A - Les déclarations belliqueuses du général Schill : Français, ne tombez pas dans le piège !
B - Le sabotage de Nord Stream : une nouvelle preuve de la russophobie obsessionnelle de l’occident
C - La nouvelle farce du covid-19 : le variant « Frankenstein », une opération psychologique pour répandre la peur
A - Les déclarations belliqueuses du général Schill : Français, ne tombez pas dans le piège !
Dans une vidéo diffusée sur le journal en continu de LCI, animée par
Arthur Kenigsberg, fondateur du Cercle de l’Europe, un commentaire
alarmant met en lumière les déclarations récentes du général Pierre
Schill, chef d’état-major de l’armée de Terre française. Le segment,
intitulé « Face à Moscou, être prêts dès ce soir ? », analyse les
propos du général qui insiste sur la nécessité pour l’armée française
d’être « prête dès ce soir » à un conflit de haute intensité. Le
commentateur souligne que ces opérations de communication de l’armée
française visent à préparer les esprits à une « potentielle
confrontation directe avec la Fédération de Russie », non pas sur le
sol français, mais par exemple en Estonie, où 500 soldats français sont
stationnés dans le cadre de missions de réassurance de l’OTAN. En cas
d’agression russe sur l’Estonie, comme une prise de la région de Narva,
cela déclencherait l’article 5 de l’OTAN et l’article 42-7 de l’Union européenne, obligeant tous les États membres à porter assistance par « tous les moyens militaires ».
Chers
Français, cette vidéo doit nous servir de cri d’alarme : ne nous
laissons pas entraîner dans une spirale belliqueuse qui mènerait à une
guerre mondiale, une catastrophe perdue d’avance pour l’humanité
entière. La France n’a absolument aucun intérêt dans ce conflit
artificiel, qui ne sert que les agendas géopolitiques d’une élite
déconnectée de la réalité quotidienne de nos concitoyens.
Les propos du général Schill : une propagande qui rappelle les erreurs du passé
Le
25 septembre 2025, lors d’une conférence, le général Schill a martelé
l’urgence pour l’armée française de se préparer à des guerres de haute
intensité, en tirant les leçons du conflit en Ukraine sur l’usage des
drones et la létalité accrue des armes modernes. Il a insisté sur la
« dissuasion » face à la Russie, affirmant que la France doit être prête
à défendre les alliés de l’OTAN sans viser un conflit direct. Pourtant,
ces déclarations s’inscrivent dans un contexte de déploiement croissant
: depuis 2017, la France maintient des troupes en Estonie dans le cadre
de la présence avancée renforcée de l’OTAN, suite à l’annexion de la
Crimée par la Russie en 2014, avec environ 500 soldats en rotation
actuellement. Le 1er octobre 2025, des exercices à tirs réels impliquant
des hélicoptères français ont eu lieu dans le nord de l’Estonie,
renforçant les tensions régionales au milieu d’incidents comme les
violations d’espace aérien russe sur les États baltes, condamnées par
l’OTAN le 23 septembre 2025.
Ces
manœuvres, présentées comme défensives, alimentent une propagande
guerrière exagérée qui rappelle dangereusement les prémices de la
Première Guerre mondiale.
Souvenons-nous : en 1914,
une rhétorique belliqueuse et des alliances automatiques ont entraîné
l’Europe dans un conflit mondial, causant environ 20 millions de morts,
dont 1,4 million de Français tombés au front.
Tout
a commencé, comme aujourd’hui, par des discours alarmistes et une
escalade incontrôlée, transformant une crise locale en apocalypse.
Français, ne répétons pas cette folie !
Nous devons exiger la raison et la diplomatie, plutôt que de nous
laisser manipuler par une narrative qui exagère la menace russe pour
justifier un réarmement massif.
La russophobie structurelle de l’UE et de la France : un héritage qui menace notre avenir
Cette
posture s’ancre dans une russophobie endémique en Occident,
particulièrement au sein de l’Union européenne et de la France, où la
Russie est systématiquement dépeinte comme un agresseur barbare menaçant
l’ordre libéral. Cette peur irrationnelle, héritée des rivalités
impériales du XIXe siècle, est exacerbée aujourd’hui par des leaders
comme Emmanuel Macron, qui, lors du sommet européen à Copenhague le 1er octobre 2025, a affirmé : « Nous sommes dans une confrontation avec la Russie »,
insistant sur l’absence de faiblesse face à cette menace. Il a mis en
avant les efforts de l’UE pour renforcer ses capacités en drones face
aux incursions russes, et lié un « bateau fantôme » russe près de
Saint-Nazaire à des tentatives de contournement des sanctions et
d’intimidation. L’article 42-7 du traité sur l’UE oblige les États
membres à assister militairement un allié attaqué, complétant la clause
de défense collective de l’OTAN, et sert de prétexte à une escalade
permanente. Le général Schill pousse pour une transformation de l’armée
d’ici 2027, avec des innovations et des améliorations de matériels pour
maintenir la « crédibilité » face aux menaces évolutives – un euphémisme
pour désigner la Russie. Mais, chers compatriotes, derrière ces discours, se cache un bellicisme qui nous met en danger.
La Russie, avec une superficie d’environ 17 millions de km² – soit plus de quatre fois celle de l’Union européenne (environ 4,2 millions de km²) – n’a nul besoin d’expansion territoriale.
Elle
cherche avant tout à assurer sa sécurité, celle de son peuple et de sa
diaspora, face à l’expansion de l’OTAN à ses frontières. Imaginons
l’inverse : que se passerait-il si la Russie installait des missiles
nucléaires au Mexique ou au Venezuela ? Les États-Unis réagiraient avec
fureur, comme lors de la crise des missiles de Cuba en 1962, qui a
failli déclencher une guerre nucléaire. Pourquoi refusons-nous de
comprendre cette légitime préoccupation russe ?
Le bellicisme français : une obsession qui nous coûte cher sans aucun bénéfice
La
France incarne ce bellicisme avec un enthousiasme particulier et ce,
pour cacher la totale médiocrité des gouvernements successifs. Sous
Macron, Paris a adopté une rhétorique agressive, envisageant l’envoi de
troupes en Ukraine et armant Kiev à outrance, tout en ignorant les
appels russes à la négociation. Ces déclarations de Schill ne sont pas
isolées ; elles font écho à une stratégie nationale qui voit dans la
Russie un ennemi existentiel, justifiant des budgets militaires gonflés
au profit des industries d’armement. En 2024, la France a enregistré
21,6 milliards d’euros de commandes d’exportations d’armements, le
deuxième meilleur bilan historique, avec un total d’ordres (domestiques
et exports) atteignant près de 40 milliards d’euros. Le budget de
défense français est prévu pour doubler d’ici 2027, atteignant 64
milliards d’euros, trois ans en avance, avec un soutien de 3,08
milliards d’euros en équipements à l’Ukraine depuis 2022, épuisant 25-40
% des stocks français. L’UE, quant à elle, sous l’impulsion de figures
comme Ursula von der Leyen, impose des sanctions draconiennes et pousse
pour une militarisation accrue, transformant le continent en une
« forteresse » anti-russe.
Français,
quel intérêt avons-nous dans cette folie ? Aucun ! Ce conflit nous
appauvrit, divise notre société et nous expose à des risques
incalculables, sans aucun gain pour notre souveraineté ou notre
prospérité.
Perspectives critiques : une escalade inutile et dangereuse qui doit être stoppée
Des
voix dissidentes remettent en question cette narrative, accusant
l’Occident de fabriquer une menace pour justifier son impérialisme. La
Russie, de son côté, dénonce ces déploiements comme des provocations,
soulignant que l’expansion de l’OTAN vers l’Est viole les promesses post-Guerre froide (télécharger l’archive
déclassifiée). L’opacité démocratique est criante : le rapport sur les
exportations d’armements manque de détails sur les contrats, et les
initiatives pour un débat parlementaire sur les engagements en Ukraine
sont bloquées, potentiellement violant les articles 35 et 53 de la
Constitution française. En fin de compte, ces préparatifs militaires
ne font qu’accroître les risques d’un conflit majeur, où l’Europe
servirait de champ de bataille pour des intérêts géopolitiques
étrangers. Chers Français, c’est un appel à la raison : refusons
cette escalade qui nous mènerait à une guerre mondiale perdue pour tous,
comme en 1914-1918.
Des documents déclassifiés révèlent des garanties de sécurité contre
lexpansion de OTAN données aux dirigeants soviétiques par Baker Bush
Genscher Kohl Gates Mitterrand Thatcher Hurd Major et Woerner
L’urgence de choisir la paix et la diplomatie
Les
déclarations du général Schill révèlent le vrai visage d’un Occident
belliqueux, obsédé par une guerre avec la Russie au nom d’une
russophobie séculaire. Tant que la France et l’UE persisteront dans
cette voie destructrice, ignorant les voies diplomatiques, le spectre
d’une catastrophe planétaire plane. Français, mobilisons-nous pour la
paix !
Exigeons des
négociations sincères, respectons les préoccupations sécuritaires
légitimes de la Russie, et refusons de sacrifier notre avenir sur
l’autel d’une propagande guerrière.
Il est temps de démasquer ces motivations et d’œuvrer pour une paix véritable, avant qu’il ne soit trop tard.
B - Le sabotage de Nord Stream : une nouvelle preuve de la russophobie obsessionnelle de l’occident
L’arrestation d’un suspect ukrainien : un nouvel épisode dans la saga géopolitique
Dans un énième épisode de la saga géopolitique qui oppose l’Occident à la Russie, les autorités polonaises ont annoncé l’arrestation d’un citoyen ukrainien,
Volodymyr Z (sa véritable identité n’ayant pas encore totalement été
divulguée), suspecté d’avoir participé au sabotage des gazoducs Nord
Stream 1 et 2 en septembre 2022. Cette interpellation, survenue le 30
septembre 2025 près de Varsovie, fait suite à un mandat d’arrêt européen
émis par l’Allemagne en juin 2024. L’homme, un instructeur de plongée,
est accusé d’avoir fait partie d’un commando ukrainien – cinq hommes et
une femme – qui aurait posé des explosifs sous-marins au large de l’île
danoise de Bornholm, provoquant quatre fuites massives de gaz dans la
mer Baltique.
Ce développement, loin d’apaiser les
tensions, ne fait que souligner l’hypocrisie et le bellicisme rampant de
l’Occident, en particulier de l’Union européenne et de la France, qui
semblent déterminés à entretenir un conflit avec la Russie à tout prix.
Rappel des faits : les explosions et les accusations initiales
Rappelons les faits : les explosions du 26 septembre 2022 ont
endommagé gravement ces pipelines vitaux reliant la Russie à
l’Allemagne, interrompant définitivement l’approvisionnement en gaz
russe vers l’Europe. À l’époque, de nombreuses voix occidentales, y
compris dans les médias français et européens, ont immédiatement pointé
du doigt Moscou, accusant le Kremlin d’un « auto-sabotage » pour punir
l’Europe de son soutien à l’Ukraine. Cette narrative, imprégnée
d’une russophobie viscérale, ignorait commodément les motivations
évidentes d’autres acteurs : l’Ukraine, soutenue par l’OTAN, avait tout
intérêt à couper cette artère énergétique pour isoler la Russie
économiquement et forcer l’Europe à se tourner vers des alternatives
plus coûteuses, comme le gaz américain liquéfié. Aujourd’hui, avec
l’arrestation de Volodymyr Z, l’enquête allemande – la seule encore
active après que la Suède et le Danemark aient clos les leurs en 2024 –
confirme un « piste ukrainienne », impliquant un groupe opérant depuis
un yacht loué avec de faux documents. Pourtant, plutôt que de
questionner le rôle de Kiev dans cet acte de terrorisme industriel,
l’Occident persiste à en faire un outil pour alimenter son hostilité
envers la Russie.
La russophobie endémique en Europe : une peur historique et culturelle
Cette affaire illustre parfaitement la « russophobie » endémique qui
gangrène l’Europe depuis des siècles, une peur irrationnelle et un
mépris culturel envers la Russie, perçue comme une menace existentielle à
l’ordre libéral occidental. Des historiens soulignent que ces
sentiments anti-russes remontent au XVIIIe siècle, exacerbés par des
puissances comme la Grande-Bretagne et la France, qui ont toujours vu en
Moscou un rival à abattre pour maintenir leur hégémonie. Seul, le
Général de Gaulle, grand visionnaire, y voyait une sérieuse piste de
développement extérieure aux États-Unis. Aujourd’hui, cette phobie
se manifeste par un bellicisme effréné : l’UE, sous l’impulsion de
leaders comme Ursula von der Leyen, multiplie les sanctions contre la
Russie, arme l’Ukraine à outrance et pousse pour une escalade militaire,
au risque d’un conflit direct avec une puissance nucléaire (Montant de l’aide à l’Ukraine payée par les contribuables européens estimée à 167,4milliards d’euros en juillet 2025).
La Pologne, fidèle à sa tradition russophobe, a même envisagé
d’accorder l’asile à Volodymyr Z avant de l’arrêter, qualifiant
implicitement l’acte de sabotage comme un « héroïsme » contre Moscou.
Le rôle belliqueux de la France : un zèle pathologique
La France, en particulier, incarne ce bellicisme occidental avec
un zèle presque pathologique. Emmanuel Macron, qui n’hésite pas à
brandir la rhétorique de la « guerre totale » contre la Russie, a
multiplié les déclarations belliqueuses, appelant à un soutien
inconditionnel à l’Ukraine et envisageant même l’envoi de troupes
françaises sur le terrain. Paris, aligné sur Washington, voit dans le
conflit ukrainien une opportunité de relancer son influence en Europe,
au prix d’une provocation constante envers la Russie. N’oublions pas que
la France a été l’un des plus fervents opposants à Nord Stream 2, le
qualifiant de « menace stratégique » pour l’Europe, alors qu’il
s’agissait simplement d’un projet économique visant à sécuriser
l’approvisionnement énergétique. Cette posture n’est pas innocente :
elle sert à masquer les échecs internes de l’UE, comme la dépendance
énergétique croissante vis-à-vis des États-Unis, et à justifier un
réarmement massif qui profite aux industries de défense occidentales.
Perspectives alternatives : remise en question de la version officielle
Des sources alternatives, souvent marginalisées par les médias
mainstream, remettent en question la version officielle d’un sabotage
purement ukrainien. Moscou a qualifié de « ridicule » l’idée qu’un
petit groupe de plongeurs amateurs ait pu mener une opération aussi
sophistiquée sans soutien étatique, suggérant une implication plus large de l’OTAN ou des services secrets occidentaux. La Russie a même demandé une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU pour
discuter de l’enquête, soulignant le blocage systématique de sa
participation par les pays occidentaux. Ces éléments renforcent l’idée
que l’arrestation de Volodymyr Z. n’est qu’un écran de fumée pour
perpétuer la narrative anti-russe, permettant à l’UE et à la France de
justifier leur escalade : plus d’armes pour Kiev, plus de sanctions, et
une rhétorique qui rapproche dangereusement l’Europe d’une guerre
ouverte avec la Russie.
Le vrai visage de l’occident et les risques d’un conflit majeur
En fin de compte, cette affaire Nord Stream révèle le vrai visage de
l’Occident : non pas un défenseur de la paix, mais un bloc obsédé par sa
supériorité morale et stratégique, prêt à sacrifier la stabilité
européenne sur l’autel de sa russophobie. Tant que des leaders comme
ceux de l’UE et de la France continueront à attiser les flammes du
bellicisme, le risque d’un conflit majeur avec la Russie – que personne
ne gagnera – reste imminent. Il est temps de questionner ces motivations
destructrices avant qu’il ne soit trop tard.
C - La nouvelle farce du covid-19 : le variant « Frankenstein », une opération psychologique pour répandre la peur
Une peur orchestrée par les médias et les institutions
Alors que le monde tente de tourner la
page de la pandémie de COVID-19, voilà qu’un nouveau variant fait
irruption dans les nouvelles, affublé d’un nom aussi ridicule
qu’alarmiste : « Frankenstein ».
Officiellement désigné XFG, ce variant est présenté comme un
« monstre » hybride, issu d’une recombinaison de souches Omicron,
capable soi-disant d’attaquer non seulement le corps, mais aussi le
mental. Des titres de presse comme « Frankenstein : ces trois symptômes méconnus montrent que le variant du Covid agit aussi sur votre mental » ou « Covid-19 : Doit-on s’inquiéter de l’arrivée du nouveau variant Frankenstein ? » inondent les médias, créant un climat de terreur artificielle. Mais comme l’explique le Dr. Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur et secrétaire général de l’association Les Enfants d’Hippocrate, dans une récente interview sur Ligne Droite, cette narrative n’est rien d’autre qu’une « pornographie de la peur » – ou « fear porn » en anglais – une opération psychologique coordonnée pour manipuler les masses.
Le Dr. Fouché, auteur de livres comme Tous Résistants dans l’Âme et Traverser la Peur, dénonce cette stratégie militaire de saturation émotionnelle, où les
médias répercutent un narratif imposé par des collusions entre
l’industrie pharmaceutique, les agences de régulation et les
institutions. Selon lui, ce variant n’est pas le premier à recevoir
un nom terrifiant : rappelez-vous le BA.2.75 « Centaurus », le XBB
« Gryphon », le XBB.1.5 « Kraken », le BF.7 « Minotaur », le BQ.1.1
« Cerberus ». Aujourd’hui, « Frankenstein » pousse le grotesque à son
paroxysme, virant au ridicule et révélant la nudité de cette
« narration virale obscène ».
Le variant XFG : un rhume automnal déguisé en monstre
D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le XFG est une
recombinaison de souches comme LF.7 et LP.8.12, mais sa gravité est
« superposable » à celle d’Omicron : des formes graves rares, touchant
principalement les personnes déjà affaiblies par des pathologies
lourdes. Pour le reste, c’est un simple « rhume automnal et hivernal », comme l’affirme le Dr. Fouché. L’OMS
elle-même admet que ce variant ne provoque pas plus de formes graves ni
de décès que ses prédécesseurs, malgré une propagation rapide en Asie
du Sud-Est et une hausse modérée des cas en France. Les symptômes ? Une gorge irritée comme des « rasoirs », toux, fièvre, fatigue – rien de nouveau ni d’alarmant.
Pourtant, la campagne de vaccination française, lancée le 14 octobre
2025 avec le vaccin Comirnaty de Pfizer ciblant LP.8.1, est promue comme
une nécessité urgente. Le Dr. Fouché met en garde : ce produit n’est « ni sûr ni efficace », échappant potentiellement à l’immunité contre XFG. Il cite une alerte d’Alexandra Henrion-Caude et d’autres experts, soulignant la toxicité et l’inefficacité de ces vaccins, envoyés aux tutelles sans réponse. Des études récentes, comme une coréenne sur
des millions de personnes, montrent un sur-risque cumulatif d’effets
secondaires : myocardites, péricardites, morts subites, thromboses, AVC,
embolies, troubles menstruels, maladies auto-immunes,
neurodégénératives, et même une augmentation du risque de certains
cancers chez les multi-vaccinés.
Les mesures non pharmaceutiques : inutiles et délétères
Cette « farce » ne s’arrête pas aux vaccins. Le Dr. Fouché
prévient que derrière la peur viendront les restrictions : masques,
confinements, couvre-feux, tests PCR. Or, ces mesures sont inefficaces. La
méta-analyse Cochrane de 2023 démontre que les masques sont « inutiles,
toxiques et délétères » en population générale pour prévenir les
infections respiratoires. Les confinements n’ont aucun impact sur la
propagation virale, mais causent des dommages collatéraux massifs :
augmentation des suicides, dépressions, anxiété, surtout chez les
jeunes, comme l’a montré le professeur Olivier Servais de l’Université catholique de Louvain.
Les tests en population asymptomatique ? Une absurdité : il n’existe
pas de « malade asymptomatique ». Pathologiser la physiologie normale
est une perversion de la médecine. Quant à la santé mentale, devenue une
« cause nationale » en France avec un projet sur 5 ans, elle est
précisément dégradée par ces mesures de soumission de masse.
Une outil politique : gouverner par la peur
Le Dr. Fouché lie cette farce à une guerre cognitive de 5e génération, inspirée du livre de Robert Malone.
Les gouvernements, comme celui
d’Emmanuel Macron, utilisent la peur comme outil pour contrôler les
peuples, gardant une « carte COVID » en réserve pour « siffler la fin du
jeu » en cas de crise.
Mais les rapports de l’OMS sont clairs : XFG n’est pas plus grave. Pourquoi alors cette hystérie ? Pour promouvoir
des produits pharmaceutiques, racketter les États, et restreindre les
libertés, au mépris de la déontologie médicale qui exige une information
équilibrée sur les risques et bénéfices.
Les collusions entre Big Pharma, médias (comme McKinsey pour la
logistique), et agences comme la HAS ou l’EMA sont flagrantes. Les
dossiers vaccinaux sont non sourcés, basés sur des données de Pfizer
sans preuves cliniques solides – pas même sur la transmission, comme
admis par une représentante de Pfizer au Parlement européen.
Réfléchissez !
Comme le conclut le Dr. Fouché, citant son collègue américain Pierre
Kory : « Do not fucking submit » – ne vous soumettez pas, bordel ! Face à
cette opération psychologique, optez pour la raison : vitamine C, D (80
% des Français carencés en automne-hiver), huiles essentielles, joie,
câlins. Refusez la peur orchestrée. Le variant « Frankenstein » n’est
qu’une farce de plus pour nous prendre pour des idiots. Informez-vous
via des sources indépendantes ; il est temps de traverser la peur et de
retrouver notre liberté.
Ce site n'est plus sur FB (blacklisté sans motif),
Il ne s'agit pas d'être pro-Poutine, loin de là, comme de subir que de la propagande russe; cependant celle de l'UE via l'OTAN est fort présente aussi..! Stratégie d'une bipolarité par une guerre de la transparence !
Un bouc émissaire universel
Dans les couloirs du
pouvoir à Bruxelles, la Russie semble être devenue le bouc émissaire
universel, responsable de tous les maux qui affligent l’Europe. Cette russophobie institutionnalisée,
alimentée par une élite atlantiste déconnectée des réalités, n’est pas
seulement une posture géopolitique ; c’est un mécanisme de diversion
systématique.
À chaque
crise, à chaque échec interne, le doigt accusateur se pointe
invariablement vers Moscou, sans preuves solides ni analyse nuancée.
Examinons comment ce réflexe pavlonien se manifeste, en mettant en lumière des exemples concrets qui révèlent une instrumentalisation flagrante de la peur pour consolider un agenda belliciste et anti-souverainiste.
L’affaire de l’avion d’Ursula von der Leyen : un complot inventé pour détourner l’attention
Prenons
d’abord l’affaire récente de l’avion d’Ursula von der Leyen lors de sa
visite en Bulgarie. Les autorités européennes et certains médias ont
rapidement crié au scandale, imputant une prétendue interférence GPS aux
Russes, comme s’il s’agissait d’une tentative de sabotage orchestrée
par le Kremlin. Cette allégation, présentée comme une escalade dans les
tensions hybrides, a fait les gros titres et alimenté l’hystérie
anti-russe. Pourtant, face aux données irréfutables de services comme Flight Radar, qui ont démontré l’absence totale de perturbation, la Bulgarie a fini par renoncer à toute enquête,
concluant qu’il n’y avait probablement rien du tout. Ce revirement n’a
pas empêché l’incident d’être initialement brandi comme preuve d’une
agression russe, occultant au passage les vraies raisons du malaise
local : des dizaines de milliers de Bulgares manifestant contre
l’adhésion forcée de leur pays à la zone euro, prévue pour le 1er
janvier prochain. Ici, la russophobie sert de rideau de fumée pour
masquer les contestations internes à l’UE, transformant une visite
diplomatique ratée en complot international.
L’attentat contre Nord-Stream : des sanctions suicidaires au profit de la chine
Photo
partagée par le commandement de la défense danoise montrant une fuite
de gaz au niveau du gazoduc Nord Stream 2, dans la mer Baltique, au
large de l’île danoise de Bornholm, le 27 septembre 2022. HANDOUT / AFP
Un schéma similaire se dessine avec l’attentat contre les pipelines Nord Stream.
Il y a deux ans, lorsque l’explosion a
privé l’Europe d’une source vitale d’énergie, les accusations ont fusé
contre les Russes, qualifiés de complotistes ceux qui osaient suggérer
d’autres pistes.
Aujourd’hui, la justice allemande elle-même pointe du doigt les Ukrainiens comme responsables, possiblement aidés par de grandes puissances. Malgré
cela, personne à Bruxelles n’a condamné cet acte de terrorisme, et les
sanctions anti-russes qui ont suivi n’ont fait qu’aggraver la situation
énergétique européenne. Double punition pour les Français, ces
mesures ont profité directement à la Chine, qui a signé un accord gazier
massif avec la Russie, obtenant des volumes équivalents à ceux
autrefois destinés à l’Europe, à des tarifs encore plus bas. Résultat : Pékin
renforce sa puissance industrielle grâce à une énergie bon marché,
tandis que l’UE s’appauvrit et s’enlise dans une dépendance accrue
vis-à-vis des États-Unis. Cette russophobie économique, loin
d’affaiblir Moscou, accélère le déclin industriel européen et illustre
le réflexe bruxellois de blâmer les Russes pour des choix politiques
suicidaires.
La
ministre allemande de la justice, Stefanie Hubig, fait une déclaration à
la presse à Berlin, en Allemagne, le 21 août 2025, à la suite de
l’arrestation en Italie d’un Ukrainien soupçonné d’avoir coordonné le
sabotage du gazoduc Nord Stream en 2022. ANNEGRET HILSE / REUTERS
Le dossier ukrainien : une fuite en avant belliciste sans soutien réel
Le dossier ukrainien incarne parfaitement cette obsession pathologique.
Emmanuel Macron, porte-étendard de l’atlantisme européen, annonce
fièrement que 26 pays seraient prêts à s’engager – sur mer, sol et air –
dans une « force de réassurance » en Ukraine. Mais derrière ce chiffre
gonflé, la réalité est bien plus modeste : sur une coalition théorique de 30 pays, seuls la France et le Royaume-Uni semblent réellement disposés à envoyer des troupes. La
Pologne, deuxième armée de l’UE en effectifs, refuse catégoriquement
sans un bouclier américain garanti. Les Allemands et les Italiens se
contentent de promesses de soutien financier ou logistique, comme
financer des usines d’armement en Ukraine sans déploiement militaire.
Même le Canada, le Japon, la Corée du Sud, l’Australie et la
Nouvelle-Zélande sont comptabilisés pour des contributions mineures,
comme fournir du matériel. Cette fuite en avant, menée par un dirigeant français à la légitimité érodée (à peine 12-14 % dans les sondages), ignore les avertissements clairs de Poutine :
Toute troupe étrangère serait considérée comme une cible légitime.
En cas de cessez-le-feu – qui n’équivaut pas à une paix –, l’UE deviendrait cobelligérante, violant le droit international
si elle déploie sans accord des deux parties. Un incident mineur, comme
une opération ukrainienne non contrôlée par Kiev ou bien une false flag diligentée par l’occident, pourrait entraîner une riposte russe touchant des soldats français, déclenchant un casus belli direct.
L’histoire nous le rappelle avec l’incident du Golfe du Tonkin en 1965,
qui a lancé la guerre du Vietnam sur une escalade similaire. À
Bruxelles, cette russophobie guerrière transforme l’Europe en mèche
d’un baril de poudre, au nom d’un atlantisme obsolète que même
Washington abandonne : le Pentagone annonce une forte réduction,
voire un arrêt, du soutien financier aux pays baltes, forçant l’UE à
payer pour une « occupation » américaine en Europe de l’Est. Les
contribuables français, deuxièmes contributeurs nets au budget européen,
financeront cela via de nouveaux impôts communautaires, au détriment de
leurs propres intérêts.
L’hystérie anti-russe dans l’armée française : un trouble profond qui menace la souveraineté
Cette hystérie anti-russe imprègne même les sphères militaires nationales. En France, des officiers de haut rang alertent
sur le danger de cette focalisation exclusive sur la « menace russe »,
qui fait perdre de vue des périls bien plus immédiats. Le renseignement
militaire dévie tous ses moyens vers le flanc est, laissant, par
exemple, le pillage des ressources outre-mer impuni et dont Macron
semble vouloir se débarasser.
Parallèlement, le complexe militaro-industriel français s’illusionne en
pensant que l’alerte russe gonflera les budgets de défense, profitant à
l’industrie nationale. Or, les alliés européens achètent massivement
américain, sous pression de Trump qui exige 5 % du PIB en dépenses
militaires et des achats outre-Atlantique. Pire, les Allemands cannibalisent l’industrie française : rachats dans les blindés via KNDS, montée en puissance chez Airbus Défense, et tentatives de rouler la France sur le SCAF avec des transferts de technologie qui menacent la souveraineté nucléaire. L’État français, sous Macron, pousse même à ces compromis, rêvant d’européaniser la dissuasion atomique – ce qui signifierait demander la permission à Berlin pour défendre nos intérêts vitaux. Cette soumission à une UE germanocentrée, masquée par une rhétorique anti-russe, révèle un trouble profond dans l’armée française, illustré par le limogeage abrupt du chef d’état-major des armées après des avertissements internes sur l’épuisement des stocks dus aux livraisons en Ukraine.
Briser le cycle pour une Europe souveraine et en paix
En somme, la russophobie entretenue par Bruxelles n’est pas une
réponse rationnelle à des menaces réelles, mais un réflexe systématique
pour détourner l’attention des échecs internes : dépendance énergétique,
contestations populaires, déclin industriel et perte de souveraineté. En
blâmant les Russes pour tout – des pannes GPS aux explosions de
pipelines –, l’UE perpétue un narratif belliciste qui isole l’Europe sur
la scène mondiale, au profit de puissances comme la Chine et sous le joug d’un atlantisme agonisant.
Il est temps de briser ce cycle vicieux, de privilégier la paix et la
souveraineté nationale face à une élite bruxelloise qui ne rêve que de
guerre.
Voir vidéo : Déclaration officielle de Arianna Podesta, porte-parole adjointe
de la Commission européenne, dénonçant le bouillage GPS d’origine
russe.Source Deutsche Welle (supprimée depuis)