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Rapport public annuel 2015
La Cour
des comptes a rendu public, le 11 février 2015, son rapport public
annuel. Ce rapport se compose de deux tomes. Le premier expose une
sélection d’observations et de recommandations de la Cour et des
chambres régionales et territoriales des comptes (CRTC). Le second
traite de l’organisation, des missions de la Cour et des suites données
aux recommandations formulées antérieurement.
Selon la Constitution (article 47-2), la Cour des comptes contribue,
par ses rapports publics, à l’information des citoyens. Son rapport
public annuel (RPA) en est une occasion privilégiée.
Introduit par
une analyse de la situation d’ensemble des finances publiques à fin
janvier 2015, le tome I de l’édition 2015 expose une sélection
d’observations suivies de recommandations, visant à améliorer
l’utilisation des fonds publics et l’efficacité des services publics.
L’analyse, qui met en évidence des marges d’efficience mais aussi des
progrès réalisés, est présentée dans :
- huit cas de politique
publique, concernant l’eau et l’énergie, les transports, l’aménagement
du territoire et l’urbanisme, l’enseignement supérieur et le sport
(Volume I-1) ;
- dix cas de gestion publique, concernant
l’organisation administrative, la conduite de projets, les modes de
gestion et la gestion des ressources humaines (Volume I-2).
Le
tome II présente l’organisation et les missions des juridictions
financières (Cour et CRTC) et traite des suites données aux observations
et aux recommandations formulées antérieurement. Le degré de leur mise
en œuvre y est matérialisé par un jeu de trois couleurs : verte (la Cour
constate des progrès), orange (la Cour insiste) et rouge (la Cour
alerte).
Le rapport annuel de la Cour de discipline budgétaire et
financière (CDBF) est annexé au rapport public annuel de la Cour des
comptes juste ci-dessous.
Consulter le rapport annuel de la Cour de discipline budgétaire et financière
Consulter le rapport annuel de la Cour de discipline budgétaire et financière
Didier Migaud, le premier président de l'institution, a cette année souhaité mettre les projecteurs sur des missions qui ont un impact concret sur la vie des Français, de façon à illustrer de façon pédagogique certains dérapages ou décisions absurdes.Après avoir pointé du doigt le projet de construction de deux gares TGV à 20 kilomètres de distance en Lorraine il y a deux ans, les magistrats de la Cour dénoncent cette année le développement en parallèle de deux aéroports régionaux, ceux de Dole et de Dijon, sans que rien ne le justifie. Sont également mis sur le gril dans l'opus 2015 la gestion des agences de l'eau, les stations de ski des Pyrénées, l'ouverture du marché de l'électricité à la concurrence ou encore la nécessaire réduction du nombre de sous-préfectures. Avec, en toile de fond, ce constant récurrent de la Cour: en France, les dépenses publiques sont plus élevées qu'ailleurs, pour des services qui ne sont pas meilleurs, voire parfois moins bons que ceux de nos voisins.
Les socialistes passent leur temps à accuser les politiques de baisse
des dépenses comme étant un frein, voir ayant un impact récessif sur la
croissance économique.
Regardez la réponse cinglante de Didier Migaud, premier président de la Cour des Comptes, balayant d'un revers de la main cette théorie farfelue, en réponse à une question de la dédaigneuse députée socialiste Karine Berger qui a cherché à rejeter les erreurs du gouvernement sur le dos de la Cour des Comptes.
C'était le 17 juin 2014 lors de l'audition M. Didier Migaud à la Commission des finances, sur le rapport sur la situation et les perspectives des finances publiques.
A visionner absolument et à partager avec tous les socialistes de mauvaise foi que vous connaissez ou que vous serez amenés à rencontrer.
Regardez la réponse cinglante de Didier Migaud, premier président de la Cour des Comptes, balayant d'un revers de la main cette théorie farfelue, en réponse à une question de la dédaigneuse députée socialiste Karine Berger qui a cherché à rejeter les erreurs du gouvernement sur le dos de la Cour des Comptes.
C'était le 17 juin 2014 lors de l'audition M. Didier Migaud à la Commission des finances, sur le rapport sur la situation et les perspectives des finances publiques.
A visionner absolument et à partager avec tous les socialistes de mauvaise foi que vous connaissez ou que vous serez amenés à rencontrer.
Alerte sur le déficit
L'an dernier, Didier Migaud avait aussi alerté sur un risque de dérapage par rapport aux prévisions du déficit public de 2013 et 2014. Si le chiffre pour 2013, d'abord alourdi, a été finalement revu à la baisse pour des raisons comptables, le déficit pour 2014, qui devrait être un peu inférieur à 4,4% du PIB, sera bien supérieur à la prévision initiale de 3,6%. Comme quoi les inquiétudes de la Cour sont souvent fondées…
Source: Le Figaro avec Cyrille Pluyette
La Cour des comptes se montre très critique à propos de « La loi de finances rectificative de décembre 2014″ : d’abord sur l’économie de 21 milliards d’euros annoncée par le gouvernement pour 2015 qui ne pourra être tenue qu’avec une croissance de 1%, or la Cour des comptes affirme que « l’objectif d’une croissance des dépenses publiques de 1,0 % en valeur en 2015 est ambitieux au regard de leur évolution passée ». Avant de conclure que « le programme d’économie qui sous-tend la prévision du Gouvernement, du fait de ses approximations et de ses imprécisions, n’apporte pas l’assurance que l’objectif de dépenses de l’ensemble des administrations publiques puisse être respecté ». Critique ensuite à propos du redressement des comptes publics au delà de 2015 : le gouvernement prévoit, en effet, une réduction du déficit public effectif de -4.4% de 2014 à -0.7% en 2019, comme le montre le tableau ci-dessous.
Or , selon le rapport, « cette programmation repose en effet sur une croissance du PIB de 1,7 % en 2016, de 1,9 % en 2017 et de 2,0 % en 2018 et 2019 (…) qui repose sur des hypothèses d’environnement international et d’investissement trop favorables ». En d’autres termes, le plan du gouvernement pourrait ne pas être tenu.Pire, la Cour des comptes émet l’hypothèse inverse, c’est-à-dire une croissance du PIB atone, comme c’est le cas actuellement : « Si la croissance du PIB en valeur était inférieure de 0,5 point chaque année et si le rythme annuel de réduction du déficit était minoré en conséquence de 0,3 point de PIB, la dette publique serait comprise entre 99 et 100 % du PIB chacune des années 2016 à 2018″.De quoi faire passer quelques nuits blanches à notre premier ministre, si tant est qu’il décide de recentrer ses objectifs prioritaires sur la situation économique de la France et non sur d’autres sujets annexes.Dans son rapport, l’office statistique de l’Union européenne (Eurostat) écrit, à propos de l’excédent commercial dans la zone euro, que la France se trouve à l’avant-dernière position, accusant un déficit annuel de 67,5 milliards d’euros pour 2014. Triste constat confirmé par le rapport de la Cour des comptes : « la France est, avec la Croatie, le seul pays de l’Union européenne dont le déficit public était supérieur à 3,0 % du PIB en 2013 et a augmenté en 2014″.
David dans Info Libre
Tous les ans c’est le même rituel : il y a le
Concourt, les vœux du Président, le Beaujolais nouveau et le rapport
annuel de la Cour des Comptes remarque le portail switchie5.
Et tous les ans c’est pareil : les politiques vont aussitôt le ranger
dans un placard, les médias vont en parler cinq minutes et hop, on
passera vite à autre chose. Depuis des décennies c’est comme ça : on
fait des discours, on rédige des rapports, on formule des vœux, on fixe
des objectifs, on installe des commissions mais on ne réforme surtout jamais rien.
Et c’est la raison pour laquelle la France est en train de mourir et
qu’elle est en soins palliatifs. Mais chut, surtout ne la secouons pas :
qu’elle s’en aille en paix…. R.I.P…
Le rapport annuel de la Cour des Comptes c’est un gros morceau. Celui de 2015 fait près de 600 pages qui devraient empêcher les politiques de dormir.
Si c’était un réquisitoire dans une cour d’assise, le Premier ministre
et les membres du Gouvernement seraient condamnés à mort : pour crimes
aggravés avec récidive, non assistance à pays en danger et sans circonstances atténuantes car les mises en gardes avaient été faites annuellement. Par la Cour des Comptes précisément.
J’en ai tellement par-dessus la tête des politiciens et de leurs simagrées que je ne vais pas vous détailler ici les 571 pages
du rapport. Ça ne servirait à rien car tout le monde s’en moque : on y a
droit tous les ans et rien ne change jamais. C’est juste une formalité
républicaine et de la routine politicienne transformée en écran de
fumée. Alors à quoi bon user encore de la salive cette année ? Non, je
vais juste faire une chose très simple : vous recopier le sommaire détaillé du rapport pour 2015. Les formules utilisées par la Cour parlent d’elles-mêmes.
Ah qu’en termes galants ces choses-là sont dites…
Je ne sais pas si vous pratiquez le langage diplomatique des comptables de la rue Cambon, mais quand la Cour vous dit par exemple qu’une économie est «peu documentée», en gros ça veut dire que c’est du pipeau, presque de la farce. Quand elle dit que la réalisation d’un objectif est“incertaine”,
ça veut dire qu’il est inatteignable et que le Gouvernement vous ment
et va nous planter. Quand la Cour dit qu’une correction a été décidée “dans l’urgence” ça
veut dire tout simplement que les ministres sont des incapables et
qu’ils n’ont rien vu venir. Quand les comptables de la Cour disent que
le programme d’économies est “insuffisamment étayé”ça veut dire qu’il a été rédigé par des amateurs. Quand ils disent que le mode de calcul de la croissance des dépenses est “insuffisamment documenté” ça veut dire que ça a été fait au pif, sur un coin de table. Quand la Cour dit qu’il y a une “cohérence à retrouver”, ça veut simplement dire que c’est totalement incohérent. Quand elle dit que la construction est“inaboutie”, ça veut dire que c’est ni fait ni à faire. Quand elle dit qu’il faut“sortir de l’indécision” ça veut dire qu’on en plein amateurisme et qu’il y a le feu au lac…Etc etc…
Encore une fois, les gens de la Cour sont tous des ENArques habitués aux formules alambiquées destinées à arrondir les angles
au maximum. Ils ne sont pas du genre à vous balancer des roses avec des
épines qui pourraient offenser ou blesser le Chef de l’État. Oh non,
non, non, ils expriment tout cela en termes très subtils, avec des
formules choisies, après avoir pris la peine d’enlever une à une toutes
les épines ! Ils ont été formés au “belle marquise vos beaux yeux me font….”.
Cette année, pas un seul titre qui ne soit pas négatif
Regardez par vous-mêmes :
• Pour 2014, ça commence évidemment fort et la Cour
n’y va pas avec le dos de la cuiller : le déficit “ne se réduit plus”,
les prévisions sont“optimistes” (sous-entendu : volontairement exagérées et donc mensongères) ; Les prévisions ont été “révisées tardivement” (sous-entendu
: on a perdu du temps par manque de discernement). Pire encore le
déficit augmente en France alors qu’il diminue en Europe (et vlan’).
Quant à la révision des prévisions, elle a été “tardive” (sous-entendu, là encore on a perdu un temps précieux).
• Pour 2015, ce n’est pas mieux. Non seulement l’objectif de réduction du déficit a été “limité” (sous-entendu il n’a pas été assez ambitieux) mais la réalisation est “incertaine” (sous-entendu on ne l’atteindra pas).
Les prévisions de recette ont du être “révisées à la baisse” (sous entendu les rentrées fiscales ont été mal appréciées et ont du être révisées) pendant que dans le même temps l’évolution des dépenses était maintenue en valeur (alors que la faible inflation aurait du conduire à les diminuer)…
Bref, le Gouvernement ne réalisera pas l’objectif promis de réduction de déficit (“réalisation incertaine”) ; les recettes sont fondées sur des hypothèses “incertaines” (les calculs du Gouvernement sont imprécis, hasardeux, douteux et contestables). Et l’objectif de maîtrise des dépenses n’est “pas acquis” (sous entendu : ne sera pas atteint).
La Cour nous dit que le programme d’économie est “insuffisamment étayé”(carrément !). Que le mode de calcul des dépenses est “insuffisamment documenté” (et v’lan); que les hypothèses de travail sont “très conventionnelles” (pas d’imagination, de remise en cause et de courage); et que le chiffrage du Gouvernement est “incertain”. Rien que ça. Bref un super travail de professionnels. Et cet amateurisme débouche sur quoi ? eh bien sur un “redressement hypothétique”
des comptes publics au-delà de 2015. Voilà ce que dit la Cour des
Comptes en termes galants : pas de redressement de la France à
l’horizon.
Ça c’était pour la première partie du rapport annuel et les finances publiques. La deuxième partie du rapport concerne les “politiques publiques”. Là aussi ce n’est pas brillant. Je vous laisse juger …
L’eau et l’énergie ? Il y a une “cohérence à retrouver”
(sous entendu : les comptables de la Cour n’ont pas trouvé la cohérence
!). Pour l’ouverture à la concurrence, la construction est “inaboutie” ! C’est embêtant ça une construction inaboutie… Pour les transports ? Il est temps de “sortir de l’indécision” (c’est embêtant un Gouvernement “indécis”). Il y a un “nouvel équilibre à rechercher” (les comptables de la Cour que l’équilibre actuel n’est pas le bon). Pour l’urbanisme et l’aménagement du territoire ? Là aussi, un “redressement” est nécessaire et des choix sont “inévitables”(sous-entendu
: il faudra bien un jour arrêter de mettre la poussière sous le tapis
et avoir enfin le courage de décider et de faire de vrais choix.
Bon je vous passe le reste sur l’enseignement supérieur et le sport : “un avenir à conforter” (il est pour l’instant bouché), une “modernisation indispensable” (on traîne et on perd du temps), une “nouvelle impulsion” à donner (il serait temps de se secouer un peu)
Voilà. Vous comprenez sans doute mieux pourquoi je pense que ce pays est foutu…
Par Gerard Karageorgis dans Eclairage
Rapport en version intégrale
Tome I : les observations - volume 1 Les finances et les politiques publiques
Tome I : les observations - volume 2 La gestion publique
Tome II : l’organisation, les missions, les résultats
Tome II : l’organisation, les missions, les résultats
Tome I : les observations
Volume 1 Les finances et les politiques publiques
Première partie Les finances publiques
Deuxième partie Les politiques publiques
Chapitre I Eau et énergie
Les agences de l’eau et la politique de l’eau : une cohérence à retrouver
L’ouverture du marché de l’électricité à la concurrence : une construction inaboutie
L’ouverture du marché de l’électricité à la concurrence : une construction inaboutie
Chapitre II Transports
Les trains Intercités : sortir de l’indécision
Les transports publics urbains de voyageurs : un nouvel équilibre à rechercher
Les transports publics urbains de voyageurs : un nouvel équilibre à rechercher
Chapitre III Aménagement du territoire et urbanisme
L’avenir des stations de ski des Pyrénées : un redressement nécessaire, des choix inévitables
Les opérateurs publics locaux d’aménagement en Île-de-France : un avenir à conforter
Les opérateurs publics locaux d’aménagement en Île-de-France : un avenir à conforter
Chapitre IV Enseignement supérieur et sport
Le réseau des œuvres universitaires et scolaires : une modernisation indispensable
La politique publique de lutte contre le dopage dans le sport : donner une nouvelle impulsion
La politique publique de lutte contre le dopage dans le sport : donner une nouvelle impulsion
Tome I : les observations
Volume 2 : la gestion publique
Troisième partie La gestion publique
Chapitre I Organisation administrative
Les trésoreries auprès des ambassades de France : une survivance injustifiée
La réforme de la carte judiciaire : une réorganisation à poursuivre
La réforme de la carte judiciaire : une réorganisation à poursuivre
Chapitre II Conduite de projets
La refonte du circuit de paie des agents de l’État : un échec coûteux
Le MuCEM : une gestation laborieuse, un avenir incertain
Le MuCEM : une gestation laborieuse, un avenir incertain
Chapitre III Modes de gestion
Les partenariats public-privé des collectivités territoriales : des risques à maîtriser
La gestion directe des services d’eau et d’assainissement : des progrès à confirmer
La gestion par la France des fonds structurels européens : améliorer, simplifier, évaluer
La gestion par la France des fonds structurels européens : améliorer, simplifier, évaluer
Chapitre IV Gestion des ressources humaines
Les compléments de rémunération des fonctionnaires d’État outremer : refonder un nouveau dispositif
Les
centres de gestion de la fonction publique territoriale de Rhône-Alpes
et du Puy-de-Dôme : des missions à recentrer dans un cadre territorial
élargi
Les attributions gratuites d’actions de CDC Entreprises, filiale de la Caisse des dépôts et consignations : les dérives d’un dispositif d’actionnariat salarié public
Les attributions gratuites d’actions de CDC Entreprises, filiale de la Caisse des dépôts et consignations : les dérives d’un dispositif d’actionnariat salarié public
Tome II L’organisation, les missions, les résultats
Première partie L’organisation
Chapitre I L’organisation de la Cour des comptes et des chambres régionales et territoriales des comptes
Chapitre II Le personnel et les moyens financiers
Chapitre II Le personnel et les moyens financiers
Deuxième partie Les missions
Chapitre I Le jugement des comptes publics
Chapitre II Le contrôle de la gestion
Chapitre III L’assistance au Parlement et au Gouvernement
Chapitre IV La certification des comptes
Chapitre V Les missions internationales
Chapitre V Les missions internationales
Troisième partie Le suivi des recommandations
Chapitre II La Cour constate des progrès
Les avoirs bancaires et les contrats d’assurance-vie en déshérence : une protection renforcée des épargnants
Le chômage partiel : un dispositif rénové, insuffisamment utilisé
Le chômage partiel : un dispositif rénové, insuffisamment utilisé
Chapitre III La Cour insiste
La gestion des chercheurs : des améliorations encore nécessaires
Les soins palliatifs : une prise en charge toujours très incomplète
La gestion du Conseil économique, social et environnemental : une volonté de réforme, des efforts à poursuivre
L’établissement public d’aménagement de La Défense Seine Arche : une remise en ordre inachevée
Le
chantier de Jussieu et la conduite des grandes opérations immobilières
des universités franciliennes : des enseignements à tirer
La société « Château de Versailles Spectacles » : des progrès à consolider
Les opérations immobilières du ministère des affaires étrangères en région parisienne : un bilan insatisfaisant
Les opérations immobilières du ministère des affaires étrangères en région parisienne : un bilan insatisfaisant
Chapitre IV La Cour alerte
Le réseau des sous-préfectures : entre statu quo et expérimentation
Un exemple d’investissements publics locaux mal planifiés : les aéroports de Dole et Dijon
Un exemple d’investissements publics locaux mal planifiés : les aéroports de Dole et Dijon
Rapport en version globale détaillé par thèmes
- Tome I : les observations - volume 1 Les finances et les politiques publiques (PDF, 4,93 MB)
- Tome I : les observations - volume 2 La gestion publique (PDF, 3,79 MB)
- Tome II : l'organisation, les missions, les résultats (PDF, 4,64 MB)
- La situation d’ensemble des finances publiques (à fin janvier 2015) (PDF, 438,39 kB)
- Les agences de l’eau et la politique de l’eau : une cohérence à retrouver (PDF, 1,13 MB)
- L’ouverture du marché de l’électricité à la concurrence : une construction inaboutie (PDF, 851,02 kB)
- Les trains Intercités : sortir de l’indécision (PDF, 871,09 kB)
- Les transports publics urbains de voyageurs : un nouvel équilibre à rechercher (PDF, 716,86 kB)
- L’avenir des stations de ski des Pyrénées : un redressement nécessaire, des choix inévitables (PDF, 798,92 kB)
- Les opérateurs publics locaux d’aménagement en Île-de-France : un avenir à conforter (PDF, 502,74 kB)
- Le réseau des oeuvres universitaires et scolaires : une modernisation indispensable (PDF, 1,24 MB)
- La politique publique de lutte contre le dopage dans le sport : donner une nouvelle impulsion (PDF, 602,61 kB)
- Les trésoreries auprès des ambassades de France : une survivance injustifiée (PDF, 394,09 kB)
- La réforme de la carte judiciaire : une réorganisation à poursuivre (PDF, 1,15 MB)
- La refonte du circuit de paie des agents de l’État : un échec coûteux (PDF, 335,31 kB)
- Le MuCEM : une gestation laborieuse, un avenir incertain (PDF, 632,30 kB)
- Les partenariats public-privé des collectivités territoriales : des risques à maîtriser (PDF, 422,45 kB)
- La gestion directe des services d’eau et d’assainissement : des progrès à confirmer (PDF, 459,80 kB)
- La gestion par la France des fonds structurels européens : améliorer, simplifier, évaluer (PDF, 193,09 kB)
- Les compléments de rémunération des fonctionnaires d’État outremer : refonder un nouveau dispositif (PDF, 195,00 kB)
- Les centres de gestion de la fonction publique territoriale de Rhône-Alpes et du Puy-de-Dôme : des missions à recentrer dans un cadre territorial élargi (PDF, 567,00 kB)
- Les attributions gratuites d’actions de CDC Entreprises, filiale de la Caisse des dépôts et consignations : les dérives d’un dispositif d’actionnariat salarié public (PDF, 315,96 kB)
- Le suivi des recommandations en 2014 (PDF, 318,69 kB)
- Les avoirs bancaires et les contrats d’assurance-vie en déshérence : une protection renforcée des épargnants (PDF, 393,11 kB)
- Le chômage partiel : un dispositif rénové, insuffisamment utilisé (PDF, 730,82 kB)
- La gestion des chercheurs : des améliorations encore nécessaires (PDF, 551,35 kB)
- Les soins palliatifs : une prise en charge toujours très incomplète (PDF, 596,01 kB)
- La gestion du Conseil économique, social et environnemental : une volonté de réforme, des efforts à poursuivre (PDF, 360,78 kB)
- L’établissement public d’aménagement de La Défense Seine Arche : une remise en ordre inachevée (PDF, 671,38 kB)
- Le chantier de Jussieu et la conduite des grandes opérations immobilières des universités franciliennes : des enseignements à tirer (PDF, 975,26 kB)
- La société « Château de Versailles Spectacles » : des progrès à consolider (PDF, 322,88 kB)
- Les opérations immobilières du ministère des affaires étrangères en région parisienne : un bilan insatisfaisant (PDF, 326,11 kB)
- Le réseau des sous-préfectures : entre statu quo et expérimentation (PDF, 329,57 kB)
- Un exemple d’investissements publics locaux mal planifiés : les aéroports de Dole et Dijon (PDF, 593,84 kB)
- L’organisation de la Cour des comptes et des chambres régionales et territoriales des comptes (PDF, 726,51 kB)
- Le personnel et les moyens financiers (PDF, 299,13 kB)
- Le jugement des comptes publics (PDF, 777,72 kB)
- Le contrôle de la gestion (PDF, 452,51 kB)
- L’assistance au Parlement et au Gouvernement (PDF, 287,73 kB)
- La certification des comptes (PDF, 605,18 kB)
- Les missions internationales (PDF, 263,45 kB)
- Syntheses - Rapport public annuel 2015, les observations (PDF, 2,11 MB)
- Syntheses - Rapport public annuel 2015, le suivi des recommandations (PDF, 739,20 kB)
- Allocutions - Rapport public annuel 2015, allocution de Didier Migaud (PDF, 236,86 kB)
- Fiches - Infographie sur l’ouverture du marché de l’électricité à la concurrence (PDF, 552,88 kB)
- Fiches - Infographie sur les trains Intercités (PDF, 598,07 kB)
- Fiches - Infographie sur les transports publics urbains de voyageurs (PDF, 644,92 kB)
- Fiches - Infographie sur l’avenir des stations de ski des Pyrénées (PDF, 830,38 kB)
- Fiches - Infographie sur le réseau des œuvres universitaires et scolaires (PDF, 644,67 kB)
- Fiches - Infographie sur la réforme de la carte judiciaire (PDF, 550,88 kB)
- Fiches - Infographie sur les compléments de rémunération des fonctionnaires d’État outremer (PDF, 799,04 kB)
- Fiches - Infographie sur les soins palliatifs (PDF, 675,25 kB)
- Fiches - Infographie sur un exemple d’investissements publics locaux mal planifiés : les aéroports de Dole et Dijon (PDF, 613,58 kB)