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octobre 06, 2025

Art: Cancel culture, wokisme, décadence notoire occidentale...!

La décadence occidentale : le suicide culturel à travers la mode et l’art 

Dans un monde où l’Occident semble s’acharner à détruire ses propres fondations, les récents défilés de mode, comme celui de la marque « Matières Fécales » pour la collection Printemps/été 2026 à Paris, illustrent parfaitement cette spirale nihiliste. Partagés sur X par de nombreux utilisateurs, ces événements ne sont pas de simples excentricités artistiques, mais des symptômes d’une société en pleine autodestruction. Des mannequins aux apparences grotesques, maquillés en fantômes blafards ou affublés de tenues évoquant la putréfaction, défilent devant un public de bobos complaisants. Ces images, capturées dans des vidéos virales (voir ci-dessous), montrent des corps difformes, des visages déshumanisés et des outfits qui célèbrent la laideur pure.


 

C’est le triomphe d’un nivellement par le bas, où la beauté est sacrifiée au nom d’une accessibilité forcée, imposée par des élites déconnectées de toute humanité.

Des mannequins de plus en plus laids : le nivellement des canons de beauté

Autrefois, la mode célébrait l’élégance, la grâce et l’harmonie des formes, inspirée par des idéaux classiques hérités de la Renaissance ou de l’Antiquité. Aujourd’hui, comme le dénonce @zoesagan, les mannequins sont choisis pour leur laideur assumée : obèses, androgynes, aux maquillages cadavériques, portant des robes noires évoquant des linceuls ou des corsets révélant des corps malmenés. Dans le défilé de « Matières Fécales », on voit des modèles aux visages peints en blanc, aux lèvres pourpres, déambulant dans des tenues florales morbides ou des lingeries provocantes qui exposent sans pudeur. L’un d’eux, un homme en porte-jarretelles et bas résille, arbore un air spectral, tandis qu’une femme aux formes généreuses est enveloppée dans un tulle sombre, comme un fantôme sorti d’un cauchemar.

Ce choix n’est pas fortuit : il s’agit de démocratiser la beauté en la rendant « accessible à tous », c’est-à-dire en la nivelant vers le bas.

Plus de standards élevés qui pourraient exclure ; à la place, une uniformisation du moche, où l’exceptionnel est banni au profit du banal, du difforme. Comme l’écrit @zoesagan : « Mort de la beauté. Mort de l’enfance. Mort des droits individuels et de la conscience autodéterminée. » Cette tendance, soulignée par les réactions outrées sur X, transforme la mode en outil de contrôle social, où l’élite impose une esthétique qui humilie l’humain plutôt que de l’élever.


 

Le suicide incompréhensible de la société et de l’art : la laideur comme norme

Ce phénomène n’est que la pointe visible d’un suicide culturel plus large. L’art occidental, jadis bâtisseur de cathédrales gothiques où la religion servait de garde-fou pour canaliser la créativité vers le sublime, se complaît désormais dans la laideur, la guerre et les sentiments négatifs. Les défilés comme celui-ci, avec leurs modèles évoquant des zombies ou des monstres de cirque du XIXe siècle – comme le note un commentaire sur X –, sont des miroirs de cette déchéance.

L’art contemporain, infiltré par les conglomérats de mode, n’est plus critique mais complice : il promeut le vide, le désespoir, et une « infection culturelle » qui tue l’espoir chez les jeunes générations.

Parallèlement, le cinéma occidental suit la même voie morbide. Les zombies envahissent les écrans depuis des décennies, de The Walking Dead à World War Z, dépeignant un monde post-apocalyptique où l’humanité n’est que survie brutale et décomposition. Les films de guerre et de violence se multiplient avec des scénarios de plus en plus glauques : des sagas comme Saw ou Hostel exaltent la torture, tandis que des blockbusters comme Joker ou The Batman plongent dans la folie nihiliste. Même les productions récentes, telles que Civil War (2024) ou les remakes interminables de dystopies, insistent sur la destruction, le chaos et l’absence de rédemption. C’est un art qui ne célèbre plus la vie, mais la mort – un suicide esthétique incompréhensible, où la beauté est remplacée par le grotesque pour mieux refléter une société épuisée.


 

Des élites déconnectées : un entre-soi mortifère imposé à tous

Qui orchestre cette descente aux enfers ? Des élites totalement déconnectées des sentiments humains, comme le pointe @zoesagan : ("L’objectif aujourd’hui est bien de destituer le monde de la mode de son pouvoir. Le démunir de son pouvoir en sapant sa légitimité, l’obliger à reconnaître son caractère arbitraire, révéler qu’il opère dans une dimension hypothétique. L’objectif est d’exposer le fait qu’il ne fonctionne qu’en tant que circonstance, de rendre transparents ses stratagèmes, ses méthodes et ses tactiques. Le but est de révéler comment le monde de la mode, comme toute forme de gouvernement, doit comploter pour survivre. Destituer le pouvoir c’est le ramener à la terre. Tous ces enfoirés constituent l’illusion structurée et soutenue du monde de la mode. Ce monde promeut des idées progressistes tout étant fondamentalement régressif. La génération des baby-boomers qui possède et exploite le monde de la mode est encore intérieurement jeune dans sa pensée mais ses perspectives d’ouverture sont, à leur image, ridées, décrépies, corrompues et condamnées. Les « gilets jaunes » savent maintenant que nous sommes dans une ère de rupture qui prend la forme d’une décadence culturelle, à la fois politique, morale et écologique. Forcement, tous commencent à être émotionnellement épuisés par l’appauvrissement et la destruction de la civilisation occidentale. Tout ce que nous voyons est commercial. Ils représentent tous le commerce et n’ont pas d’âme. La totalité des personnes et sociétés impliquées ici sont organisées comme un virus. Ce virus agit comme une propagande culturelle. L’attribut dominant de cette infection culturelle est un état délirant de l’importance de soi. Il est le code de contrôle culturel de cette époque. Le résultat de 50 ans d’infection culturelle. Ils sont aujourd’hui moins de 500 à détenir les règles du jeu qu’ils ont eux-mêmes écrites. L’ensemble des processus fabriqué par ce petit monde n’est qu’un assemblage de mort. Mort de la beauté. Mort de l’enfance. Mort des droits individuels et de la conscience autodéterminée. Toutes les personnes assimilées à ce lavage de cerveau sociétal sont coupables de crime de la pensée. Ils sont organisés comme un virus culturel contagieux conçu pour tuer tout sentiment d’espoir d’une génération entière et TUER littéralement leur conscience. Ce spectacle n’est que désespoir. Un profond manque d’espoir pour des centaines de millions de personnes privées de leur capacité à développer naturellement leurs propres concepts de bonheur. Tous les jours les médias du monde nous inondent au sujet du réchauffement climatique. Au sujet de la mort de centaines d’espèces d’organismes naturels. Qu’est ce que le spectacle offert par le monde de la mode aujourd’hui, si ce n’est la représentation très inquiétante d’un phénomène mondial de réchauffement culturel. Cette désintégration de notre culture, de notre histoire est rarement signalée. Soyez conscients que chaque jour il existe de plus en plus de signes de la mort imminente de notre espèce humaine, à la fois par le réchauffement climatique de la planète, mais aussi, et avec une rapidité égale, par la mort de notre conscience culturelle commune. Le monde de la mode est né d’un vide, vide dont il avait besoin pour créer. Le monde de la mode a créé un vide encerclant l’individu et chacun de ses adeptes particulièrement le monde de la jeunesse. Il a créé un vide culturel mondialisé. Cette période de vide a commencé quand la communication a été redéfinie comme une performance impliquant le corps, la rhétorique visuelle et l’habillement. Stratégie et méthode déployée pour remplacer la responsabilité de l’individu et développer une définition originale de soi-même. Le selfie a remplacé le soi. Destituer le monde de la mode signifie quitter le paradigme du monde de la mode. Cela signifie percevoir le monde non pas comme vide mais au contraire, rempli de vie. La vérité est que les marques de mode d’aujourd’hui sont organisées exactement comme toute autre institution financière mondiale. Avec un seul ordre du jour : les marges. Des milliards sont dépensés pour créer l’illusion que ce sédatif institutionnalisé ressemble à une industrie créative. Alors que le monde de la mode est un pollueur mondial géant absolument insoutenable. Le processus de déploiement de nouveaux produits sur une base continue est contraire à toute idée raisonnable de discussion. Le monde de la mode attaque la structure de l’identité d’un individu. Nous croyons que l’identité individuelle devrait avoir un espace infini pour expérimenter. Le complexe mode-media-industrie veut exactement que le contraire se produise. Son but est de programmer l’individu le plus tôt possible à croire que vivre dans un état d’esprit libre et infini est socialement indésirable. 500 personnes sont en commande de ce contrôle et seulement 100 personnes ont le pouvoir ultime, à savoir la masse financière. ) « Ils sont aujourd’hui moins de 500 à détenir les règles du jeu qu’ils ont eux-mêmes écrites. » Ces seigneurs de la mode, souvent issus de familles comme les Arnault, opèrent dans une bulle d’entre-soi mortifère, où le commerce prime sur l’âme.

Sans les garde-fous d’antan, comme la religion qui inspira les joyaux architecturaux des cathédrales – symboles d’élévation spirituelle et collective –, ces élites imposent leur vision régressive sous couvert de progressisme.

Elles chouchoutent cette tendance, la financent via des conglomérats comme LVMH, et la diffusent via des algorithmes qui contrôlent les esprits.

Les Français, en particulier, ne se reconnaissent plus dans cette violence non seulement physique, mais morale et esthétique. Comme le souligne @parrhesiaste_fr dans une publication relayée : « Avilissement de la personne humaine, homogénéisation du laid, négation de la dignité du visage. » Les réactions sur X sont unanimes : « Cauchemardesque ! », « Démons qui ne se cachent plus« , « Vol au-dessus d’un nid de coucou« . Même les soirées privées des stars, comme celle organisée très récemment par Leonardo DiCaprio à Paris – où des célébrités comme Nina Dobrev et Kim Kardashian fuient en larmes, couvrant leurs visages devant les paparazzis –, révèlent la pourriture sous le glamour. Des orgies dégénérées ? décrites comme ayant tourné au chaos, montrent que l’élite vit dans un vide culturel qu’elle exporte au reste de la société.


 

Cet entre-soi élitiste et mortifère est magistralement dépeint dans le film « Eyes Wide Shut«  (parfois désigné sous l’abréviation EWS, ou « Les Yeux grand fermés »), un film britannico-américain réalisé, produit et coécrit par Stanley Kubrick, sorti en 1999. Il s’agit du dernier opus du cinéaste, qui mourut opportunément d’une crise cardiaque six jours après avoir présenté le montage final à Warner Bros., alimentant des théories conspirationnistes selon lesquelles il aurait été éliminé pour avoir exposé les secrets des puissants. Inspiré de la nouvelle « Traumnovelle » d’Arthur Schnitzler, le film plonge dans un monde occulte où les élites se livrent à des rituels masqués et orgiaques, déconnectés de toute empathie humaine, explorant des thèmes de jalousie, d’infidélité et de vide existentiel.

Kubrick y révèle comment ces cercles fermés imposent leur nihilisme décadent, manipulant la société tout en se protégeant derrière des masques, un miroir troublant de la réalité contemporaine où les scandales sexuels et la corruption des puissants font écho aux actualités.

De même, la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 incarne ce nihilisme autodestructeur, salissant tout sur son passage sous prétexte de célébration culturelle. Présentée comme une ode à la diversité, elle a suscité un tollé mondial pour sa parodie apparente de « La Cène » de Léonard de Vinci, avec des drag queens et un Dionysos bleu au centre d’un banquet, perçue comme une moquerie blasphématoire envers le christianisme et une promotion de propagande LGBT. Critiquée par des leaders religieux chrétiens, musulmans et juifs, des politiciens conservateurs, et même des figures comme Elon Musk, cette mise en scène déjantée et laide a été accusée d’insulter les croyances religieuses, de glorifier la décapitation lors de références à la Révolution française, et de transformer un événement unificateur en spectacle de division morale.

 


 

Les organisateurs, élites déconnectées des aspirations populaires, ont ainsi imposé leur vision régressive, profanant l’héritage français et occidental au nom d’un progressisme vide, renforçant le sentiment d’un suicide collectif où rien de sacré n’est épargné.

Rejeter le nihilisme pour retrouver l’humanité

L’Occident, en célébrant la laideur et le nihilisme, signe son propre arrêt de mort. Cette mode grotesque, ces films glauques et cet art suicidaire ne sont pas des innovations, mais des aveux d’échec. Il est temps de destituer ce pouvoir arbitraire, comme l’appelle @zoesagan : « La liberté ce n’est pas d’acheter. La liberté c’est de voter. » Les Français, émotionnellement épuisés par cette décadence, doivent se réveiller et reclaim leur héritage – celui des cathédrales, pas des défilés funèbres. Sinon, nous assisterons à la fin d’une civilisation, non par une catastrophe externe, mais par un suicide intérieur consenti.

 https://x.com/parrhesiaste_fr/status/1974625748263776410

Parfaite illustration de l'époque : quand une pathologie mentale ou une posture perverse se prend pour une idéologie, que la folie se rationalise en revendication. Ici la déshumanisation devient une tendance à la mode : avilissement de la personne humaine, homogénéisation du laid, négation de la dignité du visage, culte du mauvais goût nihiliste pratiqué sur des esclaves chics, mais esclaves quand même. Ce défilé a le mérite de résumer l'époque. Comme un aveu.

https://x.com/Pascal_Laurent_/status/1974817257160081607 

VOL AU-DESSUS D'UN NID DE COUCOU ! Celle-ci c'est le pompon, tous les bobos qui assistent à ce foutage de gueules et qui trouvent ça génial 

https://x.com/liasagan/status/1974760240718524434 

Comme Leonardo DiCaprio est le nouveau Epstein à Paris, c’est lui qui organise les orgies pour les "rich and famous" dans la Ville Lumière. Hier, sa "soirée" a dégénéré et la police n’a évidemment pas le droit d’en parler. Les pauvres Nina Dobrev, Kim Kardashian, Laura Harrier et Vittoria Ceretti n’oublieront jamais cette "fête" et encore moins le restaurant Siena à Paris.

M. Di Caprio est un habitué des soirées saturées de prostituées en France, organisées par ses entourages, à chaque Festival de Cannes notamment. Les téléphones y sont strictement interdits, et les services de sécurité omniprésents. M. Di Caprio est un habitué des soirées saturées de prostituées en France, organisées par ses entourages, à chaque Festival de Cannes notamment. Les téléphones y sont strictement interdits, et les services de sécurité omniprésents.


Renversement des valeurs...

Aurélien Froissart, a publié le 20 septembre 2025 sur son compte X une vidéo le montrant en train de jouer La Vie en rose d’Edith Piaf sur un des pianos mis à disposition dans la gare Paris gare de Lyon, pendant que la danseuse Victoria Dauberville, pointes aux pieds, virevolte devant les voyageurs qui se sont arrêtés pour profiter du spectacle.

Cette orgie d’esthétisme et de grâce a bien sûr été stoppée par des agents de sécurité de la gare sur ordre de la direction (sous prétexte de sécurité, bien sûr…). https://x.com/aurelienfst/status/1969365129847267804

https://multipol360.com/la-decadence-occidentale-le-suicide-culturel-a-travers-la-mode-et-lart/

 

 

 

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