mars 20, 2015

L'Etat et les actions de Charlie, çà fait "coin coin"

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Deux mois après l'attentat qui a décimé la rédaction du journal, des querelles liées à la gestion financière de "Charlie" secouent le canard.

Deux mois après l'attentat qui a décimé Charlie Hebdo, les survivants se divisent : onze salariés demandent que tous les collaborateurs deviennent actionnaires à parts égales du journal, qui a recueilli près de 30 millions d'euros depuis la tuerie. 

"Laurent Léger (journaliste de Charlie Hebdo, NDLR) a annoncé mercredi en conférence de rédaction avoir créé un collectif pour ouvrir des négociations sur une répartition égalitaire du capital"





, a indiqué à l'AFP un des avocats du journal, représentant de la direction, qui n'a pas souhaité être nommé.

Onze collaborateurs veulent devenir actionnaires


Dans un courriel à la rédaction dont l'AFP a obtenu une copie, Laurent Léger précise que ce collectif réunit onze collaborateurs, dont l'urgentiste Patrick Pelloux et le dessinateur Luz. Ce collectif a engagé deux avocats, dont Antoine Comte, qui a notamment défendu Rue89, le Syndicat de la magistrature et Olivier Besancenot.

Charlie Hebdo est détenu actuellement à 40 % par les parents de Charb, ex-directeur de la publication tué dans l'attaque du 7 janvier, à 40 % par le dessinateur Riss, blessé à l'épaule, devenu le nouveau directeur du journal, et à 20 % par Éric Portheault, cogérant.

Juste avant l'attentat djihadiste qui a tué douze personnes de l'équipe, le journal, au bord de la faillite, ne se vendait qu'à 30 000 exemplaires. Il a depuis vu affluer les dons et les abonnements, et vendu à plus de sept millions d'exemplaires son "numéro des survivants" du 14 janvier. De nombreux collaborateurs vivent désormais sous protection policière.
"Tout cet argent fait plus de mal que de bien"


"Nous prenons acte des souhaits des salariés d'être associés à la vie du journal. Mais nous sommes encore très loin de la réflexion sur l'actionnariat"

, a commenté l'avocat du journal, expliquant que les dirigeants étaient "navrés" de cette initiative. 

"Riss est encore à l'hôpital, les parts de Charb sont gelées par (sa) succession. Tout cet argent fait plus de mal que de bien. Cela fait penser à ces enterrements où on se bat déjà en revenant du cimetière pour les bijoux de la grand-mère"

, a-t-il regretté.
"Nous devons d'abord penser à sortir un journal tous les mercredis. Il faut aussi régler des problèmes fiscaux, puisque, par exemple, les dons sont taxés à 60 %. Les dons iront aux familles des victimes. Le produit des ventes ira dans la caisse du journal. Il servira aussi à créer une fondation, notamment pour enseigner la liberté d'expression à l'école"

, a expliqué l'avocat.
"Pour le moment, on n'est pas associés aux choix. Il n'y a rien contre la direction actuelle, aucun conflit avec qui que ce soit, mais par rapport à ce qui s'est passé, les salariés veulent être davantage acteurs de l'entreprise"

, a déclaré Patrick Pelloux, joint par l'AFP. 

"À partir du moment où une entreprise est décimée, vous vous sentez complètement lié à elle. Il ne s'agit pas de se partager le gâteau. L'argent ne nous intéresse pas"

, assure-t-il. 






Vers un contrôle collectif des comptes ?


Contacté par l'AFP, Laurent Léger a seulement répondu qu'il s'agissait de "discussions internes au journal". Dans son courriel à la rédaction, il insiste sur son souhait d'un contrôle collectif des comptes.

"Cette nouvelle répartition du capital permettra de rendre compte de la manière la plus transparente qui soit de l'utilisation de l'incroyable afflux de fonds dont le journal a été destinataire. (...) Nous avons pris acte de l'engagement des actionnaires actuels de bloquer l'argent, mais plus le contrôle est large, plus les décisions de ce type sont prises collectivement et mieux c'est pour tout le monde"





, ajoute-t-il. Il réclame aussi "un audit de la situation financière".

L'initiative a provoqué jeudi un vif débat au sein de la rédaction. Dans un courriel, un des dessinateurs, qui ne fait pas partie du collectif, a reproché aux membres du collectif de "parler de son argent (de Charb, NDLR)", alors que "les asticots n'ont même pas fini de le bouffer", même si "la question de l'actionnariat devra se poser". 



"Les actions de Charb ne s'envoleront pas, si c'est ça qui vous inquiète, Riss ne partira pas avec la caisse sous son bras [...] et Éric [Portheault, NDLR] n'a pas ouvert de compte en Suisse"

, a-t-il ajouté en soulignant les sacrifices financiers consentis par ces deux derniers pour le journal ces dernières années. 

Source: Le Point

Pédophilie chez Charlie Heddo et l'Humanité



janvier 1977. Son auteur, Victoria Thérame, émargeait à Charlie Hebdo, mais aussi à l’Humanité. A cette époque, toute la gauche faisait l’apologie de la pédophilie, comme nous l’avons vu, il n’est donc nullement étonnant de trouver cette défense de pédophiles avérés dans Charlie Hebdo, canard d’extrême-gauche. On sait maintenant que “Je suis Charlie” n’était pas un slogan pour la défense de la liberté d’expression, mais pour la gauche. Valeurs actuelles est traîné en justice et condamné pour d’autres caricatures sans qu’aucun membre du gouvernement n’invoque l’esprit du 11 janvier. S’ils avaient été victimes d’un attentat islamique, personne n’aurait défilé sous le slogan “Je suis Valeurs actuelles”. Jamais.Le terrorisme intellectuel de la gauche n’a d’équivalent que le terrorisme islamique : une minorité maintient la terreur sur la majorité pour continuer une politique de destruction absolue des valeurs, de l’économie et du sens commun. Mais après plus de 200 ans, le socialisme a atteint un degré particulièrement avancé du mensonge et de la propagande, qu’il sait rendre quasiment indécelable. Or les faits sont clairs, pour qui veut bien voir la réalité en face : la gauche n’a jamais fait son aggiornamento sur l’apologie de la pédophilie, de la zoophilie, du négationnisme, de la collaboration, de l’antisémitisme, du colonialisme, et de la hiérarchie des races, comme je l’avais expliqué face à une ribambelles de gauchistes :
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Extrait de: Source et auteur

7 commentaires:

Jérémie Amsallem a dit…

Des "communistes" mais au final quand tu leur fais miroiter du fric, ça se finit en bagarre de gosse. Qu'est-ce qu'on se marre ! Enfin ce serait marrant si ce n'était pas aussi pathétique.

Faré a dit…

La photo sur Hollande voulant censurer Charlie est malheureusement une nouvelle non confirmée: http://estpresse.com/francois-hollande-demande-la-suppression-de-la-une-de-charlie-hebdo-indecente-et-deplacee/

Pendant ce temps-là, la censure règne effectivement en Fwance: http://h16free.com/2015/03/18/37885-un-camp-du-bien-vraiment-moins-charlie

Les journalistes sont-ils aussi pour que les nouveaux employés suivants aient une part du butin? Les femmes de ménages? Les voisins? Le français moyen? Les cibles des caricatures?

François-René Đặng-Vũ Bân Rideau a dit…

À part égale, oui, puisqu'ils sont communistes. Mais il faut aussi inclure tous "les plus démunis" comme actionnaires à part égale, aussi.

Laurent Crouzet a dit…

Tant que le journal perdait de l'argent, personne ne proposait d'eponger les dettes à "parts égales". C'est étrange...

Stefan Metzeler a dit…

Exact - on veut bien une part des profits, mais surtout pas de part des pertes

François-René Đặng-Vũ Bân Rideau a dit…

Et ensuite, ce sont les socialauds qui viennent se plaindre de la "privatisation des profits et nationalisation des pertes".

Patrick Dam a dit…

Ils vont en faire une scop ... un paradis fiscal pour gauchistes seulement déja utilisé par "alternative economique"

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