juin 21, 2015

Nouvelles en socialie Hollandienne

L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture, librement vôtre. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.

Rhôoo un président représentatif comme...



Sommaire:


A) Sous Hollande, 62 ministres en trois ans - etleJDD.fr

B) François Hollande n'est donc plus que suffisance et mépris - Sébastien HUYGHE - Les Républicains

C) Julien Dray, proche de François Hollande, redevient secrétaire national du PS, chargé de "l'alliance populaire"- - Cyril.MORIN@Europe1.fr

D) L’arrogance des socialauds n’a d’égale que leur nullitude !  - par - http://ripostelaique.com

E) Christiane Taubira menacerait de quitter le gouvernement - metro news

F) François-le-Piteux : terminera avec du goudron et des plumes ! - De Nanouche, blogueuse - http://lagauchematuer.fr

G) Une sacrée performance pour la ministre de la Justice...Un quatrième directeur de cabinet en trois ans pour Christiane Taubira - 20 Minutes avec AFP

H) Le 49-3 est l’aveu d’impuissance d’un Manuel Valls à la dérive ! - De Fernand Chaput, Juriste - http://lagauchematuer.fr

I) Condamné pour violences conjugales, Yacine Chaouat est toujours 4ème adjoint à la mairie du XIXème - Laconnectrice's Weblog

J) Manuel, tu nous emmènes où comme ça ? - Nathalie MP - Libertés publiques




A) Sous Hollande, 62 ministres en trois ans

Le mini-remaniement de mercredi a vu l'arrivée au gouvernement des 61e et 62e ministres du quinquennat Hollande, un taux élevé par rapport à ses prédécesseurs.  

Le gouvernement Valls a accueilli mercredi ses deux nouveaux membres. Clotilde Valter et Martine Pinville ont été respectivement nommées secrétaires d'Etat à la Réforme de l'Etat et au Commerce. Avec elles, la nouvelle équipe est composée de 34 ministres (précisément : un Premier ministre, 16 ministres, et 17 secrétaires d'Etat). Mais depuis mai 2012 et l'arrivée de François Hollande à l'Elysée, ce sont au total 62 ministres qui ont pris leur fonction au gouvernement, dont 40 pour celui de Jean-Marc Ayrault. 

 
Engagement de campagne de François Hollande, la parité au gouvernement - un fait inédit sous la Ve République - a presque été respectée. La balance penche au final légèrement pour les hommes, notamment si l'on inclue les Premiers ministres. Aujourd'hui, le gouvernement compte 18 hommes et 16 femmes.

 
Si l'on se penche sur les couleurs politiques des ministres de ce quinquennat, la tendance est nette : près de 90% d'entre eux sont membres du Parti socialiste. Et encore, nous avons mis de côté Emmanuel Macron, qui n'est plus adhérent. Les alliés radicaux de gauche et les écologistes permettent (un peu) de diversifier la composition du gouvernement, tandis que Christiane Taubira, ni PS ni PRG, fait cavalier seul. Cette homogénéité n'est d'ailleurs pas sans poser quelques problèmes au gouvernement, puisqu'il dispose d'une fragile majorité à l'Assemblée.


A regarder les terres d'élection de tous ces ministres, les disparités sont criantes. D'abord, les Franciliens sont en surreprésentation, avec 13 ministres sur 60 (Emmanuel Macron et Fleur Pellerin n'ont jamais été élus). D'autres régions, comme Paca, sont peu représentées. Outre l'eurodéputé du Sud-Est Vincent Peillon, celle-ci ne comptait guère que sur la Marseillaise Marie-Arlette Carlotti, restée moins de deux ans au gouvernement. A noter que 13 ministres sont en fonction depuis le début du quinquennat. Thomas Thévenoud, lui, reste comme le ministre le plus éphémère de la Ve avec ses neuf jours passés au gouvernement.

Autre record : avec 62 ministres en 37 mois, le mandat de François Hollande a le ratio le plus élevé de la Ve République. Comme nous l'avions calculé en août dernier, il est en effet le plus grand "consommateur" de ministres, proportionnellement au temps passé au pouvoir : c'est 134% de plus que sous De Gaulle (88 ministres en 123 mois). François Hollande est sur le point de dépasser Nicolas Sarkozy, qui a compté 68 ministres en cinq ans. Ce sera peut-être le cas lors du prochain remaniement, prévu début 2016 dans la foulée des élections régionales.

1. Hollande - 62 ministres en 37 mois, +134% par rapport à De Gaulle
2. Pompidou - 69 ministres en 58 mois, +66%
3. Giscard d'Estaing - 96 ministres en 84 mois, +60%
4. Sarkozy - 68 ministres en 60 mois, +58%
5. Mitterrand - 135 ministres* en 168 mois, +12%
6. Chirac - 107 ministres* en 144 mois, +4%
7. De Gaulle - 88 ministres en 123 mois

* hors période de cohabitation.

et- leJDD.fr

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Dimanche 14 juin 2015, François Hollande s'est rendu à Bordeaux pour inaugurer le salon Vinexpo. Le président français a pu faire le tour des stands et déguster différents vins. À la fin de sa balade et après avoir bu plusieurs verre d'alcool, il est allé faire un discours. François Hollande semblait ivre et avait du mal à articuler certains mots. Il s'agit d'un extrait de la séquence de Bertrand Chameroy dans l'émission "Touche pas à mon poste !" diffusée le 15 juin 2015 sur D8.



B) François Hollande n'est donc plus que suffisance et mépris

En déplacement aux 24 heures du Mans François Hollande s'est copieusement fait siffler et conspuer par des milliers de spectateurs qui avaient pris place dans les tribunes.

En réaction le Président de la République a eu ces mots : "Si on ne se déplace plus dès qu'il y a 200 imbéciles qui sifflent..."

François Hollande n'est donc plus que suffisance et mépris, il n'a désormais que l'invective aux lèvres pour les Français qui ne partagent pas ses opinions et doutent du bien-fondé de sa politique.

Car en s'exprimant de cette manière ce n'est pas 200 personnes (en réalité 20 fois plus sur place) que François Hollande insulte mais les plus de 75% des Français qui ne lui font pas confiance pour assumer les responsabilités qui lui sont confiées.


Nous sommes tous les imbéciles de François Hollande.
Pour François Hollande nous serions donc les "imbéciles" qui avons balayé les maires et candidats de gauche en votant à droite aux élections municipales.

Pour François Hollande nous serions les "imbéciles" qui avons renversé les Conseils Départementaux détenus pas la gauche en élisant massivement des candidats de droite et du centre.

Décembre nous serons encore des millions d'"imbéciles" à provoquer l'alternance dans les régions de France pour tenter à nouveau d'alerter François Hollande sur notre mécontentement.

Mais que François Hollande se rassure, en 2017 les Français auront le dernier mot et ne se laisseront plus insulter, et après cette date il ne risquera plus aucun sifflet.

Sébastien HUYGHE
Porte-parole des Républicains
Député du Nord



C) Julien Dray, proche de François Hollande, redevient secrétaire national du PS, chargé de "l'alliance populaire"

COME-BACK - Il est l'un des proches de François Hollande et son retour dans le "gouvernement" du Parti socialiste peut s'apparenter à un retour en grâce. Julien Dray a été nommé secrétaire national à "l'alliance populaire" à savoir l'entente avec les différents partis de gauche le 20 juin.



Un défi important alors que certains frondeurs craignent que le PS ne se "fossilise" et appellent déjà à un Podemos à la française, crainte ultime de Jean-Christophe Cambadélis.

Un retour en grâce politique pour celui qui menaçait il y a peu de quitter le parti pour "faire du Mélenchon". Ancien proche de Dominique Strauss-Kahn, l'actuel vice-président du conseil régional d’Ile-de-France devrait être recasé dans le Val-de-Marne en décembre, après avoir été écarté de l'Essonne.

Ce nouveau poste attribué à Julien Dray peut donc s'analyser comme une présence discrète de François Hollande dans l'organigramme du PS, à un poste particulier en vue de 2017, comme l'explique un membre du PS cité par un journaliste du JDD.

Sur twitter:
"Dray tête de liste 94, retour au sn, il y a du hollande sponsoring", un participant

Avec cette nomination, le départ en Laponie de Julien Dray semble retardé.


[BONUS TRACK]
L'autre information de ces nominations au sein du PS concerne le nombre de personnes concernées par ces nominations. Pas moins de 78 personnalités politiques ont été nommées le 21 juin pour épauler Jean-Christophe Cambadélis à la tête du Parti socialiste. Dans le détail, il y a désormais 53 secrétaires nationaux, 22 secrétaires nationaux adjoints, 3 portes-paroles au sein du Parti socialiste.

Une "armée mexicaine", presque autant que chez Les Républicains, qui ne ravit pas Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice frondeuse de Paris qui souligne le nombre grandissant de responsables alors que les militants se font de plus en plus rare au PS.

Sur twitter:
Au PS moins il y a d'adhérents plus il y a de secrétaires nationaux. +secrétaires nationaux que membres du bureau national.
77 membres au secrétariat national. C'est le temps de la redistribution
Au PS moins il y a d'adhérents plus il y a de secrétaires nationaux. +secrétaires nationaux que membres du bureau national.




D) L’arrogance des socialauds n’a d’égale que leur nullitude !

Ne vous y fiez pas ; ceci est une fiction pour nous faire rigoler, car dans la vraie vie Flamby ne pense qu’à une seule chose : rempiler ! La preuve c’est qu’il n’est pratiquement jamais à son bureau pour régler les problèmes cruciaux auxquels la France doit faire face ; car s’estimant déjà en campagne électorale, monsieur inaugure à tours de bras, tout ce qui bouge sur le territoire (à croire qu’il a un conseiller spécial es-inaugurations qui traque chaque ouverture de musée, magasin, association, quinzaine commerciale … où il pourra venir faire son intéressant, en débitant des mièvreries qu’il pense encore susceptibles de bluffer les citoyens) ; on sait depuis longtemps qu’en fait il ne sait faire que cela, et dans ces conditions, pas étonnant que son tour de taille, ait évolué inversement à sa cote de popularité, mais au même rythme que la courbe du chômage …

Mais cela ne suffisait pas à la France d’avoir le président le plus ridicule, le Premier ministre le plus belliqueux, la garde des sceaux la plus haineuse, et la ministre de l’éducation la plus inculte … il a fallu qu’en plus, on écope d’un ministre de l’Intérieur d’une sottise (dénué d’esprit de jugement d’après le Petit Larousse) incommensurable.

Déjà les citoyens sont horrifiés de sa scandaleuse attitude avec les migrants entrés illégalement sur le territoire, mais qu’il n’hésite pas à aller accueillir à Calais ou ailleurs, ainsi que l’a si bien caricaturé le dessinateur Tcho …


Mais il a réussi le challenge de faire encore pire !
La France étouffe sous les mauvais coups sans répit des tenants de l’islam, et les citoyens, sont de plus en plus conscients des réalités, même ceux qui ne sont que des victimes collatérales (pour l’instant) ; chaque jour nous apporte des faits divers scandaleux émanant de ceux que l’indigne gouvernement a décidé de choyer par tous les moyens … mais l’ineffable Cazeneuve s’en fout, et ne s’occupe que des gentils islamistes, victimes des odieux islamophobes que nous sommes !

Ce piteux personnage n’a pas encore compris le sens du mot islamophobe, qu’il assimile tout simplement à du racisme … mais compte tenu du piètre niveau de l’éducation nationale (sous la houlette de la Belcacim) nous n’avons même pas le loisir de lui conseiller de retourner à l’école.

La lecture des quelques faits qui suivent est édifiante ; pourtant enchaîner par le discours de clôture de « la réunion de l’Instance de dialogue avec le culte musulman » prononcé par Cazeneuve le 15 juin dernier, pourrait vous donner de sérieuses palpitations … voire carrément des idées de meurtre …

« Chaque jour, la police découvre des clandestins dans des camions à destination de l’Angleterre. Ils profitent du moindre arrêt ou ralentissement pour forcer les portes et se glisser au milieu de la marchandise. Parfois, selon la durée du voyage, ils sont obligés de se soulager dedans également.  » 
 

– « On nous serine que l’islam est compatible avec les valeurs démocratiques, ce n’est as vrai … On nous assène que l’écrasante majorité des musulmans sont modérés, et n’aspirent qu’à s’intégrer dans la société occidentale, ce n’et pas la réalité » …

http://www.dreuz.info/2015/06/12/au-sujet-des-musulmans-moderes-vous-avez-ete-roules-dans-la-farine/#sthash.r0HvJdMF.dpbs

– « Alors que la communauté politique et médiatique fait systématiquement un tapage sur les victimes de profanations ou de persécutions religieuses quand cela concerne des Juifs ou des Musulmans, une chape de plomb lui tombe dessus dès lors qu’il s’agit de Chrétiens, pourtant principales victimes. »

Quelques sites font un remarquable travail d’investigation et de transcription des actes de profanation et dégradations de lieux chrétiens, dans le monde.


Mais malgré l’échantillon ci-dessus des indéniables nuisances attachées à l’immigration islamique, c’est carrément une déclaration de guerre aux patriotes que Môssieur le ministre de l’Intérieur a faite dans son nauséabond discours, dont voici quelques extraits :

– « Le Gouvernement a souhaité ce dialogue parce qu’il croit à la vertu de la laïcité : ce principe qui garantit à chacun la liberté de conscience – la liberté de croire ou de ne pas croire – et qui permet aux croyants de pratiquer leurs cultes dans des conditions dignes et paisibles »

– « La laïcité, comme l’a rappelé ce matin le Premier ministre, c’est donc la neutralité religieuse de l’Etat. Ce n’est pas le refus du dialogue que l’Etat entretient avec toutes les religions. Ce n’est pas davantage une démarche offensive visant à faire disparaître toute expression du fait religieux de l’espace public »

« La laïcité, ce n’est pas l’interdiction des repas de substitution dans les cantines scolaires. Cela, ce n’est pas la laïcité, c’est son instrumentalisation politique au détriment des seuls musulmans. La laïcité, ce n’est pas davantage l’interdiction du port du voile sur les plages. »

 » La laïcité, c’est ce principe qui transcende nos convictions et nos croyances et qui nous permet de vivre en bonne intelligence les uns avec les autres. C’est ce qui fait que nous formons une communauté nationale et que nous pouvons nous retrouver dans un même idéal de citoyenneté, dans le respect des lois communes et dans le rejet de toutes les formes d’intolérance. C’est donc au nom la laïcité que l’Etat doit garantir aux Français de confession musulmane le libre exercice de leur culte et qu’il doit en parler avec eux. « 

– « La première condition de l’exercice libre du culte,  c’est la sécurité. L’Etat doit naturellement assurer la protection des mosquées et garantir à chaque musulman, comme aux croyants de toutes les confessions, la faculté de pouvoir librement et paisiblement pratiquer sa religion, sans craindre d’être agressé, ni de subir pour cette raison des discriminations. « 

-« Comme vous le savez, le Gouvernement veille déjà à ce que 1000 mosquées fassent l’objet d’une protection par les forces de l’ordre et par les forces armées. Il y a eu trop d’agressions commises contre des mosquées depuis le mois de janvier, mais elles n’ont jamais fait de victimes et je crois donc que cet effort a un impact fortement dissuasif. Ce dispositif sera donc maintenu tant que l’état de la menace le justifiera. »


J’arrête là cette infecte tirade où tout est du même tonneau, c’est à dire un immense galimatias de mensonges, d’hypocrisies et de maquillages de la vérité, preuve que ce ministre de pacotille, mais néanmoins dangereux, a bien assimilé le double langage des islamistes … du moins pour ce que j’ai pu en lire, car il me faut vous avouer que le courage m’a manqué de lire ce torchon jusqu’au bout … prise de nausées j’ai dû en cesser immédiatement la lecture.

Quand je pense que ce morveux et ses copains se prennent pour des surhommes, vivent grassement sur le dos des Français, et ne pensent qu’à flatter les musulmans dans le but d’obtenir leurs voix aux prochains scrutins, et mieux nous évincer, nous qui ne votons plus pour ces rapaces, j’ai le cœur au bord des lèvres, car j’ai de plus en plus mal à ma France.







E) Christiane Taubira menacerait de quitter le gouvernement

Christiane Taubira aurait menacé de quitter le gouvernement. La ministre de la Justice pourrait remettre en cause sa place au sein de l'équipe de Manuel Valls si son projet de loi sur les mineurs n'était pas porté devant le Parlement, selon le JDD dimanche.

 L'ultimatum de la Garde des Sceaux. Christiane Taubira a menacé de quitter le gouvernement si son projet de loi sur les mineurs n'était pas porté devant le Parlement, affirme le Journal du dimanche ce week-end. L'ancienne députée de Guyane pendant près de vingt ans l'aurait déclaré à ses proches, aux magistrats qu'elle rencontre et lors de colloques judiciaires.


"Je ne l'assumerais pas"
Vendredi déjà, la ministre de la Justice donnait le ton au micro de Jean-Jacques Bourdin sur RMC/BFMTV. "Si on ne la fait pas, ce serait un aveu d'impuissance et moi, je ne l'assumerais pas", lançait-elle alors. Parmi ses mesures phares : supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs, instaurés en 2012 sous la présidence de Nicolas Sarkozy. "Le gouvernement s'était engagé à le faire au premier semestre 2015, je suis la première à déplorer que ce ne soit pas encore fait". Le texte ne figure toujours pas dans le calendrier du Parlement.

Du côté de Matignon et de l'Élysée, on tente de calmer le jeu. "Le texte n'est pas encore tout à fait prêt, il faudra ensuite commencer les discussions interministérielles, puis le soumettre au Conseil d'État", assure un conseiller de Manuel Valls au JDD, qui ajoute qu'il "faudra prendre le temps".






F) François-le-Piteux : terminera avec du goudron et des plumes !

Un socialiste, c’est quelqu’un « d’intelligent » à « langage poétique ordurier » qui n’est pas vulgaire du tout, employant des mots comme déchet humain, pour parler d’une personne.



 La vulgarité des socialistes consiste à accuser les autres de leurs propres maux. Donc forcément, quand le président Sarkozy parle par métaphore pour expliquer une situation, un socialiste ne peut comprendre, cela n’est pas assez intelligent pour sa grande ouverture d’esprit. Les Français ne comprenant plus le français, reste l’exemple « concret » pour décrire la réalité de l’Europe face au problème des migrants : «Il n’y a plus d’argent, plus d’emplois, plus de logements, mais ils ont trouvé un truc (…) ils ont considéré (la commission européenne) que la solution au problème d’immigration ce n’était pas de réduire, mais de répartir… J’en ai vu des propositions absurdes, mais nous avons franchi une barre inégalée. Ils proposent non pas de réduire le nombre d’illégaux, mais de répartir mieux des gens que nous ne pouvons pas intégrer. Il faut débattre de la mesure du nombre de gens que l’on peut accueillir et de la manière de les accueillir. Nous parlons de gens qui choisissent de mourir en Méditerranée. Dans une maison, il y a une canalisation qui explose, elle se déverse dans la cuisine, le réparateur arrive et dit, j’ai une solution : on va garder la moitié pour la cuisine, mettre un quart dans le salon, un quart dans la chambre des parents et si ça ne suffit pas il reste la chambre des enfants… ». A chaque jour sa polémique : L’antisarkozysme primaire des socialistes est aujourd’hui, de sortir « la fuite d’eau », de son contexte et d’en faire toute une histoire, cela évite de parler de la déliquescence du pays, de l’état désastreux dans lequel ils ont plongé la France à cause du Cré-Teint à lunettes et cela sert donc à faire diversion, une fois de plus, dans l’opinion. La gauche a instauré une police de la pensée digne du « 1984 » de G. Orwell, confirmant son obstination à vouloir réduire la liberté de chacun y compris de dire ce que l’on pense. La liberté de débattre en France sur n’importe quel sujets ah oui, mais pas pour tout le monde, bien sûr ! Que serait un socialiste sans sa phrase quotidienne stigmatisante ? Quand ce n’est pas l’invective, c’est la calomnie ; quand ce n’est pas la calomnie, c’est l’insulte! Les Français ne supportent plus ces imposteurs à postures qui ne maîtrisent rien : François-le-Piteux et son crétin hystérique. Ils vivent dans leur monde onirique, dans lequel même du caca sous les yeux, est pris pour un brownie….

Si Sarkozy n’existait pas, il aurait fallu l’inventer, rien que pour les gauchos, qui depuis huit ans avec la complicité des médias, mentent matin, midi et soir, le concernant. La justice, aurait-elle égaré le faux document de Plenel dans la pseudo-affaire Kadhafi ?

Le Fouquet’s : 0 euro du contribuable / Combien l’aller-retour en Jet à Tulle le 6 mai 2012 ?
Le yatch de Bolloré et les vacances au Cape Négre : 0 euro du contribuable / Combien les vacances de VT en Grèce, combien depuis trois ans les escapades du Piteux, combien l’entretien de ses maitresses ?

Régularisation du salaire du Président pour la transparence devant l’AN, sans utilisation de la caisse noire de l’Elysée / Mascarade du Piteux qui a soi-disant baissé son salaire, mais qui, contrairement à Sarkozy, ne paye rien de sa poche !

Pas de dîners entre amis sur le dos du contribuable / beuveries à l’Elysée avec notre argent, avec ses amis de gauche.

Chômage : 910 400 en cinq ans avec la crise / trois ans de socialisme 1053000 chômeurs !
« L’Héritage » qui sert d’argument aux gauchos, explication : Pour « la gestion soi-disant désastreuse » et les fameux 600 milliards qui selon certains ne sont dus qu’à Sarkozy… La vérité est toute autre : 275 étaient dus au versement des intérêts de la dette (Royal aurait eu les mêmes!), 310 dus à la crise et enfin 30 pour le plan de relance (le P.S. trouvait que ce n’était pas assez ! !) et 90 les baisse d’impôts ! Il faut soustraire à tout cela les 55 milliards d’économies ! Sarkozy et son gouvernement sont donc responsables de 35 milliards sur les 600 ! Cela vient de l’O.F.C.E ! C’est plus sérieux comme analyse que celle de Solferino! Combien, la dette publique après trois ans de socialisme ? 2031.5 milliards, elle explose ! Et la liste des différences est longue…. Huit ans de mensonges de la gauche !

François-La-Faillite, à promesses plus démagogiques les unes que les autres ; on voit aujourd’hui ce qu’il en est : une catastrophe ! Ce n’étaient que propos de tréteaux bravaches destinés à tromper le peuple des gogos et des bobos et le conduire aux urnes avec le bulletin.
La tartufferie, elle, en Hollandie, se porte toujours aussi bien, couverte par la manipulation quotidienne des médias. Ils vont même aujourd’hui, jusqu’à parler à la place de Sarkozy ! François-le-Piteux et son gouvernement de crapules dont la vulgarité le dispute à la médiocrité !

Nanouche






G) Une sacrée performance pour la ministre de la Justice...Un quatrième directeur de cabinet en trois ans pour Christiane Taubira
Plus d'un directeur de cabinet par an... Alain Christnacht, un ancien de Matignon au temps de Lionel Jospin, prendra lundi la tête du cabinet de Christiane Taubira, devenant le quatrième directeur de cabinet de la garde des Sceaux, après sa mise en retraite du Conseil d'Etat rendue officielle dimanche. 1589219

Directeur de cabinet, kesako?
Conseiller d'Etat - en situation de surnombre-, Alain Christnacht, 68 ans, devait faire mettre fin à ses fonctions avant de pouvoir rejoindre la Chancellerie, ce qui a été fait par décret du président de la République paru dimanche au journal officiel. Il remplace Gilles Le Chatelier qui avait quitté la direction du cabinet de la ministre de la Justice à la mi-avril et n'avait donc pas été remplacé depuis plus de deux mois.

Ex-préfet


Alain Christnacht est le quatrième directeur de cabinet de Christiane Taubira en trois ans, après Christian Vigouroux, arrivé place Vendôme en mai 2012, en même temps que la garde des Sceaux, après l'élection de François Hollande à l'Elysée, Christine Maugüé (mars 2013) et Gilles Le Chatelier (avril 2014). Alain Christnacht a été secrétaire général puis Haut Commissaire en Nouvelle-Calédonie et figure au rang des plus fins connaisseurs du dossier calédonien. Membre du cabinet de Lionel Jospin de 1997 à 2002, chargé des affaires intérieures et de l'outre-mer, il a été l'artisan de l'accord de Nouméa de 1998. 

Ancien préfet des Côtes-d'Armor, ce qui lui a permis de côtoyer l'ancien maire socialiste de Guingamp Noël Le Graët, il était devenu son bras droit à la Fédération française de football, qu'il avait rejointe en juillet 2011 au poste de directeur général. Il avait quitté la FFF en juin 2012 pour rejoindre le Conseil d'Etat.

Diplômé de Sciences Po, de la faculté de droit et de sciences économiques de Paris-Assas et ancien élève de l'ENA, Alain Christnacht est l'un des fondateurs de Terra Nova, centre de réflexion proche du PS.

20 Minutes avec AFP 





H) Le 49-3 est l’aveu d’impuissance d’un Manuel Valls à la dérive ! 

La motion de censure et toutes ses contradictions et contractions dont un certain ridicule? Qui certes s’il ne tue pas nos hommes politiques il n’en fait pas moins, qu’en amoindrir un peu plus à nos institutions.

La plaie qui envenime les relations au sein de la famille socialiste entre partisans et adversaires des orientations du gouvernement en matière de politique économique et sociale s’est ré ouverte à la faveur des débats de seconde lecture qui s’ouvrirent mardi à l’Assemblée Nationale autour du projet de loi Macron clos dès le départ depuis l’annonce abusive d’un second et magnifique 49-3.

Les motifs pour Manuel Valls en furent de l’usage du 49-3, que les mesures très sensibles refusées par l’aile gauche du PS et celle des frondeurs ainsi que des communistes, notamment celles relatives au travail du dimanche, au plafond des indemnités pour licenciement abusif, au statut des prud’hommes, etc. Feraient qu’il n’aurait aucune majorité pour en voter à la loi MACRON .


Équivoques et archaïsmes
Ce 49-3 brandit par Manuel Valls, n’est qu’un aveu d’impuissance, dont l’impossibilité de faire voter ces textes par une majorité introuvable parmi les siens, la ligne de fracture entre « légitimistes » et « frondeurs », telle qu’elle était apparue en février dernier, lors de la première lecture, provoqua alors la décision du gouvernement d’appliquer le 49-3. Ce même gouvernement ne pouvait qu’employer la même tactique du passage en force faute de majorité puisque la globalité des communistes annoncèrent vouloir tous voter contre, ainsi que la plupart des frondeurs. Ainsi la trêve très fragile observée lors du récent congrès de Poitiers en est rompue, et le conflit latent entre les deux camps sur un sujet qui va bien au-delà de son objet circonstancié en ce qu’il renvoie à une interrogation sur l’avenir du socialisme. 
 François Hollande aura-t-il été l’artisan du déclin socialiste ? Il y aura en tout cas amplement contribué, mais sa responsabilité est partagée par tous ceux qui, se recommandant de cette idéologie, ont manqué dans le passé les coches offerts par les différentes étapes de l’évolution du monde à une révision déchirante de leur pensée.

L’ancien premier secrétaire du PS, aujourd’hui président de la République, a participé de ces conservatismes mortifères par commodité durant plus de douze années à la tête de ce parti? Conservatismes si justement dénoncé par Manuel Valls avant que celui-ci n’arrivât au pouvoir. Le programme mal ficelé du candidat Hollande était la caricature des équivoques, des pesanteurs et des archaïsmes qui alourdirent un peu plus le socialisme français, alors que la majorité des socialismes européens s’en sont libérés peu à peu.

Le président de la République paie cher cette faute qu’il tente aujourd’hui de réparer par une conversion à un libéralisme approximatif, au moyen d’une gymnastique devenant de jour en jours des plus hasardeuse car il se retrouve désormais sans aucune majorité à l’assemblée nationale.


Désordre idéologique
Son socialisme est une ratatouille à laquelle une frénésie de réformes intéressant des sujets mineurs donne le change, quand sur l’essentiel, c’est-à-dire l’économique et le social, sa politique manque totalement de colonne vertébrale.
À ce jeu, le socialisme a fini par perdre son sens, désorientant son habituelle clientèle électorale, l’attirant vers l’extrême droite, et créant dans l’esprit public une confusion qui détourne le peuple de sa confiance en la politique.

À ce jeu, le socialisme a fini par perdre son sens, désorientant son habituelle clientèle électorale, l’attirant vers l’extrême droite, et créant dans l’esprit public une confusion qui détourne le peuple de sa confiance en la politique.
À la question que lui posait récemment un journaliste du Nouvel Observateur : « Emmanuel Macron est-il socialiste ? », Jean-Christophe Cambadélis répondait : « Non ! » Rappelons que Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, vient d’entraîner ledit parti dans le soutien au président de la République et à son gouvernement socialiste. Cet aveu est terrible. Il dit tout sur le désordre idéologique qui gouverne le pays.

Un Premier ministre qui, il y a peu encore, dénonçait l’immobilisme de sa famille, un ministre important au service d’une idéologie qu’il réprouve, une majorité déchirée entre deux camps, un président qui cherche encore sa vérité : Ce n’est que ça qui dit vouloir en diriger notre nation, c’est à dire des ambiguïtés en tas dans un tel fatras que plus personne tant à gauche qu’à droite ni comprend plus rien, le tout couronné sous l’autorité d’hommes qui ne cachent plus leurs arrogantes ambitions de vouloir dès 2017 diriger la nation en se passant bien évidement de François Hollande!!! Qualifié en sourdine par ceux-là mêmes, de l’inconscience associée à l’irresponsabilité faite homme. 
 Motion de censure pour la forme?
Le vote de la motion de censure déposée par l’opposition en réponse au deuxième dépôt du 49-3 par Manuel Valls est, en lui-même, un saisissant résumé de la vie politique française, de ses composantes, de droite et de gauche, mais surtout de toutes leurs contradictions. Première contradiction, le faible taux de remplissage de l’hémicycle ce jeudi. Comme si l’opposition considérait ce vote comme une simple formalité, comme une posture inutile, un match joué et perdu d’avance.

Les cérémonies commémoratives de l’Appel du 18 juin au mont Valérien en serait responsable? Bonne excuse, pas suffisante : Difficile de jurer que tous les absents de l’UDI et des Républicains ayant fait défaut pour voter cette motion de censure, étaient bloqués à cette très importante commémoration, de l’appel du 18 juin 1945 du Générale De Gaulle sinon cet homme à de quoi se retourner dans sa tombe.


Constat affligeant devant en être suivi par bien d’autres avant la fin de ce quinquennat:
Ce qui est lamentable et affligeant c’est le 49-3 utilisé par Manuel Valls, pour si peu de contenus de cette loi dite Macron, contenant toutefois plus de 400 articles, comme dans un invraisemblable fourre tout, mais aucuns de ceux-ci ne visant le fond, privilégiant plutôt la forme et de manière bien plus que timorée, dont les socialistes pas plus que les communistes n’en veulent absolument pas!!! Motif loi bien trop libérale, bien trop à droite si tenté que ce qualificatif veuillent encore de nos jours dire quelque chose.

Certes la Constitution l’autorise et sur ce point je ne puis que partager les opinions respectueuses des lois, issues de la constitution dont la rédaction en découle du Générale De Gaulle et de Michel Debré pour ne citer que ceux-là mais que de raffuts, tout ça rien que pour ça ? Que d’encre déversée inutilement au sujet de La Loi Macron ?.

Monsieur Valls se vivant en dictateur, « n’est absolument pas sorti renforcé de cette motion de censure », avouons que les Républicains en rangs clairsemés eux non plus?. Il serait inexact selon moi de dire que le pouvoir en place serait doté d’une majorité au parlement, encore moins dans l’opinion… Au contraire.

Monsieur Valls par ces attitudes et ultimes provocations inutiles ne fait que semer davantage encore les germes de la future débâcle de la gauche socialistes pour la présidentielle de 2017, alors même que François Hollande fait d’ores et déjà campagne pour sa prochaine réélection en briguant le plus ouvertement que de possible un second mandat. 
 Qu’en dit de tout ça pour si peu de résultats le peuple de France?
Quant au peuple français, de la clique socialo communiste il n’en veut plus, songez que seuls 22% des français accordent à ces gens-là un peu de leur confiance, 78% ne souhaitent absolument plus en entendre parler pour au moins vingt ans. Ce peuple de France berné, abusé, trahis, bafoué par d’utopiques et démagogiques promesses il est douteux qu’il redonne au président de la République la confiance qu’il lui a retirée dès les débuts de son mandat et qu’aucun de ses actes, fussent-ils parfois honorables, aucun de ses efforts, fussent-ils parfois louables, n’ont réussi à restaurer.

La verve de son discours reste intacte, à l’instar de son aveuglement devant la réalité et de la souplesse de son échine. Mais qu’en fera-t-il de son ambition qu’il veut mettre au service que d’un seul objectif : Tenir en spéculant sur les hasards heureux de la conjoncture. Est-il même sensible aux atteintes qui menacent les forces spirituelles de la France ? On en doute. Certes, on vient de l’entendre récemment déclarer sur Canal+ que sa responsabilité était de faire en sorte qu’une « guerre de civilisations » ne déchire le pays. Mais cette sorte d’aveu n’est-il rien d’autre que l’un de ces « éléments de langage », comme ils disent, dont lui et son entourage sont si friands ?

Ne minimisons pas les discours des Communistes et des frondeurs de la gauche de la gauche où bien des verts, oh que non ! Bien qu’ils ne fussent que peu représentatifs à l’assemblée nationale. Toutefois, n’oublions point que dans le pays, les gens de gauche les écoutent eux les frondeurs comme ceux du Front de gauche de Mélenchon et des communistes alors par dépit à 75% de leurs votes émis par désespoir, ils votent très largement Front National.

Manuel Vals et Hollande fragmentèrent en mille morceaux la gauche française.
Mais aussi les fondamentaux retenus de la campagne scélérate de la gauche pour la présidentielle de 2012, alors ne soyons plus étonnés que ceux qui les firent « Rois » désormais c’est bien fini ils quittent par vague successives le Parti Socialiste, non point pour rejoindre la Front de Gauche de Mélenchon, mais plus simplement le Front National de Marine Le PEN.

Cette menace qu’agite au dessus de nos tête François Hollande.
Cette menace qu’il évoque n’est pas circonscrite à la France, on le sait. Elle gagne le monde et bouscule l’Occident. Elle met l’Europe en question et pose le problème de l’avenir de la démocratie. Pour l’affronter, il faut à un responsable politique plus que de l’habileté, il lui faut de la hauteur de vue. La fable du « président normal » a bel et bien vécu.Il convient donc de destiner au peuple davantage que de vagues incantations sur les valeurs républicaines. 
 Quid? Qui de la primaire de la droite de gouvernement en sortira le vainqueur!
Mais comment en sortira-t-il renforcé depuis les appuis de tous les outsiders laissés par le vote de 4 millions d’électeurs sur le carreau?

En fin de compte, ce sera aux Français de puiser en eux-mêmes assez de courage et de force civique pour reprendre en main leur propre destin. Et sans aucun doute pour cela, se passer de François Hollande et de Marine Le PEN eux qui se fourvoyèrent prenant les électeurs pour de sombres crétins si ce n’est des imbéciles.

De Fernand Chaput, Juriste - http://lagauchematuer.fr




I) Condamné pour violences conjugales, Yacine Chaouat est toujours 4ème adjoint à la mairie du XIXème

Nouveau au 21 janvier 2014
Yacine Chaouat exclu de la campagne pour les municipales ne figure pas sur la photo de groupe de l’équipe Dagnaud. Le courageux Bertrand Jullien a eu gain de cause-apparemment car on ne sait pas quel pont d’or a été offert au gentil Yacine –

Attention, contrairement à ce qu’écrivent certains sites, Chaouat n’a pas démissionné. Il figure toujours en qualité d’adjoint sur le site de la mairie du XIXème. Autrement dit, même s’il n’est pas officiellement membre de la campagne pour les municipales, il continue à faire partie de l’équipe du candidat François Dagnaud.

M. Yacine CHAOUAT

Adjoint au Maire chargé de la propreté, des relations avec le monde combattant et de la mémoire
Coordonnees
Tél : 01 44 52 28 34
Fax : 0144522903

Renseignements complémentaires
 Ci-dessus, copie du site de la mairie du XIXème réalisée le 21/01/2014

Le PS parisien contraint de se séparer de son élu agresseur sexiste (Ce titre induit en erreur, Chaouat reste en place L.C.)

03 DÉCEMBRE 2013 |  PAR BERTRAND JULLIEN

« Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu. » 
Y a des soirs comme ça qui ont le goût de la victoire. 
  On vient de m’apprendre que Yacine Chaouat, adjoint socialiste au maire du 19 serait retiré de la liste PS pour les municipales de 2014. Trois ans de combat, combat qui m’a coûté mon emploi. Trois ans pendant lesquels ce triste individu condamné pour violences conjugales aggravées, qui cognait sa femme à coups de ceinture, a été soutenu et protégé par le maire du 19, son premier adjoint (aujourd’hui nouveau maire du 19), avec la complicité des instances du parti socialiste, des plus hauts responsables de l’Hôtel de Ville. Trois ans où l’hypocrisie socialiste a éclatée au grand jour : féminisme de façade et compromission avec la violence sexiste. 

Je n’ai jamais baissé les bras, subis les pressions, les insultes, les insinuations, les attaques et la perte de mon taff mais grâce à touTEs celles et ceux qui m’ont soutenu j’ai tenu bon. Nous étions déterminéEs à porter le fer au coeur de la campagne municipale. Devant le travail que nous avons poursuivis sur les réseaux, devant les craquements dans le PS lui-même où des femmes, des hommes se sont aussi dresséEs contre cette ignominie, l’appareil PS a pris peur, a senti que la situation était intenable, que nous ne lâcherions rien et que nous allions leur pourrir leur campagne s’il maintenait un salopard sexiste sur la liste. 
  Je n’ai aucune illusion, suis lucide, si nous n’avions pas lutté et lutté, rien ne se serait passé et ce salaud sexiste aurait poursuivi tranquillement sa carrière d’élu. Bien sûr, tous ceux qui se sont compromis dans cette affaire, tous ceux qui devraient avoir honte de leurs propos, de leurs actes sont toujours là mais ça ne nous gâchera pas notre plaisir : nous avons gagné ! Et c’est aussi la victoire contre les violences faites aux femmes, une victoire des droits des femmes. Une petite victoire mais une victoire. Que touTEs celles et ceux qui m’ont accompagné dans ce combat en soit remercier, Bernard Jomier, seul élu du 19, adjoint écologiste à avoir réagi et combattu, EELV Paris, les TumulTueuses, une pensée pour les conseils de l’AVFT et touTEs les militantEs qui ont expriméEs leur solidarité, qui ont participé à la longue chaine internet/FB de protestation. Merci aux amiEs qui ont su être à mes côtés et m’ont entouré de leur fraternité et sororité et à celles qui m’ont supporté, dans tous les sens du terme 
  Dans cette période où les bonnes nouvelles se font rares, on ne peut que se réjouir de ce succès. Nos valeurs valent plus que vos compromissions, vos lâcheté et petits arrangements.

Osez lutter, osez vaincre ! disait-on dans mes jeunes années militantes.http://blogs.mediapart.fr/blog/bertrand-jullien/031213/le-ps-parisien-contraint-de-se-separer-de-son-elu-agresseur-sexiste



Yacine Chaouat avait été condamné en 2010 à 6 mois de prison avec sursis pour avoir séquestré et battu sa femme. Il avait eu le culot de faire appel et sa condamnation avait été confirmée. A l’époque, le maire PS du XIXème, un de ces homosexuels qui « aiment » les femmes, avait fermé les yeux et gardé Chaouat comme attaché parlementaire et adjoint. L’affaire avait indigné EELV, les féministes des Tumultueuses avaient manifesté et Madec avait licencié celui par qui le scandale était arrivé, à savoir non pas le cogneur mais Bertrand Jullien, un collaborateur qui avait dénoncé l’affaire.

« Aucune leçon n’a été tirée du scandale DSK, » a lancé Lola, membre du collectif féministe les Tumultueuses, à l’issue de la séance. « À la mairie du 19e arrondissement, on peut être condamné, en première instance et en appel, pour violences conjugales et rester adjoint. Pire, celui qui ose dénoncer cette situation est renvoyé. »

Madec avait joué du violon idéologique pour protéger l’infâme avec ces mots clefs si chers à son électorat bobo diversité et double peine. Cette semaine, le maire du XIXe arrondissement de Paris, le socialiste Roger Madec, a accusé les écologistes de la capitale de vouloir «l’application de la double peine» à l’encontre d’un «élu de la diversité». http://paris13.eelv.fr/ps-et-eelv-saffrontent-sur-le-cas-dun-elu-condamne-pour-violences-conjugales/

 Il fallu l’intervention de Bertrand Delanoë au Conseil de Paris pour que Yacine Chanouat soit suspendu de ses fontions. En réalité, le maire se contenta de faire un geste en changeant l’élu de fonction. De la « Médiation », on l’affecta à la propreté et aux anciens combattants http://www.dixneufinfo.com/politique/article/yacine-chaouat-suspendu-de-ses

On aurait pu croire que le nouveau maire, François Dagnaud, allait exclure définitivement le délinquant de la mairie. Nenni. Dans « Le Paris du 19ème », le magazine d’informations municipales n°25 de février/mars 2013, édité par la mairie, je constate avec stupéfaction que Chaouat est toujours en place.en 4ème position dans la liste des 14 adjoints au maire. Il est adjoint chargé de la propreté, des relations avec le monde combattant et de la mémoire.
Quel exemple pour la jeunesse et quel réconfort pour les nombreuses femmes victimes de violences conjugales. Notre société nous demanderait de respecter un élu condamné par la justice pour violences conjugales qu’un maire excuserait en le gardant comme collaborateur! Un signal fort envoyé aux hommes violents afin qu’ils puissent perpétrer leur forfait en toute impunité.

J’avais déjà évoqué cette présence révoltante et cette indulgence coupable du maire du 19ème dans un article https://laconnectrice.wordpress.com/tag/yacine-chaouat-violences-conjugales/

Monsieur Yacine Chaouat a été condamné en mars 2010, par la 29 e chambre du tribunal correctionnel à six mois de prison avec sursis et dix-huit mois de mise à l’épreuve pour violences conjugales sur sa jeune épouse. En août 2009, Fatma, 21 ans, arrivée récemment de Tunisie, avait été battue à coups de ceinture et retenue à son domicile. Elle avait porté plainte contre son époux qui la brutalisait. « Il voulait la réduire à l’état d’esclave », s’émeut M e My-Kim Yang-Paya, l’avocate de la victime qui a depuis entamé une procédure de divorce. Le jugement a été confirmé en appel le 18 novembre 2011.

A quelques jours de la Journée internationale des femmes, on aimerait que le nouveau maire, François Dagnaud, prenne position contre les violences conjugales en exigeant la démission définitive de Yacine Chaouat et que le PS  soutienne le nouveau maire en retirant sa carte à ce délinquant.

Révision au 2 juillet 2013
Lire l’excellent article de Caroline Alamachère qui rappelle les faits et rajoute quelques pistes dont je me doutais bien. Le lobby homosexuel est partout et son grand mécène protège ses brebis à coup de piécettes.

Une pétition vient de voir le jour pour réclamer le départ de Yacine Chaouat qui continue de célébrer parfois des mariages (4). Bien entendu du côté des médias mainstream le silence est de rigueur. Entre gens de la même caste politique partageant les mêmes porte-couteaux, on ne se désavoue pas. Les droits des femmes ne relèvent en réalité pour ces gens que de la simple communication marketing.

Nous attendons depuis trois ans que dure cette situation d’entendre la condamnation ferme et l’annonce du décollage immédiat et sans indemnités du bourreau Chaouat par Delanoë et par son acolyte Anne Hidalgo, future candidate à la mairie de Paris et ancienne conseillère au Secrétariat d’Etat aux droits des femmes ayant participé à l’élaboration des lois sur la parité professionnelle. Au lieu de cela, un silence plus que feutré entoure les coupables manigances misogynes de la place Armand Carrel.


Révision au 5 juillet 2013
L’affaire Yacine Chaouat embrase l’imagination des habitants de l’arrondissement à la gestion duquel il participe contre toute logique humaniste. Le téléphone arabe colporte un conte noir.

Dans une collectivité locale régnait un homme qui aimait les hommes. Comme il aimait les hommes, il s’entourait d’hommes qui aimaient les hommes et comme il y avait dans cette organisation beaucoup d’hommes qui aimaient les hommes, ils étaient surtout préoccupés du sort des hommes qui aimaient les hommes et leur manifestaient une solidarité résistant à tous les cyclones, les tempêtes et les orages.

Il arriva que le papa d’un homme qui aimait les hommes contraignit son fils à afficher une vie normale et lui trouva une épouse en la personne d’une jeune fille innocente qui était prête à quitter son village natal à n’importe quel prix.

L’homme qui aimait les hommes, terrorisé par son papa qui n’était pas commode et menaçait de le déshériter, se résigna à ce mariage arrangé. Il du même subir une fête interminable au son de youyous stridents et se plier à la cérémonie du drap taché de sang qu’on exhibe le matin de la nuit de noces. L’homme qui aimait les hommes souffrit beaucoup et jura de se venger. Sa rancœur fut telle qu’il se vengea sur la première personne qu’il vit, incarnation de sa souffrance et sa frustration. La jeune et innocente épouse en prit plein la gueule au sens propre et figuré. éberluée, assommée, elle subit mortifications, insultes et coups jusqu’à ce que, attachée à un meuble elle finisse par rompre ses chaînes pour aller déposer plainte au commissariat le plus proche. L’affaire fit grand bruit dans le village et l’homme qui aimait les hommes fut condamné par la Justice de notre pays. Il aurait du être démis de ses responsabilités mais ils n’en fut rien.

Tous les hommes qui aimaient les hommes compatirent au sort que lui avait imposé son papa et restèrent indifférents aux souffrances de la victime malgré leur reconnaissance par la justice de notre pays.

La conclusions de cette histoire est que selon que vous serez un homme qui aime les hommes, tout vous sera permis, vous serez intouchable, pardonné de cogner les femmes, exhibé en héros par vos semblables et maintenu dans des privilèges immérités.



J) Manuel, tu nous emmènes où comme ça ?
Interdictions par-ci, loi Renseignement par-là, 49.3 à répétition : mais Manuel, toi et tes amis, vous nous emmenez où comme ça ? J’aimerais beaucoup me tromper, et j’espère que de nombreux lecteurs viendront m’opposer leurs arguments pour me démontrer que je m’inquiète pour peu de choses. J’ai malgré tout la triste impression que le gouvernement nous prend pour des nouilles et que c’est en grenouilles que nous allons bel et bien tous finir, en grenouilles bouillies. L’histoire est connue. Si vous plongez une grenouille dans de l’eau bouillante, le changement brutal et douloureux de température va la faire réagir immédiatement et elle va sauter hors de l’eau. Par contre, si vous l’installez d’abord dans un bain à température ambiante, elle va se sentir à son aise, sans aucun besoin ni désir de bouger. À partir de là, si vous montez progressivement la température de l’eau, la grenouille va s’adapter à son nouvel environnement. Lorsque la température atteindra un niveau désagréable, la grenouille sera à la fois trop adaptée et trop faible pour réagir, jusqu’à finir ébouillantée. 


La réalité physiologique des grenouilles n’est peut-être pas parfaitement respectée, mais la parabole est frappante. La voici racontée en image (2′ 23″) :

L'allégorie de la grenouille se fonde sur une observation concernant le comportement d'une grenouille placée dans un récipient d'eau chauffée progressivement pour illustrer le phénomène d'accoutumance conduisant à ne pas réagir à une situation grave. (Wikipédia)

De quoi suis-je en train de parler ? De mon sentiment de plus en plus persistant qu’une emprise autoritaire douce se met en place à notre insu et à nos dépens : elle concerne notre liberté de parole et de débat et vise également le contrôle quotidien de nos vies. Nous autres Français venons de vivre une grande séquence « Charlie » sur la liberté d’expression. À titre personnel, je l’ai vécue au premier degré. Mais force est de constater que la liberté d’expression subit de nombreux assauts et n’existe véritablement qu’en fonction de ses génuflexions envers les grands thèmes validés par les socialistes, qui s’énoncent « forces de progrès, SOS racisme, vivrensemble, minorités visibles, pas d’amalgame, sauver la planète, écologie citoyenne, liberté ordonnée, stop au Nutella et au fascisme » et j’en passe. Cela n’a pas commencé en 2014 avec l’arrivée de Manuel Valls à la tête du gouvernement, ni même en 2012 avec l’élection de François Hollande. Cependant, disons que depuis cette date on ressent une accélération formidable, et disons aussi que ces « progrès » sont hautement revendiqués par la gauche.

Je partage en tous points l’analyse de Philippe Nemo1 sur les méfaits des lois de censure de l’opinion et des lois mémorielles. Après le cataclysme de la Shoah et après les mouvements migratoires en provenance d’Algérie suite à la décolonisation, la bonne intention antiraciste s’est transformée en lois pénalisant non plus des actes violents, mais des paroles, c’est-à-dire des opinions. C’est ainsi qu’en 1972, la loi Pleven, du nom du Garde des Sceaux de l’époque, introduit un délit de « provocation à la haine raciale » assorti d’une nouveauté : en plus des personnes visées, les associations antiracistes ont désormais le droit de porter plainte et de se constituer partie civile. De telles dispositions aboutissent à faire comparaître au tribunal des personnes qui n’ont commis aucun acte criminel, mais qui ne pensent pas comme les associations antiracistes, lesquelles encaissent au passage assez régulièrement des dommages et intérêts plutôt coquets.

La loi Gayssot de 1990 conforte la loi Pleven et ajoute le délit de « contestation de l’existence des crimes contre l’humanité, tels que définis dans le statut du Tribunal militaire international de Nuremberg. » Le négationnisme des chambres à gaz existe mais reste limité. Il me semble que la seule façon correcte d’y répondre passe par l’argumentation historique, pas par l’interdiction qui tend à instiller un doute et alimente les théories du complot. En 1993, l’article R.625-7 apporte une subtilité de plus, le caractère non public, ce qui veut dire que des propos tenus en privé peuvent être incriminés. Il étend de plus la provocation à la haine raciale, aux discriminations en raison de l’origine ou de la religion. En 2005, vient s’ajouter le sexe, l’orientation sexuelle et le handicap.

En 2001, la loi Taubira renforce la loi Gayssot sur son flanc mémoriel en actant comme crime contre l’humanité la « traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l’océan Indien d’une part, et l’esclavage d’autre part. » De nombreuses polémiques ont alors émergé, certains historiens ayant remis en cause la qualification de crimes contre l’humanité, ainsi que l’importance donnée à la traite atlantique par rapport aux traites arabo-musulmanes et intra-africaine. En effet, Christiane Taubira, esprit partisan s’il en est, souhaitait que la traite arabo-musulmane soit minimisée afin que les « jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes. » Compte-tenu de la vision extrêmement partielle, voire partiale, de cette loi, les historiens se sont inquiétés à juste titre pour la vérité historique et pour leur liberté de recherche du fait de l’intrusion du législateur et du juge dans leur domaine. L’historien Olivier Pétré-Grenouilleau en a fait les frais en étant attaqué en justice au nom de la loi Taubira, laquelle définit de fait une histoire officielle.


Avec Manuel Valls ministre de l’Intérieur, toutes les expressions hors cadres sont impitoyablement pourchassées et interdites. À l’occasion de l’affaire Dieudonné en janvier 2014, dans laquelle l’humoriste, qui a fait de la provocation antisémite son fonds de commerce, s’était vu interdit de spectacle par la préfecture de Nantes avec confirmation du Conseil d’État, Manuel Valls a eu toute latitude pour expliquer ses thèses sur la liberté d’expression : « Je ne laisserai plus jamais, plus rien passer des mots qui divisent les Français » a-t-il déclaré à l’époque (cliquer sur la photo ci-contre, brève du Figaro du 11 janvier 2014). Il ne s’agit pas de lutter pénalement contre des actes de violence, mais contre des mots. Aux mots qui déplaisent, on ne répond plus par l’argumentation ou même l’indifférence, mais par une interdiction. Or ce type d’interdiction a prouvé mille fois sa contre-productivité dans la mesure où elle attire le projecteur sur ce que l’on veut voir disparaître.

Dans sa grande interview à GQ France de juin 2015, Najat Vallaud Belkacem, en ministre loyale, reprenait à son compte la croisade anti-mots de Valls. À propos des libertés individuelles, elle pense qu’avec la loi Renseignement « on va dans le bon sens ». À titre d’exemple, elle cite le cas d’internet : « Il ne faudrait pas qu’internet soit un no man’s land où toutes les idées pourraient s’exprimer. »  Elle vise explicitement tout ce qui relève de l’homophobie, de l’antisémitisme et du racisme. Des dessinateurs ont été tués parce qu’ils avaient fait des dessins qui dérangent, le gouvernement n’a pas économisé sa peine pour se montrer plus Charlie que Charlie, mais seulement imaginer que toutes les idées pourraient s’exprimer sur internet, quelle horreur ! On se demande pour quoi NVB a défilé le 11 janvier. Le sait-elle elle-même ? Bien sûr, elle a manifesté pour ses idées, pas celles des autres, qui ne lui conviennent pas. On est loin, très loin des philosophes des Lumières qui pensaient que les idées pour lesquelles il faut se battre sont avant tout celles des autres, celles qu’on ne partage pas. Se battre pour leur expression, bien sûr, car on peut, on doit les combattre sur le plan intellectuel dans le cadre d’un débat.

Avec Manuel Valls Premier ministre, on atteint plusieurs grades supplémentaires de coercition. Suite à l’affaire Charlie, la lutte contre le terrorisme est devenue le prétexte du vote d’une loi Renseignement particulièrement intrusive dans les ordinateurs et la vie de tous les Français, et dans des domaines qui dépassent largement le seul cadre du terrorisme. Les services de police pourront se livrer à des écoutes téléphoniques ou espionner les contenus des ordinateurs sans passer par l’autorisation d’un juge. Inspirée de textes américains similaires, notre loi Renseignement risque de se retrouver prochainement assez seule au monde, le congrès des États-Unis ayant récemment obtenu que les écoutes de la NSA soient suspendues. Il est prévu que le texte définitif de notre loi soit voté ce 24 juin. Une manifestation des nombreux opposants au texte est prévue le 21 juin devant la DGSI. Là encore, les moyens sollicités par le gouvernement risquent de n’avoir qu’un effet très limité sur l’objectif affiché de lutte contre les terroristes, ces derniers ayant vite compris comment éviter ou contourner les écoutes. Par contre, la surveillance des habitants va devenir parfaitement possible pour peu qu’un gouvernement juge nécessaire de faire surveiller tel ou tel citoyen déplaisant qui pourrait fort bien être un jour vous ou moi.
 
Manuel Valls s’est également illustré à deux reprises dans l’utilisation de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution afin de faire passer une loi sans vote, en l’occurrence la loi Macron en première et deuxième lecture à l’Assemblée nationale. Si les raisons invoquées la première fois mettaient en avant l’obligation de responsabilité et d’autorité du gouvernement, le Premier ministre a indiqué avant-hier avoir agi par souci d’efficacité :


C’est simple, l’Assemblée nationale est un véritable obstacle à l’efficacité de la politique gouvernementale. Ce doit être pour ça que tout ne marche pas si bien. Si l’on suit le raisonnement, pourquoi garder une institution coûteuse et inefficace ? Ou plutôt, gardons-la, mais anesthésions-la. L’adoption de la réforme du collège par décret le 20 mai dernier relève probablement du même souci d’efficacité : les députés, les frondeurs et les opposants en tous genres sont des empêcheurs de tourner en rond dont les avis importent peu à quiconque est aussi sûr de son fait que Manuel Valls et tout son gouvernement. C’est pour notre bien, n’en doutons pas.

En parlant de notre bien, n’oublions pas les soins étouffants dont nous entourent Ségolène Royal et Marisol Touraine. Après avoir voulu interdire les feux de cheminée à Paris, la ministre de l’Écologie entend maintenant nous priver de Nutella, car c’est gras et mauvais pour la planète. Idem pour le Round-up en jardinerie.


Quant à la ministre de la Santé, non contente de traquer les mauvais régimes alimentaires responsables de maladies cardio-vasculaires, elle souhaite faire interdire la cigarette électronique, non pas parce qu’elle serait nocive, mais parce que le geste, similaire à celui de la cigarette, pourrait constituer une incitation au tabac pour de malheureux citoyens très influençables. Il s’agit là de dérives hygiénistes qui dépassent largement le simple souci de santé publique, ainsi que l’expliquait Gaspard Koenig dans un article du Figaro. Il parle de maman Royal, et on ne peut guère lui donner tort. Il semblerait que Ségolène Royal ait fait machine arrière sur le Nutella, mais cette prétention acharnée à toujours tout régenter finit par constituer une entrave caractérisée à l’exercice du libre-arbitre de tout un chacun.

Remarquons également que lorsqu’il s’agit de projets portés idéologiquement par la gauche, tel que le développement éolien par exemple, le souci de santé publique est prestement oublié, alors que les médecins allemands viennent de mettre en garde leurs autorités politiques face aux risques que les vibrations des éoliennes font courir aux populations, ainsi que nous l’expliquait H16 il y a quelques jours.

 
On pourrait hélas allonger la liste de plusieurs dizaines de pages. Et on ne peut s’empêcher de regretter que l’opposition, qui est censée s’opposer, soit si manifestement aux abonnés absents, quand elle ne concourt pas purement et simplement à entériner les entreprises antidémocratiques du gouvernement. Je pense en particulier à la loi Renseignement.
J’ai été très impressionnée par une « politique friction » récente de Bruno Bertez :


« Pour toujours rester vigilant », disait-il, « je lis quasi quotidiennement une tranche des mémoires de Goebbels et je trace les parallèles. Cela me permet de comprendre que les fascistes ne sont, ni là ou on le croit, ni là où on le dit ; pour être fasciste il faut, c’est la condition nécessaire, mais pas suffisante, être socialiste. Il faut placer le groupe, la société, le collectif, la Nation au-dessus de l’individu et aller jusqu’à y sacrifier cet individu. Et c’est ce contre quoi je lutte. »

Dans le même temps, je lisais un entretien que Jean-Christophe Cambadélis, fraîchement renouvelé à la tête du parti socialiste, a accordé la semaine dernière à L’obs (n° 2639 du 4 au 10 juin 2015). À propos de ce qu’il appelle une idéologie antirépublicaine : « La liberté, sous-entendu le consumérisme individuel, est placée plus haut que la liberté collective, le droit de vivre ensemble. » Pas d’hésitation possible, je préfère être grenouille dans le petit bassin attentif aux individus évoqués par Bruno Bertez que sous les grandes eaux de la bien-pensance collective et indifférenciée de Cambadélis. 

Il ne me reste plus qu’à suggérer à nos ministres et à nos députés de réfléchir au sujet de philosophie proposé hier aux bacheliers de la filière S : « La politique échappe-t-elle à une exigence de vérité ? » Bien sûr que non, vont-ils répondre sur un ton offensé. La vérité, comme la réalité, est une notion si adaptable en politique…

Nathalie MP est ancienne élève du lycée Louis-le-Grand et diplômée de l’ESSEC. Après avoir été active dans la banque et l’assurance, elle travaille actuellement à son compte avec des associés dans une petite banque d’affaires. Depuis peu, elle tient un blog dont les thèmes centraux sont : politique, libéralisme, catholicisme
 Philippe Nemo, La régression intellectuelle de la France, Éditions Texquis, 2011




payée 769000€ par l'état PS lyonnais & Rhonalpin symbolise la décadence socialiste (à voir à Miribel)  

juin 20, 2015

Ce que vos enfants n’apprendront jamais de leurs professeurs

L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture, librement vôtre. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...Merci de vos lectures, et de vos analyses.



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Ce que vos enfants n’apprendront jamais de leurs professeurs
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                            Petite présentation de l'Institut Coppet par son président Damien Theillier
*
Chère amie, cher ami,
Nul ne peut nier l'évidence:

L’enseignement public, dominé par les idéologues, n’a plus pour but d’instruire vos enfants…  mais de justifier des actions de l’État.
Lire, Écrire, Compter, Réfléchir ne sont plus la priorité des "pédagogues" des ESPE (les IUFM sous un nouveau nom). Au contraire, leurs manigances n'ont qu'un seul but: embrigader des citoyens dociles, qui ne réfléchissent pas trop.
La réforme de l’Éducation Nationale portée par Najat Vallaud-Belkacem nous rapproche encore un peu plus du point de non-retour. L'excellence y est bannie au nom de l'égalitarisme.
L'Université n'est pas épargnée. Depuis mai 68, l'extrême-gauche règne en maitre dans l'enseignement supérieur. Certains professeurs vivent sous une menace inquisitrice permanente, comme Galilée en son temps.

Ils ont même fait interner de force l'économiste Jean-Louis Caccomo pendant deux ans ! Son crime ? Mal penser selon les critères de la doxa établie.
Je sais que votre niveau d’éducation et de culture générale vous place au-dessus de la majorité. Par conséquent, vous n’aurez aucun mal à rétablir les quatre vérités auprès de vos enfants et petits-enfants.
Mais songez un instant à tous ceux qui n’ont pas eu votre chance; ceux qui n'ont pas votre indépendance d'esprit; ceux qui tombent dans les pièges de la communication politique.

Les enfants, quel que soit leur milieu social, méritent-ils de subir la propagande des idéologues, sans pouvoir faire la part des choses ?
Si vous êtes comme moi, cette situation vous déchire le coeur.
Comme vous, je ne peux pas rester sans rien faire. De fait, il est urgent de constituer un contre-pouvoir à la pensée unique.
Acceptez-vous de m'aider ?
Votre aide est essentielle. Si je ne devais vous fournir qu'une seule raison pour laquelle vous devez vous impliquer pour nos enfants, ce serait celle-ci:
Ces jeunes formatés par l'enseignement politisé ont toute une vie devant eux. Et pourtant, nous avons laissé les idéologues leur forger de véritables chaines mentales.

Nous avons le devoir de les libérer de ces carcans, sains et saufs.
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La crise politique et morale, une conséquence de l'abandon de l'éducation aux idéologues
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Je m'interroge.
Quels sont les savoirs les plus menacés par la propagande ?
Allons plus loin.
« ... Et si la méconnaissance organisée des sciences humaines était la source de la crise politique, morale, et économique que traverse ce pays ?  »
Pensez-y. Vous savez, un certain nombre de savoirs sont interdits d’enseignement en France. De même, le pluralisme des idées est proscrit à l’université, tout comme dans les médias.
Rappelez-vous lorsque l'économiste Pascal Salin a été nommé président du jury de l’agrégation de sciences économiques en 2004.
Une véritable campagne de haine a été orchestrée par les syndicats gauchistes pour censurer le jury, relayée par une presse complaisante.

Le fait est que tout savoir enseigné en sciences humaines sert à justifier l'intervention de l’État dans nos vies.
Vous pensez peut-être que j’exagère.
Alors, voyez par vous-même. Commençons par...
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L'enseignement de l'économie, entre interventionnisme et planisme

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L’enseignement est au mieux keynésianiste, au pire marxiste. En France, la science économique est dominée par une mentalité d’ingénieur planificateur, hostile aux initiatives individuelles.
En effet, le marché est jugé inefficace. Il nécessite des corrections planifiées, centralisées, dirigées par l’Etat.
Comme ces corrections du marché entraînent des injustices sociales flagrantes – du chômage, des destructions d’entreprises -, l’Etat doit ensuite corriger les injustices sociales issues de son intervention.
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L'enseignement du droit, la puissance de l’État exacerbée

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La France possède une tradition étonnante : les juristes ont créé un droit d’exception pour protéger l’individu des actions de l’Etat.
Ce dernier possède un fort pouvoir de coercition – il est donc impossible de mettre le citoyen au même niveau que l’Etat sans créer une inégalité de traitement.
Cette observation a mené à la création du droit administratif. Mais cette conception protectrice du droit des individus s’est érodée au fil du 20ème siècle.
Le Conseil d’Etat, autrefois garant de la protection du citoyen français, est devenu la chambre d’enregistrement de services publics toujours plus nombreux.
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L'enseignement de la philosophie, le relativisme élevé en religion républicaine

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L’enseignement de la philosophie au sein de l’école républicaine est marqué par un double héritage : celui de Rousseau, et celui du positivisme.
C’est d’abord l’idée rousseauiste que seul le politique est capable de réguler la société.
C’est ensuite l’idée positiviste que le vrai et le bien ne sont pas des réalités objectives, accessibles à la raison, mais de pures constructions historiques et culturelles. Autrement dit, du pur relativisme.
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L'enseignement des sciences sociales, la collectivité, raison d'être de l'individu

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Les sciences sociales sont imprégnées d’un paradigme holiste contestable. Bourdieu, sociologue contesté hors de nos frontières, règne en maître.
Selon lui, les phénomènes sociaux sont déterminés par la structure sociale – sans jamais prendre en compte les valeurs personnelles et la rationalité de chaque individu.
Le groupe prime sur l’humain – idéologie qui a permis de justifier de nombreuses dictatures dans l’Histoire.
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Et qu'en est-il des grands penseurs français ? Célèbres dans le monde... inconnus chez nous.
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Ce n’est pas tout.
Si vous avez reçu ce message, c'est que vous vous intéressez à la tradition intellectuelle française. Vous savez que le choix personnel des individus était au centre de notre conception traditionnelle.
Ce pan entier de l'intellect français, admiré dans le monde entier, est occulté.
Cherchez l'erreur: les grands penseurs français, comme Turgot, Jean-Baptiste Say, Frédéric Bastiat, ou même Jacques Rueff ne sont pas au programme dans notre propre pays !
Que pouvez-vous en conclure ?

L’enseignement public propose d’étudier l’Homme… en laissant de côté l’Homme ! Le Collectif - la République - prime sur le citoyen, coûte que coûte.
Et cela dure... depuis 1940. En effet, l'idéal de la Liberté a été enterré sous Pétain... et est restée six pieds sous terre à la Libération.
Pour autant, tout n'est pas perdu.
Pour preuve, certains professeurs et maîtres de conférences s’élèvent contre cette pensée unique depuis des années. En toute discrétion, ils tentent d'instruire la jeunesse autant qu'ils peuvent.

Ils résistent à la pensée unique, autant que possible.
C'est pourquoi, en partenariat avec l'Institut Coppet, ces défenseurs de la tradition française lancent aujourd'hui l’École de la Liberté.


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Découvrez l’École de la Liberté, le contre-pouvoir culturel à l'enseignement public
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L'économiste F.A. Hayek (Prix Nobel 1974) le disait il y a quelques décennies:
"Nous avons le devoir d'éduquer et de former une armée de défenseurs de la Liberté".
L'Institut Coppet veut donc promouvoir une offre alternative d'enseignement qui replace l'individu au centre de l'équation.
Depuis 2010, nous nous battons pour faire connaître les grands économistes français; de Bastiat à Molinari, en passant par Turgot et Say.
Aujourd'hui, nous proposons d'aller au bout de cette logique. Comment ? En rétablissant l'enseignement des sciences humaines selon la tradition française.
Permettez-moi d'apporter une précision.
Ce projet n'est pas une université. Cela poserait de trop lourdes contraintes matérielles. Les locaux ne peuvent pas être adaptés à une demande fluctuante. De plus, les étudiants les plus éloignés ne pourraient pas forcément assister aux cours.
En conséquence, la technologie vient à notre secours. L’École de la Liberté est une nouvelle plate-forme MOOC (pour Massive Open Online Courses). Ces cours en ligne ouverts à tous permettent à chaque étudiant d'y accéder  depuis chez eux.
Voyez cela comme une université libre en ligne - disponible depuis chez vous, grâce à Internet.
Cette révolution des cours en ligne est d'ailleurs utilisée par les Universités américaines les plus prestigieuses, telles que Stanford, Northwestern, Wharton ou Yale.
Ce format de cours mise sur deux éléments: le travail personnel et l'interactivité avec les élèves.
Les auditeurs suivent les cours en vidéos; ils peuvent interroger et débattre avec leurs professeurs sur un forum privé; ils rendent régulièrement des travaux dirigés; et en fin de cycle, ils passent des examens pour valider les acquis.
En outre, une université traditionnelle dispose d'une bibliothèque. Celle-ci contient les livres nécessaires pour approfondir les cours.


Dans cette logique, l’École de la Liberté se divise en 3 parties:
  • La vidéothèque. Vous pourrez y regarder de courtes vidéos pédagogiques, des enregistrements de conférences et des documentaires.Ces vidéos vous permettront de découvrir ou d'approfondir des pans de la pensée libérale et de ses applications. *
  • La bibliothèque. Le contenu disponible dans cette bibliothèque en ligne comprend autant des transcriptions de conférences, des livres ou des articles de recherche. *
  • Le campus. Voilà le cœur de l’École de la Liberté. Les auditeurs pourront y regarder les cours et interagir avec les enseignants.
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Une pédagogie inspirée des universités américaines
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Parlons du Campus.
Il s'organise autour de trois outils, mis à la disposition des auditeurs, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7:
  • De véritables cours qui s'étendent sur un semestre. 5 matières sont au programme: Philosophie morale et politique, économie, droit, histoire des idées politiques, sciences politiques.
Chaque matière bénéficie de 4 heures de cours par trimestre. Ces cours sont segmentés en séances de 9 à 15 minutes, pour être regardés facilement depuis un ordinateur.
Par ailleurs, chaque matière bénéficie de deux cours: un cours d'introduction et un cours de spécialisation, plus avancé.
  • Des vidéos pédagogiques courtes, réalisées par des professionnels - économistes, juristes, philosophes. Elles traitent d'un sujet ponctuel en particulier et sont conçues comme des compléments au cours.
  • Enfin, des interviews d'entrepreneurs et d'acteurs de la société civile permettent à l'auditeur de relier théorie et pratique.
Quid des professeurs ?


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Les professeurs qui défendent un autre enseignement
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  • Pascal Salin est économiste et philosophe, professeur émérite à l’Université Paris-IX Dauphine. Il fut président de la Société du Mont-Pèlerin entre 1994 et 1996. Au sein de l’École de la Liberté, il occupe le poste de président du Comité d’Honneur.
  • Gabriel Gimenez-Roche est professeur associé d’économie à ESC Troyes. Il est aussi maître de conférences à Sciences Po Paris. Vous le retrouverez dans le cours sur les Principes de l’Économie de Marché.
  • Emmanuel Martin, docteur es sciences économiques, dirige l’Institute for Economic Studies – Europe. Son Think Tank est spécialisé dans l’éducation économique. Son cours ? Les moteurs du développement économique.
  • Serge Schweitzer est maître de conférences en science économique à l’Université Aix-Marseille. Il dirige la Licence Droit / Analyse Économique de l’ICES. Il enseignera l'Histoire des Idées Économiques.
  • Aurélien Portuèse est avocat à la cour, ancien maître de conférences à l’Université de Westminster (Londres) et à Sciences Po Paris. Vous le retrouverez  en Fondements juridiques et économiques de la Propriété.
  • Jean-Philippe Feldman est avocat à la cour de Paris, professeur agrégé des Facultés de Droit, et maître de conférences à Sciences po Paris. Son cours ? Droits et Libertés Comparés: philosophie des Droits de l'Homme et des Révolutions.
  • Corentin de Salle est professeur à l’Université Libre de Bruxelles. Titulaire d’un doctorat en philosophie, il est conseiller à la présidence du parti belge MR. Il enseignera la Tradition de la Liberté: splendeurs et misères du capitalisme.
  • Marian Eabrasu est professeur d’économie et d’éthique à l’ESC Troyes. Il a été chercheur associé à plusieurs think tanks, dont le Ludwig von Mises Institute. Son cours ? Philosophie morale et politique.
  • Damien Theillier est professeur de philosophie, diplômé de la Sorbonne. Président de l’Institut Coppet, il a co-écrit le Dictionnaire du Libéralisme. Il enseignera, non pas la philosophie, mais l’Économie Politique du Laissez-Faire.
  • François Facchini est professeur agrégé d’économie des Universités ( Paris I Panthéon-Sorbonne, Paris-Sud XI et la Faculté Jean Monnet). Vous le retrouverez en Introduction à l’Analyse des Choix Publics.
  • Loïc Floury est titulaire d’un M2 Droit des Affaires de l’ICES. Il est co-auteur avec Serge Schweitzer du livre Théorie de la Révolte Fiscale. Son cours pour l’École de la Liberté: l’Analyse Économique du Droit.
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Ce projet ne pourra se faire sans vous !
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Le projet est prêt sur le papier.

Voici où nous en sommes aujourd'hui:
  • Les professeurs ont écrit leurs cours.
  • La vidéothèque et la bibliothèque virtuelle ont été assemblées.
  • Les Éditions de l’Institut Coppet publient déjà les livres fondamentaux qui sont au programme des professeurs.
  • En outre, une première version du site web a été créée.


Que reste-t-il à faire ?
Développer le moteur de recherche de la bibliothèque et de la vidéothèque. Enregistrer les cours des professeurs, les éditer et les mettre en ligne sur le campus de l’École de la Liberté.
Pour cela, nous avons besoin de vous.
Ces dépenses ont été évaluées à 15 000€. Sont compris :
  • La rémunération des professeurs.
  • Le tournage des cours par des professionnels.
  • L’édition et la mise en ligne des MOOC.
  • L’administration du site, et ses frais de fonctionnement pendant un an.
Votre don de 10, 20, 50, et même 100€ permettra de mettre en place le projet. Vous pouvez même décider de donner plus, si vous le pouvez.
Puis-je compter sur vous ?

En outre, si vous le souhaitez, votre nom sera immortalisé sur le site Internet de l’École de la Liberté, sur la page des Bienfaiteurs. Ainsi, vous serez associé à la renaissance de la tradition intellectuelle française pour la postérité.
Êtes-vous prêt à donner une autre éducation à nos enfants ?
Pour se faire, c’est très simple, vous pouvez :
  • Cliquez sur le bouton « Oui ! Je fais un don » ci-dessous, et suivre les indications pas à pas. Vous serez redirigé vers un formulaire Paypal, sécurisé, pour enregistrer votre don.
  • Si vous le souhaitez, vous pouvez également décider de donner par chèque. Dans ce cas, il vous suffit d’envoyer votre don, libellé à l’ordre de l’Institut Coppet, à l’adresse suivante :



Institut Coppet – 26, rue de la Bienfaisance, 75008 Paris
Puis-je espérer votre aide ?
Je compte sur vous,
Merci d’avance !

Pour l’Institut Coppet, Damien Theillier, Président

PS : J’ai bien conscience que ce message peut vous paraître très intellectuel. A l’heure où de plus en plus de Français doivent faire les comptes au 10 du mois, une telle considération peut vous sembler bien superficielle.
Pourtant, je vous prie de me croire, la France ne se relèvera pas sans une révolution d'ordre culturel. Tant que l’enseignement sera l’instrument pour formater les jeunes générations, la situation continuera à empirer.
En clair, il y aura davantage de chômeurs ; de pauvres ; de situations dramatiques, et d’individus broyés par les décisions de l’État.
La réinformation est nécessaire – surtout dans le domaine des sciences humaines. Et nous ne pourrons pas le faire sans vous. Alors s’il vous plait, considérez ma demande ; participez selon ce que vous pouvez.
Il ne fait aucun doute que, sans votre réaction, et celles d’esprits libres comme vous, il n’y aura aucun changement – et la France continuera sa route vers le tiers-monde.

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