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octobre 26, 2025

Informations : tour d'Europe !!

Sommaire:

A - Giorgia Meloni : la voix de la raison face à la folie de l’UE sur les actifs russes gelés 

B -  Les dirigeants européens : des politiciens ratés poussant l’Europe vers l’abîme en Ukraine

C - L’UE sur le sentier de la guerre : un schéma terrifiant qui rappelle la montée insidieuse du nazisme

D -  La justice belge défie le parlement européen sur des soupçons de corruption

E - L’UE fait la guerre en Ukraine avec de l’argent et du sang étrangers 

 


 

A - Giorgia Meloni : la voix de la raison face à la folie de l’UE sur les actifs russes gelés 

Dans un contexte de tensions géopolitiques exacerbées par la guerre en Ukraine, la Première ministre italienne Giorgia Meloni émerge comme une figure de prudence au sein de l’Union européenne. Dans une déclaration récente, elle a mis en garde contre l’utilisation imprudente des actifs russes gelés, qualifiant une telle mesure d’illégale et potentiellement suicidaire pour le système financier mondial. Cette position met en lumière les fractures au sein de l’UE et les risques systémiques d’une escalade financière contre la Russie.


Le contexte : un plan controversé de l’UE

Depuis le début du conflit en Ukraine en 2022, l’Union européenne a gelé plus de 210 milliards d’euros d’actifs appartenant à la Banque centrale russe, principalement détenus par Euroclear en Belgique. La Commission européenne propose désormais d’utiliser ces fonds comme garantie pour un prêt massif de 140 milliards d’euros destiné à soutenir Kiev entre 2026 et 2027.

Ce plan, présenté comme une aide vitale à l’Ukraine, vise à transformer un gel temporaire en une confiscation effective, en utilisant les intérêts générés par ces actifs pour financer des armes et des infrastructures.

Cependant, cette approche soulève de graves questions juridiques et économiques, car elle viole potentiellement le principe d’immunité souveraine et pourrait éroder la confiance dans le système financier post-Bretton Woods.

Selon des sources, les dirigeants européens ont reporté la décision finale à décembre, en raison de résistances internes, notamment de la Belgique qui craint des poursuites judiciaires. Ce report illustre les divisions au sein du bloc : tandis que certains États poussent pour une action rapide, d’autres, comme l’Italie, insistent sur le respect du droit international.

La mise en garde de Meloni : respect des règles ou chaos financier ?

Giorgia Meloni, lors d’une conférence de presse, a été claire :

« Nous croyons, et nous ne sommes pas les seuls, qu’il est nécessaire de respecter les règles internationales et le principe de légalité. »

Elle a ajouté que l’UE doit protéger « la stabilité financière et monétaire de nos économies et de la zone euro. » Cette déclaration, n’est pas vue comme une propagande pro-Kremlin, mais comme un appel à la raison dans un « asile de fous » bruxellois. Giorgia Meloni, souvent perçue comme une conservatrice pragmatique, met en avant les risques pour l’Italie et l’Europe entière : une telle saisie pourrait déclencher une vague de retraits de fonds souverains par des pays comme l’Arabie saoudite, l’Inde ou la Chine, accélérant la dédollarisation et la déeuroisation.

Certains observateurs aiguisés qualifient cette initiative de « piraterie suicidaire ». Elle argue que le vol de réserves souveraines détruirait la confiance dans les institutions financières occidentales, transformant des dépositaires neutres comme Euroclear en outils politiques.

« Le système financier post-guerre repose sur l’idée que les réserves souveraines sont sacrées. Brisez cette confiance une fois, et le monde entier se demandera : qui est le prochain ? »

Des institutions comme le FMI et la BCE expriment discrètement leurs inquiétudes, craignant un effondrement de la demande pour les obligations européennes.

Les implications globales : vers une multipolarité accélérée ?

Au-delà de l’aspect juridique, cette affaire révèle une panique occidentale face à une guerre en Ukraine qui s’enlise. Beaucoup d’experts sincères arguent que « cette guerre est déjà perdue », et que l’UE, incapable de victoire militaire, recourt à du « vandalisme financier » pour gagner du temps. Mais cela pourrait se retourner contre l’Union Européenne :

la Russie, loin de s’effondrer, renforce ses alliances avec les BRICS, promouvant des échanges en monnaies nationales et des réserves en or.

En essayant de punir Moscou, l’Europe accélère sa propre marginalisation dans un ordre mondial multipolaire.

Des réactions similaires émergent ailleurs. La Belgique, hôte d’Euroclear, a exigé des garanties légales lors du sommet européen du 23 octobre, craignant des représailles russes. Même le Fonds monétaire international met en garde contre les conséquences systémiques d’une telle mesure. Pour les pays du Sud global, cette affaire confirme que l’ « ordre basé sur des règles » occidentales est sélectif et prédatoire, poussant vers des alternatives comme les infrastructures bancaires des BRICS.

Divisions au sein de l’UE : Meloni, Orbán et les Autres

Meloni n’est pas isolée. Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois, a également critiqué l’approche belliqueuse de l’UE, accusant Bruxelles de mener une « guerre hybride » contre les États membres dissidents. Mais il s’agit en fait d’une tendance plus large : l’UE punit ceux qui priorisent leurs intérêts nationaux, comme la sécurité énergétique ou la paix, au profit d’une alignement inconditionnel sur l’OTAN et les États-Unis.

L’Italie est en train de boucler son douzième paquet d’aide militaire à l’Ukraine, incluant des munitions et des systèmes de défense aérienne comme les missiles SAMP/T – co-produits par un consortium franco-italien impliquant des entreprises italiennes telles que MBDA Italia, ce qui reflète une forte composante nationale et pourrait stimuler l’industrie locale via des contrats et des exportations. Cependant, Rome adopte une posture extrêmement prudente concernant les actifs russes gelés, afin d’éviter un effet boomerang des sanctions ou d’une confiscation qui pourrait provoquer des représailles et perturber gravement l’économie européenne. Cela illustre un double discours pragmatique de la part de Meloni : elle soutient Kiev pour affirmer son alignement atlantiste et dynamiser son économie, tout en se protégeant contre un retour de flamme financier susceptible d’isoler l’Europe sur la scène internationale.
 
 

Un appel à la prudence avant le point de non-retour

La déclaration de Giorgia Meloni sert de rappel urgent : l’UE ne peut ignorer le droit international sans risquer son propre effondrement. En optant pour la confiscation plutôt que la négociation, Bruxelles pourrait non seulement prolonger un conflit inutile, mais aussi accélérer la fin de sa suprématie financière. L’ironie suprême est que, en punissant la Russie, l’UE accomplit ce que Moscou voulait : révéler le système financier occidental comme prédatoire et arbitraire.

https://multipol360.com/giorgia-meloni-la-voix-de-la-raison-face-a-la-folie-de-lue-sur-les-actifs-russes-geles/ 

 


 B -  Les dirigeants européens : des politiciens ratés poussant l’Europe vers l’abîme en Ukraine

Dans une interview récente, le professeur Jeffrey Sachs, économiste renommé et ancien conseiller des Nations Unies, livre une analyse impitoyable de la crise ukrainienne.

Invité à commenter l’annulation d’une rencontre prévue entre Vladimir Poutine et Donald Trump à Budapest – une initiative vue comme le dernier espoir de paix – Sachs dénonce sans ambages l’attitude des dirigeants européens.

Selon lui, des figures comme Keir Starmer au Royaume-Uni, Friedrich Merz en Allemagne et Emmanuel Macron en France incarnent l’échec politique, avec des taux d’approbation abyssaux autour de 20 % et des désapprobations frôlant les 80 %. Cette conversation, datée d’octobre 2025, met en lumière une Europe obsédée par une guerre perdue d’avance, au détriment de ses intérêts économiques et sécuritaires. L’heure est grave :

en sabotant les efforts de paix, l’UE risque non seulement de prolonger un conflit dévastateur, mais aussi de précipiter une escalade nucléaire.

 


 

L’annulation de Budapest : un sabotage européen ?

L’entretien s’ouvre sur un constat alarmant : une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump, initialement prévue à Budapest pour discuter d’un règlement pacifique en Ukraine, a été annulée suite à des pressions européennes. Le ministre hongrois des Affaires étrangères a accusé les Européens de saboter l’initiative, une allégation qui résonne avec les tensions croissantes au sein de l’UE. Sachs interprète cela comme un signe de panique à Bruxelles, contrastant avec l’excitation initiale face à l’idée que Trump pourrait envoyer des missiles Tomahawk – une mesure qui aurait pu déclencher un échange nucléaire. « On peut presque entendre les bouchons de champagne sauter dans les capitales européennes« , ironise l’intervieweur, soulignant l’absurdité d’une telle réaction alors que l’Occident est en train de perdre la guerre.

Pour Sachs, cette annulation n’est pas anodine. Elle reflète l’incapacité des leaders européens à rationaliser leur approche. Depuis l’échec des négociations russo-ukrainiennes en avril 2022, l’Europe persiste dans une stratégie belliciste qui n’apporte rien. « Ce sont des politiciens en échec avec une approche ratée de cette crise« , assène-t-il, refusant de « rationaliser leur échec« . Cette persistance dans l’erreur est d’autant plus inexplicable que les objectifs proclamés

reconquête totale du territoire ukrainien, réparations russes, saisie des avoirs, élargissement de l’OTAN à l’Ukraine – sont « délirants et impossibles à mettre en œuvre ».

 


Les dirigeants européens : impopulaires et bellicistes

Au cœur de l’analyse de Sachs se trouve une critique acerbe des dirigeants européens. Starmer, Scholz et Macron, qualifiés de « plus grands va-t-en-guerre de notre époque« , gouvernent avec des mains tremblantes sur le pouvoir. Leurs taux d’approbation, autour de 20 %, traduisent un rejet massif de leurs politiques. En France, Macron frôle les 13 % d’approbation selon certaines estimations, avec 87 % de désapprobation. Au Royaume-Uni, Starmer est devenu l’un des leaders occidentaux les plus impopulaires, surpassant même Donald Trump dans les sondages négatifs. Merz suit une trajectoire similaire en Allemagne.

Pourquoi cette obstination ? Sachs évoque une rationalisation absurde : « Nous devons arrêter la Russie ici, sinon l’expansionnisme russe submergera l’Europe. » Cette rhétorique, courante dans les médias britanniques, est qualifiée de « fausse et absurde » .

La Russie n’apparaîtra à Berlin, Paris ou Londres qu’en tant que touristes ou investisseurs, pas en troupes.

Sachs pointe aussi la russophobie viscérale des États baltes et de la Pologne, qui dictent la politique européenne pour « rester unis« . Kaja Kallas, haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères et issue de l’Estonie, est décrite comme « vulgairement russophobe et totalement contraire à la diplomatie » .

Cette unité factice masque des fractures profondes. Si l’Europe abandonnait sa posture antirusse, des divisions surgiraient. Mais en persistant, elle aggrave sa situation : « Plus on repousse la paix, plus ce sera mauvais pour les Européens. »

Les conséquences dévastatrices : humaines et économiques

Jeffrey Sachs ne mâche pas ses mots sur les coûts de cette guerre. Depuis 2022, l’Ukraine a perdu des territoires et subi des pertes humaines effroyables : environ 400.000 tués ou blessés, selon des estimations de Zelensky en janvier 2025, et jusqu’à 2 millions selon d’autres décomptes. La Russie, de son côté, approche le million de victimes, avec plus de 190.000 morts. Le pays ukrainien est dévasté : fuites démographiques massives, pannes d’électricité généralisées.

Économiquement, l’Europe paie cher. La rupture avec la Russie a provoqué un ralentissement et un déclin continu. Au lieu de se concentrer sur la compétition technologique avec les États-Unis et la Chine, l’UE est obsédée par les sanctions et la guerre. Sachs dénonce cette distraction : « L’Europe traverse une crise économique croissante » .

De plus, les sondages montrent que la majorité des Ukrainiens veulent des négociations, un fait ignoré par les médias et politiciens occidentaux.

Zelensky gouverne sous loi martiale, contre la volonté de son peuple.

Les racines historiques : provocations occidentales depuis les années 90

Jeffrey Sachs remonte aux années 1990 pour expliquer le conflit. Zbigniew Brzezinski, dans « Le Grand Échiquier » (1997), prédisait que l’élargissement de l’OTAN à l’Ukraine et la Géorgie provoquerait une réaction russe, mais affirmait que Moscou ne pourrait résister. Il écartait une alliance Russie-Chine comme « hors de question ». Pourtant, c’est exactement ce qui s’est produit :

en repoussant la Russie, l’Occident a poussé Moscou vers Pékin, l’Inde et les BRICS, représentant près de 50 % de la population mondiale et 40 % du PIB.

Joe Biden, en 1997 lors d’un discours au Conseil de l’Atlantique, moquait les craintes russes sur l’élargissement de l’OTAN : « Allez-y, rapprochez-vous de la Chine« , disait-il en riant. Vingt-huit ans plus tard, ce n’est plus drôle : l’alliance russo-chinoise est une réalité, conséquence directe des provocations occidentales.

Sachs accuse l’OTAN d’avoir provoqué la guerre dès 2014. Les stratégies occidentales n’ont jamais inclus les préoccupations sécuritaires russes, ignorant les avertissements.

 


Trump : un président faible et influençable

Concernant Donald Trump, Jeffrey Sachs est sévère : « Maladroit, peu informé et pas très brillant« , il succombe à la flatterie européenne. L’annulation de Budapest serait due à des pressions de l’Union Européenne, ramenant Trump « dans le rang ». Bien qu’il veuille mettre fin à la guerre, il manque de stratégie. Les Européens exploitent cela, flattant son ego avec des idées comme un « Conseil de paix » présidé par lui.

Vers une guerre directe ? les risques nucléaires

L’interview s’achève sur un avertissement glaçant : si la fenêtre de paix se ferme, l’alternative est une guerre directe.

Des rapports russes accusent les Britanniques d’attaques sur leur dissuasion nucléaire ; les Occidentaux ciblent des raffineries russes ; les Tomahawk sont opérés par des Américains.

« C’est une guerre entre deux puissances nucléaires », martèle Sachs. Le personnel OTAN en Ukraine rend le conflit direct, pas par procuration.

Seuls Viktor Orbán et Robert Fico en Europe plaident pour la paix. Sachs propose une solution : neutralité ukrainienne, accord territorial, zone démilitarisée pour une « sécurité indivisible ».

 


 

Un appel urgent à la raison

Jeffrey Sachs dépeint une Europe dirigée par des incompétents cyniques, sacrifiant l’Ukraine pour des illusions impérialistes. En sabotant la paix, l’UE accélère sa marginalisation, face à un monde multipolaire dominé par les BRICS. L’heure est à l’urgence : sans négociations, l’escalade nucléaire guette. Comme Jeffrey Sachs le conclut,

« nous n’avons pas de clairvoyance, de connaissance et de sens des responsabilités historiques » en Occident.

Il est temps de changer cela, avant qu’il ne soit trop tard.

https://multipol360.com/les-dirigeants-europeens-des-politiciens-rates-poussant-leurope-vers-labime-en-ukraine/ 

 


 

C - L’UE sur le sentier de la guerre : un schéma terrifiant qui rappelle la montée insidieuse du nazisme  

La confession choc d’un insider européen

Dans les couloirs feutrés de Bruxelles, où se tissent les toiles d’une intégration européenne toujours plus intrusive, un historien proche des réseaux d’influence de l’Union européenne vient de lâcher une bombe qui devrait faire trembler chaque citoyen du continent. Sylvain Kahn, professeur à Sciences Po et fin connaisseur des arcanes bruxellois, a avoué sans ambages dans une interview récente que

la marche forcée vers une armée européenne et un État européen supranational passe inévitablement par… la guerre

Oui, vous avez bien lu : la guerre, non pas comme une menace à éviter, mais comme un outil nécessaire pour forger cette entité tentaculaire qui effacera les nations souveraines. Et l’ennemi désigné ? La Russie, bien sûr, diabolisée à outrance pour justifier cette escalade funeste. L’heure est grave, mes amis – gravissime, même. Si nous laissons faire ces élites déconnectées, obsédées par leur rêve impérialiste, nous courons droit vers un conflit majeur qui pourrait engloutir l’Europe dans les flammes d’une nouvelle guerre mondiale. C’est un cri d’alarme que je lance ici : réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard !


L’accélération folle vers l’armée européenne

Imaginez : en moins de dix ans, l’UE a opéré une mutation radicale en matière de défense, créant une agence européenne dédiée, un fonds pour armer l’Ukraine en détournant des budgets initialement prévus pour d’autres usages, et même en s’endettant à hauteur de 150 milliards d’euros pour financer le réarmement des États membres. Un commissaire européen à la défense a été nommé pour la première fois, et un marché intérieur de l’armement est en train de voir le jour. Ces avancées, qualifiées d’ « incrémentales » par Kahn, sont conçues pour s’enchaîner inexorablement, comme une machine infernale que rien n’arrête une fois lancée. C’est la Commission européenne, cette institution supranationale aux pouvoirs croissants, qui tire les ficelles. Et pour quoi ? Pour bâtir un État européen, pardi ! Kahn le dit sans détour :

« La séquence que nous vivons, j’en suis persuadé, va déboucher sur la création d’un État européen sans que les acteurs gouvernementaux en aient forcément conscience. »

Et il cite le sociologue Charles Tilly : « La guerre a fait l’État et l’État a fait la guerre. » Traduction : sans guerre, pas d’État européen. C’est glaçant.

 


Les avertissements multipliés et orchestrés

Cette confession n’est pas isolée. Elle s’inscrit dans un contexte où les avertissements se multiplient. Le journaliste qui a réalisé cette interview, un habitué des affaires européennes, a lui-même relayé sur les réseaux sociaux un message alarmant :

« La guerre qui aurait dû mobiliser la jeunesse, ce n’est pas celle de Gaza dont les enjeux de sécurité sont nuls pour l’Europe, c’est celle qui ravage l’Ukraine, car elle risque d’être mobilisée sur le front de l’Est d’ici 2030. En effet, la guerre avec la Russie est désormais considérée comme quasi-certaine. »

Mobilisée sur le front de l’Est ? Nos jeunes, chair à canon pour un conflit artificiellement gonflé ? C’est inacceptable ! La Commission européenne elle-même juge probable une guerre d’ici 2030, et des hauts gradés français, comme le chef d’état-major des armées et celui de l’armée de terre, ont récemment multiplié les déclarations tonitruantes sur la « menace russe » imminente, dans les 3 ou 4 ans à venir. Un général bien connu des plateaux télé, Vincent Desportes, a enfoncé le clou sur une grande chaîne nationale : « Menace russe en Europe, la France doit se réveiller, elle est en danger. » Tout cela sent l’orchestration, une campagne de peur savamment dosée pour nous pousser dans les bras d’une UE belliqueuse.

Le parallèle inquiétant avec la gestion du covid

Mais arrêtons-nous un instant sur cette comparaison effarante avec le Covid, que Kahn lui-même évoque pour justifier cette accélération. Lors de la pandémie, l’UE n’avait aucune compétence en matière de santé – et pourtant, elle a pris le contrôle, achetant des milliards de doses de vaccins, imposant des règles uniformes, au mépris des souverainetés nationales.

« Quand le Covid est apparu, l’Union n’avait pas le temps et pas de compétences dans ce domaine et pourtant les décisions ont été prises très rapidement. C’est pareil avec la défense. Le tempo s’accélère. »

C’est un aveu : l’UE profite des crises pour étendre son emprise, comme un virus qui mute et se propage. Hier, la santé ; aujourd’hui, la défense. Demain, quoi ? Un État totalitaire où les nations ne sont plus que des provinces administratives ?

La guerre comme fondement de l’état européen

Et pour couronner le tout, Kahn plaide pour une « puissance publique européenne » qui passerait commande d’armes, fusionnant les industries nationales en un monstre continental. La France, deuxième exportateur mondial d’armes, verrait son industrie pillée au profit d’un conglomérat dominé par les Allemands et les bureaucrates de Bruxelles. Finie la concurrence ; place à la centralisation forcée !

 

 

Vers une industrie d’armement continentale et centralisée

Kahn le dit :

« L’enjeu aujourd’hui est donc de créer une commande publique européenne afin de pousser à des investissements de long terme et bien sûr à des regroupements industriel. Cela implique de créer une puissance publique européenne… Une puissance publique européenne, c’est un état qui passera commande. »

Cette mission pourrait être confiée à la Commission européenne, à l’Agence européenne de défense ou à une coalition d’État. Au regard de l’histoire, la forme n’a pas d’importance. Déjà, la puissance industrielle est là puisque sur les 25 premiers exportateurs mondiaux d’armes, on compte 10 pays européens qui pour l’instant se font concurrence sur les marchés extérieurs, on doit mettre fin à cette fragmentation pour pouvoir réarmer l’Europe.

L’analogie terrifiante avec la montée du nazisme

Cette montée en puissance de l’UE vers la guerre évoque irrésistiblement la montée du parti nazi en Allemagne dans les années 1930, qui a débouché sur la Seconde Guerre mondiale – le conflit le plus destructeur de l’histoire humaine, avec ses dizaines de millions de morts, ses villes rasées, ses horreurs innommables. À l’époque, l’Allemagne, ravagée par la crise économique de 1929, le chômage de masse et l’humiliation du Traité de Versailles, a vu émerger un régime démagogue qui promettait la grandeur retrouvée. Hitler et ses sbires ont surfé sur la misère sociale, accusant un ennemi extérieur – les Juifs, les communistes, les voisins – de tous les maux. Les médias, complaisants ou collaborationnistes, ont relayé la propagande sans broncher, diabolisant à outrance pour justifier le réarmement massif et l’expansionnisme.

Et le peuple ? Il a fermé les yeux, occupé par son quotidien précaire, laissant les « grandes gueules » du régime s’exprimer à sa place et avancer leurs pions funestes.

Pourquoi a-t-on laissé faire Hitler ? les leçons pour aujourd’hui

Aujourd’hui, l’analogie est frappante – et terrifiante. L’Europe post-Covid ploie sous une crise économique et sociale persistante : inflation galopante, dette abyssale, inégalités croissantes, précarité énergétique due à des sanctions mal pensées contre la Russie. Les élites européennes, comme les nazis jadis, usent d’un discours démagogue :

« L’Europe unie pour la paix et la prospérité ! » Mais derrière ce vernis, c’est l’impérialisme qui pointe.

La Russie est l’ennemi parfait, dépeinte comme une menace existentielle, un ogre prêt à envahir l’Europe entière. Kahn l’admet : une partie des Européens, dont les Français, « ne sont pas conscients de la menace russe. » Mais quelle menace, au juste ?

La Russie n’a aucune intention d’attaquer l’OTAN ; c’est une fable pour justifier l’escalade.

Comme les nazis diabolisaient les Juifs pour unifier le peuple dans la haine, l’UE diabolise Poutine pour unifier les nations dans la peur. Les médias mainstream, collaborationnistes avec ce narratif, bombardent les citoyens de propagande : articles alarmistes, reportages biaisés, experts autoproclamés qui répètent en boucle la « menace russe ». Et le peuple ? Il ferme les yeux, scrollant sur ses réseaux sociaux, occupé par ses factures et son job précaire, laissant les bureaucrates de Bruxelles et les généraux de plateau télé décider de son destin.

Quand j’étais petit, je posais souvent cette question à mes aînés : pourquoi a-t-on laissé faire Hitler ? Pourquoi n’a-t-on pas empêché cet impérialisme ravageur avant qu’il ne soit trop tard ? Les réponses étaient évasives, embarrassées – « c’était compliqué », « personne n’imaginait l’horreur ». Aujourd’hui, je sais. C’était une crise économique et sociale qui a aveuglé les masses, des médias complaisants qui ont normalisé la folie, un discours démagogue qui flattait les peurs, et surtout une diabolisation outrancière d’un ennemi pour masquer les vraies ambitions. Mais le pire, c’est la bêtise collective d’un peuple qui ferme les yeux ou regarde ailleurs, laissant les « grandes gueules » – politiciens, experts, journalistes – s’exprimer à sa place et avancer leurs agendas destructeurs. Il y a donc une véritable responsabilité du peuple ! Oui, nous sommes coupables si nous laissons faire.

En 1930, les Allemands ordinaires ont élu les nazis ; en 2025, les Européens ordinaires laissent l’UE nous entraîner vers l’abîme sans broncher.

L’Histoire se répète-t-elle ? Si nous ne réagissons pas, oui – et avec des armes nucléaires cette fois.

Les parallèles historiques approfondis

Poussons l’analogie plus loin. Le réarmement nazi a commencé discrètement : violation du Traité de Versailles, remilitarisation de la Rhénanie en 1936, Anschluss en 1938. À chaque étape, les puissances européennes ont cédé, espérant apaiser le monstre. Aujourd’hui, l’UE viole ses propres traités en s’arrogeant des compétences en défense qu’elle n’avait pas, empruntant des milliards sans mandat clair, créant des fonds détournés pour armer l’Ukraine. Et comme les nazis ont unifié l’industrie allemande sous contrôle étatique pour produire tanks et avions, l’UE veut une « commande publique européenne » pour fusionner nos industries d’armement. Finie la souveraineté française ; place à un cartel continental où les décisions se prennent à Bruxelles, loin des peuples. Kahn le dit : « On doit mettre fin à cette fragmentation pour pouvoir réarmer l’Europe. » Fragmentation ? C’est le mot code pour « nations indépendantes ». Et l’ennemi ? Hier, la Pologne ou la Tchécoslovaquie ; aujourd’hui, la Russie, accusée de tous les maux pour justifier l’expansion de l’OTAN et de l’UE vers l’Est.

La vraie menace : l’UE elle-même et le mythe russe

Mais attention : il n’y a pas de menace russe réelle en France ou en Europe occidentale. C’est un mensonge éhonté ! La Russie défend ses intérêts en Ukraine, un conflit régional gonflé en guerre existentielle par des faucons atlantistes et européistes. La vraie menace, c’est l’UE elle-même – ce mastodonte totalitaire qui érode nos libertés, impose des sanctions qui nous ruinent (regardez les prix de l’énergie !), et nous pousse vers un conflit pour réaliser son rêve d’État supranational.

Comme les nazis ont promis la « Grande Allemagne », l’UE promet la « Grande Europe »

mais à quel prix ? Des millions de vies ? Des villes en ruines ? Une génération sacrifiée sur le « front de l’Est » ? Et n’oublions pas le rôle des États-Unis : avec Trump de retour, l’Amérique se désengage tout en s’enrichissant de nos erreurs, laissant l’Europe seule face à ses démons. Mais au lieu de chercher la paix, l’UE accélère vers la confrontation, profitant du vide pour consolider son pouvoir.

 


La responsabilité collective et l’urgence d’agir

Cette irresponsabilité collective est criminelle. Les peuples portent une part de blame : absorbés par leur « petit quotidien » – Netflix, courses, boulot – ils ignorent les signaux d’alarme. Les sondages montrent que beaucoup de Français sous-estiment la « menace russe », mais c’est parce qu’ils sentent intuitivement le mensonge. Pourtant, ils ne bougent pas ! Comme en 1933, quand les Allemands ont voté pour Hitler par lassitude, nous risquons de laisser les élites nous entraîner dans l’horreur par apathie. Kahn l’admet : les gouvernements eux-mêmes n’ont pas conscience de ce qu’ils créent. Mais nous, nous savons maintenant. Partagez, informez, résistez ! Si nous laissons faire, 2030 sera l’année zéro d’une nouvelle apocalypse.

Un appel urgent à la Résistance et à la Paix

En conclusion, cet aveu de Kahn n’est pas anodin : c’est le révélateur d’un plan machiavélique où la guerre sert de catalyseur à un État européen totalitaire. Comme la montée nazie a mené à la Shoah et aux bombes sur l’Europe, cette escalade pourrait déboucher sur un conflit nucléaire. L’heure est grave – non, elle est désespérée si nous ne réagissons pas. Sortons de cette torpeur ! Refusons la diabolisation, exigeons la paix, protégeons nos nations.

Sinon, l’histoire nous jugera comme elle a jugé ceux qui ont laissé faire Hitler : coupables d’aveuglement fatal.

https://multipol360.com/lue-sur-le-sentier-de-la-guerre-un-schema-terrifiant-qui-rappelle-la-montee-insidieuse-du-nazisme/ 

 


D -  La justice belge défie le parlement européen sur des soupçons de corruption

Trois ans après le scandale du Qatargate qui avait ébranlé les institutions européennes, un conflit intense oppose les autorités judiciaires belges au Parlement européen. Cette enquête approfondie met en évidence comment les procureurs belges défient l’autorité du Parlement en menant des investigations sur la corruption impliquant des eurodéputés, souvent marquées par des erreurs et un apparent excès de pouvoir qui compromet la réputation de l’institution.

Ce bras de fer s’inscrit dans un contexte plus large de scandales récurrents, comme le « Huawei-Gate », qui révèlent des vulnérabilités persistantes face aux influences étrangères et privées.

 

Rappel du Qatargate : un scandale fondateur et ses développements récents

Le Qatargate, qui a éclaté en décembre 2022, reste le point de départ de ces tensions. Il impliquait des eurodéputés soupçonnés d’avoir reçu d’importantes sommes d’argent en échange de leur soutien aux intérêts du Qatar et du Maroc, notamment pour améliorer l’image du Qatar en matière de droits humains et faciliter un accord de voyage sans visa. Parmi les figures centrales : Eva Kaili, vice-présidente grecque du Parlement, arrêtée avec 150.000 euros en liquide à son domicile, et un total de 1,5 million d’euros saisis lors des perquisitions. D’autres suspects incluent Francesco Giorgi, son compagnon et assistant parlementaire, ainsi que Niccolo Figa-Talamanca, responsable d’une ONG italienne.

Un coup de théâtre est survenu en janvier 2023 lorsque Pier Antonio Panzeri, ancien eurodéputé italien socialiste et dirigeant de l’ONG Fight Impunity, a accepté de collaborer avec la justice belge en tant que « repenti ». En échange d’une peine allégée – cinq ans de prison dont quatre avec sursis, une amende de 80.000 euros et la confiscation d’un million d’euros d’avantages patrimoniaux – Panzeri s’est engagé à révéler le mode opératoire de l’organisation criminelle, les arrangements financiers avec des États tiers comme le Qatar et le Maroc, et l’identité de personnes corrompues ou impliquées non encore identifiées. Son avocat, Laurent Kennes, a déclaré : « Il a envie de déballer, il veut voir le bout du tunnel. » Cette collaboration pourrait élargir l’enquête, impliquant potentiellement d’autres eurodéputés comme Marc Tarabella, à qui Panzeri aurait versé entre 120.000 et 140.000 euros selon des déclarations rapportées, bien que contestées par l’intéressé. Le Maroc et le Qatar ont fermement démenti toute implication.

Roberta Metsola, présidente du Parlement, avait alors promis des réformes ambitieuses et une coopération totale avec les enquêteurs belges, perçus comme des alliés dans la lutte contre la corruption. Cependant, ces engagements initiaux contrastent avec l’évolution récente des relations, marquée par une défiance croissante.

Du Qatargate au Huawei-gate : une évolution tendue et des allégations précises

L’ambiance s’est inversée avec le « Huawei-Gate » en mars 2025, où les procureurs belges ont lancé une enquête sur des influences présumées de Huawei, divulguée publiquement et provoquant l’indignation au Parlement. Ce scandale, survenu deux ans après le Qatargate, met en accusation des lobbyistes de Huawei pour corruption active, participation à une organisation criminelle et blanchiment d’argent. Les pratiques remontent à 2021 et impliquent des cadeaux somptueux – billets pour des événements sportifs, frais de voyage – offerts à des eurodéputés et assistants pour influencer les décisions sur la 5G et la politique commerciale européenne.

Parmi les suspects : Valerio Ottati, ancien assistant parlementaire devenu directeur du bureau bruxellois de Huawei ; Lucia Simeone, assistante d’un député italien du PPE, arrêtée en Italie le 19 mars 2025 ; et Nuno W.M., consultant portugais arrêté en France le 13 mars. L’enquête cible une quinzaine de personnes, dont une dizaine d’élus ou anciens élus des groupes PPE, S&D et ECR. Quatre individus ont été mis en examen pour corruption et organisation criminelle, une cinquième pour blanchiment. Des perquisitions massives – une centaine de policiers mobilisés le 13 mars au Parlement, au siège de Huawei et au Portugal – ont révélé des liens avec des tentatives d’influence, et les dirigeants de Huawei auraient été informés, selon des mandats d’arrêt.

Huawei, non inculpé directement, a indiqué que deux employés avaient violé des lois locales et été licenciés, tout en coopérant avec les autorités. Le Parlement et la Commission européenne ont réagi en suspendant l’accès aux représentants de Huawei dès le 14 mars, marquant un tournant dans les relations avec l’entreprise chinoise.

Le point de rupture : excès de pouvoir et erreurs belges

L’affrontement culmine quand les procureurs demandent la levée d’immunité d’une eurodéputée pour une réunion Huawei qu’elle n’a jamais fréquentée, forçant un retrait embarrassant. Metsola dénonce cette « négligence » et s’engage à protéger l’institution contre des allégations non vérifiées. 

Depuis, le Parlement résiste à des demandes pour quatre autres législateurs. Six mois plus tard, aucun vote n’est programmé, qualifié de résistance « sans précédent » par des sources internes, illustrant comment la justice belge pousse les limites malgré ses faux pas. Ces retards s’ajoutent à ceux du Qatargate, où des levées d’immunité comme celle de Tarabella ont traîné, amplifiant les frustrations.

Échanges tendus en commission

En juillet, la commission JURI, présidée par Ilhan Kyuchyuk, convoque le procureur fédéral Ann Fransen pour une session « tendue » à huis clos. Kyuchyuk critique l’affaire comme « pas suffisamment étayée » dans une lettre, exigeant précisions sur infractions, base juridique et preuves. 

Fransen répond en septembre que le Parlement doit seulement vérifier l’absence de motifs politiques, sans accéder aux preuves pour éviter de compromettre l’enquête et la présomption d’innocence. Elle insiste sur la nécessité de lever l’immunité tôt pour recueillir des preuves, bloquées sinon par l’immunité. Le parquet belge décline tout commentaire supplémentaire en raison de la procédure en cours.

Implications pour l’UE : une vulnérabilité exposée et des réformes urgentes

Cette impasse révèle une faiblesse de l’UE face aux influences étrangères, où la justice belge voit du crime là où le Parlement voit de la politique, amplifiant les tensions par ses pouvoirs limités face à l’immunité. Les scandales comme le Qatargate et le Huawei-Gate soulignent des failles structurelles : un lobbying agressif par des acteurs comme la Chine ou le Qatar, des ONG utilisées comme vecteurs, et un risque d’espionnage, avec des appels à interdire les appareils Huawei dans les institutions. 

Les délais – habituellement cinq mois, parfois plus d’un an – paralysent les enquêtes.

Des eurodéputés admettent que les décisions d’immunité deviennent politiques, tandis que d’autres accusent les procureurs de nuire sans preuves solides.

La collaboration de Panzeri pourrait accélérer les révélations, mais elle met aussi en lumière les limites des outils anti-corruption actuels.

En juin, Metsola promet de revoir la coopération avec la police belge et rappelle les règles aux États membres via une lettre officielle. Des voix comme Daniel Freund (Verts) et Fabienne Keller (Renew) appellent à un organe d’éthique commun pour renforcer la transparence. 

Pour l’instant, la coopération est gelée, soulignant un défi de la justice belge à l’autorité parlementaire, avec des répercussions sur la transparence et la lutte anticorruption en Europe. Ces affaires érodent la confiance des citoyens et appellent à des réformes urgentes pour imposer une totale transparence concernant les activités de lobbying au sein de l’institution européenne.

https://multipol360.com/la-justice-belge-defie-le-parlement-europeen-sur-des-soupcons-de-corruption/ 

 


 

E - L’UE fait la guerre en Ukraine avec de l’argent et du sang étrangers 

L’Union Européenne, cette entité bureaucratique qui se rêve en superpuissance mais croule sous le poids de ses échecs économiques, est une fois de plus prise la main dans le sac.

Ruinée et désespérée, elle ourdit un plan pour s’approprier des actifs russes gelés – environ 300 milliards de dollars – afin de financer une guerre en Ukraine qui n’est pas la nôtre. Les États-Unis ne participeront pas au plan de l’UE visant à utiliser les avoirs russes gelés pour financer l’Ukraine, a confirmé la Maison Blanche.

Ce n’est pas de l’aide humanitaire, c’est du vol pur et simple : de l’argent qui ne lui appartient pas, détourné sans vergogne pour prolonger un conflit lointain, au détriment des peuples européens déjà exsangues. Examinons les faits, car derrière cette avidité se cache un tableau accablant de faillites collectives.

Le triste constat de la croissance européenne : un continent à la traîne

L’UE, autrefois présentée comme un modèle de prospérité, est aujourd’hui un géant aux pieds d’argile. Selon les prévisions économiques du printemps 2025, la croissance du PIB de l’UE est projetée à un misérable 1,1 %, tandis que la zone euro stagne à 0,9 %. Comparez cela aux économies dynamiques : les économies avancées mondiales devraient croître de 1,6 %, les marchés émergents de 4,2 %, et l’ensemble du monde de 3,2 %. Pire encore, sur les deux dernières décennies, le PIB de l’UE (incluant le Royaume-Uni avant le Brexit) n’a augmenté que de 21 % en dollars, contre 72 % pour les États-Unis, 49 % pour la Russie et un stupéfiant 290 % pour la Chine.

L’Europe ne suit plus ; elle est larguée, victime de ses régulations étouffantes, de son aversion pour l’innovation et de sa dépendance énergétique suicidaire qui l’a menée droit dans le mur.

Et qui sont les soi-disant moteurs de cette machine grippée ? La « bande des quatre losers » : Emmanuel Macron, Keir Starmer, Friedrich Merz et Ursula von der Leyen. Ces leaders, qui se réunissent pour pontifier sur l’Ukraine tout en ignorant leurs propres gouffres financiers, incarnent l’hypocrisie européenne. Macron, avec sa France en déroute ; Starmer, dirigeant un Royaume-Uni post-Brexit qui n’est même plus dans l’UE mais qui joue encore les alliés ; Merz, le chancelier allemand aux prises avec une économie en récession ; et von der Leyen, l’apprentie dictatrice non élue de Bruxelles. Leurs déclarations conjointes sur l’Ukraine – comme celle du 21 octobre 2025 soutenant un gel des lignes de front – masquent mal leur impuissance. Ces « leaders » président à un déclin collectif, préférant les discours belliqueux aux réformes urgentes dans leur propre pays.

 


 

La France, symbole d’une dégringolade financière

Prenons le cas de la France, ce « moteur » supposé de l’UE qui s’effondre sous le poids de ses dettes. En octobre 2025, S&P Global Ratings a dégradé la note souveraine de la France à A+ depuis AA-, citant des « risques élevés » pour la consolidation budgétaire et une incertitude politique grandissante. Ce n’est pas une surprise isolée : Fitch avait déjà abaissé la note à A+ en septembre 2025, soulignant que le ratio de dette de la France, déjà double de la médiane de sa catégorie, a bondi de 15 points de pourcentage depuis 2019, la plaçant au troisième rang des dettes les plus élevées parmi les souverains notés. La France a « perdu toute crédibilité budgétaire », comme l’a titré un éditorial récent. Avec un déficit galopant et une instabilité politique, ce pays jadis influent est désormais comparé à l’Espagne en termes de notation – un comble pour la « Grande Nation ».

Von der Leyen et l’hégémonie budgétaire imaginaire

Au cœur de cette farce se trouve Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, qui distribue des budgets comme si l’UE était un État fédéral souverain.

Mais l’UE n’est ni un pays ni une fédération : c’est une union de nations souveraines, où les décisions fiscales devraient passer par les parlements nationaux.

Pourtant, von der Leyen pousse pour intégrer les actifs russes gelés – qui n’appartiennent même pas à un membre de l’UE – dans un « budget imaginaire » pour l’Ukraine. La Commission prépare un plan pour utiliser ces 300 milliards comme garantie pour un prêt de 140 milliards d’euros à Kiev, en contournant les droits de propriété et sans vote parlementaire dans les États membres. C’est une extension flagrante de son hégémonie : attribuer des fonds à des causes géopolitiques sans légitimité démocratique, transformant l’UE en une machine à détourner l’argent public.

L’épargne des européens : otage d’une guerre inutile

Pire encore, ces élites veulent maintenant piller l’épargne des citoyens ordinaires pour financer leur obsession belliqueuse.

L’UE propose de lever jusqu’à 150 milliards d’euros en prêts aux États membres pour booster les investissements en défense, en utilisant des fonds européens pour des achats militaires. En juin 2025, la Banque européenne d’investissement a triplé son financement pour l’industrie de défense à 3 milliards d’euros. Et un plan de 860 milliards d’euros pour la défense vise à exclure les fournisseurs américains, forçant 55 % des achats militaires à provenir d’usines européennes d’ici 2030. Ce qui commence comme un « souhait » pourrait devenir une obligation : mobiliser l’épargne privée pour une guerre qui n’est pas celle des peuples européens, mais un caprice élitiste. Pendant que l’économie sombre dans la faillite – avec des prévisions de croissance anémiques et des dettes explosives – ces dirigeants ne parlent que de guerre et de détournements de fonds : l’éducation et la santé n’ont qu’à attendre. Mais que les collabos et les boomers se rassurent, ils pourront bientôt investir dans la chair à canon, dans une guerre qu’ils ne feront pas eux-mêmes (les uns parce qu’ils seront « planqués » et les autres parce qu’ils ne seront plus de ce monde)…

La guerre comme bouton reset : une distraction criminelle

Pour ces bureaucrates, la guerre est le bouton reset ultime : quand plus rien ne fonctionne, on appuie dessus pour détourner l’attention et cacher ses fautes. L’économie européenne patine, les inégalités explosent, mais au lieu de réformer, on brandit le spectre russe pour justifier des dépenses folles. C’est une stratégie cynique : prolonger un conflit en Ukraine pour masquer l’incompétence interne, tout en pillant des actifs étrangers et l’épargne domestique.

Et qui mènera cette guerre qu’ils espèrent ? Certainement pas eux. Ces élites seront les premières à se terrer dans leurs bunkers, laissant les peuples à feu et à sang. Souvenons-nous de l’histoire : lors de l’invasion allemande de la France en 1940, le gouvernement français a fui Paris, se repliant d’abord à Bordeaux puis à Vichy, abandonnant la capitale et collaborant avec l’occupant via le régime de Pétain. Physiquement et moralement, ils ont déserté, imposant aux citoyens les horreurs de l’occupation.

Demain, Macron et consorts suivront sans doute le même « courage » : déclencher le chaos depuis leurs châteaux forts, puis s’évaporer quand les bombes tomberont.

L’UE n’est plus qu’une coquille vide, dirigée par des losers qui volent pour survivre. Il est temps pour les nations européennes de reprendre leur souveraineté, avant que cette hégémonie ne nous entraîne tous dans l’abîme. La paix et non la guerre, a fortiori financée par le pillage, devrait être notre priorité – mais avec ces leaders, l’avenir s’annonce sombre.

https://multipol360.com/lue-fait-la-guerre-en-ukraine-avec-de-largent-et-du-sang-etrangers/

 

 

 

septembre 18, 2025

À ce jour, la pétition de Philippe de Villiers sur l’immigration dépasse les 1,5 million de signatures

 

Cependant une pétition pour un référendum sur l'immigration, il faudrait l'effectuer sur une plateforme à audimat national, non spécieuse !
Nonobstant en donner la question qui sera posée au référendum !
 
 

 
Quelques slogans:
« Si demain je prends les rênes du pays, dès le matin je claque les frontières. Je n’ai besoin de personne pour ça, et peu importe l’impératrice Von der Leyen. Ma seule priorité, ce sont les Français ! »
"J’ai lancé cette pétition pour deux raisons :
- Le courrier abondant que j’ai reçu, toujours avec les mêmes mots : « On n’est plus chez nous », « Soyez notre porte-parole ».
-" La gravité de la situation : le peuple historique français sera, dans quelques décennies, minoritaire chez lui. On n’arrête plus les arrivées — 500 000 par an — et on est incapable d’expulser les OQTF (130 000 depuis un an). Un pays qui ne sait plus contrôler ses frontières meurt à petit feu : c’est une urgence vitale. Il faut passer par un acte de contournement de la société médiatique, qui pèsera dans le débat."
youtu.be/rW48HBRs5Gw Mise en ligne le week-end dernier, cette pétition nationale a déjà dépassé les 830.000 signataires ce dimanche. → https://l.lefigaro.fr/vIc Ce chiffre a été atteint plus vite que pour la pétition pour la loi Duplomb. Néanmoins, il est difficile à certifier. → https://l.lefigaro.fr/osy
 
 
 
Eh bien voilà, ce que malheureusement je subodorais :
La « pétition » de Philippe de Villiers sur l’immigration a encore plus de failles que ce qu’on pensait
Alors que le compteur de signatures enfle et agite l’extrême droite médiatique, de nombreuses étrangetés apparaissent.
Par Romain Herreros
Branle-bas de combat dans les médias de Vincent Bolloré. Ses têtes de gondole, Pascal Praud en tête, hurlent au scandale démocratique. La raison ? Le peu d’écho médiatique que rencontre la pétition mise en ligne par Philippe de Villiers réclamant un référendum sur l’immigration, et dont Le HuffPost avait déjà révélé les (multiples) défauts la semaine dernière.
À mesure que le compteur de signatures enfle sur la page d’accueil du site lancé par le fondateur du Puy de Fou (la barre du million est très largement franchie ce mardi à la mi-journée), de nombreuses bizarreries apparaissent au sujet de cet objet de marketing mediatico-politique.
Ce vendredi, Le HuffPost avait montré que l’on pouvait voter à plusieurs reprises, en entrant différentes adresses valides. Or, comme le souligne BFMTV ce mardi 16 septembre, il est même possible de signer virtuellement cette pétition via des adresses fictives (en changeant simplement une lettre dans son adresse), puisqu’il n’existe aucun système de vérification. Un boulevard pour ceux qui auraient l’idée de faire gonfler artificiellement le nombre de signataires, ou pour des puissances étrangères désireuses de parasiter notre débat public. D’autant qu’il existe des services de bots spécialement conçus pour ce genre de manipulation.
Soi-disant signée par… Mélenchon
Autre défaut souligné par nos confrères : le fait que l’on puisse vérifier si une personne a déjà signé (ou non) en entrant son adresse. Ce qui, au-delà du fait que cela pose un sérieux problème de confidentialité, donne lieu à des situations plus que loufoques. Comme celle repérée par un journaliste de L’Opinion, qui a montré sur le réseau social X qu’une adresse attribuée à… Jean-Luc Mélenchon avait apporté sa signature à la pétition. Ce qui illustre au passage que l’on peut signer la pétition pour d’autres, sans qu’ils soient au courant.
Ainsi, des internautes s’amusent à signer avec des noms farfelus, comme « Arnaque de Villiers », quand d’autres le font avec les adresses mails de personnalités de CNews. Un défaut majeur et surtout une hérésie pour les pétitions en lignes. À titre d’exemple, il est impossible de faire de telles manœuvres sur le site spécialisé Change.org : puisqu’un e-mail de vérification est envoyé au signataire afin de confirmer qu’il s’agit bien d’une initiative de sa part.
Par ailleurs, la dimension marketing de l’objet mis en ligne par le polémiste d’extrême droite commence à être mise en évidence. Notamment la coche que le signataire est invité à signer, et qui indique : « Je consens à ce que Philippe de Villiers communique mon adresse e-mail à la société Lagardère Media News afin qu’elle m’adresse des informations, offres, bons plans et avantages promotionnels pour les titres JDD et JDNews ».
On est ici plus proche de la campagne d’abonnements que de la requête initiale, consistant à réclamer un référendum sur l’immigration. D’autant que le site mis en ligne par Philippe de Villiers est situé 2 rue des Cévennes… Soit le siège de Lagardère Media News, sous contrôle de Vincent Bolloré.
« Une pseudo-pétition politique »
À gauche, certains commencent à dénoncer de cette manipulation politique. « Donc un groupe de presse qui touche de l’argent public est derrière une pseudo-pétition politique (sans aucune vérification des adresses par ailleurs) ? Et ça ne dérange personne ? À quand la fin de la collusion avec l’empire médiatique de l’extrême droite ? », dénonce Manuel Bompard, coordinateur national de la France insoumise.
D’autres, au contraire, soutiennent l’initiative. À l’image du RN, qui dit partager le combat mené par l’ex-eurodéputé, ou le chef des députés LR Laurent Wauquiez, qui a indiqué sur le réseau social X avoir signé la pétition. Peut-être que le député de Haute-Loire voulait seulement profiter des opérations promotionnelles du JDD…

 


Les frontières semblent se dissoudre au nom d’un multiculturalisme imposé, l’immigration massive émerge comme le problème du siècle pour les nations occidentales. En France, la pétition lancée par Philippe de Villiers sur referendum-immigration.com, qui a récolté plus d’1,5 million de signatures en quelques jours,

n’est pas un caprice souverainiste : c’est le cri d’un peuple las de voir son identité, son économie et sa sécurité érodés par une vague migratoire incontrôlée.

Ce n’est pas de la xénophobie, mais un ras-le-bol légitime face à une immigration subie, non choisie, qui pèse sur les épaules des populations autochtones. De l’Angleterre à l’Australie, en passant par l’Allemagne et les États-Unis, la tendance est claire : les citoyens en ont assez. Et pourtant, les élites minimisent, comme si ignorer la colère pouvait la faire disparaître. Cet article explore ce phénomène croissant, en s’appuyant sur des faits irréfutables, pour plaider en faveur d’une immigration choisie – comme le pratiquent déjà le Canada ou l’Australie et bien d’autres pays – plutôt que cette submersion migratoire qui menace drastiquement la cohésion sociale.

La France au bord du gouffre : quand le peuple réclame sa voix

En France, l’immigration n’est plus un sujet tabou ; c’est une urgence vitale. Avec un solde migratoire net estimé à plus de 300.000 personnes par an (chiffre très difficile à confirmer car, les statistiques sont volontairement trafiquées et/ou interdites), le pays voit ses villes se transformer, ses services publics saturés et ses quartiers gangrénés par une délinquance souvent liée à des flux incontrôlés. Les populations autochtones – ces Français de souche ou d’intégration ancienne – supportent le poids : hausse des loyers due à la pression démographique et indisponibilité des habitations à loyer modéré, concurrence sur l’emploi pour les classes moyennes et populaires, et une insécurité croissante. Selon des enquêtes récentes, près de 60 % des Français estiment que l’immigration est un danger pour l’identité nationale, un chiffre qui grimpe à 80 % chez les ouvriers et les ruraux.

La pétition de Philippe de Villiers, lancée le 14 septembre 2025, cristallise cette exaspération. Son manifeste dénonce une « mécanique infernale de l’effacement national » : accords de Schengen qui ont démantelé les frontières, aides sociales inconditionnelles attirant les flux, et une UE qui confisque la souveraineté en imposant des quotas.

« L’immigration est la question centrale qui commande toutes les autres », écrit Philippe De Villiers, évoquant une « submersion migratoire » qui menace le « peuplement » et l’ « art de vivre » français.

Avec plus d’1,5 million de signatures en quatre jours, cette initiative dépasse les clivages partisans : des Patriotes l’exhorte à plus d’ambition via un Frexit, et même des modérés y voient un appel à la démocratie directe.

Pourtant, les médias mainstream et le gouvernement minimisent : France Info doute de l’authenticité des signatures, les qualifiant d’ « emballement bien préparé » par le groupe Bolloré. C’est une tactique classique : discréditer le messager pour ignorer le message. Mais les chiffres parlent : les hôpitaux parisiens débordés par des patients sans couverture, les écoles où le français n’est plus la langue dominante, et une criminalité qui explose – avec 70 % des détenus étrangers pour un 10 % de la population. Les autochtones paient : impôts plus élevés pour financer l’accueil, quartiers invivables, et un sentiment d’aliénation culturelle. L’immigration subie n’enrichit pas ; elle appauvrit et divise.

L’Angleterre en ébullition : un million de voix étouffées par Londres

L’exemple le plus frappant vient d’outre-Manche, où une manifestation monstre a secoué Londres le 13 septembre 2025. Organisée par Tommy Robinson, figure de l’extrême droite britannique, elle a réuni entre 110.000 et 150.000 personnes selon Scotland Yard, bien que les organisateurs avancent le chiffre d’un million – un gonflement typique, mais qui reflète l’ampleur réelle du ras-le-bol. Sous des banderoles « Stop the Boats » et des drapeaux anglais, les manifestants ont défilé contre l’immigration illégale, scandant « We want our country back ». C’était un cri contre les traversées de la Manche : plus de 50.000 migrants en 2025, souvent via des passeurs, qui saturent les hôtels réquisitionnés et coûtent des milliards aux contribuables.

Le régime de Keir Starmer, au pouvoir depuis juillet 2024, minimise outrageusement : la manifestation est qualifiée de « rassemblement pour la liberté d’expression », comme si les slogans anti-migrants étaient un détail anodin. Neuf arrestations pour troubles, mais pas un mot sur les causes profondes – la pression sur le NHS (santé publique), les logements en pénurie, et une délinquance juvénile liée à des bandes issues de l’immigration.

Cette rage est alimentée par des scandales comme les grooming gangs pakistanais de Telford, Rotherham et Rochdale, où des milliers de jeunes filles ont été victimes de viols organisés depuis les années 1980, perpétrés par des gangs d’origine pakistanaise. Ces abus, couverts par le mutisme ou la complicité de la police, des services sociaux et de politiciens « carriéristes et lâches », ont été étouffés par peur d’accusations de racisme, renforçant le sentiment d’abandon des autochtones face à une immigration non intégrée. Les Anglais autochtones, ces classes populaires des Midlands et du Nord, en ont marre : « I don’t want to pay for them anymore », clame un manifestant dans un hôtel transformé en centre d’accueil. Les sondages montrent 65 % des Britanniques favorables à des restrictions drastiques, un chiffre qui explose chez les Blancs britanniques (80 %).

Cette manifestation n’est pas isolée : depuis juillet 2025, des émeutes anti-immigration secouent le pays, avec des hôtels incendiés et des affrontements. Starmer promet un « accord de retour » avec la France pour accélérer les expulsions, mais c’est faux – les traversées continuent, et les coûts explosent.

Comme en France, les élites londoniennes – élitistes, cosmopolites – vivent dans des bulles sécurisées, ignorant le quotidien des autochtones qui voient leurs communautés se déliter.

Minimiser cette colère, c’est la radicaliser : Tommy Robinson n’est pas un monstre ; il est le porte-voix d’un peuple trahi.

Une tendance mondiale : de l’Australie à l’Allemagne, le ras-le-bol des hôtes

Ce phénomène n’est pas franco-britannique ; il est global. Partout où l’immigration massive frappe, les populations autochtones se soulèvent contre une vague perçue comme violente et ingrate. En Allemagne, une résolution parlementaire de janvier 2025, soutenue par l’AfD (extrême droite), appelle à des restrictions draconiennes : quotas annuels, expulsion automatique des délinquants. Des milliers ont marché à Berlin en février contre ce « crackdown », mais les sondages montrent 55 % des Allemands favorables – un basculement post-2015, quand Merkel ouvrit les vannes à un million de réfugiés, suivi d’une explosion de la criminalité (agressions sexuelles à Cologne) et d’une pression sur les ZUS (quartiers sensibles).

Aux États-Unis, les « immigration-related demonstrations » en 2025 sont en hausse de 30 % : bien que 97 % soient pro-immigrants (selon un rapport de Princeton), les anti-immigration – comme les caravanes à la frontière texane – mobilisent des foules enragées contre les « sanctuary cities » submergées. Trump, réélu en 2024, promet un mur géant et des expulsions massives, porté par 70 % des Blancs ruraux qui voient l’immigration comme une « invasion ». En Australie, les boat people sont stoppés net depuis 2013, mais 2025 voit des manifestations contre les visas temporaires qui saturent Sydney : « No more boats, no more burdens », scandent les autochtones, las d’une délinquance importée.

 


 

En Italie, Giorgia Meloni expulse des milliers via des accords avec la Tunisie et la Libye, mais les arrivées via Lampedusa persistent – 150.000 en 2025. Les Italiens du Sud, autochtones appauvris, en ont assez : manifestations violentes contre les centres d’accueil qui « volent » les emplois agricoles. Même au Canada, bastion du multiculturalisme, les sondages de 2025 montrent 60 % des Canadiens pour geler l’immigration, face à une hausse des loyers de 20 % et une criminalité en hausse dans Toronto. Partout, la violence – émeutes, agressions – et l’ingratitude perçue (refus d’intégration, revendications immédiates) alimentent la colère. Les autochtones ne haïssent pas les migrants ; ils haïssent d’être forcés d’accueillir sans filtre, au détriment de leur bien-être.

La preuve ultime : les pays d’origine qui claquent la porte

La meilleure illustration de cette immigration toxique ? Les pays d’origine refusent de reprendre leurs ressortissants expulsés, transformant l’Europe en « bagne mondial ». L’UE, dans son Pacte sur la migration adopté en 2024 et renforcé en 2025, propose une liste de « pays sûrs » – Égypte, Tunisie, Bangladesh, Colombie, Inde, Kosovo, Maroc – pour accélérer les reconduites. Mais ces nations freinent des quatre fers : pas de documents, refus de charters, négociations interminables pour des aides européennes. En 2025, seulement 20 % des ordres d’expulsion sont exécutés, selon la Commission : le Maroc bloque les vols pour ses délinquants, la Tunisie conditionne les retours à des milliards d’euros, et l’Algérie renvoie les bateaux.

C’est l’ironie cruelle : ces migrants, souvent « ingrats » envers l’hôte européen (demandes d’asile frauduleuses, criminalité), sont vus comme un fardeau par leurs propres pays. Le Kosovo, listé « sûr », refuse 70 % des reconduites ; l’Inde exige des preuves irréfutables pour des fraudeurs. Résultat ? Les autochtones européens paient : prisons surpeuplées, coûts judiciaires exorbitants, et une impunité qui encourage les flux. C’est un piège géopolitique où l’Occident perd sur tous les tableaux.

Vers une immigration choisie : la seule voie de sauvegarde

Face à ce chaos, la solution est claire : passer d’une immigration subie à une immigration choisie. Comme au Canada avec son système à points (compétences, langue, intégration), ou en Australie (visas qualifiés, quotas stricts), la France et l’Europe doivent filtrer : priorité aux talents, aux familles unies légalement, et zéro tolérance pour la délinquance. Un référendum, comme celui réclamé par Philippe de Villiers, rendrait la parole au peuple – pas aux élites bruxelloises.

Les autochtones ne demandent pas la fermeture totale ; ils veulent le contrôle. Ignorer cela, comme Starmer à Londres ou Macron à Paris, c’est risquer l’implosion sociale.

L’immigration choisie enrichit ; la subie détruit. Il est temps que les nations reprennent leur destin en main, avant que la colère ne devienne révolution.

https://multipol360.com/la-petition-de-philippe-de-villiers-sur-limmigration-depasse-les-15-million-de-signatures/ 

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