Affichage des articles dont le libellé est Wokisme. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Wokisme. Afficher tous les articles

octobre 06, 2025

Art: Cancel culture, wokisme, décadence notoire occidentale...!

La décadence occidentale : le suicide culturel à travers la mode et l’art 

Dans un monde où l’Occident semble s’acharner à détruire ses propres fondations, les récents défilés de mode, comme celui de la marque « Matières Fécales » pour la collection Printemps/été 2026 à Paris, illustrent parfaitement cette spirale nihiliste. Partagés sur X par de nombreux utilisateurs, ces événements ne sont pas de simples excentricités artistiques, mais des symptômes d’une société en pleine autodestruction. Des mannequins aux apparences grotesques, maquillés en fantômes blafards ou affublés de tenues évoquant la putréfaction, défilent devant un public de bobos complaisants. Ces images, capturées dans des vidéos virales (voir ci-dessous), montrent des corps difformes, des visages déshumanisés et des outfits qui célèbrent la laideur pure.


 

C’est le triomphe d’un nivellement par le bas, où la beauté est sacrifiée au nom d’une accessibilité forcée, imposée par des élites déconnectées de toute humanité.

Des mannequins de plus en plus laids : le nivellement des canons de beauté

Autrefois, la mode célébrait l’élégance, la grâce et l’harmonie des formes, inspirée par des idéaux classiques hérités de la Renaissance ou de l’Antiquité. Aujourd’hui, comme le dénonce @zoesagan, les mannequins sont choisis pour leur laideur assumée : obèses, androgynes, aux maquillages cadavériques, portant des robes noires évoquant des linceuls ou des corsets révélant des corps malmenés. Dans le défilé de « Matières Fécales », on voit des modèles aux visages peints en blanc, aux lèvres pourpres, déambulant dans des tenues florales morbides ou des lingeries provocantes qui exposent sans pudeur. L’un d’eux, un homme en porte-jarretelles et bas résille, arbore un air spectral, tandis qu’une femme aux formes généreuses est enveloppée dans un tulle sombre, comme un fantôme sorti d’un cauchemar.

Ce choix n’est pas fortuit : il s’agit de démocratiser la beauté en la rendant « accessible à tous », c’est-à-dire en la nivelant vers le bas.

Plus de standards élevés qui pourraient exclure ; à la place, une uniformisation du moche, où l’exceptionnel est banni au profit du banal, du difforme. Comme l’écrit @zoesagan : « Mort de la beauté. Mort de l’enfance. Mort des droits individuels et de la conscience autodéterminée. » Cette tendance, soulignée par les réactions outrées sur X, transforme la mode en outil de contrôle social, où l’élite impose une esthétique qui humilie l’humain plutôt que de l’élever.


 

Le suicide incompréhensible de la société et de l’art : la laideur comme norme

Ce phénomène n’est que la pointe visible d’un suicide culturel plus large. L’art occidental, jadis bâtisseur de cathédrales gothiques où la religion servait de garde-fou pour canaliser la créativité vers le sublime, se complaît désormais dans la laideur, la guerre et les sentiments négatifs. Les défilés comme celui-ci, avec leurs modèles évoquant des zombies ou des monstres de cirque du XIXe siècle – comme le note un commentaire sur X –, sont des miroirs de cette déchéance.

L’art contemporain, infiltré par les conglomérats de mode, n’est plus critique mais complice : il promeut le vide, le désespoir, et une « infection culturelle » qui tue l’espoir chez les jeunes générations.

Parallèlement, le cinéma occidental suit la même voie morbide. Les zombies envahissent les écrans depuis des décennies, de The Walking Dead à World War Z, dépeignant un monde post-apocalyptique où l’humanité n’est que survie brutale et décomposition. Les films de guerre et de violence se multiplient avec des scénarios de plus en plus glauques : des sagas comme Saw ou Hostel exaltent la torture, tandis que des blockbusters comme Joker ou The Batman plongent dans la folie nihiliste. Même les productions récentes, telles que Civil War (2024) ou les remakes interminables de dystopies, insistent sur la destruction, le chaos et l’absence de rédemption. C’est un art qui ne célèbre plus la vie, mais la mort – un suicide esthétique incompréhensible, où la beauté est remplacée par le grotesque pour mieux refléter une société épuisée.


 

Des élites déconnectées : un entre-soi mortifère imposé à tous

Qui orchestre cette descente aux enfers ? Des élites totalement déconnectées des sentiments humains, comme le pointe @zoesagan : ("L’objectif aujourd’hui est bien de destituer le monde de la mode de son pouvoir. Le démunir de son pouvoir en sapant sa légitimité, l’obliger à reconnaître son caractère arbitraire, révéler qu’il opère dans une dimension hypothétique. L’objectif est d’exposer le fait qu’il ne fonctionne qu’en tant que circonstance, de rendre transparents ses stratagèmes, ses méthodes et ses tactiques. Le but est de révéler comment le monde de la mode, comme toute forme de gouvernement, doit comploter pour survivre. Destituer le pouvoir c’est le ramener à la terre. Tous ces enfoirés constituent l’illusion structurée et soutenue du monde de la mode. Ce monde promeut des idées progressistes tout étant fondamentalement régressif. La génération des baby-boomers qui possède et exploite le monde de la mode est encore intérieurement jeune dans sa pensée mais ses perspectives d’ouverture sont, à leur image, ridées, décrépies, corrompues et condamnées. Les « gilets jaunes » savent maintenant que nous sommes dans une ère de rupture qui prend la forme d’une décadence culturelle, à la fois politique, morale et écologique. Forcement, tous commencent à être émotionnellement épuisés par l’appauvrissement et la destruction de la civilisation occidentale. Tout ce que nous voyons est commercial. Ils représentent tous le commerce et n’ont pas d’âme. La totalité des personnes et sociétés impliquées ici sont organisées comme un virus. Ce virus agit comme une propagande culturelle. L’attribut dominant de cette infection culturelle est un état délirant de l’importance de soi. Il est le code de contrôle culturel de cette époque. Le résultat de 50 ans d’infection culturelle. Ils sont aujourd’hui moins de 500 à détenir les règles du jeu qu’ils ont eux-mêmes écrites. L’ensemble des processus fabriqué par ce petit monde n’est qu’un assemblage de mort. Mort de la beauté. Mort de l’enfance. Mort des droits individuels et de la conscience autodéterminée. Toutes les personnes assimilées à ce lavage de cerveau sociétal sont coupables de crime de la pensée. Ils sont organisés comme un virus culturel contagieux conçu pour tuer tout sentiment d’espoir d’une génération entière et TUER littéralement leur conscience. Ce spectacle n’est que désespoir. Un profond manque d’espoir pour des centaines de millions de personnes privées de leur capacité à développer naturellement leurs propres concepts de bonheur. Tous les jours les médias du monde nous inondent au sujet du réchauffement climatique. Au sujet de la mort de centaines d’espèces d’organismes naturels. Qu’est ce que le spectacle offert par le monde de la mode aujourd’hui, si ce n’est la représentation très inquiétante d’un phénomène mondial de réchauffement culturel. Cette désintégration de notre culture, de notre histoire est rarement signalée. Soyez conscients que chaque jour il existe de plus en plus de signes de la mort imminente de notre espèce humaine, à la fois par le réchauffement climatique de la planète, mais aussi, et avec une rapidité égale, par la mort de notre conscience culturelle commune. Le monde de la mode est né d’un vide, vide dont il avait besoin pour créer. Le monde de la mode a créé un vide encerclant l’individu et chacun de ses adeptes particulièrement le monde de la jeunesse. Il a créé un vide culturel mondialisé. Cette période de vide a commencé quand la communication a été redéfinie comme une performance impliquant le corps, la rhétorique visuelle et l’habillement. Stratégie et méthode déployée pour remplacer la responsabilité de l’individu et développer une définition originale de soi-même. Le selfie a remplacé le soi. Destituer le monde de la mode signifie quitter le paradigme du monde de la mode. Cela signifie percevoir le monde non pas comme vide mais au contraire, rempli de vie. La vérité est que les marques de mode d’aujourd’hui sont organisées exactement comme toute autre institution financière mondiale. Avec un seul ordre du jour : les marges. Des milliards sont dépensés pour créer l’illusion que ce sédatif institutionnalisé ressemble à une industrie créative. Alors que le monde de la mode est un pollueur mondial géant absolument insoutenable. Le processus de déploiement de nouveaux produits sur une base continue est contraire à toute idée raisonnable de discussion. Le monde de la mode attaque la structure de l’identité d’un individu. Nous croyons que l’identité individuelle devrait avoir un espace infini pour expérimenter. Le complexe mode-media-industrie veut exactement que le contraire se produise. Son but est de programmer l’individu le plus tôt possible à croire que vivre dans un état d’esprit libre et infini est socialement indésirable. 500 personnes sont en commande de ce contrôle et seulement 100 personnes ont le pouvoir ultime, à savoir la masse financière. ) « Ils sont aujourd’hui moins de 500 à détenir les règles du jeu qu’ils ont eux-mêmes écrites. » Ces seigneurs de la mode, souvent issus de familles comme les Arnault, opèrent dans une bulle d’entre-soi mortifère, où le commerce prime sur l’âme.

Sans les garde-fous d’antan, comme la religion qui inspira les joyaux architecturaux des cathédrales – symboles d’élévation spirituelle et collective –, ces élites imposent leur vision régressive sous couvert de progressisme.

Elles chouchoutent cette tendance, la financent via des conglomérats comme LVMH, et la diffusent via des algorithmes qui contrôlent les esprits.

Les Français, en particulier, ne se reconnaissent plus dans cette violence non seulement physique, mais morale et esthétique. Comme le souligne @parrhesiaste_fr dans une publication relayée : « Avilissement de la personne humaine, homogénéisation du laid, négation de la dignité du visage. » Les réactions sur X sont unanimes : « Cauchemardesque ! », « Démons qui ne se cachent plus« , « Vol au-dessus d’un nid de coucou« . Même les soirées privées des stars, comme celle organisée très récemment par Leonardo DiCaprio à Paris – où des célébrités comme Nina Dobrev et Kim Kardashian fuient en larmes, couvrant leurs visages devant les paparazzis –, révèlent la pourriture sous le glamour. Des orgies dégénérées ? décrites comme ayant tourné au chaos, montrent que l’élite vit dans un vide culturel qu’elle exporte au reste de la société.


 

Cet entre-soi élitiste et mortifère est magistralement dépeint dans le film « Eyes Wide Shut«  (parfois désigné sous l’abréviation EWS, ou « Les Yeux grand fermés »), un film britannico-américain réalisé, produit et coécrit par Stanley Kubrick, sorti en 1999. Il s’agit du dernier opus du cinéaste, qui mourut opportunément d’une crise cardiaque six jours après avoir présenté le montage final à Warner Bros., alimentant des théories conspirationnistes selon lesquelles il aurait été éliminé pour avoir exposé les secrets des puissants. Inspiré de la nouvelle « Traumnovelle » d’Arthur Schnitzler, le film plonge dans un monde occulte où les élites se livrent à des rituels masqués et orgiaques, déconnectés de toute empathie humaine, explorant des thèmes de jalousie, d’infidélité et de vide existentiel.

Kubrick y révèle comment ces cercles fermés imposent leur nihilisme décadent, manipulant la société tout en se protégeant derrière des masques, un miroir troublant de la réalité contemporaine où les scandales sexuels et la corruption des puissants font écho aux actualités.

De même, la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 incarne ce nihilisme autodestructeur, salissant tout sur son passage sous prétexte de célébration culturelle. Présentée comme une ode à la diversité, elle a suscité un tollé mondial pour sa parodie apparente de « La Cène » de Léonard de Vinci, avec des drag queens et un Dionysos bleu au centre d’un banquet, perçue comme une moquerie blasphématoire envers le christianisme et une promotion de propagande LGBT. Critiquée par des leaders religieux chrétiens, musulmans et juifs, des politiciens conservateurs, et même des figures comme Elon Musk, cette mise en scène déjantée et laide a été accusée d’insulter les croyances religieuses, de glorifier la décapitation lors de références à la Révolution française, et de transformer un événement unificateur en spectacle de division morale.

 


 

Les organisateurs, élites déconnectées des aspirations populaires, ont ainsi imposé leur vision régressive, profanant l’héritage français et occidental au nom d’un progressisme vide, renforçant le sentiment d’un suicide collectif où rien de sacré n’est épargné.

Rejeter le nihilisme pour retrouver l’humanité

L’Occident, en célébrant la laideur et le nihilisme, signe son propre arrêt de mort. Cette mode grotesque, ces films glauques et cet art suicidaire ne sont pas des innovations, mais des aveux d’échec. Il est temps de destituer ce pouvoir arbitraire, comme l’appelle @zoesagan : « La liberté ce n’est pas d’acheter. La liberté c’est de voter. » Les Français, émotionnellement épuisés par cette décadence, doivent se réveiller et reclaim leur héritage – celui des cathédrales, pas des défilés funèbres. Sinon, nous assisterons à la fin d’une civilisation, non par une catastrophe externe, mais par un suicide intérieur consenti.

 https://x.com/parrhesiaste_fr/status/1974625748263776410

Parfaite illustration de l'époque : quand une pathologie mentale ou une posture perverse se prend pour une idéologie, que la folie se rationalise en revendication. Ici la déshumanisation devient une tendance à la mode : avilissement de la personne humaine, homogénéisation du laid, négation de la dignité du visage, culte du mauvais goût nihiliste pratiqué sur des esclaves chics, mais esclaves quand même. Ce défilé a le mérite de résumer l'époque. Comme un aveu.

https://x.com/Pascal_Laurent_/status/1974817257160081607 

VOL AU-DESSUS D'UN NID DE COUCOU ! Celle-ci c'est le pompon, tous les bobos qui assistent à ce foutage de gueules et qui trouvent ça génial 

https://x.com/liasagan/status/1974760240718524434 

Comme Leonardo DiCaprio est le nouveau Epstein à Paris, c’est lui qui organise les orgies pour les "rich and famous" dans la Ville Lumière. Hier, sa "soirée" a dégénéré et la police n’a évidemment pas le droit d’en parler. Les pauvres Nina Dobrev, Kim Kardashian, Laura Harrier et Vittoria Ceretti n’oublieront jamais cette "fête" et encore moins le restaurant Siena à Paris.

M. Di Caprio est un habitué des soirées saturées de prostituées en France, organisées par ses entourages, à chaque Festival de Cannes notamment. Les téléphones y sont strictement interdits, et les services de sécurité omniprésents. M. Di Caprio est un habitué des soirées saturées de prostituées en France, organisées par ses entourages, à chaque Festival de Cannes notamment. Les téléphones y sont strictement interdits, et les services de sécurité omniprésents.


Renversement des valeurs...

Aurélien Froissart, a publié le 20 septembre 2025 sur son compte X une vidéo le montrant en train de jouer La Vie en rose d’Edith Piaf sur un des pianos mis à disposition dans la gare Paris gare de Lyon, pendant que la danseuse Victoria Dauberville, pointes aux pieds, virevolte devant les voyageurs qui se sont arrêtés pour profiter du spectacle.

Cette orgie d’esthétisme et de grâce a bien sûr été stoppée par des agents de sécurité de la gare sur ordre de la direction (sous prétexte de sécurité, bien sûr…). https://x.com/aurelienfst/status/1969365129847267804

https://multipol360.com/la-decadence-occidentale-le-suicide-culturel-a-travers-la-mode-et-lart/

 

 

 

septembre 29, 2025

JO Paris 2024 Un coût énorme pour des retombées plus qu'incertaines, qu'en sera t-il pour les JO d'hiver 2030 ?

 

JO Paris 2024 : la Cour des comptes estime le coût à trois fois plus que prévu mais salue « une organisation sans incident »

Une forte mobilisation des dépenses publiques, des retombées difficiles à mesurer mais une organisation sans faille : la Cour des comptes livre son rapport sur les Jeux de Paris.

Une livraison des installations sans retard ; un déroulement des JO sans « aucun incident majeur » ; un engouement international (5 Mds de téléspectateurs) et populaire ; des objectifs sportifs atteints ; des « avancées notables » sur les aspects sociaux, de durabilité ou d’accessibilité… Selon les conclusions d’un rapport de la Cour des comptes, les Jeux olympiques de Paris 2024 sont « un sujet de satisfaction ».

Ils ont néanmoins nécessité « une forte mobilisation de dépenses publiques », toujours selon la Cour : 3,02 Md€ pour les dépenses d’organisation et à 3,63 Md€ pour les dépenses d’infrastructures. Un montant qui figurait déjà dans la note d’étape publiée en juin 2025, et que la Cour n’a pas modifié, malgré les protestations de Paris 2024.

Le comité d’organisation, désormais dissout, évalue les dépenses à trois fois moins. « La Cour intègre dans ce calcul des recettes qui ne constituent pas un financement public lié aux Jeux de Paris 2024 », relève ainsi Tony Estanguet dans un courrier adressé à Pierre Moscovici, Premier président de la Cour des comptes.

« Certaines dépenses, qui existaient avant l’événement et qui se poursuivront après, ne peuvent en aucun cas être imputées aux Jeux de Paris », estime l’ancien patron des Jeux. Il pointe notamment les dispositifs liés à la haute performance ou les montants engagés par France Télévisions, « diffuseur historique des Jeux, et qui continuera à les diffuser après l’édition parisienne ».

Paris 2024 conteste également le fait que la Cour ait ajouté à la facture le financement de projets nés avant les JO, comme des travaux sur certaines lignes de métro, ou des coûts d’aménagements urbains (écoles, crèches, enfouissement des lignes haute tension…), qui figurent effectivement dans la maquette de la Solideo, qui a supervisé tous les chantiers, mais qui n’ont pas été financés avec le budget des Jeux.

 


 

La question des retombées économiques

« À travers ses choix méthodologiques, la Cour s’est refusée à examiner la seule question qui permettrait valablement d’éclairer le débat public : quel montant aurait été économisé par les finances publiques si les Jeux ne s’étaient pas tenus à Paris ?, souligne Tony Estanguet. Il est incontestable que ce montant serait sans commune mesure avec les 6 Md€ aujourd’hui présentés par la Cour. Le comité d’organisation estime pour sa part que ce chiffre ne dépasse pas 2 Md€, quand par ailleurs les retombées économiques attendues des Jeux représentent 3 à 5 fois ce montant. »

Si la Cour n’a pas souhaité tenir compte des remarques de Paris 2024, elle note toutefois qu’une « comparaison avec les Jeux de Londres, organisés en 2012, suggère que l’édition 2024 a été moins coûteuse pour les finances publiques dans un rapport d’au moins 1 à 2. »

Concernant les retombées, la Cour se montre prudente : « L’examen de l’impact des Jeux sur l’activité économique, dans la limite des données disponibles, indique que leurs retombées demeurent modestes, tant durant la phase de préparation, marquée par une forte hausse des prix, que pendant leur déroulement, marqué par des effets d’éviction du tourisme habituel et des effets de bord liés aux perturbations dans les zones d’accueil des compétitions ».

Même prudence à plus long terme. « Moins d’un an après les Jeux, il est encore trop tôt pour évaluer les retombées liées à l’« effet image » pour la France. Les effets économiques attendus à moyen et long terme des Jeux de Paris 2024 doivent être considérés avec prudence », écrit ainsi la Cour, moins dithyrambique que Paris 2024, qui a estimé les retombées économiques à environ 9 Mds€.

La Cour des comptes loue toutefois la méthodologie et le sérieux des organisateurs et des parties prenantes. Elle loue le rôle central de la Dijop, la bonne tenue de la Solideo, la mise en place d’une gouvernance partenariale, sans « dilution des responsabilités », l’approche innovante des comités d’audit et d’éthique.

« Ces acquis de la gouvernance des Jeux de 2024 constituent, sans impliquer leur transposition à l’identique dans le cadre d’autres grands événements sportifs internationaux, un capital d’expériences qu’il appartient désormais aux pouvoirs publics de prendre en compte dans la perspective, notamment, des Jeux d’hiver Alpes françaises 2030. », résume la Cour des comptes.

 


 

L’emploi et l’accessibilité loués

Enfin, la Cour des comptes salue les avancées environnementales et sociétales réalisées grâce aux Jeux. « S’agissant de la charte sociale Paris 2024, les objectifs d’insertion ont été largement dépassés, salue la Cour des comptes. Alors que 605 320 heures d’insertion étaient initialement prévues dans les marchés liés à l’organisation des Jeux, 1,5 million d’heures ont été effectivement réalisées, soit plus de 250 % de l’objectif. Ces heures ont bénéficié à un public majoritairement jeune (20-25 ans), peu qualifié (63 % de niveau infra-bac) et issu pour une part significative des quartiers prioritaires de la politique de la ville. »

L’accessibilité a, selon la Cour, connu une avancée. « L’État a notamment joué un rôle structurant en inscrivant systématiquement cette question à l’agenda des instances de pilotage des mobilités, explique la Cour. La participation directe des personnes en situation de handicap a par ailleurs été organisée et institutionnalisée. Au niveau des sites, la Solideo a défini une stratégie d’accessibilité universelle qui a été mise en œuvre dans les programmes de construction et de rénovation. »

Reste la question de l’héritage… Logiquement, la Cour loue l’héritage méthodologique, l’installation, grâce à l’Agence du sport, de la France parmi les meilleures nations sportives. Pour le reste, il faudra du temps pour l’évaluer : quid de la baignabilité de la Seine, sujette à la qualité de l’eau ? De l’impact des Jeux sur l’urbanisme francilien, « qui se mesure sur le long terme » ? De l’ambition de développer la pratique du sport et de faire de la France « une nation sportive », sachant que « des incertitudes demeurent concernant le financement et la pérennité » des différents programmes, lancés par le Cojo et désormais gérés par l’ANS et le comité olympique français ? « Il est encore trop tôt pour en dresser un bilan définitif », résume la Cour.

l.leparisien.fr/Y1G0 )


Les retombées économiques de Paris 2024 sont -"dans la limite des données disponibles"- "modestes" et "relativement limitées à court terme". 

La Cour des comptes a réévalué lundi 29 septembre à la hausse le coût des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 à 6,6 milliards d'euros en dépenses publiques, confirmant "l'absence de dérapage budgétaire". Le bénéfices économiques pour le pays restent "modeste à ce stade" l'impact économique de l'événement, selon les Sages de la rue Cambon.

L'institution réévalue ainsi à la hausse sa première estimation à 5,9 milliards communiquée en juin . La facture publique actualisée se décompose en 3,02 milliards d'euros dépensés pour l'organisation -dont 1,44 milliard pour la sécurité - et 3,63 milliards pour les infrastructures. Ont notamment été ajoutées dans "premier bilan d'ensemble" les dépenses des collectivités territoriales (par exemple pour aménager des zones de célébration), ou encore des dépenses engagées pour assurer la baignabilité de la Seine en vue des épreuves de natation en eau libre et de triathlon.

À titre de comparaison, en 2023, les documents budgétaires avaient tablé sur des investissements publics à hauteur de 2,44 milliards pour ces JO . Et en mars 2024, le président de la Cour des comptes Pierre Moscovici avait estimé qu'ils "devraient coûter" entre 3 et 5 milliards d'argent public.

293 millions de recettes publiques

Lundi, il a mis en avant lors d'un point presse "l'incontestable réussite des Jeux": si l'événement a généré une "forte mobilisation des finances publiques", il a tenu à souligner "l'absence de dérapage budgétaire" et un coût public "contenu" .

Outre cette facture publique, il faut également prendre en compte les dépenses déjà connues du Comité d'organisation (Cojo) à hauteur de 4,4 milliards d'euros (et 75 millions d'excédent) reposant quasi exclusivement sur des financements privés , sans oublier la Solideo (Société des livraison des ouvrages olympiques), mixant part publique et investissements privés, au budget total de 4,5 milliards.

Dans les détails, la Cour des comptes tient cependant à souligner que si les dépenses d'infrastructures ont été "dans l'ensemble correctement tenues", celles pour l'organisation ont connu "un processus de budgétisation des dépenses de sécurité qui s'est révélé particulièrement erratique" .

Du côté des recettes publiques, le rapport établit une "première évaluation" à 293 millions d'euros liés uniquement à l'organisation, car "à ce stade, aucune recette budgétaire n'a pu être identifiée s'agissant des infrastructures".

Concernant les retombées économiques de Paris 2024, la Cour des comptes -"dans la limite des données disponibles"- juge que l'impact a été "modeste à ce stade" et "relativement limité à court terme".

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/jeux-de-paris-2024-la-cour-des-comptes-reevalue-le-cout-pour-les-finances-publiques-a-6-6-milliards-d-euros-et-souligne-des-benefices-economiques-modestes

Depuis la fin des JO, des milliers de logement des athlètes qui devaient être loués à la population, sont laissés à l'abandon ; les or dures s'y entassent et les herbes commencent à envahir les communs extérieurs.


 

Un an après les JO, les touristes notent (à nouveau) Paris… Et il y a un peu de relâchement

« Paris reste magnifique, mais… » Les Jeux avaient transformé la capitale en ville modèle. Qu’en est-il en 2025 ? Notre sondage auprès d’une centaine de touristes révèle une légère baisse de satisfaction, notamment en matière de propreté et de sécurité.

https://www.leparisien.fr/paris-75/un-an-apres-les-jo-les-touristes-notent-a-nouveau-paris-et-il-y-a-un-peu-de-relachement-17-07-2025-RR2TG2FB25DFRNV6NXCKIZE7MM.php 

 


 

 

septembre 16, 2025

Elon Musk !! Quel coup de génie !! Vente de X & Tesla en cours...

Sa société d'IA, xAI, vient de racheter X (anciennement Twitter) dans une transaction massive de 33 milliards de dollars.
‎En surface, cela ressemble à une simple restructuration d'entreprise. Mais en réalité, Musk vient peut-être de prendre de vitesse toute l'industrie de l'IA.
 

 
‎Voici pourquoi cela change tout :
‎ 1✅ X est évalué à 33 milliards de dollars
‎ 2✅ xAI vaut désormais 80 milliards de dollars
‎ 3✅ La transaction s'est faite entièrement en actions, excluant les 12 milliards de dollars de dette de X
 
‎À première vue, on pourrait croire que Musk y perd... après tout, il avait payé 44 milliards de dollars pour Twitter à l'origine. Mais ici, cela ne concerne pas uniquement les réseaux sociaux.
‎Il concerne quelque chose de bien plus précieux : les données.
 
‎ En 2022,les gens étaient perplexes. Pourquoi l'homme le plus riche du monde, connu pour construire des fusées et des voitures électriques, voudrait-il d'une plateforme sociale en difficulté ?
‎Aujourd'hui, la réponse est claire : Twitter (devenu X) n'a jamais été un simple réseau social, c'était un moteur de données massives en temps réel.
 
‎Avec 600 millions d'utilisateurs actifs générant un flux constant de conversations, d'opinions et d'événements en temps réel, X est une mine d'or pour entraîner des modèles d'IA.
‎Et c'est exactement ce dont xAI a besoin pour rivaliser avec OpenAI, Anthropic et Google.
‎Le timing n'est donc pas une coïncidence
 
‎... La preuve, Il y a seulement quelques mois, xAI avait sécurisé un financement de 6 milliards de dollars avec une valorisation de 24 milliards. Désormais, après cette acquisition, sa valorisation s'envole à 80 milliards (dépassant même la croissance d'OpenAI).
 
‎Pourquoi est-ce important ?
‎ La plupart des entreprises d'IA peinent à obtenir des données de qualité et réalistes. Leurs modèles dépendent de jeux de données préexistants et obsolètes qui ne reflètent pas le comportement humain en temps réel.
‎ Mais xAI a désormais quelque chose que ses concurrents n'ont pas: un accès direct et en temps réel aux interactions humaines.
 
‎Cela signifie :
‎1 ✅Des modèles d'IA plus humains
‎2 ✅Un avantage compétitif dans les applications temps réel
‎3 ✅La capacité d'entraîner l'IA sur les informations les plus récentes disponibles
 
‎Que va-t-il se passer ensuite ?
‎ L'avenir nous le dira...
‎Une chose est sûre, cette fusion ne se résume pas à un assistant IA intégré à X. Elle pose les bases de quelque chose de bien plus grand.
‎Musk ne se contente pas de rivaliser avec OpenAI, Google et Anthropic. Il change complètement la donne.
 

Elon Musk annonce que sa start-up d’IA, xAI, a racheté X

 Le milliardaire a annoncé vendredi que son entreprise d’intelligence artificielle avait acquis le réseau social pour un montant de 33 milliards de dollars.

Elon Musk a annoncé vendredi que sa start-up d’intelligence artificielle (IA) générative, xAI, avait acquis X, son réseau social, «dans le cadre d’une transaction entièrement en actions», qui valorise la plateforme à 33 milliards de dollars hors dette.

«Les avenirs de xAI et de X sont intimement liés», a-t-il assuré dans un message sur X. Le patron de Tesla et SpaceX avait racheté Twitter fin 2022 pour 44 milliards de dollars et s’est servi du réseau social notamment pour faire campagne pour Donald Trump.

Selon le milliardaire, combiner les données, les modèles d’IA, les capacités informatiques et les ressources humaines des deux entreprises va permettre à la nouvelle entité de proposer des «services plus intelligents et plus rentables».

Il estime qu’associer «les capacités et l’expertise de xAI en matière d’IA avancée à la portée massive de X» va «libérer l’immense potentiel» de la société. Plus de 600 millions d’utilisateurs se servent de X, a-t-il affirmé, sans donner de fréquence.

xAI valorisé à 80 milliards de dollars

L’opération «valorise xAI à 80 milliards de dollars et X à 33 milliards de dollars (45 milliards moins 12 milliards de dollars de dettes)», a-t-il encore indiqué.

L’entrepreneur a fondé xAI en 2023, en réaction au succès de ChatGPT, le pionnier de l’IA générative lancé fin 2022 par OpenAI, une start-up qu’il avait contribué à fonder avant de couper les ponts avec les autres fondateurs.

xAI a mis au point son propre chatbot, Grok, qui a l’avantage d’être alimenté par l’ensemble des conversations sur X. Il est censé donner des réponses moins «woke» et faire plus d’humour.

L’homme le plus riche au monde a conclu son message sur X en affirmant que la fusion de ses deux entreprises va permettre de «construire une plateforme qui ne se contente pas de refléter le monde, mais qui accélère activement le progrès humain».

Source 


 

 Tesla a officiellement déposé une proposition d'investissement dans xAI 👀


Les actionnaires sont invités à voter « OUI » en invoquant les synergies dans les domaines de l'IA, de la robotique et de l'énergie, Grok étant déjà intégré dans les véhicules Tesla.


 

"Ok mais quelques sujets à traiter 

Régulation (rgpd) Qualité des données... Confiance (quid de la perception des utilisateurs) Cout/renta (si les couts explosent (opé/infra/modé./régul) -> quid de la renta (revenu pub ?) Technique (pas trivial) Mais ça reste un coup de génie..."RZDZ

 

 

 

septembre 09, 2025

La survie de la gauche ! Médiatiser pour désinformer...Donner pour reprendre....CQFD !

Ce site n'est plus sur FB (blacklisté sans motif), 

 

Les biologistes expliquent comment les organismes s'adaptent à leur environnement physique, mais les idéologues s'adaptent également à leur environnement social. Le fait le plus fondamental concernant les idées de la gauche politique est qu'elles ne fonctionnent pas. Il ne faut donc pas s'étonner de la trouver concentrée dans des institutions où les idées n'ont pas besoin de fonctionner pour survivre.


Le monde universitaire est le terrain de jeu des idées bancales, à l'exception des domaines où des épreuves décisives sont nécessaires, comme les sciences, les mathématiques, l'ingénierie, la médecine et le sport. Dans tous ces domaines, chacun à sa manière, il arrive un moment où il faut accepter ou se taire. Il n'est pas surprenant que tous ces domaines constituent des exceptions notables à la domination totale de la gauche sur les campus à travers le pays.


Dans les sciences humaines, par exemple, le test du déconstructionnisme ne consiste pas à savoir s'il peut produire des résultats tangibles, mais s'il reste en vogue. Tant que c'est le cas, les professeurs habiles dans l'art de la prestidigitation verbale peuvent s'attendre à continuer de percevoir des salaires à six chiffres.

On pourrait penser que l'effondrement du communisme dans toute l'Europe de l'Est serait considéré comme un échec décisif pour le marxisme, mais les marxistes universitaires américains ne se laissent pas décourager. Leurs salaires et leur titularisation ne sont pas affectés. Leurs théories continuent de fleurir dans les salles de classe et leurs revues continuent d'encombrer les étagères des bibliothèques.

Le socialisme en général a un bilan d'échecs si flagrant que seuls les intellectuels peuvent l'ignorer ou l'esquiver. Même les pays qui étaient autrefois plus prospères que leurs voisins se sont retrouvés beaucoup plus pauvres que ces derniers après seulement une génération de politiques socialistes. Que ces pays voisins soient le Ghana et la Côte d'Ivoire ou la Birmanie et la Thaïlande, l'histoire est la même partout dans le monde.

 Discréditées ailleurs, les recettes miracles de la gauche continuent de vivre à la télévision publique.

Et l'échec économique n'est pas le pire. Les millions de personnes massacrées par Staline, Mao et Pol Pot pour des raisons politiques constituent une réalité encore plus sinistre.

Les personnes qui vivent et travaillent dans un monde où il y a des résultats financiers à atteindre, des tableaux d'affichage sportifs, des champs de bataille militaires ou des opérations chirurgicales où il est question de vie ou de mort peuvent avoir du mal à apprécier pleinement la différence entre ce type de monde et un monde où le seul critère décisif est de savoir si vos collègues apprécient ce que vous dites.

Le monde universitaire n'est qu'un des domaines où règnent des critères entièrement subjectifs et où les gauchistes prédominent. Les institutions dotées de fonds, telles que les fondations et les musées, ne sont souvent soumises à aucun autre critère que ce que des personnes partageant les mêmes idées trouvent « passionnant » et ce qui permet à ceux qui dirigent ces institutions d'éprouver le sentiment grisant de « faire la différence ». Il en va de même pour les institutions culturelles soutenues involontairement par les contribuables, telles que le Smithsonian ou le National Endowments for the Arts and the Humanities.

La radio et la télévision « publiques » financées par les contribuables sont également coupées de la réalité et dominées par la gauche, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans d'autres pays. Toutes les recettes miracles de la gauche qui ont affamé des millions de personnes dans des pays qui avaient autrefois des excédents alimentaires à exporter, toutes les belles paroles et les réalités sordides qui ont poussé des millions d'autres personnes à fuir leur terre natale, ces recettes miracles perdurent à la télévision publique, un peu comme les vieux films classiques dont les répliques familières peuvent être récitées par les amateurs en même temps que les personnages à l'écran.

Ces institutions privilégiées et isolées, souvent méprisantes envers les valeurs de la société américaine et de la civilisation occidentale, ne sont pas les seuls bastions de la contre-culture de gauche. Hollywood et Broadway le sont également. Bien que le monde du spectacle soit confronté à la nécessité financière d'attirer un public, la véracité de ce qu'il représente n'est guère cruciale. S'il parvient à rendre ses productions percutantes et sexy, ceux qui se plaignent des inexactitudes historiques et des préjugés idéologiques peuvent être écartés comme des pédants insignifiants. Pourquoi les gauchistes parviennent-ils à évincer les autres types de personnes de ces lieux ? Parce que ceux qui sont prêts à se soumettre à l'épreuve de la réalité, qu'ils soient hommes d'affaires sur le marché ou chirurgiens dans une salle d'opération, ont beaucoup d'autres endroits où travailler et vivre. Ils n'ont pas besoin de niches protégées spéciales pour se cacher et chérir leurs précieuses idées.

L'adaptation darwinienne à l'environnement s'applique non seulement à la nature, mais aussi à la société. Tout comme on ne trouve pas d'aigles vivant dans l'océan ou de poissons vivant au sommet des montagnes, on ne trouve pas de gauchistes concentrés là où leurs idées doivent faire leurs preuves. 

  • Le socialisme a un record d'échecs si flagrant que seul un intellectuel pourrait l'ignorer.
Thomas Sowell

 


Le Dr Thomas Sowell est économiste et chercheur principal à la Hoover Institution de Stanford, en Californie.

https://www.forbes.com/forbes/1997/0908/6005128a.html?sh=44d00e08c4c3



septembre 08, 2025

Le réseau Soros : un cheval de Troie mondialiste dans le viseur de Trump

Ce site n'est plus sur FB (blacklisté sans motif), 

George Soros, milliardaire hongro-américain, a bâti un empire philanthropique via les Open Society Foundations (OSF), https://www.opensocietyfoundations.org/ présenté comme un défenseur de la « société ouverte » inspirée du philosophe Karl Popper. Cette vision philosophique, centrée sur la fallibilité humaine et la réflexivité, sert de cadre à des interventions globales promouvant l’ouverture des frontières, les droits humains et la démocratie. Pourtant, derrière cette façade humaniste se cache une stratégie visant à éroder les valeurs ancestrales du monde entier – familiales, spirituelles, communautaires – au profit d’un ordre matérialiste, robotisé et impersonnel où dominent les logiques marchandes et la surveillance technocratique.
 

 
 Les OSF, fondées en 1979, ont dépensé plus de 23 milliards de dollars en trois décennies, avec un budget annuel avoisinant 1,7 milliard en 2023, finançant des milliers d’organisations dans plus de 100 pays. Soros, influencé par Popper, voit dans les sociétés fermées des ennemis du libéralisme, réduisant l’histoire occidentale à une généalogie totalitaire de Platon à Marx, ignorant les traditions réalistes comme l’augustinisme ou le thomisme. Sa théorie de la réflexivité – où les actions influencent la réalité perçue – s’applique non seulement à la finance, où il a spéculé sur des crises comme celle de la Banque d’Angleterre en 1992, mais aussi à la politique, transformant les sociétés en systèmes cybernétiques manipulables.
 
La façade humaniste : ingénierie sociale et déconstruction globale
Les OSF se présentent comme promoteurs de justice raciale, d’éducation et de réformes judiciaires, soutenant des mouvements comme Black Lives Matter avec des dizaines de millions de dollars. En réalité, ces financements alimentent une ingénierie sociale inspirée de Gregory Bateson et de la cybernétique, utilisant la « schismogenèse » pour fracturer les sociétés sur des lignes ethniques, culturelles ou identitaires.
Soros, élève de Popper, distingue une ingénierie utopiste menant au totalitarisme, mais son projet d’ouverture forcée impose un impératif catégorique : toute fermeture est réactionnaire, fasciste.
En Europe, via des think tanks comme l’European Council on Foreign Relations (ECFR), https://ecfr.eu/ fondé en 2007 avec des fonds OSF représentant un tiers de son budget (plus de 2 millions d’euros en 2017), Soros influence les politiques étrangères. L’ECFR, regroupant des figures comme Nathalie Loiseau ou Ursula von der Leyen, pousse pour une intégration européenne alignée sur le globalisme, favorisant l’immigration massive et la déconstruction des souverainetés nationales. Des analystes brésiliens comme William Gonçalves dénoncent cette interférence comme une menace à la démocratie, contrastant avec des visions trumpiennes du globalisme comme ennemi.
 

 
 Suppression des valeurs ancestrales : du local au global
Le réseau Soros cible les valeurs ancestrales au-delà de l’Occident. En Afrique, des financements soutiennent des flux migratoires qui déstabilisent les structures tribales et familiales, favorisant un nomadisme matérialiste. En Asie, des nations comme l’Inde ou le Kazakhstan rejettent ses interventions pour atteinte à l’intérêt national. Les révolutions colorées – en Géorgie, Ukraine ou Kirghizistan – maquillent des coups d’État en soulèvements populaires, financés par OSF pour « ouvrir » des marchés et imposer le libéralisme. Soros admet son rôle en Ukraine en 2014, utilisant même des dynamiques antisémites structurelles pour des fins antirusses.
Cette déconstruction favorise un monde robotisé : algorithmes de surveillance, consommation effrénée, réification de l’humain en objet connecté. Promotion d’idéologies woke, LGBTQ et climatiques via USAID, érodant les repères spirituels et communautaires. En Hongrie, Viktor Orbán a expulsé les OSF en 2018 pour avoir miné l’identité chrétienne ; en Russie, elles sont « indésirables » depuis 2015. Des philosophes comme Alexandre Douguine voient dans l’immigration massive un pilier sorosien du libéralisme, impossible à contrer sans vaincre l’idéologie.
 

 
 Le cheval de Troie des mondialistes : financements occultes et totalitarisme déguisé
Soros incarne un « philanthropocapitalisme » globaliste, court-circuitant les processus démocratiques via des think tanks (groupes de réflexion) et ONG. L’ECFR, modelé sur le Council on Foreign Relations américain, https://www.cfr.org/ oriente l’Europe vers un extrême-centre, finançant des plans migratoires comme celui de Merkel en 2015, calqué sur des propositions sorosiennes. Des liens avec USAID https://multipol360.com/lusaid-a-finance-une-plateforme.../ transforment l’aide en outil d’influence, finançant des procureurs aux États-Unis qui refusent de punir les crimes, contribuant au chaos urbain.
 
Elon Musk a accusé George Soros de « haïr l’humanité » https://edition.cnn.com/.../business/elon-musk-george-soros et de vouloir éroder la civilisation par le biais de ses fondations. Soros a admis avoir nourri des « fantasmes messianiques » dès l’enfance, qu’il a pu réaliser grâce à sa fortune, révélant ainsi une hubris mégalomane. Cependant, son empire philanthropique se contracte https://www.alliancemagazine.org/.../the-osf-cuts-show.../ : passant d’une présence dans plus de 100 pays à une structure réduite avec des fermetures d’offices régionaux, des effectifs ramenés à moins de 600 employés et une restructuration impliquant des coupes budgétaires significatives. 
 

 
 Vers un réveil des peuples : résistance aux forces matérialistes
Le paradoxe sorosien est flagrant : promouvoir l’ouverture mène à un totalitarisme technocratique, avec frontières internes, surveillance et concurrence fracturée pour un contrôle supranational. Des leaders comme Trump appellent à des enquêtes RICO https://www.lefigaro.fr/.../donald-trump-menace-de... contre Soros pour organisation de manifestations violentes. En Birmanie, Russie ou Chine, ses fondations sont chassées ; aux États-Unis, des réseaux comme ceux de Musk contrebalancent son influence.
 
Pour contrer ce cheval de Troie, réguler les financements étrangers des ONG et revitaliser les identités culturelles est impératif. Les valeurs ancestrales – famille, spiritualité, communauté – sont le rempart contre un monde impersonnel où l’humain est réduit à un consommateur sous algorithmes. Le réseau Soros, malgré sa façade, menace la civilisation ; son exposition annonce un réveil global des peuples.
 
 
"Trump s’attaque à Soros… et la secousse arrive jusqu’à Paris !
Donald Trump a ouvertement réclamé l’inculpation de George Soros et de son fils Alexander sous le RICO Act pour leur rôle dans le financement et l’orchestration des mouvements violents aux États-Unis.
👉 Et là où ça devient explosif : Alexander Soros est un soutien affiché d’Emmanuel Macron. Ce n’est pas une rumeur, c’est documenté : le fils Soros a ses entrées à l’Élysée et se vante de ses relais en Europe.
👉 Encore plus révélateur : Nathalie Loiseau, eurodéputée macroniste, est membre active du réseau “Soros Europe”. Autrement dit, les petites mains françaises de Macron participent à la même toile mondialiste qui agit dans l’ombre à Washington, Bruxelles et Paris.
 

 
💥 Quand Trump dit « nous surveillons Soros et son groupe de psychopathes », cela veut dire que les ramifications européennes ne seront pas épargnées.
💥 Macron le sait : si Soros tombe, tout son réseau d’influence s’effondre avec lui.
C’est donc la panique à l’Élysée.
⚠️ Retenez bien ceci : Soros, c’est l’idéologie mondialiste, l’immigration incontrôlée, la déconstruction des nations, la guerre permanente.
Si Trump fait tomber Soros, c’est tout le château de cartes mondialiste qui s’écroule — y compris en France.
Ça pourrait bien saigner si ils n'arrivent pas à assassiner Trump !
SATCH"

Patricia Bitschnau

 

février 16, 2025

USAID (Agence des États-Unis pour le développement international)

Ce site n'est plus sur FB (blacklisté sans motif), 

 

Pendant des années, les médias nous ont rabâché que la Russie manipule les élections, qu’elle finance des campagnes de désinformation en France et partout le monde…
 
 

 
Mais qui finance les ONG occidentales, les journalistes, les laboratoires, les coups d’État ?
 
Voici le vrai visage de l’USAID, ses liens avec BigPharma, Bill Gates, George Soros et le WEF :
Dans les années 1990, 300.000 femmes indigènes ont été stérilisées sans leur consentement dans le cadre d’un programme de contrôle démographique au Pérou.
Qui finançait ? L’USAID.
 
Et pire encore : les fonds étaient alloués en fonction du nombre d’opérations pratiquées.
Entre 2013 et 2019, 122 millions de dollars d’aide alimentaire envoyée en #Syrie ont été détournés par Mahmoud Al Hafyan au profit de groupes affiliés à Al-Qaïda.
9 millions de dollars ont été directement versés à des terroristes.
 
 

 
Alors est-ce une perte de contrôle de l’USAID ou un financement déguisé du chaos ?
La suite permet d’avoir de sérieux doutes
En 2017, l’ONG Children of God Relief Institute est accusée d’avoir couvert des abus sexuels sur des enfants.
Son principal bailleur de fonds ? L’USAID, avec 29,3 millions de dollars.
Encore une horreur sans nom dans laquelle l’USAID trempe…
 
En 2022, l’ambassade des EtatsUnis a alloué 10.000 dollars au Festival Queer Lisboa pour promouvoir des films à thématique incestueuse.
Un scandale dénoncé par Marco Rubio, mais totalement passé sous silence par les médias.
On se demande bien pourquoi
 

 
 
L’USAID, c’est 6 200 journalistes et 707 médias financés en 2023 dans 30 pays.
En Ukraine, 9 médias sur 10 dépendent de ces subventions.
En clair : 800 millions d’auditeurs minimum ont été trompés par une information biaisée et tronquée.
Parmi les médias touchés : 
 
 

 
Politico a reçu 44 000$ en “frais d’abonnement” entre 2023 et 2024.
BBC Media Action (différent de BBC News) a obtenu 3,2 millions de dollars pour des “projets éducatifs”.
Mais l’USAID ne se contente pas de financer, elle formate :
279 ONG ont été formées aux “bonnes pratiques journalistiques”, notamment au fact-checking pro-occidental en Géorgie et en Ukraine.
Et la France dans tout ça ?
 
L’USAID a accordé 778 millions de dollars à Internews entre 2015 et 2025.
L’AFP n’apparaît pas dans les subventions directes, mais elle bénéficie des fonds USAID via des services d’information mutualisés dont Internews.
Mieux encore : des journalistes AFP ont été formés par l’USAID aux ateliers de “fact-checking”.
Résultat ?
 
L’USAID, c’est aussi 40 milliards de dollars en 2023 pour l’achat de médicaments, redistribués principalement à J&J, Pfizer et Gilead, et une couverture médiatique qui protège ces grands groupes pour vendre un maximum de vaccins.
Pfizer engrange 122 milliards grâce aux vaccins et au Paxlovid.
Gilead rafle le gros lot avec son traitement contre le VIH : 92 milliards de dollars de revenus prévus d’ici 2029.
ViiV Healthcare (GSK) bénéficie de 20 milliards pour son antirétroviral, massivement diffusé en Afrique via PEPFAR.
Derrière ces chiffres, quelques “coïncidences” troublantes :
• Samantha Power, ex-directrice USAID, siégeait chez Gilead.
• Peter Marocco, actuel patron USAID, était lobbyiste pour Pfizer.
• 57% des employés de l’USAID viennent de l’industrie pharmaceutique.
Et les philanthropes dans tout ça ?
L’Agence France Presse a publié 12 articles en 2024 démentant des "fake news" sur l'USAID, dont une vérification des paiements à des célébrités.
 
 

 
Mais ce n’est pas tout :
L’USAID, c’est aussi la grande alliée de la Fondation Bill & Melinda Gates, via Gavi, l’Alliance du vaccin.
Entre 2021 et 2025, l’agence américaine a injecté 1,58 milliard de dollars dans Gavi, ce qui en fait le 2ᵉ plus gros contributeur après le Royaume-Uni.
En 2021, elle a aussi versé 4 milliards de dollars à COVAX (Gavi) pour financer les vaccins COVID, soit un tiers du budget total.
Et qui décide des priorités de Gavi ?
Bill Gates en personne, qui siège aux comités stratégiques et coupe les financements quand ça ne rapporte plus assez.
 
 

 
Mais un autre nom revient souvent dans ces financements :
GeorgeSoros, via le Balkan Media Network.
L’USAID a attribué 270 millions de dollars à l’East-West Management Institute, un satellite d’Open Society.
Cet argent a servi à financer :
• Les révolutions de couleur en Ukraine (Maïdan 2014), Géorgie (2003) et Kirghizstan (2005).
• Les techniques de mobilisation citoyenne du printemps arabe et en Biélorussie (2020).
• 5 milliards de dollars injectés dans des ONG locales en Ukraine entre 1991 et 2014.
Sûrement son attachement inconditionnel aux valeurs démocratiques ?
L’USAID ne finance pas uniquement les médias et des labos pharmaceutiques.
Elle est aussi un acteur clé du Forum Économique Mondial (WEF).
💰 68,3 millions de dollars versés directement au WEF entre 2015 et 2022 pour des projets comme l’Alliance Globale pour la Facilitation des Échanges.
💰Un accord de 52 millions de dollars signé dès 2013 pour des programmes en Afrique et en Asie.
Et plus inquiétant encore, en 2023, au sommet de Davos, l’USAID a lancé le EDGE Fund, un fonds de 50 millions de dollars destiné à privatiser les ressources africaines.
On trouve aussi des projets tels que la Barbados Blue-Green Bank, une initiative “climatique”.
On n’en attendait pas moins du labo de la Grande Réinitialisation
Derrière l’humanitaire, on retrouve toujours les mêmes mécanismes de soft power :
🔸 Détournements massifs vers des groupes armés
🔸 Ingérences électorales sous couvert de “démocratie”
🔸 Financements culturels et médiatiques imposant une vision idéologique
🔸Collusion entre ONG et grandes entreprises privées
Et bien pire encore, dont nous apprendrons probablement bientôt les détails…
 
L’#USAID n’est que l’arbre qui cache la forêt.
Derrière ces scandales se cache une stratégie globale : manipulation des peuples, contrôle des ressources, domination par le “soft power”.
 
Et ce n’est que le début…
▷ Pourquoi l’Occident est en plein déclin (et ce que personne ne veut dire)
▷ Les stratégies militaires de la Russie qui changent la donne
▷ Israël, le 3e Temple et le rôle caché de Trump
▷ Les 3 placements clés à ne surtout pas rater en février 2025
Nos analyses confidentielles, rédigées par des spécialistes comme François Martin, Sylvain Ferreira et Pierre-Antoine Plaquevent, sont disponibles dans la dernière édition de la Revue.
 
GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Powered By Blogger