septembre 08, 2025

Le réseau Soros : un cheval de Troie mondialiste dans le viseur de Trump

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George Soros, milliardaire hongro-américain, a bâti un empire philanthropique via les Open Society Foundations (OSF), https://www.opensocietyfoundations.org/ présenté comme un défenseur de la « société ouverte » inspirée du philosophe Karl Popper. Cette vision philosophique, centrée sur la fallibilité humaine et la réflexivité, sert de cadre à des interventions globales promouvant l’ouverture des frontières, les droits humains et la démocratie. Pourtant, derrière cette façade humaniste se cache une stratégie visant à éroder les valeurs ancestrales du monde entier – familiales, spirituelles, communautaires – au profit d’un ordre matérialiste, robotisé et impersonnel où dominent les logiques marchandes et la surveillance technocratique.
 

 
 Les OSF, fondées en 1979, ont dépensé plus de 23 milliards de dollars en trois décennies, avec un budget annuel avoisinant 1,7 milliard en 2023, finançant des milliers d’organisations dans plus de 100 pays. Soros, influencé par Popper, voit dans les sociétés fermées des ennemis du libéralisme, réduisant l’histoire occidentale à une généalogie totalitaire de Platon à Marx, ignorant les traditions réalistes comme l’augustinisme ou le thomisme. Sa théorie de la réflexivité – où les actions influencent la réalité perçue – s’applique non seulement à la finance, où il a spéculé sur des crises comme celle de la Banque d’Angleterre en 1992, mais aussi à la politique, transformant les sociétés en systèmes cybernétiques manipulables.
 
La façade humaniste : ingénierie sociale et déconstruction globale
Les OSF se présentent comme promoteurs de justice raciale, d’éducation et de réformes judiciaires, soutenant des mouvements comme Black Lives Matter avec des dizaines de millions de dollars. En réalité, ces financements alimentent une ingénierie sociale inspirée de Gregory Bateson et de la cybernétique, utilisant la « schismogenèse » pour fracturer les sociétés sur des lignes ethniques, culturelles ou identitaires.
Soros, élève de Popper, distingue une ingénierie utopiste menant au totalitarisme, mais son projet d’ouverture forcée impose un impératif catégorique : toute fermeture est réactionnaire, fasciste.
En Europe, via des think tanks comme l’European Council on Foreign Relations (ECFR), https://ecfr.eu/ fondé en 2007 avec des fonds OSF représentant un tiers de son budget (plus de 2 millions d’euros en 2017), Soros influence les politiques étrangères. L’ECFR, regroupant des figures comme Nathalie Loiseau ou Ursula von der Leyen, pousse pour une intégration européenne alignée sur le globalisme, favorisant l’immigration massive et la déconstruction des souverainetés nationales. Des analystes brésiliens comme William Gonçalves dénoncent cette interférence comme une menace à la démocratie, contrastant avec des visions trumpiennes du globalisme comme ennemi.
 

 
 Suppression des valeurs ancestrales : du local au global
Le réseau Soros cible les valeurs ancestrales au-delà de l’Occident. En Afrique, des financements soutiennent des flux migratoires qui déstabilisent les structures tribales et familiales, favorisant un nomadisme matérialiste. En Asie, des nations comme l’Inde ou le Kazakhstan rejettent ses interventions pour atteinte à l’intérêt national. Les révolutions colorées – en Géorgie, Ukraine ou Kirghizistan – maquillent des coups d’État en soulèvements populaires, financés par OSF pour « ouvrir » des marchés et imposer le libéralisme. Soros admet son rôle en Ukraine en 2014, utilisant même des dynamiques antisémites structurelles pour des fins antirusses.
Cette déconstruction favorise un monde robotisé : algorithmes de surveillance, consommation effrénée, réification de l’humain en objet connecté. Promotion d’idéologies woke, LGBTQ et climatiques via USAID, érodant les repères spirituels et communautaires. En Hongrie, Viktor Orbán a expulsé les OSF en 2018 pour avoir miné l’identité chrétienne ; en Russie, elles sont « indésirables » depuis 2015. Des philosophes comme Alexandre Douguine voient dans l’immigration massive un pilier sorosien du libéralisme, impossible à contrer sans vaincre l’idéologie.
 

 
 Le cheval de Troie des mondialistes : financements occultes et totalitarisme déguisé
Soros incarne un « philanthropocapitalisme » globaliste, court-circuitant les processus démocratiques via des think tanks (groupes de réflexion) et ONG. L’ECFR, modelé sur le Council on Foreign Relations américain, https://www.cfr.org/ oriente l’Europe vers un extrême-centre, finançant des plans migratoires comme celui de Merkel en 2015, calqué sur des propositions sorosiennes. Des liens avec USAID https://multipol360.com/lusaid-a-finance-une-plateforme.../ transforment l’aide en outil d’influence, finançant des procureurs aux États-Unis qui refusent de punir les crimes, contribuant au chaos urbain.
 
Elon Musk a accusé George Soros de « haïr l’humanité » https://edition.cnn.com/.../business/elon-musk-george-soros et de vouloir éroder la civilisation par le biais de ses fondations. Soros a admis avoir nourri des « fantasmes messianiques » dès l’enfance, qu’il a pu réaliser grâce à sa fortune, révélant ainsi une hubris mégalomane. Cependant, son empire philanthropique se contracte https://www.alliancemagazine.org/.../the-osf-cuts-show.../ : passant d’une présence dans plus de 100 pays à une structure réduite avec des fermetures d’offices régionaux, des effectifs ramenés à moins de 600 employés et une restructuration impliquant des coupes budgétaires significatives. 
 

 
 Vers un réveil des peuples : résistance aux forces matérialistes
Le paradoxe sorosien est flagrant : promouvoir l’ouverture mène à un totalitarisme technocratique, avec frontières internes, surveillance et concurrence fracturée pour un contrôle supranational. Des leaders comme Trump appellent à des enquêtes RICO https://www.lefigaro.fr/.../donald-trump-menace-de... contre Soros pour organisation de manifestations violentes. En Birmanie, Russie ou Chine, ses fondations sont chassées ; aux États-Unis, des réseaux comme ceux de Musk contrebalancent son influence.
 
Pour contrer ce cheval de Troie, réguler les financements étrangers des ONG et revitaliser les identités culturelles est impératif. Les valeurs ancestrales – famille, spiritualité, communauté – sont le rempart contre un monde impersonnel où l’humain est réduit à un consommateur sous algorithmes. Le réseau Soros, malgré sa façade, menace la civilisation ; son exposition annonce un réveil global des peuples.
 
 
"Trump s’attaque à Soros… et la secousse arrive jusqu’à Paris !
Donald Trump a ouvertement réclamé l’inculpation de George Soros et de son fils Alexander sous le RICO Act pour leur rôle dans le financement et l’orchestration des mouvements violents aux États-Unis.
👉 Et là où ça devient explosif : Alexander Soros est un soutien affiché d’Emmanuel Macron. Ce n’est pas une rumeur, c’est documenté : le fils Soros a ses entrées à l’Élysée et se vante de ses relais en Europe.
👉 Encore plus révélateur : Nathalie Loiseau, eurodéputée macroniste, est membre active du réseau “Soros Europe”. Autrement dit, les petites mains françaises de Macron participent à la même toile mondialiste qui agit dans l’ombre à Washington, Bruxelles et Paris.
 

 
💥 Quand Trump dit « nous surveillons Soros et son groupe de psychopathes », cela veut dire que les ramifications européennes ne seront pas épargnées.
💥 Macron le sait : si Soros tombe, tout son réseau d’influence s’effondre avec lui.
C’est donc la panique à l’Élysée.
⚠️ Retenez bien ceci : Soros, c’est l’idéologie mondialiste, l’immigration incontrôlée, la déconstruction des nations, la guerre permanente.
Si Trump fait tomber Soros, c’est tout le château de cartes mondialiste qui s’écroule — y compris en France.
Ça pourrait bien saigner si ils n'arrivent pas à assassiner Trump !
SATCH"

Patricia Bitschnau

 

l’État doit baisser ses dépenses publiques !

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Afin de retrouver la croissance et la performance publique face au mal français de la dépense.
 

 
 Le constat est urgent : l’État doit baisser ses dépenses publiques ! En 2024, les dépenses de la France s’élèvent à 57% du PIB. En 1981, elles n’étaient que de 47% du PIB.
Malgré la pression fiscale, la France n’est pas condamnée à l’immobilisme. 
 
Dossier de @deveau_minois
@SirAfuera
 


 




 
La difficulté réside sur le fait qu'environ 8O% de la population voire davantage a été formatée sur un système ou l'État est roi. L'Étatisme allié à ses pairs, collectivisme et égalitarisme est l'ogre de notre ère.
Allez savoir, trop d'État, tue l'État ? Il serait temps !!


 

Le Président Macron vu (osculté) par Roland Gori

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Psychanalyste, professeur émérite de Psychopathologie clinique à l'Université d'Aix-Marseille
 
"Emmanuel Macron ne gouverne pas les Français, il les soumet"
 
L’autre pour Emmanuel Macron n’est qu’un autre lui-même. Il veut les Français à son image, à l’image des clones qui l’entourent et l’adorent.
Que l’on s’en réjouissance ou qu’on le déplore, il est bien un héros de notre temps, “personnalité sociale” de cette nouvelle élite qui a rompu le pacte de solidarité républicain. Emmanuel Macron s’avance en conquérant pour qui ne compte que la performance, la réussite.
 

Il descend dans l’arène de l’opinion publique témoigner de ses convictions, élans de ses conquêtes, causes de ses succès. C’est ainsi disait Freud que s’avance le conquérant porté par un narcissisme maternel qui fait que rien ne lui résiste: 
“quand on a été le favori incontesté de la mère, on en garde pour la vie ce sentiment conquérant, cette assurance du succès, dont il n’est pas rare qu’elle entraîne effectivement après soi le succès.”
 
La passion maternelle pour son enfant idéalisé induit une confiance à toute épreuve chez celui qui en reçoit le privilège.
Cette formule freudienne, on la croirait taillée sur mesure pour notre Président. La passion maternelle pour son enfant idéalisé induit une confiance à toute épreuve chez celui qui en reçoit le privilège. Elle lui donne une force et une confiance inébranlables qui facilitent ses conquêtes, et fait qu’il ne peut que s’aimer davantage. C’est ce narcissisme qui confère au conquérant un pouvoir de séduction incontestable. Le conquérant fascine comme fascinent les grands fauves ou les people. La fascination n’est pas du même registre que l’amour ou le dialogue fraternel. Bien au contraire, le conquérant rêve debout, enveloppé dans son repli narcissique, sans contestation possible. À chaque objection de ses interlocuteurs, Emmanuel Macron aime répliquer: “Non! Je vais vous expliquer”. Il y croit et feint de croire qu’on va le croire. L’autre pour Emmanuel Macron n’est qu’un autre lui-même, un Macron qui s’ignore et dont il faut, tel Socrate, savoir l’accoucher.
 

 
 On lui reproche un manque d’empathie. Le diagnostic est à la fois cruel et juste. À condition de préciser que l’empathie est identification à l’autre, qu’elle suppose une capacité authentique d’en adopter le point de vue. Il faut pour cela non consommer l’effusion sentimentale, la fusion affective, la ferveur des émotions, mais se déplacer là où se trouve l’autre tout en restant soi-même. Il n’est pas sûr que notre monarque y parvienne. C’est pourquoi lorsqu’il dit qu’il est lui aussi “un gilet jaune”, nous pourrions craindre que des cris de détresse et de colère il n’entende que l’écho de son propre message dont le Grand Débat fut, à plus d’un titre, la caisse de résonance. Au fond, il se révèle comme l’enfant émerveillé par le château de sable qu’il construit avec le matériau de la France. Il veut les Français à son image, il les façonne de son parcours, les maçonne de ses illusions, les étourdit de ses imprécations.
Il se révèle comme l’enfant émerveillé par le château de sable qu’il construit avec le matériau de la France. Il veut les Français à son image, il les façonne de son parcours, les maçonne de ses illusions, les étourdit de ses imprécations.
 
Cet homme croit à la fable des abeilles besogneuses dont il convient d’écarter les frelons, tous ces fainéants qui “coûtent un pognon de dingue”, qui “ne sont rien parce qu’ils ne font rien”. Il croit au destin d’un Etat entrepreneurial et d’une Nation start-up. Il croit à ce qu’il dit, il croit à ce qu’il fait, avec l’acharnement de l’évangéliste, avec l’audace de l’aventurier, avec le courage du centurion, il construit avec le sable français les châteaux de son Empire. Emmanuel Macron n’a pas fait don de sa personne à la France, il lui a fait don de sa croyance, “délire sectorisé”, nouveau corps mystique du pouvoir. Il nous veut tous à l’image de la “bande” de clones qui l’entoure et l’adore dans l’effusion des religions saint-simoniennes. Plus que de Jupiter, c’est de Pygmalion qu’il suit l’exemple. Il burine la France et le peuple français pour sculpter sa statue. Il l’aime cette statue, c’est son œuvre, sa création, le fruit de ses croyances. Aucun frelon, jaune, rouge ou vert, ne saurait le détourner de sa doxa. Il est “entrepreneur” de sa politique comme il souhaite que chacun le devienne de son existence.
 
Mais ce conquérant est aussi le héros nihiliste de la tragédie de notre époque, celle qui fait de la conquête le moyen d’assouvir le “caractère destructeur” du capitalisme globalisé. Ce capitalisme, qui fait de la destruction la nouvelle source de profit, détruit aussi celui qui se place à son service. Ce caractère destructeur, il convient de le comprendre au sens du philosophe Walter Benjamin[1]
qui en dresse le portrait: 
“Le caractère destructeur ne connaît qu’un seul mot d’ordre: faire de la place; qu’une seule activité: déblayer. Son besoin d’air frais et d’espace libre est plus fort que toute haine.” 
Les débris humains, peuples et gouvernants, et écologiques qui en résultent sont recyclés pour de nouveaux profits.
 

 
 Il croit à ce qu’il dit, il croit à ce qu’il fait, avec l’acharnement de l’évangéliste, avec l’audace de l’aventurier, avec le courage du centurion, il construit avec le sable français les châteaux de son Empire.
À distance de toute attaque ad hominem c’est ainsi, je crois, qu’il convient de comprendre le destin des conquérants actuels dont Emmanuel Macron est l’exemple. Leur destin, comme celui des peuples qu’ils soumettent plus qu’ils ne les gouvernent, procède de ce même principe destructeur. Les gouvernants ne cherchent pas à être compris ou aimés de leurs peuples, tout juste consentent-ils à les faire témoins de leur efficacité. Ils savent que plus rien dans l’environnement d’aujourd’hui n’est durable, et qu’ils doivent en conséquence devancer la nature pour ne pas en subir le rythme, la simplifier pour mieux la liquider et la transformer en profits.
 
C’est bien pourquoi leur politique ne saurait être écologique ou humaniste. Détruire efface les traces du temps et de l’histoire. Brecht l’avait annoncé: la modernité efface les traces, elle est sans mémoire, mais non sans commémorations. La langue même est affectée par ce caractère destructeur, elle ne révèle plus, elle n’autorise plus que la communication, et trouve dans le numérique le moyen fabuleux de son déclin. Ce caractère destructeur ne relève pas de la psychologie mais procède ici de l’économie politique, de la culture, de nos sociétés. C’est ainsi qu’il faut comprendre les violences que nous avons connues ces derniers temps, moins comme des accidents de parcours que comme des symptômes durables de cette nouvelle pathologie de masse produite par le “caractère destructeur” d’un capitalisme métamorphosé dont les fascismes du siècle passé n’étaient que les archétypes.
 
[1] Walter Benjamin, 1931, “Le caractère destructeur”, in: Œuvres II, Paris, Gallimard, 2000, p. 330-332.
 
#POLITIQUE #EMMANUELMACRON #GILETSJAUNES Emmanuel Macron devant les enfants du Maine-et-Loire, jeudi 27 mars.

 

Entre évolution et expression totalitaire - Cash vs CB.....NUm !

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Le capitalisme de connivence étatique s'allie totalement avec les banques. Bientôt, vous ne pourrez plus sortir plus de 200 euros, d'acheter de la bonne viande de boeuf, pas bien pas écolo....etc !
N'ayez crainte l'État nounou vous protège !
 

 
 Le blackout bancaire : symptôme d’un système bancaire français fragile et dangereux
Le samedi 30 août 2025, la France a vécu un avant-goût du chaos financier : une panne informatique majeure, qualifiée de « blackout bancaire » , https://actu.fr/.../panne-geante-dans-plusieurs-banques... a paralysé les systèmes de paiement de plusieurs grandes banques pendant environ deux heures. Des millions de clients, principalement du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (incluant CIC et Monabanq), mais aussi de la Société Générale, de la Caisse d’Épargne et d’autres, se sont retrouvés incapables d’effectuer des retraits ou des paiements par carte. Ce dysfonctionnement, survenu autour de 17h20 et résolu vers 19h30, a semé la panique dans les supermarchés, stations-service et parkings, forçant les gens à abandonner leurs achats ou à recourir à des espèces qu’ils n’avaient pas forcément sur eux. Plus de 5.000 signalements ont été enregistrés sur des plateformes comme DownDetector, https://downdetector.fr/ témoignant d’une frustration massive relayée sur les réseaux sociaux, où des vidéos virales montraient des files d’attente interminables et des clients furieux. 
 
Une vulnérabilité scandaleuse au cœur d’un système aux profits colossaux
Comment est-il possible qu’en 2025, avec des chiffres d’affaires faramineux – le Crédit Mutuel seul gère 14 millions de clients et des milliards d’euros de transactions annuelles – les banques françaises ne parviennent pas à maintenir des serveurs sécurisés ? Ce « dysfonctionnement interne » lié à une mise à jour informatique a bloqué les vérifications de soldes, entraînant des refus systématiques de paiements.
Les excuses laconiques des banques, affirmant que l’incident n’est « pas inédit » dans le secteur, ne masquent pas l’évidence : malgré leurs bénéfices records (des dizaines de milliards d’euros cumulés pour les grands groupes), ces institutions priorisent les dividendes aux actionnaires plutôt que les investissements en infrastructures résilientes.
Ce blackout révèle une fragilité structurelle : dans une économie où plus de 80 % des transactions sont numériques, un simple bug peut plonger des millions de citoyens dans l’impuissance. Les experts appellent à plus de cybersécurité et de redondance, mais les faits parlent d’eux-mêmes : les banques françaises, obnubilées par la rentabilité, négligent la robustesse de leurs systèmes, exposant les Français à des risques inutiles.
 

 
 L’épée de Damoclès : la suppression de l’argent liquide et la surveillance généralisée
Cet incident n’est pas isolé ; il s’inscrit dans une tendance alarmante vers la disparition progressive de l’argent liquide, brandie comme une « modernisation » mais qui masque une épée de Damoclès sur la tête des Français. Des contenus viraux sur les réseaux sociaux lient déjà ce blackout à un « Grand Reset » financier, où la suppression du cash pave la voie à un contrôle total https://www.youtube.com/watch?v=ekTH0C3cs8s via l’euro numérique programmable (CBDC). Imaginez : sans espèces, chaque dépense est tracée, surveillée et potentiellement bloquée par des algorithmes. L’euro numérique, en phase de préparation jusqu’en octobre 2025 par la Banque centrale européenne (BCE), promet une « monnaie programmable » où les autorités pourraient limiter les usages – par exemple, interdire des achats jugés « non essentiels » ou imposer des taxes automatiques. Bien que la BCE démente toute programmation intrusive, les craintes de surveillance massive persistent, avec des risques de profilage des citoyens basé sur leurs habitudes de consommation.
Ce blackout démontre que sans cash, un bug ou une décision politique pourrait priver les gens de leur argent en un claquement de doigts, transformant la société en un vaste système de contrôle.
 
La raréfaction des distributeurs et la mutualisation : vers une dépendance totale au numérique
Pire encore, cette vulnérabilité s’accompagne d’une raréfaction accélérée des distributeurs automatiques de billets (DAB). En 2024, la France a perdu https://www.lefigaro.fr/.../la-france-a-encore-perdu-plus... plus de 1.500 DAB, portant leur nombre à 42.578 – une baisse de 3,5 % en un an et de 15 % en cinq ans. Dans les zones rurales et certaines villes, trouver un DAB devient une quête, forçant les mairies https://www.franceinfo.fr/.../distributeurs-de-billets... à se substituer aux banques pour installer des automates. Cette diminution, justifiée par la baisse des retraits et la rentabilité déclinante, accélère la transition vers le tout-numérique, rendant les espèces de plus en plus inaccessibles.
Ajoutez à cela la mutualisation via Cash Services, https://www.cash-services.fr/fr/index.html l’alliance lancée en 2025 entre BNP Paribas, Crédit Mutuel Alliance Fédérale (et CIC) et Société Générale. Ce réseau commun de DAB vise à déployer 7.000 sites d’ici 2026, permettant des retraits gratuits pour leurs clients, mais il masque une concentration du pouvoir : moins de DAB indépendants, plus de dépendance à un système unifié et vulnérable. Ce partenariat, accéléré en 2025, réduit les coûts pour les banques mais expose les usagers à des pannes généralisées, comme celle du 30 août, où même les réseaux mutualisés pourraient flancher.
 

 
 La monnaie, outil effroyable d’asservissement des peuples
Ce blackout bancaire n’est pas un accident isolé ; c’est un avertissement. La monnaie, autrefois symbole de souveraineté nationale, est devenue un outil effroyable pour asservir les peuples.
En supprimant le cash au profit d’un euro numérique programmable, les élites bancaires et européennes imposent une surveillance totale, érodant la liberté individuelle et la souveraineté des nations.
Les Français, déjà fragilisés par un système bancaire défaillant, risquent de perdre tout contrôle sur leur argent, transformés en sujets d’un régime financier orwellien. Il est temps de résister : défendez les espèces, refusez la CBDC, et réclamez une monnaie au service du peuple, pas de son oppression.
 

 

septembre 07, 2025

Actualité retraites et synthèse de l'étude Inst.Molinari !

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"En 2023, un retraité du public a coûté en moyenne 14 125€, contre 1 230€ pour un retraité du privé. Un rapport de 1 à 12. Depuis 2002, c’est 94% du déficit des retraites." (Le Figaro)
Henri Guaino : «Le terme boomer est une insulte jetée à la face des retraités. C'est scandaleux et pathétique qu'un Premier ministre s'engage sur le terrain de la guerre des générations. Un Premier ministre, c'est fait pour unir et réunir.»
 

 
 Le gouvernement ne prévoit pas seulement de demander un effort aux retraités en 2026 mais jusqu'en… 2030 ➡️ https://trib.al/lP7TrWx
Les retraites, « clé du marasme économique et du déclin de nos finances publiques » ?
Hakim El Karoui : Il y a deux éléments à distinguer. D'abord, le débat sur l'équité intergénérationnelle. Je suis très heureux qu'enfin un responsable politique s'en empare, car c'est, à mes yeux, la clé du marasme économique et du déclin de nos finances publiques. Emmanuel Macron, à son arrivée, en avait l'intuition, mais il n'a jamais...
 

 
EN 2010:
Michel Rocard critique l'attitude du PS sur le dossier des retraites
Pour l'ancien premier ministre, l'abaissement de l'âge de la retraite de 65 à 60 ans, en 1981, répondait au besoin "de faire plaisir au PC et de magnifier le caractère social du gouvernement".
 
Jacques Attali : « Les retraités privilégiés doivent être mis à contribution »
https://lepoint.fr/tiny/1-2595361
 

 
 
SYNTHESE DE L’ETUDE
Le COR ne prend pas en compte les déficits des régimes de retraite publics subventionnés par l’Etat et considère qu’au sein du secteur public, seule la Caisse nationale des agents des collectivités locales (CNRACL) peut donner lieu à des déficits.
 

 
 Depuis 2002, le COR a occulté 94 % du déficit des retraites ou 943 milliards d’euros
Lorsqu’on corrige cette anomalie méthodologique, le déficit des retraites est 16 fois plus élevé que ce qu’a calculé le COR de 2002 à 2023 : au lieu d’être de 0,13 % du PIB par an, il était de 2,1 % du par an en moyenne.
 
De 2002 à 2023, le COR a occulté des déficits des retraites qui représentent :
2 % du PIB par an ou au total 943 milliards d’euros courants,
47 % du déficit des administrations (qui représente 4,5 % du PIB par an en moyenne de2002 à 2023),
17 % des dépenses de retraite (qui représentent 12,6 % du PIB par an en moyenne de2002 à 2023),
94 % du déficit des retraites sur la période (qui représente 2,1 % du PIB par an en moyenne de 2002 à 2023).
 

 
 
Dans son nouveau rapport de juin 2024, le COR occulte 56 milliards d’euros (ou 2 % du PIB) de déficits au titre de 2023. Lorsqu’on corrige cette omission, les retraites étaient déficitaires de 53 milliards d’euros en 2023, et non en excédent de 3,8 milliards comme le COR le prétend.
 
Le COR a écarté 674 milliards de subventions aux retraites des fonctionnaires d’Etat
Depuis 2002, le COR a écarté dans son calcul de déficit les cotisations dérogatoires que l’Etat verse pour financer les retraites des fonctionnaires de l’Etat (FPE). Elles représentent 674 milliards sur 20 ans, soit en moyenne 1,4 % du PIB chaque année.
 

 
 Les retraites des anciens fonctionnaires d’Etat ont coûté 3 fois plus cher que celles des anciens salariés pour des raisons principalement liées au vieillissement. Les cotisations retraite ont représenté de 2002 à 2023 en moyenne 78 % des traitements indiciaires bruts dans la fonction publique d’Etat, contre 27 % des salaires bruts dans le privé. Les 2/3 des retraites des fonctionnaires d’Etat ont été financées par une subvention que le COR n’a pas pris en compte dans son calcul du déficit des retraites.
 
En 2023, ces subventions écartées par le COR représentent : 40 milliards d’euros ou 1,4 % du PIB ; 57 % des traitements indiciaires des fonctionnaires civils de l’Etat pour lesquels les cotisations retraite représentent 85 % des traitements bruts, alors que les retraites des salariés sont financées avec des prélèvements représentant 28 % de leurs rémunérations ; 109 % des traitements des militaires pour lesquels les cotisations retraites représentent 137 % des traitements bruts, contre 28 % pour les salariés.
Le COR a occulté 115 milliards d’euros de subventions au profit des fonctionnaires des collectivités
 
Depuis 2002, le COR a occulté dans son calcul de déficit les subventions dont bénéficient les retraites des fonctionnaires des collectivités et hôpitaux. Elles représentent 115 milliards sur 22 ans ou en moyenne 0,2 % du PIB chaque année.
Les cotisations des fonctionnaires et hôpitaux ont représenté en moyenne 38 % des traitements indiciaires bruts, contre 27 % des salaires bruts dans le privé de 2002 à 2023. Un tiers des retraites des fonctionnaires locaux et hospitaliers a été financé par une subvention que le COR n’a pas pris en compte dans son calcul du déficit des retraites.
 

 
 En 2023, ces subventions occultées par le COR représentent :
8 milliards d’euros ou 0,3 % du PIB ; 14 % des traitements fonctionnaires locaux pour lesquels les cotisations retraites représentent 42 % des traitements, contre 28 % pour les salariés du secteur privé.
Le COR a écarté 154 milliards de subventions au profit des régimes spéciaux et ouvriers d’Etat
Le COR a occulté dans son calcul de déficit les subventions de l’Etat aux régimes spéciaux du public (SNCF, RATP…). Ces subventions représentent : 122 milliards depuis 2002 ou en moyenne 0,3 % du PIB par an, dont 6 milliards d’euros ou 0,2 % du PIB en 2023.
Le COR a aussi occulté les subventions et sur-cotisations dont bénéficient les retraites des ouvriers d’Etat (FSPOEIE). Elles représentent : 32 milliards depuis 2002 et en moyenne 0,1 % du PIB par an, dont 1,8 milliard d’euros ou 0,1 % du PIB en 2023.
 

 

Allez débrouillez-vous...! Laisse à penser Maître Bayrou

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François Bayrou, ou le drame du médiocre qui se prend pour l'homme providentiel
Si la parole du Premier ministre ne porte pas, c'est qu'elle manque d'allant pour emporter l'adhésion.
On ne s'improvise pas ténor de la politique. Quand François Bayrou, du haut de son Himalaya, en appelle à la responsabilité des Français et de la classe politique sur le budget, ses imprécations sont aussi convaincantes que celles d'un général d'infanterie, dont la seule expérience serait d'avoir joué aux petits soldats quand il était petit. Il y manque l'essentiel, la force de conviction qui emporte tout sur son passage.
C'est tout le problème de François Bayrou. Il a une si haute estime de sa personne qu'il parvient à se convaincre que sa seule parole provoquera chez les Français un sursaut tel qu'ils défileront dans la rue pour l'implorer de rester à son poste. On est loin du compte. Il s'imagine homme providentiel là où sa nomination n'a été qu'une affaire d'appareils, de circonstances, d'un vide qu'il fallait combler pour ne point laisser l'opposition s'installer à Matignon.
 

 
 La France n'a jamais vraiment eu faim de François Bayrou. https://www.slate.fr/.../interview-censure-francois... 
S'il existe bien une petite musique Bayrou, elle s'apparente à une comptine anodine, une sorte de chant sirupeux non dépourvu de charme, mais si peu entraînant qu'il finit immanquablement par endormir le malheureux forcé de l'écouter.
La parole de François Bayrou ne marque pas. Elle ennuie comme ennuient ces discours tenus aux enterrements, https://www.slate.fr/.../blog-sagalovitsch-enterrement... quand un vague cousin part dans un hommage funèbre qui, par sa prétention et sa longueur, provoque dans l'assistance un sentiment d'accablement si profond que l'on en vient à reprocher au défunt de nous avoir fait endurer pareille épreuve.
Gageons que si Winston Churchill avait eu la faconde de François Bayrou, le Royaume-Uni n'aurait pas tenu longtemps avant de subir le joug allemand. https://korii.slate.fr/.../histoire-seconde-guerre... C'est qu'il ne suffit pas d'emprunter à la tragédie ses accents dramatiques pour convaincre son auditoire de l'importance d'un moment. Encore faut-il incarner cette parole, l'incarner avec une telle force, une telle authenticité, que quiconque l'entendant sentira dans sa chair combien l'heure est cruciale.
 

 
 François Bayrou est depuis trop longtemps dans le paysage politique pour ne pas charrier avec lui tout un ensemble de présupposés qui rendent son discours comme inaudible.
Or, les dernières prises de parole https://www.youtube.com/watch?v=CRPkwXUtoKI du Premier ministre ont beau avoir été martiales et récitées sur un ton grave et pénétré, elles n'ont produit aucun effet, sinon un profond ennui voire un franc désintérêt. La ténacité et le volontarisme ne suffisent pas. Il faut encore autre chose, le sentiment d'être face à une personne chez qui le désir de dire vrai s'accompagne d'un véritable mouvement de l'âme, d'une sincérité, fille de la conscience et de la vérité. https://www.slate.fr/dossier/7651/conscience
 

 
 C'est une question de charme, une question de talent, https://www.slate.fr/.../talent-existe-t-il-travail... ce je ne sais quoi qui différencie l'homme du commun de la personne d'exception. Chez cette dernière, il existe une sorte de force intérieure, mais en même temps naturelle, qui donne à sa parole cet air d'évidence à même de séduire les plus coriaces de ses adversaires. Malgré lui, l'esprit se retrouve captif d'un discours dont il sent, au-delà des divergences d'opinion, qu'il le concerne tout entier.
 
Chez François Bayrou, le verbe est mou, insipide, atone. Le Béarnais aura beau répéter dix fois, cent fois, mille fois que la situation est grave, son discours, par l'inertie qu'il propage, ne fera qu'effleurer les consciences. https://www.slate.fr/.../referendum-finances-publiques... Il est tel qu'il est: honnête mais calculateur, fier mais d'une fierté exacerbée qui cache un sentiment de faiblesse, opiniâtre mais d'un courage qui procède d'une crânerie où l'on devine plus le désir d'épater l'autre que de le convaincre vraiment de la justesse de son raisonnement.
 

 

 

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