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septembre 19, 2025

International - Trump au Royaume-Uni : Keir Starmer gagne sur la tech mais perd sur l’acier

Donald Trump a entamé mardi soir sa deuxième visite d’État au Royaume-Uni, une étape diplomatique hautement symbolique marquée par des annonces économiques contrastées. Invité par le roi Charles III sur une lettre remise en main propre par le Premier ministre Keir Starmer en mars dernier au Bureau ovale, le président américain a été accueilli avec faste à Windsor. Pourtant, l’ambiance reste tendue : le spectre de Jeffrey Epstein plane, avec des projections d’images du financier sur le château de Windsor lors de manifestations anti-Trump, tandis que Starmer affronte des revers politiques internes et des protestations populaires.

 


 

Malgré ces nuages, les premières annonces concrètes portent sur un partenariat technologique ambitieux. Le Royaume-Uni et les États-Unis ont signé le « Tech Prosperity Deal », un accord présenté comme un « virage générationnel » dans les relations bilatérales.

Selon Downing Street, cet accord mobilise plus de 31 milliards de livres d’investissements de géants américains de la tech, dont Microsoft, Nvidia, OpenAI, Google et Salesforce, principalement dans les infrastructures pour data centers et superordinateurs.

Keir Starmer a salué cette initiative comme « un pas décisif pour faire du Royaume-Uni un leader mondial de l’IA ». Des sources officielles évoquent même un engagement total atteignant 150 milliards de livres, créant potentiellement 7.600 emplois dans le secteur. Nvidia et OpenAI ont notamment annoncé des investissements massifs en IA et en calcul quantique, renforçant la position britannique dans un domaine où DeepMind – racheté par Google – reste un atout majeur.

Ce pacte, scellé lors d’une rencontre à Chequers, la résidence de campagne du Premier ministre, inclut aussi des collaborations en énergie nucléaire civile et en découverte de médicaments.

Lors d’une conférence de presse conjointe, Trump et Starmer ont mis en avant le renouveau de la « relation spéciale » entre les deux nations,

évitant toutefois les sujets épineux comme la reconnaissance d’un État palestinien ou les guerres en Ukraine et à Gaza. 
Cependant, sur le front commercial traditionnel, c’est un revers pour Londres. Le Royaume-Uni a dû renoncer à sa promesse d’avril – un 0 % de droits de douane américains sur sa sidérurgie, négocié en mai. Les pourparlers ont été gelés indéfiniment, laissant les tarifs douaniers à 25 % sur les importations d’acier et d’aluminium britanniques aux États-Unis. L’industrie sidérurgique britannique, déjà fragilisée, qualifie cette absence d’accord de « décevante », surtout à l’approche de la visite de Trump. Cette décision reflète la fermeté de l’administration Trump sur les questions commerciales, avec des annonces récentes doublant les tarifs sur l’acier pour la plupart des pays, y compris le Royaume-Uni.

 


 

Ces contrastes soulèvent des interrogations stratégiques. En choisissant d’aligner le Royaume-Uni sur l’écosystème américain de l’IA – via des investissements massifs et une coopération accrue –, Starmer semble opter pour une intégration transatlantique plutôt que pour la souveraineté européenne prônée par d’autres pays du continent, comme la France ou l’Allemagne, qui investissent dans des initiatives locales souvent critiquées pour leur manque de crédibilité. DeepMind, pilier britannique de l’IA, reste sous bannière américaine, renforçant cette orientation.

Reste à savoir si ces gains technologiques impliquent des concessions ailleurs. Le Royaume-Uni pourrait-il abandonner sa taxe sur les géants du numérique (GAFA) ou assouplir sa régulation sur la modération des contenus des réseaux sociaux, alignée sur les exigences de « liberté d’expression » défendues par la tech américaine ? Trump a déjà pressé Starmer d’utiliser l’armée contre la crise migratoire des petits bateaux, illustrant une influence directe.

Au final, cette visite illustre les priorités de Starmer : miser sur l’innovation pour relancer l’économie post-Brexit, au prix d’un alignement accru avec Washington. Tandis que Trump quitte les lieux en saluant un « succès », les défis persistent, entre tech florissante et acier en péril.

https://multipol360.com/trump-au-royaume-uni-keir-starmer-gagne-sur-la-tech-mais-perd-sur-lacier/ 

 


 

Donald Trump accueilli en grande pompe par Charles III, Camilla, Kate et William à Windsor

Donald Trump effectue sa seconde visite d'État au Royaume-Uni, accueilli par la famille royale au château de Windsor. L'événement, marqué par un protocole royal fastueux, se déroule à l'écart des manifestations prévues à Londres. 

Un Américain à Windsor. Le président des États-Unis, Donald Trump s'est présenté en milieu de journée au château de Windsor, où il a été accueilli par la famille royale pour sa seconde visite d'État, qui se déroule loin du public et des manifestations. À leur sortie de l'hélicoptère, le président et sa femme Melania ont été reçus par le prince William ainsi que son épouse Catherine, suivis du roi Charles III et de la reine Camilla, sous un ciel nuageux.

Pour l'occasion, la rue principale de Windsor a été décorée avec des drapeaux britanniques et américains. Dans cette cité située à environ 40 kilomètres à l'ouest de Londres, les autorités sont fortement représentées. La visite s'effectue à l'écart, sans interaction avec le public. Donald Trump n'est pas populaire au Royaume-Uni et des milliers de manifestants sont attendus dans le centre de Londres pour exprimer leur désaccord face à sa visite. 

Le rassemblement, convoqué par la coalition 'Stop Trump", a débuté à partir de 14h sous la supervision de plus de 1.600 agents de police.

Un accueil en grande pompe

Encadrée par un dispositif de sécurité exceptionnel, cette visite d'État de deux jours débute par un déploiement spectaculaire de faste royal, dont le dirigeant républicain est friand, et une cérémonie militaire d'une envergure sans précédent, impliquant 1.300 membres des forces armées britanniques.

Après une salve royale tirée du château et depuis la Tour de Londres, les trois couples ont participé à une procession en carrosse, mais toujours dans l'enceinte du domaine, et non dans les rues de la ville comme cela avait été le cas lors de la visite d'État du président français Emmanuel Macron en juillet.

"Cela va être un très grand jour", avait commenté M. Trump en arrivant au Royaume-Uni mardi soir. "Beaucoup de choses ici me réchauffent le cœur. (...) C'est un endroit très spécial", a-t-il aussi dit. Il s'est plusieurs fois félicité d'être le seul président américain à avoir deux fois les honneurs d'une visite d'État au Royaume-Uni. La première avait eu lieu en 2019.

Quel programme pour cette visite d'État ?

À Windsor, le président américain aura l'unique privilège de passer en revue une garde d'honneur comprenant exceptionnellement trois régiments de la Garde royale, accompagnée d'une fanfare, tambours et cornemuses dans la cour carrée du château. Après un déjeuner en privé avec la famille royale, le couple Trump déposera des fleurs sur la tombe de la reine Elizabeth II, décédée en septembre 2022, dans la chapelle St George.

Un défilé aérien, alliant de façon inédite des avions de combat F35 britanniques et américains, et la patrouille acrobatique des "Red Arrows", précèdera le traditionnel banquet royal avec quelque 150 invités.

https://www.rtl.fr/actu/international/diaporama-donald-trump-accueilli-par-la-famille-royale-britannique-a-windsor-pour-sa-visite-d-etat-7900542433 

 


 

Donald Trump à Londres : pourquoi le Royaume-Uni veut-il amadouer le président américain ?

Le président américain se rend à Londres pour une visite historique ce mardi 16 septembre 2025. Les enjeux sont importants notamment pour le Premier ministre britannique.

L'objectif de cette visite est d'amadouer Donald Trump. Cela ne va pas être facile. En effet, de nombreuses raisons peuvent entraver cette mission. D'abord le soutien de la Maison-Blanche à l'extrême droite britannique. Samedi 13 septembre 2025, quelques personnes ont par ailleurs été arrêtées pendant la manifestation contre l'immigration. Washington ne s'en est pas cachée : "Le président américain veut aborder le sujet de la liberté d'expression", a-t-elle fait savoir. 

Autre dossier sensible : l'éviction de l'ambassadeur britannique aux États-Unis. Peter Mandelson était un proche de Jeffrey Epstein, son meilleur ami, a reconnu l'ambassadeur. Ainsi, le Premier ministre britannique n'avait pas apprécié et l'avait donc viré. Une décision qui n'avait pas plu à Donald Trump qui s'entendait bien avec Epstein et ce diplomate, dont l'influence était tellement importante qu'on le surnommait le prince des ténèbres. 

Rajoutons à cela le fait que le Royaume-Uni a souhaité reconnaître l'État de Palestine et il y a d'ores et déjà trois potentiels sujets de discorde. Alors, on va suivre de près la conférence de presse commune de Donald Trump et Keir Starmer prévue ce jeudi 18 septembre 2025. 

Un accueil royal pour Donald Trump

D'ailleurs, le Premier ministre britannique a sa cote de popularité au plus bas. Il se murmure qu'il est en sursis. Nigel Farage, le partisan de Trump, dépasse désormais les 30% d'intention de vote au Royaume-Uni, loin devant les travaillistes de Keir Starmer et les conservateurs. Il va falloir que le Premier ministre britannique remporte cette épreuve américaine. 

Lors de cette visite, Londres et Washington devraient finaliser des droits de douane. Il y aura aussi un contrat important au sujet du nucléaire civil. Donald Trump va d'ailleurs amener avec lui une brochette de patrons.

Enfin, pour dompter le Président américain, un accueil royal lui sera réservé à Windsor avec un tour en calèche et un grand dîner dans la salle Saint-Georges. La première fois que Trump avait été reçu ainsi, en 2019, la reine Elizabeth l'avait trouvé malpoli.

https://www.rtl.fr/actu/international/donald-trump-a-londres-pourquoi-le-royaume-uni-veut-il-amadouer-le-president-americain-7900541919

 


Quatre arrestations après la projection de photos de Donald Trump avec Jeffrey Epstein sur le château de Windsor

Alors que Donald Trump est en visite d’État au Royaume-Uni, des militants ont projeté sur une tour du château de Windsor des images où on le voit prendre la pose aux côtés du criminel sexuel Jeffrey Epstein.

Des militants ont projeté mardi soir des images de Donald Trump et du criminel sexuel Jeffrey Epstein sur une tour du château de Windsor, où le président américain sera accueilli mercredi en visite d'État au Royaume-Uni, selon des images de l'AFP TV.

Parmi les images, des portraits de Jeffrey Epstein, mort en prison en 2019 avant son procès pour exploitation sexuelle, ou encore des images des deux hommes côte à côte. En dessous, la signature que la presse américaine attribue à Donald Trump et qui est au cœur d’une lettre d’anniversaire controversée à destination de Jeffrey Epstein.

Arrestations et gardes à vue

Derrière cette action, le groupe britannique Led by Donkeys («Dirigés par des ânes»). Le collectif, qui demande des comptes aux responsables politiques avec des campagnes souvent humoristiques, a réussi à diffuser pendant plusieurs minutes un montage vidéo sur l’une des tours de la résidence royale, située à l’ouest de Londres.

Dans la foulée, la police locale a annoncé dans un communiqué l’arrestation et le maintien en garde à vue de quatre personnes suspectées de «communications malveillantes». «Nous prenons toute activité non autorisée autour du château de Windsor extrêmement au sérieux», a déclaré Felicity Parker, une responsable de la Thames Valley Police citée dans le communiqué, assurant que les agents ont «rapidement stoppé la projection» avant d’arrêter les quatre suspects.

L’empoisonnante affaire Epstein

L'affaire du criminel sexuel américain Jeffrey Epstein empoisonne la présidence de Donald Trump depuis des semaines. Le dirigeant républicain a longtemps été un proche de ce financier, avant de rompre avec lui.

C'est aussi un sujet qui est venu hanter cette semaine le premier ministre britannique Keir Starmer, qui a limogé son ambassadeur à Washington, Peter Mandelson, après des révélations sur les liens étroits entre ce dernier et Jeffrey Epstein.

Avant même que l'avion Air Force One du président américain ne se pose sur le sol britannique, des dizaines de manifestants anti-Trump étaient rassemblés à Windsor mardi après-midi pour protester contre sa venue. Des militants pour le climat ont aussi interrompu un dîner organisé par l'organisation des républicains américains à l'étranger. Une activiste a accusé le président Trump d'entraîner le monde «sur la voie du fascisme et de l'effondrement climatique».

Mercredi, des milliers de manifestants ont prévu de protester à Londres contre cette visite d'État, la deuxième de Donald Trump au Royaume-Uni, pendant laquelle le dirigeant a prévu d'éviter la capitale et le public. Il restera confiné mercredi dans l'enceinte du château de Windsor où le couple présidentiel sera l'hôte du roi Charles III et de la reine Camilla, avant de rejoindre le premier ministre Keir Starmer jeudi pour une journée plus politique et économique dans sa résidence de campagne de Chequers, à 70 km de Londres.

https://www.lefigaro.fr/international/des-photos-de-donald-trump-avec-jeffrey-epstein-projetees-sur-le-chateau-de-windsor-20250917

 

 

 

 

septembre 18, 2025

À ce jour, la pétition de Philippe de Villiers sur l’immigration dépasse les 1,5 million de signatures

 

Cependant une pétition pour un référendum sur l'immigration, il faudrait l'effectuer sur une plateforme à audimat national, non spécieuse !
Nonobstant en donner la question qui sera posée au référendum !
 
 

 
Quelques slogans:
« Si demain je prends les rênes du pays, dès le matin je claque les frontières. Je n’ai besoin de personne pour ça, et peu importe l’impératrice Von der Leyen. Ma seule priorité, ce sont les Français ! »
"J’ai lancé cette pétition pour deux raisons :
- Le courrier abondant que j’ai reçu, toujours avec les mêmes mots : « On n’est plus chez nous », « Soyez notre porte-parole ».
-" La gravité de la situation : le peuple historique français sera, dans quelques décennies, minoritaire chez lui. On n’arrête plus les arrivées — 500 000 par an — et on est incapable d’expulser les OQTF (130 000 depuis un an). Un pays qui ne sait plus contrôler ses frontières meurt à petit feu : c’est une urgence vitale. Il faut passer par un acte de contournement de la société médiatique, qui pèsera dans le débat."
youtu.be/rW48HBRs5Gw Mise en ligne le week-end dernier, cette pétition nationale a déjà dépassé les 830.000 signataires ce dimanche. → https://l.lefigaro.fr/vIc Ce chiffre a été atteint plus vite que pour la pétition pour la loi Duplomb. Néanmoins, il est difficile à certifier. → https://l.lefigaro.fr/osy
 
 
 
Eh bien voilà, ce que malheureusement je subodorais :
La « pétition » de Philippe de Villiers sur l’immigration a encore plus de failles que ce qu’on pensait
Alors que le compteur de signatures enfle et agite l’extrême droite médiatique, de nombreuses étrangetés apparaissent.
Par Romain Herreros
Branle-bas de combat dans les médias de Vincent Bolloré. Ses têtes de gondole, Pascal Praud en tête, hurlent au scandale démocratique. La raison ? Le peu d’écho médiatique que rencontre la pétition mise en ligne par Philippe de Villiers réclamant un référendum sur l’immigration, et dont Le HuffPost avait déjà révélé les (multiples) défauts la semaine dernière.
À mesure que le compteur de signatures enfle sur la page d’accueil du site lancé par le fondateur du Puy de Fou (la barre du million est très largement franchie ce mardi à la mi-journée), de nombreuses bizarreries apparaissent au sujet de cet objet de marketing mediatico-politique.
Ce vendredi, Le HuffPost avait montré que l’on pouvait voter à plusieurs reprises, en entrant différentes adresses valides. Or, comme le souligne BFMTV ce mardi 16 septembre, il est même possible de signer virtuellement cette pétition via des adresses fictives (en changeant simplement une lettre dans son adresse), puisqu’il n’existe aucun système de vérification. Un boulevard pour ceux qui auraient l’idée de faire gonfler artificiellement le nombre de signataires, ou pour des puissances étrangères désireuses de parasiter notre débat public. D’autant qu’il existe des services de bots spécialement conçus pour ce genre de manipulation.
Soi-disant signée par… Mélenchon
Autre défaut souligné par nos confrères : le fait que l’on puisse vérifier si une personne a déjà signé (ou non) en entrant son adresse. Ce qui, au-delà du fait que cela pose un sérieux problème de confidentialité, donne lieu à des situations plus que loufoques. Comme celle repérée par un journaliste de L’Opinion, qui a montré sur le réseau social X qu’une adresse attribuée à… Jean-Luc Mélenchon avait apporté sa signature à la pétition. Ce qui illustre au passage que l’on peut signer la pétition pour d’autres, sans qu’ils soient au courant.
Ainsi, des internautes s’amusent à signer avec des noms farfelus, comme « Arnaque de Villiers », quand d’autres le font avec les adresses mails de personnalités de CNews. Un défaut majeur et surtout une hérésie pour les pétitions en lignes. À titre d’exemple, il est impossible de faire de telles manœuvres sur le site spécialisé Change.org : puisqu’un e-mail de vérification est envoyé au signataire afin de confirmer qu’il s’agit bien d’une initiative de sa part.
Par ailleurs, la dimension marketing de l’objet mis en ligne par le polémiste d’extrême droite commence à être mise en évidence. Notamment la coche que le signataire est invité à signer, et qui indique : « Je consens à ce que Philippe de Villiers communique mon adresse e-mail à la société Lagardère Media News afin qu’elle m’adresse des informations, offres, bons plans et avantages promotionnels pour les titres JDD et JDNews ».
On est ici plus proche de la campagne d’abonnements que de la requête initiale, consistant à réclamer un référendum sur l’immigration. D’autant que le site mis en ligne par Philippe de Villiers est situé 2 rue des Cévennes… Soit le siège de Lagardère Media News, sous contrôle de Vincent Bolloré.
« Une pseudo-pétition politique »
À gauche, certains commencent à dénoncer de cette manipulation politique. « Donc un groupe de presse qui touche de l’argent public est derrière une pseudo-pétition politique (sans aucune vérification des adresses par ailleurs) ? Et ça ne dérange personne ? À quand la fin de la collusion avec l’empire médiatique de l’extrême droite ? », dénonce Manuel Bompard, coordinateur national de la France insoumise.
D’autres, au contraire, soutiennent l’initiative. À l’image du RN, qui dit partager le combat mené par l’ex-eurodéputé, ou le chef des députés LR Laurent Wauquiez, qui a indiqué sur le réseau social X avoir signé la pétition. Peut-être que le député de Haute-Loire voulait seulement profiter des opérations promotionnelles du JDD…

 


Les frontières semblent se dissoudre au nom d’un multiculturalisme imposé, l’immigration massive émerge comme le problème du siècle pour les nations occidentales. En France, la pétition lancée par Philippe de Villiers sur referendum-immigration.com, qui a récolté plus d’1,5 million de signatures en quelques jours,

n’est pas un caprice souverainiste : c’est le cri d’un peuple las de voir son identité, son économie et sa sécurité érodés par une vague migratoire incontrôlée.

Ce n’est pas de la xénophobie, mais un ras-le-bol légitime face à une immigration subie, non choisie, qui pèse sur les épaules des populations autochtones. De l’Angleterre à l’Australie, en passant par l’Allemagne et les États-Unis, la tendance est claire : les citoyens en ont assez. Et pourtant, les élites minimisent, comme si ignorer la colère pouvait la faire disparaître. Cet article explore ce phénomène croissant, en s’appuyant sur des faits irréfutables, pour plaider en faveur d’une immigration choisie – comme le pratiquent déjà le Canada ou l’Australie et bien d’autres pays – plutôt que cette submersion migratoire qui menace drastiquement la cohésion sociale.

La France au bord du gouffre : quand le peuple réclame sa voix

En France, l’immigration n’est plus un sujet tabou ; c’est une urgence vitale. Avec un solde migratoire net estimé à plus de 300.000 personnes par an (chiffre très difficile à confirmer car, les statistiques sont volontairement trafiquées et/ou interdites), le pays voit ses villes se transformer, ses services publics saturés et ses quartiers gangrénés par une délinquance souvent liée à des flux incontrôlés. Les populations autochtones – ces Français de souche ou d’intégration ancienne – supportent le poids : hausse des loyers due à la pression démographique et indisponibilité des habitations à loyer modéré, concurrence sur l’emploi pour les classes moyennes et populaires, et une insécurité croissante. Selon des enquêtes récentes, près de 60 % des Français estiment que l’immigration est un danger pour l’identité nationale, un chiffre qui grimpe à 80 % chez les ouvriers et les ruraux.

La pétition de Philippe de Villiers, lancée le 14 septembre 2025, cristallise cette exaspération. Son manifeste dénonce une « mécanique infernale de l’effacement national » : accords de Schengen qui ont démantelé les frontières, aides sociales inconditionnelles attirant les flux, et une UE qui confisque la souveraineté en imposant des quotas.

« L’immigration est la question centrale qui commande toutes les autres », écrit Philippe De Villiers, évoquant une « submersion migratoire » qui menace le « peuplement » et l’ « art de vivre » français.

Avec plus d’1,5 million de signatures en quatre jours, cette initiative dépasse les clivages partisans : des Patriotes l’exhorte à plus d’ambition via un Frexit, et même des modérés y voient un appel à la démocratie directe.

Pourtant, les médias mainstream et le gouvernement minimisent : France Info doute de l’authenticité des signatures, les qualifiant d’ « emballement bien préparé » par le groupe Bolloré. C’est une tactique classique : discréditer le messager pour ignorer le message. Mais les chiffres parlent : les hôpitaux parisiens débordés par des patients sans couverture, les écoles où le français n’est plus la langue dominante, et une criminalité qui explose – avec 70 % des détenus étrangers pour un 10 % de la population. Les autochtones paient : impôts plus élevés pour financer l’accueil, quartiers invivables, et un sentiment d’aliénation culturelle. L’immigration subie n’enrichit pas ; elle appauvrit et divise.

L’Angleterre en ébullition : un million de voix étouffées par Londres

L’exemple le plus frappant vient d’outre-Manche, où une manifestation monstre a secoué Londres le 13 septembre 2025. Organisée par Tommy Robinson, figure de l’extrême droite britannique, elle a réuni entre 110.000 et 150.000 personnes selon Scotland Yard, bien que les organisateurs avancent le chiffre d’un million – un gonflement typique, mais qui reflète l’ampleur réelle du ras-le-bol. Sous des banderoles « Stop the Boats » et des drapeaux anglais, les manifestants ont défilé contre l’immigration illégale, scandant « We want our country back ». C’était un cri contre les traversées de la Manche : plus de 50.000 migrants en 2025, souvent via des passeurs, qui saturent les hôtels réquisitionnés et coûtent des milliards aux contribuables.

Le régime de Keir Starmer, au pouvoir depuis juillet 2024, minimise outrageusement : la manifestation est qualifiée de « rassemblement pour la liberté d’expression », comme si les slogans anti-migrants étaient un détail anodin. Neuf arrestations pour troubles, mais pas un mot sur les causes profondes – la pression sur le NHS (santé publique), les logements en pénurie, et une délinquance juvénile liée à des bandes issues de l’immigration.

Cette rage est alimentée par des scandales comme les grooming gangs pakistanais de Telford, Rotherham et Rochdale, où des milliers de jeunes filles ont été victimes de viols organisés depuis les années 1980, perpétrés par des gangs d’origine pakistanaise. Ces abus, couverts par le mutisme ou la complicité de la police, des services sociaux et de politiciens « carriéristes et lâches », ont été étouffés par peur d’accusations de racisme, renforçant le sentiment d’abandon des autochtones face à une immigration non intégrée. Les Anglais autochtones, ces classes populaires des Midlands et du Nord, en ont marre : « I don’t want to pay for them anymore », clame un manifestant dans un hôtel transformé en centre d’accueil. Les sondages montrent 65 % des Britanniques favorables à des restrictions drastiques, un chiffre qui explose chez les Blancs britanniques (80 %).

Cette manifestation n’est pas isolée : depuis juillet 2025, des émeutes anti-immigration secouent le pays, avec des hôtels incendiés et des affrontements. Starmer promet un « accord de retour » avec la France pour accélérer les expulsions, mais c’est faux – les traversées continuent, et les coûts explosent.

Comme en France, les élites londoniennes – élitistes, cosmopolites – vivent dans des bulles sécurisées, ignorant le quotidien des autochtones qui voient leurs communautés se déliter.

Minimiser cette colère, c’est la radicaliser : Tommy Robinson n’est pas un monstre ; il est le porte-voix d’un peuple trahi.

Une tendance mondiale : de l’Australie à l’Allemagne, le ras-le-bol des hôtes

Ce phénomène n’est pas franco-britannique ; il est global. Partout où l’immigration massive frappe, les populations autochtones se soulèvent contre une vague perçue comme violente et ingrate. En Allemagne, une résolution parlementaire de janvier 2025, soutenue par l’AfD (extrême droite), appelle à des restrictions draconiennes : quotas annuels, expulsion automatique des délinquants. Des milliers ont marché à Berlin en février contre ce « crackdown », mais les sondages montrent 55 % des Allemands favorables – un basculement post-2015, quand Merkel ouvrit les vannes à un million de réfugiés, suivi d’une explosion de la criminalité (agressions sexuelles à Cologne) et d’une pression sur les ZUS (quartiers sensibles).

Aux États-Unis, les « immigration-related demonstrations » en 2025 sont en hausse de 30 % : bien que 97 % soient pro-immigrants (selon un rapport de Princeton), les anti-immigration – comme les caravanes à la frontière texane – mobilisent des foules enragées contre les « sanctuary cities » submergées. Trump, réélu en 2024, promet un mur géant et des expulsions massives, porté par 70 % des Blancs ruraux qui voient l’immigration comme une « invasion ». En Australie, les boat people sont stoppés net depuis 2013, mais 2025 voit des manifestations contre les visas temporaires qui saturent Sydney : « No more boats, no more burdens », scandent les autochtones, las d’une délinquance importée.

 


 

En Italie, Giorgia Meloni expulse des milliers via des accords avec la Tunisie et la Libye, mais les arrivées via Lampedusa persistent – 150.000 en 2025. Les Italiens du Sud, autochtones appauvris, en ont assez : manifestations violentes contre les centres d’accueil qui « volent » les emplois agricoles. Même au Canada, bastion du multiculturalisme, les sondages de 2025 montrent 60 % des Canadiens pour geler l’immigration, face à une hausse des loyers de 20 % et une criminalité en hausse dans Toronto. Partout, la violence – émeutes, agressions – et l’ingratitude perçue (refus d’intégration, revendications immédiates) alimentent la colère. Les autochtones ne haïssent pas les migrants ; ils haïssent d’être forcés d’accueillir sans filtre, au détriment de leur bien-être.

La preuve ultime : les pays d’origine qui claquent la porte

La meilleure illustration de cette immigration toxique ? Les pays d’origine refusent de reprendre leurs ressortissants expulsés, transformant l’Europe en « bagne mondial ». L’UE, dans son Pacte sur la migration adopté en 2024 et renforcé en 2025, propose une liste de « pays sûrs » – Égypte, Tunisie, Bangladesh, Colombie, Inde, Kosovo, Maroc – pour accélérer les reconduites. Mais ces nations freinent des quatre fers : pas de documents, refus de charters, négociations interminables pour des aides européennes. En 2025, seulement 20 % des ordres d’expulsion sont exécutés, selon la Commission : le Maroc bloque les vols pour ses délinquants, la Tunisie conditionne les retours à des milliards d’euros, et l’Algérie renvoie les bateaux.

C’est l’ironie cruelle : ces migrants, souvent « ingrats » envers l’hôte européen (demandes d’asile frauduleuses, criminalité), sont vus comme un fardeau par leurs propres pays. Le Kosovo, listé « sûr », refuse 70 % des reconduites ; l’Inde exige des preuves irréfutables pour des fraudeurs. Résultat ? Les autochtones européens paient : prisons surpeuplées, coûts judiciaires exorbitants, et une impunité qui encourage les flux. C’est un piège géopolitique où l’Occident perd sur tous les tableaux.

Vers une immigration choisie : la seule voie de sauvegarde

Face à ce chaos, la solution est claire : passer d’une immigration subie à une immigration choisie. Comme au Canada avec son système à points (compétences, langue, intégration), ou en Australie (visas qualifiés, quotas stricts), la France et l’Europe doivent filtrer : priorité aux talents, aux familles unies légalement, et zéro tolérance pour la délinquance. Un référendum, comme celui réclamé par Philippe de Villiers, rendrait la parole au peuple – pas aux élites bruxelloises.

Les autochtones ne demandent pas la fermeture totale ; ils veulent le contrôle. Ignorer cela, comme Starmer à Londres ou Macron à Paris, c’est risquer l’implosion sociale.

L’immigration choisie enrichit ; la subie détruit. Il est temps que les nations reprennent leur destin en main, avant que la colère ne devienne révolution.

https://multipol360.com/la-petition-de-philippe-de-villiers-sur-limmigration-depasse-les-15-million-de-signatures/ 

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septembre 07, 2025

Un monde bipolaire, où se situe la réalité quand bien même vous êtes en pleine guerre de la transparence ( de la désinformation)

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Les illusions européennes sur les garanties de sécurité en Ukraine : un mirage menant à la guerre mondiale !
Dans un monde au bord du gouffre, où la guerre en Ukraine menace d’embraser la planète entière, des dirigeants européens osent promettre des « garanties de sécurité » à Kiev, impliquant un soutien militaire massif et des déploiements de troupes qui pourraient déclencher une troisième guerre mondiale ! Cette soi-disant coalition de « volontaires » – une trentaine de pays, principalement européens – n’est qu’une façade pour une escalade suicidaire, ignorant les avertissements apocalyptiques d’un conflit nucléaire avec la Russie. Les populations, terrorisées par l’idée d’un cataclysme global, rejettent cette folie, mais les élites persistent, prêtes à sacrifier des millions pour leurs ambitions démesurées. Volodymyr Zelensky se rendra à Paris jeudi pour une réunion de la Coalition des volontaires à l’Élysée, coprésidée par Emmanuel Macron et Keir Starmer, avec participation partielle en visioconférence. L’événement vise à discuter des garanties de sécurité pour l’Ukraine et analyser le prétendu refus russe de la paix, sans participation de Donald Trump. 
 

 
 Le rejet massif des Français : macron sans légitimité pour nous entraîner dans l’abîme !
Les Français hurlent leur refus catégorique d’être jetés dans les flammes de cette guerre infernale ou tout autre savamment orchestrée par une oligarchie mortifère ! Des sondages alarmants révèlent que plus de 60 % des citoyens s’opposent à tout envoi de troupes, préférant la diplomatie à la boucherie Emmanuel Macron, ce président affaibli par des élections marquées par l’abstention et les multiples crises sociales, n’a aucune légitimité pour nous condamner à l’apocalypse !
Son mandat, entaché par les Gilets jaunes https://multipol360.com/retour-sur-les-gilets-jaunes-un.../ et une popularité en chute libre, le rend inapte à décider de notre survie. Pourtant, il ose co-diriger cette dérive belliciste, risquant la vie de dizaines de milliers – voire des millions – de Français dans un holocauste nucléaire !
 

 
 Von der Leyen, la dirigeante discréditée : scandales et ambitions cachées pour une armée personnelle !
Ursula von der Leyen, cette figure non élue, parachutée à la tête de la Commission européenne après un mandat allemand miné par les scandales, incarne l’illégitimité absolue ! Accusée de copinage et de malversations dans des contrats de consultants valant des millions d’euros, elle a fait l’objet d’enquêtes pour népotisme et effacement illégal de données. Mais ce n’est pas tout : le scandale « Pfizergate » révèle ses négociations secrètes par SMS avec le PDG de Pfizer pour des contrats de vaccins Covid de 35 milliards d’euros, refusant la transparence et perdant en justice face à des demandes d’accès aux messages ! Virée de l’Allemagne pour incompétence et corruption, elle et ses vassaux complotent maintenant pour se constituer une armée privée, une garde prétorienne assoiffée de pouvoir ! 
L’Eurogendfor, https://eurogendfor.org/ cette force de gendarmerie européenne avec statut militaire, capable de missions policières en gestion de crise et de déploiement rapide (quoi de mieux que des italiens pour taper sur des français ou des allemands -et vice versa-) , ne leur suffit plus – ils veulent plus de sang, un prétexte pour écraser toute opposition et désigner des boucs émissaires ! Comment une telle imposture peut-elle dicter notre destin vers l’annihilation ?
Von der Leyen prépare d’ailleurs une grand-messe satanique https://x.com/vonderleyen/status/1962782763351781631 le 10 septembre 2025 à Strasbourg, son discours sur l’état de l’Union européenne, où elle exposera sa vision et initiatives pour l’année, coïncidant comme par hasard avec une journée de manifestations massives en France. Pour nous, tous les parlementaires français qui se rendront à cette mascarade et apporteront leur soutien à la disparition de la Nation française seront considérés comme des collabos et tenus responsables du chaos qui s’ensuivra.
 

 
 Les motivations sinistres : un « reset » pour effacer les incompétences et malversations, du covid à aujourd’hui !
Derrière cette posture « sécuritaire », se cache un plan machiavélique : appuyer sur le bouton « reset » pour blanchir toutes leurs incompétences et malversations accumulées ! Von der Leyen et ses acolytes, englués dans les scandales Covid – comme ces contrats opaques avec Pfizer qui ont coûté des fortunes aux contribuables européens – cherchent à détourner l’attention par une guerre totale.
Ils ont dilapidé des milliards en vaccins inutiles, favorisé le capitalisme de connivence, et maintenant, face à l’effondrement économique, ils précipitent l’Europe vers le chaos pour effacer leurs crimes !
Cette escalade n’est pas pour l’Ukraine, mais pour sauver leur peau, en sacrifiant des nations entières sur l’autel de leur hubris !
 

 
 La guerre civile qui gronde en Europe : contre les élites incompétentes et corrompues !
Partout en Europe, la guerre civile bouillonne, prête à exploser contre ces élites déconnectées, incompétentes et corrompues qui ont plongé des millions dans la misère !
Un ex-commandant de police lançait récemment un appel solennel https://multipol360.com/face-au-chaos-qui-sen-vient-un.../ à ses collègues, les alertant sur le chaos imminent qui s’annonce, avec une société au bord de l’effondrement où les forces de l’ordre pourraient être forcées de choisir entre réprimer le peuple ou se joindre à la révolte contre un système défaillant.
Des protestations massives des paysans contre les politiques à géométrie variable de neutralité carbone – ces mesures environnementales imposant des restrictions draconiennes sur les engrais, les pesticides et les émissions agricoles pour atteindre zéro émission nette d’ici 2050 – et les importations déloyales secouent la France, l’Allemagne, l’Espagne et au-delà, rappelant les Gilets jaunes. Mais ce n’est que la partie visible de l’iceberg : la France subit une paupérisation vertigineuse, avec une augmentation maîtrisée en apparence de la pauvreté monétaire, mais une réalité bien plus sombre où les budgets des ménages modestes sont de plus en plus contraints, menant à des privations matérielles massives et un sentiment croissant de déclassement social. Ajoutez à cela l’intenable flambée du coût de la vie, https://multipol360.com/lintenable-flambee-du-cout-de-la.../ avec une inflation galopante qui rend les dépenses quotidiennes insurmontables, poussant la situation au bord de l’implosion sociale – une bombe à retardement où les inégalités explosives pourraient déclencher une insurrection générale ! Ces mouvements de colère populaire, alimentés par la hausse du coût la de vie, l’injustice fiscale et une dépendance accrue aux aides sociales depuis la crise de 2008, menacent de dégénérer en chaos total. Les dirigeants, paniqués par cette révolte contre leur incompétence, voient dans la guerre en Ukraine un prétexte idéal pour réprimer et unifier par la peur – mais c’est l’étincelle qui pourrait tout faire sauter ! Le 10 septembre 2025 marque une mobilisation nationale en France avec blocages, grèves et manifestations contre le budget, les salaires bas, les pertes de libertés et le gouvernement, impliquant les syndicats et collectifs citoyens, potentiellement paralysant Paris et d’autres régions.
 

 
 La dilapidation des ressources : argent français jeté à Zelenski, le corrompu rejeté par son peuple !
Pendant que les Français peinent à boucler les fins de mois, avec une dette nationale à 114 % du PIB, un déficit de 5,8 % et une croissance anémique de 0,6 % en 2025, ces élites dilapident des milliards vers Volodymyr Zelensky, ce dirigeant corrompu qui ne fait même plus recette https://multipol360.com/lintenable-flambee-du-cout-de-la.../ auprès de son propre peuple ! Accusé de limiter l’indépendance des agences anti-corruption, impliqué dans des schémas de corruption dans la défense, sa popularité a chuté à 58 %, avec des sondages montrant une désapprobation croissante due à la corruption systémique. Pourquoi financer un régime en déliquescence alors que nos familles souffrent de la stagnation économique et de l’inflation galopante ?
 
L’urgence absolue : destituer macron ou risquer l’apocalypse nucléaire – l’heure est à la révolte !
L’heure est plus que grave : c’est l’ultimatum pour la survie de l’humanité ! Voter la destitution de Macron https://petitions.assemblee-nationale.fr/initia.../i-2743... s’impose comme un acte de résistance vitale pour stopper cette marche vers l’abîme. Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard : la paix doit triompher, ou nous périrons tous dans les flammes d’une guerre mondiale orchestrée par des tyrans discrédités !

 

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