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septembre 12, 2025

Prostitution infantile: "SAUVONS NOS ENFANTS DES PÉDOPHILES" Quelle honte !!

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Prostitution infantile : Maître Amas lance des poursuites judiciaires contre des responsables de l’ASE 

En France, l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), censée protéger les mineurs en danger, se révèle souvent être un piège mortel pour des milliers d’enfants.

Placés en foyers ou familles d’accueil par les départements, ces jeunes – souvent des adolescentes de 12 à 16 ans – sont exposés à la prostitution, à la drogue et à l’exploitation sexuelle.

 

Des proxénètes les guettent devant les portes des centres, via des applications comme Snapchat, profitant d’un manque criant de surveillance et de placements inadaptés. Une commission d’enquête parlementaire de 2025 estime à 15.000 le nombre d’enfants placés sombrant dans la prostitution, un chiffre glaçant qualifié de « national » par les associations et avocats. Ce scandale, qui touche particulièrement l’Île-de-France, les Bouches-du-Rhône et l’Occitanie, met en lumière un système défaillant où l’obligation de protection des mineurs est bafouée.

Au premier plan de cette bataille judiciaire se trouve Maître Michel Amas, avocat au barreau de Marseille, spécialiste en droit de la famille et protection de l’enfance. Représentant des familles et mineurs lésés, il dénonce les « placements abusifs » qui mènent directement à l’exploitation. Dans une publication sur X daté du 12 septembre 2025, il annonce : « Journal M6 du 19/45 – 11 septembre le début des poursuites des responsables. Les assignations partent dès cette semaines. Les enfants se prostituent parce qu’ils ont été placés. Les Présidents sont responsables de leur échec. Ils ont une obligation de résultat pas de moyen. » Le 11 septembre marque un tournant décisif avec le début des poursuites contre les présidents de conseils départementaux, tenus responsables en vertu d’une « obligation de résultat » pour assurer la sécurité des enfants placés. Ces recours, prolongeant ceux intentés en avril-mai 2025 contre des départements comme l’Essonne ou les Yvelines, visent des « fautes graves » : passivité face aux proxénètes, cohabitation forcée avec des agresseurs, et foyers sans surveillance nocturne. Des condamnations ont déjà été prononcées, comme pour un département ayant livré une mineure à ses bourreaux.

Maître Michel AMAS
Maître Michel AMAS

Maître Amas, collaborant avec des militants comme Olivier Le Mailloux, estime que jusqu’à 20.000 mineurs pourraient être touchés, et alerte sur un système corrompu où l’ASE, financée à hauteur de 8.000 euros par mois par enfant, priorise les économies sur la vie des plus vulnérables. Récemment, le 7 septembre, il a annoncé une nouvelle action : « Nous saisirons dans quelques jours la justice, pour la fermeture d’un site spécialisé dans la prostitution (NDLR : site supprimé de nos colonnes). Pour la plupart des jeunes filles livrés à la pédophilie, les personnes qui les commercialisent mettent des annonces sur ce site d’escortes. »

L’activisme implacable de Karl Zéro : une voix qui brise l’omerta


Karl Zéro, journaliste d’investigation et fondateur du journal L’Envers des Affaires, est devenu une figure emblématique de la lutte contre ces horreurs. Connu pour ses enquêtes percutantes sur la pédophilie et les dysfonctionnements sociétaux, il a multiplié les interventions médiatiques pour exposer la prostitution infantile au sein de l’ASE. Dans une vidéo choc diffusée il y a cinq jours sur YouTube et Instagram, il lance un appel désespéré : « Sauvons nos enfants des pédophiles ! 25.000 mineurs prostitués ! Derrière ce chiffre glaçant, une réalité insoutenable. Des milliers d’enfants placés sous la protection de l’Aide Sociale à l’Enfance sont livrés aux proxénètes. » Il dépeint les foyers ASE comme « littéralement des viviers à prostituées », où les jeunes sont abandonnés à leur sort, exposés à des réseaux pédocriminels.


 

Son activisme ne s’arrête pas là. En mai 2025, Karl Zéro a accordé une interview explosive à l’émission Tocsin, révélant des scandales de prostitution et de pédophilie dans les centres ASE, avec des images et témoignages accablants.

Karl Zero
Karl Zero

Il n’hésite pas à qualifier le système de « pourri » et appelle à « faire péter ce système de l’ASE », soulignant que ces placements abusifs transforment des enfants traumatisés en proies faciles pour les « chiens » des rues.

Ses interventions ont suscité des débats houleux : un éducateur de l’ASE dans le Nord-Est lui a même répondu publiquement, défendant le travail au sol mais admettant des dysfonctionnements profonds. Sur les réseaux, Karl Zéro relaie en continu des cas concrets, comme des mineures de 14 ans prostituées dans des Airbnb gérés par l’ASE, ou des enfants laissés dans des hôtels sans supervision. Son combat, relayé par des comptes comme @Omerta_officiel, vise à briser l’omerta et à pousser à une réforme radicale, en lien avec des associations et militants comme Lyes Louffok, ancien enfant placé. Grâce à lui, le sujet a gagné en visibilité, culminant avec l’émission  du Journal M6 (19/45) du 11 septembre, où il a réitéré ses accusations.


Un budget conséquent, des résultats catastrophiques : la distorsion d’un système en gabegie

Malgré ces alertes, les fonds publics coulent à flots sans résultats tangibles. En 2023, les départements ont consacré pas moins de 11 milliards d’euros à la protection de l’enfance, dont 80 % pour des mesures d’accueil (foyers, familles d’accueil). Ce montant, en hausse constante, représente jusqu’à 20 % du budget de certains départements, comme dans le Nord (680 millions d’euros) ou la Seine-Saint-Denis (323 millions). À l’échelle nationale, l’État ajoute 1,5 milliard d’euros pour la protection judiciaire de la jeunesse, portant le total à plus de 12 milliards annuels. Pourtant, cette manne financière se traduit par une catastrophe : 15.000 à 25.000 mineurs placés sombrent dans la prostitution, selon des estimations du Dr Aziz Zaouche et de Karl Zéro. Des études, comme celle de la Seine-Saint-Denis sur 101 dossiers, montrent que la majorité des victimes ont été prises en charge par l’ASE sans protection efficace, menant à des viols, inceste et exploitation.


Cette distorsion est flagrante : un plan national de lutte contre la prostitution des mineurs, lancé en 2021, n’alloue que 14 millions d’euros, une goutte d’eau face aux 11 milliards globaux. Les fonds servent souvent à des placements hôteliers précaires ou à des foyers sous-équipés, favorisant la corruption et les fuites vers les réseaux proxénètes. Des recours judiciaires, comme ceux contre trois départements en mai 2025, accusent explicitement cette gabegie :

« Nous lançons l’alerte pour que tout le monde sache qu’en France, des petits garçons et des petites filles se prostituent parce que l’État les abandonne. »

Dans un pays déficitaire, où chaque euro compte, c’est un scandale absolu.


 

Un dossier prioritaire : nos enfants avant la guerre

Ce dossier est absolument prioritaire, car il concerne nos enfants – l’avenir de la nation – et révèle une gabegie intolérable des maigres ressources de l’État français, endetté à plus de 110 % du PIB. Comment justifier des milliards dilapidés dans un système qui livre des mineures à la prostitution, alors que des suicides et morts d’enfants placés se multiplient en 2025 ? Les réformes timides, comme le plafonnement des pouponnières à 30 enfants annoncé le 6 septembre, sont bienvenues mais insuffisantes face à l’urgence.

Et pendant ce temps, l’État verse des milliards à l’industrie de la guerre : le budget de la défense pour 2025 avoisine les 50 milliards d’euros, avec des hausses pour l’armement et l’Ukraine, alors que nos enfants se font violer dans les foyers censés les protéger !

Nous ne devons pas tolérer cela. Prioriser les armes sur la chair de nos enfants est une trahison morale et budgétaire. Il est temps de réallouer ces fonds, de réformer l’ASE en profondeur, et de soutenir inconditionnellement des voix comme celles de Maître Amas et Karl Zéro. Nos enfants ne peuvent plus attendre : leur protection doit primer sur tout.

https://multipol360.com/prostitution-infantile-maitre-amas-lance-des-poursuites-judiciaires-contre-des-responsables-de-lase/

 Journal M6 du 19/45 - 11 septembre le début des poursuites des responsables. Les assignations partent dès cette semaines. Les enfants se prostituent parce qu'ils ont été placés. Les Présidents sont responsables de leur échec. Ils ont une obligation de résultat pas de moyen. https://x.com/michel_amas/status/1966371086548787285

 

 

septembre 11, 2025

La Stasi en rêvait, l'Europe le fait : à partir d'octobre, nous serons toutes et tous mis sur écoute.


Dernière info:

La Commission européenne ne votera pas sur le projet ChatControl le 14 septembre, celui-ci étant bloqué par plusieurs pays ! Ne lâchons rien dans la mobilisation contre ce projet de surveillance de masse.

Bonne nouvelle pour une fois, l'Allemagne, le Luxembourg et la Slovaquie viennent de s'opposer à ChatControl! La Belgique aussi, on attend toujours la France à la traîne, qui trouve normal de scanner tous vos emails, textos et photos privées. Merci pour votre soutien!




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C'est la fin de la confidentialité des correspondances. Tout le monde est suspect. Une bascule hors de la démocratie libérale. Avec l'aval de la France ? Ça dépend de nous....


 

La présidence danoise de l’UE a décidé de remettre au sommet de l’agenda le règlement dit « ChatControl ». Sous couvert de lutte contre les abus sexuels sur mineurs, ce texte impose aux services numériques de scanner toutes les communications privées des Européens, y compris avant chiffrement. C'est l’entrée dans une société de contrôle par défaut.

Comprenez bien : chacun de vos messages, y compris sur les messageries chiffrées, sur Telegram, Instagram, Snapchat, Signal, Whatsapp... TOUT sera scanné préventivement, sans mandat ni soupçon préalable.

Et si vous pensez que « si l’on n’a rien à cacher, on n’a rien à craindre », vous faites l’erreur fatale de croire que c’est vous qui décidez si vous avez quelque chose à cacher. Un simple changement de gouvernement peut soudainement vous jeter dans la catégorie des marginaux ou des dissidents. Demandez-vous simplement : penseriez-vous toujours que vous n'avez rien à cacher si votre pire ennemi, et le pire parti politique, était à la tête du pays ?

La vie privée est une condition de la démocratie. Elle permet de chercher, d’aimer, de militer, de consulter un avocat, de s’opposer, sans pression sociale constante. Quand la confidentialité disparaît, on n’ose plus parler. On n’ose plus penser. Une société sans vie privée est une société homogène, sans déviance, en bref, totalitaire. C’est d’ailleurs l’étymologie du terme totalitarisme, introduit par Hannah Arendt : « total », tout est politique, tout est public, rien n’est privé.

Le même raisonnement sécuritaire a déjà été appliqué à la finance au nom de la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme. Résultat : une surveillance totale des flux, une criminalisation de la vie privée, un coût démentiel pour les entreprises privées générant des barrières à l’entrée, des comportements de cartel, et un surcoût pour les consommateurs, le tout assorti d’une efficacité marginale sur les fonds criminels.

J'ai décidé de mettre ce sujet et les libertés fondamentales au coeur de ma campagne pour les élections législatives, afin d'alerter sur les dérives de l'Union Européenne, qui prétend incarner l’État de droit, tout en le piétinant. Demain, la France va clarifier sa position lors d'une réunion du groupe de travail du Conseil de l'UE. Jusqu'alors, elle était favorable à ce texte, c'est-à-dire favorable à la surveillance généralisée. Il faut changer cela.



Rejetons ChatControl. Défendons la démocratie.

openpgp.org

fightchatcontrol.eu


Déclaration universelle des droit de l'homme, adoptée en 1948 à paris : article 12 : Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.    


     Envie de garder votre vie privée ? Arrêtez de vous faire espionner, utilisez

.


« ChatControl », la perquisition numérique systématique de nos conversations

Demain, l’Europe va-t-elle lire tous vos messages ? C’est le principe de « ChatControl », projet relancé aujourd’hui au nom de la lutte contre la pédocriminalité. Une surveillance de masse qui pourrait mettre fin au secret des correspondances, saturer les services de police et offrir une porte d’entrée aux ingérences étrangères. Alors, tous suspects ?

Depuis quelques années, la Commission européenne planche sur des mesures fortes pour lutter contre la pédocriminalité sur Internet. L’une d’entre elles, partant de bonnes intentions, a été surnommée « ChatControl » par Patrick Breyer, député européen allemand Pirate jusqu’en 2024, qui a été le premier à en dénoncer les dangers. Mise au placard en décembre 2024, sous la présidence hongroise, par une étroite minorité de blocage, la proposition a été relancée par la présidence danoise en ce 2ᵉ semestre 2025.

De quoi s’agit-il ?

ChatControl consiste à obliger légalement les opérateurs de messagerie à scanner l’intégralité de nos échanges privés en ligne, afin d’identifier de potentielles images pédopornographiques. Les signalements seraient ensuite transmis automatiquement aux autorités de police pour archivage et enquête. Deux procédés sont prévus :
  • détection d’images déjà connues des services de police ;
  • reconnaissance par IA d’images inédites.

    Pourquoi c’est un problème ?

Le projet met fin à la confidentialité des échanges. En France, ce principe est garanti par le Code des postes et télécommunications. L’article 8 de la Convention européenne des droits humains consacre également « le droit au respect de la correspondance ».
Cette disposition n’empêche pas les États de placer des citoyens sous surveillance, mais seulement dans des cas précis, sur présomption et sous contrôle judiciaire. ChatControl inverse ce principe : il ne s’agit plus d’écoutes ciblées, mais d’un contrôle généralisé de toute la population. En somme : tous perquisitionnés par principe, parce que tous suspects.
La Commission a fait valoir que personne ne serait obligé de consentir à ce scan massif… à condition de ne pas pouvoir échanger de photos avec ses amis. Il s’agirait donc d’un « consentement forcé ».

Fiabilité contestée

Les procédés de repérage d’images connues présentent de fortes limites. Des études récentes ont montré qu’ils pouvaient être , soit par recompression de l’image ciblée, soit en provoquant la détection incorrecte d’une image ciblée.
Les algorithmes d’IA posent encore plus de problèmes. Même avec une précision théorique de 99,99 % – bien au-delà de leurs performances réelles –, 1 image sur 10 000 serait signalée à tort. À l’échelle des centaines de millions d’images échangées chaque jour, cela noierait la police sous des masses de faux positifs et rendrait le système inopérant. On peut citer le cas d’un père dénoncé à tort pour pédocriminalité par Google après avoir envoyé une photo de son fils à un médecin.

Une faille de sécurité structurelle

Introduire un « mouchard » dans les applications revient à créer un trou dans la confidentialité de bout en bout, multipliant les possibilités d’attaque par des tiers : d’abord dans notre téléphone, ensuite chez l’opérateur de l’application, enfin dans les systèmes de police.
Il ne s’agit pas d’un fantasme : les fuites de données personnelles sensibles, que ce soit dans des entreprises, des administrations ou des services de police, adviennent quotidiennement. Les tiers indiscrets peuvent même être des services de renseignement étrangers qui coopéreraient avec les opérateurs de messagerie de leur pays. Voulons-nous nous mettre à la merci des services russes ou iraniens ?
L’éditeur de l’application Signal, emblématique en matière de protection des communications, a annoncé qu’il se retirerait de l’Union européenne si ChatControl était adopté, jugeant impossible de maintenir son niveau de sécurité tout en respectant les nouvelles obligations.
Enfin, last but not least, les technologies de surveillance voient systématiquement leur périmètre étendu au fil du temps, bien au-delà des prétentions initiales qui ont permis leur adoption. C’est pourquoi protéger le secret de la correspondance doit rester la règle de principe.

Où en est-on ?

 Ce 12 septembre, les États doivent faire part à la Commission européenne de leurs positions. Certains ont reculé, comme la Belgique, la Finlande ou la Tchéquie. D’autres restent indécis : Allemagne, Roumanie, Estonie ou Grèce. La France, quant à elle, a – hélas ! – toujours soutenu le projet.
Le projet, s’il est validé par les États, doit ensuite passer au vote le 14 octobre au Parlement européen.

 

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