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mai 03, 2015

SE PASSER DE L’ETAT - Pédagogie !!

L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture, librement vôtre. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.


Comment relayer l’action de l’Etat dans un domaine aussi sensible que la protection sociale ? La semaine dernière cette rubrique a montré la nécessité d’un système réellement garanti et d’un système transparent. Serait-ce un luxe ?

De nouvelles sécurités sociales (1ère partie) 



Assurances mutuelles

Mettre en cause la Sécurité Sociale ne signifie pas priver les Français de toute protection contre les aléas de la maladie ou de la vieillesse. Bien au contraire : alors que la couverture sociale offerte par la Sécu est de plus en plus coûteuse (hausse incessante des cotisations et compensation croissante des déficits) et de moins en moins efficace (un système de santé en déclin, des files d’attente et une pénurie de médecins, des retraites rognées dès aujourd’hui et incertaines pour demain), il existe des formules éprouvées bien plus économiques et de qualité très supérieure.

Les Français en sont déjà conscients, et prennent leurs précautions : la protection « individuelle » renaît face aux lacunes et incertitudes de la protection « sociale ». Ils épargnent et cherchent à préserver ce patrimoine, voire à le rentabiliser. Les uns investissent dans la pierre (mais sont de plus en plus pénalisés par la fiscalité), les autres souscrivent à des contrats d’assurance-vie, ou à des plans d’épargne, d’autres achètent de l’or ou empilent des billets de la Banque Centrale Européenne (imprudents !).

Il ne fait aucun doute que, quelle que soit la vertu de la fourmi, elle a imaginé depuis longtemps de travailler en communauté avec d’autres. L’idée de la solidarité et de la mutualisation est fort ancienne, et s’est développée considérablement au XIXème siècle. Chacun s’engageant par ses cotisations à aider ceux qui seront victimes du chômage, ou de la maladie, cela permet d’avoir une couverture moins coûteuse.

On franchit un pas nouveau en dépassant la cotisation versée à une mutuelle pour confier l’épargne à des assureurs qui, à la différence des mutualistes, investiront cette épargne dans des placements fructueux : les compagnies achèteront des immeubles, ou prendront des participations dans des entreprises, ou souscriront à des obligations émises par des institutions dignes de foi. Les assurances mutualisent les épargnes et divisent les risques sur un grand nombre de personnes.

Une fable aussi bien connue que celle de la cigale et de la fourmi fait croire aux Français que la protection sociale offerte par les compagnies d’assurances a fait faillite entre les deux guerres mondiales, notamment parce que l’inflation aurait ruiné ces compagnies. Il n’en est rien, et c’est pour des raisons purement idéologiques que le gouvernement de Vichy inventera ladite Sécurité Sociale, que le programme économique de la Résistance s’empressera de reprendre et de généraliser, puisque un pas important était ainsi fait vers le collectivisme. Au demeurant, rien n’oblige l’Etat à dévaluer la monnaie !


De nouvelles sécurités sociales (2ème partie) 



Sécurité Sociale avec une majuscule, c’est un organisme administratif, un système public, tandis que sécurité sociale, avec une minuscule c’est le fait d’être protégé contre un certain nombre d’aléas de la vie personnelle, familiale ou professionnelle ; c’est un objectif légitime. 

Les risques seront couverts

Tous les réformateurs de Sécurité Sociale devraient, avant toute chose, rappeler les garanties qu’il s’agit de conserver, parfois même de retrouver (puisqu’elles sont en train de s’envoler aujourd’hui avec les déficits et bientôt l’explosion de la Sécurité Sociale).

La première garantie c’est d’offrir à tout Français des soins de qualité, quels que soient son âge, son état de santé, son revenu.

La deuxième c’est de pouvoir toucher aujourd’hui, mais aussi dans dix, vingt ou trente ans, les pensions de retraites pour lesquelles ils ont cotisé toute leur vie, et qu’ils sont en droit d’attendre.

La troisième est une couverture des accidents du travail. La quatrième est la prise en charge des handicapés.

Ces garanties doivent être réelles. Il ne faut pas, comme c’est le cas actuellement, invoquer à tout propos une excuse pour ne pas tenir les promesses : aujourd’hui on ne cesse de demander des « sacrifices » toujours justifiés par la conjoncture, la crise, la concurrence, le chômage, etc. Voilà trente ans que, chaque année, on « sauve la Sécurité Sociale » de la même manière : on découvre avec surprise un déficit, puis on relève les recettes et on diminue les remboursements, et en fin de compte on retourne à l’équilibre…jusqu’à la prochaine. Cela s’appelle pudiquement les ajustements « paramétriques » : variations du taux des cotisations ou de leur assiette, déremboursements, recul de l’âge de la retraite, allongement de la durée de cotisations, changement dans le calcul des pensions, etc. C’est le triomphe de l’insécurité sociale.

Donc le premier principe à respecter quand on veut modifier le système est la stabilité du contrat entre assureur et assuré. L’engagement doit être durable, et sur une base simple.

Le contrat sera lisible : séparation des régimes

La base est simple quand on rend le contrat transparent. Or, aujourd’hui la Sécurité Sociale est une administration opaque, se livrant à des opérations complexes, dont les données financières ne peuvent même pas être connues ni contrôlées par la Cour des Comptes.

La première mesure à prendre est d’en finir avec le mélange des régimes, symbolisé par l’existence de l’Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale (ACOSS). Sont financièrement confondues les régimes de vieillesse, maladie, accidents du travail, chacun se divisant entre salariés et non salariés : de plus, au régime général se surajoutent des régimes spéciaux, obéissant à des règles diverses en fonction des activités ou des personnes, notamment en ce qui concerne les fonctionnaires et les salariés des entreprises publiques. Au sein du régime général, des transferts permanents s’opèrent, les caisses de retraites compensant les déficits de la maladie, ou inversement ; aujourd’hui ces transferts demeurent incontrôlés, mais sans grande utilité globale puisque tous les régimes généraux sont en déficit.

Demain, la centrale d’achat des prestations sociales devra disparaître. Alors, les contrats d’assurance maladie seront nettement séparés des contrats de retraites, ou des contrats pour d’autres risques, de façon à faire apparaître les vrais coûts et prix des diverses prestations. Dans une perspective de privatisations, la diversité s’instaurera entre caisses ou compagnies concurrentes, pour le plus grand bénéfice des Français, qui cesseront d’être des assujettis pour être des assurés consommateurs de sécurité sociale. Mais où ces consommateurs trouveront-ils l’argent nécessaire ? Cette question est résolue par la disposition du salaire complet.

De nouvelles sécurités sociales (3ème partie)

Comment le salarié qui gagne 2.400 euros n’en touche que 1.300 

Pour passer à de nouvelles sécurités sociales, les Français ont besoin de savoir où ils en sont avec leur couverture actuelle, et s’ils ont les moyens financiers de changer de système. Ces deux problèmes sont résolus dès qu’ils savent calculer leur « salaire complet ».

En effet, ils sont habitués à voir le bas de leur feuille de paye, et ils retiennent deux chiffres :

-         celui de leur salaire net : c’est ce qu’ils vont réellement toucher de leur employeur, c’est la mesure de leur véritable pouvoir d’achat (avant impôts) ;

-         celui de leur salaire brut, qui est supérieur au salaire net, puisqu’il comprend la part dite « salariale » des cotisations sociales, ainsi qu’une partie de la CSG. Actuellement, sur un salaire brut mensuel de 1.600 euros on retient environ 270 euros, le salaire net est donc de 1.330 euros. La retenue est plus forte s’il s’agit de salariés cadres.

Ce salaire, net ou brut, représente-t-il la valeur de la contrepartie du travail fourni par le salarié ? Absolument pas : la vraie valeur est celle qui a été reconnue et acceptée par le client, puisqu’en fin de compte c’est bien le client qui paie la « valeur ajoutée » par les travailleurs (salaires), les prêteurs (intérêts) et les entrepreneurs eux-mêmes (profits).

Présentons les choses autrement : sans les prélèvements sociaux et fiscaux, notre salarié aurait dû toucher environ 2.400 euros. C’est ce qui s’appelle le salaire complet. Il n’en verra pas la couleur, on lui en remettra à peine plus de la moitié (salaire net).  

La différence est le prix payé pour la protection sociale 

Si l’on disposait d’une « feuille de paye vérité », elle indiquerait clairement où est passée la différence. En raisonnant sur le même salarié, il aura payé mensuellement, entre autres :

300 euros pour sa couverture santé ;
400 euros pour sa retraite ;
120 euros pour son assurance chômage ;
20 euros pour son assurance accidents du travail ;
90 euros pour les allocations familiales (un impôt, car indépendant de la situation de famille) ;
15 euros pour le logement (idem) ;
80 euros pour le transport (idem). ;

Peut-être ces chiffres sont-ils plus parlants encore si on les ramène à l’année : chaque année ce salarié doit payer une facture de 4.800 euros pour sa retraite (soit pratiquement deux mois complets de salaire net !) et 3.600 euros pour la maladie. 

Des prix exorbitants imposés par le monopole 

Or, dans des pays européens voisins, le salarié peut être couvert (à conditions égales) pratiquement à moitié prix. Non seulement le salarié aurait les moyens de bénéficier d’autres sécurités sociales, mais il mettrait dans sa poche l’équivalent de 2 à 3.000 euros par an !

Pourquoi ces différences ?

1° la première tient à ce qu’un régime d’assurance classique est personnalisé, et l’assuré n’a pas intérêt à sur-dépenser pour sa santé par exemple. La Sécurité Sociale française relève au contraire d’une logique de « droits sociaux » : puisque j’ai droit, je consomme.

2° La deuxième tient à ce que la gestion par la Sécurité Sociale est fondée sur le principe de la répartition : les bien portants paient pour les malades, les jeunes actifs paient pour les vieux retraités. Solidarité forcée mais sympathique, mais également ruineuse ; par contraste, les assureurs capitalisent les primes, et font fructifier l’argent collecté : les primes sont moindres ;

3° la troisième, c’est que le système français actuel ne fait aucune place à la concurrence, alors qu’il existe nombre de caisses de maladie et de retraites dans la plupart des pays, où le choix de l’assuré crée une compétition entre assureurs, et évite le coût d’une bureaucratie publique, centralisée, et incontrôlée.   
 
Reprise de mon blog Humanitas sur 20'
Source: Aleps - Réflexion démontrée sur l'utilité de l'Etat



 

avril 03, 2015

Animateurs télé, ce qu’ils gagnent pour vous désinformer!

L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture, librement vôtre. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.

Ou comment vous atrophiez les neurones au sein de cette boîte à images


Comme le reste de l’économie, la télévision connaît une tendance à la baisse de ses revenus, quelle que soit la chaîne. Et les premiers à en faire les frais, ce sont les têtes de gondole. Enfin, pas toutes ! Jugez plutôt.



Plus de chaînes, moins de pub et la concurrence féroce d’Internet : n’en doutons pas, la télévision fait face à une crise sans précédent. L’époque de La 5 de Berlusconi, avec son lot de Ferrari neuves offertes à tous les animateurs de la chaîne, semble bien loin. Désormais, les diffuseurs engrangent moins d’argent et doivent trouver à tout prix des solutions pour rester rentables. À commencer par TF1. Après avoir supprimé les bouteilles d’eau et les plantes vertes dans ses bureaux, la première chaîne d’Europe est passée à la vitesse supérieure et a engagé un bras de fer avec les producteurs et les animateurs pour faire baisser les coûts. Et tout le monde est prié de se serrer la ceinture. 

Tout le monde ? Pas vraiment. En haut de l’échelle, rien n’a réellement changé. Les patrons de chaîne touchent encore de bien confortables bonus. Si Nonce Paolini, le P-DG de TF1, n’a pas augmenté son salaire depuis 2011, soit 920 000 euros par an, son bonus annuel a doublé entre 2012 et 2013 et il a encore augmenté en 2014. Total : 2 millions d’euros de revenus en 2013 et 2,36 millions en 2014 selon les chiffres publiés. Et ses collègues ne sont pas en reste : Bertrand Meheut, le patron de Canal+, touche entre 1,97 et 2,5 millions d’euros par an selon qu’on intègre ou pas les différentes parts variables, actions gratuites, stock options. Nicolas de Tavernost, président de M6, complète ce podium avec des revenus estimés à 1,7 million d’euros. À la traîne, Rémy Pflimlin, le P-DG de France Télévisions, dont le salaire est fixé par Bercy : 330 000 euros par an. 

Du côté des animateurs, la situation se tend un peu plus. Et c’est à M6 que les premières actions ont été les plus visibles. La chaîne propose désormais à ses animateurs sous contrat des salaires confortables mais pas indécents. Le principe retenu ? Un programme estampillé M6 est toujours plus puissant que celui qui l’anime. Jérôme Anthony (« Un trésor dans votre maison »), par exemple, touche 8 500 euros par mois. En contrepartie de cette sécurité de l’emploi, l’animateur doit se rendre disponible pour toute nouvelle émission qu’on lui proposera, avec, bien sûr, une prime à la clé. Du côté de TF1, la première mesure a été de rendre aux animateurs stars leur contrat d’exclusivité et de les éloigner progressivement de l’antenne. Le premier à en avoir fait les frais a été Benjamin Castaldi. Fini les 35 000 euros par mois pour attendre qu’on lui propose une émission. Du coup, il est allé voir ailleurs. Même punition pour Carole Rousseau, à qui il reste deux ou trois prime times par an sur la chaîne leader et quelques apparitions sur TMC. Là où elle pouvait toucher 35 000 euros pour un prime sur TF1, elle en négocie péniblement 7 000 pour un 20 h 50 sur TMC (chaîne du groupe TF1). Jean-Pierre Foucault, qui a fait les belles heures des divertissements de la Une, « subit » le même traitement. À part l’élection de Miss France, qui lui rapporte tout de même 45 000 euros, et deux ou trois spéciales de « Qui veut gagner des millions », il passe ses journées sur Europe 1 avec la bande d’Hanouna. TMC n’a pas été plus généreuse avec Christophe Dechavanne qui, voyant ses revenus fondre, a revendu le superbe hôtel particulier du 17e arrondissement de Paris dans lequel il avait installé sa société de production pour s’établir dans un quartier plus populaire. Seul animateur de TF1 à être passé entre les gouttes : Nikos Aliagas. Toujours prêt à rendre service et peu capricieux, il a réussi à garder son contrat d’exclusivité, estimé à 30 000 euros par mois. Mais il ne chôme pas : avec « The Voice », « C’est Canteloup » et « 50 mn Inside », il est abonné aux succès, donc extrêmement rentable. 

Retrouvez l'article intégral  dans VSD 1961 (du 26 mars au 1er avril  2015)
VSD


Dans son nouveau numéro, le magazine VSD s’intéresse aux salaires des animateurs et chroniqueurs du PAF.

L’hebdomadaire s’est notamment penché sur les revenus des dirigeants des grandes chaînes. Nonce Paolini , le PDG de TF1, qui n’a pas augmenté son salaire depuis 2011, touche 920.000 euros par an avec un bonus annuel . L’année dernière, il a gagné 2,36 millions.

De son côté, Bertrand Méheut , le patron de Canal Plus, gagne entre 1,97 et 2,5 millions d’euros chaque année , Nicolas de Tavernost , président de M6, 1,7 million . A noter que Rémy Pflimlin , le PDG de France Télévisions dont le salaire est fixé par Bercy, touche 330.000 euros par an .

VSD a également enquêté sur les salaires des animateurs vedettes des chaînes TV. Benjamin Castaldi , arrivé cette année à la tête de la « Nouvelle Star », a empoché 400.000 euros pour la présentation du télé-crochet de D8 . Sur TF1, l’animateur, qui avait un contrat d’exclusivité, gagnait 35.000 euros par mois.

Avec 125 000 euros par mois, Jean-Luc Reichmann, qui anime sur TF1 l’émission Les 12 coups de midi, Jean-Luc Reichmann multiplie les activités (télé, théâtre, fiction). « Selon les chiffres déposés par sa société, son jeu du midi lui rapporterait plus de 1,5 million d’euros par an , auquel il faut ajouter un pourcentage sur les revenus du jeu SMS lancé pendant l’émission ». Si les cinq premières places sont occupées par des hommes, trois femmes se classent dans le Top 10. Roselyne Bachelot prend notamment la 6e place (20 000 euros par mois pour Le Grand 8), Élise Lucet la 8e (10 000 euros par mois pour le JT de 13 heures et Cash Investigation) et Enora Malagré la 10e (8 000 euros par mois pour Touche pas à mon poste !).

Carole Rousseau, qui présente quelques primes sur TF1 et « 90′ enquêtes » sur TMC, touchait cette somme pour un prime sur la Une. Maintenant, elle négocie 7.000 euros pour un prime sur TMC.

Autre animateur emblématique de TF1 : Jean-Pierre Foucault . Pour présenter l’élection de Miss France, il repart chaque année avec 45.000 euros .

Nikos Aliagas a réussi à garder son contrat d’exclusivité de 30.000 euros pour la présentation de « The Voice », « C’est Canteloup » ou encore « 50 min Inside ».
Arthur aurait touché jusqu’à 250.000 euros par numéro des « Enfants de la télé ».
Toujours sur TF1, Laurence Boccolini , qui déclare dans la presse toucher 10.000 euros, « facturerait en réalité 10.000 euros chaque émission qu’elle anime en access prime-time », précisent nos confrères. Christophe Dechavanne a négocié 45.000 euros par prime sur la chaîne privée.

L’hebdomadaire s’est penché sur les revenus des animateurs stars du service public, dont les têtes d’affiche sont presque toutes salariées (William Leymergie, Sophie Davant). S’ils dépassent 70.000 euros par an, les salaires doivent être visés par Bercy.

David Pujadas toucherait 12.000 euros chaque mois , 10.000 euros pour Elise Lucet et Jamy Gourmoud , quand il présentait « C’est pas sorcier », 39.000 euros pour Julien Lepers .

« Un dizaine d’animateurs touche un cachet pour un prime entre 3.500 euros, pour les moins connus, à 12.000 euros pour une tête d’affiche », expliquent nos confrères qui ajoutent que plusieurs animateurs facturent leurs prestations par des sociétés créées à cet effet.

Citons par exemple Michel Drucker qui, en plus de ses revenus d’animateur-producteur, perçoit des droits sur les ventes de ses livres et exploite le Studio Gabriel, utilisé par d’autres comme Laurent Ruquier pour « On n’est pas couché » ou des conventions collectives.

Concernant les chroniqueurs, tous ne sont pas logés à la même enseigne. 20.000 euros par mois pour Roselyne Bachelot (Le grand 8, D8), 250.000 euros annuels pour Jean-Michel Aphatie (Grand Journal, Canal +), entre 1.000 et 1.500 euros pour les polémistes d’On n’est pas couché , 4.000 euros par mois pour Laurent Baffie dans « Les Enfants de la télé », 130 euros brut pour les chroniqueurs du « Mag » d’NRJ12 .

VSD s’est enfin penché sur les revenus de l’équipe de « Touche pas à mon poste ».
Cyril Hanouna, qui a révélé dans le JDD toucher 25.000 euros par mois, « oublie de mentionner les dividendes de plusieurs centaines de milliers d’euros versés par sa société H2O ».

Source

Combien sont payés les animateurs télé ?

Découvrez les salaires des animateurs de la télévision

 

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