octobre 31, 2025
Jordan Bardella, produit de l’État profond !
https://x.com/f_philippot/status/1984212295921053926
octobre 16, 2025
Recours de Marine le Pen rejeté = Inéligibilité !
Le rejet du recours de Marine le Pen : une décision judiciaire aux répercussions politiques majeures
Le 15 octobre 2025, le Conseil d’État a rejeté le recours déposé par Marine Le Pen contre l’application immédiate de sa peine d’inéligibilité, prononcée dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires européens du Rassemblement National (RN, ex-Front National).
Cette décision confirme son exclusion temporaire des listes électorales, l’empêchant de se présenter à des élections jusqu’à l’issue de son appel, prévu début 2026.
Au-delà du cas personnel de la dirigeante du RN, cette affaire soulève des questions sur l’équité judiciaire en politique, les pratiques courantes dans les partis français et les instabilités institutionnelles actuelles.
Contexte de l’affaire et décision du Conseil d’État
L’affaire remonte à des soupçons de détournement de fonds européens entre 2004 et 2016, où des assistants parlementaires du FN auraient été rémunérés par le Parlement européen pour des tâches en réalité effectuées pour le parti en France. En mars 2025, Marine Le Pen a été condamnée à quatre ans de prison (dont deux fermes, aménagés), une amende de 100.000 euros et cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire. Son recours visait à contester cette inéligibilité immédiate, arguant d’une violation de la « liberté de candidature ». Le Conseil d’État a jugé que le litige ne relevait pas de ses compétences, refusant de transmettre une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) au Conseil constitutionnel.
Conséquences pour le Rassemblement National
Malgré son inéligibilité, Marine Le Pen privilégie œuvrer pour une dissolution de l’Assemblée nationale via des motions de censure contre le gouvernement, comme celle déposée le 13 octobre 2025 par le RN.
Elle argue que seule une dissolution rendra la parole au peuple, affirmant qu’elle censurera « tout » gouvernement jusqu’à obtention de nouvelles élections, permettant ainsi une nouvelle majorité à l’Assemblée où le RN pourrait dominer sans impliquer immédiatement une présidentielle.
Cette stratégie lui est personnellement profitable : en cas de dissolution, des législatives anticipées suivraient, où elle pourrait influencer le parti sans candidater elle-même, tout en évitant une élection présidentielle qui l’exclurait en raison de sa peine d’inéligibilité de cinq ans. Si une démission ou une destitution d’Emmanuel Macron advenait – scénarios qu’elle évoque parfois comme une option « sage » pour Macron, mais sans les pousser activement – une présidentielle s’ensuivrait dans les 20 à 35 jours (article 7 de la Constitution), et Marine Le Pen, inéligible, ne pourrait pas se présenter. Dans ce cas, Jordan Bardella, actuel président du RN et figure montante, deviendrait probablement le candidat naturel du parti à l’Élysée, une perspective que Marine Le Pen pourrait voir d’un mauvais œil, craignant une perte d’influence personnelle au sein du mouvement qu’elle a longtemps dirigé.
Contrairement à beaucoup de Français et partis politiques – notamment La France Insoumise (LFI) et d’autres formations de gauche radicale – qui appellent à la démission d’Emmanuel Macron ou à sa destitution, Marine Le Pen n’a pas soutenu la motion de destitution. Bien qu’elle ait qualifié une démission de Macron de décision « sage » et la dissolution d' »absolument nécessaire », elle privilégie la voie de la censure pour éviter des procédures plus complexes et incertaines comme la destitution, qui pourrait la marginaliser au profit de Jordan Bardella. La destitution du Président de la République est régie par l’article 68 de la Constitution française. Cet article stipule que le Président ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat. La procédure implique que le Parlement se constitue en Haute Cour : une proposition de réunion doit être adoptée par l’une des assemblées (Assemblée nationale ou Sénat) à la majorité des deux tiers, puis transmise à l’autre pour approbation dans les 15 jours. Si approuvée, la Haute Cour, présidée par le président de l’Assemblée nationale, statue sur la destitution dans un délai d’un mois, à bulletins secrets et à la majorité des deux tiers. Les décisions sont immédiates, et une loi organique fixe les conditions d’application. Cette mesure exceptionnelle est rarement invoquée en raison de son seuil élevé et de sa nature politique.
Des pratiques similaires dans d’autres partis
L’affaire du RN n’est pas isolée. Des enquêtes similaires ont visé d’autres formations politiques pour des emplois présumés fictifs d’assistants parlementaires européens. Le MoDem de François Bayrou a été impliqué (ce qui ne l’a pas empêché d’être nommé Premier ministre par Emmanuel Macron) : en février 2024, Bayrou a été relaxé, mais cinq anciens eurodéputés ont été condamnés pour détournement de fonds. L’UDI (ex-Union des démocrates et indépendants) a aussi fait l’objet de poursuites pour des pratiques analogues, avec un procès en 2024 sur des emplois fictifs. Des allégations ont touché le Parti socialiste (PS) et d’autres groupes, bien que moins médiatisées ou non abouties à des condamnations. La France Insoumise (LFI) et son leader Jean-Luc Mélenchon font également l’objet d’une enquête similaire, ouverte par l’Office européen de lutte antifraude (Olaf) en septembre 2017 suite à un signalement d’une eurodéputée du Front national. Cette affaire porte sur des suspicions d’emplois fictifs ou non conformes impliquant deux assistants parlementaires accrédités (Juliette Prados et Laurent Maffeïs) durant le mandat de Mélenchon au Parlement européen (2009-2017). Les allégations incluent un détournement de fonds européens pour financer des activités politiques nationales au Parti de gauche (précurseur de LFI), avec un préjudice estimé à plus de 500.000 euros. Le rapport final de l’Olaf, daté de mars 2021 et révélé en mars 2025, pointe des manquements comme l’utilisation limitée de messageries professionnelles européennes, des résidences éloignées des sièges du Parlement, et une focalisation du travail sur les activités de Mélenchon en tant que chef de parti plutôt que sur son mandat européen. L’instruction judiciaire en France est en cours depuis 2018, sans mises en examen à ce jour, bien que deux collaborateurs aient été placés sous statut de témoins assistés en 2022.
Selon des rapports, ces malversations étaient « assez répandues » au Parlement européen, impliquant divers partis français sans que tous soient systématiquement poursuivis.
Certains observateurs notent que des partis n’ont « pas été pris la main dans le sac » en raison de contrôles moins rigoureux ou de preuves insuffisantes, soulignant une inégalité dans l’application de la justice.
L’affaire Fillon : un précédent symbolique
Cette situation évoque l’affaire des costumes de François Fillon en 2017, où le candidat LR a été mis en examen pour des cadeaux de luxe (des costumes offerts par un ami, d’une valeur de 48.500 euros), élargissant une enquête sur des emplois fictifs impliquant sa famille. Ces révélations ont torpillé sa campagne présidentielle, l’empêchant de se qualifier au second tour malgré un programme conservateur plébiscité. Comparé à d’autres scandales, comme la vente d’Alstom à General Electric en 2014-2015 sous Emmanuel Macron (alors ministre de l’Économie), où des soupçons de conflits d’intérêts persistent sans poursuites rapides, l’affaire Fillon apparaît comme des « broutilles ».
Le Parquet national financier (PNF) a agi promptement sur Fillon, tandis que l’enquête Alstom traîne depuis 2019, illustrant une sélectivité perçue dans les poursuites judiciaires.
La « chienlit » politique et l’élection d’Emmanuel Macron
La décision contre Le Pen s’inscrit dans une instabilité politique
accrue, qualifiée de « chienlit » par certains, remontant à l’élection
d’Emmanuel Macron en 2017. L’élimination de Fillon a favorisé
l’ascension de Macron, perçu comme un outsider face à Le Pen au second
tour. Aujourd’hui, avec des gouvernements successifs fragiles (comme
celui de Sébastien Lecornu, menacé de censure), cette affaire renforce
le chaos institutionnel, avec des motions de censure récurrentes et des
appels à dissolution. La justice, en influençant les calendriers
électoraux, joue un rôle majeur, parfois accusée de connivence avec le
pouvoir exécutif.
La
justice française porte une « énorme responsabilité » dans la vie
politique, en disqualifiant des candidats via des peines
d’inéligibilité. Des critiques pointent une politisation, avec des
nominations influencées par les majorités au pouvoir.
Les Français, victimes une fois de plus
septembre 10, 2025
La politique, cette fourberie; comment Marine Le Pen se protège par allégeance !
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Le Renoncement National : comment le RN trahit ses électeurs en protégeant Macron
Le Rassemblement National, que l’on devrait désormais appeler « Renoncement National » pour refléter sa lâcheté flagrante, a franchi un nouveau cap dans la trahison politique. À l’Assemblée nationale, Marine Le Pen a déclaré sans sourciller :
« Nous respectons les institutions et notamment l’institution présidentielle et n’appelons pas à la destitution. »
Par ces mots, le RN maintient Emmanuel Macron au pouvoir, refusant de soutenir la motion de destitution déposée par La France insoumise (LFI). Une posture dite « responsable » qui masque en réalité une capitulation totale, transformant le premier parti d’opposition en complice d’un système macroniste en déroute.
Une position « responsable » qui empeste la collusion
Jordan Bardella, sur RTL, a renchéri : le RN ne votera pas la motion de destitution car, contrairement à LFI, ils ne cherchent pas le chaos et respectent la fonction présidentielle
Cette décision va à l’encontre de 80 à 90 % des électeurs RN, favorables à la destitution selon des sondages. En refusant d’engager un rapport de force, le RN trahit sa base : ouvriers, salariés et classes populaires qui attendent un vrai changement, pas une normalisation conformiste. C’est antidémocratique et dangereux, car cela affaiblit Macron sans le renverser, prolongeant son chaos au pouvoir. La motion de LFI arrive mardi prochain, mais le RN la rejette pour « respect de la fonction » – un respect sélectif qui épargne « le pire assassin de cette fonction ».
Le RN, fausse opposition intégrée au système macroniste
Le Rassemblement National n’est plus antisystème. Ses dîners secrets avec Lecornu en juin-juillet 2024, organisés via Thierry Solère et cachés des agendas et de la presse, révèlent une collusion monstrueuse. Confirmés par les protagonistes, ces rendez-vous avec Marine Le Pen et Jordan Bardella visaient à normaliser les relations : « Contrairement à d’autres, je ne vous ai pas méprisé », arguerait Lecornu, promettant d’être « gentil » si le RN l’épargne. Des « atomes crochus » sur l’UE et l’Ukraine ? Cela explique pourquoi le RN épargne le gouvernement : pas de censure, juste des râleries. Marine Le Pen savait que ce serait Lecornu ; sa déclaration post-vote de confiance pue le petit arrangement en coulisses.
Le RN n’a jamais proposé de motion parlementaire de destitution, contrairement à LFI. Au début de la législature, il votait les motions de censure du PS ou LFI ; plus maintenant. Une évolution vers le renoncement, où le chaos est imputé à LFI pendant que le RN joue les sages – refus de serrage de main inclus, enfantillages indignes qui bloquent toute coordination.
Incapacité à unir : le chaos qu’ils alimentent
Tant qu’il y a cette incapacité à se coordonner entre LFI et RN – refus de serrage de main pathétique, stratégies puériles –, destituer Macron est impossible. Une motion votée ne serait-ce qu’à l’Assemblée aurait une force symbolique immense, affaiblissant Macron mondialement (même s’il y parvient très bien lui même !). Mais le RN la rejette, préférant « laisser Macron pour que la fonction soit respectée ». Le vrai chaos, c’est tolérer Macron, qui détruit la Ve République.
Le RN, complice d’un système agonisant
Le Renoncement National n’est plus l’opposition : c’est une fausse alternative, intégrée pour plumer ses électeurs comme Mitterrand les communistes. En maintenant Macron, ils trahissent la souveraineté et leurs 80-90 % de base pro-destitution. Il devient très urgent d’unir le vote souverainiste de gauche et de droite : candidatures communes aux législatives, primaire pour un fédérateur. Sans cela, le RN prolongera l’horreur macroniste. Mieux vaut la fin d’une horreur qu’une horreur sans fin – mais avec le RN, c’est l’inverse. La France a besoin d’une rupture authentique, et non de ce spectacle de marionnettes asservies à des réseaux supranationaux. Elle a également besoin d’une nouvelle Constitution octroyant davantage de droits au peuple qui lui déclencherait une destitution sans l’aval d’un Parlement affairiste.
Vidéo: Marine Le Pen annonce que le RN ne votera pas la destitution de Macron, par respect pour la fonction présidentielle ! https://x.com/myriampalomba/status/1965111230299082886
L'ami intime du couple Macron, Sébastien Lecornu, enfin Premier Ministre, après Bayrou le numéro 7 !
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Sébastien Lecornu : le nouveau lieutenant d’Emmanuel Macron
En ce 10 septembre 2025, la nomination de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre par Emmanuel Macron n’est pas seulement un énième remaniement dans une présidence chaotique – c’est une provocation flagrante. À 39 ans, ce « survivant politique » issu de la droite, reconverti en macroniste zélé, incarne tout ce que la Ve République a de plus instable et corrompu. Septième Premier ministre en huit ans sous Macron, Lecornu succède à François Bayrou après un vote de défiance historique, marquant le retour aux pires travers de la IVe République : instabilité, illégitimité et petits arrangements en coulisses. Mais derrière ce choix, se cache un agenda belliciste assumé, porté par un homme aux multiples casseroles, proche de l’extrême droite et chouchou de Brigitte Macron, dont l’influence sur son époux n’est plus à démontrer.
Une ascension fulgurante marquée par l’opportunisme et les trahisons
Né en 1986, Sébastien Lecornu a gravi les échelons à une vitesse suspecte, devenant le plus jeune assistant parlementaire (19 ans – en 2005), conseiller ministériel (22 ans – en 2008), président de conseil départemental (28 ans – en 2015) et ministre de la Défense (35 ans – en 2022) de l’histoire française.
Initialement gaulliste et souverainiste au sein de l’UMP (puis Les Républicains), il a vite trahi ses origines pour rejoindre Emmanuel Macron en 2017, abandonnant ses critiques envers l’Union européenne. Ce virage opportuniste l’a propulsé au gouvernement : secrétaire d’État à l’Écologie, ministre des Collectivités territoriales, des Outre-mer, puis des Armées. À Matignon, il est perçu comme un loyaliste absolu, capable de compromis douteux avec « l’extrême droite » pour survivre politiquement.
Mais cette carrière fulgurante cache une série de scandales. En 2021, une enquête pour prise illégale d’intérêts l’a visé pour avoir cumulé une rémunération d’administrateur de la Société des autoroutes Paris-Normandie (SAPN) avec des décisions favorables à cette société en tant que président du conseil départemental de l’Eure. Bien que classée sans suite en 2022, l’affaire pue le favoritisme. Ajoutez à cela une audition en 2025 pour favoritisme dans l’attribution de marchés publics à un proche pour des expositions photo à 80.000 euros, sans appel d’offres – une enquête du Parquet national financier toujours en cours. Sans oublier les apéros clandestins organisés pendant le confinement Covid en 2021, révélés par la presse, contredisant ses leçons d’exemplarité. Et que dire de l’achat de 100.000 euros de livres à un proche de Macron avec des fonds du ministère des Outre-mer ? Lecornu n’est pas un homme d’État, mais un « pédaleur d’influence » dans une macronie gangrenée par la corruption.
Des liens troubles avec « l’extrême droite » et des complicités suspectes
Ses fréquentations douteuses ne s’arrêtent pas là. Il affiche une complicité avec Yassine Bellatar, humoriste controversé proche des Frères musulmans, malgré les efforts antiterroristes de l’armée française. Son cabinet a prétendu qu’il l’avait confondu avec un technicien, mais des témoins confirment qu’il le connaissait.
Le bellicisme incarné : un danger pour la France et l’Europe
En tant que ministre des Armées depuis 2022, Lecornu a piloté une loi de programmation militaire 2024-2030 dotée de 413 milliards d’euros, doublant les dépenses pour atteindre 69 milliards d’ici 2030.
Ce renforcement, motivé par la guerre en Ukraine, inclut la dissuasion nucléaire et un nouveau porte-avions – un choix belliciste qui aligne la France sur une escalade anti-russe. Mais cette politique rencontre des résistances internes : en juin 2025, le ministère des Armées a approché Renault pour produire des drones militaires destinés à la France et à l’Ukraine, en s’appuyant sur l’expertise ukrainienne. Les salariés ont massivement refusé, arguant qu’ils avaient signé pour assembler des voitures, pas des armes. Les syndicats comme Force Ouvrière et la CGT ont souligné les tensions potentielles au sein des équipes, incluant des travailleurs russes et ukrainiens, et demandé des garanties sur le droit de refus. Renault a même envisagé de délocaliser la production en Slovénie pour éviter les conflits, mais cela soulève des risques géopolitiques et de cyberattaques. Cette rébellion ouvrière expose le cynisme de Lecornu : forcer une reconversion industrielle vers la guerre, au mépris des employés et des implications éthiques.
Ce bellicisme n’est pas isolé ; il reflète celui d’Emmanuel Macron, qui a multiplié les déclarations agressives sur l’Ukraine, agitant la peur d’une ingérence russe pour tout justifier. Macron choisit Lecornu, « le pire faucon », pour maintenir un « horizon de guerre » permanent, neutralisant l’opposition et justifiant une hystérie anti-russe. Pourquoi ce choix ? Pour prolonger un macronisme en déroute, où la guerre sert de mortier à un pouvoir chancelant, au risque d’impliquer la France dans un conflit direct avec la Russie. Lecornu, architecte d’un renforcement militaire face à la Russie, incarne ce virage : des conférences avec des leaders bellicistes comme Scholz ou Starmer, des exclusions aériennes risquées, et une armée vampirisée par l’OTAN et l’UE.
Le rôle clé de Brigitte Macron : une influence ombragée
Au cœur de cette nomination, la proximité de Lecornu avec Brigitte Macron, qui exerce une influence considérable sur son époux. Décrit comme son « chouchou« , Lecornu a su la séduire par des dîners et des petites blagues, selon des proches. « Brigitte l’aime beaucoup, ça compte », confiait-on en 2023. Cette affection n’est pas anodine : Brigitte, souvent présentée comme une conseillère informelle, a déjà favorisé des nominations comme celle de Gabriel Attal.
Lecornu, ami intime de cette « bande à Brigitte » (avec Blanquer, Castaner), bénéficie de cette protection élyséenne.
Macron, en le choisissant, cède t-il une fois de plus à cette influence, transformant Matignon en affaire de famille ? Cette dynamique soulève des questions : qui gouverne vraiment ? Une Première dame aux réseaux opaques, qui dépense des millions en procédures judiciaires américaines malgré des déclarations de patrimoine suspectes, finalement blanchies par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).
Un choix scandaleux pour une France en péril
En nommant Lecornu, Macron opte pour la continuité d’un régime instable, belliciste et corrompu. Ce « faucon » pro-Ukraine, aux liens troubles avec le RN et chouchou de Brigitte, risque d’entraîner la France dans une escalade guerrière inutile, tout en ignorant les résistances populaires. Dans une Ve République brisée – sept Premiers ministres en huit ans, dont Édouard Philippe (Monsieur Covid), Jean Castex (l’inénarrable), Élisabeth Borne (Mamie 49.3) et les éphémères Attal, Barnier et Bayrou – Lecornu n’est qu’un fusible de plus. Mais ce choix, dicté par le bellicisme macronien pour contrer la Russie et neutraliser la droite, pourrait bien précipiter le chaos : colère sociale, blocage institutionnel et trahison démocratique. La France mérite mieux qu’un « cirque » dirigé par des clones idéologiques, des comédiens pilotés par des réseaux supranationaux. Lecornu à Matignon ? Une provocation qui pourrait signer la fin d’un macronisme agonisant.
https://multipol360.com/sebastien-lecornu-le-nouveau-lieutenant-demmanuel-macron/


















