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septembre 30, 2025

L’imposture de l’écologie politique avec Guillaume de Rouville

 

L’imposture de l’écologie politique : retour sur la COP 28

Dans un entretien percutant diffusé sur TV Libertés, Guillaume de Rouville, ancien avocat international et dirigeant d’une ONG dédiée à la protection de la biodiversité en République démocratique du Congo (RDC), livre un témoignage sans concession sur la COP28, tenue fin 2023 à Dubaï. Auteur du pamphlet Promenade dans les abysses écologiques : Les tribulations d’un écolo réaliste à la COP28 (voir ici), de Rouville dénonce ce qu’il qualifie de « fondamentalisme environnemental » : une idéologie catastrophiste, ruineuse et contre-productive. À travers son expérience sur place, il met en lumière les incohérences d’un discours dominant qui, selon lui, masque des intérêts économiques et géopolitiques. Retour sur les points clés de cet échange.

 


 

Le marketing de la terreur climatique

De Rouville ouvre le débat en critiquant le narratif apocalyptique des écologistes politiques, qui annoncent la fin du monde depuis une trentaine d’années sans que les prédictions se réalisent.

« C’est un marketing de la terreur », affirme-t-il, destiné à imposer la « transition énergétique » – un ensemble de mesures coûteuses et inefficaces.

Selon lui, ce discours cible principalement les populations occidentales, tandis que dans d’autres régions du monde, comme en Afrique ou en Asie, ces thèmes sont bien moins prégnants.

Il explique que cette peur empêche toute réflexion critique sur les vraies causes des problèmes environnementaux. À la COP28, des interlocuteurs lui ont répété que l’humanité n’avait « pas le choix » pour réduire les émissions de CO2, un fatalisme qui ferme le débat. « La messe est dite, il n’y a plus à discuter », ironise-t-il, comparant cela à une instruction judiciaire à charge contre le CO2, sans éléments à décharge.

Le CO2 : un coupable idéal ou un bienfaiteur ?

L’une des erreurs fondamentales de l’écologie politique, selon de Rouville, est de se focaliser sur le CO2 comme principal responsable du réchauffement climatique anthropique. Il cite Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, qui plaidait pour augmenter les niveaux de CO2 pour nourrir l’humanité. « Le CO2 n’est pas un polluant, c’est un engrais », insiste de Rouville.

Il rappelle le rôle essentiel du CO2 dans la photosynthèse : soleil, eau et CO2 font pousser les plantes, nourrissant ainsi animaux et humains. Historiquement, des périodes comme le Cambrien (il y a 550 millions d’années) ont vu une explosion de la biodiversité avec des taux de CO2 20 fois supérieurs aux actuels et des températures plus élevées. Augmenter le CO2 accélère la croissance de 80 % des plantes comestibles, optimise l’utilisation de l’eau (réduisant les besoins en irrigation) et contribue au « verdissement » observé de la planète depuis 40-50 ans, via les satellites.

Contrairement aux effets négatifs hypothétiques (basés sur des modèles mathématiques), ces bénéfices sont avérés et incontestés, même par les agriculteurs qui utilisent du CO2 en serres.

De Rouville plaide pour une « balance bénéfices-risques » objective, absente du discours dominant.

Le réchauffement climatique : une bonne nouvelle ?

La deuxième erreur est de présenter le réchauffement comme une catastrophe inévitable. De Rouville ne nie pas l’augmentation d’environ 1,1 °C depuis la fin du Petit Âge glaciaire (fin du XVIIIe siècle), mais il la salue comme bénéfique. « Le froid tue 10 fois plus que le chaud », argue-t-il, citant des statistiques sur la mortalité et les maladies. L’agriculture prospère mieux sous les tropiques qu’en Arctique, et les réfugiés climatiques pourraient tout aussi bien fuir le froid.

Le consensus scientifique (97 % des experts) est, selon lui, fabriqué : basé sur des métadonnées superficielles et des introductions d’articles, il ignore les dissidents et force les chercheurs à mentionner le réchauffement pour être publiés. « La science n’est pas une démocratie », rappelle-t-il, évoquant des théories comme la tectonique des plaques, acceptées après des décennies de rejet.

Les solutions proposées : une catastrophe écologique

La troisième erreur réside dans les « solutions » de la transition énergétique : éoliennes, panneaux solaires et électrification massive. De Rouville les qualifie de « fraude intellectuelle et financière ». Ces technologies reposent sur une « écologie extractive » : extraction massive de minerais (cuivre, cobalt, lithium, terres rares) nécessitant d’énormes quantités d’eau et de pétrole, polluant les sols et détruisant la biodiversité.

Pour transitionner l’Occident en 30 ans, il faudrait extraire autant de minerais que depuis l’origine de l’humanité – une impossibilité physique qui accélérerait la destruction planétaire. En RDC, où il travaille, 80 % du cobalt mondial est extrait au prix de guerres et de pollutions. « On détruit la planète pour la sauver », dénonce-t-il.

Ces mesures enrichissent un « complexe climato-réchauffiste », alliant capitalisme (géants miniers, tech, finance) et communisme (contrôle étatique).

Les guerres pour les minerais rares remplacent celles pour le pétrole, sous prétexte écologique. Les crédits carbone ? Des « indulgences » modernes, inefficaces à 90 % selon des enquêtes, qui monétisent la nature sans réduire les émissions.

 

Paradoxes et dangers idéologiques

De Rouville pointe des incohérences : réclamer des fonds pour la « décroissance » ou limiter le réchauffement à 1,5 °C (une frontière arbitraire, sans base scientifique). Les vrais problèmes environnementaux – destruction d’habitats, déforestation, pollutions plastiques, surpêche, espèces invasives – sont ignorés au profit d’un focus sur le CO2.

Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) est politique, pas scientifique : il sélectionne des données pour un agenda prédéfini, subordonnant la science à des traités onusiens qui désignent a priori l’homme et les gaz à effet de serre comme coupables.

Plus inquiétant : la « transition démographique » imposée aux pays en développement pour limiter les naissances, vue comme condition à la transition énergétique. Des écologistes radicaux parlent ouvertement de surpopulation, évoquant des idéologies « mortifères » (euthanasie, gestion des pandémies). L’initiative « One Health » (une seule santé) intègre santé humaine, animale et environnementale, risquant un contrôle totalitaire via l’OMS, médicalisant l’écologie pour vendre des « médicaments » (vaccins, solutions énergétiques).

 


 

Enfin, une « justice climatique » émerge, avec des procès contre les « pollueurs » et des censures. De Rouville se dit prêt à affronter les accusations de « négationnisme » avec courage, appelant à une offensive contre cette idéologie.

Vers une écologie réaliste ?

Guillaume de Rouville, « écolo réaliste », plaide pour rediriger les trillions investis dans la transition énergétique vers les vrais enjeux environnementaux. Son pamphlet invite à questionner le fondamentalisme vert, qui masque des luttes de pouvoir et enrichit les élites au détriment de la planète et des peuples. Dans un monde où l’Europe signe des accords comme Mercosur (augmentant les pollutions par imports), cette critique résonne comme un appel à la raison face à l’hystérie climatisée.

https://multipol360.com/limposture-de-lecologie-politique-retour-sur-la-cop-28/

 

septembre 22, 2025

La fin de l'escrologie, en attendant la banqueroute de l'UE voire davantage !

 "La supercherie du réchauffement climatique finira par coûter au monde entre 150 000 et 178 000 milliards de dollars pour les éoliennes, les panneaux solaires et la reconstruction du réseau électrique mondial. Il s'agit d'une tentative futile d'atteindre la neutralité carbone, un objectif qui ne repose pas sur des données scientifiques vérifiables, mais sur des modèles informatiques. Après 20 ans d'utilisation, les éoliennes et les panneaux solaires, qui présentent des fuites toxiques, finiront directement dans les décharges. Nous devrons alors les reconstruire tous. La contribution humaine au CO₂ est trop faible pour être significative ou mesurable. Au contraire, le zéro net est basé sur le produit intérieur brut de chaque pays." Peter Clack

 


Des investisseurs en capital-risque viennent d’acter une défaite historique : face à la domination chinoise, plusieurs technologies vertes ne sont plus un terrain d’investissement, mais un champ de ruines sur lequel l’Occident n’a même plus le droit de miser... 

80 % des panneaux solaires, 70 % des véhicules électriques et 75 % des batteries mondiales, la Chine détient aussi 75 % des brevets en énergies propres et verrouille l’accès aux minerais critiques. 

 


 

Pendant que l’Occident rédigeait ses beaux pactes climatiques et ses scénarios prospectifs avec courbes linéaires, la Chine a fait ce qu’elle sait faire : investir, produire, inonder. 

 Non contente de produire plus vite et moins cher, la Chine a verrouillé en amont (extraction, raffinage, composants clés), en aval (assemblage, distribution), et jusqu’au droit de propriété intellectuelle. 

 Ce qui comptait n’était pas le profit immédiat, mais la position de force future : une fois la chaîne de valeur intégralement maîtrisée, la Chine peut fixer les prix, dicter les normes, et imposer ses conditions à ceux qui dépendront de ses technologies.

Un groupe de huit VCs issus de firmes occidentales a ainsi accepté de partager avec Bloomberg les détails d’un voyage d’étude à travers la Chine, au cours duquel ils ont visité des usines, rencontré des investisseurs locaux et interrogé des fondateurs d’entreprises. Résultat : ils rayent désormais simplement certains secteurs de leur liste d’investissement en Occident. 

Planet A Ventures a par exemple décidé que les investissements dans les startups occidentales de fabrication et recyclage de batteries, électrolyseurs, solaire et matériel pour l’éolien ne sont plus viables. Extantia Capital a quand à lui déjà cessé tout soutien aux fabricants européens de batteries et cherche désormais, comme les autres, à collaborer directement avec les entreprises chinoises.

La conclusion de ce qui précède est tout de même sévère pour ceux qui ont encore un brin de mémoire. 

On nous avait vendu « emplois verts », « souveraineté industrielle », et autre "autonomie stratégique" ; nous découvrons une industrie en surproduction, verrouillée par Pékin, où nos usines ne peuvent même pas se frayer une place. 

On nous avait assuré que l’Europe rentrerait rapidement dans la danse ; nous découvrons qu’elle ne tient même pas le tambour. 

On nous avait promis des champions industriels ; nous ne récoltons encore que des faillites subventionnées. Le plus ironique, c’est que les mêmes qui avaient juré que l’Europe mènerait la danse répètent désormais que « l’important, ce n’est pas de produire, mais d’innover ». 

On connaît la suite : quand un continent n’a plus ni mines, ni usines, ni brevets, il ne lui reste plus qu’à produire des conférences et des slogans. L’Occident a choisi la vertu, la Chine l’échelle. Et dans l’histoire de l’industrie, c’est rarement la vertu qui l'emporte…

https://www.bloomberg.com/news/articles/2025-09-21/china-road-trip-exposes-list-of-uninvestable-assets-in-the-west 

À suivre détails ci-dessous:

Vert
Un road trip en Chine révèle la liste des actifs non investissables en Occident

Les investisseurs en capital-risque dans le domaine des technologies propres commencent à dire haut et fort ce qu'ils soupçonnaient depuis un certain temps : la domination de la Chine a rendu certains secteurs clés ininvestissables en Occident.

Un groupe de huit investisseurs en capital-risque issus de sociétés occidentales a accepté de partager avec Bloomberg les détails d'un road trip effectué en juillet à travers la Chine, au cours duquel ils ont visité des usines, discuté avec des investisseurs dans des start-ups et interviewé des fondateurs d'entreprises.

Ils savaient que la Chine avait pris une longueur d'avance dans des secteurs tels que les batteries et « tout ce qui touche à l'énergie », mais constater de leurs propres yeux l'ampleur du fossé les a amenés à se demander comment les concurrents européens et nord-américains pouvaient survivre, explique Talia Rafaeli, ancienne banquière d'affaires chez Goldman Sachs Group Inc. et Barclays Plc, aujourd'hui associée chez Kompas VC.

Alors que les professionnels de la finance s'apprêtent à se réunir à New York pour la semaine annuelle du climat, ils devront tenir compte du fait que la Chine, première source mondiale d'émissions de carbone, est désormais le moteur le plus puissant qui guide la planète vers un avenir sobre en carbone. Alors que le président américain Donald Trump supprime les politiques écologiques de son prédécesseur et que l'Europe se retrouve dans une impasse réglementaire, la Chine rend discrètement un certain nombre de secteurs en transition inaccessibles aux start-ups occidentales.

Jacob Bro, Christoph Gras, Torben Schreiter, Yair Reem, Ashwin Shashindranath, Talia Rafaeli, Sebastian Heitmann, Nick de la Forge.Photographer: Sebastian Heitmann

 

Les sociétés de capital-risque interrogées par Bloomberg n'ont pas pour mandat d'investir directement en Chine. Leur objectif est plutôt d'éviter d'allouer des fonds à des start-ups occidentales qui ne peuvent rivaliser avec leurs homologues chinoises. Elles prévoient de profiter de la semaine du climat à New York pour ne parler que de cela.

Planet A Ventures, une société de capital-risque basée à Berlin, a décidé que les investissements dans les start-ups occidentales spécialisées dans la fabrication et le recyclage de batteries, les électrolyseurs, l'énergie solaire et le matériel éolien n'étaient plus viables, explique Nick de la Forge, associé général et cofondateur de la société. Il affirme qu'avant son voyage, il soupçonnait la Chine d'avoir une longueur d'avance, mais qu'après s'y être rendu, ces secteurs sont désormais « strictement exclus de la liste ». 

Yair Reem, associé chez Extantia Capital, affirme que ce voyage a déjà conduit son entreprise à suspendre ses investissements dans les fabricants occidentaux de cellules de batterie. À la place, ils chercheront des moyens de collaborer avec des entreprises chinoises tout au long de la chaîne d'approvisionnement. Selon M. Reem, la domination de la Chine dans le domaine de la fabrication de batteries en Occident signifie que la partie est désormais terminée.

Ashwin Shashindranath, ancien directeur général du groupe Macquarie et désormais associé chez Energy Impact Partners, affirme que ce qu'il a vu lors de ce voyage lui a fait comprendre « très clairement » que les investisseurs occidentaux vivent « dans une bulle » en raison de leurs idées fausses sur la Chine. 

An assembly line at the solar panel maker Kunshan GCL Optoelectronic Materials Co. in Kunshan.Source: Qilai Shen/Bloomberg

Al Gore, président de Generation Investment Management et ancien vice-président des États-Unis, affirme que la suprématie de la Chine dans la transition énergétique incite désormais « de nombreux pays » à envisager de resserrer leurs liens avec ce pays. Il qualifie le retrait des États-Unis des technologies de transition de « tragédie ».

La Chine fabrique environ 80 % des panneaux solaires mondiaux, fournit quelque 60 % des éoliennes de la planète, 70 % de ses véhicules électriques et 75 % de ses batteries, le tout à un coût financier inférieur à celui de l'Occident. 

Mainland China Dominates Clean-Tech Manufacturing


Source : BloombergNEF 

De plus, la part de la Chine dans les brevets mondiaux liés aux énergies propres s'élève à environ 75 %, tandis que le pays domine la chaîne d'approvisionnement en minéraux essentiels qui sous-tendent de nombreuses technologies vertes.

Et le célèbre modèle 996 chinois (travailler de 9 h à 21 h, six jours par semaine), bien qu'officiellement interdit, semble toujours façonner les normes du marché du travail, selon les sociétés de capital-risque interrogées par Bloomberg.

Irena Spazzapan, ancienne responsable des matières premières chez Goldman Sachs qui dirige aujourd'hui Systemiq Capital, affirme que les progrès de la Chine dans le domaine des énergies renouvelables sont entièrement liés à son objectif ultime d'indépendance énergétique. Le pays « a donné la priorité à la sécurité énergétique avant tout », explique-t-elle.

Pour l'instant, la Chine reste le plus grand consommateur et producteur mondial

Le charbon, et les politiciens occidentaux l'ont accusé de gagner la course aux technologies propres au détriment de la protection de l'environnement et des droits de l'homme.

Miranda Schreurs, présidente de la politique climatique et environnementale à l'École bavaroise de politique publique, déclare qu’« il y a certainement des raisons de s'inquiéter ». Pourtant, la réalité est que la Chine « saute dans le vide laissé par les États-Unis en rejetant la climatologie et l'aide internationale au développement ».
Lire la suite : La production solaire américaine à coût élevé est confrontée à un autre obstacle de taille : le BNEF La domination mondiale des technologies propres n’a pas nécessairement généré de bénéfices pour les entreprises chinoises. Pékin a progressivement éliminé les subventions telles que les tarifs de rachat qui garantissaient des prix élevés pour l'énergie renouvelable. C’est parce que la surproduction a fait baisser les prix à des niveaux proches du seuil de rentabilité.
Spazzapan de Systemiq affirme que les intérêts des actionnaires en Chine « ont été largement négligés, avec une surcapacité chronique et une guerre des prix incessante qui érode les fonds propres des entreprises ».

C’est un système qui favorise « l’échelle plutôt que la rentabilité », dit-elle. Pour les entreprises et les investisseurs pris dans la mêlée, ce fut « une misère totale », explique Dan Wang, chercheur au Hoover History Lab de l’Université de Stanford et auteur de Breakneck. Le modèle de la Chine repose sur « beaucoup de pouvoir de l'État, beaucoup de pouvoir des consommateurs, mais pas beaucoup d'avantages pour les investisseurs financiers », dit-il.
 
La volonté de la Chine de laisser les entreprises faire faillite en masse crée des « coûts sociaux réels », déclare Gernot Wagner, économiste climatique à la Columbia Business School. « Mais cela fonctionne pour créer des champions mondiaux qui dominent le marché. »
De la Forge de Planet A Ventures dit que voir jusqu’où la Chine va dans le darwinisme d'entreprise a été une « révélation ». Seuls « les joueurs les plus forts survivent ».

Pendant ce temps, les investisseurs en capital-risque ont pu voir de près à quel point la Chine délocalise rapidement des chaînes d'approvisionnement entières.

Gang Lin, fondateur et directeur général de Marvel-Tech Ltd., un développeur de technologie basé à Shanghai pour la production d’électricité à zéro émission, affirme qu’il a été en mesure de trouver des fournisseurs locaux à tout moment, et que beaucoup sont prêts à adapter leurs propres processus de fabrication pour aider.
 
 
 
 
 

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