octobre 27, 2025

Le président Javier Milei, des législatives réussies, des réformes à venir....

Milei News !!
 
 51% et plus de gauchistes vont être mécontent, certes bravo....cependant la démocratie est un système illibéral passer d'une idée à une autre, ou se situe la Liberté ? Des corrompus balayés d'un côté, pour d'autres ? Une sécession le serait !!
Le président Javier Milei a commenté la victoire de La Libertad Avanza : « À partir du 10 décembre, nous aurons 101 députés au lieu de 37, et au Sénat, nous passerons de 6 sénateurs à 20. Nous aurons le Congrès le plus réformateur de l'histoire de l'Argentine. »
 
  +5,2% de croissance en 2025  
chute de l’inflation de 288% à 32%  
pauvreté : 32% en 2025 vs 53% en 2024  
premier surplus budgétaire en 14 ans
 

 
Merci, Président @realDonaldTrump, de votre confiance envers le peuple argentin. Vous êtes un grand ami de la République argentine. Nos nations n'auraient jamais dû cesser d'être alliées. Notre peuple aspire à la liberté. Comptez sur moi pour défendre la civilisation occidentale, qui a sorti plus de 90 % de la population mondiale de la pauvreté.
MAGA 🇦🇷🤝🏼🇺🇸
 
📈 PIB : +7% au S1 2025 
📊 Chute de la pauvreté : de 50% à 29% 
📉 Déficit zéro en un mois ! 
📉 Baisse des dépenses publiques de 30% 
📊 Hausse des salaires réels 
📈Excédent budgétaire primaire de +2 % du PIB, une première en 123 ans. 
📉 Chute de l'inflation : de 25% à 2,4% par mois 
📉Hausse de 86,5 % des recettes fiscales 
📊Baisse de l'insécurité dans un climat de prospérité retrouvé 
👉 Découvrez l’étude complète de l'@ipourleprogres http://institutpourleprogres.org/mileisme
 

 

 

Excellent discours de Javier Milei, appelant à un large accord pour transformer le Pacte de mai en loi.

« Merci à tous les Argentins »
« Si vous pouviez voir à quel point l’Argentine est belle et à quel point le violet y est beau. »
« La liberté et le progrès commencent »
Je tiens à remercier Guillermo Francos, et surtout le Dr Bullrich et Luis Petri, car nous avons décidé de nous unir pour vaincre le populisme.
Au ministre Toto Caputo, à l'ancien ministre des Affaires étrangères Gerardo Whertein, au colosse Pablo Quirno, à la combattante infatigable qu'est Sandra Petovello et au colosse Federico Sturzenegger, au reste des ministres, à Martín Menem, María Ibarzabal, Manuel Adorni, et aux architectes Santiago Caputo et Karina Milei.
« Pendant les deux premières années, nous avons évité de tomber dans le précipice. »
Au cours des deux prochaines années, nous poursuivrons le chemin des réformes pour rendre à l’Argentine sa grandeur.
« Nous sommes passés de 37 à 101 représentants au Congrès et de 6 à 20 sénateurs. »
« La grande Argentine sera grande pour tous »
Et nous pourrons parvenir à des accords fondamentaux au Congrès ! Nous pourrons nous asseoir avec la grande majorité des gouverneurs représentés au Congrès pour définir les fondements de l'Argentine. Nous transformerons le Pacte de mai en lois réformatrices.
« Les Argentins n’ont rien dit au populisme, plus de populisme. »
« La priorité sera d’offrir un avenir meilleur aux 47 millions d’Argentins. »
« Nous allons poursuivre les réformes qui sont encore nécessaires pour réaliser cet avenir. »
« Réfléchissons ensemble, cherchons des accords. Que Dieu bénisse le peuple argentin et que les forces du ciel soient avec nous. »
 
Président Milei
FÉLICITATIONS!!!!
 
 

La députée américaine María Elvira Salazar a félicité le président Javier Milei après sa victoire écrasante, affirmant que « les forces du ciel sont avec lui » et que son triomphe démontre que la liberté et le marché sont la voie de la prospérité.
Salazar a qualifié Milei de « leader moral de l'hémisphère » et de symbole de la renaissance démocratique en Amérique latine.
 
 
Législatives Argentina !!
Milei gagnant sur toute l'Argentine !
 

 
 
 
"Aujourd'hui ont lieu des élections législatives cruciales en Argentine. Pour la survie de Milei et du libertarianisme.
 
Le parti de Milei a 37 députés et 7 sénateurs. Jusqu'ici ce nombre est insuffisant pour voter pleinement sa politique libertarienne.
 
Habilement, Milei a réussi à passer quelques textes depuis son élection de 2023, grâce à des alliances circonstanciées ainsi que l'utilisation de décrets d'urgence qui ne peuvent être contrées que par deux tiers des députés ce qui n'est pas encore arrivé.
 
Mais son insuffisance parlementaire lui empêche d'avoir les mains libres et lui a fait subir récemment deux échecs de ses véto pour empêcher l'opposition de voter des hausses de dépenses.
 
Sa défaite électorale à Buenos Aires ainsi que les budgets socialistes passés récemment, ont logiquement fait dérailler le pesos avec la confiance du marché dans sa capacité à redresser le pays.
 
Le prêt de 40 milliards de dollars de Trump pour sauver les réserves de devises et permettre au pesos de se stabiliser face au risque de pénurie hors impression monétaire, a temporisé la situation.
 
Mais si le parti de Milei, la libertad avanza, n'obtiens pas au moins un tiers des parlementaires aujourd'hui, soit 49 députés élus pour arriver à 86 et 18 sénateurs pour arriver à 24, alors il ne pourra qu'appliquer une faible partie de son programme.
 
Et la gauche pourra continuer son travail de sabotage de la politique libertarienne en passant des budgets déficitaires avec la droite, et ainsi aggraver la pauvreté des Argentins, pour régner en bons socialiste sur l'égalité dans la misère.
 

 
C'est donc un vrai test pour le libertarianisme aujourd'hui. 
Les peuples sont-ils capables de comprendre son fonctionnement et ses enjeux ? 
Acceptent-t-ils la radicalité et l'efficacité de sa liberté sans concessions ni mensonges ? 
Ou préfèrent-t-il le doux chant des sirènes de la dépense publique et de la stigmatisation des riches ?
 
Le traitement libertarien n'est administré qu'aux économies au bord de l'effondrement. C'est un remède dûr mais nécessaire, qui comme une chimio est efficace au bout de plusieurs années de lutte. Au-delà des quelques affaires qui touchent Javier Milei, c'est donc la survie de l'Argentine dont il est question.
 
Les dés sont ainsi jetés et rien n'est sûr pour le sort du libertarianisme en Argentine. Tout va se jouer aujourd'hui. Puisse le peuple argentin continuer d'ouvrir les yeux comme il a si bien su le faire en novembre 2023."
 
Libre Max
 
 

David Lisnard félicite Javier Milei pour sa victoire aux législatives. 
 
"Contrairement à ce qu’annonçaient les médias. La réalité a l’outrecuidance de contredire leur rabâchage propagandiste et le prêt à penser idéologique de leur entre-soi. 
Vive la LIBERTÉ !"

 


Milei présente les élections comme la confirmation de son modèle économique et moral, et rejette la responsabilité des difficultés actuelles sur le « torpillage » du Congrès et de la gauche.
 
 🗳️ 1. Lecture du résultat électoral Milei affirme que les Argentins ont « décidé de ne pas revenir au passé ». Selon lui, deux tiers du pays ont choisi un projet de prospérité et de liberté contre le modèle « socialiste » ou « kirchnériste », qu’il associe à Cuba ou au Venezuela. Il salue le rejet populaire d’un projet « destructeur ». 
 
📉 2. Situation économique et bilan Milei décrit l’économie héritée comme au bord de la catastrophe : un excédent monétaire dangereux, une inflation qui aurait pu exploser à 15 000 %, une situation pire, dit-il, que celle de 1975 ou de 1989. Il affirme que « le pire est passé » : L’économie, en récession au moment de son arrivée, aurait cessé de chuter dès avril. Le PIB se serait redressé (+6,6 % désaisonnalisé). L’inflation, bien qu’encore élevée (autour de 30 %), aurait été réduite de niveaux « apocalyptiques ». Il présente ce redressement comme une preuve de la validité de son programme d’austérité : baisse des dépenses publiques, équilibre budgétaire et désendettement. 
 
⚖️ 3. Le rôle du Congrès et le « torpillage » Selon Milei, la reprise a été stoppée par le sabotage du Congrès à majorité hostile. Les parlementaires auraient adopté une quarantaine de lois pour casser l’équilibre budgétaire, ce qui a fait grimper le riesgo país (le risque-pays) et bloqué le crédit, provoquant un frein brutal de l’activité. Il insiste : quand la politique ne gêne pas, l’économie se redresse ; quand elle s’en mêle, tout s’effondre. 
 
🧾 4. Les réformes à venir Trois réformes sont présentées comme prioritaires : Réforme fiscale : suppression d’une vingtaine d’impôts, baisse des taux, élargissement de la base pour réduire l’évasion. → Objectif : rendre au secteur privé 500 milliards $ d’ici 2031. Réforme du travail : maintien du système actuel pour ceux qui le veulent, mais création de contrats plus flexibles pour les travailleurs informels, afin de favoriser leur intégration et améliorer le financement des retraites. Réforme des retraites, en dernier, quand le système se sera stabilisé. Il affirme que ces mesures bénéficieront à tous sauf « à ceux qui veulent garder les Argentins en esclavage ». 
 
🤝 5. Alliances et futur gouvernement Milei reconnaît que son gouvernement devra désormais s’appuyer sur de nouvelles alliances au Congrès pour faire passer ses réformes. Il envisage d’intégrer au gouvernement des figures d’autres forces politiques « si cela sert à atteindre les résultats ». Il confirme la stabilité de son noyau dur : Karina Milei et Santiago Caputo restent ses principaux stratèges. Des changements de cabinet auront lieu, mais seulement après le 10 décembre, quand le nouveau Congrès sera en place. 
 
🧠 6. Message économique final Pour Milei, la remontée du peso, la baisse du risque-pays et la hausse des actions et des obligations confirment la confiance retrouvée des marchés. Il explique longuement que la tasa de interés (taux d’intérêt) reflète le « prix du temps » : plus le futur paraît incertain, plus ce prix monte. Selon lui, le retour de la confiance politique abaisse ce coût, relance le crédit et donc la croissance.
 
 

 

Milei triomphe aux élections Mid-Term : succès ultra-libéral ou mirage éphémère en argentine ?

Dans un revirement électoral spectaculaire, Javier Milei, le président argentin surnommé le « Messie à la tronçonneuse » pour ses coupes drastiques dans les dépenses publiques, a remporté une victoire éclatante lors des élections législatives du 26 octobre 2025.

Avec 41 % des voix, son parti La Libertad Avanza a vu son nombre de députés bondir de 37 à 101, marquant un « raz-de-marée » selon les observateurs.

Ce succès, célébré par des partisans comme une validation populaire de ses réformes ultra-libérales, intervient pourtant dans un contexte de controverses croissantes, incluant des incidents lors de ses voyages aux États-Unis et des critiques sur l’efficacité réelle de son modèle économique.

Alors que l’Argentine semble s’aligner davantage sur l’Occident, cette dynamique contraste avec la propension grandissante des pays non-occidentaux à s’émanciper du colonialisme et du néocolonialisme occidental.

Une victoire électorale inattendue

Le scrutin mid-term (mi-mandat) a surpris bien des analystes. Malgré les prédictions de déclin, Javier Milei a consolidé sa base électorale, prouvant que sa « tronçonneuse » – symbole de ses coupes budgétaires radicales – reste « ultra-populaire ». Comme l’a déclaré un commentateur sur les réseaux sociaux, « Malgré les efforts de désinformation des médias subventionnés, Milei remporte un raz-de-marée électoral ». Cette performance électorale intervient après plus de 300 mesures ultra-libérales mises en place depuis son élection en décembre 2023, incluant la dérégulation massive, la privatisation et l’élimination des subventions pour l’énergie, les transports et les services de base. Des milliers d’emplois publics ont été supprimés, et les prestations sociales drastiquement réduites, dans l’objectif de retirer l’État pour libérer les forces du marché.

Cette victoire est d’autant plus remarquable qu’elle défie les critiques internationales et domestiques. Des figures médiatiques françaises, par exemple, avaient prédit la fin de Milei il y a encore deux semaines, mais les résultats prouvent le contraire. Les partisans y voient une approbation populaire : « Viva la libertad, carajo ! » (Vive la liberté, bon sang !), comme le clament les soutiens du président.

Les ombres sur l’expérience ultra-libérale

Pourtant, derrière ce triomphe électoral, l’expérience mileiste montre des signes de vacillement. L’inflation a certes chuté de près de 300 % en avril 2024 à environ 34 % à l’été 2025, et le budget a été équilibré grâce à des prêts du FMI dépassant 40 milliards de dollars. Mais ces gains masquent une réalité économique sombre : le PIB a reculé de près de 4 % en 2024, contrastant avec la croissance du Brésil voisin. Les secteurs industriels, comme les plastiques et le caoutchouc, ont vu leur production chuter jusqu’à 25 %, tandis que le peso surévalué a forcé la banque centrale à dépenser 1,1 milliard de dollars en trois jours pour le soutenir. Les réserves en devises étrangères ont fondu à environ 5 milliards de dollars, et la fuite des capitaux s’intensifie.

Socialement, la pauvreté continue d’augmenter, et les conditions d’approvisionnement dans les zones péri-urbaines se dégradent. La polarisation politique s’aggrave, Milei manquant de majorité au Congrès et devant diluer ses décrets. Un scandale de corruption impliquant sa sœur Karina et des rejets parlementaires de coupes budgétaires ont fait chuter sa popularité sous les 40 %. Des mesures d’urgence, comme des allégements fiscaux pour les exportations agricoles, ont été introduites pour stabiliser la situation.

Incidents aux États-Unis : symbole de dépendance ?

Les voyages récents de Milei aux États-Unis – le onzième depuis son mandat – illustrent cette vulnérabilité. En quête de soutien financier, il a obtenu des promesses du secrétaire au Trésor américain Scott Bessent, incluant des lignes de swap (accords conclus entre deux banques centrales permettant au pays récipiendaire d’obtenir des liquidités dans la devise du pays émetteur.) et des achats d’obligations argentines. « Toutes les options sont sur la table », a déclaré Bessent. Mais cette aide suscite des débats : la sénatrice Elizabeth Warren a averti contre un sauvetage « aux dépens du peuple américain ». Des économistes critiquent ce soutien, arguant qu’il empêche une dévaluation nécessaire du peso et ne résout pas les problèmes structurels.

Pire, ces voyages ont été marqués par des incidents violents. Lors d’un événement de campagne en août 2025 près de Buenos Aires, Milei a été évacué d’urgence après que des manifestants lui ont lancé des pierres, l’accusant de corruption. Une vidéo circulant montre le président, en veste de cuir, entouré de sécurité dans une porte tournante, face à une foule hostile pointant du doigt et criant, illustrant la tension croissante. Des manifestations similaires à Córdoba l’ont vu accusé de « trahir les Argentins » au profit d’intérêts étrangers.

Ces événements soulignent un fossé entre la base électorale de Milei et une opposition grandissante, qui voit dans son alignement sur Washington une forme de dépendance néocoloniale.

La propension des pays non-occidentaux à s’émanciper du colonialisme occidental

Ce rapprochement de l’Argentine avec les États-Unis contraste avec une tendance globale : la propension croissante des pays non-occidentaux à s’émanciper du colonialisme et du néocolonialisme occidental. Historiquement, la décolonisation post-1945 a vu des nations africaines et asiatiques gagner leur indépendance formelle, mais souvent sous des formes néocoloniales, comme les « indépendances néocoloniales » de 1960 en Afrique, où la France et d’autres puissances maintenaient une influence économique via des accords biaisés.

Des exemples récents illustrent cette émancipation. En Afrique de l’Ouest, des pays comme le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont rompu avec l’influence française, expulsant les troupes et se tournant vers la Russie ou la Chine pour des partenariats plus équilibrés, rejetant l’ « obsession anticoloniale » qui, selon certains, retarde le développement mais permet une souveraineté réelle. L’expansion des BRICS, incluant l’Égypte, l’Éthiopie et l’Iran en 2024, symbolise ce virage vers un multilatéralisme non-occidental, défiant la domination du dollar et des institutions comme le FMI. En Amérique latine, des nations comme le Venezuela et la Bolivie ont nationalisé des ressources pour briser les chaînes néocoloniales, tandis que l’Afrique du Sud mène des actions contre Israël à la CIJ, affirmant une voix indépendante.

Cette dynamique met en lumière les limites du modèle mileiste : en cherchant l’aide occidentale, l’Argentine risque de perpétuer une dépendance, alors que le monde multipolaire encourage l’émancipation. Si les réserves en dollars s’épuisent et que l’hyperinflation menace, comme le prédisent les analystes, l’expérience ultra-libérale pourrait bien toucher à sa fin, forçant Javier Milei à réviser son cap.

https://multipol360.com/milei-triomphe-aux-elections-mid-term-succes-ultra-liberal-ou-mirage-ephemere-en-argentine/

 

 

9 commentaires:

Constantin Bercean a dit…

On croise les doigts 🤞

Stephan Hoebeeck a dit…

Alain Genestine
J'espère qu'il va perdre les élections... Son programme, c'est la richesse pour quelques uns et la misère pour les autres... l'impôt est une nécessité qui rééquilibre la société. Le modèle de Miley, c'est les misérables de Victor Hugo...
ce qui ne veut pas dire qu'il ne faut pas une bonne gestion des budgets de l'État... une maîtrise de l'endettement...
Par contre, il faudra bloquer le libertarisme au niveau mondial...

Iris Mauve a dit…

Il vient de gagner les élections avec plus de 40%, y compris dans la province de Buenos Aires !

Genestine a dit…

Eric Coquerel
@ericcoquerel
Tiens on entend moins en France les fans de la politique de l’homme à la tronçonneuse. L’effondrement du peso argentin, le chômage au plus haut depuis 3 ans, une explosion de la pauvreté sont les signes tangibles des conséquences négatives de la politique ultraliberale de Milei qui ne tient que grâce au soutien financier des Etats-Unis (20 Mds de $). Le « qu’il dégage » va arriver plus vite que prévu

Jean Charles Foucher a dit…

Caramba encore raté...
L'ultra-turbo-liberal à la tronçonneuse s'accroche...
Pourtant nos "journalistes" français, toujours très perspicaces, commençaient à voir une déroute électorale...
Mais comment un peuple peut-il si mal voter...

Bastien Antoine Mathiau a dit…

Vite Aymeric Caron à la rescousse pour expliquer que la démocratie et le suffrage ne doit être universel que pour les gens de gauche !!

Genestine a dit…

Sarah Knafo
·
🇫🇷🇦🇷On la disait vaincue, elle triomphe. Avec Milei, les Argentins ont goûté à la liberté et ils en redemandent.
Quand les Français pourront enfin jouir du fruit de leur travail, sans que l’État le leur vole, plus personne ne voudra entendre parler du socialisme dans notre pays.

Constantin Bercean a dit…

Victoire écrasante du président Argentin Javier Milei ! En France, un petit président se cache 😆

Alain Cremades a dit…

LA VICTOIRE DE MILEI...
Ce we, Javier MILEI et son parti ont fait 40.8% aux élections législatives en Argentine. C'est très bien. Néanmoins, ça soulève une ou deux questions...
La première, c'est la question de la légitimité. Je m'explique. En Argentine, soyons clairs, la classe politique est scindée en deux parties radicalement opposées : Milei d'un côté et les anti-Milei de l'autre. Il n'y a pas de juste milieu. Un peu comme, si vous préférez, le FN de Jean-Marie Le Pen contre les anti-FN à l'époque. Pareil. Alors certes, faire 41% seul contre tous, c'est une sorte d'exploit. Mais d'un autre côté, force est de constater que 59% ont voté pour des représentants de partis anti-Milei. Et voilà l'arnaque de la démocratie : 41% des votants vont, de par leur action, mettre en place une structure qui va IMPOSER la même politique à TOUTE la population argentine, y compris aux 59% de gens opposés au leader actuel.
Ne vous méprenez pas sur mon propos : quand bien même je ne soutiens pas Milei, sachez que je soutiens encore moins ses opposants. Je rêve même idéalement de les écarter de ma vie, si ce n'est de les détruire. Mais il n'empêche que ces élections feront 59% de frustrés en Argentine. Vous me direz, c'est pareil en France, aux USA, etc. et c'est vrai. Pour autant, l'Argentine ne fait pas exception à la règle. Quant au respect des "minorités", bon, on oublie, hein ? Et quand je vois ici, sur fb, tous ces "libéraux" (parfois "libertariens" auto-proclamés...) soutenir Milei et s'extasier devant son score aux élections, je vous le dis tout net : si ces gens sont libéraux, c'est que je viens de la planète Pluton.
Alors, il est vrai que c'est relativement jouissif d'observer tout ce petit monde merdiatico-politique franchouillard pleurer misère, on est d'accord, mais en même temps, c'est un bonheur bien misérable. Et c'est pas ça qui va nous faire avancer vers la sécession, seule politique libérale cohérente. Je dis bien "libérale" car OUI, j'en ai marre (mais à un point...) des mots "libertarien", "anarcap" pour remplacer le mot "libéralisme" qui a été récupéré politiquement par des ordures, tout comme Milei a récupéré politiquement le mot "libertarien" par exemple. Et donc, j'ai décidé de m'affirmer comme LIBERAL. Evidemment, il va sans dire que je crache sur les pseudo-libéraux et autres arnaqueurs.
Alors, ces élections en Argentine ? Oui, le truc positif, c'est que c'est haï par la sphère politico-merdiatique mondialiste. Mais le côté péjoratif, c'est que ce n'est EN RIEN libéral.
Bonne journée 🙂

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