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octobre 16, 2025

Vaccin Efluelda: Santé politique ou santé médicale confirmée ?

Vaccin Efluelda : big pharma et le gouvernement, une alliance toxique pour la santé publique ?

En pleine saison automnale 2025, la France est secouée par un nouveau scandale sanitaire qui met en lumière les liens incestueux entre les autorités publiques et l’industrie pharmaceutique.

 


 

Révélée par Le Canard Enchaîné dans son édition du 15 octobre 2025, l’affaire Efluelda accuse la Haute Autorité de Santé (HAS) d’avoir manipulé un rapport scientifique pour justifier le remboursement intégral d’un vaccin antigrippal développé par Sanofi, malgré son manque d’efficacité prouvée par rapport aux alternatives moins coûteuses.

Cette falsification présumée, orchestrée sous pression de l’Élysée, soulève des questions graves sur la corruption au sein des institutions sanitaires françaises. Alors que la campagne de vaccination contre la grippe et le Covid-19 bat son plein, avec des incitations agressives à se faire piquer « une dose dans chaque bras » , le gouvernement semble préparer le terrain pour imposer ces injections aux soignants, rappelant les heures sombres de la « fausse pandémie » de Covid. Pendant ce temps, aux États-Unis, des avancées sous l’impulsion de Robert F. Kennedy Jr. (RFK Jr.) montrent qu’une autre voie est possible, avec des poursuites contre les acteurs corrompus de Big Pharma. Analyse critique d’une affaire qui illustre comment les intérêts privés l’emportent sur la protection des patients.

 


 

L’affaire Efluelda : une manipulation au service des profits de Sanofi

Au cœur du scandale se trouve Efluelda, un vaccin antigrippal à haute dose destiné aux personnes âgées de 65 ans et plus, ainsi qu’aux immunodéprimés. Selon les allégations du Canard Enchaîné, la HAS aurait « caviardé » – c’est-à-dire censuré ou altéré – un rapport d’expertise pour transformer une évaluation neutre en recommandation favorable, permettant un remboursement à 100 % par la Sécurité sociale. Initialement jugé sans « progrès » notable en 2020, ce vaccin coûte deux fois plus cher (23,97 €) que les versions standards, sans démontrer une supériorité claire en termes d’efficacité. Des études cliniques montrent une réduction modeste des hospitalisations (11,2 %), mais rien qui justifie un tel surcoût pour les contribuables.

Les motivations ? Favoriser Sanofi, géant français du médicament, pour « soigner ses bénéfices », avec des liens personnels suspectés entre l’Élysée et les dirigeants de l’entreprise – comme Frédéric Oudéa ou Serge Weinberg, qui a aidé Emmanuel Macron dans sa carrière chez Rothschild. Un nouveau président de la HAS, « parachuté » par Macron, aurait supervisé ces modifications, ignorant les objections des experts internes. Ce n’est pas la première fois que Sanofi exerce des pressions : en 2024, le vaccin avait été retiré du marché suite à un désaccord sur les prix, avant de revenir en force en 2025.

Cette affaire n’est qu’un symptôme d’un système où Big Pharma dicte les règles, au détriment de la transparence et de la santé publique.

Où est la vigilance des autorités ? Absente, quand les intérêts économiques priment.

 


 

La nomination controversée de Stéphanie Rist : une ministre aux ordres de big pharma ?

Ce scandale éclate peu après la nomination de Stéphanie Rist au poste de ministre de la Santé, des Familles, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, le 12 octobre 2025, dans le cadre du gouvernement Lecornu II. Rhumatologue de formation et députée Renaissance du Loiret depuis 2017, Rist est une fidèle du macronisme, ayant rapporté la loi sur le « Ségur de la Santé » en 2021. Mais son passé est entaché de conflits d’intérêts flagrants : entre 2012 et 2017, elle a déclaré 309 liens avec des laboratoires pharmaceutiques, pour un total de 40.196 euros, incluant des défraiements pour congrès, invitations et interventions rémunérées. Qualifiée de « championne des liens avec les labos » par l’enquête « PharmaPapers » de 2018, elle incarne l’infiltration de Big Pharma dans la sphère politique.

Bien qu’elle affirme avoir rompu ces collaborations depuis son élection, ces liens antérieurs – courants en rhumatologie via essais cliniques et partenariats – soulèvent des doutes sur son impartialité. Sa déclaration d’intérêts à la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP), mise à jour en septembre 2024, ne mentionne plus de participations directes, mais masque les influences passées. Dans un contexte d’instabilité gouvernementale, avec des remaniements incessants et des menaces de censure, cette nomination apparaît comme un choix imprudent, priorisant la loyauté partisane sur l’intérêt public. Comment une ministre aux liens si étroits peut-elle réguler efficacement une industrie qui la courtisait autrefois ? C’est une recette pour plus de scandales, au moment où la confiance dans les institutions sanitaires est au plus bas.

 


 

La campagne agressive de la sécurité sociale : « une piqûre dans chaque bras » pour booster les ventes

Parallèlement, la Sécurité sociale française mène une campagne de vaccination intensive contre la grippe et le Covid-19, lancée le 14 octobre 2025. Visant plus de 19 millions de personnes à risque, elle encourage explicitement la double injection simultanée : « deux vaccins, deux injections, une dans chaque bras, un seul rendez-vous ». Cette approche, présentée comme « simplificatrice », cache une incitation agressive à consommer plus de doses, au profit de laboratoires comme Sanofi ou Pfizer (condamné 90 fois en 22 ans aux Etats-Unis et des amendes record de plusieurs milliards). Les autorités insistent sur la gratuité pour les groupes ciblés (c’est tout de même Nicolas qui paie), mais omettent de mentionner les doutes sur l’efficacité réelle, surtout pour des vaccins comme Efluelda.

Cette campagne s’inscrit dans une stratégie de normalisation des injections multiples, sans débat public sur les effets secondaires potentiels ou l’utilité pour une population en bonne santé. C’est une machine à profits pour Big Pharma, financée par les contribuables, qui renforce la dépendance à des produits pharmaceutiques plutôt que de promouvoir une santé préventive naturelle.

 


 

Vers une obligation pour les soignants : retour aux méthodes coercitives du covid

Pire encore, le gouvernement semble préparer le terrain pour rendre ces vaccinations obligatoires pour les soignants, comme lors de la « fausse pandémie » de Covid-19, où l’obligation vaccinale avait entraîné des suspensions massives et une crise du personnel hospitalier.

La HAS a été saisie pour se prononcer sur l’obligation vaccinale contre la grippe pour les professionnels de santé d’ici 2026, suite à une suspension en 2006.

Actuellement, seuls 21 % des soignants en EHPAD sont vaccinés contre la grippe, un taux jugé insuffisant par les autorités.

Cette mesure coercitive, si adoptée, rappellerait les excès du passé : obligation sous peine de suspension, sans égard pour la liberté individuelle ou les données scientifiques contestées. Big Pharma et la contrainte sont encore à la manœuvre, avec des rumeurs persistantes d’un retour du passe sanitaire pour imposer une « vaccination généralisée ». Bien qu’aucun plan officiel n’ait été annoncé en 2025, les débats sur des « évolutions » du programme sanitaire et des mesures d’urgence font craindre une résurgence de ces outils autoritaires, surtout dans un contexte de budget de la Sécu sous tension. Est-ce la porte ouverte à une surveillance accrue, au nom d’une « protection » qui profite surtout aux actionnaires ?

Aux États-Unis, RFK jr. ouvre la voie à une véritable protection des patients

En contraste saisissant, les États-Unis avancent vers une réforme radicale sous l’impulsion de Robert Francis Kennedy Jr., nommé secrétaire à la Santé et aux Services humains en 2025. Connu pour sa croisade contre la corruption de Big Pharma, il a promis de « nettoyer » les agences comme la FDA, accusées de conflits d’intérêts avec l’industrie. En mai 2025, il a menacé d’interdire aux scientifiques fédéraux de publier dans des journaux médicaux « corrompus » comme le New England Journal of Medicine ou The Lancet, qu’il accuse d’être sous influence pharmaceutique.

Des poursuites judiciaires ont été lancées contre des médecins corrompus, des agences de vigilance comme la FDA, et des géants pharmaceutiques pour fraudes et dissimulation d’effets secondaires.

 


 

RFK Jr. cible les alliances entre Big Pharma et les régulateurs, promouvant des alternatives indépendantes et une transparence accrue. Ces avancées montrent qu’il est possible de briser le joug de l’industrie, protégeant vraiment les patients plutôt que de les transformer en clients captifs. La France, engluée dans ses scandales, devrait s’en inspirer au lieu de persister dans une voie autoritaire et corrompue.

L’affaire Efluelda n’est pas un incident isolé, mais le révélateur d’un système où Big Pharma impose sa loi, avec la complicité d’un gouvernement affaibli. Face à ces dérives, la résistance citoyenne et la désobéissance s’imposent pour défendre une santé libre et transparente.

https://multipol360.com/vaccin-efluelda-big-pharma-et-le-gouvernement-une-alliance-toxique-pour-la-sante-publique/

 

 

septembre 18, 2025

Avec beaucoup de censure en France, le mensonge covid se craquèle : la vérité éclate peu à peu

En médecine, il existe un principe sacré, gravé dans le marbre depuis l’Antiquité : Primum non nocere – « D’abord, ne pas nuire ». C’est le serment d’Hippocrate, le fondement éthique de toute pratique médicale.

Pourtant, durant la soi-disant pandémie de COVID-19, les autorités sanitaires mondiales, des agences comme l’OMS, la FDA aux États-Unis, l’EMA en Europe et leurs équivalents nationaux comme l’ARS en France, ont piétiné ce principe avec une arrogance criminelle.


Quand on ne sait pas, on ferme sa gueule ? Pas du tout. Au contraire, on a imposé des mesures draconiennes, des confinements absurdes et, pire, des injections expérimentales présentées comme des « vaccins miracles » – un poison qui, aujourd’hui, continue de tuer et de mutiler. Si l’on paye grassement ces « experts » et politiciens pour protéger la santé publique, il est temps que des têtes tombent. Et vite.

Les coûts astronomiques : un gouffre financier et humain inexcusable

Commençons par les chiffres, ces froids témoins d’une incompétence monumentale. La pandémie a coûté au monde entre 8 et 16 trillions de dollars (1 trillon de $ = 1.000 millirds $), selon des estimations. Le FMI a initialement projeté 12,5 trillions de dollars de pertes globales jusqu’en 2024, mais ce chiffre a été revu à la hausse en raison des disruptions persistantes dans les chaînes d’approvisionnement et l’inflation galopante. Aux États-Unis seuls, une étude de JAMA évalue le coût cumulatif à 16 trillions de dollars, incluant les pertes de production et les impacts sur la santé – soit plus que le PIB annuel du pays ! La Banque Mondiale parle de 8,5 trillions de dollars de pertes de production économique sur deux ans, effaçant les gains des quatre années précédentes. Et en Europe ? Une chute moyenne du PIB de 7,4 %, avec des coûts directs et indirects qui s’élèvent à des trillions, selon une revue systématique publiée en 2023.


 

Mais l’argent n’est rien comparé au carnage humain. Plus de 7 millions de morts officiels dus au COVID-19, mais les excès de mortalité racontent une histoire bien plus sombre :

des centaines de milliers de décès supplémentaires liés aux confinements, aux reports de soins et à la désinformation officielle.

Chez les jeunes, c’est une hécatombe psychologique : l’OMS rapporte une augmentation massive de 25 % de la prévalence de l’anxiété et de la dépression mondiale en 2020, touchant particulièrement les 10-24 ans. Aux États-Unis, les symptômes de dépression et d’anxiété ont quadruplé chez les adultes jeunes, passant de 11 % en 2019 à 40 % en 2020, selon des sondages du CDC. Les suicides chez les adolescents ont grimpé de 50 % pendant la pandémie, avec des pics chez les garçons. Une étude du Global Burden of Disease 2021 montre que la charge de la dépression chez les ados a explosé, bien au-delà des prédictions, et continue d’augmenter en 2025.

Cette période a été particulièrement difficile pour les familles ayant des enfants en bas âge et des ados logés en appartement sans jardin ou terrasse, ou même pour les familles nombreuses confinées dans de petites surfaces, où l’enfermement prolongé a exacerbé les tensions, les troubles psychologiques et les retards éducatifs. En France, le premier confinement, particulièrement sévère avec des restrictions draconiennes comme les attestations obligatoires pour sortir, a duré 55 jours (du 17 mars au 11 mai 2020), tandis que le deuxième a duré 46 jours (du 30 octobre au 15 décembre 2020). Pourtant, certains pays comme la Suède, qui n’ont pas imposé de confinements stricts, ont enregistré un excès de mortalité plus faible sur la période de la pandémie – un taux d’excès de mortalité inférieur de près de 27 % à celui de la France, démontrant que ces mesures extrêmes n’étaient pas nécessairement salvatrices et ont causé plus de mal que de bien.

Ces jeunes, confinés, isolés, déscolarisés, payent le prix d’une hystérie collective orchestrée par des bureaucrates incompétents.

Et pour quoi ? Pour une « pandémie » gérée comme un cirque autoritaire, où les libertés ont été sacrifiées sur l’autel de la peur.


Les traitements alternatifs interdits : une censure criminelle au nom de big pharma

Si l’on « ne savait pas » comment gérer le virus, pourquoi interdire les solutions alternatives ? L’hydroxychloroquine et l’ivermectine, des médicaments bon marché, utilisés depuis des décennies contre le paludisme et les parasites, ont été bannis autoritairement par la FDA, l’EMA et d’autres agences. Pourquoi ? Parce qu’ils menaçaient les profits des « vaccins » expérimentaux. Des études récentes, comme une revue systématique de phase III en 2024, montrent que ces traitements, utilisés tôt, réduisent les hospitalisations et la mortalité chez les patients modérés. Aux États-Unis, quatre États (comme le Tennessee et le New Hampshire) ont même légiféré en 2025 pour autoriser l’ivermectine en vente libre, reconnaissant son potentiel. Pourtant, pendant la pandémie, leur usage a explosé illicitement – prescriptions d’ivermectine multipliées par 10, hydroxychloroquine doublées – parce que les gens savaient que les autorités mentaient.

La Mayo Clinic et la FDA admettent aujourd’hui que ces interdictions étaient basées sur des données partielles, mais le mal est fait : des millions ont souffert inutilement pendant que Big Pharma engrangeait des milliards avec des vaccins autorisés sans données complètes sur les effets à long terme. C’est une violation flagrante de la principale règle « Primum non nocere » – on a préféré le profit à la prudence.

Comme l’a récemment admis la Commission européenne dans une réponse à une question parlementaire

posée par le député européen autrichien Gerald Hauser (FPÖ), rapportée par la Berliner Zeitung, les vaccins contre le COVID-19 ont été distribués sans données de sécurité complètes. Hauser a interrogé : « Pourquoi la Commission n’a-t-elle pas informé les citoyens que l’efficacité et la sécurité des vaccins à ARNm – comme stipulé dans le contrat – n’étaient pas garanties ? » L’article souligne que cette décision, liée à des contrats opaques impliquant Ursula von der Leyen, soulève des questions graves sur la responsabilité et les risques imposés à la population.

La chasse aux « tueurs en blouse blanche » : RFK jr., le justicier anti-corruption

Aux États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., nommé Secrétaire à la Santé et aux Services Humains, mène une guerre sans merci contre ces « tueurs en blouse blanche » – ces médecins et bureaucrates corrompus par Big Pharma. Kennedy, dans son combat acharné, expose comment la FDA tire près de la moitié de son budget des compagnies pharmaceutiques qu’elle est censée réguler, créant un conflit d’intérêts flagrant. Le CDC n’est qu’un bras marketing pour les vaccins, et le NIH canalise des milliards vers des études biaisées en faveur des labos. RFK Jr. licencie en masse les corrompus au sein de la CDC, FDA, HHS et NIH, et cible même les exécutifs de BlackRock et Vanguard qui influencent ces agences. Il enquête sur l’épidémie d’autisme, met fin aux mandats vaccinaux COVID et réforme pour restaurer la transparence.

Kennedy expose le « Pfizergate » : des contrats secrets, des prix exorbitants pour des médicaments que les contribuables financent, et une collusion avec le Congrès qui empoche des millions de Big Pharma pour approuver ces poisons. Son alliance avec Trump pour « Make America Healthy Again » est une claque aux élites pharma qui ont profité de la pandémie. Les attaques contre lui – hit pieces, appels à démission – prouvent qu’il touche au cœur du système corrompu.


 

Des têtes doivent tomber : pour une vraie justice

On paye des fortunes ces responsables – salaires mirobolants, budgets colossaux pour l’ARS et ses homologues mondiaux – pour qu’ils protègent la population. Au lieu de ça, ils ont semé la mort, la ruine et la dépression. Les vaccins, libérés sans données complètes, tuent encore aujourd’hui via des effets secondaires occultés.

Cette farce n’aurait pas pu se produire sans la vile collaboration des médias, qui ont servi de relais propagandistes pour amplifier la peur, censurer les voix dissidentes et occulter les scandales, permettant ainsi au scandale de prospérer sous un voile de consensus fabriqué.

Il est grand temps d’une purge globale : enquêtes indépendantes, poursuites judiciaires contre les Fauci, les von der Leyen et leurs complices. Si RFK Jr. peut le faire aux USA, pourquoi pas en Europe ? La « pseudo-pandémie » n’était qu’un prétexte pour le contrôle et les profits. Primum non nocere ? Ils l’ont transformé en « D’abord, enrichir les labos ». Et comment ne pas évoquer l’hypocrisie au sommet, avec Sébastien Lecornu, actuel Premier Ministre nommé en septembre 2025, qui, en tant que Ministre des Outre-mer à l’époque, a participé à un « apéro clandestin » en Nouvelle-Calédonie le 16 octobre 2021, en plein confinement strict, réunissant une dizaine de personnes sans respect des règles qu’il imposait aux citoyens – un symbole parfait de l’élite qui prêche l’austérité tout en s’en exemptant.

https://multipol360.com/le-mensonge-covid-se-craquele-la-verite-eclate-peu-a-peu/ 

ÉTUDE DE DERNIÈRE MINUTE : 

Les « vaccins » contre la COVID-19 sont liés à 63 effets indésirables graves affectant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière)  Les seuils de sécurité des CDC/FDA ont été violés alors que les vaccins contre la COVID perturbent la barrière hémato-encéphalique, provoquant méningite, encéphalite, maladie à prions, abcès cérébraux, réactivations de l'herpès, syndromes démyélinisants et plus encore. En utilisant les données du VAERS de janvier 1990 à novembre 2024, nous avons comparé les rapports d’événements indésirables après la vaccination contre la COVID-19 à ceux après les vaccins contre la grippe :  


 

Affections neurodégénératives et démyélinisantes rares :

- Maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) — 847 fois plus susceptible d'être signalée que les vaccins contre la grippe

Myélite (tous types) — 31 fois plus probable

- Myélite transverse — 21 fois plus probable

Myélite virale — 115 fois plus probable   

Myélite non infectieuse — 132 fois plus probable

- Maladie à prions (général) — 62 fois plus probable 

 

 Infections du SNC :   

- Méningite (tous types) — 34 fois plus probable

Méningite aseptique — 53 fois plus probable

- Méningite bactérienne — 36 fois plus probable

Encéphalite auto-immune — 79 fois plus probable

- Encéphalite limbique — 146 fois plus probable

Encéphalite de Bickerstaff — 68 fois plus probable

- Neuroborréliose (infection du système nerveux central de Lyme) — 321 fois plus probable

Encéphalopathie toxique — 157 fois plus probable

- Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) — 45 fois plus probable 

 

 Réactivations herpétiques du SNC :       

- Méningite à zona — plus de 1 200 fois plus de risques

Méningo-encéphalite à herpès zoster — 339 fois plus probable

- Maladie neurologique du zona — 680 fois plus probable

Méningite à herpès simplex — 132 fois plus probable

Méningo-encéphalite herpétique — 136 fois plus probable

- Méningite à varicelle — 168 fois plus probable 

 

Abcès cérébraux et rachidiens :      

Abcès cérébral — 120 fois plus probable

- Abcès extradural — 169× plus probable

Abcès de la moelle épinière — 89 fois plus probable

- Abcès sous-dural — 36 fois plus probable

       Les injections de COVID-19 non seulement enflamment et perturbent la BHE, mais présentent également des propriétés similaires à celles des prions, provoquant un mauvais repliement des protéines semblable à la « maladie de la vache folle ». Cette perturbation neurologique sans précédent contribue également à expliquer pourquoi une autre étude de Thorp et al. a révélé que les injections d’ARNm étaient liées à 86 troubles neuropsychiatriques graves, notamment la démence, la schizophrénie, les pensées suicidaires et homicides, les accidents vasculaires cérébraux, la psychose, la dépression, les troubles cognitifs, les délires, etc. Tous les signaux de sécurité signalés sont extrêmement préoccupants et justifient une interdiction mondiale immédiate du programme de vaccination contre la COVID-19.

https://x.com/NicHulscher/status/1968470993699213418


 

« Des centaines de scientifiques demandent l'arrêt des vaccins à ARNm ! » 

« Les critiques à l'égard des préparations à base d'ARNm se multiplient : des milliers d'effets secondaires, des questions de sécurité ouvertes - les scientifiques exigent un moratoire et une réévaluation urgente » ! Article ce jour dans le Berliner Zeitung : berliner-zeitung.de/coronavirus/hu La déclaration et les signataires sont là : mwm-proof.com/de/start/ « Le nombre d'effets secondaires signalés à l'Institut Paul Ehrlich (PEI) est alarmant : environ 975 000 effets secondaires ont été signalés » !  Il faut interdire les injections ARNm chez les humains ET chez les animaux d’élevage ! De toute urgence !

 


tkp.at/2025/09/15/eu- L’État membre participant reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas connus à l’heure actuelle. En outre, dans la mesure où cela est applicable, l’État membre participant reconnaît que le vaccin ne doit pas être sérialisé.

La stipulation contractuelle de la non-sérialisation d'un vaccin engage plusieurs implications légales, réglementaires et opérationnelles, particulièrement dans le contexte des médicaments soumis à des normes strictes - La sérialisation consiste à attribuer un identifiant unique (comme un code 2D ou un numéro de série) à chaque unité de médicament, permettant une traçabilité complète de la chaîne d'approvisionnement. Cela vise à lutter contre les contrefaçons, faciliter les rappels et assurer la sécurité des patients. - En Europe, la Directive 2011/62/UE (dite "Falsified Medicines Directive") rend la sérialisation obligatoire depuis le 9 février 2019 pour les médicaments sur ordonnance, y compris les vaccins. Elle impose un dispositif anti-effraction et un identifiant unique pour vérifier l'authenticité. - Aux États-Unis, la Drug Supply Chain Security Act (DSCSA) exige une sérialisation similaire depuis 2013, avec une application pleine en 2024 pour les vaccins, via des codes-barres 2D. - Prévoir contractuellement la non-sérialisation signifie renoncer explicitement à cette exigence. Le contrat lie le fournisseur (ex. : laboratoire pharmaceutique) à livrer des vaccins sans identifiants uniques, et l'acheteur (ex. : État ou organisme public) à les accepter. Cela peut inclure des clauses d'exemption temporaire, mais cela engage la responsabilité des signataires en cas de non-conformité ultérieure. Pour les vaccins COVID-19 : - Le contrat UE-Pfizer/BioNTech a explicitement renoncé à la sérialisation, rendant impossible le suivi individuel des doses. Cela a été critiqué comme contraire à la directive européenne sur les médicaments falsifiés. - Aux États-Unis, le contrat avec Sanofi pour un vaccin COVID-19 stipulait "no serialization at the vial level". - Si la non-sérialisation contrevient à des réglementations, le contrat pourrait être déclaré nul ou partiellement invalide. En Europe, cela pourrait exposer les parties à des sanctions de l'Agence européenne des médicaments (EMA) ou des autorités nationales. - Sans traçabilité, les parties s'engagent implicitement à assumer les risques liés à des erreurs de distribution ou des contrefaçons. En cas d'effets indésirables graves ou de rappel défectueux, cela pourrait amplifier la responsabilité civile ou pénale (ex. : poursuites pour négligence). Sans numéros de série, il est plus difficile de suivre les lots individuels, ce qui complique les rappels en cas de défaut (ex. : contamination) et augmente le risque de produits falsifiés entrant dans la chaîne. Cela engage une vulnérabilité accrue pour la santé publique. - Dans les contrats COVID-19, ces clauses ont été critiquées pour prioriser la vitesse sur la sécurité. Une question parlementaire européenne de 2025 interroge la Commission sur le waiver dans l'accord Pfizer, soulignant un risque pour l'authenticité des vaccins. - Notez que la non-sérialisation n'est pas liée aux clauses de non-responsabilité (indemnité) souvent évoquées dans les mêmes contrats, qui protègent les fabricants contre les poursuites pour effets secondaires.

Maintenant, les preuves émergent suite aux questions posées par l'eurodéputé autrichien Gerald Hauser au Parlement européen. L'efficacité des vaccins contre le COVID-19 était inconnue, les effets indésirables à long terme étaient inconnus au moment du déploiement, la sérialisation a été interdite contractuellement dans les accords avec Pfizer/BioNTech, et le produit était expérimental, encore en phase d'essai lors de la signature des contrats avant l'autorisation. La mortalité due au COVID était connue et surévaluée, comme l'ont indiqué des analyses initiales montrant que le taux de létalité était surestimé en raison d'un sur-dénombrement des cas. 11 jours après la signature des contrats, la loi sur le pass sanitaire était présentée. Pfizer a publié le 28 mai 2021, soit 8 jours après avoir signé l’inverse dans les contrats, un communiqué de presse disant que le vaccin était efficace à 100% pour les 12-15 ans. Le temps est venu de rendre des compte pour les escrocs de l’industrie pharmaceutique . Demain les pièces justificatives seront remises entre les mains d’un juge. 

 
europarl.europa.eu/doceo/document… (questions de Gerald Hauser sur les vaccins COVID) - polit-x.de/en/documents/2… (pression politique sur l'EMA pour les tests de vaccins) - vidal.fr/actualites/301… (efficacité des vaccins COVID-19) - bbc.com/afrique/monde-… (inconnues sur l'efficacité des vaccins COVID) - quechoisir.org/actualite-covi… (efficacité et risques des vaccins COVID) - swissmedic.ch/swissmedic/fr/… (effets indésirables à long terme des vaccins COVID) - senat.fr/rap/r23-651/r2… (effets indésirables des vaccins COVID) - canada.ca/fr/sante-publi… (sécurité et effets secondaires des vaccins COVID) - europarl.europa.eu/doceo/document… (renonciation à la sérialisation dans l'accord Pfizer/BioNTech) - commission.europa.eu/system/files/2… (accord d'achat anticipé avec Pfizer/BioNTech) - rai.it/dl/doc/2021/04… (détails contractuels Pfizer/BioNTech) - commission.europa.eu/strategy-and-p… (vaccination COVID dans l'UE et contrats) - op.europa.eu/webpub/eca/spe… (rapport sur l'acquisition de vaccins COVID par l'UE) - ansm.sante.fr/dossiers-thema… (procédure d'autorisation des vaccins COVID) - pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC76… (estimations du taux de létalité COVID) - liberation.fr/checknews/loms… (surévaluation des morts COVID par l'OMS) - who.int/fr/news/item/0… (surmortalité associée à la COVID) - inrae.fr/covid-19/mieux… (comprendre l'épidémie COVID et taux de létalité) - lemonde.fr/les-decodeurs/… (contagiosité et létalité du virus COVID) - info.gouv.fr/actualite/pass… (passe sanitaire en France) - associations.gouv.fr/IMG/pdf/dossie… (dossier de presse sur le pass sanitaire) - fr.wikipedia.org/wiki/Passe_san… (passe sanitaire français) - op.europa.eu/webpub/eca/spe… (rapport sur les contrats vaccins COVID UE) - lemonde.fr/planete/articl… (contrats européens pour vaccins COVID) - pfizer.com/news/press-rel… (autorisation UE pour vaccin Pfizer 12-15 ans, 28 mai 2021) - pfizer.com/news/press-rel… (résultats d'efficacité 100% pour 12-15 ans, mars 2021) - lemonde.fr/planete/articl… (efficacité 100% annoncée par Pfizer) - lemonde.fr/planete/articl… (autorisation vaccin Pfizer pour 12-15 ans)

 


 

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