Sommaire :
- Effet Piketty
- Effet Lisnard
- Effet Minc
- Explication de l'économiste: Sylvain Catherine
- Explication de l'économiste: Antoine Levy
- Explication de l'économiste: Christian Gollier
- Visions de Michaud, Motte et Knafo
Le socialisme amène tôt ou tard le totalitarisme voire le fascisme !!
Taxe Zucman : «Vous pourriez être arrêté à l’aéroport» si vous «ne la payez pas», prévient Thomas Piketty
Grand partisan de l’impôt plancher de 2% sur les patrimoines de plus de cent millions d’euros, l’économiste affirme qu’il est possible d’empêcher les ultra-riches de s’exiler.
Les débats enflammés autour de la taxe Zucman en France résonnent jusque de l’autre côté de l’Atlantique. L’agence de presse américaine Bloomberg a invité l’économiste Thomas Piketty dans son émission de radio pour aborder ce sujet brûlant. Fervent défenseur de la mesure, le directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) a affirmé que le taux de 2% proposé par Gabriel Zucman pour les patrimoines de 100 millions d’euros était le «strict minimum».
«Le problème est qu’il est trop modeste compte tenu de l’ampleur de la dette publique et de l’importance de tous les nouveaux investissements nécessaires», a-t-il ajouté. Au-delà du taux, l’une des grandes questions autour de la taxe Zucman est de savoir si elle ferait fuir les hauts patrimoines. Ses partisans affirment que non, quitte à brandir des mesures coercitives. Thomas Piketty propose ainsi d’aller chercher les exilés à l’étranger en les faisant contribuer proportionnellement au nombre d’années vécues en France. Et de prévenir : «Si vous ne payez pas, vous vous mettez dans la même situation que toute personne qui décide de ne pas payer ses impôts. Vos avoirs peuvent être gelés, vous pouvez être arrêté à l’aéroport. C’est la vie des gens normaux.»
Des fortunes bâties «en s’appuyant sur les infrastructures du pays»
Thomas Piketty et Gabriel Zucman sont des connaissances de longue date : le premier a supervisé le mémoire du second en 2008 à l’École d’économie de Paris, ainsi que sa thèse à l’EHESS entre 2009 et 2013. Tous ces travaux tournaient autour du patrimoine des plus grandes fortunes et de l’exil fiscal. «L’exil fiscal ? [...] À partir du moment où l’on a bâti sa fortune en s’appuyant sur les infrastructures du pays, son système éducatif et sanitaire, il n’y a aucune raison que l’on échappe aussi vite aux charges communes permettant de financer le système en question», affirmait Thomas Piketty dans les colonnes du Monde au mois de juin.
Réclamée depuis plusieurs mois par la gauche, plébiscitée par 86% des Français selon un sondage Ifop, la taxe Zucman est au cœur des négociations budgétaires entre le premier ministre Sébastien Lecornu et les oppositions. Dans le même temps, les critiques s’intensifient de la part de chefs d’entreprise, entrepreneurs et économistes. Bernard Arnault, PDG de LVMH, a récemment qualifié Gabriel Zucman de «militant d’extrême gauche» dont l’idéologie «vise la destruction de l’économie libérale». Le patron de Bpifrance, Nicolas Dufourcq estime de son côté que cette taxe est «un truc absurde» qui «n’arrivera jamais».
Ce mardi, le rapporteur général du budget à l’Assemblée nationale, Charles de Courson, a estimé, de son côté, que la mesure «ne tient pas la route», et proposé de lutter contre l’optimisation fiscale en visant les holdings familiales. C’est, pour l’heure, l’option privilégiée par le gouvernement.
Budget : 82% des Français préfèrent réduire les dépenses publiques avec David Lisnard qu’augmenter les impôts avec Macron.
Alain Minc atomise la taxe Zucman, un de ses anciens élèves : «Une folie absolue»
Il n’a pas mâché ses mots. Invité sur BFM TV vendredi 18 juillet, l’économiste Alain Minc a attaqué durement la taxe Zucman. Cette loi, du nom de l’économiste français à son origine, a pour objectif d’instaurer un impôt plancher sur les très grandes fortunes. Une loi qualifiée d’«ovni économique comme seule la France peut en produire» par l’économiste, qui décrit cette mesure comme une «folie absolue».
Pour Alain Minc, c’est l’idée de taxer des patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros à hauteur de 2% qui usent de l’optimisation fiscale, qui est problématique. Mais cette mesure est pourtant défendue par plusieurs économistes, et relayée par la gauche, en particulier par les écologistes et les socialistes.
Une taxe qui divise
Pour ses défenseurs, la taxe Zucman a le mérite de s’attaquer à ce qu’ils voient aujourd’hui comme une anomalie. Puisqu’au sommet de l’échelle des revenus, la progressivité de l’impôt s’effondre. En fait, selon les principes de cette taxe, si un milliardaire ne paie que 15 millions d’euros, alors que 2% de son patrimoine représentent 20 millions, il devrait s’acquitter de la différence. Objectif : rapporter 20 milliards d’euros par an à l’État et lutter contre l’évasion fiscale. Ses partisans insistent ainsi sur l’importance et l’urgence d’une réforme équitable, face au plan d’économies présenté par François Bayrou.
Pour Alain Minc, ce texte ignore un facteur primordial qui caractérise ces grands patrimoines : la mobilité des capitaux. «Ces patrimoines sont très mobiles, et on vit dans un monde où la tentation est, qu’on le veuille ou non, de partir», prévient-il. Selon l’économiste, défendre cette mesure serait une façon détournée pour la gauche de mettre en place une censure politique du gouvernement : «Ils savent que ça n’a pas de sens, mais ils veulent censurer».
Pourquoi, sur ce graphique, la richesse (un stock) est-elle exprimée en pourcentage du PIB (un flux) ? On aurait pu rapporter la richesse des plus riches à l’ensemble de la richesse nationale. Selon le World Inequality Database (WID, dont Gabriel Zucman est scientific co-director), le top 1 % détenait 24,6 % de la richesse nationale en 1996 et 27,2 % en 2023, soit une multiplication par 1,1x.
Comment en arrive-t-on à un facteur 6x à la télévision pour les 500 premières fortunes ? Problème n°1 : le graphique de Zucman laisserait apparaître une forte hausse des inégalités de richesse même s’il n’y en avait pas eu Le premier biais tient au fait que le ratio richesse/PIB de l'ensemble du pays n’est pas stable dans le temps. D’après le WID, la richesse nationale représentait 364 % du PIB en 1996 contre 621 % en 2023, soit une multiplication par 1,7x.
Autrement dit, si la part des 500 plus grandes fortunes dans la richesse nationale n’avait absolument pas changé durant cette période, le graphique laisserait apparaître un passage de 6,4 % du PIB en 1996 à 6,4 % × 1,7 = 10,9 % en 2023. Du coup, quelle aurait été la fortune des 500 familles les plus riches, rapportée au PIB, si ce ratio stock/flux était resté à son niveau de 1996 ? La richesse de chaque français rapportée au PIB eut été 1,7x plus faible. Et donc celle des familles de Challenge de 41 % / 1,7 ≈ 24 % du PIB. Autrement dit, sur les 41-6=35 points de PIB de hausse affichés sur le graphique de Gabriel Zucman, environ 18 points tiennent au fait que les 500 familles les plus riches se sont effectivement enrichies plus rapidement que le reste des Français. Les 17 points restants sont une amplification attribuable à l'évolution du ratio richesse/revenu de l'ensemble du pays. Bien sûr, il s’agit toujours d’une progression très marquée de leur richesse relative. Mais pourquoi accentuer artificiellement le phénomène en choisissant un dénominateur qui double le résultat ? Problème n°2: Rapporter les stocks aux flux amplifie les multiples La mesure la plus naturelle des inégalités de richesse--celle qu'on trouve dans les publications académiques de Gabriel Zucman--consiste à rapporter le patrimoine des plus riches à la richesse totale de la population. Selon le WID, la part détenue par le top 1 % est passée de 24,6 % en 1996 à 27,2 % en 2023, soit une hausse de 2,6 points — une multiplication par 1,1x.
Rapportée au revenu national net — sachant que la richesse totale en représente 621 % — cette hausse correspond à 2,6 % × 621 % ≈ 16 %. Autrement dit, la progression de la part du top 1 % sur cette période de 27 ans équivaut à environ 16 points de revenu national: on retrouve à peu près le même ordre de grandeur que dans le calcul précédent. Mais ceci ne correspond qu'à 2,6 % du stock national de richesse. Encore une fois, rien de tout cela ne remet en cause le fait que la performance des marchés boursiers mondiaux a bel et bien accru la part de richesse détenue par le top 1 %-- et en particulier les 500 plus grandes fortunes. D'après le WID, la part du top 1% a été multipliée par 1,7x depuis le milieu des années 1980. Mais pourquoi en rajouter artificiellement en choisissant un indicateur qui grossit ainsi l’évolution observée ? PS: Il faut également rappeler que les statistiques du WID sont elles aussi sujettes à caution. Dans la plupart des pays, les instituts statistiques ne disposent pas de données administratives sur les patrimoines individuels. Les séries publiées sont le plus souvent inférées à partir de sources sur les revenus, et les résultats obtenus donnent lieu à des désaccords parfois vifs entre économistes. Par ailleurs, ces mesures ne prennent pas en compte les droits à la retraite, et leur inclusion applatit considérablement les évolutions historiques.
Sylvain Catherine: Economist. Assistant Professor of Finance at Wharton.
Source: https://wid.world/country/france/
Autrement dit Gabriel Zucman (À la poursuite de la richesse et des revenus, présents et passés, onshore et offshore.) fraude sur les taux d'imposition et sur l'accroissement de richesses des plus riches.
Question 1) : lui arrive-t-il de répondre, dans le cadre du débat publique ?
Question 2 : publie-t-il les mêmes âneries dans un cadre académique ?
je ne peux que vous recommander la lecture de cette excellente note du Conseil d'analyse économique :
En cas de hausse des impôts sur le patrimoine, l'expatriation des plus fortunés resterait faible et aurait un effet modeste sur l'économie nationale, conclut une étude du Conseil d'analyse économique. L'optimisation fiscale réduit davantage les recettes que les départs à l'étranger.
La question a enflammé le débat fiscal des derniers mois : augmenter les impôts sur les plus hauts patrimoines fait-il fuir les contribuables fortunés à l'étranger ? Dimanche encore dans son interview télévisée, François Bayrou mentionnait cette menace de l'exil fiscal pour expliquer son opposition à la mise en place d'une « taxe Zucman », c'est-à-dire l'impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des foyers détenant plus de 100 millions d'euros de patrimoine défendu par la gauche. « Qu'est-ce qu'ils vont faire ? Ils vont partir », a expliqué le Premier ministre.
Pourtant, selon une étude du Conseil d'analyse économique (CAE, un organisme de recherche indépendant rattaché à Matignon) présentée mardi, cette crainte est à relativiser. Une équipe de six économistes s'est penchée sur la question, en mobilisant des données administratives inédites. Et leur conclusion est simple : la fiscalité du capital joue en réalité assez peu sur les départs à l'étranger des plus fortunés et n'a qu'un effet limité sur l'économie nationale.
Des riches peu mobiles
Pour parvenir à ce résultat, les chercheurs - qui n'étudient pas la taxe Zucman en tant que telle - ont commencé par constater que les hauts patrimoines quittent relativement peu la France. « Seulement 0,2 % du Top 1 % français s'expatrie chaque année, soit deux fois moins que lorsqu'on considère l'ensemble de la population française (0,38 %) », notent-ils.
La tentation du départ touche bien davantage les ménages qui perçoivent de gros salaires ou de généreuses retraites que ceux qui touchent des revenus du capital élevés. En partant de cette base faible, l'étude se penche ensuite sur les évolutions des départs et des retours des hauts patrimoines en cas de modification substantielle de la fiscalité du patrimoine.
Les chercheurs utilisent deux chocs fiscaux de référence : la hausse de 2012-2013 (suppression du prélèvement forfaitaire obligatoire, remplacé par le barème progressif de l'impôt sur le revenu ; création d'une tranche supérieure à 45 % ; hausse des prélèvements sociaux) et la baisse de 2017-2018 (suppression de l'ISF remplacé par l'impôt sur la fortune immobilière ; création de la « flat tax »).
Les chiffres compilés montrent que ces réformes ont bien eu des incidences sur l'expatriation des plus aisés, mais relativement modestes. « La hausse de la fiscalité du capital en 2013 a entraîné une augmentation des flux de départs, nets de retour, des hauts patrimoines concernés de 0,04 à 0,09 point de pourcentage, tandis que l'allègement de la fiscalité en 2017-2018 est associé à une baisse des départs nets de l'ordre de 0,01 à 0,06 point de pourcentage », calculent les économistes.
En rapportant l'ampleur de ces réactions à celle du choc fiscal, l'étude estime qu'une hausse de 1 point de la fiscalité du capital se traduit à long terme par une expatriation additionnelle des plus hauts patrimoines comprise entre 0,02 et 0,23 %.
Autrement dit, un éventuel retour de l'ISF par exemple (qui représente entre 3 et 4,5 milliards d'euros de recettes pour l'Etat, soit une hausse de 5,2 points de la fiscalité du capital selon l'étude) se traduirait par le départ à l'étranger d'un foyer très aisé sur mille à un foyer très aisé sur cent. « Les flux totaux d'expatriation restent très faibles en part de la population concernée », souligne l'étude.
Peu d'effet économique direct
Le CAE se penche ensuite sur l'effet économique de ces départs. « Les ménages à haut revenu du capital ont un rôle dans l'économie qui dépasse leur poids démographique, puisqu'ils détiennent une part importante des actifs professionnels », explique l'étude. Parmi le Top 1 % , quasiment la moitié est propriétaire de 10 % ou plus du capital d'une entreprise.
Or, la recherche académique a montré que l'expatriation d'un propriétaire a des conséquences néfastes sur son entreprise : baisse de 15 % du chiffre d'affaires cinq ans après son départ, diminution de la masse salariale (-31 %) et de la valeur ajoutée (- 24 %).
Ces effets économiques directs sont toutefois légèrement compensés par des effets d'équilibre - rachat de l'entreprise, réaffectation des salariés… Et, surtout, ils sont limités dans leur ampleur par le faible nombre de départs.
Toujours dans l'hypothèse d'un retour de l'ISF, et « même en prenant la borne haute (et conservatrice) des effets estimés de la fiscalité du capital sur les expatriations », explique le CAE, « les effets agrégés sur l'activité économique à long terme restent faibles : l'exil fiscal entraînerait au plus une baisse de -0,03 % de chiffre d'affaires, -0,05 % de valeur ajoutée totale de l'économie française, et -0,04 % de l'emploi total ».
Le risque de l'optimisation
Malgré cet impact mesuré, les chercheurs avertissent que « cela ne saurait présumer des effets totaux d'une réforme de la fiscalité du capital ». Ils pointent que l'exil fiscal n'est qu'une des réponses possibles des contribuables concernés.
Une étude scandinave a montré que leur
propension à mettre en place des stratégies d'optimisation, en cas de
hausse de la fiscalité, est bien plus importante que la tentation du
départ. « Le débat public, en se focalisant sur l'exil fiscal, se trompe
sans doute de cible », prévient le CAE.
Dans le contexte scandinave, une hausse de 1 euro de fiscalité sur les hauts patrimoines se traduit par seulement 26 centimes de recettes effectives : 20 centimes s'évaporent du fait de l'impact direct des mesures sur l'économie (notamment les départs des contribuables concernés) et 54 centimes disparaissent par la mise en place de stratégies de contournement de l'impôt.
Pour qu'une hausse de la fiscalité du patrimoine soit « socialement bénéfique », il faudrait donc qu'elle finance des politiques publiques qui génèrent plus de quatre fois la mise, pointe le CAE. Un rude bémol.
Zucman répète à l'envi que la note du CAE impliquerait que l'exil fiscal est marginal. Et personne ne semble l'avoir lue! Ce qu'elle montre, c'est que la taxe Zucman, loin de rapporter 20 milliards, implique une *PERTE SECHE DE 30 MILLIARDS*. Démonstration :
A: effet d'1% de + d'impôt sur *revenus* du K sur la courbe taux de migration: 0.23% B: effet du départ de dirigeant sur VA de sa boîte: -21.3% C: part des boîtes détenues par top 1%: 20.9% Comme 2mds=2.6 point d'impôt en + sur revenu du top 1%: Effet=2.6*0.0023*0.213*0.209*100=0.027%
Ferghane a raison d’en revenir au texte fondamental du zucmanisme: selon Z, il est bon de taxer les riches, *même et surtout si* ça détruit les recettes fiscales. Mais du coup dur d’expliquer, comme le PS ou LFI, que la taxe Z pourrait avoir un rôle de réduction des déficits!
Gabriel Zucman, inspirateur de la taxe sur les ultra riches à Paris, accusé de duplicité universitaire à Harvard
Les députés viennent de voter une taxe sur le patrimoine des ultra-riches, que la presse a rebaptisée la "taxe Zucman". Gabriel Zucman, économiste à l’origine de cette mesure, a pourtant été accusé par l’Université de Harvard de falsification de résultats statistiques afin de servir ses objectifs militants en faveur de l’instauration d’un impôt sur la fortune aux États-Unis.
"Comme tout transfert, la taxe Zucman a un impact négatif sur notre prospérité collective. Compte tenu de la forte mobilité du capital, ce coût est plus important que pour d’autres taxes. Notre aversion aux inégalités est-elle suffisamment importante pour que nous l’assumions ?"
l y a déjà 40% de la liste qui est déjà à l’étranger !
Si on prend le top 25 du classement Challenges (source du chiffrage de la taxe Z), il y en a au moins 10 qui sont *avec quasi-certitude*, selon les sources publiques, résidents fiscaux à l'étranger.
22 commentaires:
Bon, je suis belge et la Belgique est AUSSI un enfer fiscal, pas d'impôt sur la fortune, ok, mais c'est pas aussi simple que ça (surtout aujourd'hui) et les taux d'imposition sur le travail sont plus haut en Belgique
On ne parle jamais de ce qui arrive pourtant tout le temps avec toutes les taxes : l’élargissement de l’assiette. On parle aujourd’hui de patrimoines de 100 millions. Evidemment, comme ça concerne très peu de monde (1800 contribuables apparemment), tout le monde est pour… les gens adorent les taxes pour les autres.
Mais demain, devant la poursuite des déficits auxquels aucun parti politique ne s’est jamais réellement attaqué, on élargira à 50 millions, puis à 20 et pour finir à tous les entrepreneurs qui ont investi dans leur entreprise au lieu de galvauder leur argent.
Des taxes et impôts encore et toujours, au bénéfice de qui et pourquoi ?
J'ai bien fait de quitter le Shadokistan socialiste il y a 15 ans !
Thierry Falissard je viens de le quitter.
Staline se réjouit dans sa tombe !
De vrais nazis. Pardons des nafis, adeptes du national-fiscalisme! 😁
Donc il fera appliquer cette règle aux étrangers ayant vécu en France? Aux binationaux aussi? Chiche qu on rigole un peu…
le rideau de fer version socialo
dans l’histoire le socialisme est l’embryon du national socialisme et paradoxalement frère ami&ennemi du communisme .
Steven Popovici ce n'est pas si paradoxal. Les 2 idéologies veulent imposer leur mode de vie et contrôler les gens dans la moindre de leurs activités publiques ou privées. Ils ne supportent pas qu'on se passe de leur avis. On pourrait dire qu'ils sont sur le même niche écologique et donc se font concurrence.
Christiane Chavane Certes , je les compare souvent , et pourtant ils sont classés aux deux extrêmes d’un échiquier politique contemporain … n’avons nous pas aussi froid au pôle nord qu’au sud 😉
Viens me chercher dans les Balkans, Dugland 🤣
Non mais c'est qui ce pitre grotesque?
c'est du totalitarisme
Ce type est fou à lier ! 😡😡
Si l'on appliquait aussi son principe aux immigrés venus chez nous.
Picoty picota c'est pas lui qui avait poutine sur ces manières de faire en matière de dictature ???
Il est qui lui pour décider ? A la niche le roquet!
Ces gens sont dingues. Ils n'ont tiré aucunes leçons de l'échec de Lénine et de ses successeurs et des crimes de masse commis pour imposer leurs vues à l'immense majorité qui n'en voulaient pas. Le livre de Piketty "Le capital au XXIe siècle" est d'une totale vacuité factuelle et intellectuelle. Ce type est un ignare et un idéologue.
S'il suffit d'énoncer qu'il faut lever des impôts écrasants pour être professeur titulaire de chaire en économie c'est vraiment fastoche.
Il est présenté sur les chaînes du service public comme le plus grand économiste du monde, ça en dit long...
Francois Lecuir Il est temps de privatiser l'audiovisuel public. Aucune raison pour que nos impôts servent à la promotion de ces deux zozos, qu'aucun économiste digne de ce nom ne prend au sérieux.
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