagrant délit d’influencement pur, une tentative de détourner le regard du vrai crime : influencer des élections avec de l’argent public.

Ces mêmes journalistes qui traquent la « désinformation russe » à longueur d’antenne – accusant Moscou de tout, des punaises de lit aux chutes de popularité de Macron, en passant par les manifestations du 10 septembre – se révèlent ainsi être les vrais manipulateurs. Pendant que Vladimir Poutine est blâmé pour des ingérences fantasmées à 4.000 km, Legrand et Cohen ourdissent des plans locaux pour favoriser leurs alliés idéologiques. Hypocrisie totale : ils crient à la menace extérieure pour masquer leur propre biais gauchiste, financé par les impôts de ceux qu’ils méprisent.

Le système en boucle fermée : promotion mutuelle et impunité

Ce scandale n’est pas isolé ; il s’inscrit dans un écosystème où ces idéologues se protègent mutuellement.

Pensez à Caroline Fourest ou à Léa Salamé, compagne de Raphaël Glucksmann, qui reçoit des économistes alignés pour vanter des théories bidouillées – comme Gabriel Zucman, viré d’Harvard pour truquage de données. (À noter que Glucksmann, avant sa relation avec Léa Salamé depuis environ 2016, a été marié à Eka Zgouladze, une politicienne géorgienne et ukrainienne impliquée dans des réformes controversées en Ukraine et en Géorgie, notamment en tant que vice-ministre de l’Intérieur en Géorgie de 2006 à 2012 sous Mikheil Saakachvili, puis en Ukraine de 2014 à 2016 où elle a dirigé des réformes policières souvent financées par des aides occidentales (USA, UE), ce qui l’a exposée à des accusations d’être une « agente d’influence étrangère » dans le contexte des débats géorgiens sur le financement d’organisations politiques par l’étranger, comme dans les lois récentes sur les « agents étrangers » visant à réguler les ONG financées par l’Occident et liées à des figures comme George Soros ; ce lien international ajoute une couche à son profil, mais c’est surtout avec Léa Salamé que surgit un conflit d’intérêt évident, car en tant que présentatrice du 20h sur France 2, elle pourrait influencer l’opinion publique en faveur de son compagnon politique, un risque qu’ils ont eux-mêmes reconnu en promettant de le « trancher » si Glucksmann se présente en 2027 – une promesse qui sonne creux dans ce système verrouillé.


 

Léa Salamé, sur le service public, promeut des idées qui servent son camp, sans transparence.

Cohen et Legrand opèrent de même : ils utilisent leurs plateformes pour de l’autopromotion partisane, transformant les médias publics en machine à laver les scandales.

Et pour couronner le tout, la patronne de France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci – une autre chaîne publique financée par les contribuables –, a volé au secours de ces deux « journalistes », leur apportant un « soutien total » tout en s’en prenant une fois de plus à CNews, qu’elle qualifie de « chaîne d’extrême droite » pour avoir relayé l’affaire.

Ernotte accuse CNews d’être une « chaîne d’opinion d’extrême droite » et d’ « allumer de façon scandaleuse des contre-feux », tentant ainsi de détourner l’attention des questions légitimes posées par cette connivence.

Ironie du sort, ces donneurs de leçons sur la probité et l’intégrité journalistique – qui accusent les autres de manipulation – sont eux-mêmes empêtrés dans des scandales : Ernotte fait l’objet de plaintes pour détournement de fonds publics liées à des notes de frais exorbitantes, comme un déplacement à Cannes facturé plus de 100.000 euros, ou des notes de taxi pharaoniques (2 à 3 millions d’euros de frais de taxis annuels) à France Télévisions, malgré une dotation publique massive de 2,57 milliards d’euros par an. Une « grande probité » qui frise l’hypocrisie, alors qu’ils s’alarment de coupes budgétaires mineures tout en dilapidant l’argent public pour des privilèges personnels.


 

Quand l’affaire éclate, ils contre-attaquent en criant à la violation de la vie privée – un écran de fumée classique. Mais filmer dans un lieu public, lors d’une discussion politique, n’est pas une atteinte ; c’est de l’investigation légitime, comme l’ont fait Élise Lucet ou d’autres sans jamais être inquiétés. Patrick Cohen menace de procès, mais les précédents judiciaires le condamnent d’avance : c’est du bluff pour intimider. Un huissier a déjà confirmé que les rushes sont conformes, sans montage trompeur.

Pourtant, ces « journalistes » se victimisent, accusant une « campagne de dénigrement » orchestrée par la droite – alors que ce sont eux qui déforment la réalité quotidiennement.

Des idéologues qui traquent la « désinformation » pour mieux la pratiquer

Legrand et Cohen se posent en gardiens de la vérité, dénonçant sans relâche l’extrême droite et les Russes comme sources de fake news. Mais qui sont les vrais désinformateurs ? Eux, qui trient les indignations : silence sur des crimes comme l’assassinat d’Irina Zarutska par un multirécidiviste, titré de manière euphémique par CNN (leur modèle ?), mais hurlements contre toute critique de leur camp. Ils accusent les autres de polariser la société, mais leur biais gauchiste alimente la division, en justifiant la violence verbale contre les « fascistes » – un terme qu’ils collent à quiconque ose contredire leur doxa.

Pire, ils incarnent le terrorisme intellectuel : en minimisant leur propre rôle dans la manipulation électorale, ils pavent la voie à une justice à deux vitesses. Si un chroniqueur de droite tenait des propos similaires, il serait lynché médiatiquement. Mais pour eux, l’Arcom et les comités d’éthique ferment les yeux, validant que « rien ne permet d’affirmer une faute ». C’est l’impunité totale pour les bien-pensants.

Vers une réaction citoyenne : plaintes et lois pour les déloger

Il est temps de briser ce cercle vicieux. Ces idéologues ne passeront plus pour des experts neutres ; la réalité les rattrape. Des associations de contribuables doivent se constituer partie civile pour détournement de fonds publics – car influencer des élections avec des moyens d’État, c’est un déni de démocratie. Des plaintes massives, des boycotts d’émissions, et des propositions de loi pour interdire ces pratiques : voilà les armes. Sans cela, Legrand et Cohen continueront à crier à la désinformation tout azimut tout en sabotant la démocratie de l’intérieur.

En fin de compte, ces deux-là ne sont pas des journalistes, mais des militants payés par nos impôts pour imposer leur vision. Ras-le-bol de leur hypocrisie : il est temps qu’ils rendent des comptes, avant que leur manipulation ne détruise ce qui reste de pluralisme en France.

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 https://multipol360.com/thomas-legrand-et-patrick-cohen-champions-de-lhypocrisie-mediatique/

 

 

 

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