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janvier 21, 2018

Comme c’est étrange... ! NON ?

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 L'Université Liberté, un site de réflexions, analyses et de débats avant tout, je m'engage a aucun jugement, bonne lecture. Je vous convie à lire ce nouveau message. Des commentaires seraient souhaitables, notamment sur les posts référencés: à débattre, réflexions...

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Brexit, Trump...
« Vous avez dit bizarre... ? Comme c’est étrange... !
 
Les électeurs ne votent pas comme le souhaiteraient nos édiles. Quel drame ! Dans les faits, jamais le décrochage des opinions vis-à-vis des élites n’a été aussi flagrant. Ce qui s’exprime de façon explicite suite au Brexit, voire excentrique pour les Etats-Unis avec l’élection fulgurante de Donald Trump, s’applique désormais pour les pays européens, et particulièrement pour la France, dans la perspective des prochaines consultations. La crise de confiance est profonde, beaucoup plus que nous ne pouvons l’admettre dans les cercles encore lucides. Elle n’est absolument pas surprenante sur le fond. Cette crise génère pour le moment séisme politique sur séisme politique, en déjouant « l’arrogance des avis éclairés des chroniqueurs et sondeurs, tout en révélant une colère froide des peuples vis-à-vis du système...». C’est la version désormais reprise après chaque verdict, avec le même aplomb, par ceux là même qui avaient affirmés l’inverse la veille.... Il faut bien expliquer pourquoi les électeurs ne sont pas allés dans la direction que nos experts et communicants avaient assénés sur les ondes. 

Mais ne nous leurrons pas, ces quelques réveils forcément « populistes », pour ceux qui méprisent les peuples, comme pour ceux qui cherchent à masquer leurs échecs, cachent en réalité un profond désarroi au sein des populations. Les marges de manœuvre pour sortir des impasses sociétales dans lesquelles nous sommes enfermés sont en réalité très étroites. Les électeurs le savent. Certes, ils sanctionnent les errements politiques au travers de votes compulsifs, mais en réalité ils sont résignés et peu enclins à faire la révolution. Ils ne sont pas forcément atones. Il suffit d’aller sur les réseaux sociaux et de suivre la mobilisation des collectifs. Ils sont justes profondément désabusés face aux dévoiements de nos démocraties par tous ces jeux d’oligarques qui sévissent sous toutes les latitudes. Ils sont résignés car ils savent qu’ils sont piégés financièrement par le déclassement généré par la pression fiscale, et démocratiquement par la tyrannie du jeu des partis. L’évolution des courbes de l’abstentionnisme depuis 15 ans dans la plupart des pays occidentaux est une bonne illustration de ces niveaux de décrochage des opinions partout en Occident. 

Il faut avouer que la plupart des rendez-vous électoraux sont devenus des affrontements médiocres de mercenaires sponsorisés par des circuits essentiellement financiers....C’est un peu partout l’argent contre l’argent... Il n’est plus question de projets collectifs et d’avenir, juste de taux de croissance tristounets et de courbes de chômage mortifères que l’on instrumentalise et réassure avec des planches à billet devenues folles....Les rares politiques qui osent ouvrir le questionnement sur ces sujets sont immédiatement ridiculisés et marginalisés par tous les lobbies et réseaux qui vivent impunément de ces spéculations sous toutes les latitudes. Où est la démocratie lorsque ce ne sont que des jeux minoritaires, avec en arrière plan des machineries électorales perverses, qui prennent en otage, voire spolient nos pays ? Nous n’avons plus que le choix entre la peste et le choléra. De fait, compte-tenu de l’état de nos dettes abyssales et du niveau de fractalisation de nos sociétés, les peuples ont pris conscience du fait que ceux qui dirigent nos économies et notre devenir ont depuis longtemps démissionné, en abandonnant sur le champ de bataille des pugilats médiatiques la défense de nos valeurs et de l’intérêt général. Ils ont d’abord vendu à l’opinion la mondialisation heureuse et ils récidivent en mettant sur l’étal l’identité toujours heureuse... La question fondamentale n’est ni dans l’avoir, ni dans l’identitaire mais dans l’âme incarnée par une signature collective derrière des dirigeants honnêtes, désintéressés et surtout compétents. Rares sont ceux qui ont le courage de s’engager sur ce niveau de posture. La plupart préfèrent nourrir la machine à faire du bruit, ce qui permet de maintenir les opinions dans un niveau d’abêtissement, voire de manipulation, guère égalé dans l’histoire moderne, excepté pendant les guerres où la propagande et la désinformation constituent une règle de gouvernance. Nous pourrions presque penser que nos dirigeants sont entrés en guerre contre leurs propres peuples...Une sorte de guerre civile où la défense des valeurs serait devenue la vraie ligne de front. 

Nos peuples savent qu’aujourd’hui l’avenir, comme l’enfer, n’est pavé que de bonnes intentions avec encore plus de dettes pour monnayer la sempiternelle paix sociale, plus de déficit public pour alimenter des Léviathans devenus incontrôlables, plus de multiculturalisme pour négocier une pseudo paix civile, plus de déchristianisation pour se garantir du radicalisme religieux, plus de monétarisation pour soutenir des faux taux de croissance, plus de migrations des sous continents qui convoitent notre bien être pour compenser nos effondrements démographiques et surtout plus de sécurité pour obtenir enfin ce « risque zéro » qui nous obsède tant. Dans les faits toutes ces gesticulations, pour ne pas dire ces impostures stratégiques, ne font que générer de la division, voire de la haine, et accélérer la destruction du modèle qui nous sert de socle et de référentiel. 

Dans ce contexte qu’importe que la France soit heureuse ou malheureuse, elle n’est plus ce qu’elle fut et elle ne sait plus où elle va ! Le spectacle absolument consternant offert par l’égo de nos dirigeants, qui se complaisent dans des joutes fratricides par médias interposés, ne contribue pas à résoudre les niveaux de défiance atteints au sein de notre semblant de démocratie, sur fond de monarchie républicaine. Vu le temps qu’ils passent sur les plateaux de télévision et sur Twitter pour «se raconter» nous pouvons honnêtement nous interroger sur le temps qu’ils consacrent réellement à leurs missions....Bien entendu la formulation de tels constats est forcément inacceptable au regard des conventions politico-médiatiques. Jamais l’encéphalogramme n’a été aussi plat sur les plans philosophiques, littéraires, artistiques et encore plus politiques alors que la situation exige plus que jamais d’être réaliste, imaginatif, audacieux et responsable. Mais il semble qu’il ne peut y avoir de place que pour des optimistes béats ou des pessimistes accrédités... Or la réalité est impitoyable ! 

Cette réalité, c’est celle d’une longue déconstruction de l’hégémonie oligarchique occidentale qui est entamée depuis plusieurs décennies, bien avant la chute du mur de Berlin ou le 11 septembre qui ne sont que des étapes. Nous feignons chaque fois d’être pris de court. Certes l’effet de surprise est constitutif des crises et il n’est pas interdit de se tromper. Il est plus difficile d’admettre la récidive et il est préférable de ne pas s’obstiner dans l’erreur. Le Brexit, l’élection de Trump, n’ont rien de surprenants sauf pour ceux qui ne voyagent pas, qui n’écoutent pas et qui « savent » mieux que ceux qui vivent dans les pays concernés. Demain, la sortie de l’Allemagne de l’Euro, après demain, l’implosion des pays du bassin méditerranéen et le retour d’un califat ottoman sont autant de scénarios inconcevables mais fortement probables. Allons-nous continuer à pleurnicher chaque fois qu’il y a selon la terminologie des clercs « une surprise stratégique » ou bien faire preuve de lucidité et « d’anticipation stratégique » ? Souvent le discours sur les effets de surprise dans les crises ne fait que révéler les niveaux d’enfermement de la pensée, les blocages idéologiques, l’obsolescence des filtres de raisonnement et la pauvreté des grammaires utilisées dans les évaluations des situations.
 
 
Les deux fausses surprises que nous connaissons avec le Brexit et l’élection de Trump sont la caricature de ces dérives. Pourtant ces deux évènements, comme ceux qui vont suivre, s’inscrivent dans un temps long : celui des conséquences de la résignation face au nihilisme contemporain, de la démission en termes d’exercice de la puissance et de l’auto destruction de notre mode de civilisation.
Ne nous méprenons pas le Brexit n’est qu’un pis aller pour sauver la perfide Albion du suicide européen. Trump ne sera ni Superman ni Batman pour sauver l’oncle Sam des maléfices du « système ». S’il arrive à éviter aux Etats-Unis un effondrement financier ce sera déjà de l’ordre de l’exploit. La sortie à venir de l’Allemagne de l’Euro, voire un rapprochement stratégique avec la Russie, sont inhérents à la fin imminente des accords de Yalta et à cette nostalgie de la Sainte alliance que nous ne pouvons plus sous-estimer. Les scénarios inconcevables ne manquent pas. La situation n’exige ni la force du gladiateur ni l'âme du poète. Elle demande juste de la force d'âme pour réinsuffler cette espérance perdue et cette intuition stratégique qui nous font défaut face à un monde en profonde transformation. Les solutions ne sont pas uniquement dans les mirages des ruptures technologiques et dans les miroirs aux alouettes des économistes. Elles sont dans la robustesse de nos socles de valeurs, la résilience de nos modes de pensée et dans les fondements chrétiens de notre civilisation. Il faut choisir entre le suicide collectif et la renaissance de notre civilisation. Entre les deux il faut juste réapprendre à survivre avec les réalités d'un monde en déconstruction dans lequel la position de chaque acteur est de nouveau négociable. C'est pour cela que nous ne sommes qu'au tout début d'une certaine intensité sismique sur le plan géostratégique que nos experts qualifient mollement d’incertitudes. 

Ce constat n’est pas évident à entendre et à admettre pour des sociétés opulentes, déconnectées des réalités du monde, dépressives et désenchantées, qui ont privilégié le principe de précaution à la prise de risque, l'angoisse au courage. Notre défi est maintenant de trouver les hommes et les femmes qui auront le courage de mettre les vraies questions à l'agenda et qui sauront incarner cette force d'âme indispensable avec droiture, abnégation et détermination. Les échéances électorales qui arrivent en Europe vont constituer à ce titre un formidable rendez-vous stratégique. Soit ce sera celui courageux de la responsabilité et de la lucidité. Soit ce sera celui infantile de la poursuite des dénis, de la fuite en avant et de l'imposture. N'oublions pas, quels que soient les discours sur le réveil des peuples, que nous sommes toujours à un moment jugés par l'Histoire, et que les générations futures ne nous pardonneraient pas nos défauts de lucidité et notre lâcheté sous le prétexte que nous aurions été surpris. 

Xavier Guilhou
Depuis trente ans, au travers de mes diverses expériences privées, publiques et académiques, j'ai été confronté à de multiples crises au niveau international et en ai tiré quelques convictions.

Beaucoup considèrent que la modernité de nos sociétés permet d'améliorer sans cesse la maîtrise des risques. C'est indéniable, mais ces progrès ne sauraient constituer en soi la certitude que nous allons vers un avenir plus sûr et plus fiable.

La réalité que je côtoie n'est pas celle-là. Je pense que nous sommes confrontés depuis plus d'une décennie à des ruptures majeures qui se traduisent par des franchissements de seuils cruciaux pour la survivance de nos modèles de vie.

Certains risques sont devenus explicites, comme la menace terroriste, la guerre des ressources, les confrontations d'ambitions au niveau mondial. D'autres nous déstabilisent dans nos certitudes, comme les récents désastres naturels du Tsunami en Asie du Sud, Katrina, la menace de la grippe aviaire ou Fukushima. Mais beaucoup émergent de façon implicite, en contournant nos croyances et nos défenses.

Ces transformations majeures de nos environnements appellent un exercice de lucidité, une prise de recul plus stratégique et un apprentissage des nouvelles grammaires de la gestion des risques et du pilotage des crises. Elles exigent surtout de se recentrer sur des pratiques de management moins technocratiques et sur des comportements plus authentiques.
 
 
 






décembre 10, 2016

Orthographe !! Orthographe !! cé quoi Ortograf ?

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La drôle de bataille de l'orthographe de septembre 2016, droite contre gauche 
 
- pourquoi les mairies ont dû faire face à des dépenses imprévues à la rentrée 2016, en plus de celles déjà imposées par le problème de l'accueil du périscolaire
- sujet tout particulièrement d'actualité à un moment où se multiplient les discours oiseux des médias autour du rapport PISA

La drôle de bataille de l'orthographe
de septembre 2016: Droite contre Gauche


En septembre 2015, une bataille de l'orthographe a opposé la députée LR Annie Genevard à la ministre socialiste Najat Vallaud-Belkacem

Cette bataille se situe dans un contexte où les appareils dirigeants des deux camps politiques ont un premier point commun : ils refusent avec acharnement toute interrogation sur l'honnêteté de la gestion de la langue française et de l'école française 

Elle va nous montrer en plus qu'ils sont particulièrement motivés par une préoccupation commune : alimenter à gros torrents l'industrie des marchands de béquilles de l'échec scolaire

A - C'est la ministre en place qui a mis le feu aux poudres, en annonçant que l'Education Nationale adoptait désormais « la » réforme de l'orthographe
Annie Genevard a riposté aussitôt en publiant un article intitulé : « Que dit le rejet de la réforme de l'orthographe ? » : 

Ainsi a commencé un nouveau Combat des Chefs entre les deux grandes féodalités qui trompent les français, et dans lesquelles la corruption des dirigeants n'a d'égale que la naïveté de leurs troupes respectives


B – Victime d'un effet boomerang, Annie Genevard ne connait rien à son dossier
Le titre de son article montre qu'elle entend traiter le sujet avec condescendance. Malheureusement pour elle, la suite montre aussitôt qu'elle ne qu'elle ne connait rien à son dossier, et cette ignorance est confirmée par l'inconsistance des interventions qu'elle multiplie depuis cette date dans la perspective des élections de 2017
Elle ne sait même pas que la réforme en question, dite réforme Rocard, adoptée en 1990, est déjà intégrée depuis plus de dix ans dans les logiciels de traitement de texte!!!!
Elle ne sait rien non plus des accusations de charlatanisme et de corruption qui concernent les auteurs de la réforme en question: « Ceux qui ont mis en place la réforme de 1990, dite réforme Rocard, savaient parfaitement d'avance qu'elle serait ratée! »
Cette ignorance est tout simplement un effet boomerang de la chape de plomb dont elle est secrètement une farouche partisane.
Quoi de plus normal si elle ignore tout d'un dossier dont elle participe au premier chef à l'étouffement !

C – Dans ce Combat des Chefs, la députée LR est en réalité très, très gentille avec la ministre socialiste
C'est précisément cette gentillesse qui lui garantit, à la fois pour la situation présente et pour la suite, les plus solides complicités secrètes avec l'autre camp politique. Il va de soi que ses propres supporters ne se doutent de rien!
Sur l'initiative de Najat VB, la mise en avant de la fameuse réforme de l'orthographe est arrivée là comme un cheveu sur la soupe, ce qui était pour le moins bizarre. A partir de là, Annie Genevard aurait dû logiquement se poser des questions sur les intentions réelles de la ministre. Mais on n'a rien vu de ce côté là.

Explication de cette absence d'interrogation :
La seule raison possible de ce brandissement impromptu de la réforme de l'orthographe, c'est un coup de commerce de l'industrie des marchands de béquilles de l'échec scolaire.

L'industrie de l'échec scolaire avait programmé le remplacement en un seul coup des manuels scolaires pour les neuf niveaux allant du cours préparatoire à la classe de troisième. Ce remplacement devait nécessairement avoir lieu avant l'alternance politique escomptée pour 2017, de manière à laisser la possibilité d'un nouvel exploit du même tabac dans le courant du quinquennat suivant
Or, on est là en plein dans le domaine où Annie Genevard est en symbiose parfaite avec la chape de plomb du sarkommunisme. Elle ne risque donc pas d'y faire le commencement du début d'une révélation gênante.
Ceci confirme une fois de plus l'allégation suivant laquelle la vraie raison d'être des complications surabondantes de l'orthographe française, c'est de servir les intérêts des marchands de béquilles de l'échec scolaire



D – La vente forcée, à haute dose, de manuels scolaires bâclés s'appuyait sur deux arguments, aussi fallacieux l'un que l'autre :

1°) Celui d'une « refondation de l'école »
Sitôt nommé ministre dans la foulée des élections de 2012 , Vincent Peillon avait repris cette expression à son compte en l'empruntant à la droite.
Se trouvant ainsi détabouisée, il va de soi que l'idée d'une refondation de l'école a la faveur du public le plus large.
Cet engouement fournit alors un joli prétexte pour que ladite refondation soit utilisée comme caution ou comme couverture pour une nouvelle réforme ratée, une de plus à ajouter à la longue série des réformes ratées à répétition de l'Education Nationale sous la Cinquième République : méthode globale, maths modernes, etc
Cette nouvelle réforme ratée, mise en place par Najat Vallaud-Belkacem, est entrée en application à la rentrée 2016. Elle est fondée, comme on l'a vu, sur le principe dément consistant à changer d'une seul coup les programmes des neuf niveaux des écoles primaires et des collèges. La dépense correspondante a mis les communes et les départements devant la nécessité de faire face à des dépenses imprévues

Annie Genevard  a pris soin d'ignorer avec dédain cet aspect bassement matériel du coût de cette réforme, et c'est à peine si elle a émis, sur la goujaterie qui en faisait d'avance une réforme ratée, la protestation suivante:
« La refonte des programmes de neuf niveaux en même temps est de l'avis de beaucoup une folie »
Elle ne risquait pas, non plus, d'ajouter que, si nos médias fonctionnaient correctement, ce genre de folie ne pourrait jamais se produire

2°) L'autre argument fallacieux de la manoeuvre servant à faire remplacer d'un seul coup les manuels scolaires de l'ensemble des écoles primaires et des collèges, c'est justement la nécessité de mettre entre les mains des élèves des manuels dont l'orthographe a été actualisée, alors qu'il n'était pas sûr qu'elle l'ait été auparavant

Voila pourquoi Najat VB a annoncé soudain que l'Education Nationale adoptait « la » réforme de l'orthographe.

Voila comment elle a mis le feu aux poudres avec une annonce qui arrivait comme un cheveu sur la soupe.

En face de cela, les protestations fort médiatisées d'Annie Genevard sont
- juste assez agressives  pour faire croire que l'alternance politique de 2017 va changer la donne,
- mais en même temps assez modérées pour cacher à ses supporters toute la corruption qu'elle cautionne


E – Remarque. Concernant encore l'orthographe française, Annie Genevard a aussi à son actif un autre fait d'armes, qui a déjà pour effet d'accélérer la débandade de la langue française sur le territoire français, face à une arrogance croissante des utilisateurs de la langue turque
L'explication est toute simple : 

- grâce à une gestion honnête de leur langue, imposée vers 1930 par Atatürk, les enfants d'origine turque apprennent très facilement à écrire la langue parlée à la maison par leurs parents : dictée ? Connais pas !
- en face de ça, l'école française amène les mêmes enfants à constater jour après jour le gâchis d'une langue française dont les difficultés d'apprentissage sont uniquement dues à la corruption évoquée plus haut

Le plus drôle, c'est que les supporters de Madame Orthographe ont vu en elle une députée qui défend la langue française, pour s'être opposée officiellement et de façon très médiatisée à un enseignement de l'arabe et du turc dans les écoles française.
Ils n'ont pas vu que cette manière de faire était la meilleure façon de réaliser l'union sacrée des musulmans de France, contre la France!!!
Et ce n'est pas les médias de la pensée unique française, complices de Daesh, qui risquent de les détromper

F – Conclusion
Si l'on considère alors que l'école française est une pépinière de djihadistes et que le projet de politique éducative d'Annie Genevard ne fera qu'empirer la situation, il est nécessaire de dénoncer haut et fort dès maintenant un comportement irresponsable dont les dégâts peuvent aller bien au delà d'une réédition de mai 68



Sur le sujet: orthographe et société:

« Madame Orthographe et les entreprises : un mariage contre nature, juste le temps des photos »

« L'orthographe de tous les mensonges »

« Orthographe : la vieille voiture et les charlatans »

« Dyslexie à cause de l'API : la preuve du sabotage en bande organisée, c'est l'enfumage qui le cache » pdf, une page 

« IVIN, JUIN, …, … : quatre écritures du mot JUIN : très drôle » : une preuve du sabotage délibéré de l'enseignement du français nous est donnée ici par le choix injustifiable de l'API, qui devait en principe servir à indiquer la prononciation normale des mots français
Demandez à Annie Genevard ce qu'elle en pense : vous risquez d'attendre longtemps la réponse

« Les premiers agresseurs des enseignants, ce sont les défenseurs de l'orthographe »

Là aussi, demandez à Annie Genevard ce qu'elle en pense : vous risquez d'attendre longtemps la réponse

« Histoire interdite de l'alphabet français, en bref » pdf, une page
(la méconnaissance des français sur l'histoire de leur langue s'inscrit dans la gigantesque manipulation – chère à Annie Genevard – qui sert à nous faire gober l'orthographe la plus bête du monde)

« La recette secrète de l'école française du djihad »
Cette recette était démasquée dès 2009 par un mini-tract intitulé « Fabriquer des crétins pour dynamiser la France ! ». On rappelle ici les pièces à conviction et on actualise ses conclusions

« Problème de la radicalisation de certains jeunes : il n'est pas pire aveugle que celui qui ne veut rien voir »

« Les réformes ratées à répétition de l'Education Nationale sous la Cinquième République »

« Ecole française, langue française : sabotage et chape de plomb »

« L'API : ses liens étroits avec la corruption et l'incompétence des responsables de l'enseignement du français – Résumé »

Remarquez au passage que tous ces articles ont toutes les chances d'être étouffés par la chape de plomb sarkommuniste, c'est à dire aussi bien par les Fillon-Genevard-Sarkozy et compagnie que par leurs faux adversaires mais solides complices qui contrôlent les médias et tout internet

Une bonne raison pour le rediffuser généreusement


Alsace : des élèves d'école maternelle privés de la traditionnelle visite du Père Noël au nom de la laïcité

Le maire de Huningue (Haut-Rhin) n'a pas voulu ajouter de commentaires, afin "d'apaiser les tensions suite à cette décision".

Selon une information révélée vendredi 9 décembre par la radio France Bleu Alsace, les enfants scolarisés dans deux écoles maternelles de Huningue, dans le Haut-Rhin, ne profiteront pas cette année de la traditionnelle visite du Saint-Nicolas et du Père-Fouettard. 
Les directrices des écoles maternelles des Coccinelles et celles des Pâquerettes ont en effet décidé d'annuler cette visite, au nom du principe de laïcité, malgré le succès que rencontre généralement le passage du Saint-Nicolas auprès des enfants. 

Interrogé par des parents d’élèves, le maire Jean Marc Deichtmann, a indiqué dans un courrier aux directrices d’écoles ne pas comprendre cette décision.



 
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