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octobre 02, 2025

Français, ne tombez pas dans le piège !

Sommaire:

A - Les déclarations belliqueuses du général Schill : Français, ne tombez pas dans le piège ! 

B -  Le sabotage de Nord Stream : une nouvelle preuve de la russophobie obsessionnelle de l’occident

C - La nouvelle farce du covid-19 : le variant « Frankenstein », une opération psychologique pour répandre la peur 

 


A - Les déclarations belliqueuses du général Schill : Français, ne tombez pas dans le piège ! 

Dans une vidéo diffusée sur le journal en continu de LCI, animée par Arthur Kenigsberg, fondateur du Cercle de l’Europe, un commentaire alarmant met en lumière les déclarations récentes du général Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de Terre française. Le segment, intitulé « Face à Moscou, être prêts dès ce soir ? », analyse les propos du général qui insiste sur la nécessité pour l’armée française d’être « prête dès ce soir » à un conflit de haute intensité. Le commentateur souligne que ces opérations de communication de l’armée française visent à préparer les esprits à une « potentielle confrontation directe avec la Fédération de Russie », non pas sur le sol français, mais par exemple en Estonie, où 500 soldats français sont stationnés dans le cadre de missions de réassurance de l’OTAN. En cas d’agression russe sur l’Estonie, comme une prise de la région de Narva, cela déclencherait l’article 5 de l’OTAN et l’article 42-7 de l’Union européenne, obligeant tous les États membres à porter assistance par « tous les moyens militaires ».

 


 

https://x.com/KenigsbArthur/status/1972924957257515355

Chers Français, cette vidéo doit nous servir de cri d’alarme : ne nous laissons pas entraîner dans une spirale belliqueuse qui mènerait à une guerre mondiale, une catastrophe perdue d’avance pour l’humanité entière. La France n’a absolument aucun intérêt dans ce conflit artificiel, qui ne sert que les agendas géopolitiques d’une élite déconnectée de la réalité quotidienne de nos concitoyens.

 


Les propos du général Schill : une propagande qui rappelle les erreurs du passé

Le 25 septembre 2025, lors d’une conférence, le général Schill a martelé l’urgence pour l’armée française de se préparer à des guerres de haute intensité, en tirant les leçons du conflit en Ukraine sur l’usage des drones et la létalité accrue des armes modernes. Il a insisté sur la « dissuasion » face à la Russie, affirmant que la France doit être prête à défendre les alliés de l’OTAN sans viser un conflit direct. Pourtant, ces déclarations s’inscrivent dans un contexte de déploiement croissant : depuis 2017, la France maintient des troupes en Estonie dans le cadre de la présence avancée renforcée de l’OTAN, suite à l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, avec environ 500 soldats en rotation actuellement. Le 1er octobre 2025, des exercices à tirs réels impliquant des hélicoptères français ont eu lieu dans le nord de l’Estonie, renforçant les tensions régionales au milieu d’incidents comme les violations d’espace aérien russe sur les États baltes, condamnées par l’OTAN le 23 septembre 2025.

Ces manœuvres, présentées comme défensives, alimentent une propagande guerrière exagérée qui rappelle dangereusement les prémices de la Première Guerre mondiale.

Souvenons-nous : en 1914, une rhétorique belliqueuse et des alliances automatiques ont entraîné l’Europe dans un conflit mondial, causant environ 20 millions de morts, dont 1,4 million de Français tombés au front.

Tout a commencé, comme aujourd’hui, par des discours alarmistes et une escalade incontrôlée, transformant une crise locale en apocalypse.

Français, ne répétons pas cette folie ! Nous devons exiger la raison et la diplomatie, plutôt que de nous laisser manipuler par une narrative qui exagère la menace russe pour justifier un réarmement massif.

La russophobie structurelle de l’UE et de la France : un héritage qui menace notre avenir

Cette posture s’ancre dans une russophobie endémique en Occident, particulièrement au sein de l’Union européenne et de la France, où la Russie est systématiquement dépeinte comme un agresseur barbare menaçant l’ordre libéral. Cette peur irrationnelle, héritée des rivalités impériales du XIXe siècle, est exacerbée aujourd’hui par des leaders comme Emmanuel Macron, qui, lors du sommet européen à Copenhague le 1er octobre 2025, a affirmé : « Nous sommes dans une confrontation avec la Russie », insistant sur l’absence de faiblesse face à cette menace. Il a mis en avant les efforts de l’UE pour renforcer ses capacités en drones face aux incursions russes, et lié un « bateau fantôme » russe près de Saint-Nazaire à des tentatives de contournement des sanctions et d’intimidation. L’article 42-7 du traité sur l’UE oblige les États membres à assister militairement un allié attaqué, complétant la clause de défense collective de l’OTAN, et sert de prétexte à une escalade permanente. Le général Schill pousse pour une transformation de l’armée d’ici 2027, avec des innovations et des améliorations de matériels pour maintenir la « crédibilité » face aux menaces évolutives – un euphémisme pour désigner la Russie. Mais, chers compatriotes, derrière ces discours, se cache un bellicisme qui nous met en danger.

La Russie, avec une superficie d’environ 17 millions de km² – soit plus de quatre fois celle de l’Union européenne (environ 4,2 millions de km²) – n’a nul besoin d’expansion territoriale.

Elle cherche avant tout à assurer sa sécurité, celle de son peuple et de sa diaspora, face à l’expansion de l’OTAN à ses frontières. Imaginons l’inverse : que se passerait-il si la Russie installait des missiles nucléaires au Mexique ou au Venezuela ? Les États-Unis réagiraient avec fureur, comme lors de la crise des missiles de Cuba en 1962, qui a failli déclencher une guerre nucléaire. Pourquoi refusons-nous de comprendre cette légitime préoccupation russe ?

 


 

Le bellicisme français : une obsession qui nous coûte cher sans aucun bénéfice

La France incarne ce bellicisme avec un enthousiasme particulier et ce, pour cacher la totale médiocrité des gouvernements successifs. Sous Macron, Paris a adopté une rhétorique agressive, envisageant l’envoi de troupes en Ukraine et armant Kiev à outrance, tout en ignorant les appels russes à la négociation. Ces déclarations de Schill ne sont pas isolées ; elles font écho à une stratégie nationale qui voit dans la Russie un ennemi existentiel, justifiant des budgets militaires gonflés au profit des industries d’armement. En 2024, la France a enregistré 21,6 milliards d’euros de commandes d’exportations d’armements, le deuxième meilleur bilan historique, avec un total d’ordres (domestiques et exports) atteignant près de 40 milliards d’euros. Le budget de défense français est prévu pour doubler d’ici 2027, atteignant 64 milliards d’euros, trois ans en avance, avec un soutien de 3,08 milliards d’euros en équipements à l’Ukraine depuis 2022, épuisant 25-40 % des stocks français. L’UE, quant à elle, sous l’impulsion de figures comme Ursula von der Leyen, impose des sanctions draconiennes et pousse pour une militarisation accrue, transformant le continent en une « forteresse » anti-russe.

Français, quel intérêt avons-nous dans cette folie ? Aucun ! Ce conflit nous appauvrit, divise notre société et nous expose à des risques incalculables, sans aucun gain pour notre souveraineté ou notre prospérité.

Perspectives critiques : une escalade inutile et dangereuse qui doit être stoppée

Des voix dissidentes remettent en question cette narrative, accusant l’Occident de fabriquer une menace pour justifier son impérialisme. La Russie, de son côté, dénonce ces déploiements comme des provocations, soulignant que l’expansion de l’OTAN vers l’Est viole les promesses post-Guerre froide (télécharger l’archive déclassifiée). L’opacité démocratique est criante : le rapport sur les exportations d’armements manque de détails sur les contrats, et les initiatives pour un débat parlementaire sur les engagements en Ukraine sont bloquées, potentiellement violant les articles 35 et 53 de la Constitution française. En fin de compte, ces préparatifs militaires ne font qu’accroître les risques d’un conflit majeur, où l’Europe servirait de champ de bataille pour des intérêts géopolitiques étrangers. Chers Français, c’est un appel à la raison : refusons cette escalade qui nous mènerait à une guerre mondiale perdue pour tous, comme en 1914-1918.

 

Des documents déclassifiés révèlent des garanties de sécurité contre lexpansion de OTAN données aux dirigeants soviétiques par Baker Bush Genscher Kohl Gates Mitterrand Thatcher Hurd Major et Woerner
 

L’urgence de choisir la paix et la diplomatie

Les déclarations du général Schill révèlent le vrai visage d’un Occident belliqueux, obsédé par une guerre avec la Russie au nom d’une russophobie séculaire. Tant que la France et l’UE persisteront dans cette voie destructrice, ignorant les voies diplomatiques, le spectre d’une catastrophe planétaire plane. Français, mobilisons-nous pour la paix !

Exigeons des négociations sincères, respectons les préoccupations sécuritaires légitimes de la Russie, et refusons de sacrifier notre avenir sur l’autel d’une propagande guerrière.

Il est temps de démasquer ces motivations et d’œuvrer pour une paix véritable, avant qu’il ne soit trop tard.

https://multipol360.com/les-declarations-belliqueuses-du-general-schill-francais-ne-tombez-pas-dans-le-piege/



 

B -  Le sabotage de Nord Stream : une nouvelle preuve de la russophobie obsessionnelle de l’occident  

L’arrestation d’un suspect ukrainien : un nouvel épisode dans la saga géopolitique

Dans un énième épisode de la saga géopolitique qui oppose l’Occident à la Russie, les autorités polonaises ont annoncé l’arrestation d’un citoyen ukrainien, Volodymyr Z (sa véritable identité n’ayant pas encore totalement été divulguée), suspecté d’avoir participé au sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2 en septembre 2022. Cette interpellation, survenue le 30 septembre 2025 près de Varsovie, fait suite à un mandat d’arrêt européen émis par l’Allemagne en juin 2024. L’homme, un instructeur de plongée, est accusé d’avoir fait partie d’un commando ukrainien – cinq hommes et une femme – qui aurait posé des explosifs sous-marins au large de l’île danoise de Bornholm, provoquant quatre fuites massives de gaz dans la mer Baltique.

Ce développement, loin d’apaiser les tensions, ne fait que souligner l’hypocrisie et le bellicisme rampant de l’Occident, en particulier de l’Union européenne et de la France, qui semblent déterminés à entretenir un conflit avec la Russie à tout prix.

Rappel des faits : les explosions et les accusations initiales

Rappelons les faits : les explosions du 26 septembre 2022 ont endommagé gravement ces pipelines vitaux reliant la Russie à l’Allemagne, interrompant définitivement l’approvisionnement en gaz russe vers l’Europe. À l’époque, de nombreuses voix occidentales, y compris dans les médias français et européens, ont immédiatement pointé du doigt Moscou, accusant le Kremlin d’un « auto-sabotage » pour punir l’Europe de son soutien à l’Ukraine. Cette narrative, imprégnée d’une russophobie viscérale, ignorait commodément les motivations évidentes d’autres acteurs : l’Ukraine, soutenue par l’OTAN, avait tout intérêt à couper cette artère énergétique pour isoler la Russie économiquement et forcer l’Europe à se tourner vers des alternatives plus coûteuses, comme le gaz américain liquéfié. Aujourd’hui, avec l’arrestation de Volodymyr Z, l’enquête allemande – la seule encore active après que la Suède et le Danemark aient clos les leurs en 2024 – confirme un « piste ukrainienne », impliquant un groupe opérant depuis un yacht loué avec de faux documents.  Pourtant, plutôt que de questionner le rôle de Kiev dans cet acte de terrorisme industriel, l’Occident persiste à en faire un outil pour alimenter son hostilité envers la Russie.

La russophobie endémique en Europe : une peur historique et culturelle

Cette affaire illustre parfaitement la « russophobie » endémique qui gangrène l’Europe depuis des siècles, une peur irrationnelle et un mépris culturel envers la Russie, perçue comme une menace existentielle à l’ordre libéral occidental. Des historiens soulignent que ces sentiments anti-russes remontent au XVIIIe siècle, exacerbés par des puissances comme la Grande-Bretagne et la France, qui ont toujours vu en Moscou un rival à abattre pour maintenir leur hégémonie. Seul, le Général de Gaulle, grand visionnaire, y voyait une sérieuse piste de développement extérieure aux États-Unis.  Aujourd’hui, cette phobie se manifeste par un bellicisme effréné : l’UE, sous l’impulsion de leaders comme Ursula von der Leyen, multiplie les sanctions contre la Russie, arme l’Ukraine à outrance et pousse pour une escalade militaire, au risque d’un conflit direct avec une puissance nucléaire (Montant de l’aide à l’Ukraine payée par les contribuables européens estimée à 167,4 milliards d’euros en juillet 2025). La Pologne, fidèle à sa tradition russophobe, a même envisagé d’accorder l’asile à Volodymyr Z avant de l’arrêter, qualifiant implicitement l’acte de sabotage comme un « héroïsme » contre Moscou.

Le rôle belliqueux de la France : un zèle pathologique

La France, en particulier, incarne ce bellicisme occidental avec un zèle presque pathologique. Emmanuel Macron, qui n’hésite pas à brandir la rhétorique de la « guerre totale » contre la Russie, a multiplié les déclarations belliqueuses, appelant à un soutien inconditionnel à l’Ukraine et envisageant même l’envoi de troupes françaises sur le terrain. Paris, aligné sur Washington, voit dans le conflit ukrainien une opportunité de relancer son influence en Europe, au prix d’une provocation constante envers la Russie. N’oublions pas que la France a été l’un des plus fervents opposants à Nord Stream 2, le qualifiant de « menace stratégique » pour l’Europe, alors qu’il s’agissait simplement d’un projet économique visant à sécuriser l’approvisionnement énergétique. Cette posture n’est pas innocente : elle sert à masquer les échecs internes de l’UE, comme la dépendance énergétique croissante vis-à-vis des États-Unis, et à justifier un réarmement massif qui profite aux industries de défense occidentales.

Perspectives alternatives : remise en question de la version officielle

Des sources alternatives, souvent marginalisées par les médias mainstream, remettent en question la version officielle d’un sabotage purement ukrainien. Moscou a qualifié de « ridicule » l’idée qu’un petit groupe de plongeurs amateurs ait pu mener une opération aussi sophistiquée sans soutien étatique, suggérant une implication plus large de l’OTAN ou des services secrets occidentaux.  La Russie a même demandé une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU pour discuter de l’enquête, soulignant le blocage systématique de sa participation par les pays occidentaux. Ces éléments renforcent l’idée que l’arrestation de Volodymyr Z. n’est qu’un écran de fumée pour perpétuer la narrative anti-russe, permettant à l’UE et à la France de justifier leur escalade : plus d’armes pour Kiev, plus de sanctions, et une rhétorique qui rapproche dangereusement l’Europe d’une guerre ouverte avec la Russie.

Le vrai visage de l’occident et les risques d’un conflit majeur

En fin de compte, cette affaire Nord Stream révèle le vrai visage de l’Occident : non pas un défenseur de la paix, mais un bloc obsédé par sa supériorité morale et stratégique, prêt à sacrifier la stabilité européenne sur l’autel de sa russophobie. Tant que des leaders comme ceux de l’UE et de la France continueront à attiser les flammes du bellicisme, le risque d’un conflit majeur avec la Russie – que personne ne gagnera – reste imminent. Il est temps de questionner ces motivations destructrices avant qu’il ne soit trop tard.

https://multipol360.com/le-sabotage-de-nord-stream-une-nouvelle-preuve-de-la-russophobie-obsessionnelle-de-loccident/ 

 


 

C - La nouvelle farce du covid-19 : le variant « Frankenstein », une opération psychologique pour répandre la peur  

Une peur orchestrée par les médias et les institutions

Alors que le monde tente de tourner la page de la pandémie de COVID-19, voilà qu’un nouveau variant fait irruption dans les nouvelles, affublé d’un nom aussi ridicule qu’alarmiste : « Frankenstein ».

Officiellement désigné XFG, ce variant est présenté comme un « monstre » hybride, issu d’une recombinaison de souches Omicron, capable soi-disant d’attaquer non seulement le corps, mais aussi le mental. Des titres de presse comme « Frankenstein : ces trois symptômes méconnus montrent que le variant du Covid agit aussi sur votre mental » ou « Covid-19 : Doit-on s’inquiéter de l’arrivée du nouveau variant Frankenstein ? » inondent les médias, créant un climat de terreur artificielle. Mais comme l’explique le Dr. Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur et secrétaire général de l’association Les Enfants d’Hippocrate, dans une récente interview sur Ligne Droite, cette narrative n’est rien d’autre qu’une « pornographie de la peur » – ou « fear porn » en anglais – une opération psychologique coordonnée pour manipuler les masses.

 


 

Le Dr. Fouché, auteur de livres comme Tous Résistants dans l’Âme et Traverser la Peur, dénonce cette stratégie militaire de saturation émotionnelle, où les médias répercutent un narratif imposé par des collusions entre l’industrie pharmaceutique, les agences de régulation et les institutions. Selon lui, ce variant n’est pas le premier à recevoir un nom terrifiant : rappelez-vous le BA.2.75 « Centaurus », le XBB « Gryphon », le XBB.1.5 « Kraken », le BF.7 « Minotaur », le BQ.1.1 « Cerberus ». Aujourd’hui, « Frankenstein » pousse le grotesque à son paroxysme, virant au ridicule et révélant la nudité de cette « narration virale obscène ».

Le variant XFG : un rhume automnal déguisé en monstre

D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le XFG est une recombinaison de souches comme LF.7 et LP.8.12, mais sa gravité est « superposable » à celle d’Omicron : des formes graves rares, touchant principalement les personnes déjà affaiblies par des pathologies lourdes. Pour le reste, c’est un simple « rhume automnal et hivernal », comme l’affirme le Dr. Fouché. L’OMS elle-même admet que ce variant ne provoque pas plus de formes graves ni de décès que ses prédécesseurs, malgré une propagation rapide en Asie du Sud-Est et une hausse modérée des cas en France. Les symptômes ? Une gorge irritée comme des « rasoirs », toux, fièvre, fatigue – rien de nouveau ni d’alarmant.

Pourtant, la campagne de vaccination française, lancée le 14 octobre 2025 avec le vaccin Comirnaty de Pfizer ciblant LP.8.1, est promue comme une nécessité urgente. Le Dr. Fouché met en garde : ce produit n’est « ni sûr ni efficace », échappant potentiellement à l’immunité contre XFG. Il cite une alerte d’Alexandra Henrion-Caude et d’autres experts, soulignant la toxicité et l’inefficacité de ces vaccins, envoyés aux tutelles sans réponse. Des études récentes, comme une coréenne sur des millions de personnes, montrent un sur-risque cumulatif d’effets secondaires : myocardites, péricardites, morts subites, thromboses, AVC, embolies, troubles menstruels, maladies auto-immunes, neurodégénératives, et même une augmentation du risque de certains cancers chez les multi-vaccinés.

Les mesures non pharmaceutiques : inutiles et délétères

Cette « farce » ne s’arrête pas aux vaccins. Le Dr. Fouché prévient que derrière la peur viendront les restrictions : masques, confinements, couvre-feux, tests PCR. Or, ces mesures sont inefficaces. La méta-analyse Cochrane de 2023 démontre que les masques sont « inutiles, toxiques et délétères » en population générale pour prévenir les infections respiratoires. Les confinements n’ont aucun impact sur la propagation virale, mais causent des dommages collatéraux massifs : augmentation des suicides, dépressions, anxiété, surtout chez les jeunes, comme l’a montré le professeur Olivier Servais de l’Université catholique de Louvain.

Les tests en population asymptomatique ? Une absurdité : il n’existe pas de « malade asymptomatique ». Pathologiser la physiologie normale est une perversion de la médecine. Quant à la santé mentale, devenue une « cause nationale » en France avec un projet sur 5 ans, elle est précisément dégradée par ces mesures de soumission de masse.

 


 

Une outil politique : gouverner par la peur

Le Dr. Fouché lie cette farce à une guerre cognitive de 5e génération, inspirée du livre de Robert Malone.

Les gouvernements, comme celui d’Emmanuel Macron, utilisent la peur comme outil pour contrôler les peuples, gardant une « carte COVID » en réserve pour « siffler la fin du jeu » en cas de crise.

Mais les rapports de l’OMS sont clairs : XFG n’est pas plus grave. Pourquoi alors cette hystérie ? Pour promouvoir des produits pharmaceutiques, racketter les États, et restreindre les libertés, au mépris de la déontologie médicale qui exige une information équilibrée sur les risques et bénéfices.

Les collusions entre Big Pharma, médias (comme McKinsey pour la logistique), et agences comme la HAS ou l’EMA sont flagrantes. Les dossiers vaccinaux sont non sourcés, basés sur des données de Pfizer sans preuves cliniques solides – pas même sur la transmission, comme admis par une représentante de Pfizer au Parlement européen.

Réfléchissez !

Comme le conclut le Dr. Fouché, citant son collègue américain Pierre Kory : « Do not fucking submit » – ne vous soumettez pas, bordel ! Face à cette opération psychologique, optez pour la raison : vitamine C, D (80 % des Français carencés en automne-hiver), huiles essentielles, joie, câlins. Refusez la peur orchestrée. Le variant « Frankenstein » n’est qu’une farce de plus pour nous prendre pour des idiots. Informez-vous via des sources indépendantes ; il est temps de traverser la peur et de retrouver notre liberté.

https://multipol360.com/la-nouvelle-farce-du-covid-19-le-variant-frankenstein-une-operation-psychologique-pour-repandre-la-peur/

 

septembre 18, 2025

Dégradation de la notation de la France : le symptôme d’un système en déroute

La France, jadis fière de son rang économique et politique en Europe, traverse une tempête dévastatrice qui culmine avec la récente dégradation de sa note souveraine par l’agence Fitch Ratings. Le 12 septembre 2025, l’agence a abaissé la notation de la dette publique française d’un cran, passant de AA- à A+, un coup dur qui relègue l’Hexagone au rang de « mauvaise élève » du continent.


Ce n’est pas un simple ajustement technique : c’est un signal d’alarme sur la fragilité d’un État paralysé par l’instabilité politique, une dette galopante et une gouvernance erratique.

Derrière cette décision se profile le portrait d’un président, Emmanuel Macron, dont les choix – de la valse des Premiers ministres à un bellicisme effréné – creusent un fossé abyssal avec le peuple français. Cet article décrypte les rouages de cette notation, ses enjeux, et dénonce une présidence qui, au lieu de protéger la nation, semble la précipiter vers le chaos.

Les agences de notation : un mécanisme impitoyable qui évalue la confiance

Pour comprendre l’importance de cette dégradation, il faut d’abord en saisir le fonctionnement. Les agences de notation comme Fitch, Moody’s ou Standard & Poor’s sont des entités privées qui évaluent la solvabilité des États, des entreprises ou des collectivités. Elles attribuent des notes allant de AAA (risque minimal) à D (défaut de paiement), basées sur des critères quantitatifs et qualitatifs : niveau d’endettement, croissance économique, stabilité politique, et capacité à rembourser. Une note élevée comme AA- signifie une « très bonne qualité » avec un faible risque de défaut ; A+ reste solide mais signale une vulnérabilité accrue.

Pourquoi cela compte-t-il tant ? Une bonne note permet à un pays d’emprunter à bas coût sur les marchés financiers, essentiels pour financer les déficits budgétaires. En France, la dette publique avoisine les 114,1 % du PIB au premier trimestre 2025, soit plus de 3.345 milliards d’euros. La dégradation par Fitch fait grimper les taux d’intérêt : le 15 septembre, le rendement des obligations françaises à 10 ans s’établissait à 3,49 %, un écart record avec l’Allemagne. Cela alourdit les charges d’intérêt – déjà estimées à 60 milliards d’euros par an – et pourrait ajouter des milliards supplémentaires, au détriment des services publics, de l’éducation ou de la santé. Pire, si Moody’s (revue prévue le 24 octobre) ou S&P suivent le mouvement, la dette française pourrait sortir de la catégorie « investment grade core », repoussant les investisseurs prudents et amplifiant la spirale.

Fitch pointe explicitement deux facteurs : un déficit structurel à 5,4 % du PIB en 2025, loin des 3 % exigés par l’UE, et une « instabilité politique » qui entrave les réformes. La France n’est plus dans le club des AAA nord-européens (Allemagne, Pays-Bas) ; elle rejoint la Belgique et l’Estonie au niveau A+, tandis que l’Espagne et le Portugal, eux, voient leurs notes améliorées grâce à une gestion plus rigoureuse. Ce n’est pas une fatalité : c’est le prix d’une gouvernance qui privilégie les postures aux actes concrets.


L’absence de gouvernement : une valse des premiers ministres qui paralyse l’économie

Au cœur de cette dégradation trône l’absence criante d’un gouvernement stable. Depuis la dissolution ratée de l’Assemblée nationale en 2024, la France est en proie à une instabilité chronique qui évoque les années 1930. Le 8 septembre 2025, le gouvernement de François Bayrou, nommé en juillet comme quatrième Premier ministre en deux ans sous Emmanuel Macron, a été renversé par un vote de confiance massif : 364 voix contre, 194 pour. Bayrou, artisan d’un plan d’austérité pour juguler la dette, n’a pas tenu face à une Assemblée fragmentée et à une opposition unie contre les coupes budgétaires.

Cette « valse des Premiers ministres » – Attal, Barnier, Bayrou, et maintenant un intérim incertain – n’est pas un accident.

C’est le fruit d’une stratégie macronienne : dissoudre pour imposer une majorité artificielle, échouer, et recommencer. Résultat ? Un pays ingouvernable, comme le titre La Revue de Presse Internationale de Radio France du 9 septembre : « La France est-elle devenue ingouvernable ? » Sans gouvernement, le budget 2026 est en suspens, les réformes bloquées, et les marchés nerveux. Macron, affaibli sur la scène internationale, voit son autorité érodée : la chute de Bayrou le place « en première ligne pour sortir de l’ornière », dixit Les Échos.

Cette paralysie n’est pas anodine. Elle amplifie la dette en empêchant toute consolidation fiscale. Et qui paie ? Les Français, avec des taux d’emprunt qui grimpent et une croissance anémique. La crise politique de 2024-2025, véritable « tourbillon institutionnel », marque un point de non-retour : la Ve République craque sous le poids d’un président qui refuse de lâcher prise.

Le refus de démissionner : un entêtement face à la colère populaire

Malgré cette débâcle, Emmanuel Macron s’accroche au pouvoir comme à une bouée percée. Les sondages sont accablants : en septembre 2025, sa cote de confiance plonge à 15-17 %, un record d’impopularité depuis 2017, pire qu’à l’ère des Gilets jaunes. Près de deux tiers des Français (65 %) appellent à sa démission immédiate, selon un sondage Ifop (certainement sous-estimé) pour Sud Ouest du 5 septembre. À droite comme à gauche, les voix s’élèvent : les Républicains exigent une présidentielle anticipée, le RN accentue la pression lors de sa rentrée à Bordeaux et demande un retour aux urnes alors qu’ils ont refusé de voter sa destitution.

Pourtant, Macron exclut toute démission, refusant même une dissolution supplémentaire. « Même la démission d’Emmanuel Macron ne résoudra pas la crise », ironise Courrier International du 9 septembre, soulignant un président « sans pouvoir » mais têtu. Sur X, les réactions fusent : « Macron ne se contente plus d’ingérence : il flirte avec la belligérance », reflétant une exaspération populaire. Un autre utilisateur dénonce un « discours délirant, manipulatoire » pour masquer ses échecs.

Cet entêtement n’est pas du courage : c’est de l’inconscience. Face à une pression « très forte du peuple », comme l’attestent les manifestations post-Bayrou, Macron préfère ignorer les urnes. Il incarne une élite déconnectée, prête à tout pour perdurer, au risque de fracturer la nation.

L’incapacité à conduire les affaires : priorité à l’UE au mépris du souverainisme français

Pire que l’instabilité, l’incapacité de Macron à « conduire les affaires de l’État » se manifeste par une soumission obsessionnelle à l’Union européenne.

Les Français ont voté « non » à la Constitution européenne en 2005 (54,7 %), un rejet clair de la technocratie bruxelloise. Pourtant, Macron, auto-proclamé « européen convaincu », brade la souveraineté nationale au profit de l’UE. La dette française ? Disciplinée par les règles budgétaires européennes, qui imposent des coupes sans égard pour les spécificités hexagonales. L’instabilité politique ? Elle affaiblit l’UE entière, comme s’inquiète Euronews du 5 septembre : « Quelles conséquences pour l’UE ? »

Macron priorise l’intégration européenne – mutualisation de la dette, défense commune – au détriment des Français. Son plan pour l’Ukraine, financé par des milliards d’euros publics, illustre cette dérive : la France verse sans compter, tandis que les hôpitaux ferment et les retraites s’effritent. Ce n’est pas de la gouvernance : c’est de la vassalisation. Le peuple, qui a dit « non » en 2005, paie aujourd’hui les pots cassés d’un président qui ignore le référendum comme un caprice historique.


Le bellicisme délirant de macron : un danger mortel pour les Français

Au-delà de l’économie, le vrai péril réside dans le bellicisme délirant de Macron, qui expose les Français à des risques existentiels. Depuis 2022, il agite le spectre d’une guerre avec la Russie, promettant des « garanties de sécurité » pour l’Ukraine et envisageant l’envoi de troupes françaises – jusqu’à 40.000 soldats, postés à 80 km du front. Le 5 mars 2025, il déclare : « Jamais depuis 1945 la liberté n’avait été autant menacée », annonçant 6,5 milliards d’euros supplémentaires pour l’armée, portant le budget à 64 milliards annuels d’ici 2027. Des drones, de l’IA, de la guerre cybernétique : un « plan de guerre » qui transforme la France en base OTAN.

Ce n’est pas de la défense : c’est de la provocation. Macron « dramatise » et « provoque », s’agace Hervé Morin en mars 2025. Sur les réseaux sociaux, beaucoup s’agacent : « Macron prend des décisions graves sans consultation du peuple pour provoquer un incident avec la Russie et rester au pouvoir », d’autres soutiennent qu’Emmanuel Macron veut envoyer les Français à la mort. Henri Guaino (député et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy), quant à lui alerte : « C’est le ton qu’on emploie dans un pays au bord de la guerre. »

Les dangers ? Une escalade nucléaire, des sanctions auto-infligées qui ruinent l’économie française (déjà en « économie de guerre »), et une mobilisation forcée qui sacrifierait la jeunesse pour des « fantasmes technocratiques ». Macron, « l’incarnation du diable sur terre » pour certains, joue avec le feu pour distraire de ses échecs domestiques. 

La France n’est pas menacée par la Russie, mais par un président qui rêve d’héroïsme au prix du sang français.

Il est pourtant très facile de s’en convaincre : la Russie est grande comme quatre fois l’Europe et peu peuplée (8,5 hab./km²) comparée à l’UE (environ 106 hab./km²); de plus, elle est maintenue dans une russophobie patente qui créerait bien des soucis à un éventuel appétit russe : à quoi bon ?

Le fossé abyssal avec le peuple : un rejet total

Ce bellicisme n’est que la pointe de l’iceberg d’un fossé qui se creuse entre Macron et le peuple. Sa popularité, à 17 % en septembre selon Elabe, est un effondrement historique. Les Français le voient comme « hors-sol » et totalement déconnecté de leurs préoccupations.

Ce rejet n’est pas conjoncturel : c’est structurel. Macron méprise le « peuple » qu’il théorise comme une « masse à éduquer ». Résultat ? Une France divisée, où les banlieues s’embrasent et les ruraux se sentent abandonnés. Son « petit air de démission » gagne même la droite, note L’Express.

Un rejet international : macron, le paria des dirigeants

À l’étranger, Macron est affaibli : la chute de Bayrou le rend « architecte du déclin français », titre Le Monde du 9 septembre. Ses relations ? Tendues avec Donald Trump, distantes avec Xi Jinping, et conflictuelles avec Vladimir Poutine. Même avec Merz, les frictions sur la défense européenne persistent. Au Shangri-La Dialogue en mai dernier, il alerte sur un « ordre mondial en risque », mais sans alliés solides. Avec Luiz Inácio Lula da Silva, les tensions sur le Mercosur persistent encore, avec une visite à l’Élysée qui a tourné à l’humiliation pour Macron, loin d’un renforcement des liens avec le Brésil. Macron, rejeté par « la plupart des dirigeants », paie son atlantisme forcené et son impérialisme résiduel.

Vers une démission inéluctable ?

La dégradation par Fitch n’est qu’un symptôme d’une présidence en lambeaux. Instabilité, bellicisme, soumission à l’UE, rejet populaire : Macron a transformé la France en otage de ses ambitions. Le peuple, qui a voté « non » en 2005 et crie « démission » en 2025, mérite mieux qu’un chef qui risque la guerre pour masquer ses ruines.

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Dégradation de la note Fitch : la classe politique incapable ou impuissante ?

Deux spécialistes de la finance reviennent sur la manière dont les responsables politiques ont réagi à la dégradation de la note française par l’agence Fitch. Selon ces experts, la séquence illustre le manque de connaissances économiques de ceux qui nous gouvernent et la sclérose institutionnelle de la France.

Le 12 septembre, trois jours après son arrivée à Matignon, Sébastien Lecornu hérite d’un dossier épineux de plus à gérer. L’agence Fitch a abaissé la note de la France de AA- à A+. Une nouvelle étape qui fait du pays le mauvais élève de l’Europe. En 2013, la seconde puissance économique de l’UE avait encore son triple A. Douze ans plus tard, la note a reculé de quatre crans. La situation est avant tout le reflet d’une impuissance de la classe politique à rétablir l’équilibre des comptes publics. Engoncée dans des querelles d’appareil, coincée dans une pensée unique et dans des certitudes, peu formée à l’économie, il est peu probable qu’elle puisse renverser la table.

La faute à la chute de Bayrou ?

Il suffit de se pencher sur les déclarations des principales figures de l’opposition pour constater le problème. Sitôt la note connue, Jean-Luc Mélenchon a fustigé François Bayrou et critiqué sa décision de demander un vote de confiance à l’Assemblée nationale : "Il a provoqué la note Fitch en dévalorisant la France comme premier ministre sur les marchés pendant quinze jours".

Une fake news en bonne et due forme reprise par une grande partie de l’opposition. Les agences de notation annoncent des mois à l’avance la publication de leurs rapports et le vote de confiance n’a pas été déterminant. Moody’s se prononcera le 24 octobre et Standard & Poor’s le 28 novembre.

"Les marchés s’attendaient à cette dégradation depuis des mois et l’agence avait déjà annoncé une perspective défavorable. Si François Bayrou était resté en poste, rien n’aurait changé puisqu’aucune mesure forte n’avait été prise ces derniers mois", pointe l’économiste Nathalie Janson, professeur associée d’économie au sein du département Finance à Neoma Business School. Un avis partagé par Alexis Karklins-Marchay, entrepreneur et essayiste, qui souligne le côté "attendu" de la dégradation. "La France avait des taux d’intérêt à dix ans trop élevés par rapport à sa notation, ça ne collait pas", complète-t-il. Si le bail de François Bayrou à Matignon n’a pas amélioré la situation, c’est surtout parce qu’il incarne l’instabilité politique. Or, les marchés ont horreur de la valse des gouvernements et de l’incertitude qu’elle engendre.

"Les marchés s’attendaient à cette dégradation depuis des mois et l’agence avait déjà annoncé une perspective défavorable. Si François Bayrou était resté en poste, rien n’aurait changé puisqu’aucune mesure forte n’avait été prise ces derniers mois"

L’instabilité sanctionnée

"Parmi les pays qui voient leur note abaissée, l’instabilité est une raison qui revient souvent", explique Alexis Karklins-Marchay qui cite notamment les cas de la Belgique ou de l’Italie. Or, c’est bel et bien le contexte politique de l’Hexagone avec, notamment, quatre premiers ministres en un an qui a incité Fitch à sanctionner la France. Dans son rapport, l’agence souligne que "la chute du gouvernement lors d’un vote de confiance illustre la fragmentation et la polarisation croissante de la politique intérieure". Selon elle, "cette instabilité affaiblit la capacité du système politique à mettre en œuvre une consolidation budgétaire d’ampleur". En clair, il était improbable que l’exécutif tienne sa promesse de ramener le déficit public sous la barre des 3 % en 2029, comme cela avait été initialement promis. Et cette impuissance se paie cash.

Culture de la dépense

Si l’instabilité est un facteur aggravant, il y a peut-être pire. Même si un gouvernement avait été stable et avait pu s’appuyer sur une large majorité, il est probable qu’il ne serait pas parvenu à tenir ses promesses pour des raisons politiques.

Pour redevenir AAA+ ou, à défaut, pour mettre fin à la dégringolade, les responsables politiques n’ont pas le choix, ils doivent améliorer l’efficacité de l’État et stimuler le tissu économique : "C’est possible, cela a été fait par l’Espagne, le Portugal, l’Italie avec à la manœuvre des gouvernements qui peuvent être de gauche ou de droite", observe Alexis Karklins-Marchay.

Mais, en France, ces réformes structurelles sont vues comme de l’austérité ou du libéralisme. Dans notre pays, ces deux mots sentent le soufre et un responsable politique qui ose les prononcer est cloué au pilori par ses pairs, la majorité des médias et, par extension, l’opinion. Mieux vaut donc faire le dos rond et "refiler la patate chaude" au gouvernement suivant qui agira de même. Cette procrastination peut se comprendre, estime Nathalie Janson : " La dette française reste un placement sûr, il y a une stabilité de la demande des titres français qui se placent à des taux qui demeurent relativement faibles. En outre, la BCE a un mécanisme qui permet d’acheter la dette des pays membres pour éviter que les spreads de taux ne soient trop dispersés". Dès lors, pourquoi engager des réformes impopulaires ? Après tout, nous sommes too big to fail.

Pourquoi engager des réformes impopulaires ? Après tout, nous sommes too big to fail pensent de nombreux élus

"Chez nous, le mantra de la classe politique est “je dépense donc je suis”", déplore Alexis Karklins-Marchay, qui appelle à changer de logiciel. D’après lui, le fait de s’opposer au dogme en vigueur devrait être vendu à l’opinion comme une solution qui permettrait de "rendre de l’argent aux Français". "Ce discours commence à infuser dans plusieurs partis, par exemple chez Renaissance avec Guillaume Kasbarian, chez Horizons avec Christelle Morançais ou chez LR avec David Lisnard", se réjouit-il. Pour le moment, les choses changent lentement.

 Le poids des médias et de l’enseignement supérieur

Les coupables ? L’enseignement supérieur et les médias, estiment à l’unisson les deux experts interrogés. De plus en plus, nos élus sont formés dans des facultés de sciences sociales ou des instituts d’études politiques. L’enseignement prodigué a tendance à donner une mauvaise image du secteur privé, à mettre en avant des économistes keynésiens, au détriment d’autres écoles d’économie.

Cela explique les biais dans les politiques publiques, les réflexes pavloviens dans les prises de parole, mais aussi une certaine incompétence sur les sujets économiques. "Éric Coquerel, qui dirige la commission des Finances du Palais Bourbon, ne comprend pas la différence entre la richesse réelle et la richesse liée à des actions par nature volatiles. Il confond la valeur et le chiffre d’affaires, c’est incroyable !", s’indigne Nathalie Janson. Les connaisseurs des arcanes du monde de l’entreprise se souviennent également de l’audition de Florent Menegaux, patron de Michelin, devant une commission parlementaire. Le capitaine d’industrie a été contraint d’expliquer le b-a-ba de la trésorerie ou de la gestion d’une entreprise à des députés peu au fait de certaines notions de base.

Cette méconnaissance ruisselle également dans les médias où les journalistes ont la même formation, ou déformation, que leurs anciens condisciples engagés en politique. "La conséquence de tout cela, c’est que les économistes qui ont leur rond de serviette dans les médias, notamment publics, sont presque tous des keynésiens de gauche, comme Thomas Piketty, Thomas Porcher ou Gabriel Zucman", se désole Alexis Karklins-Marchay qui déplore une "anesthésie de l’opinion publique". Il n’est pas le seul à être sur cette ligne. Lors de la REF, Nicolas Dufourcq, président de BPIFrance, avait exhorté les dirigeants d’entreprise à prendre d’assaut les médias. Si l’on en juge par la composition des plateaux d’émissions liées à l’économie et à la politique, il n’a pas encore fait d’émules…

Lucas Jakubowicz: https://www.decideurs-magazine.com/politique-societe/62277-degradation-de-la-note-fitch-la-classe-politique-incapable-ou-impuissante.html

 


 

 

septembre 10, 2025

L'ami intime du couple Macron, Sébastien Lecornu, enfin Premier Ministre, après Bayrou le numéro 7 !

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Sébastien Lecornu : le nouveau lieutenant d’Emmanuel Macron 

En ce 10 septembre 2025, la nomination de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre par Emmanuel Macron n’est pas seulement un énième remaniement dans une présidence chaotique – c’est une provocation flagrante. À 39 ans, ce « survivant politique » issu de la droite, reconverti en macroniste zélé, incarne tout ce que la Ve République a de plus instable et corrompu. Septième Premier ministre en huit ans sous Macron, Lecornu succède à François Bayrou après un vote de défiance historique, marquant le retour aux pires travers de la IVe République : instabilité, illégitimité et petits arrangements en coulisses. Mais derrière ce choix, se cache un agenda belliciste assumé, porté par un homme aux multiples casseroles, proche de l’extrême droite et chouchou de Brigitte Macron, dont l’influence sur son époux n’est plus à démontrer.


Une ascension fulgurante marquée par l’opportunisme et les trahisons

Né en 1986, Sébastien Lecornu a gravi les échelons à une vitesse suspecte, devenant le plus jeune assistant parlementaire (19 ans – en 2005), conseiller ministériel (22 ans – en 2008), président de conseil départemental (28 ans – en 2015) et ministre de la Défense (35 ans – en 2022) de l’histoire française.

Initialement gaulliste et souverainiste au sein de l’UMP (puis Les Républicains), il a vite trahi ses origines pour rejoindre Emmanuel Macron en 2017, abandonnant ses critiques envers l’Union européenne. Ce virage opportuniste l’a propulsé au gouvernement : secrétaire d’État à l’Écologie, ministre des Collectivités territoriales, des Outre-mer, puis des Armées. À Matignon, il est perçu comme un loyaliste absolu, capable de compromis douteux avec « l’extrême droite » pour survivre politiquement.

Mais cette carrière fulgurante cache une série de scandales. En 2021, une enquête pour prise illégale d’intérêts l’a visé pour avoir cumulé une rémunération d’administrateur de la Société des autoroutes Paris-Normandie (SAPN) avec des décisions favorables à cette société en tant que président du conseil départemental de l’Eure. Bien que classée sans suite en 2022, l’affaire pue le favoritisme. Ajoutez à cela une audition en 2025 pour favoritisme dans l’attribution de marchés publics à un proche pour des expositions photo à 80.000 euros, sans appel d’offres – une enquête du Parquet national financier toujours en cours. Sans oublier les apéros clandestins organisés pendant le confinement Covid en 2021, révélés par la presse, contredisant ses leçons d’exemplarité. Et que dire de l’achat de 100.000 euros de livres à un proche de Macron avec des fonds du ministère des Outre-mer ? Lecornu n’est pas un homme d’État, mais un « pédaleur d’influence » dans une macronie gangrenée par la corruption.

 

Des liens troubles avec « l’extrême droite » et des complicités suspectes

Pire encore, Lecornu entretient des relations secrètes avec le Rassemblement national (RN). En juin 2024, peu après l’annonce par Macron d’élections législatives anticipées, des rencontres secrètes avec les dirigeants du RN, Marine Le Pen et Jordan Bardella, ont été révélées par Libération et confirmées par les participants. En tant que ministre des Armées, il menait ces discussions sans en informer ses collègues – une opacité suspecte dans un contexte de tensions géopolitiques. Ces liens pourraient expliquer pourquoi le RN pourrait épargner son gouvernement, transformant la politique en cirque où Lecornu joue le rôle du « survivant » capable de neutraliser la droite pour Macron.

Ses fréquentations douteuses ne s’arrêtent pas là. Il affiche une complicité avec Yassine Bellatar, humoriste controversé proche des Frères musulmans, malgré les efforts antiterroristes de l’armée française. Son cabinet a prétendu qu’il l’avait confondu avec un technicien, mais des témoins confirment qu’il le connaissait.

 

Le bellicisme incarné : un danger pour la France et l’Europe

En tant que ministre des Armées depuis 2022, Lecornu a piloté une loi de programmation militaire 2024-2030 dotée de 413 milliards d’euros, doublant les dépenses pour atteindre 69 milliards d’ici 2030.

Ce renforcement, motivé par la guerre en Ukraine, inclut la dissuasion nucléaire et un nouveau porte-avions – un choix belliciste qui aligne la France sur une escalade anti-russe. Mais cette politique rencontre des résistances internes : en juin 2025, le ministère des Armées a approché Renault pour produire des drones militaires destinés à la France et à l’Ukraine, en s’appuyant sur l’expertise ukrainienne. Les salariés ont massivement refusé, arguant qu’ils avaient signé pour assembler des voitures, pas des armes. Les syndicats comme Force Ouvrière et la CGT ont souligné les tensions potentielles au sein des équipes, incluant des travailleurs russes et ukrainiens, et demandé des garanties sur le droit de refus. Renault a même envisagé de délocaliser la production en Slovénie pour éviter les conflits, mais cela soulève des risques géopolitiques et de cyberattaques. Cette rébellion ouvrière expose le cynisme de Lecornu : forcer une reconversion industrielle vers la guerre, au mépris des employés et des implications éthiques.

Ce bellicisme n’est pas isolé ; il reflète celui d’Emmanuel Macron, qui a multiplié les déclarations agressives sur l’Ukraine, agitant la peur d’une ingérence russe pour tout justifier. Macron choisit Lecornu, « le pire faucon », pour maintenir un « horizon de guerre » permanent, neutralisant l’opposition et justifiant une hystérie anti-russe. Pourquoi ce choix ? Pour prolonger un macronisme en déroute, où la guerre sert de mortier à un pouvoir chancelant, au risque d’impliquer la France dans un conflit direct avec la Russie. Lecornu, architecte d’un renforcement militaire face à la Russie, incarne ce virage : des conférences avec des leaders bellicistes comme Scholz ou Starmer, des exclusions aériennes risquées, et une armée vampirisée par l’OTAN et l’UE.

Le rôle clé de Brigitte Macron : une influence ombragée

Au cœur de cette nomination, la proximité de Lecornu avec Brigitte Macron, qui exerce une influence considérable sur son époux. Décrit comme son « chouchou« , Lecornu a su la séduire par des dîners et des petites blagues, selon des proches. « Brigitte l’aime beaucoup, ça compte », confiait-on en 2023. Cette affection n’est pas anodine : Brigitte, souvent présentée comme une conseillère informelle, a déjà favorisé des nominations comme celle de Gabriel Attal.

Lecornu, ami intime de cette « bande à Brigitte » (avec Blanquer, Castaner), bénéficie de cette protection élyséenne.

Macron, en le choisissant, cède t-il une fois de plus à cette influence, transformant Matignon en affaire de famille ? Cette dynamique soulève des questions : qui gouverne vraiment ? Une Première dame aux réseaux opaques, qui dépense des millions en procédures judiciaires américaines malgré des déclarations de patrimoine suspectes, finalement blanchies par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).


Un choix scandaleux pour une France en péril

En nommant Lecornu, Macron opte pour la continuité d’un régime instable, belliciste et corrompu. Ce « faucon » pro-Ukraine, aux liens troubles avec le RN et chouchou de Brigitte, risque d’entraîner la France dans une escalade guerrière inutile, tout en ignorant les résistances populaires. Dans une Ve République brisée – sept Premiers ministres en huit ans, dont Édouard Philippe (Monsieur Covid), Jean Castex (l’inénarrable), Élisabeth Borne (Mamie 49.3) et les éphémères Attal, Barnier et Bayrou – Lecornu n’est qu’un fusible de plus. Mais ce choix, dicté par le bellicisme macronien pour contrer la Russie et neutraliser la droite, pourrait bien précipiter le chaos : colère sociale, blocage institutionnel et trahison démocratique. La France mérite mieux qu’un « cirque » dirigé par des clones idéologiques, des comédiens pilotés par des réseaux supranationaux. Lecornu à Matignon ? Une provocation qui pourrait signer la fin d’un macronisme agonisant.

https://multipol360.com/sebastien-lecornu-le-nouveau-lieutenant-demmanuel-macron/

 


Sébastien Lecornu, le moins macroniste des macronistes
 
S’il est proche du président, le Premier ministre, de tendance gaulliste, ne partage en rien sa vision du dialogue avec les oppositions et la population.

Par Saïd Mahrane 
 
Depuis sa nomination à Matignon, on dit de lui qu'il est un « macroniste ». Or il n'existe pas moins macroniste que Sébastien Lecornu au sein du gouvernement. C'est précisément ce qui explique sa survie politique. Proche du président de la République, oui, il l'est indéniablement. Fidèle, loyal, présent, aussi, ce qui lui vaudra, dans ce monde sans foi, la sincère sympathie de Brigitte Macron.
Mais penser un instant que le nouveau Premier ministre puisse adhérer à une représentation de la société et à une manière d'exercer la politique selon des canons macroniens, tels que nous les connaissons depuis 2017, est une erreur.
Le conteur d'histoires face au président philosophe
Pour le comprendre au mieux, il faut regarder du côté de Vernon, ville dont il fut le maire, et de l'Eure, département dont il fut le président. Ce bout de Normandie est une France à petite échelle, avec ses variétés, ses ruptures, ses déserts, ses violences et ses inégalités. Il fallait l'entendre, de retour à Paris, raconter les bonheurs et les galères de la vie loin des lieux du pouvoir. Cette expérience acquise, alors qu'il n'avait pas 30 ans, lui a conféré de solides convictions dans la manière de préserver une cohésion, ce sans quoi rien n'est possible quand on se dit gaulliste.
L'admirateur de la geste gaullienne, partisan des référendums, voue également une passion pour la politique en tant qu'elle est une aventure collective au service d'une idée, et plus encore pour la psychologie des hommes. En la matière, il est un redoutable portraitiste. Quand Macron est tout en concepts philosophiques, lui déroule des événements et fait le récit, sous forme de mises en garde, de bascules historiques nées souvent d'un fait anodin. Un moyen comme un autre de distiller des messages sans froisser les susceptibilités.
Les mots et la connexion
Son aide fut précieuse au président de la République lors des grands débats post-mobilisation des Gilets jaunes. Alimenté en notes par des techniciens parfois aussi ignorants que lui des réalités, Macron, il le confia, fut impressionné par le sens du « concret » de son ministre en charge des Collectivités territoriales. Ouvert sur les thèmes sociétaux, Sébastien Lecornu est avant tout un homme de droite, d'une droite qui n'existe plus, morte avec Philippe Séguin et ceux qu'on appelait jadis les gaullistes sociaux.
En cela, il est le jumeau de Gérald Darmanin, deux survivants de cette famille politique, échoués en macronie. Comment la définir, s'agissant du style ? C'est simple : mettez leur en face un patron du CAC 40 ou un syndicaliste, un général ou un piou-piou, un communiste ou un libéral, ils trouveront aussitôt les mots et la connexion par une bonhommie, une écoute et, toujours, cette impression chez eux qu'une solution est possible.

Un son de cloche différent
 
Au ministère des Armées, beaucoup, parmi les gradés, ont été surpris lors de sa nomination. Les mêmes, lit-on, le regrettent déjà. Mais, plus que tout, et c'est aussi en cela qu'il n'est pas macroniste, Lecornu est un homme qui doute. En 2017, lorsqu'il fut appelé à entrer au gouvernement, il se demanda s'il en avait la légitimité. Puis, au gré des remaniements, le président a noté chez lui une ambition sereine, moins tapageuse que celle d'autres ministres faisant campagne. De même son rapport aux médias est-il « sain » : il ne court pas les micros. S'il n'a rien à dire, il préfère s'abstenir.

Son principal handicap, dans le fond, est précisément cette trop grande loyauté vis-à-vis d'un président qui, il est vrai, lui aura accordé sa confiance à maintes reprises. Dans l'histoire tourmentée du macronisme, on aurait cependant dû entendre un son de cloche différent du funeste « en même temps » et des amphigouris présidentiels. Un son de cloche qui aurait sonné plus humain, plus en faveur des petites gens, des élus locaux, de l'opposition, fait de simplicité, d'humilité, de réactivité, et qui aurait été à mille lieues du mépris de forme exprimé par le président et un entourage à son image.
Certes, s'il avait ouvert la bouche pour exprimer un non gaullien, Lecornu l'aurait payé, puisqu'il est connu que Macron n'aime pas les voix dissidentes, même quand elles disent vrai. Que pourra donc faire le Premier ministre dans le bourbier actuel ? On l'ignore. Il devra montrer une méthode avant de dévoiler des idées. Soit un contresens. C'est à lui, ancien ministre des Armées, de trouver la voie pour sortir les uns et les autres de leurs tranchées, les ramener à la table des négociations et s'accorder sur un budget. Il lui faudra, en l'espèce, oubliant la tutelle présidentielle, être d'abord fidèle à lui-même…
 

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