L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture, librement vôtre. 
Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.
Sommaire:
A) Top-5 des villes les plus sûres du monde - Contenu réalisé à partir d'informations émanant de sources ouvertes
B) Top-5 des destinations que vous ne connaissiez pas - Contenu réalisé à partir d'informations émanant de sources ouvertes
C) Des mégapoles mondiales en concurrence !
D) Paris, mauvaise élève des villes les plus sûres du monde - par The Economist via Le Point
E) Une seule ville au monde est plus chère que Paris - Par Delphine Liou et Julien Marion - BFM
A) Top-5 des villes les plus sûres du monde
Dans cinq villes 
du monde, les habitants peuvent se promener en toute sécurité, rentrer 
chez eux très tard dans la nuit ou même laisser n'importe où leur 
ordinateur portable sans surveillance. Ils savent également que 
"sécurité" n'est pas synonyme "d'ennui".
En
 règle générale, il est déconseillé de laisser sans surveillance son 
portefeuille ou son ordinateur portable sur la table dans un café, même 
brièvement, mais les habitants des villes les plus sûres du monde le 
feront sans hésiter. Pour bien des gens le sentiment de sécurité 
s'apparente à celui de se sentir chez soi. Pour comprendre le ressenti 
de ceux qui vivent dans des endroits absolument sûrs, nous avons choisi 
les habitants des villes les plus stables et protégées du monde d'après 
le classement établi par le service analytique de la revue Economist — 
The Economist Intelligence Unit (EIU). Le classement tient compte des 
facteurs comme la sécurité individuelle, la qualité de l'infrastructure 
et le niveau de santé, ainsi que la sécurité numérique et technologique.
Osaka
Avec Tokyo, considérée comme la ville la plus sûre du monde, Osaka est l'incarnation du sentiment de sérénité spirituelle propre au pays. "Le Japon est incroyablement sûr. Si sûr que les habitants sont habitués à laisser leurs affaires personnelles sans surveillance dans les cafés quand ils vont commander au bar. C'est impensable dans d'autres endroits", explique Daniel Lee, fondateur de la revue internet anglophone locale Kansai Scene, qui a déménagé au Japon du Royaume-Uni il y a 17 ans.
Osaka
Avec Tokyo, considérée comme la ville la plus sûre du monde, Osaka est l'incarnation du sentiment de sérénité spirituelle propre au pays. "Le Japon est incroyablement sûr. Si sûr que les habitants sont habitués à laisser leurs affaires personnelles sans surveillance dans les cafés quand ils vont commander au bar. C'est impensable dans d'autres endroits", explique Daniel Lee, fondateur de la revue internet anglophone locale Kansai Scene, qui a déménagé au Japon du Royaume-Uni il y a 17 ans.
Osaka a la réputation d'une ville où tout est subordonné au commerce. 
Cela signifie que les gens doivent travailler et utiliser les transports
 en commun jusqu'à tard dans la nuit. "Même à l'heure la plus tardive 
les hommes d'affaires prennent le train et les quais sont aussi 
fréquentés que dans la journée. Pour une femme, il est parfaitement 
normal de voyager la nuit dans le métro, c'est absolument sûr", témoigne
 Yoshie Yamamoto, qui a déménagé ici de Kyoto il y a 25 ans.
Amsterdam
Avec moins d'un million d'habitants, Amsterdam est relativement petite par rapport aux autres villes classées par The Economist Intelligence Unit. Cela lui donne un certain avantage en ce qui concerne l'assurance de sécurité dans la ville. La décontraction ressentie à Amsterdam permet aux habitants et aux visiteurs de se sentir en paix et en tranquillité.
Avec moins d'un million d'habitants, Amsterdam est relativement petite par rapport aux autres villes classées par The Economist Intelligence Unit. Cela lui donne un certain avantage en ce qui concerne l'assurance de sécurité dans la ville. La décontraction ressentie à Amsterdam permet aux habitants et aux visiteurs de se sentir en paix et en tranquillité.
"Je me sens parfaitement en sécurité. Il est difficile de faire 
sortir quelqu'un de ses gonds ici", explique Toni Hinterstoisser, 
responsable de l'hôtel Andaz Amsterdam, qui a quitté New York il y a 
trois ans pour s'installer aux Pays-Bas. Cela concerne également les 
policiers locaux. Ils sont toujours à proximité, extrêmement polis, et 
toujours très concrets dans leurs exigences, note Toni Hinterstoisser.
Sydney
Bien que Sydney soit la plus grande ville d'Australie, sa culture orientée sur les bonnes relations avec ses voisins garantit aux habitants un sentiment de sécurité absolue. "Les membres de notre communauté prennent soin les uns des autres. Si quelqu'un nous semble suspect, on en informe les voisins et l'information concernant cet individu sera rapidement transmise de bouche à oreille à tout le voisinage", déclare Richard Graham, originaire de Sydney et propriétaire de la société touristique My Sydney Detour.
Bien que Sydney soit la plus grande ville d'Australie, sa culture orientée sur les bonnes relations avec ses voisins garantit aux habitants un sentiment de sécurité absolue. "Les membres de notre communauté prennent soin les uns des autres. Si quelqu'un nous semble suspect, on en informe les voisins et l'information concernant cet individu sera rapidement transmise de bouche à oreille à tout le voisinage", déclare Richard Graham, originaire de Sydney et propriétaire de la société touristique My Sydney Detour.
Les autorités municipales ont récemment adopté un plan 
d'investissement de 15 millions de dollars par an pour la reconstruction
 des voies pour piétons dans le but d'encourager les gens à marcher 
davantage. Victoria Moxey, de Buenos Aires, auteure du guide de Sydney 
pour les promenades pédestres Urban Walkabout, est convaincue que cette 
mesure contribuera à renforcer la sécurité de la vie urbaine.
"Les rues sont toujours fréquentées par les habitants assis avec des 
amis dans un café, qui se promènent avec leur chien ou simplement 
visitant la ville. Sydney est un lieu où plus on marche, mieux 
on ressent son appartenance à la communauté", affirme-t-elle.
Singapour
Cette cité-Etat d'Asie du Sud-Est aborde très sérieusement les questions d'ordre public. En résulte une sécurité absolue dans les rues de la ville.
Cette cité-Etat d'Asie du Sud-Est aborde très sérieusement les questions d'ordre public. En résulte une sécurité absolue dans les rues de la ville.
Rinita Vanjre Ravi, originaire de Bangalore et fondatrice du site 
BonAppetour pour ceux qui souhaitent manger avec des habitants locaux, 
comprend ce que signifie une police qui ne manque pas de financement. 
"Les policiers de Singapour sont très bien payés, ce qui les aide à 
s'occuper correctement du bien-être des concitoyens", explique-t-elle.
"Vous pouvez laisser votre sac à main sur la table dans un restaurant
 et aller passer votre commande. Vous ne vous demanderez pas si vous le 
retrouverez bien où vous l'avez laissé. Les locaux savent que la 
probabilité d'être pris et sanctionné est très grande", déclare Rinita 
Vanjre Ravi.
La stabilité politique et l'intolérance envers les plaisanteries 
religieuses ou les thèmes raciaux rendent l'atmosphère dans la ville 
encore plus harmonieuse.
Stockholm
Le fait que la ville soit située au Nord a ses avantages incontestables,
 comme les journées d'été interminables. La lumière naturelle de 
Stockholm en été, couplée à l'excellent éclairage du centre-ville 
pendant les saisons plus sombres, offre un sentiment de sécurité dans 
les lieux publics.
"J'ai deux enfants en bas âge, la sécurité a donc beaucoup 
d'importance pour moi et Stockholm est un endroit merveilleux pour les 
enfants. Il y a des aires pour enfants dans les parcs loin des routes et
 de nombreux espaces verts en plein centre-ville", déclare Kate Ti, qui a
 déménagé ici de Londres et anime le blog "Mère british à Stockholm".
Même si la vie ne bout pas ici comme à Londres, Kate pense que le 
rythme plus calme de Stockholm peut parfois être une véritable 
bénédiction. La ville n'est pas très grande mais on y ressent la 
dynamique et le progrès, dit-elle. "les Suédois sont parmi les premiers à
 adopter les nouveautés en tout genre, notamment technologiques, et sont
 souvent eux-mêmes à l'origine des nouvelles tendances."
La chaîne de télévision roumaine TVR1 a diffusé un reportage décrivant la Suède comme un paradis pour les mendiants roms, rapportent les médias suédois.
Contenu réalisé à partir d'informations émanant de sources ouvertes
» Vienne est la ville la plus agréable du monde selon le cabinet Mercer
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» Melbourne la plus agréable devant Vienne et Vancouver
B) Top-5 des destinations que vous ne connaissiez pas
Rappelons-nous quelques destinations de vacances pour les amateurs exigeants d'exotisme.
Nous
 sommes tous habitués à la variété des destinations touristiques 
accessibles aux voyageurs de nos jours: du ski alpin en Autriche et en 
France aux plages de la côte de la Thaïlande en passant par le Vietnam, 
le Cambodge et la Méditerranée. Cependant, des méga-projets touristiques
 voient le jour régulièrement dans des pays plus surprenants. Peu de 
gens savent que "la station de ski la plus exotique au monde" a été 
ouverte en Corée du Nord au début de l'année dernière. Après une 
inauguration grandiose en présence de délégations étrangères, ces 
installations n'attirent pas de grands flux touristiques et se 
transforment en lieux de séminaires des représentants des élites 
nationales et de rares aventuriers aisés des pays développés. 
Rappelons-nous quelques destinations de vacances pour les amateurs 
exigeants d'exotisme.
"Avaza", Turkménistan
Coût du projet: 5 milliards de dollars
La zone de villégiature turkmène Avaza a fait beaucoup de bruit au moment de sa construction. L'un des épisodes les plus marquants fut la performance de Jennifer Lopez lors de l'inauguration du yacht-club local, où elle a chanté de manière très chaleureuse "Happy Birthday" au président de la République, Gurbanguly Berdimuhamedow, presque comme Monroe pour Kennedy en 1962.
Le projet a coûté près de 5 milliards de dollars. À titre de comparaison, aux Émirats arabes unis, cette somme aurait largement suffi pour construire un énorme hôtel et deux ou trois Burj Khalifa. Malgré ce budget colossal, Avaza n'est pas devenue la nouvelle Dubaï, malgré l'air chic des hôtels locaux qui reçoivent de temps en temps différents forums politiques et économiques. Le Turkménistan étant un État assez fermé et très peu médiatisé, les monuments locaux de l'héritage culturel et historique n'assurent pas de grand flux de touristes. Le segment touristique y est donc très faible.
Corinthia Hotel Khartoum. Soudan
Coût du projet: 80 millions d'euros
Au Soudan, il y sûrement des choses à voir. À commencer par les anciennes pyramides nubiennes à Méroé, où elles sont presque plus nombreuses qu'en Égypte. Mais les touristes sont absents de ce pays: une série de conflits intérieurs violents et les sanctions internationales ont joué leur rôle.
"Avaza", Turkménistan
Coût du projet: 5 milliards de dollars
La zone de villégiature turkmène Avaza a fait beaucoup de bruit au moment de sa construction. L'un des épisodes les plus marquants fut la performance de Jennifer Lopez lors de l'inauguration du yacht-club local, où elle a chanté de manière très chaleureuse "Happy Birthday" au président de la République, Gurbanguly Berdimuhamedow, presque comme Monroe pour Kennedy en 1962.
Le projet a coûté près de 5 milliards de dollars. À titre de comparaison, aux Émirats arabes unis, cette somme aurait largement suffi pour construire un énorme hôtel et deux ou trois Burj Khalifa. Malgré ce budget colossal, Avaza n'est pas devenue la nouvelle Dubaï, malgré l'air chic des hôtels locaux qui reçoivent de temps en temps différents forums politiques et économiques. Le Turkménistan étant un État assez fermé et très peu médiatisé, les monuments locaux de l'héritage culturel et historique n'assurent pas de grand flux de touristes. Le segment touristique y est donc très faible.
Corinthia Hotel Khartoum. Soudan
Coût du projet: 80 millions d'euros
Au Soudan, il y sûrement des choses à voir. À commencer par les anciennes pyramides nubiennes à Méroé, où elles sont presque plus nombreuses qu'en Égypte. Mais les touristes sont absents de ce pays: une série de conflits intérieurs violents et les sanctions internationales ont joué leur rôle.
Malgré tout, un imposant hôtel cinq étoiles de la chaîne maltaise 
Corinthia se dresse au centre de Khartoum, la capitale soudanaise. Sa 
construction a commencé à la fin des années 1990 à l'initiative du 
leader libyen Mouammar Kadhafi, l'un des alliés indéfectibles du Soudan.
 La construction a coûté 80 millions d'euros et en 2008, l'hôtel a été 
officiellement ouvert. Le bâtiment, surnommé "l'œuf de Kadhafi", devait 
rappeler, d'après sa conception, une voile gonflée, le projet étant 
inspiré par le Burj al-Arab de Dubaï. Une chambre à l'hôtel coûte en 
moyenne autour de 300 dollars par nuit, donc si, par les caprices du 
sort, vous vous trouvez au Soudan, pensez bien à avoir une petite valise
 de cash car les cartes ne fonctionnent pas ici, et une succursale d'une
 banque occidentale ne peut être trouvée qu'en Égypte voisine. En ce 
moment, les principaux clients de l'hôtel sont les hommes d'affaires 
venant à Khartoum pour négocier.
Masikryong. Corée du Nord
Coût du projet: inconnu
La Corée du Nord semble prendre le secteur des loisirs très au 
sérieux: ces dernières années, le parc populaire d'attractions de Runga à
 Pyongyang a été réaménagé et doté du premier cinéma 4D du pays. En 
octobre 2014 a été ouvert un énorme parc aquatique à Munsu. Et 
maintenant, la Corée du Nord possède également une station de ski dont 
le projet a été probablement inspiré par les souvenirs du leader 
nord-coréen de ses années scolaires passées en Suisse.
La première station de ski nord-coréenne, Masikryong, ouverte l'année
 dernière, occupe un territoire de 1400 hectares, dispose de plus de 100
 km de pistes, d'un hôtel de luxe et de plusieurs restaurants. C'est le 
seul projet de ce genre dans tout le pays, réalisé en un temps record — 
en seulement 10 mois.
Le leader de la Corée du Nord s'est rendu personnellement sur le site
 et a même pris la remontée mécanique qui est une vraie petite victoire 
pour les Nord-Coréens. Les producteurs européens ont refusé de soutenir 
le projet nord-coréen en le qualifiant de "propagande", et ce genre 
d'équipement n'est pas produit dans le pays. Cependant, la remontée est 
là — peut-être, les techniciens nord-coréens ont-ils développé leur 
propre projet, ou bien acheté toutes les technologies nécessaires à la 
Chine voisine.
Plusieurs campagnes de grande envergure ont été lancées pour attirer 
les touristes, nationaux comme étrangers, y compris les touristes russes
 qui se voient proposer par une agence de voyage nord-coréenne spéciale 
des offres forfaitaires de ski. La question du climat dans la région 
reste ouverte: Aram Pan, photographe du Singapour, a visité la station 
en octobre, mais n'as pas vu de neige.
Dahlak Island Resort. Érythrée
Coût du projet: 100 millions USD
L'Érythrée est un pays avec un des régimes les plus répressifs en 
Afrique. Le chef de l'État Issayas Afewerki qui reste au pouvoir depuis 
la séparation du pays de l'Ethiopie, a aboli les élections 
présidentielles en 2001 et a interdit la création des partis politiques 
et des médias indépendants. D'ailleurs, cela n'empêche pas du tout de 
lancer des campagnes touristiques de grande envergure dans le pays.
En 2007, sur un petit archipel désert des Dahlak dans la mer Rouge, a
 été commencée la construction d'un complexe hôtelier comprenant des 
villas et des bungalows de luxe. Le complexe est construit avec le 
soutien direct du Qatar. Selon les estimations préliminaires, son coût 
total s'élévera à près de 100 millions de dollars. Selon la conception 
des initiateurs de ce projet, l'archipel érythréen sera transformé en 
une destination touristique populaire qui dépassera même Charm el-Cheikh
 égyptien.
Korek Mountain Resort. Irak
Coût du projet: 95 millions USD
Une autre nouvelle destination touristique — le Kurdistan irakien. Là
 aussi, une station de ski a ouvert ses portes. Les Kurdes ont d'énormes
 attentes concernant ce nouveau projet qui a demandé plus de 95 millions
 de dollars d'investissements. La station est conçue pour stimuler le 
flux d'argent dans la région et ainsi augmenter son indépendance de 
Bagdad. Même la campagne publicitaire ici est basée sur les slogans du 
genre: "Le Kurdistan n'est pas l'Irak. Chez nous il n'y a pas de 
danger". L'image est un peu gâchée par les militants de l'EIIL qui 
contrôlent la moitié du territoire de l'Irak.
Le pays avait déjà des stations de ski avant. Une d'entre elles, par 
exemple, a été ouverte à l'initiative d'un enthousiaste basque qui a 
décidé de transformer le Kurdistan en de nouveaux Pyrénées. Cependant, 
le complexe sur le mont Korek est la première station de ski à part 
entière, avec des remontées mécaniques, 2 pistes (pour les novices et 
les plus avancés) et des cafés qui servent des kebabs. La campagne de 
marketing a coûté au gouvernement du Kurdistan 3 millions de dollars et 
ciblait principalement les États-Unis, l'Europe et la Turquie. 
Cependant, les Kurdes mettent leur principal espoir dans les touristes 
des pays arabes pour lesquels les montagnes irakiennes enneigées 
deviendront, peut-être, une excellente alternative des vacances en Oman 
ou en Jordanie
Contenu réalisé à partir d'informations émanant de sources ouvertes
  
D) Paris, mauvaise élève des villes les plus sûres du monde   
Selon le classement 2015 de "The Economist", la capitale française arrive à la 23e place, derrière Londres et New York. Tokyo se place en première position.
Si Paris
 est l'une des villes les plus touristiques au monde, elle est loin 
d'être l'une des plus sûres. La capitale française se retrouve en effet à
 la 23e place du classement 2015 des villes les plus sûres publié par The Economist.
Pour dresser sa liste, le magazine britannique s'est intéressé à plusieurs indicateurs, comme celui de la santé, qui mesure la façon dont les villes maintiennent un bon "environnement physique" et l'accès aux soins de la population, un critère lié aux infrastructures, et notamment à la résilience des bâtiments et des routes aux catastrophes, un autre concernant la sécurité des personnes, calculable avec le chiffre de la délinquance et, enfin, un indicateur de sécurité "digitale", qui touche entre autres à la cybercriminalité.
Les villes riches d'Asie, d'Amérique du Nord et d'Europe dominent donc clairement la première partie du classement. Des villes des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) se retrouvent néanmoins en deuxième partie de classement. Rio de Janeiro se classe notamment 35e, et Moscou 43e.
Classement des dix premières villes les plus sûres du monde :
Tokyo
Singapour
Osaka
Stockholm
Amsterdam
Sydney
Zurich
Toronto
Melbourne
New York
Pour dresser sa liste, le magazine britannique s'est intéressé à plusieurs indicateurs, comme celui de la santé, qui mesure la façon dont les villes maintiennent un bon "environnement physique" et l'accès aux soins de la population, un critère lié aux infrastructures, et notamment à la résilience des bâtiments et des routes aux catastrophes, un autre concernant la sécurité des personnes, calculable avec le chiffre de la délinquance et, enfin, un indicateur de sécurité "digitale", qui touche entre autres à la cybercriminalité.
Deux villes européennes dans le top 10
L'Asie se place en tête du podium : Tokyo arrive en effet en tête, juste devant Singapour et Osaka. Si Paris se retrouve à la 23e place, deux villes européennes sont dans le top 10. La capitale suédoise Stockholm est, selon le classement, la quatrième ville la plus sûre du monde, tandis qu'Amsterdam aux Pays-Bas se classe cinquième. Plusieurs grandes villes nord-américaines sont aussi mieux classées que Paris : New York (10e), San Francisco (12e), Chicago (16e), et étonnamment Los Angeles (17e). La grande rivale européenne de Paris, Londres, est quant à elle à la 18e position.Les villes riches d'Asie, d'Amérique du Nord et d'Europe dominent donc clairement la première partie du classement. Des villes des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) se retrouvent néanmoins en deuxième partie de classement. Rio de Janeiro se classe notamment 35e, et Moscou 43e.
Classement des dix premières villes les plus sûres du monde :
Tokyo
Singapour
Osaka
Stockholm
Amsterdam
Sydney
Zurich
Toronto
Melbourne
New York
 Indice de liberté économique la France 70ème
Singapour domine le dernier classement annuel de The Economist Intelligence Unit qui compare le coût de la vie dans les grandes métropoles des 5 continents. L'île-Etat est suivie par Paris, Oslo, Zurich et Sydney.
C'est une polémique qui a eu lieu il y a maintenant un an. Janine Di Giovanni, la correspondante de Newsweek à Paris, s'attire les foudres des internautes (et de Pierre Moscovici, alors ministre de l'Economie) en écrivant un article sur le déclin de la France. Une affirmation de la journaliste, qui vit alors dans le VIe arrondissement de Paris, fait plus particulièrement réagir: le prix d'un demi-litre de lait coûterait un peu plus de 3 euros dans la capitale parisienne. Un prix exorbitant et évidemment erroné.Mais, sans donner raison à la journaliste américaine, une étude de The Economist Intelligence Unit, publiée le 2 mars dernier, vient néanmoins rappeler que Paris reste l'une des villes où le coût de la vie est le plus élevé au monde.
Selon son classement annuel, la capitale tricolore n'est ni plus ni moins que la deuxième ville la plus chère au monde. C'est d'ailleurs à Paris que l'on retrouve les prix les plus élevés pour le kilogramme de pain (8,83 dollars).
Les vêtements deux fois plus chers à Singapour qu'à New York...
Seul Singapour est, globalement, plus chère, et truste ainsi le haut du classement de The Economist Intelligence Unit depuis maintenant deux ans. Les prix des fruits et légumes y sont 11% plus élevés qu'a New York, ville qui sert de référence à l'étude. Et les vêtements deux fois plus chers! En outre, une bouteille de vin y coûte en moyenne 13 dollars de plus qu'à Paris.Oslo monte sur la troisième place du podium, suivie par Zurich et Sydney. Un top 5 inchangé par rapport à l'an dernier. Le classement ne prend pas toutefois en compte la forte et récente hausse du franc suisse, précise The Economist intelligence Unit. En queue de palmarès, les deux villes où le coût de la vie est le moins élevé sont Bangalore en Inde, devant Karachi au Pakistan, puis Bombay (Inde) et Caracas (Venezuela).
Pour construire son classement, The Economist Intelligence Unit a comparé 400 prix représentant 160 biens de consommations et services. Ce qui inclut les produits de première nécessité (nourriture, boisson, habillement) mais également les loisirs où le coût des écoles privées.
Par Delphine Liou et Julien Marion
 La France absente, rhôooo est-ce possible ??















 
 
